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23 septembre 2017 6 23 /09 /septembre /2017 11:57
Non à la privatisation des centres de santé par le gouvernement Macron-Philippe (PCF)

Non à la privatisation des centres de santé (PCF)
Le gouvernement prépare une ordonnance législative sur les conditions de création des centres de santé pour permettre et faciliter le droit à des cliniques commerciales et autres structures à but lucratif de les gérer. Ainsi des cliniques commerciales pourraient organiser des réseaux de centres de santé drainant les patients vers le secteur à honoraires libres et les dépassements tarifaires. Ainsi des groupes financiers et leurs actionnaires pourraient peser de tout leur poids pour orienter la médecine de ville dans le sens de leurs profits. Ainsi des mutuelles pourraient créer des filiales à but lucratif pour gérer des centres de santé. Le projet d'ordonnance tel qu'il se prépare est inacceptable !

La tradition des centres de santé est l'accès pour tous à des soins de qualité. Ils ne doivent pas être privatisés. Seuls des organismes et établissements à but non lucratif et des collectivités 
territoriales doivent être autorisés à créer et gérer des centres de santé. Une fois de plus le gouvernement Macron, trompe les Françaises et Français, en leur faisant croire qu'il va aider des centres de santé à se créer, alors qu'il ne s'agit que de créer des usines à soins pour faire de la santé une marchandise, pour le seul bénéfice de la Finance !

A l'inverse, le PCF, les professionnels de la santé comme les citoyen-ne-s attendent une toute autre loi qui renforce les centres de santé. Il est urgent de développer les centres de santé publics, 
d'en mailler notre territoire dans chaque canton ou bassin de vie, avec tous ses acteurs, pour lutter contre les déserts médicaux, permettre l'accès à la santé et aux soins, d'impulser la prévention, de soutenir la santé publique.

Parti communiste français

Paris, le 22 septembre 2017.

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23 septembre 2017 6 23 /09 /septembre /2017 06:52

La référence à la fameuse "tambouille", utilisée à tout bout de champ est bien pratique pour ne pas appeler à voter pour le seul groupe d'opposition qu'est le groupe communiste au Sénat. Pourtant soit on renforce Macron soit on vote pour le groupe qui est le seul à défendre les collectivités locales. Nous avons pourtant pourtant lu ici ou là que l'heure devait être au rassemblement...Derrière qui, je vous laisse deviner. Bien triste tout çà. Au nom de la cohérence ??????

En Corse, les insoumis locaux voulaient faire alliance avec les communistes, mais le grand chef Mélenchon a bloqué tout au nom de son refus de la "tambouille". Pourtant, l'ex-professionnel de la politique du PS est mal placé pour donner des leçons dans ce domaine, surtout si ce terme infamant renvoie à une volonté de rassemblement pour gagner des positions au service des intérêts populaires.  

****************
Les Insoumis du Val-de-Marne ne donneront pas de consigne de vote aux sénatoriales.

« En accord avec le programme que nous avons défendu et que nous continuons à défendre, et face à une élection faite de tambouille et sans participation du peuple, nous ne donnerons aucune consigne de vote mais accomplirons néanmoins notre devoir de grand.e électeur-trice. Au-delà de toutes polémiques ou arrangements entre appareils politiques, nous avons fait le choix de la cohérence« , signent des élus LFI du Val-de-Marne, qui se réunissaient ce mercredi 20 septembre pour évoquer la question.

Liste des signataires
Mourad Tagzout, Ivry
Maryvonne Rocheteau, Arcueil
Juila Moro, Villneuve-Saint-Georges,
Nicolas Georges, Boissy-Saint-Léger
Delphine Fenasse, Fontenay-sous-Bois
Martial Prouhèze, La Queue-en-Brie
Frédéric Sans, Chevilly Larue
Thérèse Lefevre, Boissy-Saint-Léger
Mirabelle Lemaire, Le Plessis Trévise

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22 septembre 2017 5 22 /09 /septembre /2017 19:46
La fédération du Parti Communiste Français du Finistère appelle à se mobiliser pour la paix du 21 au 23 septembre 2017 et à participer aux marches pour la paix de Brest et Quimper le 23 septembre

La Fédération du Parti Communiste Français du Finistère appelle les citoyens qui veulent que la France s'engage enfin, à rebours de la politique de Jean-Yves Le Drian et Macron, pour la Paix, le désarmement et le désarmement nucléaire, à se mobiliser le samedi 23 septembre 2017 à l'occasion de la grande journée internationale de la Paix.

Le collectif national "En marche pour la Paix" regroupe plus d'une centaine d'organisations: syndicales, politiques, humanitaires, dont le PCF.

Il appelle à faire du 23 septembre, partout en France, une journée de mobilisation forte contre les logiques guerrières, de surarmement, d'augmentation des budgets militaires et de commerce de la mort. Le 7 juillet dernier, l'ONU adoptait un traité d'Interdiction des armes nucléaires. Nous demandons que la France le ratifie! Nous n'acceptons pas l'ambition proclamée par Macron de porter le budget de la Défense à 2% du PIB dès 2022, soit 50 milliards d'euros contre 32,7 milliards aujourd'hui (dont 3,5 milliards pour les armes nucléaires). Cette augmentation qui gave les industries d'armement va de pair avec une augmentation de la vente d'armes au niveau mondial. La guerre est un des commerces les plus lucratifs, qui renforce les inégalités, la pauvreté, les déséquilibres nord-sud et territoriaux, tout en s'en nourrissant, c'est pourquoi la paix doit être un projet politique prioritaire. Seulement 5% des dépenses militaires mondiales pendant 10 ans permettraient, si elles étaient affectés à des objectifs de développement, de conjurer à l'échelle mondiale le problème de l'alimentation en eau potable, de la faim, de l'analphabétisme, des principales maladies, selon le programme des Nations Unies pour le Développement.  

Dans un contexte international marqué par la recrudescence des conflits meurtriers et foyers de tension extraordinairement dangereux, nous voulons une diplomatie au service de la paix, de la solution pacifique des conflits. Nous sommes stupéfaits par les déclarations guerrières irresponsables de dirigeants parmi les plus puissants de notre planète et inquiets devant la politique dangereuse de l'OTAN. 

Nos militants seront présents au côté du Mouvement de la Paix, de la CGT, et des autres mouvements qui appellent à ces Marches pour la Paix à: 

  • Brest : distribution de tract  square Kennedy à 9h30 suivi à 11h30 d'une marche vers le cours D'Ajot 
  • Quimper : rendez-vous à 11h au Pont Médard de Quimper - marche jusqu’aux jardins de la Paix , près de la place de Brest.  

A signaler aussi une action symbolique à Quimperlé le 21 septembre pour la journée internationale de la paix et un spectacle-débat à Concarneau sur les essais nucléaires dans le Sahara le 22 septembre. 

 En Bretagne, d'autres mobilisations ont lieu à: 

  • Rennes : Voir le dépliant
    RDV Maison des associations dès 13h30 (métro Charles De Gaulle)
    14h à 14h15: Moment artistique avec Kouliballets
    14h15 : Conférence débat sur le thème “Construire la paix en Europe” en présence de délégations internationales venant de 2 villes jumelées avec Rennes : d’Erlanguen en Allemagne (prés de Nuremberg) via une délégation de 4 personnes (pacifistes et syndicalistes de l’Usine Siemens) et d’Exeter, militants de la CND. ATD quart monde international, Mouvement de la paix, Maison internationale de Rennes et autres partenaires Associés au débat (Maison Internationale de Rennes, CGT, élu…). Intervention des syndicats français.
    16h-17h30 : Marche pour la paix sous le thème “Stop les guerres, Stop la misère: Paix !!” avec 8 arrêts symboliques avec 8 prises de parole de 2 minutes pour énoncer les 8 points de la culture de la paix tels que définis par l’Unesco et ONU
    Participation de fanfares, présentation des expositions “visages de paix” et “Femmes ambassadrices de paix”
    17h30 lecture d’un appel pour la ratification du traité d’interdiction des armes nucléaires.
  • Lannion : rassemblement à 11h place de la mairie et marche jusqu’à la sous préfecture. Voir le communiqué
  • Nantes : Départ de la Marche à 11h rendez vous au monument des 50 otages


 

La fédération du Parti Communiste Français du Finistère appelle à se mobiliser pour la paix du 21 au 23 septembre 2017 et à participer aux marches pour la paix de Brest et Quimper le 23 septembre
La fédération du Parti Communiste Français du Finistère appelle à se mobiliser pour la paix du 21 au 23 septembre 2017 et à participer aux marches pour la paix de Brest et Quimper le 23 septembre
La fédération du Parti Communiste Français du Finistère appelle à se mobiliser pour la paix du 21 au 23 septembre 2017 et à participer aux marches pour la paix de Brest et Quimper le 23 septembre
La fédération du Parti Communiste Français du Finistère appelle à se mobiliser pour la paix du 21 au 23 septembre 2017 et à participer aux marches pour la paix de Brest et Quimper le 23 septembre
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22 septembre 2017 5 22 /09 /septembre /2017 19:44
samedi 23-dimanche 24 septembre: week-end revendicatif, convivial et festif contre la Centrale à Gaz de Landivisiau

Les Collectifs en lutte appellent à un rassemblement les 23 et 24
septembre.
La lutte contre le projet de centrale à gaz continue. On ne lâche rien !
Ce week-end festif et militant marquera cette rentrée et sera l'occasion
de s'informer, de discuter et d'unir nos forces pour que ce projet de
centrale à cycle combiné gaz ne voit jamais le jour ni ICI ni AILLEURS.

Au programme :

Samedi 23 septembre :

Rendez-vous dans un lieu surprise (vous pourrez vous garer autour de
Tiez-Nevez, ce sera fléché à partir de là)
Midi : Rendez-vous sur le parking du stade de Tiez-Nevez, pour se rendre
ensemble pour faire le montage.
De 14 h à 17 h : discussion sur la poursuite de la lutte contre la
centrale à gaz (en petits groupes puis ensemble).
De 17h à 18h30 : Discussion sur la convergence des luttes.
19h : repas (pizzas et Cie...).
20h concert :  Chafouin (noise-rock), Buterflai (folk, euskal herria),
Ecuacion Anti-Vida (synthé-batterie, euskal herria), Kre ke ke kex koax
koax (Kreiz-Breizh) et autres invités.

Le dimanche 24 septembre :

Landivisiau et Sizun doivent dire non à la centrale vous invitent à des
randonnées contre le projet, circuits de 8, 13 et 14,5  kilomètres.
Départs entre 9h et 15h de la Salle des Capucins à Landivisiau.
Stand découverte de la faune et de la flore. Projection de
films-documentaires. Restauration sur place.

Venez nombreux et équipés (bottes/chaussures de randos, tente, lampe
frontale, gobelet).

Pour plus d'infos :  https://14novembre.noblogs.org

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22 septembre 2017 5 22 /09 /septembre /2017 06:17
Catalogne: rien ne justifie un tel usage de la force (PCF)
Catalogne : rien ne justifie un tel usage de la force
MERCREDI, 20 SEPTEMBRE, 2017
L'HUMANITE

Communiqué du PCF.

Les informations qui remontent depuis plusieurs semaines sur les agissements de l’État espagnol en Catalogne sont très alarmantes.

Après les menaces contre les élus, les journalistes, les imprimeurs, les saisies de matériel et la présence pesante de la Guardia civil dans la vie quotidienne des catalans, les arrestations et perquisitions de ce matin à la Generalitat sont une étape franchie dans la violence.

Quelle que soit notre opinion sur l'indépendance ou sur la consultation organisée le 1er octobre, rien ne justifie un tel usage de la force. Cela ne règle en rien la question de l'autodétermination des Catalans ni du modèle institutionnel à développer en Espagne. Cela pourrait même conduire à des ruptures dangereuses pour la paix et la sécurité des populations.

Le PCF appelle le gouvernement Rajoy à la raison. Des négociations doivent débuter en vue d'un nouveau processus garantissant aux Catalans – comme aux autres nationalités historiques - un débat sérieux et pluraliste, ainsi que les conditions d'une réelle expression démocratique. Un travail de fond doit s'engager pour une révision constitutionnelle permettant le dépassement des blocages actuels. Nous soutenons, avec nos alliés espagnols, l'idée d'une République fédérale dans un État plurinational.

Catalogne: rien ne justifie un tel usage de la force (PCF)
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22 septembre 2017 5 22 /09 /septembre /2017 06:03
Rassemblement de soutien à Salah Hamouri le vendredi 22 septembre à 18h à Brest place de la liberté
L'avocat Franco-Palestinien Salah Hamouri, emprisonné en Israël depuis le 23 août vient d'écoper de 6 mois de détention administrative, renouvelables, sur ordre du ministre d'extrème droite Avidgor Lieberman. Un déni de droit absolu, dans un silence total des autorités de notre pays (et aucune réponse des parlementaires locaux à nos mails), à la différence du journaliste Loup Bureau, dont nous nous réjouissons de la liberération après l'intervention de Jean-Yves Le Drian en Turquie. Ce deux poids deux mesures entre deux citoyens français n'est pas acceptable ! (voir ci dessous le communiqué du bureau de l'AFPS). 

 
Nous appelons à un rassemblement de soutien à Salah, afin d'exiger sa libération, vendredi 22 septembre à 18h Place de la Liberté à Brest. Nous comptons sur vous nombreux.
Salah Hamouri : injustice est faite, un déni absolu de droit
Ainsi donc la « loi du plus fort » est passée ! Dans cette partie du monde la démocratie ne vaut que pour certains : ceux qui depuis 50 ans – en toute impunité - occupent, colonisent, humilient tout un peuple en le privant de ses droits nationaux.

Salah Hamouri, avocat franco-palestinien résident de Jérusalem-Est, est de nouveau victime de cette arme inique utilisée illégalement de façon massive par le pouvoir israélien : la détention administrative. Après avoir déjà été emprisonné 7 ans pour des accusations fantaisistes, il est condamné à 6 mois de détention administrative sans qu’aucune charge ne pèse sur lui et sans avoir eu droit à aucun procès. La détention administrative permet à un pouvoir autoritaire de maintenir en prison sans aucun motif un opposant - ou supposé tel - sans avoir à avancer le moindre commencement d’un début de preuve. De plus cette condamnation est renouvelable à l’infini sans plus de justification. Ils sont actuellement plus de 400, victimes de ce déni de justice et de démocratie, dans les prisons israéliennes, dont des femmes, des enfants, des député.e.s, pour certains depuis de nombreuses années.

Il a fallu 28 jours au pouvoir israélien pour parvenir à ses fins au gré des atermoiements d’une justice aux ordres d’un pouvoir colonial. Pendant ces 28 jours, la solidarité citoyenne s’est amplifiée, des milliers de messages ont été envoyés aux autorités françaises. Le silence de ces autorités a été assourdissant, insoutenable. L’appel au Président de la République pour qu’il ne reste pas muet face à cette situation est resté sans effet ! Comment expliquer ce silence ? Quand un citoyen français est victime d’arbitraire et d’injustice, c’est la République qui est humiliée.

Et cela, Emmanuel Macron le sait très bien, il en a fait la démonstration pour faire sortir des geôles turques Loup Bureau dont le père rappelait que son fils avait été accusé, de manière fantaisiste et arbitraire, d’appartenir à une "organisation terroriste" par M. Erdogan et les autorités turques. Monsieur le Président de la République, il suffit de remplacer Loup Bureau par Salah Hamouri et Monsieur Erdogan par Monsieur Netanyahou pour éclairer la situation. Monsieur le Président de la République, pourquoi ce silence ? Un avocat franco-palestinien victime de l’arbitraire du pouvoir israélien n’a-t-il pas la même valeur à vos yeux qu’un journaliste français victime de l’arbitraire du pouvoir turc ? Ne mérite-t-il pas le même traitement, le même respect ?

Plus que jamais mobilisé.e.s, nous ne lâcherons rien, tant que Salah n’aura pas retrouvé sa liberté !

Liberté pour Salah Hamouri, l’acharnement du pouvoir israélien contre lui doit cesser !

Le Bureau national de l’Association France Palestine Solidarité
18 septembre 2017
 
 
ASSOCIATION FRANCE-PALESTINE SOLIDARITE 
 
Maison de l'International  
50 Esplanade de la Fraternité - 29200 Brest
 
Adresse postale:
245, Cours Aimé Césaire - 29200 Brest 
 
www.france-palestine.org
afpsbrest.wordpress.com
www.facebook.com/afps.brest
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22 septembre 2017 5 22 /09 /septembre /2017 05:54
Au lendemain du "coup d'Etat", Barcelone reste mobilisée ( Irène Casado et la rédaction de Médiapart, 20 septembre 2017)
Au lendemain du «coup d'Etat», Barcelone reste mobilisée
 PAR  ET 

La police espagnole a déclenché mercredi une vaste opération destinée à empêcher la tenue du référendum sur l’indépendance de la Catalogne, prévu par les autorités locales le 1er octobre mais interdit par la justice constitutionnelle espagnole. Quatorze responsables catalans ont été arrêtés.

Avec Irène Casado, envoyée spéciale à Barcelone.- « Liberté ! Démocratie ! », « Nous allons voter » ou « La rue est toujours à nous ! ». La mobilisation se poursuit ce jeudi à Barcelone, après la vaste opération policière de la veille destinée à empêcher la tenue du référendum sur l’indépendance de la Catalogne. Des membres de l’Assemblée nationale catalane ont appelé à une « mobilisation permanente » pour défendre le droit à l’autodétermination. Des milliers de personnes se sont rassemblées devant le Tribunal supérieur de justice de Catalogne, réclamant la libération des onze personnes arrêtées, et toujours en garde à vue jeudi soir, à cause de leur rôle dans l’organisation du référendum prévu le 1er octobre. Dans la nuit de mercredi à jeudi, de nombreux Catalans étaient déjà descendus dans la rue.

La « collision de trains », selon l’expression consacrée de la presse espagnole, s’est produite ce mercredi. Elle menaçait depuis l’adoption, le 6 septembre, par le Parlament, le Parlement catalan, de la loi organisant un référendum pour l’indépendance de la Catalogne, le 1er octobre, que Madrid est déterminé à empêcher. Mardi 12 septembre, la Cour constitutionnelle espagnole, saisie par le gouvernement de Mariano Rajoy, avait jugé la loi contraire à la Constitution de 1978. Et ce mercredi, la garde civile a mis le feu aux poudres en arrêtant quatorze hauts responsables de l'exécutif de la région de Catalogne, qui rassemble des conservateurs, des sociaux-démocrates et des figures de la société civile, et en procédant à 22 perquisitions, notamment dans les ministères régionaux de l'économie, de l'intérieur et des affaires étrangères, ainsi qu'aux sièges du Trésor et du Centre des télécommunications et des technologies de l'information. Près de 10 millions de bulletins de vote ont également été saisis.

« L'État espagnol a de facto suspendu l'autonomie en Catalogne et créé l'état d'urgence », a réagi le président de l'exécutif régional, Carles Puigdemont, à l'issue d'une réunion spécialement convoquée au palais de la Généralité, entouré de membres de son gouvernement. Auparavant, le chef de l'exécutif avait appelé les Catalans à défendre la démocratie face à un « régime répressif et intimidant » en participant en masse au référendum du 1er octobre. « Nous avons tous l'obligation de respecter la loi », avait auparavant déclaré à Madrid le chef du gouvernement, Mariano Rajoy, lors d'une séance parlementaire houleuse lors de laquelle un groupe d'élus catalans a quitté l'hémicycle pour protester. Dans la soirée, le chef du gouvernement espagnol a de nouveau invité les dirigeants catalans à renoncer au scrutin : « N'allez pas plus loin. Revenez à la loi et à la démocratie. Ce référendum est une chimère », a-t-il dit lors d'une allocution télévisée.

La réaction des Barcelonais ne s’est pas fait attendre : par milliers, ils se sont rassemblés pour manifester contre le comportement « antidémocratique » et « totalitaire » du pouvoir central, selon les mots de Carles Puigdemont, après l'arrestation de Josep María Jové, adjoint d'Oriol Junqueras, vice-président et conseiller à l'économie et aux finances de la Généralité de Catalogne. « Face au tournant autoritaire de l'État, Barcelone soutient les institutions catalanes et défend l'autonomie catalane. Si Rajoy persiste dans cette stratégie répressive, il trouvera des voix diverses et pro-catalanes plus unies que jamais pour défendre les droits et la liberté. Nous accueillons et célébrons les manifestations à Barcelone, en Catalogne et dans toute l'Espagne. Continuons à manifester, toujours pacifiquement », a réagi la maire de la ville, Ada Colau, dans une série de tweets rédigés en catalan, en espagnol et en anglais. Elle a ensuite remercié les manifestants dans quarante villes espagnoles : « Si le PP [parti populaire de Rajoy – ndlr] restreint les droits et libertés de quelques uns, il restreint la démocratie de tous. »

Comme beaucoup d’autres figures de la gauche, le leader de Podemos, Pablo Iglesias, avait regretté que la consultation du 1er octobre manque de garanties juridiques suffisantes – par exemple pour la protection juridique des fonctionnaires qui devront l’organiser, précisément ceux qui ont été arrêtés ce mercredi : Iglesias évoque aujourd'hui « des prisonniers politiques ». Le mouvement anti-austérité défend le droit des Catalans « à décider » – c’est-à-dire la tenue d’un référendum –, mais aussi l’idée d’un référendum validé par Madrid, sur le modèle du référendum écossais, validé par le Royaume-Uni à l’époque. Le mouvement a appelé à une mobilisation pour les libertés démocratiques, à 19 h 30, Puerta del Sol…

Depuis son entrée en fonctions fin 2011, Mariano Rajoy, le chef de la droite espagnole, est l’un des premiers responsables du pourrissement de la situation entre Madrid et Barcelone. Il n’a jamais cherché à rouvrir la voie des négociations, préférant se draper dans une position de garant de l’unité espagnole, pour consolider son statut d’homme fort à Madrid (lire notre analyse). Il bénéficie du soutien, contre la tenue du référendum, des libéraux de Ciudadanos, et dans une moindre mesure des socialistes du PSOE, qui continuent d'appeler à des négociations pour une sortie politique de la crise (à l'inverse de la bataille strictement judiciaire engagée par Rajoy). 

 

De son côté, à Barcelone, l’exécutif régional a continué, inflexible, à dérouler sa feuille de route. Il s'estime légitime, après les régionales de septembre 2015, qui ont donné une majorité au sein du Parlament, aux formations indépendantistes (en nombre de sièges, mais pas en nombre de voix). Le 28 août dernier, le gouvernement de Puigdemont a présenté une loi « sur la période de transition » : une mini-Constitution de 89 articles, qui entrerait en vigueur à partir du 2 octobre, si le « oui » l’emportait la veille, le temps de faire élire une véritable Constituante pour fonder la République catalane. Avant de faire adopter, le 6 septembre, la loi proprement dite sur le référendum, interdite le 12. Madrid avait alors déposé quatre recours devant le Tribunal constitutionnel, l’institution chargée de faire respecter la Constitution espagnole.

Dimanche 17, la garde civile avait saisi près de Barcelone 1,3 million de tracts, dépliants et affiches en vue du référendum dans une entreprise de distribution de publicités d'une commune de la province de Barcelone, « empaquetés sur des palettes, prêts à être distribués », selon un communiqué du ministère. Parmi ces documents se trouvaient quelque 700 000 tracts en faveur du oui au référendum et environ 370 000 dépliants avec le logo du gouvernement catalan promouvant la participation au référendum. Environ 138 000 affiches de la Candidature d’unité populaire, autre force politique de gauche de premier plan, avaient également été saisies. Selon le ministère de l'intérieur, la saisie de matériel faisant la promotion du oui en même temps que des documents officiels du gouvernement catalan a démontré « l'unité d'action » entre le gouvernement régional et la campagne du oui.

La veille, samedi 16, la garde civile avait perquisitionné, à la demande d'un juge de Tarragone, les locaux du quotidien de la ville de Valls, El Vallenc. Les gardes civiles recherchaient du matériel imprimé en rapport avec le vote prévu le 1er octobre, notamment des bulletins de vote. L'opération a duré cinq heures et les policiers sont apparemment rentrés bredouilles, emportant cependant des documents de l'entreprise. 

 

Cette opération a provoqué beaucoup de réactions indignées dans les milieux indépendantistes. Le vice-président de la Généralité, Oriol Junqueras, a évoqué une attaque contre la liberté d'expression. Immédiatement après l'arrivée de la garde civile, une manifestation s’était tenue durant l'opération, devant les locaux d'El Vallenc.

Interrogé le 29 août par Mediapart, Raül Romeva, « ministre des affaires étrangères » de Catalogne, s'était dit convaincu que le scrutin du 1er octobre aurait bien lieu. Cet ancien eurodéputé, né en 1971, issu du parti écologiste ICV, a fait de l’indépendance de la Catalogne sa priorité. « Si quelqu’un pense qu’il n’y aura pas de référendum, il faut qu’il nous dise comment il compte s’y prendre pour empêcher sa tenue », avait-il martelé. « Nous demandons que tout le monde puisse s’exprimer et que l’on respecte la liberté des gens. De ce point de vue, il faut se demander pourquoi nous en sommes arrivés là. C’est cette question que je voudrais que certains acteurs se posent. Il y a beaucoup de réactions négatives contre le fait de voter, mais je vois peu d’interrogations sur la raison pour laquelle des gens comme nous en sont arrivés à un point où ils veulent décider de leur avenir. C’est pourtant là que se situe l’enjeu. »

En 2014, lors d'une précédente consultation, le « oui » l’avait emporté largement, mais les opposants à l’indépendance avaient boycotté ce scrutin. À l'époque, Rajoy – déjà en poste à Madrid – avait opté pour une stratégie différente : il avait ignoré les résultats du scrutin, mais n'était pas intervenu en amont, pendant la campagne. Cette fois, il s'est trouvé contraint de durcir un peu plus le ton, dès l'approche de la consultation. La stratégie du tout-judiciaire du parti conservateur espagnol, le PP, est extrêmement hasardeuse, et pourrait s'avérer lourde de conséquences pour la suite – c'est-à-dire après le 1er octobre, qu'il y ait, ou non, un référendum. Tout simplement parce qu'elle risque de doper encore un peu plus le camp des indépendantistes, qui ne cesse de croître depuis 2010.

 ​​​​

Mondialement connu, le club de football du FC Barcelone (dont le capitaine puis entraîneur historique Pep Guardiola est un fervent indépendantiste) a affiché son soutien au référendum dans un communiqué : « Après les faits survenus ces derniers jours, et en particulier aujourd'hui, en lien avec la situation politique de la Catalogne, le FC Barcelone, fidèle à son engagement historique en faveur de la défense du pays, de la démocratie, de la liberté d'expression et du droit à décider, condamne toute action susceptible d'empêcher le plein exercice de ces droits. » 

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22 septembre 2017 5 22 /09 /septembre /2017 05:47
Site internet du Parti des Travailleurs Belge

Site internet du Parti des Travailleurs Belge

Catalogne : la gauche dénonce la répression et appelle au dialogue
auteur: 

Les images sont fortes. Au matin du 20 septembre, 14 hauts fonctionnaires de l'administration catalane ont été arrêtés par la Garde civile espagnole. L'objectif du gouvernement espagnol est d'éviter l'organisation d'un référendum sur l'indépendance de la Catalogne, programmé pour le 1 octobre.

Depuis l'annonce du référendum le 6 septembre, la réaction du gouvernement n’a été que répressive. D'abord, le Tribunal constitutionnel a suspendu d'urgence la loi catalane sur le référendum. Ensuite, Mariano Rajoy (PP), Premier ministre conservateur, a envoyé des centaines de policiers de la Garde civile en Catalogne. Les fonds du gouvernement catalan ont été bloqués et des sièges de journaux perquisitionnés. Ces images de répression fortes font craindre un recul généralisé des droits démocratiques en Espagne.

Ada Colau, la bourgmestre progressiste de Barcelone, a tout de suite dénoncé les arrestations comme une atteinte aux libertés et droits démocratiques. La condamnation de la répression du gouvernement espagnol dépasse de loin les frontières catalanes. Au parlement européen, le groupe de la Gauche unitaire européenne (GUE/NGL) a dénoncé l'action du gouvernement espagnol et exigé une solution pacifique et démocratique.

En Espagne même, des mobilisations ont eu lieu dans une vingtaine de villes, dénonçant les mesures répressives et antidémocratiques du gouvernement espagnol. Pablo Iglesias (Podemos) s'est montré incrédule face à la prise de prisonniers politiques en Espagne. Pour Alberto Garzón, porte-parole de la coalition de gauche Izquierda Unida, il ne s'agit en effet plus d'une question d'indépendance, mais de droits fondamentaux. Garzón souligne que l'action du gouvernement conservateur, soutenu les libéraux de Ciudadanos, sape les libertés fondamentales. Dans ce sens, affirme Garzón, les actions du gouvernement ne touchent pas « uniquement les indépendantistes, une partie de la société catalane, qui ont une position que beaucoup d'entre nous ne partagent pas », mais l'entièreté de la société. Contre quels opposants politiques la Garde civile sera-t-elle utilisée demain ? Et après-demain ?

La gauche radicale non-indépendantiste a pourtant beaucoup de questions sur le référendum décrété par le dirigeant catalan de droite Puigdemont. Différents députés catalans se demandent notamment quel serait réellement l’impact d’un tel référendum en l’absence d’accord ou même de négociations avec l'État espagnol ou d'autres États européens.

La gauche radicale défend le droit de décider, mais regrette la façon dont le référendum à été organisé. À gauche, on préconise plutôt un large débat de société, nécessaire pour décider de tels sujets. Ce débat pourrait alors mettre à l'agenda une série de questions fondamentales et stimuler la solidarité entre travailleurs des différentes parties du pays. Aujourd'hui, le débat est par contre pris en otage par deux dirigeants de droite, désireux de se profiler au détriment des droits fondamentaux.

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22 septembre 2017 5 22 /09 /septembre /2017 05:24

Catalogne-

Les dockers et portuaires des ports de Barcelone et Tarragone, réunis en AG, ont voté le refus de ravitailler les 3 ferry affrétés par le ministère de l'intérieur espagnol et qui hébergent à son bord 3000 hommes des troupes spéciales de la garde civile dépêchés en Catalogne pour renforcer le coup d'état et la répression. Aussitôt, le ministère de l'intérieur a essayé de se servir des sociétés sous-traitantes. Les sous-traitants ont à leur tour voté le refus ! Vive la classe ouvrière !

Los parlamentarios de Izquierda-Ezkerra participamos en la concentración contra la represión del PP en Cataluña y a favor del diálogo y el pacto para que el pueblo catalán decida su futuro.  Les députés de gauche-PSOE participent à la concentration contre la répression du pp en Catalogne et pour le dialogue et le pacte pour que le peuple catalan décide de son avenir. (vu sur la page Facebook de notre camarade Maïté Mola, porte-parole du Parti Communiste Espagnol)

Los parlamentarios de Izquierda-Ezkerra participamos en la concentración contra la represión del PP en Cataluña y a favor del diálogo y el pacto para que el pueblo catalán decida su futuro. Les députés de gauche-PSOE participent à la concentration contre la répression du pp en Catalogne et pour le dialogue et le pacte pour que le peuple catalan décide de son avenir. (vu sur la page Facebook de notre camarade Maïté Mola, porte-parole du Parti Communiste Espagnol)

Marisa de Simón (I-E) dice, sobre Cataluña, que "no a la represión y sí a la democracia y al diálogo"

PAMPLONA, 21 Sep. (EUROPA PRESS) -

La portavoz de Izquierda-Ezkerra en el Parlamento de Navarra, Marisa de Simón, ha dicho, sobre lo que está ocurriendo en Cataluña, que "no a la represión, sí a la democracia, sí al diálogo, sí al acuerdo y sí a la participación".

En declaraciones a los medios de comunicación, De Simón ha señalado que "hemos rechazado la acción autoritaria y represiva del PP, que está impidiendo al pueblo catalán decidir sobre su futuro".

A su juicio, "la solución no está en los tribunales, está en la política". "La solución no está en un referéndum unilateral y no pactado y sin garantías y la solución está en referéndum pactado, con garantías y que permita precisamente al pueblo catalán decidir sobre su futuro sin exclusiones", ha sostenido.

Además, la portavoz de I-E ha manifestado su "rechazo a las coacciones que están recibiendo representantes públicos y alcaldes catalanes por su posicionamiento en relación al referéndum".

Marisa de Simon (I-e) dit, sur la Catalogne, que "Non à la répression et oui à la démocratie et au dialogue"

Pampelune, 21 SEP. (Europe press)

La porte-Parole de gauche-PSOE au Parlement de Navarre, Marisa de Simon, a dit, sur ce qui se passe en Catalogne, que " Non à la répression, oui à la démocratie, oui au dialogue, oui à l'accord et oui à la Participation ".

Dans les déclarations des médias, Simon a déclaré que "Nous avons rejeté l' action autoritaire et répressive du pp, qui empêche le peuple catalan de décider de son avenir".

À son avis, " la solution n'est pas dans les tribunaux, c'est dans la politique ". " la solution n'est pas dans un référendum unilatéral et non convenu et sans garantie, et la solution est par référendum convenu, avec des garanties et qui permet précisément au Peuple catalan décider de son avenir sans exclusions ", a soutenu.

En outre, la porte-Parole de I-e a exprimé son "rejet des contraintes que reçoivent des représentants publics et des maires catalans pour leur positionnement par rapport au référendum".
Marisa de Simon, porte-parole de Izquierda Unida au gouvernement de Navarre, a dénoncé avec force la répression du pouvoir central en Catalogne
Marisa de Simon, porte-parole de Izquierda Unida au gouvernement de Navarre, a dénoncé avec force la répression du pouvoir central en Catalogne

Marisa de Simon, porte-parole de Izquierda Unida au gouvernement de Navarre, a dénoncé avec force la répression du pouvoir central en Catalogne

La Guardia Civil a pris d’assaut, ce mercredi 20 septembre au matin, le gouvernement catalan. La police espagnole a envahi le ministère de l’Économie et divers organismes des finances catalanes dont l’Agence du Trésor, ainsi que le ministère des Affaires Extérieures. La Guardia Civil a arrêté le ministre des Finances catalan Josep Maria Jové. Les policiers ont également pris d’assaut le ministère des Affaires Sociales catalan. « Nous sommes dans un état de siège ! C’est une honte ! » a indiqué Dolors Bassa la ministre des Affaires Sociales.

Les interventions de la Guardia Civil se multiplient en Catalogne. Une douzaine de responsables de l’administration catalane a été interpellée.

Pablo Iglesias, leader de Podemos, a indiqué que les personnes qui y ont été arrêtées ce matin sont des « prisonniers politiques ».

Carles Puigdemont président de la Generalitat de Catalogne a convoqué une réunion extraordinaire avec les principaux responsables des partis du Parlement catalan.

Le porte-parole de ce même Gouvernement a appelé au calme. L’ANC, Assemblea Nacional Catalana, principal moteur du mouvement indépendantiste, a fait de même, en appelant également a une grande mobilisation des citoyens devant les ministères et les lieux de pouvoir catalan.

(La Semaine du Roussillon)

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22 septembre 2017 5 22 /09 /septembre /2017 05:04
photo Pierre-Yvon Boisnard

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Alain David et Patrick Le Goas (FO) - photo Pierre-Yvon Boisnard

Alain David et Patrick Le Goas (FO) - photo Pierre-Yvon Boisnard

photo Pierre-Yvon Boisnard

photo Pierre-Yvon Boisnard

Antoine Gauchard au micro pour la FSU et l'intersyndicale, Glenn Le Saout et Julien Tanguy autour de lui

Antoine Gauchard au micro pour la FSU et l'intersyndicale, Glenn Le Saout et Julien Tanguy autour de lui

Glenn  Le Saout et Antoine Gauchard ont tout deux lu des discours toniques et mobilisateurs

Glenn Le Saout et Antoine Gauchard ont tout deux lu des discours toniques et mobilisateurs

photo Pierre-Yvon Boisnard

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Muriel Grimardias - photo Ismaël Dupont

Muriel Grimardias - photo Ismaël Dupont

photo I Dupont

photo I Dupont

photo I Dupont

photo I Dupont

photo I Dupont

photo I Dupont

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photo Pierre-Yvon Boisnard

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photo Pierre-Yvon Boisnard

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photo Pierre-Yvon Boisnard

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photo I Dupont

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2 fois moins de monde que le 12 septembre au moins, mais néanmoins une manif qui avait des couleurs et de l'allure, et une pression maintenue sur le gouvernement. A Brest, les manifestants étaient 2000, 300 à Quimperlé. On ne lâche rien! 

Prochaines étapes: manif des retraités le 28 septembre à l'appel de l'intersyndicale, manif des fonctionnaires le 10 octobre.  

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