Valère Staraselki évoquera la question de l'antisémitisme à partir
de son livre "Le Parlement des cigognes".à la Petite Librairie
le 14 novembre à 19 h
L'écrivain Valère Staraselki sera le 14 novembre à 19 h à la Petite Librairie 4 bis rue Danton à Brest quartier ST Martin à l'invitation de l’Association des Amis du journal l’Humanité pour évoquer la question de l'antisémitisme à partir des recherches accomplies pour l'écriture de son dernier livre: "Le Parlement des cigognes" (2017) sur la Shoah et la complicité de polonais dans l'extermination des juifs (prix Licra), C'est aussi l'auteur de plusieurs autres romans "Sur les toits d'Innsbruck", "Une histoire française" (sur la France prérévolutionnaire, en janvier 1789), "L'Adieu aux rois" (un roman qui se passe pendant la Révolution Française, en 1794), "Le Maître du Jardin. Dans les pas de La Fontaine", "Nuit d'hiver", "Un homme inutile", etc. Mais aussi d'un très beau texte sur la Fête de l'Humanité, Comme un Air de liberté (2005), de 1909-2009:«Un siècle de Vie Ouvrière»avec Denis Cohen (Cherche-Midi), de Voyage à Assise.
Depuis quelques mois, l’accès à la culture si cher à un PCF qui entend « donner des outils aux militants » s’appelle, à la section de Morlaix, « Mardi de l’éducation populaire ».
Une conférence, animée par un historien ou un écrivain, réunit chaque fois de nombreux spectateurs, dont une bonne part de non-adhérents. Mardi 13 novembre, l’écrivain Valère Staraselki évoquera Aragon et son attachement à certaines valeurs. Le mardi 4 décembre, l’écrivaine Anne Guillou sera l'invitée des Mardis de l'éducation populaire pour une conférence-débat "Guerre d'Algérie, blessures intimes" sur son dernier livre "Une embuscade dans les Aurès"...
Voici le programme des initiatives de formation et d'éducation populaire ouvertes à tous du PCF pays de Morlaix:
le mardi 13 novembre, à 18h, l'écrivain et journaliste Valère Staraselki pour nous parler d'Aragon et du rapport entre littérature et politique dans sa vie et son œuvre
le mardi 4 décembre, à 18h, l'écrivaine Anne Guillou, pour une conférence sur "la guerre d'Algérie, blessures intimes", à travers le travail de mémoire qu'elle a réalisé pour écrire son récit "Une embuscade dans les Aurès"
le mardi 15 janvier, à 18h, Dominique Noguères, avocate et vice-présidente de la Ligue des Droits de l'Homme: une vie de combat pour la justice, les réformes judiciaires et l'évolution du système judiciaire en France
le mardi 5 février, à 18h, l'historien Pierre Outteryck sur la figure de Martha Desrumaux, militante du Front Populaire, ouvrière, féministe, résistante, déportée
le mardi 15 mai, à 18h, l'historien Jean-Paul Sénéchal: le Finistère du Front Populaire
Toutes ces conférences-débats de 2h auront lieu au local du PCF, 2 petite rue de Callac.
Par ailleurs, à l'occasion des 100 de l'armistice du 11 novembre 1918, le PCF Pays de Morlaix organise pour tout public une représentation de "Bonsoir m'amour", le spectacle chanté et musical du Théâtre de la Corniche sur la guerre 14-18 vue de Morlaix.
Ce sera le dimanche 11 novembre à 16h, à la salle Gallouedec (entrée libre, participation au chapeau)
"1.800 postes seront supprimés dans l'Éducation nationale l'an prochain, soit plus du tiers des coupes dans les effectifs de la fonction publique.
Une fois de plus, l'éducation sacrifiée sur l'autel de l'austérité.
Soutien à nos collègues".
Ian Brossat, chef de file des communistes pour les élections européennes
Des enseignants du premier degré et du second degré mobilisés hier à Morlaix, avec un cortège qui a défilé jusqu'à la place Traoulen et la route de Paris.
En conseil municipal en juillet, Agnès Le Brun justifiait suite à ma question orale sa non-intervention sur la fermeture du bureau de poste de la Boissière en parlant de 60 h semaine d'ouverture en relais commerçant. Elle aurait eu la possibilité de conserver l'ouverture du bureau de poste de la Boissière pendant 12h30 semaine.
Aujourd'hui, le commerçant n'a pas pu tenir avec la surcharge de travail et la technicité de l'activité colis et courrier, même avec deux cadres à l'aider toute la semaine.
Et pour les Morlaisiens, c'est un service essentiel en moins.
Merci la direction de la Poste, merci l’État actionnaire d'une entreprise qui vise désormais essentiellement la rentabilité, merci Madame Le Brun qui ne défendez pas suffisamment les services publics de la commune.
Ismaël Dupont
Il n’aura même pas fallu une semaine au commerçant de la Maison de la presse pour abandonner l’activité postale qu’il avait reprise après la fermeture du bureau de poste de la Boissière. Débordé, il a fait part de sa décision de ne pas continuer, La Poste va relancer un appel aux commerçants.
En dépit de nombreuses manifestations pour dénoncer la fin du bureau de poste de la Boissière, ce dernier a bien fermé ses portes le samedi 3 novembre dernier. L’activité postale en revanche a été maintenue dans la galerie commerciale grâce au commerçant de la Maison de la presse, commerce situé juste à côté de l’ancien bureau de poste qui fait office de point relais. Seulement, Fabien Chénel a fait part, la semaine dernière, quelques jours seulement après l’avoir reprise, de son désir de ne pas continuer cette activité. « Je suis débordé, il est impossible de m’occuper seul de ce qu’ils faisaient à deux auparavant », témoigne-t-il.
« Ce bureau-là n’aurait jamais dû fermer »
Fabrice Martinet, secrétaire général du syndicat CGT-FAPT du Finistère-Nord, indique ne pas être surpris de l’issue de la situation : « Si le commerçant n’avait eu qu’à s’occuper de la vente de timbres ou d’enveloppes, ça aurait été possible, mais avec toute l’activité de retrait de colis ou de recommandés, on savait que ça se terminerait comme ça. C’est ce qu’on a toujours dit à la direction et à la mairie de Morlaix mais personne ne nous a écoutés. Ce bureau de la Boissière n’aurait jamais dû fermer ».
La Poste, par la voix d’Allan Kaci, attaché de presse, précise qu’elle va se mettre en route pour trouver rapidement un successeur : « Nous allons relancer un appel auprès des commerçants de la galerie où nous voulons maintenir cette activité postale ». Pour éviter toute rupture de service, le groupe invite les personnes à se rendre au carré entreprises de la plateforme de distribution, située rue de Straja, à proximité de la galerie Leclerc. « C’est une situation exceptionnelle, mais on a déjà trouvé des solutions », avance Allan Kaci.
Un agent en renfort
Pour le moment, un agent de La Poste est venu prêter temporairement main-forte à Fabien Chénel dans son commerce, mais Fabrice Martinet confie ne pas être confiant quant au futur. « La direction affirme qu’il y avait eu plusieurs offres de commerçants de la galerie, mais ce n’est pas ce qu’on avait entendu. Et quand bien même ce serait le cas, le problème restera identique ! Le bail du local dans la galerie commerciale court toujours, il ne tient qu’à eux de le rouvrir », conclut-il.
Rosa Moussaoui 10 novembre · Dans la grande boucherie de 1914-1918, les colonies ont fourni, souvent au prix de recrutements forcés allumant des révoltes, un demi-million de soldats.
La section du Pays de Morlaix du PCF soutient le mouvement de grève des enseignants le 12 novembre et appelle l’ensemble des personnels d’éducation, les parents d’élèves , les lycéens et étudiants à se joindre à la manifestation qui aura lieu à Morlaix, Place des Otages devant la Mairie à 13h30 .
Aujourd’hui, la réussite scolaire dépend encore trop souvent des ressources culturelles dont les enfants ont hérité dans leur famille. Aussi, il est nécessaire de repenser les programmes et la pédagogie, pour les adapter à celles et ceux qui n’ont rien d’autres que l’école pour réussir à l’école.
• la diminution du nombre d’élèves dans les classes, afin de favoriser les apprentissages et la coopération. L'arrêt des suppressions de classes dans l'école élémentaire.
• la création de postes dans le secondaire et le primaire de l'enseignement public
• un dispositif de titularisation des contractuels de l’Éducation nationale
• la mise en œuvre d’une véritable formation initiale et continue à destination des enseignants, qui leur permette de reprendre la main sur leur métier
• une définition indépendante des programmes scolaires, qui prendrait avant tout l’avis des enseignants et des spécialistes
• la reconnaissance des enseignements technologiques et professionnels, constitutifs de la culture commune
• la ré-institution du baccalauréat comme diplôme national, ouvrant de droit l’accès à toutes les formations du supérieur, sans autre forme de sélection
• le maintien des aides sociales pour les étudiants qui se réorientent et le développement de passerelles entre les formations, afin de donner aux élèves le droit à l’erreur
• l'arrêt de de la sélection à l'entrée à l'Université. Des moyens pour faire face aux attentes de formation de qualité des bacheliers. Le baccalauréat reconnu comme premier diplôme universitaire.
Hausse des prix des carburants : Non au racket qui frappe le pouvoir d'achat
La hausse massive des prix des carburants crée une émotion légitime. En effet tous les habitants sont touchés quels que soient leurs revenus. Nombreux sont les salariés disposant de petits revenus qui sont obligés d’utiliser leurs véhicules ne serait-ce que pour aller travailler, et pour qui ces hausses représentent une perte lourde de pouvoir d’achat.
Le PCF demande l’annulation de la hausse de la Taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques (TICPE) pour 2019 pour l’ensemble des carburants.
Les communistes militent pour une fiscalité écologique socialement juste. Il faut réduire massivement la production de gaz à effet de serre, et évidemment celles émises par les véhicules particuliers. Mais la hausse indifférenciée des prix des carburants n’est pas la bonne méthode : elle frappe le pouvoir d’achat des plus pauvres, pendant que les plus riches gardent leurs « droits de polluer ». Sous couvert de fiscalité écologique, le gouvernement ne fait qu’essayer de combler en partie le trou qu’il a creusé dans les caisses de l’État avec ses cadeaux aux plus riches et aux entreprises. Le racket sur les automobilistes frappe le pouvoir d’achat des plus modestes et n'a aucun impact sur l’environnement.
Il faut dissuader massivement l’acquisition de véhicules polluants.
Il faut en tout premier lieu pénaliser fiscalement l’achat de grosses voitures polluantes ainsi que la part des véhicules diesel, dont la contribution à la dramatique pollution atmosphérique n’est plus à démontrer.
Le PCF propose donc une forte hausse du malus automobile, à partir de 100 grammes de CO2 par kilomètre parcouru pour tous les véhicules à essence (et non 117 comme actuellement), et plus élevé pour tous les véhicules produisant plus de 120 grammes de CO2 par kilomètre.
Pour les motorisations diesel, le malus doit démarrer dès 80 grammes de CO2 émis par kilomètre parcouru, et devenir plus élevé dès 100 grammes de CO2 par kilomètre.
Une politique pour une automobile plus vertueuse, conjuguée avec des
investissements massifs pour les déplacements en transports publics et à vélo
: c’est l’avenir des déplacements dans notre pays.
Et pour ceux qui se chauffent au fioul ?
L’augmentation du prix +30% fait que de nombreuses familles ne peuvent plus se chauffer Le PCF porte la proposition d’un plan national « chauffage » pour exiger des multinationales qu’elles baissent le prix de l’énergie. C’est une question de justice sociale et de santé publique.
Ismaël Dupont a été reconduit, pour la troisième fois, à la tête des 850 militants communistes du Finistère
Samedi se tenait le congrès départemental du Parti communiste français à Plonéour-Lanvern. Soixante-cinq délégués des sections locales, représentant les 850 membres finistériens du PCF, ont planché toute la journée sur le texte de la base commune des communistes qui sera débattue lors du prochain congrès du PCF, les 23, 24, 25 novembre, à Ivry-sur-Seine.
Les délégués départementaux ont proposé 70 amendements afin d'enrichir et de compléter le texte de base. Ce dernier, appelé "Pour un manifeste du parti communiste du XXIe siècle", reprend les fondamentaux du parti, à savoir la défense des acquis sociaux et le maintien des services publics.
Pour le secrétaire départemental, Ismaël Dupont, "il est plus que jamais nécessaire de construire une unité populaire autour du projet communiste. Malgré l'image d'un parti qui aurait perdu de son influence, nous voyons avec satisfaction que de nombreux jeunes viennent nous rejoindre, étudiants et lycéens, avec 40 nouveaux adhérents sur le Finistère".
Le PCF se met dès à présent en ordre de marche en espérant faire un bon score aux prochaines élections européennes du 26 mai.
"Nous soutenons la candidature de Ian Brossat, chef de file des communistes et adjoint au logement de la Ville de Paris. Localement, nous sommes au plus près des travailleurs malmenés par la politique gouvernementale actuelle, nous insistons notamment sur la défense des hôpitaux de proximité, notamment ceux de Morlaix et Concarneau".
Les communistes ont le sentiment d'être un peu isolés sur l'échiquier politique national actuel. "Nous sommes prêts à travailler avec toutes les forces de progrès du pays. C'est dans cette diversité que nous pouvons faire bouger les lignes".
Le conseil départemental a ensuite élu à l'unanimité un bureau de 32 membres, dont 11 nouveaux. Le secrétaire départemental reste Ismaël Dupont, pour un troisième mandat.
Le président de l’Assemblée dévoile ce matin une plaque commémorative sur le siège qu’occupa le fondateur de l’Humanité, mais honorera aussi Clemenceau… De quoi raviver un débat structurant à gauche : « l’ordre », ou la révolution ?
Il est l’un des plus grands tribuns de l’histoire parlementaire, hissé au panthéon de la gauche française. Si la voix de Jean Jaurès résonne encore dans l’Assemblée nationale, souvent convoquée par ses successeurs, on ne trouve nulle trace honorifique de son passage dans l’Hémicycle. En juin 2017, Jean Luc Mélenchon, fraîchement élu député, fut le premier à s’en étonner, cherchant en vain où pouvait bien se situer le siège de Jean Jaurès. Près de dix-huit mois plus tard, le nouveau président de l’Assemblée nationale, Richard Ferrand, dévoilera ce matin une plaque en son honneur sur le siège 595, situé à gauche de l’hémicycle, aujourd’hui occupé par le député communiste de Seine-Maritime Hubert Wulfranc. « Nous avons travaillé avec des historiens pour réussir à localiser son siège », expliquent les services de l’Assemblée nationale. Les représentations du député du Tarn à la tribune, intervenant bras grands ouverts pour la justice sociale ou pointés vers son adversaire pour défendre le capitaine Dreyfus, sont connues. Mais il n’existe qu’une seule photographie du député du Tarn assis dans l’hémicycle, permettant de le localiser. Elle fut prise en 1914 par l’un de ses collègues, le député-photographe Jules Louis Breton (voir photographie). « Il nous a paru évident que la place devait être celle qu’il occupa de 1902 jusqu’à son assassinat, en 1914, explique l’historien Gilles Candar, sollicité par l’Assemblée pour travailler sur les archives. C’est la grande période du tribun socialiste. Ses combats du début du siècle, pour la paix, la défense des ouvriers et des paysans, et pour la laïcité, ont eu lieu là. »
Élu député du Tarn pour la première fois en 1885
Car le fondateur de l’Humanité fut élu député du Tarn pour la première fois en 1885, puis en 1893, et enfin sans discontinuer à partir de 1902 jusqu’à son assassinat, le 31 juillet 1914. « Je suis très heureux qu’elle corresponde au siège d’Hubert Wulfranc, un député communiste, une personnalité humaniste et ouverte », confie l’historien, président de la Société d’études jaurésiennes. Nulle « fierté » pour l’heureux élu de ce siège si convoité, mais plutôt « beaucoup d’émotion ». « Jaurès, c’est d’abord pour moi le fondateur de l’Humanité, ce journal que j’ai vendu depuis mes 17 ans sur le marché de Saint-Étienne-du-Rouvray. C’est aussi le grand pacifiste qui nous parle tant aujourd’hui, en cette veille de commémoration de l’armistice. Face à cette grande histoire, je ne suis qu’une petite souris. »
Mais le groupe Gauche démocrate et républicaine (GDR) accueillera également ce matin une autre plaque commémorative, celle de Georges Clemenceau, sur le siège occupé par le député guyanais Gabriel Serville. Un « en même temps » mémoriel, comme la Macronie sait bien le faire, qui « permet de faire vivre le débat à gauche ! », assure un haut fonctionnaire de l’Assemblée. D’autant qu’« honorer le Clemenceau député n’est pas indigne », souligne avec ironie Gilles Candar. Jusqu’en 1993, le député de la Seine combat le colonialisme et la peine de mort. « Il a eu de très beaux combats durant cette période, rappelle l’historien. Le « premier Clemenceau est intéressant, très avant-gardiste pour l’époque dans son anticolonialisme, bien avant Jaurès, et il saura le lui rappeler ». Devenu ministre de l’Intérieur puis président du Conseil, il lancera, en 1906, au député de Carmaux qui lui reproche de réprimer les grèves : « De nous deux, je suis le seul qui n’ait pas changé ! » Cette année-là, les joutes verbales entre celui qui défend « l’individualisme » et « le réalisme » politique et le flamboyant défenseur des mineurs de Courrières écrivent une page décisive de l’histoire de la gauche française : « l’ordre » ou la révolution ? « Je voudrais faire comprendre aux déshérités de tout ordre qu’il n’y a pas d’émancipation véritable pour eux en dehors de celle qui viendra de leurs propres efforts », affirme alors le Tigre. « Votre doctrine de l’individualisme absolu, votre doctrine qui prétend que la réforme sociale est contenue tout entière dans la réforme morale des individus, c’est, laissez-moi vous le dire, la négation de tous les vastes mouvements de progrès qui ont déterminé l’histoire, c’est la négation de la Révolution française elle-même », répondra Jaurès au briseur de grève.
Une plaque pour célébrer le promoteur de la propriété sociale
« J’ai mis du temps à admettre que j’aurais plus facilement applaudi le Tigre que le fondateur de l’Humanité. Maintenant, j’assume », écrivait en 2008 Manuel Valls, comme un prélude au quinquennat à venir. L’année précédente, Nicolas Sarkozy, dans un hommage du vice à la vertu, avait raillé cette « gauche d’aujourd’hui qui n’a plus grand-chose à voir avec la gauche de Jaurès ». Et puis ce fut au tour du Front national de défigurer le leader socialiste, osant même flanquer leurs affiches d’un indigne « Jaurès aurait voté FN ». Un parti dont les racines idéologiques appartiennent à la propagande qui, en 1914, dénonçait le « traître » Jaurès. Loin de ces instrumentalisations, la plaque inaugurée ce matin, en présence des députés communistes, de ses descendants et du directeur de l’Humanité, Patrick Le Hyaric, célébrera l’artisan patient de l’union des familles socialistes, le promoteur de la propriété sociale et coopérative, le défenseur obstiné des travailleurs, et l’infatigable combattant pour la paix.
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Favoriser l'expression des idées de transformation sociale du parti communiste.
Entretenir la mémoire des débats et des luttes de la gauche sociale.
Communiquer avec les habitants de la région de Morlaix.