Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
5 juillet 2017 3 05 /07 /juillet /2017 05:43
De gauche à droite, les trois porte-parole des députés communistes: Sébastien Jumel, Pierre Dharréville et Elsa Faucillon.

De gauche à droite, les trois porte-parole des députés communistes: Sébastien Jumel, Pierre Dharréville et Elsa Faucillon.

Vote de confiance: les députés communistes ont voté contre.

AFP | mardi 4 juillet 2017

Les députés communistes ne voteront pas la confiance au gouvernement d'Edouard Philippe, a annoncé mardi Sébastien Jumel, à quelques heures du discours de politique générale du Premier ministre à l'Assemblée.
"Soyez convaincus que le groupe des députés communistes va voter contre la confiance du gouvernement", a assuré le député de Seine-Maritime, à l'Assemblée nationale. 
Pour justifier cette décision, l'élu du groupe de la Gauche démocrate et républicaine (GDR) a invoqué entre autres les récentes déclarations polémiques d'Emmanuel Macron: "un président de la République qui nous dit +la vie c'est comme un hall de gare et il y a ceux qui réussissent et ceux qui ne sont rien+, confond être et avoir", a-t-il dénoncé.
"Il est dans l'humiliation de classe, un peu celle qui avait eu lieu avec les sans-dents ou les illettrés de chez Gad. Et ça, ça nous remue le ventre, et ça remue les tripes de nos territoires respectifs", a-t-il encore ajouté.
Autre grief des députés communistes, tant sur la forme que sur le fond, le projet de loi de réforme du code du Travail par ordonnances : "Lorsque l'on profite de l'été pour passer par ordonnance un texte de cette nature, alors qu'il y a deux mois encore le Premier ministre Edouard Philippe -que je connais bien parce qu'il vient de ma région- indiquait qu'il n'était pas un adepte des ordonnances, (...) et que le débat parlementaire devait se dérouler, il y a des contradictions qu'il faudra assumer", a encore prévenu M. Jumel.
"C'est même pas un chèque en blanc qu'on nous demande, on nous demande la carte de crédit avec le code, et ça, ça ne passera pas", a fustigé le député des Bouches-du-Rhône Pierre Dharréville, dénonçant un texte "qui va étendre le champ dans lequel on va pouvoir s'arranger et dans lequel les employeurs vont pouvoir dicter leurs conditions aux salariés".
Le groupe GDR est constitué de 12 députés communistes et de leurs quatre alliés ultramarins non PCF, que les députés métropolitains devaient encore rencontrer lors d'une réunion de groupe mardi midi.

 

Partager cet article
Repost0
5 juillet 2017 3 05 /07 /juillet /2017 05:24

Communiqué du groupe CRC au Sénat

Un coup de force rampant contre les institutions républicaines

mardi 4 juillet 2017[]

Emmanuel Macron a produit un discours de près d’1h30 au Congrès du Parlement, privilégiant les effets de style à la présentation concrète de son projet qui demeure flou.

Ses mots les plus précis, il les a consacrés aux institutions. La révolution conservatrice est déjà bien affutée sur ce point. La victime pressentie, c’est le Parlement, avec la réduction du nombre de parlementaires, le vote de la plupart des lois en commission et donc, la réduction à sa portion congrue de la séance publique, pourtant essentielle pour le pluralisme et la transparence. Le travail législatif des assemblées sera minoré au profit d’un hypothétique pouvoir de contrôle.

L’élaboration de la loi, son vote, constituent pourtant l’essence même du Parlement. Lui retirer pour tout ou partie ce pouvoir, c’est l’annihiler, le réduire au rôle de faire-valoir d’un exécutif cornaqué par un Président devenu hyperprésident. Une part de proportionnelle pour un Parlement diminué confine à de l’hypocrisie.

Nulle trace dans ce discours de réponse aux interrogations, aux colères du peuple qui n’ont pas rejeté les politiques passées pour cause d’excès de pouvoir du Parlement, mais pour la dégradation continue de leurs conditions de vie.

Le droit au logement, le droit à l’emploi, le droit aux soins par exemple, ne sont pas dans le champ de vision du Président Macron qui, visiblement, n’avait que le Parlement - sans doute un frein à son appétit de pouvoir - en ligne de mire.

Tel Ponce Pilate, il a laissé l’annonce des mesures d’austérité et la confirmation de la casse du droit du travail à son Premier Ministre, Edouard Philippe, qui, avec le Ministre de l’Economie Bruno Lemaire, se félicite d’avoir à œuvrer sans garde-fou pour les intérêts du Medef.

Le discours de Versailles est un discours crépusculaire quant à l’avenir démocratique de notre pays.

Nous ne sommes pas allés l’écouter à Versailles car nous ne voulions en aucun cas cautionner ce coup de force rampant contre les institutions républicaines.

Éliane Assassi, présidente du groupe Communiste, républicain et citoyen (CRC), a demandé au Président du Sénat

Éliane Assassi, présidente du groupe Communiste, républicain et citoyen (CRC), a demandé au Président du Sénat

Partager cet article
Repost0
5 juillet 2017 3 05 /07 /juillet /2017 05:21
Appel collectif. Pour un Code du Travail protecteur des salarié.e.s, non à la loi travail XXL !
LUNDI, 3 JUILLET, 2017
HUMANITE.FR

 lance cet appel à empêcher la loi travail d’Emmanuel Macron et à abroger la loi El Khomri. Il organise un grand meeting unitaire le samedi 9 septembre, place de la République, à Paris. 

Fraîchement élus, E. Macron et sa majorité entendent casser encore plus le Code du travail. 
 
Ils s’inscrivent dans les objectifs poursuivis au titre des lois Macron, Rebsamen et El Khomri, et aggravent le démantèlement du droit du travail au détriment des salarié-es, particulièrement des jeunes et des plus précaires, qui sont majoritairement des femmes.
 
Comment parler de démocratie quand un simulacre de négociation syndicale à huis clos est organisé et que les organisations syndicales ne sont pas écoutées alors qu’elles portent des propositions et des revendications alternatives ? 
 
Comment parler de démocratie quand les ordonnances, ce procédé autoritaire, réduisent l'Assemblée Nationale à n’être qu’une chambre d’enregistrement ? 
 
Quelle démocratie quand tout se déroule principalement l’été, pour éviter tout débat avec le monde du travail, et plus largement avec les citoyen-n-es qui ne manqueront pas de s’exprimer et de se mobiliser ?   
 
Sous prétexte de favoriser l'emploi, alors que les politiques de flexibilité sont un échec et appauvrissent les salarié-es, E. Macron entend organiser un passage en force pour des contre-réformes promues de très longue date par le Medef.
 
Le projet de loi d'habilitation, qui cadre les ordonnances, le signifie très clairement. Se préparent un grave rabotage des droits des salarié-es et la quasi toute-puissance des employeurs, avec :
  • la définition de l’ensemble de la réglementation du travail, y compris les salaires et les règles de sécurité, au niveau de l’entreprise, même si l’accord de branche ou le contrat de travail ont prévu des dispositions plus favorables. Alors que nous militons pour une hiérarchie des normes, ils veulent imposer un code du travail par entreprise !
     
  • le levier du référendum d’entreprise à l’initiative des patrons et au détriment de la démocratie sociale, pour soumettre toujours plus les salarié-e-s aux exigences patronales, 
     
  • le plafonnement et la barémisation imposés des indemnités prud’homales suite à un licenciement abusif,
     
  • des conditions des licenciements économiques facilitées,
     
  • l'assouplissement du recours aux contrats précaires, notamment un CDI « de projet » qui de facto fait du CDD la norme,
     
  • la révision du compte pénibilité,
     
  • une fusion des instances représentatives des salarié.e.s, qui va diminuer encore leurs prérogatives, supprimer de facto la spécificité des CHSCT, et amorce la remise en cause des délégués syndicaux dans l’entreprise,
 
Cette casse lourde du code du travail change notre modèle social et détruit presque toutes les conquêtes des luttes sociales d’hier, longues et douloureuses. Elle renforce une contre-révolution libérale-autoritaire, au service des plus fortunés...et aux dépens d'une majorité de la population qui se paupérise !
 
Cette casse du Code du travail n’est qu’une partie du projet de société Macron !
 
Outre la banalisation de l'état d'urgence qui permettra de museler le mouvement social, c'est aussi la continuité de l'austérité, les attaques contre les Services publics, les fonctions publiques de l’Etat, hospitalière et territoriale, la remise en cause du statut général des fonctionnaires et de leurs statuts, de la Sécurité sociale et plus généralement de la protection sociale et des retraites, qui sont programmés. Les projets du gouvernement prévoient également un soi-disant élargissement des droits au chômage -aux non-salariés /es et aux démissionnaires - qui s’accompagne de la fin de l’assurance chômage remplacée par un système de solidarité d’Etat financé par une hausse d’impôt (la CSG) qui touchera avant tout les classes moyennes et les salarié/es.
 
Des alternatives existent à la casse du Code du travail, des services publics, de la sécurité sociale et plus largement des protections sociales. Des alternatives existent au manque de démocratie et à l'état d'urgence permanent. 
 
Nous demandons l’abrogation de la loi El Khomri et de tous les textes régressifs qui l’ont précédée. Nous refusons cette loi de casse XXL du code du travail. Nous défendons un droit du travail avec davantage de droits pour tous et toutes les salarié-es, leurs représentant-es, les Comités d’entreprise (CE), les Comités d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT). Nous voulons des médecins du travail non soumis au patronat, et davantage d’inspecteurs-trices du travail avec une garantie d’indépendance. Nous voulons un droit du travail plus accessible, plus effectif, avec un accès au juge facilité, des sanctions réelles et rapides des violations aux règles qu’il prévoit. Nous portons ces alternatives et d'autres, pour une société plus juste, plus égalitaire, plus écologique, qui respecte l'égalité femmes-hommes. Nous exigeons une réforme du service public de l’emploi qui maintienne le régime assurantiel, permette la représentation des chômeurs, et chômeuses, réintroduise le droit du chômage dans le code du travail.
L’heure est aujourd’hui à la mobilisation la plus large !
 
Nous, militant-es associatifs, syndicalistes, politiques, intellectuel-le.s, salarié.e.s de toutes catégories avec ou sans-emploi, jeunes, retraité.e.s, appelons à construire la mobilisation pour faire échec à ces projets et construire une alternative au service du progrès social. 
 
Le collectif « Pour nos droits sociaux »
Pour un code du Travail protecteur des salarié.e.s , Non à la loi travail XXL! - Signez l'appel du collectif "Pour nos droits sociaux" paru dans l'Humanité le 3 juillet
Partager cet article
Repost0
5 juillet 2017 3 05 /07 /juillet /2017 05:00

André Chassaigne contre la réduction du nombre de parlementaires, "une mesure démagogique et populiste"

AFP | mardi 4 juillet 2017

André Chassaigne, président du groupe communiste à l'Assemblée, s'est prononcé mardi contre la réduction du nombre de parlementaires préconisée par Emmanuel Macron, "une mesure démagogique et populiste" qui va "éloigner l'élu de la population".

"C'est une proposition que je qualifierais de populiste", a jugé M. Chassaigne sur RMC.

"C'est vrai que ça peut flatter l'opinion publique" mais "on a besoin de députés qui fassent à la fois leur travail à l'Assemblée nationale, c'est-à-dire qu'ils fabriquent la loi", mais aussi "qu'ils soient sur le terrain, qu'ils rencontrent les populations", a poursuivi le député du Puy-de-Dôme.

"Actuellement un député représente environ 130.000 habitants". "En dehors de mon travail législatif, je vais au plus près des citoyens. Il s'agit, en limitant le nombre (de parlementaires) d'éloigner l'élu de la population. De faire en sorte que l'élu soit encore plus détaché des réalités du terrain", a expliqué M. Chassaigne.

"Je voterai contre. Je trouve que c'est une mesure démagogique et populiste", a insisté M. Chassaigne qui est en revanche favorable à l'instauration d'une dose de proportionnelle à l'Assemblée également souhaitée par le chef de l'Etat.

Emmanuel Macron a confirmé lundi sa volonté de réduire "d'un tiers" le nombre de parlementaires (actuellement 577 députés et 348 sénateurs).

La proposition divise, en revanche, Les Républicains. "Je suis pour, à la condition que cela puisse donner un certain nombre de moyens aux parlementaires", a déclaré sur France Inter le sénateur (LR) Bruno Retailleau, proche de François Fillon qui proposait également de réduire le nombre de parlementaires pendant la campagne présidentielle.

Le député du Pas-de-Calais Daniel Fasquelle est plus réservé. "Je pense surtout qu'il faut supprimer le Conseil économique, social et environnemental, qui ne sert à rien, si on veut vraiment faire des économies. Attention à la diminution du nombre de députés", a-t-il déclaré sur France 2.

"On a aujourd'hui des députés qui sont présents sur le terrain, en particulier dans les territoires ruraux". "Demain, si on diminue le nombre de députés avec une dose de proportionnelle, on aura des circonscriptions tellement immenses que les députés auront beaucoup de télédiffusés à être présents sur le terrain. Or, les Français réclament aussi de la proximité avec leurs élus. Donc attention aux fausses bonnes idées".

André Chassaigne contre la réduction du nombre de parlementaires, "une mesure démagogique et populiste"
Partager cet article
Repost0
4 juillet 2017 2 04 /07 /juillet /2017 06:42

Energie : 10 ans d'ouverture à la concurrence des marchés pour les particuliers, personne n'y comprend rien!


Ce 1er juillet, l'ouverture à la concurrence des marchés pour les 32 millions de clients particuliers célèbre ses dix ans. Un triste anniversaire, avec de graves conséquences sociales sur l’emploi et les conditions de travail, qui n’a, dans les faits, permis que des hausses des prix de l’énergie fragilisant ainsi les plus modestes. Aujourd’hui, on compte 12 millions de citoyens en situation de précarité énergétique, un chiffre en forte hausse.
Le modèle énergétique dessiné ne s’inscrit plus dans la logique d’une production qui s’adapte et répond aux besoins au risque de créer des situations catastrophiques de pénurie. Cette course effrénée à la concurrence entre les énergéticiens ne remet-elle pas à plus tard l’effort nécessaire pour sortir des énergies fossiles et réaliser la transition énergétique ?
En réalité, cette déréglementation du secteur énergétique à l’oeuvre depuis plus de vingt ans par l’Europe libérale n’a été que gâchis financiers, complexification et désoptimisation. Et ce dans le but d’en finir avec un système intégré de la production jusqu’à la commercialisation en passant par les réseaux de transport et de distribution, système qui jusque là a fait ses preuves.
Cela s’est traduit par une mise à mal du Service Public.
Aujourd’hui encore, les fanatiques du tout marché revendiquent encore la suppression de la dernière barrière de protection des usagers : la fin des tarifs réglementés. Partout en Europe où les tarifs réglementés ont été supprimés, les gens ont vu leur facture s’envoler.
Les filières énergétiques françaises doivent faire l'objet d'un plan de développement industriel
ambitieux bien loin de la logique financière qui prévaut aujourd’hui. L'heure est la donc à la
reconstruction d’un véritable service public de l’énergie sur lequel le gouvernement français doit s’engager.
Le Parti Communiste prône la maîtrise publique du secteur de l’énergie par la création d’un pôle public qui permettrait de coordonner et fédérer toutes les entreprises du secteur pour la mise en oeuvre d’une politique énergétique visant le progrès social et répondant aux grands défis écologiques posés en ce début de 3ème millénaire.

Parti communiste français
vendredi 30 juin 2017

Energie: 10 d'ouverture à la concurrence des marchés pour les particuliers, personne n'y comprend rien!
Partager cet article
Repost0
4 juillet 2017 2 04 /07 /juillet /2017 05:42
Lundi 3 juillet: débrayage à l'hôpital de Morlaix avec le soutien du comité de défense de l'hôpital (Le Télégramme, 4 juillet 2017)

Hier matin, une cinquantaine de salariés du centre hospitalier des pays de Morlaix a débrayé pendant une heure à l'appel du syndicat Sud Santé pour dénoncer la réduction du nombre de lits pendant la période estivale. La réorganisation saisonnière des services prévoit la fermeture ponctuelle de 60 lits.

« L'hôpital est sous tension »


« L'été va être très compliqué parce que l'hôpital est sous tension. La prise en charge des patients est de plus en plus difficile. Parfois, certaines personnes restent dans la chambre de réveil pendant une journée entière parce qu'il n'y a pas d'autres lits disponibles. On a besoin d'une forte mobilisation du personnel », a lancé Francis Landouar, secrétaire de la section de Sud Santé. Les représentants syndicaux rencontreront également la direction de l'hôpital, lundi prochain.

Pas de trêve estivale pour les syndicats


Certains membres du personnel ont également fait part de situations anormales à l'occasion de ce débrayage, comme « l'hospitalisation d'un patient masculin dans le service de maternité » ou « une patiente qui a subi une mastectomie renvoyée chez elle le soir même, faute de places disponibles ». Le comité de défense des usagers de l'hôpital était également présent. « Certaines personnes nous disent qu'elles préfèrent aller se faire soigner à Brest plutôt qu'à Morlaix. Le personnel n'a plus le temps d'écouter les patients », s'inquiète Martine Carn. De nouvelles actions sont prévues pendant l'été.
 

Partager cet article
Repost0
4 juillet 2017 2 04 /07 /juillet /2017 05:25
Françoise Raoult, vice-présidente à la culture, présidait la séance en l'absence de Jean-Luc Fichet en début de Conseil Communautaire, en attendant qu'il revienne

Françoise Raoult, vice-présidente à la culture, présidait la séance en l'absence de Jean-Luc Fichet en début de Conseil Communautaire, en attendant qu'il revienne

Nathalie Bernard, vice-présidente à l'environnement (transport)

Nathalie Bernard, vice-présidente à l'environnement (transport)

François Girotto (PS) et Marlène Tilly (droite morlaisienne), tous ceux conseillers délégués en charge du logement, ont pu faire étalage de leurs divergences sur l'appel à projet pour une plateforme guichet unique pour la rénovation énergétique des logements

François Girotto (PS) et Marlène Tilly (droite morlaisienne), tous ceux conseillers délégués en charge du logement, ont pu faire étalage de leurs divergences sur l'appel à projet pour une plateforme guichet unique pour la rénovation énergétique des logements

Guy Pennec a présenté le rapport d'activité de Sotraval qui brûle les déchets de la communauté à Brest

Guy Pennec a présenté le rapport d'activité de Sotraval qui brûle les déchets de la communauté à Brest

François Hamon le maire de St Martin s'est exprimé sur l'assainissement

François Hamon le maire de St Martin s'est exprimé sur l'assainissement

Agnès Le Brun a jugé peu justifiée la subvention Maison du Monde pour le Resam et a plaidé de manière générale pour plus d'économies, sauf pour le meeting aérien aéro passion et la subvention de la communauté qu'elle a jugé insuffisante, même si elle comprend 6000€ de financement d'un repas gala avec invités VIP ville de Morlaix- lycée...

Agnès Le Brun a jugé peu justifiée la subvention Maison du Monde pour le Resam et a plaidé de manière générale pour plus d'économies, sauf pour le meeting aérien aéro passion et la subvention de la communauté qu'elle a jugé insuffisante, même si elle comprend 6000€ de financement d'un repas gala avec invités VIP ville de Morlaix- lycée...

Clothilde Berthemet en charge de l'international a présenté la délibération pour la subvention à la Maison du Monde du Resam pour la mobilité des jeunes et l'aide pour l'internationalisation du territoire (financement de rencontres presses avec les médias étrangers)

Clothilde Berthemet en charge de l'international a présenté la délibération pour la subvention à la Maison du Monde du Resam pour la mobilité des jeunes et l'aide pour l'internationalisation du territoire (financement de rencontres presses avec les médias étrangers)

Yves Moisan (maire de Ploézoch et vice président au tourisme) a présenté un bilan rapide et les projets de la Maison du Tourisme, subventionnée pour 887 000€

Yves Moisan (maire de Ploézoch et vice président au tourisme) a présenté un bilan rapide et les projets de la Maison du Tourisme, subventionnée pour 887 000€

Ismaël Dupont est intervenu sur l'achat du bâtiment d'Orange rue du Poulfanc en contrebas de la gare par Morlaix-Communauté pour le bénéfice de l'entreprise Viséo et sur le théâtre du pays de Morlaix et une subvention jugée insuffisante au regard du budget en déficit du théâtre malgré les 91% de taux de remplissage

Ismaël Dupont est intervenu sur l'achat du bâtiment d'Orange rue du Poulfanc en contrebas de la gare par Morlaix-Communauté pour le bénéfice de l'entreprise Viséo et sur le théâtre du pays de Morlaix et une subvention jugée insuffisante au regard du budget en déficit du théâtre malgré les 91% de taux de remplissage

Jean-Paul Vermot est aussi intervenu sur l'achat de l'immeuble d'Orange pour Viséo (l'ouverture de négociation d'achat en fait) et sur le théâtre

Jean-Paul Vermot est aussi intervenu sur l'achat de l'immeuble d'Orange pour Viséo (l'ouverture de négociation d'achat en fait) et sur le théâtre

Jean-Michel Parcheminal est intervenu sur les contraintes d'élagage et de remplacement des poteaux électriques pour l'arrivée du haut débit et de la fibre optique

Jean-Michel Parcheminal est intervenu sur les contraintes d'élagage et de remplacement des poteaux électriques pour l'arrivée du haut débit et de la fibre optique

Jean-Luc Fichet

Jean-Luc Fichet

Photos du Conseil Communautaire de Morlaix-co du lundi 3 juillet 2017 (Pierre-Yvon Boisnard)
George Auregan est intervenu sur le théâtre en réponse aux interventions d'Ismaël Dupont, Agnès Le Brun, Jean-Luc Fichet, Jean-Paul Vermot

George Auregan est intervenu sur le théâtre en réponse aux interventions d'Ismaël Dupont, Agnès Le Brun, Jean-Luc Fichet, Jean-Paul Vermot

les vice-présidents Guy Pouliquen, Yvon Le Cousse, Guy Pennec

les vice-présidents Guy Pouliquen, Yvon Le Cousse, Guy Pennec

Photos du Conseil Communautaire de Morlaix-co du lundi 3 juillet 2017 (Pierre-Yvon Boisnard)
Partager cet article
Repost0
3 juillet 2017 1 03 /07 /juillet /2017 05:44
Jean-Luc Mélenchon ou le mépris de tout ce qui ne lui est pas soumis
Jean-Luc Mélenchon accuse la gauche de « bloquer la percée » de La France insoumise

Mélenchon persiste et signe dans ses attaques contre le PCF! Cette personne est de plus en plus insupportable et ses propos sont emplis d'un mépris souverain pour tous les militants et électeurs du PCF, d'EELV, du PS... Si nous sommes pour ce vieux politicien la vieille gauche, ses méthodes ressortent d'une moderne brutalité dans laquelle nous ne reconnaîtrons jamais les valeurs de gauche et de l'humanisme en général.  

Et on a voté pour lui, fait campagne pour lui à deux reprises sur les élections présidentielles de 2012 et 2017, où sans nous, il ne pouvait pas être candidat... Avec quel respect, quelle considération à l'arrivée?   

Dans un entretien au « JDD », il accuse la gauche de « bloquer la percée » de La France insoumise: « Ne focalisons pas sur l’ambiance de décomposition de la vieille gauche ! Les spasmes d’agonie du PS, du PCF, d’EELV, leur échec électoral terrible et celui de leur complicité pour bloquer la percée de La France insoumise, leurs congrès respectifs, la réunion de Hamon : ce ne sont que des entre-soi juxtaposés".

La déraison ! L'heure n'est-elle pas plutôt au rassemblement contre les régressions sociales portées par Macron et pour jeter les bases d'un projet rassemblant toutes les forces de transformation sociale !

 

Partager cet article
Repost0
3 juillet 2017 1 03 /07 /juillet /2017 05:30
Courant d'ère: Le fond de l'accessoire (Hervé Hamon- Le Télégramme, 3 juillet 2017)

Un "courant d'ère" bien senti de Hervé Hamon qui aurait pu préciser que l'on doit à Mélenchon, en présentant un insoumis face à Patrice Carvalho (PCF), seul ouvrier de l'assemblée nationale de 2012 à 2017, qui a échoué à se qualifier au second tour pour cette raison (19,5%), d'avoir éliminé le seul représentant  du monde ouvrier du Parlement. Alors après, les péroraisons sur la cravate de la part de celui qui la porte depuis 45 ans de vie politique professionnelle, assez d'hypocrisie et de posture!  

 

Courant d'ère. Le fond de l'accessoire

Je dois confesser que j'ai au moins un point commun avec Jean-Luc Mélenchon : j'ai horreur de la cravate. Ce truc qui doit son nom aux troupes « croates » de Louis XIV, lesquelles s'enroulaient un machin autour du cou, me paraît strangulant, laid, dérisoire, ridicule pour ne pas dire grotesque, et parfaitement superfétatoire. Bien sûr, il m'est arrivé d'en porter. Quand j'ai interviewé des gens d'en haut dont le dress code n'est pas négociable. La cravate, dans le monde des puissants, ne se remarque guère, mais son absence en dit long. Refus de la norme, récusation des convenances, affirmation importune d'une singularité ostentatoire, dandysme forcené, et ainsi de suite. C'est si vrai que, dans nombre d'entreprises américaines, le vendredi est décrété « jour sans ». En cette veille du week-end, le col ouvert est recommandé. Mais en choeur. Tous en choeur, comme on passe, au signal, de la manche longue à la manche courte. Pour le coup, je mettrais bien une cravate. À vrai dire, je crois que le camarade Mélenchon s'en moque comme de sa première chemise. Quand on a mené une carrière de sénateur, de député européen, de sous-ministre, ces choses-là, on n'y songe même plus. S'il y a pensé, c'était pour l'effet d'annonce, c'était juste pour faire peuple. Même si j'ai, moi, clairement souvenir que ledit peuple, pour aller voter, mettait naguère une chemise blanche, une veste, et une cravate. Justement. Je suggère donc à nos boutefeux d'autres signes, plus éclatants. Le « matheux » vous savez, celui qui sait à peine lire, nous a montré l'exemple. Généraliser la lavallière serait épatant et siérait fort bien aux dames. Mais plus encore la salopette bleue. Ça, mon gars, ça aurait du fond.
 

Hervé Hamon

Partager cet article
Repost0
3 juillet 2017 1 03 /07 /juillet /2017 05:25
La CFDT, SUD, et la CGT appellent à la mobilisation des personnels pour un débrayage à l'hôpital de Morlaix ce lundi 3 juillet à 10h

Après la CFDT et Sud, c'est la CGT qui est revenue sur la situation que rencontre le centre hospitalier des pays de Morlaix. « Nous sommes solidaires de Sud et appelons le personnel à se joindre au mouvement de débrayage organisé lundi (demain) matin, de 10 h à 11 h », commence le syndicat en expliquant les raisons de son mécontentement. « A ce jour, il n'y a plus de place sur l'hôpital général quand des patients de psychiatrie, de soins de suite ou de maison de retraite décompensent. Ils doivent être maintenus dans leur service au lieu d'être orientés vers celui adapté à l'aggravation de leur santé, et ce malgré une prise en charge lourde et complexe pour le personnel qui est déjà en effectif réduit, parfois même isolé et sans médecin. Comment allons-nous pouvoir supporter tout l'été ces conditions de prise en charge ? », s'interroge la CGT, en livrant quelques exemples : « Le week-end dernier, l'interne de garde a dû faire des sorties dès le dimanche matin pour pallier le manque de lits. Et cela n'a pas été suffisant ». Selon la CGT, « des enfants de pédiatrie ont été transférés dans d'autres établissements car l'hôpital a fermé des lits dans ce service. Des patients relevant de la gastro-entérologie ont été admis en maternité faute de lits ».

« Chaque année, nous connaissons des difficultés estivales. Mais jamais nous n'avons été confrontés à tant de fermetures de lits. Cette situation est très inquiétante. Elle promet beaucoup de difficultés pour cet été ».

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le chiffon rouge - PCF Morlaix/Montroulez
  • : Favoriser l'expression des idées de transformation sociale du parti communiste. Entretenir la mémoire des débats et des luttes de la gauche sociale. Communiquer avec les habitants de la région de Morlaix.
  • Contact

Visites

Compteur Global

En réalité depuis Janvier 2011