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22 mars 2017 3 22 /03 /mars /2017 10:45
Produire autrement: un enjeu pour l'Humain et la planète. Débat avec Gérard Le Puill le 23 mars, 18h30 à Carhaix

Élections législatives 11 et 18 juin 2017

 

Débat public

jeudi 23 mars 2017

à 18h30

salle Ti Ar Vro,

place Per-Jakez Hélias

CARHAIX

Produire autrement

un enjeu pour

l'humain et la planète

 

avec la participation de

Gérard Le Puill

ancien ouvrier d'usine, ancien ouvrier agricole,

journaliste honoraire et spécialiste des dossiers environnementaux

et de Maxime PAUL

 

 

Nous sommes à l'heure des choix

 

Produire autrement est une exigence pour relever le double défi de la réponse aux besoins humains et de protection de la planète.

Ce qui est en cause c'est ce mode productiviste capitaliste :

-répartition inégalitaire des richesses

-progression du chômage et de la précarité

-saccage de la planète

-surexploitation des êtres humains et des ressources naturelles

Nous portons l'ambition pour la France, l'Europe et le Monde d'un nouveau mode de production et d'un nouveau mode agricole, fondé non sur l'exigence de rentabilité, mais sur de nouveaux critères d'efficacité économique, sociale et écologique : le développement des capacités humaines, la protection de notre environnement, l'égalité, la coopération, et la solidarité des territoires. Une Répu-blique où les biens communs seraient le moteur d'un développement humain durable.

Produire autrement: un enjeu pour l'Humain et la planète. Débat avec Gérard Le Puill le 23 mars, 18h30 à Carhaix
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22 mars 2017 3 22 /03 /mars /2017 10:42
Ouest-France, article Delphine Van Hauwaert, 22 mars 2017

Ouest-France, article Delphine Van Hauwaert, 22 mars 2017

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22 mars 2017 3 22 /03 /mars /2017 07:38
Martin Mac Guiness

Martin Mac Guiness

Martin Mc Guinness, un responsable historique du Sinn Fein, déterminé et passionné (Pierre Laurent)

(traduction française du message de Pierre Laurent adressé à la direction du Sinn Féin) 

 

C'est avec une grande émotion et tristesse que je viens d'apprendre le décès de Martin Mc Guinness. Responsable historique du Sinn Fein, Martin Mc Guinness a également exercé de très importantes fonctions d’homme d’Etat en Irlande du Nord, où avec détermination et passion, il a tout fait pour préserver et consolider le processus de paix et de réconciliation engagé en 1998 dans la perspective d’une réunification de l’Irlande.

Alors que le Sinn Fein et les Irlandais lui rendent hommage, je veux, au nom du Parti communiste français, saluer la mémoire de Martin Mc Guinness et adresser mes plus sincères condoléances à Declan Kearney, à la direction et aux membres du Sinn Féin, ainsi qu'à sa famille et à ses proches.

En ces circonstances particulièrement douloureuses pour le peuple irlandais, je tiens à exprimer également au Sinn Fein l’expression de la solidarité indéfectible du PCF.

Pierre Laurent,
Secrétaire national du PCF 
 

Paris, le 21 mars 2017

 

Recueillement du PCF Bretagne après la disparition de Martin Mc Guinness. Condoléances au Sinn Fein . Que des actions de solidarités concrètes se construisent entre nos partis sur le chemin d'une Irlande sociale et réunifiée !

Xavier Compain, porte-parole du PCF Bretagne, 21 mars 2017

Martin Mac Guiness

Martin Mac Guiness

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22 mars 2017 3 22 /03 /mars /2017 07:34
Marc Madec a introduit la réunion consacrée entièrement au projet d'aménagement et de développement durable

Marc Madec a introduit la réunion consacrée entièrement au projet d'aménagement et de développement durable

photo conseil communauté Morlaix-Co 20 mars Pierre-Yvon Boisnard

photo conseil communauté Morlaix-Co 20 mars Pierre-Yvon Boisnard

Les Utopistes en action en attente de local étaient là, une nouvelle fois, en force et bien visibles avec leurs affiches pour la défense des réfugiés et mineurs isolés, ainsi que les défenseurs d'un vrai service de transport public sur le sud et sud est de l'agglomération morlaisienne

Les Utopistes en action en attente de local étaient là, une nouvelle fois, en force et bien visibles avec leurs affiches pour la défense des réfugiés et mineurs isolés, ainsi que les défenseurs d'un vrai service de transport public sur le sud et sud est de l'agglomération morlaisienne

Conseil de Communauté de Morlaix-Co du lundi 20 mars: photos Pierre-Yvon Boisnard et interventions d'Ismaël Dupont
Solange Creignou a défendu la nécessité d'inscrire l'intérêt de construire un service public de la petite enfance à Morlaix Communauté sur l'ensemble du territoire, elle a été dans le sens d'Ismaël Dupont sur la défense des services publics tout en parlant aussi de la lutte contre la désertification médicale, de la nécessité de penser concrètement les moyens de renouveler la démographie médicale en libéral pour assurer l'égalité des habitants de notre territoire face à la santé, elle a rappelé l'importance de ne pas sacrifier les communes des Monts d'Arrée à la vitrine de la zone littorale

Solange Creignou a défendu la nécessité d'inscrire l'intérêt de construire un service public de la petite enfance à Morlaix Communauté sur l'ensemble du territoire, elle a été dans le sens d'Ismaël Dupont sur la défense des services publics tout en parlant aussi de la lutte contre la désertification médicale, de la nécessité de penser concrètement les moyens de renouveler la démographie médicale en libéral pour assurer l'égalité des habitants de notre territoire face à la santé, elle a rappelé l'importance de ne pas sacrifier les communes des Monts d'Arrée à la vitrine de la zone littorale

Jean-Paul Vermot, à côté de Jean-Charles Pouliquen, de Christiane Léon et d'Ismaël Dupont s'est félicité de la qualité, de la mesure rationnelle, des pas en avant dans l'ambition du document

Jean-Paul Vermot, à côté de Jean-Charles Pouliquen, de Christiane Léon et d'Ismaël Dupont s'est félicité de la qualité, de la mesure rationnelle, des pas en avant dans l'ambition du document

Bernard Le Vaillant au micro, avec la maire de Plouigneau à sa gauche

Bernard Le Vaillant au micro, avec la maire de Plouigneau à sa gauche

Jean-Michel Parcheminal et Véroniquez Péreira se sont félicité en fin de conseil de la dotation de leurs deux communes du Parc d'Armorique pour un véhicule collectif au Cloître et un jardin à Plounéour

Jean-Michel Parcheminal et Véroniquez Péreira se sont félicité en fin de conseil de la dotation de leurs deux communes du Parc d'Armorique pour un véhicule collectif au Cloître et un jardin à Plounéour

Ce fut un conseil communautaire presque entièrement consacré au PADD, le plan d'aménagement et de développement durable, qui accompagne le PLU-I, et qui a été présenté sur le volet aménagement du territoire par Marc Madec, sur le volet plan local de l'habitat par François Girotto, et sur le plan des applications pratiques pour les PLU et de la remontée des conseils communaux par Yvon Le Cousse. 

Les trois ont mis en perspective le document de manière plutôt claire et intéressante, sans en épuiser le contenu. 

S'en est suivi un débat de 1h30 où ont pris la parole successivement Ismaël Dupont, Agnès Le Brun, Solange Creignou, Guy Pennec, Jean-Paul Vermot, Yves Moisan et Bernard Le Vaillant, premier adjoint de Plouigneau, qui a rompu le consensus en regrettant les mesures du PLU-I pour limiter l'extension de l'urbanisation sur des terres agricoles et l'emprise foncière des habitations dans les communes, en s'inscrivant en faux contre l'obligation de généraliser le logement social dans toutes les communes, en disant que ces principes présidant au PLU-I allaient déprimer le bâtiment, accroître encore la réduction de population sur le territoire de Morlaix-Co au profit des métropoles. Avant d'entrer dans des considérations sur la mise en crise ou la transformation du commerce,de la production locale par le numérique, et des modes de vie, non prise suffisamment en compte par le document selon lui, il a eu un long développement complètement hors sujet sur l'explosion démographique de l'Afrique, les risques "d'invasion" de réfugiés et d'immigrés sur notre territoire, et de remplacement des populations de "souche", autant de fantasmes qu'il avait déjà pu développer dans les voeux de la municipalité de Plouigneau à l'occasion de discours à teneur d'extrême-droite qu'avaient lu la maire Rolande Le Houérou, ou dans des articles du journal municipal de Plouigneau.

Immédiatement après son intervention, j'ai dénoncé l'arrière-fond de peurs nourries et agitées, de fantasmes xénophobes portés par ce propos complètement hors sujet, et j'ai marqué la nouveauté qu'il y avait d'entendre un discours inspiré par Valeurs actuelles, professant les théories du grand remplacement, portant les thématiques du Front National, au sein de l'enceinte communautaire, en disant que, si je reconnaissais à chacun le droit de s'exprimer en liberté, en assumant ses propos, le contenu de ces propos étaient profondément choquant et affligeant. J'ai également contré les propos de Bernard Le Vaillant en disant qu'avant de construire toujours plus de maisons neuves en participant à l'étalement urbain et à la disparition des surfaces agricoles et zones humides, il était préférable de rénover l'ancien, d'aider à la renovation énergétique les propriétaires, notamment les personnes âgées, et qu'il y avait déjà énormément de maisons et appartements vides et vacants à Morlaix-Communauté:  le parc de logement est vieillissant (71% des résidences principales construites avant 1975à, avec 3800 logements recensés vacants en 2013 (le chiffre est ancien mais cela représentait +64% par rapport à 2008) et 1468 en 2016 sur la seule ville de Morlaix, soit 15% de son parc de logements.   

Dans ma première intervention, j'ai développé le propos suivant: 

"Tout d'abord, le diagnostic de territoire montre que, en même temps qu'une diminution légère du nombre d'habitants se fait sentir sur le territoire de Morlaix-Communauté, beaucoup d'autres indicateurs sont au rouge et que la situation socio-économique du pays de Morlaix est difficile, inquiétante: 

- le taux de chômage à Morlaix-Communauté, selon les chiffres officiels qui sont sous-estimés, on le sait, car ils n'englobent pas toutes les formes de chômage, est plus élevé que la moyenne départementale (8,9%) et régionale (8,6%) avec un chiffre alarmant de 9,5% au 2nd trimestre 2016.

- le nombre d'emplois publics et privés continue à diminuer depuis 2008, dans le secteur privé cette diminution atteint le taux de 9% entre 2008 et 2015. Le secteur public représente 37% des emplois dans le territoire de Morlaix-Communauté.  

- la part des retraités et du vieillissement de la population est plus importante dans le pays de Morlaix que dans le reste du Finistère, alors que le Finistère est lui-même un département vieillissant.  

- les revenus de la population de Morlaix-Communauté sont singulièrement plus faibles que dans le reste du département et la Bretagne: 50% des ménages imposables en 2012, contre 55,9% au niveau du Finistère, et 56,2% en Bretagne". 

Tout cela rend notre territoire plus fragile, plus sensible aux dégâts des politiques libérales et d'austérité, aux logiques de renforcement des métropoles au détriment des petites et moyennes villes, à la crise de l'agro-alimentaire.  

Parmi les objectifs que l'on se donne, je note que dans la construction du projet d'aménagement d'un territoire à 27 (Partie 1), on place à toute première place l'objectif "d'intégrer le phénomène de vieillissement de la population et de ralentir la dépendance". 

C'est en effet un enjeu central, a fortiori dans un territoire vieillissant comme le nôtre, mais quelles politiques concrètes met-on derrière? Quelle traduction concrète quand Morlaix-Communauté se refuse pour l'instant à soutenir une association comme l'Office des Retraités Public (l'ORPAM), qui travaille à combattre l'isolement, la dépendance, à favoriser le lien sociale, l'éducation tout au long de la vie des personnes âgées et qui peine à financer ses missions et son poste de salarié alors que près de la moitié de ses usagers ne sont pas morlaisiens? Peut-on dire que la communauté s'investit réellement dans le développement d'une offre de transport public adaptée pour les personnes âgées, notamment vers les communes périphériques de Morlaix? Quel investissement dans des centres de santé? Comment la communauté et ses élus se bougent pour la création de nouvelles places en maison de retraite (l'ancien préfet du Finistère a dit qu'il en manquait 2000 dans le département lors d'un déplacement à Lanmeur il y a quelques années)? A des prix accessibles pour les résidents et leurs familles, et avec un personnel travaillant avec suffisamment d'effectifs pour s'acquitter de ses missions de manière satisfaisante? Quel effort public pour structurer le secteur de l'aide à domicile? 

J'ai pointé le fait que la mise en œuvre de la politique transport, avec la stagnation du budget transports, un schéma de transport public manquant d'ambition de développement et de prise en compte des enjeux de mobilité dans les communes périphériques, notamment du sud de l'agglomération, était en décalage avec les ambitions affirmées dans le PADD, et c'est évidemment un enjeu fondamental, de « garantir une desserte locale de qualité et de lutter contre les fractures territoriales en favorisant une offre de transport en commun de qualité ».

J'ai regretté surtout l'absence de références à la sauvegarde et au développement des services publics de proximité, alors qu'ils sont gravement remis en cause par les politiques libérales et austéritaires de l’État, dans la partie économie du PADD. Curieuse absence alors que l'emploi public concerne 37 % des emplois du territoire, et que cet emploi est en régression comme l'emploi privé, et que l'hôpital, notamment, plus gros employeur du territoire, fait la une de l'actualité locale pratiquement toutes les semaines, avec des personnels qui dénoncent les sous-effectifs, les fermetures de lit et d'activité, les menaces sur la maternité, la dégradation des conditions de travail et d'accueil des malades et usagers. Mais bien sûr, c'est tous les services publics, au-delà de la santé, qui sont nécessaires à l'accès aux droits des populations, à la vie quotidienne, et au maintien de l'emploi non délocalisable, de sorte qu'il faudrait corriger cette absence dans le document du PADD.

Enfin, toujours sur la partie économie, j'ai regretté que sur les questions agricoles, on parle d'accompagner l'évolution des systèmes d'exploitation agricole et de conforter les outils de production agricole sur le territoire intercommunal sans insister sur la nécessité de favoriser avec volontarisme la transition vers une agriculture respectueuse de la santé publique, de qualité, écologiquement responsable, raisonnée ou bio, se dirigeant vers le zéro pesticide. Une telle agriculture, possible aussi si l’État garantit des prix et rémunérations convenables aux paysans avec un encadrement des marges de la grande distribution, créerait plus d'emploi et renforcerait les atouts de notre territoire en termes de qualité de l'environnement naturel.

De manière générale, j'ai salué tout de même dans le document du PADD l'objectif de réduction de l'emprise foncière et de l'urbanisation sur les zones agricoles et humides, ainsi qu'un certain nombre d'objectifs stratégiques, mis clairement sur le papier, et qu'il faut maintenant progressivement atteindre avec des politiques volontaristes et des solutions de mise en œuvre.

    

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22 mars 2017 3 22 /03 /mars /2017 07:32
Padd: l'aménagement du territoire de Morlaix Communauté fait débat: Le Télégramme, 22 mars 2017
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22 mars 2017 3 22 /03 /mars /2017 07:27
Ensemble, construisons une majorité de progrès social! La France en Commun: clip de campagne des candidats PCF-Front de Gauche: en 2017, l'Humain d'abord!
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22 mars 2017 3 22 /03 /mars /2017 07:27
L'évasion fiscale, un enjeu planétaire: Les frères Bocquet, parlementaires communistes auteurs de "Sans domicile fisc" à Quimper le mercredi 5 avril à 15h aux Halles Saint François

Rencontre avec Alain et Éric Bocquet à Quimper le 5 avril : l'évasion fiscale, un gigantesque hold-up au détriment de l'hôpital, de l'école, de la solidarité...

 

Ces deux parlementaires communistes, Alain, député, Éric, sénateur, ont acquis une grande expertise sur l'évasion fiscale et les moyens de la combattre.

Rapporteurs de commissions parlementaires sur ce sujet, ils ont rencontré des personnalités de toutes sensibilités, échangé avec les représentants de nombreuses associations, et publié un livre « Sans domicile fisc » qui fait événement.

Les citoyen-ne-s ont bien des raisons de s'intéresser à l'évasion fiscale, qu'elle soit frauduleuse, ou qu'elle utilise tous les moyens « légaux » mis en place pour permettre aux plus riches, aux banques, aux multinationales de contourner l'impôt.

Les scandales succèdent aux scandales : Swissleaks, UBS, HSBC, Luxleaks, Panama Papers, et même Football Leaks...

Et ce n'est sans doute que la partie immergée de l'iceberg, rendue visible grâce au courage des lanceurs d'alerte, qui en paient trop souvent le prix.

C'est entre 60 et 80 milliards au moins qui manquent ainsi chaque année au budget de la France, l'équivalent du budget de l'Éducation Nationale, ou du déficit budgétaire, et plus de 1000 milliards pour l'Europe.

C'est un gigantesque hold-up au détriment de l'hôpital, de l'école, de la culture, des politiques sociales et de solidarité...

Dans le même temps, les bons apôtres de l'austérité pour les peuples, mais de l'abondance pour les actionnaires, prêchent la compression des dépenses de l'État, celles du moins qui ne vont pas dans leur escarcelle, les suppressions d'emplois de fonctionnaires, les restrictions de services publics, la nécessité de faire des sacrifices, au nom des « contraintes » économiques !

L'évasion fiscale est un fléau mondial qui aggrave la pauvreté, les inégalités, ce sont les peuples qui en règlent la note.

La prise de conscience grandit en France et partout dans le monde.

Alain Bocquet, avec le groupe Front de gauche de l'Assemblée Nationale, a fait voter une résolution en faveur d'une « COP de la finance mondiale, l’harmonisation et la justice fiscale », à l'image de ce qui s'est fait pour le climat.

150 organisations françaises (Oxfam-France, Amis de la Terre, CCFD Terre Solidaire, Secours Catholique, ATTAC France...) et internationales ont lancé une grande campagne de dénonciation des profits faits par les banques dans les paradis fiscaux.

Selon Oxfam-France, ce sont BNP Paribas et la Société Générale qui tirent le plus de bénéfices en chiffres absolus de ces paradis fiscaux.

Deux banques dont le parti communiste demande la nationalisation dans son programme « La France en commun ».

Pour vous informer, pour échanger sur l'évasion fiscale, sur les solutions pour la combattre, nous vous invitons à venir à la rencontre des frères :

 

Alain et Éric Bocquet

mercredi 5 avril à 15h

à Quimper

aux Halles Saint François

1er étage

Entrée libre

 

Une occasion exceptionnelle à ne pas manquer, leur seul passage dans le Finistère !

 

Ils dédicaceront leur livre « Sans domicile fisc »

Il est possible de réserver son exemplaire (17,50 € aux éditions du Cherche Midi) dès maintenant :

par courriel adressé à pcf.quimper@orange.fr

ou en appelant au 06 32 25 69 61

 

À signaler :

  • le tableau publié par Oxfam sur les bénéfices que les banques françaises tirent des paradis fiscaux.

ici

  • le dossier consacré par la revue Projet à l'évasion fiscale, avec des contributions d'Éric Bocquet, de Monique Pinçon-Charlot et Michel Pinçon, et de bien d'autres, économistes, juristes, sociologues....

lire en ligne

 

 

L'évasion fiscale, un enjeu planétaire: Les frères Bocquet, parlementaires communistes auteurs de "Sans domicile fisc" à Quimper le mercredi 5 avril à 15h aux Halles Saint François
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22 mars 2017 3 22 /03 /mars /2017 07:27
PCF Fouesnant: Soirée chants de marins avec "Les lougriers de l'Odet" le samedi 8 avril à 20h30 au Nautile de la Forêt-Fouesnant
L'Association "les Amis du PCF" de la Forêt-Fouesnant organise une soirée "chants de marins" avec le groupe "Les Lougriers de l'Odet", le samedi 8 avril 2017 à 20h30 au Nautile à la Forêt-Fouesnant.
Le concert se déroulera en 2 parties (2x45mns environ) entrecoupées d'un entracte, pendant lequel le bar sera ouvert !
 
ENTREE POUR LE CONCERT: 8€
 
Nous vous espérons nombreux !
A bientôt.
 
Les Amis du PCF
PCF Fouesnant: Soirée chants de marins avec "Les lougriers de l'Odet" le samedi 8 avril à 20h30 au Nautile de la Forêt-Fouesnant
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22 mars 2017 3 22 /03 /mars /2017 07:24
On apprend que Bruno Le Roux aurait fait 24 CDD pour un montant de 55 000 euros à ses filles. Le népotisme est devenu un fait banal en politique. Bruno Le Roux a disposé pendant son dernier mandat de 1,2 million d’euros de réserve parlementaire et a décidé tout seul de l’attribution de cet argent !!! Il faut que tout cela cesse !!!

 

Jusqu’au bout, un quinquennat marqué par les affaires
 PAR LÉNAÏG BREDOUX

Ce n’est pas le moindre des paradoxes du quinquennat de François Hollande : jusqu’aux dernières semaines avant son départ, le chantre de la « République exemplaire » a été confronté à une série de mises en cause de proches et de ministres, de Jérôme Cahuzac à Bruno Le Roux, qui a démissionné mardi.

 

« Moi président de la République, je ferai en sorte que mon comportement soit en chaque instant exemplaire. » C’était il y a cinq ans. François Hollande était en campagne et promettait une rupture morale et éthique après le quinquennat de Nicolas Sarkozy. De fait, il n’a jamais été mis en cause dans la moindre affaire judiciaire. Mais son mandat a été marqué par une série de révélations sur ses proches, des aveux de Jérôme Cahuzac à la démission mardi du ministre de l’intérieur Bruno Le Roux.

Le Parquet national financier a annoncé mardi en début d’après-midi l’ouverture d’une enquête préliminaire à la suite des révélations de l’émission de Yann Barthès diffusée sur TMC. Elle portera sur de possibles faits de détournements de fonds publics et recel. Au même moment, Bruno Le Roux a été reçu à l'Élysée par François Hollande, en présence du premier ministre Bernard Cazeneuve. En fin de journée, le ministre de l'intérieur, dont la position était devenue intenable, a annoncé sa démission pour« préserver l'action gouvernementale ».

D’après les informations recueillies par la journaliste Valentine Oberti, les filles de Bruno Le Roux, âgées aujourd’hui de 20 et 23 ans, ont respectivement signé 10 et 14 contrats à durée déterminée (CDD) avec leur père entre 2009 et 2016, d’abord quand il était député de Seine-Saint-Denis, puis patron du groupe PS à l’Assemblée nationale (jusqu’à sa nomination place Beauvau le 6 décembre 2016). Elles auraient ainsi engrangé 55 000 euros d’argent public à elles deux.

La « République exemplaire », déjà bien amochée, aura donc pris un ultime coup à un mois de la présidentielle, alors que François Hollande s’est lancé dans une tournée d’adieux après avoir renoncé à se représenter. Jusqu’au bout, il aura donc été confronté aux erreurs, aux mensonges, aux manquements éthiques et moraux, et aux délits, parfois, de certains de ses camarades de parti et de ses proches. Tous ceux qui ont été mis en cause depuis le début du quinquennat ont dû démissionner. Sauf un, toujours membre du gouvernement : Jean-Marie Le Guen.

La liste est longue. Elle commence par un nom, le plus célèbre, celui du ministre du budget qui promettait de lutter contre la fraude fiscale : Jérôme Cahuzac. Les révélations de Mediapart en décembre 2012 n’avaient pas suffi à convaincre François Hollande de s’en séparer. Il a fallu attendre le 19 mars 2013 pour que le ministre démissionne. En fin d’année 2016, l’ancien député a été condamné à trois ans de prison ferme et cinq ans d’inéligibilité pour fraude fiscale et blanchiment. Il a fait appel du jugement.

Dans la foulée de ces aveux, il y a quatre ans, le président de la République avait initié plusieurs textes de moralisation de la vie politique, conduisant notamment à la création du Parquet national financier (PNF) et de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP), à l’origine de plusieurs des affaires suivantes, même si la presse s’est bien souvent montrée plus efficace à enquêter.  

C’est par exemple le cas de Yamina Benguigui, ministre déléguée à la francophonie au début du quinquennat. Le 31 mars 2014, la HATVP avait inauguré ses nouveaux pouvoirs en signalant son cas à la justice : elle la soupçonnait d’avoir sciemment dissimulé, par trois fois quand elle était ministre, les parts qu’elle possédait dans une société belge. Le 27 septembre 2016, Benguigui a été condamnée en appel à un an d’inéligibilité, deux mois de prison avec sursis et 5 000 euros d’amende pour des omissions dans ses déclarations de patrimoine et d’intérêts.

Le 17 avril 2014, c’est au tour d’un des plus proches conseillers de François Hollande,Aquilino Morelle, d’être au cœur de la tourmente : Mediapart révèle les conflits d’intérêts avec les laboratoires pharmaceutiques quand il était en poste à l’IGAS, l’Inspection générale des affaires sociales, et son attitude à l’Élysée, symbolisée par le« cirage de chaussures ». Dès le lendemain, il est contraint de démissionner. S’il n’a jamais été condamné par la justice (voir notre article expliquant pourquoi l'affaire a été classée sans suite), le conflit d’intérêts était lui avéré.

Dix jours plus tard, le 27 juin, c’est au tour d’un secrétaire d’État, Jean-Marie Le Guen, d’être épinglé par la Haute Autorité pour la transparence de la vie politique. À l’époque chargé des relations avec le Parlement, ce proche de Manuel Valls a minoré la valeur de ses propriétés immobilières auprès de l'administration fiscale d’environ 700 000 euros, pendant plusieurs années. Mediapart révélait à l'époque qu'il était sous la menace d'un redressement de 50 000 euros sur son ISF (impôt de solidarité sur la fortune), rien que sur l'année 2013.

Depuis, il a également été mis en cause dans un livre des journalistes Georges Malbrunot et Christian Chesnot, Nos très chers émirs. L'ancien député de Paris est accusé notamment de vouloir minimiser, par le biais d'une agence de communication, les déclarations parlementaires critiques vis-à-vis de la pétromonarchie. Une polémique« honteuse », selon Le Guen, qui a annoncé avoir porté plainte en diffamation et qui est toujours au gouvernement. En décembre dernier, il a même quitté les relations avec le Parlement pour… le Quai d’Orsay, où il est chargé du développement et de la francophonie.

«Aucune protection apportée à qui que ce soit»

Le 4 septembre 2014, François Hollande et Manuel Valls viennent de remanier le gouvernement : fait alors son entrée un jeune député prometteur, promu à Bercy,Thomas Thévenoud. Il ne restera que quelques jours pour avoir omis de déclarer ses revenus en 2012 et pour l’avoir fait avec retard pendant plusieurs années (2009, 2010, 2011 et 2013). Dans un livre paru en mars dernier, il confiait sa conviction d'avoir été viré parce que Mediapart détenait « l’intégralité de son dossier fiscal » et s’apprêtait à le publier. En tout cas, nous enquêtions sur ses manquements. Thomas Thévenoud sera finalement jugé le 19 avril prochain, quatre jours avant le premier tour, pour fraude fiscale.

Deux mois et demi plus tard, le 21 novembre 2014, c’est un proche de François Hollande,Kader Arif, qui est contraint de quitter le gouvernement. La veille, Mediapart a révéléque les bureaux du secrétaire d'État aux anciens combattants avaient été perquisitionnés quelques jours plus tôt, dans le cadre d'une enquête préliminaire ouverte en septembre sur des marchés publics attribués par le conseil régional de Midi-Pyrénées à des parents de Kader Arif.

L’entourage du président de la République est encore mis à rude épreuve le 3 décembre 2014. Un de ses conseillers à l’Élysée, Faouzi Lamdaoui, doit à son tour démissionneralors qu’il est renvoyé devant le tribunal correctionnel de Paris pour « faux et usage de faux », « abus de biens sociaux » et « blanchiment d'abus de biens sociaux ». Des accusations ayant trait à la gestion de deux sociétés, auxquelles il était lié avant son arrivée à l’Élysée. En première instance, la procédure a été annulée mais le parquet a fait appel. La date du nouveau procès a été repoussée, en raison d’un nouvel imbroglio lié à la disparition des notes de la première audience.

La liste se conclut, du moins provisoirement, par le nom de Bruno Le Roux, encore un proche de François Hollande depuis de longues années, contraint à quitter le gouvernement moins de quatre mois après avoir intégré la place Beauvau.

Là encore, l’Élysée pourra plaider que le président de la République n’est pour rien dans cette affaire, qu’il n’était pas au courant (c’est même très vraisemblable) et qu’avant l’affaire Fillon, personne, ou presque, ne s’émouvait de la pratique très répandue des emplois familiaux à l'Assemblée nationale et au Sénat. François Hollande pourra aussi rappeler qu’il a fait voter deux lois sur la transparence, parfois contre l’avis de son propre camp, et qu’il n’a jamais jusque-là été mis en cause directement dans la moindre procédure. Ses amis pourront aussi souligner que les affaires visant Nicolas Sarkozy, François Fillon, le Front national et Marine Le Pen sont souvent autrement plus graves. Qu’ils n’ont démissionné d’aucune fonction, et que deux d’entre eux sont même candidats à l’élection présidentielle.

Dans Un président ne devrait pas dire ça… (Stock, 2016), Hollande le disait lui-même :« D’abord, il n’y a aucun système, rien qui soit un mécanisme de financement politique ou électoral, ou personnel. Deuxièmement, il n’y a aucune protection qui soit apportée à qui que ce soit. Troisièmement, la justice et la presse font leur travail jusqu’au bout. Quatrièmement, quand un individu est approché par la justice, il est remercié. »Ajoutant, pour mieux se dédouaner : « Moi, président de la République, je n’ai jamais été mis en examen… Je n’ai jamais espionné un juge, je n’ai jamais rien demandé à un juge, je n’ai jamais été financé par la Libye… »

Il n’empêche : toutes ces affaires resteront comme une tache indélébile sur son quinquennat, renvoyant l’image d’une classe politique déconnectée, parfois tellement sûre de ses privilèges qu’elle en oublie de distinguer argent public et argent privé. Elles sont finalement venues rappeler une évidence : la « République exemplaire » ne se décrète pas, surtout pas depuis l’Élysée, symbole d’une Ve République carbonisée.

 

 
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22 mars 2017 3 22 /03 /mars /2017 07:17
Débat télévisé : Mélenchon a marqué des points
JULIA HAMLAOUI
MARDI, 21 MARS, 2017
HUMANITE.FR
Photo Eliot Blondet / AFP
 
Sur les cinq candidats à la présidentielle présents hier soir sur le plateau de TF1, Jean-Luc Mélenchon est jugé parmi les plus convaincants avec 20% des sondés qui le placent en tête, selon l'enquête réalisée par Elabe, derrière Emmanuel Macron 29% , 19% pour Marine Le Pen et François Fillon et 11% pour Benoît Hamon.
Comme son équipe de campagne l’avait annoncé, Jean-Luc Mélenchon s’est attaché, lors du débat organisé sur TF1 hier soir, a déroulé son programme sans toutefois se priver de quelques piques qui ont parfois provoqué l’hilarité de la salle et des quatre autres invités. A l’instar du moment où, en conclusion d’un vif échange entre Benoît Hamon et Emmanuel Macron (le premier acculant le second sur les soutiens financiers de sa campagne potentiellement défenseurs d’intérêts privés), les présentateurs rappellent la présence des autres candidats, celui de la France insoumise, soutenu par le PCF, lâche alors : « il faut bien qu’il y ait un débat au PS ».
Invité à dire quel hôte de l’Elysée il serait, en introduction du débat, c’est en « dernier président de la Ve République » que Jean-Luc Mélenchon s’est d’abord dépeint rappelant son projet de Constituante pour en finir avec « la monarchie présidentielle ». Mais il a également affirmé vouloir s’attaquer aux urgences écologique, sociale et être le « président de la paix » plaidant pour « une France insoumise » en Europe et dans le monde.
Alors qu’a parfois été souligné par les journalistes un accord avec Marine Le Pen sur certaines questions, le gouffre qui les sépare s’est particulièrement exprimé sur le thème de l’immigration. Tandis que la candidate d’extrême droite a déroulé une nouvelle fois son antienne sur l’immigration zéro, "à tout propos on agite des fantasmes et on propose toutes sortes d'épuisettes qui ont toutes des trous dedans", a rétorqué Jean-Luc Mélenchon (un argument aussi valable contre les quotas proposés par François Fillon). « Vous les jetez à la mer ? » quand ils sont là, a poursuivi le candidat assurant que « les gens ne partent pas par plaisir » et plaidant une nouvelle fois pour tarir les causes de ces « exil(s) forcé(s) ». A savoir « les traités commerciaux » qui permettent de piller les pays plus pauvres, « les guerres » et le dérèglement climatique.  "Nous devons traiter (les migrants) quand ils sont là comme nous voudrions être traités si c'était nous qui étions chez eux. Si nous étions dans leurs conditions, alors nous partirions aussi ", a-t-il défendu estimant que sa proposition est la « seule solution rationnelle ».
Sur la laïcité, Jean-Luc Mélenchon a plaidé pour « appliquer strictement la séparation des églises et de l’Etat » et pour le « respect absolu de la liberté de conscience » rappelant au passage que « 60% des Français » se déclarent « non religieux » ou athées et en ont assez qu’on leur parle sans cesse de religion. Le tout en fustigeant ceux qui se servent de la laïcité comme d’un « prétexte pour s’en prendre à une autre religion, pour être clair aux musulmans ». Et de monter au créneau face à Marine Le Pen, avec Benoît Hamon, contre une laïcité à deux vitesses qui ne s’attaque pas au concordat et, à la suite d’Emmanuel Macron, pour dénoncer la posture de la présidente du FN sur le voile. « Vous ne pouvez pas aller jusqu'à établir une police de vêtement dans la rue » et « empêcher les gens qui portent des cheveux verts » ou « ont des jupes trop courtes ou trop longues », a-t-il lancé avant de fustiger sa façon « insupportable » de créer « deux catégories de Français ».
Le candidat s’est aussi démarqué sur les affaires. Invité à s’exprimer sur la question de la sécurité, il s’en est pris, avant de dénoncer la « surenchère sécuritaire » et de défendre le retour à une « logique de gardien de la paix »,  aux 85 milliards euros qui disparaissent du fait « des tricheurs du fisc, de la corruption et des collusions » affirmant vouloir renforcer la police en charge de ces affaires-là pour que « nous récupérions nos biens ». « Quand vous dites que le débat a été pollué par les affaires de certains d'entre nous - pardon, pas moi!", a-t-il aussi déclaré à un autre moment refusant d’être mis dans le “même sac” que les deux seuls concernés, Fillon et Le Pen, et rappelant qu’il avait intégré à son programme toutes les propositions de l'association Anticor. Et d’estimer qu'il n'était "pas interdit aux électeurs, sachant ce qu'ils savent parce qu'ils en savent beaucoup, de récompenser les vertueux et de châtier ceux qui leur paraissent ne pas l'être".
Sur la question sociale, Jean-Luc Mélenchon a défendu son plan d’investissement pour la relance (fustigeant la politique de l’offre conduite par le gouvernement), la retraite à 60 ans avec 40 annuités ("il faut et il suffit que les femmes soient payées comme les hommes et, à partir de là, les cotisations sociales auxquelles ça donnerait lieu équilibreraient le régime") proposant un débat spécifique à Emmanuel Macron sur sa proposition de retraite par points, la sécurité sociale intégrale (avec un remboursement des soins à 100% et l’intégration des complémentaires), l’application des 35 heures. Il a aussi dit son désaccord « à ce stade » avec le revenu universel proposé par Benoît Hamon préférant que les actifs soient payés pour travailler ou être en formation. Il s’est également écharpé avec le candidat d’En marche ! sur l’inversion de la hiérarchie des normes (l’accord de branche ou d’entreprise qui prévaut sur la loi) qu’Emmanuel Macron propose d’appliquer pour la détermination du temps de travail. « Je ne suis pas pour un code du travail par entreprise comme je ne suis pas pour un code de la route par rue », a tancé le député européen avant de rappeler à l’ex-ministre de l’Economie qui plaidait pour le « dialogue social » que celui-ci défend plutôt un « monologue social » puisque « à la base (dans les entreprises, NDLR) il y a un rapport de forces très mauvais pour les travailleurs » prenant l’exemple des Conti, où malgré les sacrifices imposés aux salariés, la fermeture de l’usine de Clairoix a bien été décidée.
Enfin sur la question internationale, le candidat de FI a fait une proposition qu’il avait peu mise en lumière jusqu’à présent, provoquant un désaccord avec Benoît Hamon. « En Europe, la première chose à faire, c'est une conférence de sécurité de l'Atlantique à l'Oural, parce que toutes les tensions viennent du fait que, quand l'empire soviétique s'est écroulé, personne n'a négocié les frontières avec qui que ce soit”, a-t-il exposé estimant que "c'est le moment de négocier les frontières, pas la guerre, la négociation".
 
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