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19 août 2017 6 19 /08 /août /2017 08:09
Sébastien Jumel était l'invité de RTL le 17 août: il est revenu sur la suppression des Contrats Aidés pour des motifs d'économie et ses conséquences

Sébastien Jumel était l'invité de RTL le 17 août: il est revenu sur la suppression des Contrats Aidés pour des motifs d'économie et ses conséquences

http://www.rtl.fr/actu/politique/emplois-aides-c-est-une-double-peine-pour-la-vie-associative-estime-sebastien-jumel-7789739771

"Beaucoup de salariés seront pénalisés, souvent les plus précaires et les plus fragiles." Sébastien Jumel, député communiste de Seine-Maritime, fustige la décision du gouvernement de mettre fin aux emplois aidés. Ces contrats en partie financés par l'Étatpour favoriser l'insertion professionnelle des personnes les plus exclues du marché du travail, sont jugés par la ministre du Travail Muriel Pénicaud comme "coûteux" et "pas efficaces" dans la lutte contre le chômage.

Sébastien Jumel s'inquiète pour les associations, qui bénéficient le plus de ces emplois aidés. "Nombre d’associations ne savent pas comment appréhender la rentrée", explique-t-il au micro de RTL. Il prend l'exemple de La Réunion où les maires des 24 communes ont manifesté contre ce projet la semaine dernière et où la rentrée va "être décalée".

"Il est un fait que pour la vie associative et les publics les plus fragilisés et les plus loin de l'emploi ces emplois aidés étaient un véritable tremplin", résume-t-il.

"Une double-peine pour la vie associative"

Pour le député communiste, la fin des emplois aidés vient s'ajouter à la baisse de la dotation des collectivités territoriales destinée à économiser 13 milliards d'euros sur 5 ans. Une mesure annoncée par le gouvernement au début du mois d'août. "Je pronostique la mort des communes à la faveur de ce mauvais projet", avance-t-il, s'indignant de cette "double-peine pour la vie associative", dont la baisse des subventions est attendue. 

"J'ajoute que la droite en majorité dans les régions vient de remettre en cause les emplois tremplins", continue Sébastien Jumel. En Île-de-France, ces contrats également destinés à encourager l'insertion professionnelle ont vu leur budget réduit de 5 millions à 500.000 euros. 

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19 août 2017 6 19 /08 /août /2017 07:07
Lettre ouverte au Président de la République. Revenez sur l’annulation des crédits « politique de la ville » du budget 2017 de l’État
VENDREDI, 11 AOÛT, 2017
L'HUMANITÉ
L'annonce de l'annulation soudaine et immédiate des 46,5 millions d'euros de crédit dédiés à la politique de la ville fait réagir nombre d'élus locaux. (Photo AFP)

Cinquante maires sont les premiers signataires d'une lettre ouverte adressée à Emmanuel Macron dans les pages de l'Humanité. 

Monsieur le président de la République,

Élus communaux et intercommunaux, nous sommes stupéfaits et atterrés par l’annonce de l’annulation des 46,5 millions d’euros de crédits du programme 147 du budget 2017 de l’État non encore engagés au 1er juillet, destinés aux programmes d’actions des associations intervenant, dans le cadre des « contrats de ville », en faveur des populations les plus fragiles du pays résidant dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV).

Ces actions concourent à rétablir l’égalité républicaine par la fraternité solidaire de la nation, s’appuyant sur une stratégie de « cohésion des territoires » à laquelle vous avez choisi de dédier un ministère. Elles se déclinent en programmes vers l’économie et l’emploi, la formation, la lutte contre l’illettrisme, l’éducation scolaire et des temps libres, l’accès aux sports et à la culture, la solidarité, la prévention sanitaire et la santé, le vivre-ensemble dans la cité, les mobilités, la vie sociale de l’habitat, la prévention de la délinquance et des radicalisations, l’accès à la justice et au droit, l’aide aux victimes, la citoyenneté, notamment celle des conseils citoyens, et la démocratie de proximité.

En plein milieu d’exercice budgétaire, les conséquences du décret 2017-1182 du 20 juillet du ministre de l’Action et des Comptes publics, conduisant à la perte de 11 % des crédits découlant de l’engagement contractuel de l’État, peuvent être catastrophiques pour la survie des associations qui garantissent la cohésion sociale, pour les bénéficiaires de leurs actions, et plus globalement pour les 5 millions d’habitants des QPV, ainsi que, par voie de conséquence, pour les populations des territoires urbains qui les abritent.

Elles risquent en outre d’entraîner, dans certains territoires, un désengagement de collectivités cosignataires des « contrats de ville » qui accroîtra le danger de rupture grave du climat urbain.

Nous sommes d’autant plus préoccupés que, outre le programme 147, le même décret annule dangereusement les crédits de nombre d’autres missions de l’État indispensables à la prévention de la fracture sociale : l’embauche dans les petites et moyennes entreprises (– 80 millions d’euros), l’intégration et l’accès à la nationalité française (– 40,5 millions d’euros), la police nationale, dont les réservistes volontaires (– 110 millions d’euros), les concours financiers aux communes, dont la « dotation politique de la ville » destinée à soutenir les villes pauvres abritant des populations pauvres (– 209 millions d’euros), l’amélioration de l’habitat (– 130,5 millions d’euros), l’accès au droit et à la justice (– 10 millions), la protection judiciaire de la jeunesse (– 16,8 millions d’euros), l’égalité entre les femmes et les hommes (– 7,5 millions d’euros), la prévention, la sécurité sanitaire et l’offre de soins (– 24,5 millions d’euros), les politiques sanitaires, sociales, du sport, de la jeunesse et de la vie associative (– 69,7 millions d’euros), les services de transport (– 194,7 millions d’euros), la démocratisation de la culture (– 39 millions d’euros).

En cette année 2017, où l’État a chargé le commissariat général à l’Égalité des territoires (CGET) de célébrer le 40e anniversaire de la politique de la ville, nous tenons à vous rappeler que, la seule année, 2005, en quatre décennies où les quartiers populaires ont eu à subir pareil désengagement de la puissance publique, a été celle qui les a vus s’enflammer et connaître les violences urbaines sans précédent qui demeurent dans les mémoires.

Nous vous demandons donc solennellement de faire revenir dans l’urgence le gouvernement sur sa décision d’annulation de ces crédits indispensables à l’équilibre républicain des territoires.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur le président de la République, l’expression de notre haute considération.

Les signataires :

Gérard Allard, maire de Rezé, Marie-Hélène Aimable, maire de Bagneux, Catherine Arenou, maire de Chanteloup-les-Vignes, François Asensi, maire de Tremblay-en-France, Françoise Baud, maire de Valenton, Patrice Bessac, maire de Montreuil, Jean-Pierre Bosino, sénateur maire de Montataire, Philippe Bouyssou, maire d’Ivry-sur-Seine, Patrick Braouezec, conseiller municipal de Saint-Denis, Damien Carême, maire de Grande-Synthe, Alain Cazabonne, maire de Talence, Gérard Cosme, maire du Pré-Saint-Gervais, Meriem Derkaoui, maire d’Aubervilliers, Patrick Douet, maire de Bonneuil-sur-Marne, Driss Ettazaoui, conseiller municipal d’Évreux, Patricia Fernandez-Pédinielli, maire de Port-de-Bouc,Michel Fourcade, maire de Pierrefitte-sur-Seine, Patrick Jarry, maire de Nanterre, Jean-Claude Kennedy, maire de Vitry-sur-Seine, Bertrand Kern,maire de Pantin, André Laignel, maire d’Issoudun, Patrice Leclerc, maire de Gennevilliers, Gilles Leproust, maire d’Allonnes, Jean-Michel Longueval, maire de Bron, Françoise Marhuenda, maire des Ulis, J ean-Louis Marsac, maire de Villiers-le-Bel, Christian Métairie, maire d’Arcueil, André Molino, maire de Septèmes-les-Vallons, Jean-Marc Nicolle, maire du Kremlin-Bicêtre, Michèle Picard, maire de Vénissieux, Marie-Line Pichery, maire de Savigny-le-Temple, Gilles Poux, maire de La Courneuve, Bernard Pasciuto, maire de Cournon-d’Auvergne, François Pupponi, député maire de Sarcelles , Marjolaine Rauze, maire de Morsang-sur-Orge, Philippe Rio, maire de Grigny, Clément Rossignol-Puech, maire de Bègles, Christophe Rouillon, maire de Coulaines, Laurent Russier, maire de Saint-Denis, Nicolas Sansu, maire de Vierzon, Renzo Sulli, maire d’Échirolles, Azzédine Taïbi, maire de Stains , Rodolphe Thomas, maire d’Hérouville-Saint-Clair, Frédéric Vigouroux, maire de Miramas, Jean-Claude Villemain, maire de Creil, Marc Vuillemot, maire de La Seyne-sur-Mer, Gérard Weyn, maire de Villers-Saint-Paul.

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19 août 2017 6 19 /08 /août /2017 06:55
Le 19 août 1936: assassinat du poète andalou Federico Garcia Lorca par les franquistes
Le 19 août 1936: assassinat du poète andalou Federico Garcia Lorca par les franquistes

"Dans ce monde, moi je suis et serais toujours du coté des pauvres. Je serai toujours du côté de ceux qui n'ont rien et à qui on refuse jusqu'à la tranquillité de ce rien." (Federico Garcia Lorca)


 

Assassinat de Federico Garcia Lorca le 19 août 1936.


Un article de Pierre Clément publié le 19 août 2016 sur la page Facebook « Histoire Populaire » de Pascal Bavencove

La mort du poète espagnol Federico Garcia Lorca le 19 août 1936, durant la guerre civile (1936-1939), a toujours été un objet de fantasmes et de controverses en Espagne. Jamais le régime franquiste n’a reconnu avoir assassiné l’auteur de Noces de sang et de La Maison de Bernarda Alba. Pressé de s’expliquer sur une affaire qui l’a embarrassé durant ses quarante ans à la tête de l’Espagne, le dictateur Francisco Franco (1936-1975) assurait que « l’écrivain mourut mêlé aux révoltés ». Et d’ajouter « ce sont les accidents naturels de la guerre ».
Ce déni n’a pas empêché les historiens de publier de nombreux essais sur les conditions probables, les raisons possibles et le lieu approximatif de la mort du poète. Mais malgré les recherches des historiens et archéologues, le corps est resté introuvable et le mystère jamais entièrement résolu.
C’est sans doute pour ces raisons que la publication, le 23 avril 2015 par le site d’information Eldiario.es et la radio Cadena SER, d’un rapport de police inédit, datant de 1965, a mis l’Espagne en ébullition. Ce document, élaboré après une requête de l’écrivaine française Marcelle Auclair – auteure du livre
Enfances et mort de Garcia Lorca (Seuil, 1968) – avait été maintenu secret par le régime franquiste. Trop sensible. Il vient confirmer les thèses des principaux historiens qui ont travaillé sur Lorca : son assassinat était bien un crime politique, et non un hasard de la guerre.
Traqué par les phalangistes
Deux pages à peine résument l’affaire. Il y est écrit que le poète était « socialiste », « franc-maçon » et « connu pour ses pratiques d’homosexualité [sic], une aberration qui devint connue de tous ». S’ensuit le récit de son arrestation et de son exécution : « surpris » par les phalangistes à Grenade, le poète « prit peur et se réfugia dans la demeure de ses amis les frères Rosales Camacho, d’anciens phalangistes ». Ces derniers tentèrent, en vain, d’intercéder en sa faveur.
Arrêté et emmené dans une caserne, il fut ensuite conduit à « Viznar, près de Grenade, à proximité d’un endroit connu comme Fuente Grande [la Grande Fontaine], avec un autre détenu, et fusillé après avoir été confessé ». Qu’a confessé Lorca ? Qu’il était socialiste, franc-maçon ou homosexuel ? Ou les trois ? Le rapport de police ne le précise pas. En revanche, il donne des indications sur le lieu où il fut enterré, « à fleur de terre, dans un fossé situé à environ deux kilomètres à droite de cette Fuente Grande, dans un endroit très difficile à localiser ». Le gouvernement andalou assure que les recherches pour retrouver le corps de Garcia Lorca vont reprendre, dans l’espoir d’élucider définitivement l’un des crimes les plus commentés de la guerre civile.
Il est aujourd'hui établi que la milice franquiste est responsable de sa disparition dans la nuit du 16 au 17 août 1936. Un ancien militaire, Antonio Benavides, a d'ailleurs revendiqué lui avoir mis deux balles dans la tête. En réalité, il semble bien que ce soit un peloton d'exécution qui ait exécuté Federico García Lorca.
C'est pour identifier ses membres que la magistrate, Maria Servini, vient de décider de relancer les investigations. La nouvelle a été confirmée par l'ONG, l'Asociación para la Recuperación de la Memoria Histórica (ARMH), sur les réseaux sociaux. Cette association qui collecte les traces des victimes du régime de Franco est pour beaucoup dans la réactivation de l'enquête entourant ce que les Anglo-saxons appellent un "cold case". C'est en effet cette ONG qui a demandé en avril à la magistrate de s'emparer de l'affaire. Cette dernière a accepté.
"L'affaire a été incorporée à une enquête en cours par la juge Maria Servini pour crimes contre l'humanité", a indiqué l'association ARMH. Cette juge enquêtait, de fait, sur des crimes commis pendant la période franquiste, englobant à la fois des faits de torture et des exécutions sommaires.
Parviendra-t-elle à faire toute la lumière sur cette affaire ? Entre 2006 et 2008, un autre magistrat, Baltásar Garzón, avait tenté de rouvrir une enquête sur les crimes du régime. Mais il avait dû abandonner en raison de la loi d'amnistie adoptée en 1977. Garzón avait d'ailleurs été poursuivi en justice par deux associations pro-Franco qui lui reprochaient d'enfreindre cette loi, censée couvrir d'un voile ces années noires au cours desquelles 500 000 personnes ont trouvé la mort.

 

Le 19 août 1936: assassinat du poète andalou Federico Garcia Lorca par les franquistes

Depuis le décès du tyran en 1975, Federico Garcia Lorca est à nouveau à l’honneur dans son pays. Et sa mort continue à faire un bruit du tonnerre comme l’avait prophétisé Aragon dans son poème Un Jour, un Jour (in Le Fou d’Elsa) :
 

Tout ce que l'homme fut de grand et de sublime
Sa protestation ses chants et ses héros,
Au dessus de ce corps et contre ses bourreaux
A Grenade aujourd'hui surgit devant le crime

Et cette bouche absente et Lorca qui s'est tu
Emplissant tout à coup l'univers de silence
Contre les violents tourne la violence
Dieu le fracas que fait un poète qu'on tue (…)

 

Garcia Lorca est né le 5 juin 1898 à Fuente Vaqueros, dans le domaine de son père, propriétaire terrien. Il vit sa prime enfance en liberté parmi les bergers, les peupliers qui bordent les rivières Cubillas et Genil, les grands champs inondés de soleil. Sa grand-mère et ses tantes l’initient aux fables et légendes qui peuplent l’imaginaire du peuple andalou mais aussi à la poésie de Victor Hugo. Cette expérience première irriguera toute son oeuvre. Loin de se complaire dans une description des paysages, il saisit leur essence, évoque la sage folie des légendes et met au jour la nature en son surréalisme. Le temps n’a plus de limite. Il n’est donc plus le temps. Il est un état d’être permanent, l’état de poésie, comme le disait le poète genevois Georges Haldas, grand admirateur de l’écrivain andalou.

En voici un témoignage avec le poème Baile (Bal) tiré de l’un des plus célèbres ouvrages de Federico Garcia Lorca, Romancero Gitano (d’abord en espanol, puis en français avec la traduction de Josiane de Carlo).
 

La Carmen está bailando
por las calles de Sevilla.
Tiene blancos los cabellos
y brillantes las pupilas.

¡Niñas,corred las cortinas!

En su cabeza se enrosca
una serpiente amarilla,
y va soñando en el baile
con galanes de otros días.

¡Niñas, corred las cortinas!
 
Las calles están desiertas
y en los fondos se adivinan,
corazones andaluces
buscando viejas espinas.

¡Niñas,_corred las cortinas!

Elle danse, la Carmen,
Dans les rues de Séville.
Blancs elle a les cheveux,
Brillantes les pupilles.

Fillettes, tirez les rideaux!

Sur sa tête s’enroule
Un serpent jaune,
Et elle va, rêvant au bal,
Avec des galants d’autres temps.

Fillettes, tirez les rideaux !
Les rues sont désertes,
Et tout au fond on devine
Quelques cœurs andalous
Cherchant de vieilles épines.

Fillettes, tirez les rideaux !

Quels seront les cœurs andalous qui trouveront les ossements du poète? Peu importe répond son ombre:
Rien n’est plus vivant qu’un souvenir.
 

Jean-Noël Cuénod (article d'un blog Médiapart: Un plouc chez les bobos: Il y a 80 ans Garcia Lorca était fusillé) 

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19 août 2017 6 19 /08 /août /2017 06:29
Kamel Daoud pointe les pétrodollars des monarchies du Golfe et leurs instruments d'aliénation idéologique à l'origine de l'obscurantisme djihadiste

"Daesh a une mère : l’invasion de l’Irak. Mais il a aussi un père : l’Arabie saoudite et son industrie idéologique. Si l’intervention occidentale a donné des raisons aux désespérés dans le monde arabe, le royaume saoudien leur a donné croyances et convictions. Si on ne comprend pas cela, on perd la guerre même si on gagne des batailles. On tuera des djihadistes mais ils renaîtront dans de prochaines générations, et nourris des mêmes livres."
 

Kamel Daoud

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18 août 2017 5 18 /08 /août /2017 12:41
Vente solidaire de fruits et légumes du Parti Communiste et du Modef le 17 août: compte rendue de la délégation reçue à Matignon

Vente solidaire du 17 août: compte rendu de la délégation reçue à Matignon

 

En cette journée de vente solidaire en Ile-De-France de fruits et légumes, près de 50 000 tonnes de produits ont été écoulés. Plus d'un milliers de militants communistes réparis sur plus de 90 points de vente se sont mobilisés pour accueillir et distribubuer ces produits fournis par le MODEF (1). C'est dans ce cadre qu'en matinée, une délégation (2) du PCF et Jean Mouzat ( président du MODEF) ont été reçus à Matignon.

Cette délégation a présenté à l'intention du 1er ministre ses propositions avec le vœu que celles-ci trouvent des issues favorables avec les états généraux de l'alimentation qui se déroulent actuellement. Certaines priorités du PCF ont évoqués à cette occasion : l'adoption d'une loi sur l'encadrement des marges et pratiques de la grande distribution ainsi que l'instauration d'un moratoire financier et fiscal en direction des exploitations agricoles confrontés aux crises économique, sanitaires et climaiques. Il est devient urgent d'affirmer une parole publique de la France sur une politique agricole et alimentaire qui ait pour objectif la souveraineté alimentaire et la transition écologique

Les communistes ont fait part de leurs expertises à l'exemple des halles alimentaires de Paris qui est le fruits des actions des élu-e-s parisiens pour relocaliser et garantir une alimentation de qualité. Il est à noter, qu'un rendez-vous a été pris pour consulter ensemble des collectivités locales et des expériences citoyennes engagées pour une alimentation saine et accessible à tous.

 

(1) : Mouvement de Défense des Exploitants Familiaux

(2) : Le porte-parole du PCF (Olivier Dartigolles) - le président des élus communistes de Paris (Nicolas Bonnet) - le responsable national PCF en chage de l'Agricuture, de la Pêche et de la Forêt l’agriculture au PCF (Xavier Compain)

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18 août 2017 5 18 /08 /août /2017 08:35
Vendredi 18 août: Fête du Travailleur de la Mer à Loctudy en présence de Xavier Compain
Vendredi 18 août: Fête du Travailleur de la Mer à Loctudy en présence de Xavier Compain

Venez nombreux à cette dernière des chaleureuses fêtes du Pays Bigouden de la saison 2017!

On y discute fraternellement, on y mange, on y boit bien, et pas cher, on vit sur le port avec de la bonne musique, on retrouve le goût des fêtes populaires avec plusieurs centaines de personnes, souvent presque un millier.    

Le discours politique lors de la fête sera assuré par XAVIER COMPAIN, membre de la direction nationale du PCF, responsable de la commission agriculture-pêche-forêt, animateur du pôle agriculture alimentation au sein du Parti de la Gauche Européenne, et porte-parole du PCF Bretagne. 

La fédération du Parti Communiste du Finistère tiendra un stand politique avec de la documentation et des vignettes de la fête de l'Humanité à vendre.  

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18 août 2017 5 18 /08 /août /2017 08:34
L'horreur à Barcelone ce jeudi 17 août

Solidarité avec Barcelone et les barcelonais.

Nous avons le coeur lourd et oppressé en supportant ces nouvelles images d'horreur et en pensant à ces nouvelles victimes du terrorisme djihadiste islamiste.  

Mais la vie, la fête, le soleil, la fraternité seront toujours plus forts que ces assassins au petit pied!  

Le porte-parole de la coalition écolo-communiste Izquierda Unida Alberto Garzon, a, lui aussi, appelé à ne pas céder à la peur, aux amalgames et aux instrumentalisations politiques : « Un des meilleurs exemples face à la barbarie terroriste, le peuple espagnol l’a donné en 2004. Nous sommes un peuple qui ne cédera pas devant la haine ».

Attentat de Barcelone. Le bilan s'alourdit à treize morts et cinquante blessés
JEUDI, 17 AOÛT, 2017
HUMANITE

Treize personnes ont été tuées et plus de 50 blessées quand une camionnette a foncé dans la foule à Barcelone, deuxième ville d'Espagne, a annoncé le responsable de l'Intérieur du gouvernement régional catalan.

Une source policière a indiqué qu'un suspect s'était retranché dans un bar de la ville et deux personnes au moins étaient recherchées, un peu plus d'une heure après que le véhicule a foncé dans la foule sur les Ramblas. Cette attaque à l'aide d'une voiture ou d'un camion comme arme de terreur renvoie à un mode opératoire déjà utilisé lors d'attentats imputés ou revendiqués par le groupe Etat islamique à Nice, Berlin ou Londres.
Les Ramblas, promenade piétonne en son centre, est l'avenue la plus célèbre de Barcelone et attire de très nombreux touristes espagnols et étrangers. Au moins treize personnes ont été tuées et une cinquantaine d'autres blessées lorsque le conducteur a foncé dans la foule, selon une source des services de secours de Barcelone, qui a requis l'anonymat. La zone a immédiatement été fermée par un cordon de sécurité et cinq ambulances et une vingtaine de véhicules de police se trouvaient sur place, a constaté le correspondant de l'AFP.
Des agents repoussaient la foule au delà de la grande place de Catalunya, en criant "attaque terroriste". "Tout à coup, j'ai entendu un bruit de collision et toute la rue s'est mise à courir en criant", a raconté un témoin, Amer Anwar, à la chaîne de télévision Sky News. "Il y a eu comme une mini-bousculade", a renchéri Ethan Spibey, un vacancier, sur la même chaîne.
Des blessés ont été emmenés sur des civières vers un grand magasin de la chaîne Corte Ingles, apparemment pour recevoir les premiers soins, a indiqué le correspondant de l'AFP sur place. Des policiers demandaient aux commerçants à proximité de la collision de laisser entrer les passants et de baisser les rideaux derrière eux. Les stations de metro et de chemin de fer ont été fermées, ont annoncé sur Twitter les services des urgences de la ville.
L'Espagne, troisième destination touristique au monde, a été pour l'heure épargnée par les attentats du groupe Etat islamique ayant touché d'autres capitales européennes, telles Londres, Paris, Bruxelles, Berlin.
Mais c'est à Madrid qu'avaient eu lieu les attentats islamistes les plus meurtriers jamais commis en Europe: le 11 mars 2004, des bombes avaient explosé dans des trains, faisant 191 morts.
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18 août 2017 5 18 /08 /août /2017 08:09
Donald Trump et son Klan - par Patrick Apel-Muller (L'Humanité)
Éditorial. Donald Trump et son Klan
PAR PATRICK APEL-MULLER
JEUDI, 17 AOÛT, 2017
L'HUMANITÉ

Éditorial par Patrick Apel-Muller. Elle subsistait dans les crimes de la police contre les jeunes Noirs, les discriminations sociales, dans la persistance d’une idéologie sudiste.

Elle subsistait dans les crimes de la police contre les jeunes Noirs, les discriminations sociales, dans la persistance d’une idéologie sudiste. L’Amérique des nostalgiques de l’esclavage vient d’émerger spectaculairement dans le sillage de Donald Trump. Elle s’est retrouvée derrière le milliardaire – fils d’un sympathisant du KKK – qui voulait protéger la population blanche de l’irruption des immigrés par l’érection d’un mur immense, et s’est mobilisée pour le porter au pouvoir. Le président leur est fidèle quand il voit des « gens bien » parmi la foule haineuse de néonazis et de membres du Ku Klux Klan qui voulaient défendre la statue du commandant en chef des confédérés, le général Lee. Hier, la ville de Baltimore a annoncé qu’elle supprimait deux statues de ces sudistes esclavagistes. Mais il restera 1 498 monuments en leur honneur aux États-Unis ! Cette histoire n’est pas purgée. Le « roman national » évite toujours de rappeler que cinq des sept figures majeures de l’indépendance, à commencer par George Washington, possédaient des esclaves et que la Constitution y intégra ensuite l’ordre social et politique esclavagiste. La plaie originelle suppure encore, rappellent les militants des droits civiques, qui se heurtent au fantasme, là-bas aussi, d’un grand remplacement.

Theresa May, la très conservatrice première ministre britannique, a pris ses distances avec les sorties de Donald Trump. Les ex présidents Bush également. Pas Emmanuel Macron, qui semble plus préoccupé par l’objectif d’un paparazzo que par la légitimation du racisme par la Maison-Blanche et les risques que le président américain fait courir à la paix du monde. Silence radio à Marseille, où le premier des marcheurs en reste à ses jeux de main (jeux de…) avec un ami, reçu en grande pompe le 14 juillet à Paris.

« Aux États-Unis, il ne suffit pas de ne pas être raciste. Il faut être antiraciste », déclare Angela Davis. En France aussi.

directeur de la rédaction
Heather Heyer, militante antifasciste, assassinée par un terroriste d'extrême-droite à Charlottesville, elle avait 32 ans.

Heather Heyer, militante antifasciste, assassinée par un terroriste d'extrême-droite à Charlottesville, elle avait 32 ans.

Lu aussi, sur la page Facebook, Histoire Populaire

La famille TRUMP et le KKK ...

En 1927, le père de Trump a été arrêté lors d’une manifestation du KKK
Un certain Fred Trump a été arrêté le 30 mai 1927 pendant une émeute provoquée par le Ku Klux Klan dans le Queens. Ce que Donald Trump nie.
Si Donald Trump affirmait sur CNN qu’il ne connaissait rien au Ku Klux Klan, l’organisation suprémaciste blanche américaine — dont l’ancien leader a appelé à voter pour lui —, son père devait sans doute être mieux renseigné sur le sujet.
Selon un article du New York Times publié en 1927, repéré par The Washington Post et le site d’information Boing Boing, Fred Trump, le père du candidat à l’élection présidentielle américaine, a été arrêté pendant une émeute provoquée par le Ku Klux Klan et un groupe de sympathisants fascistes le jour du Memorial Day, en 1927.
Selon un flyer, le Ku Klux Klan manisfestait parce que les «Américains de souche protestants» étaient «agressés par la police catholique de New York». L’organisation suprémaciste blanche ne faisait bien évidemment pas référence aux tribus autochtones avec le terme «Américains de souche» mais absurdement aux descendants protestants des colons européens.
Le 30 mai de cette année-là, des bagarres éclatent à New York. Dans le Queens, où 1.000 membres du Ku Klux Klan défilent vêtus de leurs robes à capuche blanches sur les rues du quartier jamaïcain, sept hommes sont arrêtés pendant une rixe. Fred Trump fait partie du lot. Représentés tous les sept par les mêmes avocats, Fred Trump sera finalement relaxé.
«C’est ridicule, il n’a jamais été arrêté !»
Pour le Washington Post, aucun doute ne plane sur l’identité du père de Donald Trump. Si le frère du candidat s’appelle lui aussi Fred, tout comme leur grand-père, qui porte le nom de Frederick Trump, le premier est né une dizaine d’années après l’événement et le dernier est mort plusieurs années avant. Autre indice: l’adresse de l’appartement du jeune Fred Trump de 21 ans, communiquée par le New York Times; elle correspond bien à l’adresse où résidait le père de Donald Trump à l’époque, selon The Washington Post.
Pourtant, Donald Trump affirmait en septembre 2015 au Daily Mail, peu de temps après la publication de l’article de Boing Boing, que son père «n’avait jamais été arrêté»:
«C’est ridicule, il n’a jamais été arrêté. Il n’a rien à voir avec ça. Ça n’est jamais arrivé. C’est absurde et ça n’est jamais arrivé. Ça n’est jamais arrivé, ça n’a jamais eu lieu. Il n’a jamais été arrêté, jamais été condamné, jamais été poursuivi. C’est une histoire complètement fausse et ridicule. Il n’a jamais été là! Ça n’est jamais arrivé, ça n’a jamais eu lieu. Si ça avait été le cas, il n’aurait jamais obtenu d’autorisations de construire pour son entreprise. C’est juste bizarre et faux. Vous ne savez même pas s’il s’agit de la même personne! Personne n’a dit que c’était le cas!»
Selon une mise à jour du Washington Post, un article du Daily Star publié à l’époque de la manifestation soulignait que Fred Trump avait été arrêté «pour avoir refusé de quitter les lieux alors qu’on lui ordonnait de le faire».
Toutefois, le rôle qu’a joué Fred Trump dans l’émeute reste flou. «Même s’il a eu les mêmes avocats que les autres hommes arrêtés, il a peut-être été un spectateur innocent de l’émeute, faussement désigné», tempère Boing Boing.
(merci à luc chalon pour ce post)
© Slate, Repéré par Emeline Amétis — 01.03.2016 sur Washington Post, Boing Boing, New York Times

Donald Trump et son Klan - par Patrick Apel-Muller (L'Humanité)
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18 août 2017 5 18 /08 /août /2017 07:47
17 août 1944: le commandant FFI du grand Paris, Rol-Tanguy, parle aux Parisiens...
17 août 1944: le commandant FFI du grand Paris, Rol-Tanguy, parle aux Parisiens...

Le 17 août 1944 
Le Commandant du Grand Paris F F I . Extrait de l'ordre du jour .
Adresse aux FRANÇAIS.....................,

Des milliers d'hommes, courageux rejoignent chaque jour les Forces Française de l'Intérieur .ils conquièrent sur l'ennemi les armes qui leur avaient été refusées.
Imitez leur exemple. Organisez vous dans les FFI immédiatement.
Groupez vous par maison, par quartier, assolez les Boches pour arranger leurs armes ; libérez le Grand Paris , berceau de la france .
Vengez vos fils et vos frères martyrisés 
Vengez les héros tombent pour l'indépendance et la liberté de la Patrie .
Hâtez , par votre action , la fin de la guerre .
Ayer pour mot d'ordre : CHACUN SON BOCHE !
Pas de quartier aux assassinats. En avant pour que : VIVE LA FRANCE ! 
Le Commandant du Grand Paris FFI 
le 17 août 1944 ,
ROL .

(lu sur la page Facebook Histoire Populaire - mis en ligne par Jean-Pierre Raynaud)

Lire aussi:

"25 août 1944. Le métallo (Rol-Tanguy) et les généraux" par Roger Martelli

 

La bataille du rail, cheville ouvrière de la libération
Libération de Paris
MARION D’ALLARD
MARDI, 19 AOÛT, 2014
L'HUMANITÉ

Résistance En agissant par la grève 
à partir du 10 août 1944, les cheminots de la région parisienne posent la première pierre de l’insurrection populaire, qui 
mènera Paris à sa propre délivrance.

«Pas un train pour Hitler. Refusez de chauffer les locomotives. ­Refusez de rouler pour les boches. Graissez les wagons au sable. Incendiez les trains de matériels. » Au mi-temps de cet été 1944, le 10 août, la grève insurrectionnelle déclenchée par les cheminots de la région parisienne sous l’impulsion de la CGT illégale sera le prologue d’une série de grèves ouvrières qui participeront largement, en grippant la machine de guerre allemande, à la libération de Paris. Voilà deux mois que les Alliés ont débarqué en Normandie et dessinent, ville après ville, village après village, la carte de la France libre. Paris, lui, vit toujours sous la botte nazie. Depuis le début de ­l’Occupation, les ­cheminots, en coordonnant mobilisations ­revendicatives, résistance armée et actes de sabotage, ont pris plain-pied dans la Résistance et s’inscrivent massivement dans les grandes manifestations de ce 1er mai 1944. Le 14 juillet, les ateliers SNCF de Vitry débrayent et, dans la ­foulée, le mouvement de grève gagne les dépôts de Villeneuve-Saint-Georges, de la Chapelle, des Batignolles, de Noisy-le-Sec et de Montrouge. Les hommes du rail paieront un lourd tribut. Neuf mille cheminots perdent la vie pendant l’Occupation et 16 000 sont blessés. Le 6 août, le comité central de grève pose sur la table de la direction de la SNCF un cahier de revendications parmi lesquelles figurent en premier lieu la libération des cheminots emprisonnés, mais également des revendications salariales en réponse au gouvernement Daladier qui, dès mars 1938, a pris une série de décrets portant la semaine de travail de 40 à 45 heures, licenciant 40 000 cheminots, réduisant les jours de congé et fermant d’autorité 10 000 kilomètres de voies.

Le mouvement s’étend 
aux postiers, aux métallos…

Les cheminots apposent à leur cahier revendicatif un ultimatum. Le 10 août au matin, l’ultimatum a expiré. En chaîne, 25 dépôts SNCF de la région parisienne se mettent progressivement en grève. Le 13 août, la circulation des métropolitains s’interrompt. Trois mille traminots rejoignent les cheminots. Le 15 août, alors que l’armée française de libération et les Alliés débarquent en Provence, le réseau parisien, premier nœud ferroviaire du pays, est entièrement paralysé. Le mouvement s’est étendu aux postiers, aux métallos, aux ouvriers du bâtiment, aux commerçants des Halles. « Les arrêts de travail dans les usines se sont généralisés et, devant la tentative de les désarmer, de très nombreux agents de police de Paris ont quitté les commissariats et sont passés du côté de la Résistance », écrit l’Humanité clandestine dans son édition du 16 août 1944. La CGT appelle à la grève générale et à l’insurrection pour le 18. L’Union des syndicats ouvriers CGT de la région parisienne diffuse des tracts titrés « Vive la grève insurrectionnelle » sur lesquels on peut lire : « L’insurrection est déclenchée. Paris et sa banlieue ouvrière se battent contre les boches (…), l’ultime combat est engagé. » Le syndicat incite à l’occupation des usines, des chantiers, des bureaux. Le lendemain, les barricades fleurissent dans les rues de Paris. C’est l’insurrection populaire, celle qui aboutira à la reddition de l’occupant le 25.

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18 août 2017 5 18 /08 /août /2017 07:33

La Butte Rouge, journal de cellule PCF du Plateau Nord-Est (la Madeleine-Kerfraval-La Boissière- Vierge Noire) à Morlaix: avril 1987

C'était l'époque où les sections du PCF avaient encore des cellules bien vivantes et une capacité, grâce au nombre de militants et à leur motivation, mais aussi aux moyens financiers des sections, de sortir des bulletins quartiers par quartiers pour réagir et proposer au plus proche des préoccupations quotidiennes des gens.

La section PCF de Morlaix et sa cellule des quartiers du Plateau Nord-Est, animée entre autres par Jean-Luc et Annie Le Calvez, sortaient ainsi le premier numéro du Journal de quartier communiste "La Butte Rouge" en avril 1987 où il est question des revendications des boulistes, d'une alerte au rat à Troudousten, d'une pétition d'habitants contre le bruit du groupe électrogène du Supermarché de La Boissière, des caddies du supermarché qui se baladent dans le quartier et de la nécessité de consigner les caddies pour éviter ces désagréments avec une pièce de 10 francs comme d'autres supermarchés, de la défense de la Sécu et des remboursements médicaux, avec les propositions de financement des communistes, et de la défense de la 3ème classe de maternelle de l'école Emile Zola de la Vierge Noire, depuis disparue, par l'adjoint communiste aux Affaires Scolaires Alain David et des parents d'élèves qui se sont déplacés avec lui à l'inspection académique. Du local au global, le propre d'un Parti qui se veut populaire et proche des gens.

Dans ce numéro 3 de la Butte Rouge, daté de décembre 1987, même mélange de discours politique national (la campagne présidentielle de André Lajoinie, la résistance sociale aux politiques pro-patronales de la droite et du PS par la grande manifestation du 29 septembre, l'injustice des réformes fiscales) et local (la Poste à la Boissière, les voies d'accès de Ty-Dour au collège, à Pors-ar-Bayec, les transports en commun), avec un appel à la participation citoyenne: 

"Ce journal est aussi le vôtre. Ecrivez-nous, faites nous part de ce qui ne va pas dans votre quartier, dans votre rue. N'oubliez pas qu'un problème popularisé est à moitié résolu". 

   

 

Il y a 30 ans....avant le "Chiffon Rouge": "la Butte Rouge", journal de cellule morlaisien du PCF, se félicitait de l'ouverture du bureau de poste de La Boissière, de la création de l'escalier entre Ty-Dour et le collège, et défendait une politique de défense de l'emploi, contre la finance et avec la candidature Lajoinie
Il y a 30 ans....avant le "Chiffon Rouge": "la Butte Rouge", journal de cellule morlaisien du PCF, se félicitait de l'ouverture du bureau de poste de La Boissière, de la création de l'escalier entre Ty-Dour et le collège, et défendait une politique de défense de l'emploi, contre la finance et avec la candidature Lajoinie
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  • : Favoriser l'expression des idées de transformation sociale du parti communiste. Entretenir la mémoire des débats et des luttes de la gauche sociale. Communiquer avec les habitants de la région de Morlaix.
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