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5 mars 2024 2 05 /03 /mars /2024 06:49
André Chassaigne : « L’agriculture n’est pas une monnaie d’échange » (L'Humanité, 29 février 2024)

L’Humanité, Diego Chauvet, le 29.02.24

André Chassaigne est candidat sur la liste conduite par Léon Deffontaines aux européennes. Le député communiste prône de longue date une réforme de la PAC, afin de sortir le monde agricole des règles du libre-échange.

 

Notre modèle agricole est en crise. La question s’impose dans le débat public et s’inscrit dans la campagne des européennes. Qu’entendez-vous porter pour améliorer la situation des travailleurs de la terre ?

Nous défendons une agriculture libérée des accords de libre-échange. Au motif de vendre des produits manufacturés, des avions, des voitures ou du numérique dans le monde entier, nous acceptons actuellement d’acheter des productions agricoles étrangères qui ne répondent pas à nos normes.

Les importations néo-zélandaises, par exemple, se font au détriment de nos productions ovines. Ce n’est pas acceptable, l’agriculture n’est pas une monnaie d’échange que l’on peut sacrifier. Nous devons la défendre et effectuer des contrôles sanitaires, environnementaux et même sociaux pour toutes nos importations. Il faut aussi développer un regard internationaliste et respecter les pays producteurs.

Notre modèle actuel pousse certains pays à faire de la monoculture, à chasser des petits paysans de leurs terres. Nous devons réfléchir à une agriculture vertueuse, qui sert tout le monde sans être prédatrice. Notre modèle agricole doit sortir des griffes de l’agro-industrie et des exploitations immenses guidées uniquement par des motifs financiers. Nous préférons des exploitations de petite taille, ou de taille moyenne, qui privilégient des productions de qualité avec une alimentation la plus proche possible du consommateur.

Après la conversion d’Emmanuel Macron aux prix planchers, que vous défendez depuis des années, le problème de la rémunération des producteurs est-il réglé ?

Il faudrait encore s’attaquer aux fondamentaux des politiques européennes ! L’article 101 du traité sur le fonctionnement de l’UE interdit « de fixer de façon directe ou indirecte les prix d’achat ou de vente ». Le président de la République devrait pousser son raisonnement jusqu’au bout et remettre en cause les traités européens. Sinon, il se heurtera au droit de la concurrence qui interdit les prix plancher. Nous allons justement mener campagne dans ce sens.

Comment définir un prix rémunérateur pour les producteurs ?

La construction du prix doit tenir compte des charges de fonctionnement, c’est-à-dire de tout ce qui est nécessaire pour pouvoir produire, des investissements, mais surtout de ce que l’on peut appeler le salaire. Les Jeunes agriculteurs estiment qu’il doit être l’équivalent de deux Smic. Nous devons nous mettre d’accord sur ce que doit être la rémunération du travailleur de la terre pour fixer le prix d’achat. Il faut une intervention de l’État pour ça.

Faut-il changer la façon dont la PAC verse ses subventions ?

Nous voulons la réformer et en faire une PAAC (politique agricole et alimentaire commune). Notre objectif, c’est la souveraineté et la sécurité alimentaire : produire chez nous tout ce que l’on peut produire chez nous, en excluant les importations inutiles. Concernant la PAC, il faut arrêter de subventionner à la surface, pour aider plutôt les producteurs.

C’est-à-dire calculer les aides en fonction des actifs sur une exploitation, du nombre d’emplois, au lieu d’encourager à l’agrandissement et à la disparition d’exploitations. Ce sera aussi utile pour la transition écologique, qui exige un accompagnement financier, technique, et sur la recherche. On aura toujours besoin de produits phytosanitaires. Par contre, il faut faire évoluer l’agriculture vers de nouvelles pratiques recourant aux engrais organiques.

https://www.pcf.fr/un_pacte_d_avenir_avec_tous_les_agriculteurs_de_notre_pays_15_propositions_pour_r_pondre_la_crise_agricole

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5 mars 2024 2 05 /03 /mars /2024 06:45
URGENCE CUBA / APPEL HUMANITAIRE

La population cubaine souffre ! Elle subit dans de multiples domaines, de dures privations.

Madame, Monsieur,

Partout dans le monde des luttes sont menées pour en finir avec le blocus et les mesures inhumaines des États-Unis, dont l’objectif avoué est de créer la famine dans le pays !

Il faut poursuivre et intensifier ces actions et obtenir rapidement que Cuba soit retiré de la liste des pays soutenant le terrorisme.

Nous vous proposons aujourd’hui une action porteuse de résultats immédiats, pour soulager, autant que faire se peut, la peine de ceux qui, en raison de leur situation, souffrent le plus.

Nous lançons une grande campagne solidaire de dons financiers !

Avec les fonds rassemblés, nous ferons l’acquisition, aux meilleures conditions possibles, et organiserons le transport de marchandises non périssables vers les institutions cubaines les plus concernées : crèches, jardin d’enfants, hôpitaux, foyers de personnes âgées, maisons d’accueil de femmes isolées…

Nous faisons appel individuellement :

  • à chacune et chacun d’entre vous
  • aux responsables de collectivités locales, d’entreprises publiques et privées, aux Fondations, aux organisations syndicales, aux partis politiques, aux associations…
  • À toutes celles et à tous ceux qui refusent cette situation inhumaine et qui souhaitent prendre part à cet élan de solidarité.

Cliquez ICI

https://don.cubacoop.org/URGENCE-CU...
Nous vous rendrons compte régulièrement des résultats de votre soutien.

Au nom du peuple cubain, nous vous remercions de votre générosité.

Victor Fernandez,
président de Cuba Coopération France

32 Rue Lenine, 94200 Ivry-sur-Seine
Site : cubacoop.org
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5 mars 2024 2 05 /03 /mars /2024 06:30
« En Israël, depuis le début de la guerre, la liberté d’expression a disparu », estime la députée communiste israélienne, Aida Touma-Suleiman (L'Humanité, interview de Pierre Barbancey, 28 février 2024)
« En Israël, depuis le début de la guerre, la liberté d’expression a disparu », estime la députée communiste israélienne, Aida Touma-Suleiman
 
Opposante déterminée à la guerre à Gaza, la députée communiste israélienne, Aida Touma-Suleiman raconte la quasi-impossibilité, y compris pour les parlementaires, de s’exprimer pour la paix et le cessez-le-feu dans un pays verrouillé par le gouvernement Netanyahou et ses ministres d’extrême droite.
 
L'Humanité, le 28. 02 24 - Pierre Barbancey
 
Née à Nazareth dans une famille arabe chrétienne, Aida Touma-Suleiman est députée communiste en Israël depuis 2015. Elle a fondé en 1992 un groupe féministe arabe, Femmes contre la violence. Elle devient membre du Parti communiste israélien (PCI) puis rédactrice en chef de son magazine, « Al-Ittihad ».
 
À la Knesset, le parlement israélien, elle a été élue à la tête du comité de la condition de la femme et de l’égalité des sexes. Avec les autres membres de son groupe, elle s’est toujours fait l’expression de l’opposition à la politique d’occupation et de colonisation.
Mais depuis le 7 octobre son travail parlementaire est de plus en plus difficile, notamment parce que la majorité de la Knesset voit dans les députés communistes (juifs et arabes) ou simplement représentant de la minorité arabe une cinquième colonne. Leurs interventions contre la guerre et pour la paix leur valent des suspensions de plusieurs mois, comme ce fut le cas pour Aida Touma-Suleiman en novembre dernier.
 
Pensez-vous que c’est uniquement à cause du 7 octobre qu’il y a une telle guerre à Gaza ?
 
Je crois que ce gouvernement très à droite en Israël a été très clair depuis le début, y compris dans les accords passés pour former une coalition. Ils veulent la création du grand Israël, du Jourdain à la Méditerranée, ce qui signifie l’annexion d’autant de terres palestiniennes, l’agrandissement des colonies, etc.
Quand le 7 octobre est arrivé, c’était horrible et je rappelle que nous, députés communistes, nous avons condamné cette attaque. Il y avait beaucoup de douleur parmi les Israéliens et beaucoup de colère. À mon avis, le gouvernement s’est comporté au départ comme s’il s’agissait d’une guerre de vengeance, mais en fait, il a utilisé toute cette colère et toute cette douleur pour lancer une guerre qu’il recherchait depuis longtemps.
Une guerre qui lui permette de mettre en œuvre ses plans, y compris l’extension et la prise de plus de terres à Gaza, jusqu’à son contrôle, accompagné d’un nettoyage ethnique aussi bien dans la bande de Gaza qu’en Cisjordanie. Sinon, comment expliquer les agressions et les tueries de masse qui se produisent à Gaza, et les attaques en Cisjordanie ? Cela montre très clairement qu’il y a un plan beaucoup plus large que la simple vengeance de ce qui s’est passé le 7 octobre.
 
Comment considérez-vous l’attitude des États-Unis et, plus généralement, des pays occidentaux ou de l’Union européenne ?
 
La complicité de la plupart des grands pays, notamment européens, et le partenariat des États-Unis avec Israël dans cette guerre sont honteux. C’est un grand échec de l’humanité, à mon avis. Plus de 29 000 Palestiniens ont été tués, plus de 69 000 blessés, les attaques israéliennes ont provoqué le déplacement de 2 millions de personnes, qui n’ont plus de toit, mais tout le monde se tait, préférant répéter stupidement qu’Israël a le droit de se défendre. C’est un crime.
Un crime qui est en train de se produire et dont le monde est partie prenante. Nous devons le dire très clairement : sans le soutien de Washington, cette guerre n’aurait pas pu aller aussi loin. Le fait que l’administration américaine continue de fournir des armes à Israël et ne fait aucune pression pour mettre fin à cette guerre la rend responsable de ce qui se passe au même titre que le gouvernement israélien.
 
Et qu’en est-il des pays arabes ?
 
À partir du moment où ils ont commencé à se connecter ou à faire en sorte que leurs intérêts soient liés à ceux du gouvernement israélien, il ne faisait aucun doute que les pays arabes n’auraient aucune action positive. La seule chose à porter à leur crédit est qu’ils ne sont pas d’accord avec le nettoyage ethnique.
Évidemment, ils l’ont dit pour leur propre intérêt, pour leurs propres raisons stratégiques, mais c’est bien. J’espère qu’ils continueront à s’opposer à tout nettoyage ethnique qui vise à repousser les Palestiniens hors de la bande de Gaza. C’est la même chose avec la Jordanie. Mais les pays arabes auraient pu jouer un meilleur rôle en le disant très clairement. C’est en particulier vrai pour l’Arabie saoudite, qui aurait dû faire comprendre fermement à Israël qu’il ne peut pas continuer cette guerre.
 
Il y a donc aussi des manifestations en Israël. De quel type de démonstration s’agit-il ?
 
Les plus grandes manifestations ont lieu pour réclamer la libération des otages. Bien qu’il y ait un peu de changement ces derniers jours pour exiger l’arrêt de la guerre afin de libérer les otages, quand même, l’atmosphère générale en Israël est en faveur de cette guerre, à mon grand regret.
En tant que Parti communiste, Hadash (Front démocratique pour la paix et l’égalité) et organisations opposées à l’occupation, nous essayons de promouvoir nos propres revendications d’arrêt immédiat de la guerre. Mais nos manifestations sont immédiatement réprimées par la police. Et nous n’avons pas d’autorisation pour de grandes manifestations.
À cause des mesures oppressives prises par la police contre la communauté palestinienne à l’intérieur d’Israël, les citoyens et les forces juives démocratiques, nous sommes très prudents dans l’organisation de rassemblements. Depuis le début de la guerre, il y a plus de 400 citoyens arabes d’Israël qui ont été arrêtés, pour avoir publié ne serait-ce qu’un seul message sur les réseaux sociaux.
D’une manière générale, le grand public commence à comprendre que, tant que cette guerre se poursuivra, la vie des otages à Gaza sera en danger. Nous espérons que cela contribuera à faire pression pour mettre fin à la guerre. Mais, en général, certaines de ces personnes qui sont arrêtées, qui manifestent aujourd’hui, à la minute même où les otages seraient libérés, ne se soucieraient plus de savoir si la guerre se poursuit.
 
Il y a également le combat que vous menez à la Knesset, le parlement israélien. Un combat difficile si l’on en juge par toutes les attaques que vous subissez, vous et vos collègues opposés à la guerre…
 
Depuis le début de la guerre, la liberté d’expression et l’immunité parlementaire ont disparu. Le comité d’éthique de la Knesset m’a suspendue pendant deux mois. Je n’ai pas eu le droit de prendre la parole au parlement parce que j’avais publié des témoignages de médecins de l’hôpital Al-Shifa de Gaza. Mon collègue Ofer Cassif, au début de la guerre aussi, n’a pas pu siéger pendant un mois et demi.
Ensuite, ils ont entamé un processus d’expulsion contre lui. Ils s’appuient sur une loi antidémocratique, adoptée en 2017, qui permet aux membres de la Knesset d’expulser un autre membre en raison de son comportement. Or, il n’y a aucune base légale à cette expulsion d’Ofer Cassif. Il n’a pas lancé d’appels racistes, il n’a pas soutenu les actes terroristes contre le pays. Il a simplement signé une pétition soutenant la requête de l’Afrique du Sud auprès de la Cour internationale de justice (CIJ). Cela montre le climat existant en Israël.
Fort heureusement leur tentative pour déchoir Ofer Cassif de son poste de député a échoué. Ils n’ont pas pu obtenir le nombre de voix suffisant pour cela. Mais les menaces persistent contre nous. Aujourd’hui, il semble que vous puissiez parler de génocide en Israël autant que vous le souhaitez, tant que vous soutenez le génocide. Si vous voulez vous y opposer vous serez expulsé de la Knesset. C’est aussi, encore une fois, une sorte d’approche qui donne à la majorité juive la suprématie sur tout.
 
Est-ce que la distribution d’armes aux civils israéliens vous inquiète ?
 
Depuis le début de la guerre, plus de 30 000 armes ont été distribuées aux civils juifs, par le ministre de la Sécurité, d’extrême droite, Itamar Ben Gvir. Ce qui a abouti à une saturation d’armes dans l’espace public. Les gens vont dans les cafés avec leur M16.
Et si vous faites quelque chose qu’ils n’aiment pas, vous ne pouvez pas être certain qu’ils ne vont pas tirer. Même si vous voulez contester la décision de la police en soulignant que la loi nous donne le droit de manifester, vous ne pouvez pas garantir que vous ne serez pas attaqué par des gens qui portent des armes autour de vous dans les rues. Ben Gvir a donné l’ordre d’interdire toute manifestation, en particulier parmi les Arabes.
Nous avons décidé que seuls les dirigeants de notre Haut Comité de suivi (HFC, une organisation extraparlementaire qui agit en tant qu’organe national de coordination et de représentation des citoyens palestiniens d’Israël – NDLR) protesteraient à l’occasion d’une petite manifestation à Nazareth, juste pour faire entendre une voix contre la guerre. La police, avant même que les dirigeants n’arrivent sur les lieux, les a tous arrêtés.
C’est le cas notamment de l’ancien député Mohammed Baraké, notre camarade, le chef du Haut Comité de suivi, et de quatre autres anciens députés. La police et le gouvernement entendent ainsi envoyer un message à la population. Ils n’autorisent aucune forme de protestation contre la guerre. Bien sûr, ils ne peuvent pas empêcher celles demandant la libération des otages. Vous devez défiler sous ce slogan, sinon vous en serez empêchés.
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5 mars 2024 2 05 /03 /mars /2024 06:09
8 mars 2024 : rassemblements pour la défense des droits des femmes dans le Finistère et à Morlaix
8 mars 2024 :  partout les femmes résistent !
 
Le 8 mars est la journée internationale de lutte pour les droits des femmes, une journée de grève féministe de toutes et tous pour revendiquer et gagner l’égalité réelle au travail et dans la vie.
C’est aussi une journée de solidarité avec les femmes du monde entier et de lutte contre les idées d'extrême droite sexistes et patriarcales.
 
Pour le moment 4 lieux de rassemblements et de manifestations dans le département:
 
- Carhaix, 11h30 devant la maison des Syndicats
- Quimper, 11h30 place Saint Corentin
- Brest, 15h40 place de la Liberté
- Morlaix, 18h: rendez-vous à la galerie du SEW. Ramenez vos pancartes, vos chants, vos slogans pour une action de la journée internationale de lutte pour les droits des femmes consacrée en particulier au soutien aux femmes de Gaza et de Palestine dont le droit à l'existence est bafoué !
8 mars 2024 : rassemblements pour la défense des droits des femmes dans le Finistère et à Morlaix
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2 mars 2024 6 02 /03 /mars /2024 09:23

 

 

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1 mars 2024 5 01 /03 /mars /2024 09:21

 

 

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29 février 2024 4 29 /02 /février /2024 08:15
Découvrez le nouveau A coeur ouvert, 1er trimestre 2024, journal santé du PCF
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A Cœur Ouvert du 1er trimestre est paru avec des articles concernant les sujets qui seront au cœur des élections européennes et des luttes dans notre secteur.

En voici le sommaire et en page 8, un article du Dr Brice, candidat aux élections européennes...

Christiane Caro

Animatrice de A Cœur Ouvert

 

Sommaire :

Édito : «Un pays industrialisé sans industrie », Léon Deffontaines , Tête de liste du PCF aux élections européennes, membre du Comité Exécutif National du PCF

Construire des possibles ensemble, maintenant :

Regagner notre maitrise industrielle filière industrie et technologie de la santé, Jean-Luc Maletras - Animateur secteur électronique (1982-1999) Fédération des Travailleurs de la Métallurgie CGT

Lutte à l’hôpital de Guingamp : Médecins cubains, Gaël Roblin, Conseiller municipal – Guingamp

Médicaments et Europe : production de médicaments, symptomatique d’une Union Européenne enfermée dans le carcan néo-libéral, Charlotte Balavoine, Responsable Europe – Conseil National PCF

L’enfance et la vieillesse : secteurs délaissés et maltraités

La Loi grand-Âge : le bien-vieillir attendra, Bernard Lamirand, Président du Comité d’honneur national pour la Reconnaissance de l’œuvre d’Ambroise Croizat, Membre de la Commission Retraité-es PCF

Protection de l’enfance : après les constats de la crise, quelles propositions ? Véronique Sanchez-Voir, Assistante sociale – CHU de Grenoble, Commission nationale santé PCF

La fin des illusions, Dr Christian Brice, Praticien urgentiste, responsable régional Bretagne, membre du CA national AMUF

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26 février 2024 1 26 /02 /février /2024 06:26

 

 

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24 février 2024 6 24 /02 /février /2024 18:09
Photos de la conférence régionale du PCF Bretagne - 24 février 2024
Photos de la conférence régionale du PCF Bretagne - 24 février 2024
Photos de la conférence régionale du PCF Bretagne - 24 février 2024
Photos de la conférence régionale du PCF Bretagne - 24 février 2024
Photos de la conférence régionale du PCF Bretagne - 24 février 2024
Photos de la conférence régionale du PCF Bretagne - 24 février 2024
Photos de la conférence régionale du PCF Bretagne - 24 février 2024
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Photos de la conférence régionale du PCF Bretagne - 24 février 2024
Photos de la conférence régionale du PCF Bretagne - 24 février 2024
Photos de la conférence régionale du PCF Bretagne - 24 février 2024
Photos de la conférence régionale du PCF Bretagne - 24 février 2024

Conférence régionale du PCF Bretagne ce samedi 24 février de 9h30 à 16h30 à Lanester, à la salle du Ponton devant le Quai n°9: 

Plus de 40 camarades du Parti communiste breton, fédérations du Morbihan, des Côtes d'Armor, d'llle-et-Vilaine et du Finistère réunis pour échanger sur les Européennes et la fête de l'humanité Bretagne.

Le midi une conférence de presse a eu lieu pour présenter la démarche de notre liste aux Européennes, avec Amar Bellal et Taran Marec, candidats aux Européennes, et Gladys Grelaud, porte-parole régionale du PCF Bretagne, en présence de dirigeants des 4 fédérations bretonnes (Elsa Koerner, Aurélien Guillot, Marc Bacci, Guenola Le Huec, Yannick Le Cam, Ismaël Dupont) et du responsable départemental de LRDG Morbihan Jean-Philippe Olivieri.

10 camarades représentaient la fédération du Finistère du PCF à cette conférence régionale à Lanester: Michel Tudo Deler, Claude Bellec, Jeannine Daniel, Gladys Grelaud, Taran Marec, Jean-Louis Pascal, Denis Huet, Sergine Le Fief, Yannick Le Bohec, et Ismaël Dupont

La dernière conférence régionale du PCF Bretagne avait eu lieu précédemment à Grâces le 17 juin 2023.

 

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23 février 2024 5 23 /02 /février /2024 16:50
8 mars: Mobilisons-nous pour les droits des femmes (PCF)
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  • : Favoriser l'expression des idées de transformation sociale du parti communiste. Entretenir la mémoire des débats et des luttes de la gauche sociale. Communiquer avec les habitants de la région de Morlaix.
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