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9 avril 2019 2 09 /04 /avril /2019 09:40

Appel de la Ligue des Droits de l'Homme de Quimper (LDH) qui s’associe avec 18 organisations locales (associations, organisations syndicales et politiques) pour le droit à manifester.

 

Rendez-vous le samedi 13 avril  2019 pour une abrogation de la loi anti-manifestation "Tous unis pour nos libertés publiques et notre droit à manifester".

 

Si la loi est votée par le Parlement au nom du peuple français, elle ne peut et elle ne doit pas porter atteinte à la libre expression du peuple. La loi adoptée par l’Assemblée nationale qui prétend encadrer le droit de manifester reste, malgré la censure partielle du Conseil constitutionnel, une atteinte grave aux libertés publiques et à l’équilibre des pouvoirs.

 

Les violences contre les personnes, les biens, les institutions qui ont eu lieu ne peuvent justifier qu’un exécutif s’arroge des pouvoirs exorbitants. Participer à  une manifestation ne saurait signifier le risque pour chacun et chacune d’entre nous d’être poursuivi, fiché et condamné pénalement comme financièrement.

 

Soumettre les participants et les participantes à une manifestation à une fouille systématique, faire d’un visage en partie couvert un délit, persister dans l’usage d’armes qui mutilent, voici l’esprit et la lettre de mesures qui sont autant d’empêchements à l’exercice d’un droit essentiel en démocratie : celui de manifester publiquement, collectivement et pacifiquement son opinion.

 

Cette loi de circonstance porte un lourd risque d’arbitraire des gouvernements d’aujourd’hui comme de demain, nous en demandons l’abrogation. C’est pourquoi la LDH section de Quimper (et de nombreuses organisations syndicales, politique et  associatives), s'associe à l'appel national à manifester le samedi 13 avril 2019.

 

Le rendez-vous est fixé le samedi 13 avril 2019 à 10h30 à la place Terre au Duc à Quimper.

 

Le point de rassemblement de la marche est prévue à la Place Terre au Duc de Quimper (10h30) puis le circuit sera le suivant : René Madec, pont Max Jacob, place la Résistance, Boulevard Dupleix, pont de la Poste, rue de Juniville, rue du Frout, place Corentin, rue Kéréon, pont Médard, place Terre au Duc.

 

Faite circuler l'information et venez nombreux.

 

Pour les 18 organisations syndicales politiques et associatives : Libre Pensée, LDH Quimper, ATTAC Quimper, Pour Ensemble, NPA, CNT 29, SOLIDAIRES 29, FSU 29, RESISTONS, CGT Quimper, ACTES, UL CGT, AFPS, GILETS JAUNES, EELV, Comité bigouden de soutien à la ZAD, PCF.

 

LDH section de Quimper

Président, David Torondel

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9 avril 2019 2 09 /04 /avril /2019 08:00


 

Génocide des Tutsis au Rwanda
Se souvenir et exiger la vérité !


Le dimanche 07 avril 1994, il y a 25 ans, le génocide des Tutsis au Rwanda était déclenché. En trois mois, plus de 800.000 êtres humains sont assassinés lors du génocide le plus récent de l’histoire humaine. Le MRAP a participé, dès le printemps 1994, aux manifestations qui se tenaient à Paris à ce sujet.
Les victimes appartenaient majoritairement au groupe des Tutsi, environ 15 % de la population du Rwanda, dont la politique coloniale avait fait une prétendue « race ». Des milliers de Hutus opposés au régime génocidaire ont également été assassinés.
La France avait soutenu les autorités du régime planificateur du génocide, par un calcul cynique qui visait au maintien de la zone d’influence française en Afrique. Elle avait une présence militaire massive, elle était intervenue en 1990 pour sauver le régime du président Habyarimana et ses conseillers étaient restés présents auprès des forces armées rwandaises. Le génocide n’a pas été déclenché en un jour. Il était planifié depuis au moins deux ans.
Au niveau de l’État français, un négationnisme a longtemps entouré ce génocide, réfutant toute responsabilité et présentant l’assassinat du président Habyarimana comme la seule cause du génocide. Cet attentat aurait été commis par le FPR, mouvement fondé par des Tutsi, et les Hutus se seraient « vengés ». Or on sait maintenant que ce génocide avait été prémédité et planifié par les courants les plus extrémistes du « Hutu Power ». 
Un « gouvernement intérimaire rwandais », formé dans les jours suivants dans les locaux de l’ambassade de France à Kigali, envoyait en mai des représentants à Paris pour négocier des achats d’armes.
La responsabilité de certains décideurs politiques français est écrasante. Le MRAP déplore que des historiens et des spécialistes français reconnus ait été écartés de la « commission d’enquête sur les archives françaises », annoncée fin mars 2019, et qui devra enquêter sur le rôle de la France au Rwanda.
Le MRAP se félicite que des militaires français, s’estimant instrumentalisés à l’époque, commencent à s’exprimer à ce sujet, comme le général Jean Varret, qui affirme avoir averti en vain les autorités françaises des projets dont il avait été informé.
Aujourd’hui, alors qu’un nationalisme hutu dirigé contre des Tutsis crée des tensions au Burundi, voisin du Rwanda, il est temps que le monde entier connaisse la vérité et tire les leçons du crime commis il y a un quart de siècle.

 

Paris le 7 avril 2019
25 ans après - Génocide des Tutsis au Rwanda Se souvenir et exiger la vérité ! (MRAP, 7 avril 2019)
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8 avril 2019 1 08 /04 /avril /2019 11:27

La conférence de Catherine Wihtol de Wenden, la chercheuse spécialiste des migrations qui travaille avec le PCF sur la définition d'une autre politique d'accueil, à Quimperlé pour les Jeudis Rouge le jeudi 28 mars dernier. Passionnant!

"Les Migrations aujourd’hui : du mythe à la réalité"

JEUDI 28 mars 18H30
Espace Benoîte Groult
salle Isole

Le réseau « Partage des savoirs », animé notamment par les communistes du Pays de Quimperlé organise depuis le mois d’octobre 2018, chaque dernier jeudi du mois, « Le Jeudi Rouge », une rencontre débat sur un thème choisi.

Le 28 mars prochain, nous accueillerons Catherine Wihtol de Wenden, spécialiste reconnue des migrations internationales.

Directeur de recherche au CNRS, expert auprès du Haut Commissariat des
Nations Unies pour les réfugiés, elle enseigne également à l’ Institut d’Etudes Politiques.

Les questions migratoires sont au cœur de notre époque et représentent un véritable défi mondial. Nous en connaissons les principales raisons structurelles : inégalités sociales et territoriales, pauvreté, captation des richesses par une poignée d’ individus, conflits, persécutions religieuses, ethniques, politiques, sexuelles. Auxquels s’ajoutent les dérèglements climatiques ; la montée des eaux, l’appauvrissement des terres. Si le droit à la mobilité est reconnu par la déclaration des droits de l’homme, les migrations forcées ne cessent d’augmenter.

Mais qu’en est il réellement de ces migrations ? Quelle est leur ampleur ?
Menacent elles vraiment « nos » sociétés comme certains groupes poli
tiques nous le répètent à longueur d’antenne et de déclarations ?

Audelà de nos engagements et de notre solidarité avec les exilés, les réfugiés nous avons pensé indispensable de conforter la connaissance fine de ce phénomène mondial qui est, faut il le rappeler, indissociablement lié à l’histoire de l’humanité.

Catherine Wihtol de Wenden a bien voulu répondre favorablement à notre invitation et à mettre à la disposition de toutes et tous le résultat de ses travaux .

Analyses, données factuelles, objectivation sociologique, approche politique et géopolitique nous permettront d’intervenir plus efficacement dans les débats en cours et de déconstruire tout ou partie de théories souvent faites de bric et de broc.

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8 avril 2019 1 08 /04 /avril /2019 06:13
Photo Jean-Marc Nayet/ réalisation graphique Anne Caradec et Christophe Ducourant

Photo Jean-Marc Nayet/ réalisation graphique Anne Caradec et Christophe Ducourant

Dans 7 semaines, les élections Européennes.

Le PCF a une très belle liste conduite par Ian Brossat avec dans le Finistère la candidature de Glenn le Saout jeune candidat de 20 ans, vice-benjamin de la liste avec Lucie Martin, dynamique et volontariste, très engagé dans le monde asociatif sportif après avoir été président de la FIDL Bretagne, à l'image de cette ambition que nous voulons porter avec et pour la jeunesse afin de donner une nouvelle respiration à la société, passant par une remise en cause des logiques libérales capitalistes qui obèrent notre avenir, détruisent notre planète, les droits sociaux et la démocratie.

Photo Jean-Marc Nayet, réalisation graphique Anne et Chris

Nos prochains rendez-vous le 19 avril avec la venue de Marie-Pierre Vieu (députée européenne PCF) à Quimper à 19h avec Laurent Brun (CGT Cheminots), Glenn Le Saoût, et Jean-Marc Clery (FSU Bretagne).

Le 24 avril le meeting régional de Rennes avec Ian Brossat, Gilbert Garrel et l'ensemble des candidats bretons pour laquelle la fédération du Finistère va affréter un car et organiser des co-voiturages.

Nos candidatures aux Européennes sur la liste "L'Europe des gens, contre l'Europe de l'argent":

Candidatures Européennes:

1. Ian Brossat (38 ans)
Professeur de français, Maire adjoint de Paris chargé du logement et de l'hébergement d'urgence, auteur de plusieurs livres, dont le dernier sur la nouvelle économie "Airbnb, la ville ubérisée". Outre son combat pour la régulation des géants du numérique, Ian Brossat a ouvert le premier centre d'hébergement pour sans-abris dans le 16e arrondissement de Paris". C'est le petit-fils d'un scientifique israélien condamné pour espionnage pour le compte de l'URSS, le fils de militants de la LCR. Il s'est engagé dès ses 18 ans aux jeunesses communistes.

2. Marie-Hélène Bourlard
Ouvrière textile pendant 43 ans à Poix dans le Nord et figure du documentaire "Merci Patron!". Marie-Hélène Bourlard a été à la tête du combat face à Bernard Arnault, première fortune de France (57 milliards de patrimoine) afin d'éviter la délocalisation de son usine. Le 26 mai prochain, elle deviendra la première femme ouvrière à siéger au Parlement européen.

3. Patrick Le Hyaric
Directeur du journal L'Humanité, député européen sortant et conseiller municipal d'Aubervilliers.

4. Marie-Pierre Vieu
éditrice, mobilisée sur les sujets de culture et engagée dans sa ville de Tarbes, députée européenne.

5. Mamoudou Bassoum
"J'avais pris deux choses en partant: le drapeau français et mon gilet jaune". Médaillé d'or aux championnats d'Europe de Taekwendo, le 1er décembre dernier, Mamoudou Bassoum est monté sur le podium des championnats d'Europe avec son gilet jaune sur les épaules, en soutien au mouvement qu'il a rejoint dès les premières heures. Ingénieur dans le Loiret.

6. Julie Pontalba
Enseignante au collège à Saint-Leu (La Réunion), Julie Pontalba est membre du Parti Communiste réunionais (PCR). Elle a été candidate de rassemblement des forces de gauche, et militante pour la paix.

7. Anthony Gonçalves
Cancérologue et enseignant à la faculté de Médecine de Marseille. Il milite contre les fermetures d'hôpitaux de proximité. A l'échelle européenne, il plaide pour la création d'un pôle public du médicament.

8. Maryam Madjidi
Prix Goncourt du premier roman (2017) et Prix Ouest-France étonnants voyageurs (2017) pour "Marx et la poupée". D'origine iranienne, Maryam n'est pas seulement une écrivaine reconnue et nouvelle figure de la littérature française: elle est aussi bénévole dans une association d'apprentissage de la langue française pour les réfugiés.

9. Arthur Hay
Livreur (Deliveroo), Arthur Hay est à l'initiative du premier syndicat de France des coursiers à vélo. Face à l'ubérisation de la société, il milite pour la régulation à l'échelle européenne et une protection des salariés de la nouvelle économie.

10. Barbara Filhol
Aide-soignante, secrétaire générale du syndicat des EHPAD du Val-de-Marne, investie pour l'amélioration des de l'accueil de nos aînés et des conditions de travail du personnel soignant. Dans un pays comptant 14 millions de retraités, il s'agit d'un sujet de société majeur.

11. Franck Saillot
Ouvrier de la papeterie Arjowigins de Wizernes dans le Pas-de-Calais, il a occupé avec ses collègues durant 3 ans, jour et nuit, son usine pour en éviter la fermeture et la délocalisation. Grâce à leur lutte, Franck Saillot et ses collègues ont trouvé un repreneur à l'automne 2018, et sauvé une centaine d'emplois.

12. Claire Cemile Renkliçay
Co-présidente du Conseil démocratique kurde de France, militante pour la paix et élue à Grigny.

13. Michel Jallamion
Président de la Convergence nationale des services publics, conseiller régional d'Ile-de-France. Membre du mouvement République et Socialisme.

14. Sophia Hocini
Salariée de l'économie sociale et solidaire à Paris, militante associative dans les quartiers populaires.

15. Stanislas Baugé
Chauffeur routier à La Rochelle (17), Stanislas Baugé s'est mobilisé avec ses collègues devant le Parlement Européen pour défendre les conditions de travail des routiers et éviter le dumping social et le travail détaché.

16. Manuela Dona
Douanière et syndicaliste au Havre. Militante pour la création d'une Douane européenne.

17. Michel Branchi
Économiste, élu à l'Assemblée de Martinique, dirigeant du Parti communiste martiniquais, conseiller territorial de Martinique.

18. Elina Dumont
SDF pendant 15 ans, Elina Dumont est de ceux qui plaident pour le retour de l'ISF et un meilleur partage des richesses en France et en Europe. Désormais comédienne et chroniqueuse régulière aux "Grandes gueules" (RMC), elle soutient le mouvement des Gilets Jaunes.

19. Benjamin Amar
Professeur d'histoire-géographie au lycée Gutemberg de Creteil, débatteur reconnu sur les plateaux télés, responsable syndical dans le Val-de-Marne

20. Sarah Chaussy
Paysanne, conseillère municipale à Sceautres, petit village de 150 habitants en Ardèche.

21. Loïc Pen
Médecin à l'hôpital de Creil, il a démissionné de son poste de chef de service des urgences pour protester contre la fermeture de la maternité. Lanceur d'alerte.

22. Christine Mequignon
Cheminote en Auvergne-Rhônes-Alpes, représentante des salariés à la SNCF.

23. Pascal Pontac
Grutier au port de Saint-Nazaire, responsable du syndicat des ports et docks.

24. Michèle Picard
Restauratrice, maire de Vénissieux.

25. Ralph Blindauer
Avocat au barreau de Metz, il a défendu de nombreux salariés en lutte dans toute la France, comme les 300 salariés marseillais d'une chaîne de fastfood, les métallos dijonnais contre TRW, ou encore les embouteilleurs aux Pennes-Mirabeau. Il a contribué au film "En Guerre" présenté au dernier Festival de Cannes.

26. Anne Laure Perez
Artiste sculptrice, maire-adjointe à Gennevilliers.

27. Franck Merouze
Salarié de la grande distribution, il a également accompagné les salariés de la biscuiterie Jeannette dans leur combatr victorieux pour sauvegarder les emplois (Calvados)

28. Marianne Journiac
Infirmière syndicaliste à l'Assistante publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP). Dirigeante de "République et Socialisme".

29. Belaïde Dedreddine
Vice-président du Conseil départemental de Seine St Denis en charge de l'écologie urbaine.

30. Amandine Miguel
Ancienne porte-parole de l'inter-LGBT, Amandine Miguel est militante féministe engagée contre l'homophobie? Paris.

31. Nacim Bardi
Ouvrier métallurgiste à Saint-Saulve et représentant syndicaliste.

32. Cinderella Bernard (40 ans)
éducatrice spécialisée, première adjointe de sa commune, présidente du groupe communiste au Conseil Départemental des Côtes d'Armor, militante associative

33. Jean Luc Bou
Enseignant, militant Droits Humains à SOS Méditerranée en Occitanie (34).

34. Isabelle Liron
Salariée à Pôle Emploi en Bourgogne Franche Comté, syndicaliste

35. Dominique Pani
Employé dans le secteur de l'énergie (26).

36. Hulliya Turan
Assistante sociale, militante des droits humains à Strasbourg.

37. Khaled Bouchajra
Employé chez Amazon. Syndicaliste sur le site de Saran dans le Loiret

38. Katja Krüger
comédienne-chanteuse franco-allemande, ancienne syndicaliste et socialiste ouvrière allemande, élue à la Petite Enfance à Rennes

39. Pierre Lacaze
Infirmier, élu à la Métropole de Toulouse

40. Aicha Dabale
Militante féministe et altermondialiste vivant à Bagnolet (93), Aïcha Dabale est engagée sur la scène internationale dans la lutte contre les violences faites aux femmes

41. Jean Mouzat
Paysan, président du Modef (Mouvement de Défense des Exploitants Familiaux). Elu à Tulle

42. Delphine Pietu
Directrice de l'école primaire de la commune de Thénioux où elle est maire-adjointe (18)

43. Denis Lanoy
Metteur en scène de théâtre à Nîmes. militant des droits sociaux des artistes, des écrivains et intermittents du spectacle.

44. Charlotte Blandiot-Faride
Maire de Mitry-Mory (77)

45. Arnaud Petit
Ouvrier métallurgiste, maire de Woincourt dans la Somme

46. Virginie Neumayer
Technicienne, syndicaliste à EDF

47. Aurélien Gall
Représentant des salariés de l'agriculture. Conseiller prud'homal. Président de la Fédération colombophile de Picardie.

48. Patricia Tejas
Agent administratif des Finances Publiques. Secrétaire générale d'une fédération des Finances. Militante auprès des sans-papiers (67)

49. Aurélien Aramini
Professeur de philosophie au Lycée Gustave Courbet à Belfort

50. Sandrine Macigno
Travailleuse de l'Etat sur la base navale de Cuers dans le Var, syndicaliste (83)

51. Cyrille Bonnefoy
Infirmier, maire de la Ricamarie (42)

52. Emilie Lecroq
Militante de l'éducation populaire à Saint-Ouen (93).

53. Emmanuel Trigo
Enseignant et responsable syndical dans le Var (83

54. Cathy Apourceau Poly
Attachée territoriale, sénatrice du Pas-de-Calais

55. Michel Stefani
Conseiller à l'Assemblée de Corse (20)

56. Lucie Martin
Étudiante syndicaliste à Sciences-Po Grenoble.

57. Youssef Benamar
éducateur spécialisé, artiste et élu de la ville d'Allonnes (72)

58. Christelle Dumont
Aide-soignante de l'hôpital Yves Lanco à Belle-Ile-en Mer (Morbihan), syndicaliste, qui a fait une grève de la faim pour protester contre les conditions de travail dans l'hôpital public

59. Sébastien Nugou
Cheminot dans le Loiret. Secrétaire régional syndicat SNCF

60. Laëtitia Maure
Aide à domicile dans les Pyrénées-Orientales

61. David Blaise
Ouvrier métallurgiste et syndicaliste en Meurthe-et-Moselle

62. Lamya Kirouani
Fonctionnaire territoriale. Vice-présidente du Conseil Départemental du Val-de-Marne (94)

63. Aurélien Crifo (37 ans)
Auteur et interprète. Gilet Jaune (68)

64. Maryline Lucas
Maire de Guesnain (59)

65. Yves Dedevec
Salarié Airbus en Loire-Atlantique

66. Mina Idir
Responsable d'exploitation dans le transport de marchandise, secrétaire départementale PCF Vaucluse, militante associative

67. Glenn Le Saout
étudiant, ancien président de la FIDL Bretagne (syndicat lycéen), bénévole dans une association sportive

68. Geneviève de Gouveia
Militante au Secours Populaire à Montluçon, conseillère départementale de l'Allier

69. Alain Pagano
Enseignant chercheur en écologie et biologie à l'université d'Angers, conseiller municipal à Angers

70. Sandra Blaise
Formatrice, syndicaliste (88)

71. Edmond Baudouin
Dessinateur de BD et écrivain. Alpes-Maritimes

72. Ghislaine Noirault
Ouvrière retraitée à Trimouille (86)

73. Florian Monteil
Ingénieur agronome. Syndicaliste agricole du Lot-et-Garonne

74. Nathalie Fabre (45 ans)
Présidente d'un club de Rugby en Dordogne et du club Agenais. Maire de Beaumont-du-Périgord

75. Fréderic Boulanger
Psychiatre à Nancy

76. Cécile Cukierman
Professeur d'histoire-géographie, sénatrice de la Loire, porte-parole du PCF avec Ian Brossat

77. Gilbert Garrel
Cheminot syndicaliste, président de l'Institut d'Histoire Sociale

78. Odette Nilès
Grande résistante française arrêtée par les Nazis en août 1941. Fiancée de Guy Môquet. Doyenne de la liste (94 ans)à

79. André Chassaigne
Principal de collège, président du groupe communiste GDR à l'Assemblée Nationale

 

Comité de soutien finistérien à la liste aux élections européennes du PCF conduite par Ian Brossat: rejoignez le comité de soutien!

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8 avril 2019 1 08 /04 /avril /2019 06:05
Européennes - Débats pour la défense des services publics à Quimper le vendredi 19 avril à 19h aux Halles Saint-François avec Marie-Pierre Vieu, Laurent Brun, Glenn Le Saoût et Jean-Marc Cléry
 
Une belle affiche pour une réunion-débat sur les services publics avec Marie-Pierre Vieu et Laurent Brun, et d'autres intervenants (éducation, poste, santé) ainsi que Glenn Le Saout, le vice-benjamin de la liste conduite par Ian Brossat – avec Marie-Pierre Vieu et Glenn le Saout.
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8 avril 2019 1 08 /04 /avril /2019 05:42
Mémoire. Le Mont Valérien expose les graffitis des résistants (Aurélien Soucheyre, L'Humanité - mardi 2 avril 2019)
Mémoire. Le Mont Valérien expose les graffitis des résistants (Aurélien Soucheyre, L'Humanité - mardi 2 avril 2019)
Mémoire. Le Mont-Valérien expose les graffitis des résistants
Mardi, 2 Avril, 2019

Le Mémorial de la France combattante souhaite ouvrir davantage ses portes au public. Expositions temporaires et permanentes y sont programmées.

Le Mont-Valérien, à Suresnes (Hauts-de-Seine), est une belle colline qui domine Paris de toute sa masse boisée. Haut lieu de mémoire, il s’agit surtout du premier site français d’exécution de résistants et d’otages par les nazis durant la Seconde Guerre mondiale. C’est ici que Missak Manouchian et ses camarades ont été passés par les armes. Au total, 1 008 personnes ont été fusillées dans la clairière, dont Honoré d’Estienne d’Orves, Gabriel Péri, Boris Vildé, Georges Paulin, Jacques Solomon, Georges Politzer ou Joseph Epstein... Le Mémorial de la France combattante, inauguré sur place par le général de Gaulle le 18 juin 1960, reste cependant peu visité. « Nous avons la volonté que le public s’en empare. Notre ambition est d’en faire un lieu d’accueil et de pédagogie beaucoup plus ouvert », explique Antoine Grande, responsable du département mémoire à l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre (ONACVG). C’est pourquoi une nouvelle signalétique permanente a vu le jour à l’intérieur du site, ainsi qu’une toute première exposition temporaire. Visible en plein air, elle est dédiée aux auteurs des 31 graffitis encore visibles dans la chapelle.

« La plupart ont été réalisés le 2 octobre 1943. Ce jour-là, 50 résistants et otages ont été conduits ici pour être exécutés. Ils ont été enfermés dans la chapelle avant la sentence. C’est là qu’ils ont gravé leurs derniers mots avant de mourir », raconte la réalisatrice de l’exposition, Hélène Chancerel. Ces messages arrachés aux murs font ressurgir des visages et des vies détaillées grâce à l’exposition. Parmi eux, Robert Vermassen a simplement écrit son nom avant d’ajouter « fusillé le 2 octobre 1943 » puis « Vive la France ». « C’était mon oncle. On sait qu’il a fait dérailler un train puis qu’il a tué un officier nazi dans un bordel. Il a été condamné à mort, enfermé pendant un an dans des conditions épouvantables à Romainville, puis fusillé en représailles de l’attentat contre Julius Ritter réalisé par le groupe Manouchian », raconte Robert Deluard. Venu avec son petit-fils, il ajoute, ému : « Le Mont-Valérien, pour nous, c’est familial. »

Son oncle, avec son camarade Robert Bellec, tué le même jour, a également provoqué un incendie dans un local du Rassemblement national populaire, parti collaborationniste, en plus de brûler une usine de pneus utilisée par les Allemands. Avec eux, dans la chapelle, il y avait aussi Louis Melotte, otage communiste arrêté avec un pochoir « Boches assassins » sur lui. Ou encore le communiste juif Chuna Bajtsztok, le membre de l’état-major de l’Armée secrète Armand Dutreix, ou le jeune Jean Rimbert, qui peignait des croix de Lorraine en ville et participait à des actions de sabotage. « Sur les 1 008 fusillés, 60 % sont des résistants condamnés à mort par un tribunal militaire allemand. Les autres sont fusillés en tant qu’otages pour ce qu’ils sont : des juifs et des communistes. On voit bien quel était le projet répressif de la Wehrmacht : tuer les ennemis immédiats armés et tuer les ennemis idéologiques ciblés par le régime nazi », précise Antoine Grande. Et ce avec le concours des collabos, l’immense majorité des fusillés du Mont-Valérien ayant été arrêtés et livrés par des Français.

Sur la peinture bleue écaillée, un autre message : « Vive l’URSS » et, à côté, « Vice le PCF ». À quelques mètres, ce graffiti, dont l’auteur est inconnu : « Un Nord-Africain, indigène (sans ironie). J’ai reconnu en autrui une âme sœur… » En tout, 22 nationalités sont représentées parmi les victimes du Mont-Valérien. « Soit 20 % d’étrangers. Et 17 % des fusillés sont juifs. D’un point de vue partisan, 65 % sont communistes et 35 % représentent la totalité des composantes de la Résistance combattante, dont les gaullistes. Notre objectif est de faire dialoguer toutes ces mémoires, de les mettre en lumière sans les opposer, qu’il s’agisse de combattants pour la République, pour l’Internationale ou pour la France », et parfois pour les trois, détaille Antoine Grande.

Cette exposition temporaire sera d’ailleurs remplacée par une autre, en décembre, consacrée à la construction des mémoires. L’année devrait également être marquée par la découverte d’un 1 009 e fusillé, Clovis Wallon, jusqu’ici oublié et très récemment identifié grâce au travail acharné d’un passionné : Alain Simonnet. La cloche portant les noms des 1 008 exécutés depuis 2003 pourrait donc accueillir un nouveau nom. « On aimerait aussi compléter les 1 009 parcours. Faire des notices, des portraits détaillés pour chacun d’entre eux. On imagine parfois que tout est déjà rassemblé mais ce n’est pas le cas. Un grand travail de recherche est devant nous », projette Hélène Chancerel. Et un beau projet travail d’accueil. « Nous sommes passés de 18 000 visiteurs annuels à 28 000 en cinq ans, dont 65 % de scolaires. Cette transmission est très importante. Nous voulons faire davantage en mettant toujours plus les fusillés et l’histoire de la Résistance au cœur des programmes et du site sur la partie ouverte au public », apprécie Antoine Grande – la majorité du fort de forme hexagonale étant utilisée par l’armée. Il est donc possible de découvrir le Mont, pour se souvenir des 1 009, âgés de 17 à 72 ans. En ce moment, un grand soleil de printemps éclaire la colline. De quoi se dire « que la nature est belle et que le cœur me fend ».

Aurélien Soucheyre

 

A lire ces témoignages sur des résistants communistes brestois et finistériens fusillés pour une grande part au Mont Valérien:

Résistance: les derniers écrits d'un guimilien, Albert Rannou, dévoilés par Jacques Guivarc'h, de Pleyber-Christ (Le Télégramme, 3 mai 2017) - des lettres bouleversantes et une histoire de la résistance communiste de Brest à connaître à lire sur Le Chiffon Rouge

A lire aussi sur "Le Chiffon Rouge": 

Résistance et répression des communistes brestois de 1939 à 1943 (à partir des souvenirs et des enquêtes d'Eugène Kerbaul, résistant communiste)

Albert Rannou: Lettres de prison d'un résistant communiste brestois né à Guimiliau fusillé le 17 septembre 1943 au Mont-Valérien

Dernière lettre de Paul Monot, résistant brestois fusillé au Mont-Valérien le 17 septembre 1943 avec Albert Rannou et 17 autres résistants brestois dont André Berger et Henri Moreau

Dernière lettre à sa femme de Jules Lesven, dirigeant de la résistance communiste brestoise, ouvrier et syndicaliste à l'Arsenal, fusillé le 1er juin 1943,

Lettre de Joseph Ropars, résistant communiste brestois, écrite à sa mère et à sa soeur le jour de son exécution le 17 septembre 1943 au Mont-Valérien

Lettre à ses parents de la prison de Rennes du résistant communiste brestois Albert Abalain, fusillé au Mont-Valérien le 17 septembre 1943 (fonds d'archives ANACR 29)

Communistes de Bretagne (1921-1945)      

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7 avril 2019 7 07 /04 /avril /2019 19:08
Maryam Madjidi et Glenn Le Saout défendent une véritable politique d'accueil des réfugiés et exilés en France et en Europe avec la liste de Ian Brossat - retour sur la réunion publique du samedi 6 avril à Brest, à la fac Ségalen
Maryam Madjidi et Glenn Le Saout défendent une véritable politique d'accueil des réfugiés et exilés en France et en Europe avec la liste de Ian Brossat - retour sur la réunion publique du samedi 6 avril à Brest, à la fac Ségalen
Maryam Madjidi et Glenn Le Saout défendent une véritable politique d'accueil des réfugiés et exilés en France et en Europe avec la liste de Ian Brossat - retour sur la réunion publique du samedi 6 avril à Brest, à la fac Ségalen
Maryam Madjidi et Glenn Le Saout défendent une véritable politique d'accueil des réfugiés et exilés en France et en Europe avec la liste de Ian Brossat - retour sur la réunion publique du samedi 6 avril à Brest, à la fac Ségalen
Maryam Madjidi et Glenn Le Saout défendent une véritable politique d'accueil des réfugiés et exilés en France et en Europe avec la liste de Ian Brossat - retour sur la réunion publique du samedi 6 avril à Brest, à la fac Ségalen
Maryam Madjidi et Glenn Le Saout défendent une véritable politique d'accueil des réfugiés et exilés en France et en Europe avec la liste de Ian Brossat - retour sur la réunion publique du samedi 6 avril à Brest, à la fac Ségalen
Maryam Madjidi et Glenn Le Saout défendent une véritable politique d'accueil des réfugiés et exilés en France et en Europe avec la liste de Ian Brossat - retour sur la réunion publique du samedi 6 avril à Brest, à la fac Ségalen
Maryam Madjidi et Glenn Le Saout défendent une véritable politique d'accueil des réfugiés et exilés en France et en Europe avec la liste de Ian Brossat - retour sur la réunion publique du samedi 6 avril à Brest, à la fac Ségalen
Maryam Madjidi et Glenn Le Saout défendent une véritable politique d'accueil des réfugiés et exilés en France et en Europe avec la liste de Ian Brossat - retour sur la réunion publique du samedi 6 avril à Brest, à la fac Ségalen
Maryam Madjidi et Glenn Le Saout défendent une véritable politique d'accueil des réfugiés et exilés en France et en Europe avec la liste de Ian Brossat - retour sur la réunion publique du samedi 6 avril à Brest, à la fac Ségalen
Brest, fac Ségalen, samedi 6 avril - Réunion-débat sur l'enjeu des élections Européennes et celui de l'accueil des exilés en Europe.

Brest, fac Ségalen, samedi 6 avril - Réunion-débat sur l'enjeu des élections Européennes et celui de l'accueil des exilés en Europe avec Maryam Madjidi et Glenn le Saout, candidats du PCF sur la liste de Ian Brossat. Avec Maryam Madjidi, militante pour le droit d'asile et enseignante avec des mineurs étrangers non accompagnés fuyant la guerre et la misère, nous avons disséqué les traductions et les conséquences de la politique inhumaine de l'Europe et de la France en termes de refus d'accueil des réfugiés et exilés, se traduisant par:

- une externalisation de la politique de refoulement des réfugiés, dans des conditions de violation des droits de l'homme souvent, à la Libye, au Maroc, à la Turquie
- le chacun pour soi en Europe incarnés par les odieux réglements Dublin
- des exilés déshumanisés, considérés comme des objets encombrants que l'on se refile d'un pays à l'autre
- la remise en cause du droit à l'asile politique, à l'aide médicale
- des temps d'obtention d'un permis de séjour très longs, énormement de réfugiés, d'exilés qui n'ont pas le droit de travail
- la délégation aux associations de l'aide à la survie des migrants en détresse, l'Etat laissant y compris de jeunes enfants à la rue
- plus de 2000 morts en Méditerranée en 2018, 18 000 depuis quelques années.
- la détresse et la précarité d'énormément de migrants et de jeunes et d'enfants parmi eux
- l'élimination du droit aux études en France pour les étudiants étrangers qui ne sont pas riches
- le manque de moyens et de volonté politique pour l'hébergement, l'accès aux soins, à l'aide psychologique, à la scolarisation, à l'apprentissage, à la langue française
- le tri et la concurrence entre les bons et les mauvais migrants, ceux qui peuvent avoir des droits et ceux qu'on doit plonger dans la précarité la plus absolue ou renvoyer, même quand les pays sont peu sûrs.
- les discours de Collomb sur prétendu tourisme social, bench marking des migrants
- une montée des idées et des pratiques xénophobes, y compris dans un cadre très institutionnelles
- une volonté d'opposer les pauvres entre eux pour les besoins du capital.
- une traite des femmes et des hommes par les passeurs

Nous avons avancé des contre-propositions du PCF, issues de notre Manifeste pour une France fraternelle dans une Europe solidaire, en matière d'ouverture de voies légales et sécurisées pour l'immigration, de droit à l'apprentissage du français et à la scolarisation, de suppression des tests osseux, pratique dégradante et douteuse aux fondements racistes, de création de 50 000 places d'hébergement d'urgence pour les réfugiés, de requisition des logements vides.

Le débat a été très intéressant avec notamment des interventions d'Ismaël Dupont, de Françoise Guéguen (l'accompagnement des étrangers à Pôle Emploi), de Yvonne Rainero, Claude Bellec, conseillère déléguée au logement à Brest, qui ont remis en cause l'attitude de la préfecture et de l'Etat, d'Erwan Rivoalan.

Ces 2 rendez-vous en réunions publiques de Maryam Madjidi à Brest et Morlaix corrrespondait à son début de campagne Européennes après le meeting de Marseille et le salon du livre sous l'égide de l'Humanité à Romorantin. Nous avons découvert avec elle une personne et une intellectuelle et artiste engagée extraordinaire que nous sommes très fiers de compter sur la liste du PCF conduite par Ian Brossat, une liste dont nous avons exprimé la diversité et la richesse avec des jeunes comme Glenn Le Saoût, Lucie Martin, des employés et ouvriers auteurs de combats extraordinaires, des hommes et femmes de culture, des médecins et personnels médicaux, des Gilets Jaunes, etc.

Auparavant dans l'après-midi nous avons visité avec l'écrivaine Maryam Madjidi et candidate du PCF aux Européennes sur la liste de Ian Brossat l'extraordinaire médiathèque des Capucins dans l'ancien arsenal de Brest , Jacqueline Héré, présidente du groupe communiste à la mairie de Brest, maire de quartier de Bellevue, Réza Salami adjoint à la culture PS, maire de quartier du centre-ville, réfugié politique iranien lui aussi, opposant iranien marxiste au début des années 80 comme les parents de Maryam Madjidi, Mitra, championne d'Asie et vice-championne du monde d'échecs, Glenn Le Saoût candidat finistérien aux Européennes sur la liste du PCF, Jean-Paul Cam, secrétaire de section de Brest, Erwan Rivoalan, bibliothécaire, militant communiste et CGT, et Annaëlle, la responsable de la médiation et de l'espace vie sociale-citoyenneté de la médiathèque qui nous a fait une très belle visite guidée de cet endroit porteur d'une conception de la culture ouverte et intégrant la dimension sociale.

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7 avril 2019 7 07 /04 /avril /2019 19:05
Vendredi 5 avril Morlaix - Intervention de Maryam Madjidi, photo Jean-Luc Le Calvez

Vendredi 5 avril Morlaix - Intervention de Maryam Madjidi, photo Jean-Luc Le Calvez

Vendredi 5 avril Morlaix - Intervention de Maryam Madjidi, photo Jean-Luc Le Calvez

Vendredi 5 avril Morlaix - Intervention de Maryam Madjidi, photo Jean-Luc Le Calvez

Vendredi 5 avril Morlaix - Intervention de Maryam Madjidi, photo Jean-Luc Le Calvez

Vendredi 5 avril Morlaix - Intervention de Maryam Madjidi, photo Jean-Luc Le Calvez

Vendredi 5 avril Morlaix - Intervention de Maryam Madjidi, photo Jean-Luc Le Calvez

Vendredi 5 avril Morlaix - Intervention de Maryam Madjidi, photo Jean-Luc Le Calvez

Vendredi 5 avril Morlaix - Intervention de Maryam Madjidi, photo Jean-Luc Le Calvez

Vendredi 5 avril Morlaix - Intervention de Maryam Madjidi, photo Jean-Luc Le Calvez

Vendredi 5 avril Morlaix - Intervention de Maryam Madjidi, photo Jean-Luc Le Calvez

Vendredi 5 avril Morlaix - Intervention de Maryam Madjidi, photo Jean-Luc Le Calvez

Vendredi 5 avril Morlaix - Intervention de Maryam Madjidi, photo Ismaël Dupont

Vendredi 5 avril Morlaix - Intervention de Maryam Madjidi, photo Ismaël Dupont

Vendredi 5 avril Morlaix - Intervention de Maryam Madjidi, photo Ismaël Dupont

Vendredi 5 avril Morlaix - Intervention de Maryam Madjidi, photo Ismaël Dupont

Vendredi 5 avril Morlaix - Intervention de Maryam Madjidi, photo Ismaël Dupont

Vendredi 5 avril Morlaix - Intervention de Maryam Madjidi, photo Ismaël Dupont

Vendredi 5 avril Morlaix - Intervention de Maryam Madjidi, photo Ismaël Dupont

Vendredi 5 avril Morlaix - Intervention de Maryam Madjidi, photo Ismaël Dupont

L'écrivaine et sociologue Anne Guillou présente pour la conférence débat avec Maryam Madjidi

L'écrivaine et sociologue Anne Guillou présente pour la conférence débat avec Maryam Madjidi

Avec les camarades: Maryam Madjidi découvre les joies du Ti Coz et de la bière de Concarneau avec Glenn Le Saoût, candidat aux Européennes, Patrick Béguivin, Roger Héré et Ismaël Dupont. Prochain rendez avec Tri Martolod au stand du Finistère de la fête de l'Humanité!!! Le rendez-vous est déjà pris.

Avec les camarades: Maryam Madjidi découvre les joies du Ti Coz et de la bière de Concarneau avec Glenn Le Saoût, candidat aux Européennes, Patrick Béguivin, Roger Héré et Ismaël Dupont. Prochain rendez avec Tri Martolod au stand du Finistère de la fête de l'Humanité!!! Le rendez-vous est déjà pris.

L'écrivaine et candidate de la liste PCF conduite par Ian Brossat en huitième position Maryam Madjidi au local du PCF Morlaix, hier, vendredi 5 avril. Un très grand moment de partage politique et littéraire devant 56 personnes autour de l'accueil des exilés, de l'Iran, du communisme et des valeurs qu'il porte. Maryam a parlé du communisme dans sa vie, de l'engagement clandestin de ses parents en Iran, de leur condition de réfugiés politiques, de l'incarcération de ses oncles et de leur "révolution volée", de son travail social avec les réfugiés. Un discours plein de sagesse, d'humanité, de révolte et d'humour aussi, et des lectures de chapitres de "Marx et la poupée" qui ont fait vibrer tous les participants de cet exceptionnel vendredi de l'éducation populaire. La suite du programme de Maryam Madjidi dans le Finistère:
 
aujourd'hui, samedi 6 avril, à Dialogues Morlaix, 11h : échanges, lectures et dédicace autour de "Marx et la poupée" (tous les livres présents au local - 30 - sont partis hier).
 
puis, Maryam Madjidi à la Petite Librairie de Brest rue Danton près de la place Guérin à 14h pour une nouvelle rencontre
 
A 18h30, réunion publique Européennes avec Glenn Le Saoût et Maryam Madjidi avec un thème central sur l'accueil des exilés en Europe. A la Fac Ségalen à Brest
 
On vous attend nombreux pour tous ces rendez-vous!!!
 
Photos Jean-Luc Le Calvez et Ismaël Dupont
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7 avril 2019 7 07 /04 /avril /2019 19:00
photo Pierre-Yvon Boisnard - l'écrivaine Maryam Madjidi à Dialogues Morlaix, 6 avril 2019

photo Pierre-Yvon Boisnard - l'écrivaine Maryam Madjidi à Dialogues Morlaix, 6 avril 2019

photo Pierre-Yvon Boisnard - l'écrivaine Maryam Madjidi à Dialogues Morlaix, 6 avril 2019

photo Pierre-Yvon Boisnard - l'écrivaine Maryam Madjidi à Dialogues Morlaix, 6 avril 2019

photo Pierre-Yvon Boisnard - l'écrivaine Maryam Madjidi à Dialogues Morlaix, 6 avril 2019

photo Pierre-Yvon Boisnard - l'écrivaine Maryam Madjidi à Dialogues Morlaix, 6 avril 2019

photo Pierre-Yvon Boisnard - l'écrivaine Maryam Madjidi à Dialogues Morlaix, 6 avril 2019

photo Pierre-Yvon Boisnard - l'écrivaine Maryam Madjidi à Dialogues Morlaix, 6 avril 2019

photo Pierre-Yvon Boisnard - l'écrivaine Maryam Madjidi à Dialogues Morlaix, 6 avril 2019

photo Pierre-Yvon Boisnard - l'écrivaine Maryam Madjidi à Dialogues Morlaix, 6 avril 2019

photo Pierre-Yvon Boisnard - l'écrivaine Maryam Madjidi à Dialogues Morlaix, 6 avril 2019

photo Pierre-Yvon Boisnard - l'écrivaine Maryam Madjidi à Dialogues Morlaix, 6 avril 2019

photo Pierre-Yvon Boisnard - l'écrivaine Maryam Madjidi à Dialogues Morlaix, 6 avril 2019

photo Pierre-Yvon Boisnard - l'écrivaine Maryam Madjidi à Dialogues Morlaix, 6 avril 2019

photo Ismaël Dupont - Maryam Madjidi et Géraldine Delaunay à Dialogues Morlaix, 6 avril 2019

photo Ismaël Dupont - Maryam Madjidi et Géraldine Delaunay à Dialogues Morlaix, 6 avril 2019

photo Ismaël Dupont - Maryam Madjidi et Géraldine Delaunay à Dialogues Morlaix, 6 avril 2019

photo Ismaël Dupont - Maryam Madjidi et Géraldine Delaunay à Dialogues Morlaix, 6 avril 2019

photo Ismaël Dupont - Maryam Madjidi et Géraldine Delaunay à Dialogues Morlaix, 6 avril 2019

photo Ismaël Dupont - Maryam Madjidi et Géraldine Delaunay à Dialogues Morlaix, 6 avril 2019

photo Ismaël Dupont - Maryam Madjidi et Géraldine Delaunay à Dialogues Morlaix, 6 avril 2019

photo Ismaël Dupont - Maryam Madjidi et Géraldine Delaunay à Dialogues Morlaix, 6 avril 2019

Rencontre passionnante avec Maryam Madjidi, auteur de "Marx et la poupée", à Dialogues Morlaix, animée par Géraldine Delaunay et les questions et interrogations des lecteurs. Quelques photos de Pierre-Yvon Boisnard de cet échange qui a réuni une trentaine de lecteurs. Les discussions ont roulé sur la part autobiographique et fictionnelle de son roman, sa composition stylistique diverse, les circonstances de son écriture (commencée à Pékin, où Maryam a vécu quatre ans, terminée à Istanbul où elle a vécu deux ans). Ce livre fort, original, poétique et politique, émouvant et juste, a reçu le prix Goncourt du Premier roman en 2017, le prix Ouest-France Étonnants Voyageurs, le prix de l'écrivain francophone 2018. Nous avons aussi échangé sur la littérature persane et française, leur dimension d'universalité, sur l'Iran de la révolution islamique et d'aujourd'hui, le combat des femmes pour la liberté, le parallèle possible ou non entre l'arrachement à une culture et une langue bretonne et l'exil, point de non retour et déplacement forcé, le rapport entre l'attachement à la petite patrie et l'ouverture au monde, les pièges croisés de l'assignation à l'assimilation (oublies ta culture d'origine, elle ne vaut rien, seul le Français est la culture de l'universel) comme du communautarisme et des clichés exotiques de l'orientalisme. Maryam a aussi lu un chapitre très drôle de son livre où elle montre comment plus jeune elle a, elle aussi, joué des clichés coloniaux de l'orientalisme qu'il y avait dans la tête des autres, des fantasmes que pouvaient avoir sur une femme "orientale" les hommes.

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7 avril 2019 7 07 /04 /avril /2019 18:19
50 personnes à La Petite Librairie à Brest pour une rencontre autour de Marx et la poupée et de son auteur, Maryam Madjidi
50 personnes à La Petite Librairie à Brest pour une rencontre autour de Marx et la poupée et de son auteur, Maryam Madjidi
50 personnes à La Petite Librairie à Brest pour une rencontre autour de Marx et la poupée et de son auteur, Maryam Madjidi
50 personnes à La Petite Librairie à Brest pour une rencontre autour de Marx et la poupée et de son auteur, Maryam Madjidi
50 personnes à La Petite Librairie à Brest pour une rencontre autour de Marx et la poupée et de son auteur, Maryam Madjidi
50 personnes à La Petite Librairie à Brest pour une rencontre autour de Marx et la poupée et de son auteur, Maryam Madjidi
50 personnes à La Petite Librairie à Brest pour une rencontre autour de Marx et la poupée et de son auteur, Maryam Madjidi

Beaucoup de monde, et de l'enthousiasme à La Petite Librairie à Brest, hier, samedi 6 avril, une librairie indépendante rue Danton dans le quartier St Martin pour écouter Maryam Madjidi parler de son magnifique roman "Marx et la poupée", de son communisme et de sa vision de l'actualité et de la justesse du marxisme, des raisons et des circonstances de son engagement sur la liste du PCF conduite par Ian Brossat, du travail de Ian et des élus communistes à la ville de Paris, de l'engagement politique clandestin et dangereux de ses parents en Iran, de sa mère, du rapport à l'Iran, de l'exil et de la condition des exilés, du refus des approches simplistes de l'intégration, de son travail de travailleuse sociale à la Croix Rouge pour enseigner aux jeunes mineurs non accompagnés le français, de ses ateliers d'écriture avec les jeunes des quartiers populaires de région parisienne. La cinquantaine de personnes présentes à la Petite Librairie, et Maryam Madjidi elle-même, ont énormément apprécié cette rencontre. De magnifiques lectures de chapitres du livre ont émaillé ces instants magiques.

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