Overblog Tous les blogs Top blogs Politique Tous les blogs Politique
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
MENU
15 avril 2015 3 15 /04 /avril /2015 10:34

Le 17 avril est la journée internationale de solidarité avec les prisonniers politiques.

Le Parti Communiste appelle à faire de ce vendredi une journée de mobilisation populaire pour la libération immédiate et sans condition de tous les prisonniers politiques palestiniens en organisant des inaugurations symboliques de place Marwan Barghouti partout dans le pays.

Israël détient aujourd'hui 6000 prisonniers dont 163 enfants (parmi lesquels 13 de moins de 16 ans); 484 détenus sont condamnés à la perpétuité. Leur nombre est en constante augmentation et Israël continue d'agir en dépit du droit international; ces arrestations arbitraires conduisent alternativement à des condamnations devant des tribunaux militaires ou des détentions administratives, c'est à dire sans aucune possibilité de défense pour les détenus. Depuis 1967, ce sont 800 000 Palestiniens qui ont été ainsi emprisonnés illégalement, soit 20% de la population palestinienne... et ce n'est qu'en 1999 que la Cour suprême israélienne a interdit "certaines méthodes de torture, sauf cas d'extrême nécessité".

En 2014, 2000 prisonniers ont fait près de 12 semaines de grève de la faim contre les détentions administratives. Ils n'ont reçu aucun soutien des officiels européens alors que l'article 2 des accords d'association avec l'Union européenne exige le respect des droits de l'homme.

Israël détient ainsi des civils et des représentants du peuple démocratiquement élus, puisque 17 membres du Conseil législatif palestinien parmi lesquels le député Marwan Barghouti, dirigeant de l'Organisation de Libération de la Palestine (OLP). Il y a quelques jours encore, au début de ce mois d'avril, l'armée israélienne a arrêté au milieu de la nuit chez elle, en territoire palestinien, la députée Khalida Jarrar, dirigeante du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP).

L'absence de toute réaction internationale, européenne et américaine, conforte le sentiment d'impunité des dirigeants israéliens. Il n'existe aucun autre cas d'impunité aussi totale que celle dont jouit Israël; une exception injustifiable et une situation d'injustice, d'humiliation et de violence insupportable pour les Palestiniens à laquelle il faut mettre un terme, car plus elle dure, plus elle éloigne toute perspective de paix- et c'est précisément l'objectif recherché par la droite et l'extrême-droite israéliennes.

Dans ce contexte, seules la solidarité internationale et la mobilisation populaire peuvent peser significativement, comme en témoignent les votes de parlements européens en faveur de la reconnaissance de l'Etat palestinien. En France, nous devons aujourd'hui contraindre le chef de l'Etat à respecter ce vote.

Affiche de la campagne du PCF pour les prisonniers politiques palestiniens: "Marwan je crie ton nom Liberté!" - 17 avril

Affiche de la campagne du PCF pour les prisonniers politiques palestiniens: "Marwan je crie ton nom Liberté!" - 17 avril

Partager cet article
Repost0
15 avril 2015 3 15 /04 /avril /2015 05:54
Le Télégramme Morlaix, 15 avril 2015

Le Télégramme Morlaix, 15 avril 2015

Partager cet article
Repost0
15 avril 2015 3 15 /04 /avril /2015 05:47

Le documentaire de Franck Salomé sur les conditions d'enfermement arbitraire et de détention des prisonniers politiques palestiniens - "Palestine: la case prison" (2014)- sera projeté à La Salamandre le jeudi 16 avril à 20h, suivi d'un débat organisé par l'AFPS, la Ligue des Droits de l'Homme, Acat, Amnesty International.

Nous sommes en Cisjordanie. Dans ce petit territoire sans état, les Palestiniens subissent, au nom de la sécurité de leur puissant voisin, un système d’emprisonnement, au sens figuré comme au sens propre.
Le débat qui suivra le visionnage sera animé par Laude Léostic, présidente de la plateforme, des ONG françaises pour la Palestine, et Yves Jardin, du groupe de travail « prisonniers » de l’AFPS.

Jeudi 16 avril, 20 h, La Salamandre.
http://www.ouest-france.fr/bretagne/finistere/morlaix-29600#from-breadcrumb

Le Télégramme, l'info vous suit partout Morlaix
« Palestine : la case prison ». Un film de soutien demain à La Salamandre

15 avril 2015 à 07h57

http://www.letelegramme.fr/images/2015/04/15/les-membres-de-l-afps-association-france-palestine_2327260_100x100.jpg?v=1

Les membres de l'AFPS (Association France Palestine Solidarité), de la LDH (Ligue des droits de l'Homme) et de l'ACAT (Association des chrétiens pour l'abolition de la torture) invitent à la projection du documentaire « Palestine : la case prison ». Ci-dessus : Michelle et Yves Abramovicz ; Jean Jacques Morel ; Jacques Normand et Françoise Carpentier.

Avoir l'intention d’envisager un attentat contre un rabbin » est le crime dont a été accusé Salah Hamouri en 2005. Cet étudiant franco-palestinien a été incarcéré pendant près de sept ans. Libéré depuis deux ans, il n’a pas le droit de circuler librement sur le territoire palestinien. « Il est devenu un suspect à vie », précise Michèle Abramovicz, membre de l’AFPS (Association France Palestine Solidarité).

De nombreux Palestiniens, à l’image de Salah Hamouri, seraient donc arrêtés tous les jours « sans fondements ». Pour leur venir en aide, les membres de la plateforme des ONG pour la Palestine ont décidé de se mobiliser une fois de plus en soutenant la réalisation d’un documentaire signé Franck Salomé. Ce film montre les conditions de vie des prisonniers, et cherche à sensibiliser l’opinion publique. Il s’intitule « Palestine : la case prison » et est déjà disponible en DVD. Il sera diffusé pour la première fois sur grand écran demain, au cinéma La Salamandre.

Ce film de 58 minutes est constitué de témoignages d’anciens prisonniers et de militaires palestiniens. Ils souhaitent, aux côtés de différentes associations, dénoncer les atteintes portées aux droits de l'Homme.

« Un délit d’intention »

« Certains citoyens passent des mois, voire des années, en prison sans savoir pourquoi », assure Jacques Normand, président de la LDH (Ligue des droits de l'Homme) à Morlaix. Le gouvernement palestinien exercerait donc un contrôle préventif qualifié de « totalitaire » par les membres de l'association. « On sanctionne un délit d’intention. Il est donc normal de passer par la case prison au moins une fois dans sa vie », déplore Yves Abramovicz, président de l’AFPS à Morlaix. « Et ce n’est qu’un exemple d’atteinte aux droits de l’Homme. Les conditions de vie des prisonniers sont atroces ». ajoute Jacques Normand.

-Pratique

Demain à 20 h. Tarif :5 euros

http://morlaix-palestine-solidarite.jimdo.com/

http://www.letelegramme.fr/finistere/morlaix/palestine-la-case-prison-un-film-de-soutien-demain-a-la-salamandre-15-04-2015-10595916.php

Bande annonce du film : https://youtu.be/E93CR2qNtv0

Présentation du film "Palestine: la case prison" par le groupe AFPS et la LDH (Le Télégramme, 15 avril 2015)

Présentation du film "Palestine: la case prison" par le groupe AFPS et la LDH (Le Télégramme, 15 avril 2015)

Partager cet article
Repost0
13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 19:51

Rapport Cour des comptes/ droit d'asile : le PCF rappelle que la France est le pays européen qui accueille en proportion le moins de réfugiés

Alors que le projet de loi sur la réforme du droit d’asile adopté en première lecture à l’Assemblée nationale est examiné par la commission des lois du Sénat mercredi 15 avril 2015, la publication d’un rapport de la Cour des Comptes par le Figaro sur la gestion des demandeurs d’asile relance la polémique sur le fait que la politique d'asile serait devenue la principale d'arrivée d'immigrants clandestins aux frais de la collectivité nationale.

Afin que ce nouveau rapport n’alimente pas une surenchère visant à durcir toujours plus la gestion des flux migratoires, le PCF rappelle que dans la plupart des demandes d’asile rejetées, il ne faut pas voir la preuve du caractère abusif de ces demandes. Les rejets sont souvent le produit d’une interprétation contestable des textes relatifs au droit d’asile par les institutions. Ils sont aussi la conséquence des difficultés administratives, juridiques, matérielles, linguistiques, médicales et psychologiques des demandeurs d’asile à exposer pleinement leurs craintes en cas de retour vers leurs pays d’origine.

On voudrait nous faire croire qu’il faudrait partir à la chasse aux « faux demandeurs d’asile » et aux « fraudeurs » prêts à déferler sur le territoire national. Pourtant la France est le pays européen (comparativement à sa population) qui accueille le moins de réfugiés.

En effet, quand l’Allemagne accueille 70 000 réfugiés syriens, quand la Suède (moins de 10 millions d’habitants) en accueille 30 000 et projette de monter ce chiffre à 100 000, la France a, au total, accordé 30 000 visas à des réfugiés syriens depuis le début de la crise alors que 4 millions d’entre eux sont réfugiés dans un pays limitrophe à la Syrie. On est loin de l’invasion fantasmée par la droite et l’extrême droite.

Il est au contraire nécessaire de renforcer les droits fondamentaux des demandeurs d’asile comme le réclament la Commission nationale consultative des droits de l’homme, le commissaire aux droits de l’homme du conseil de l’Europe, mais aussi les députés du Front de gauche qui se sont abstenus en première lecture sur le projet de réforme du droit d’asile. La Cour des Comptes serait plus inspirée d’enquêter sur l’utilisation des fonds publics accordés aux entreprises et les retours en matière d’emplois et d’investissements.

Fabienne Haloui et Laurence Zaderatzky, commission Lutte contre les racismes et pour l’égalité des droits du PCF

Partager cet article
Repost0
13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 18:37

Triste journée pour la culture et l'intelligence

Trois décès ternissent singulièrement cette journée du 13 avril et viennent endeuiller le monde des lettres, les lectrices et les lecteurs. La mort du grand écrivain allemand Günter Grass, prix Nobel de littérature qui, avec un sens aiguisé de la controverse soutenu par une plume hors norme, a mêlé sa voix aux douloureux débats qui secouèrent l’Allemagne lors de sa reconstruction sur les ruines et les horreurs du nazisme.
Celle de l’éditeur et écrivain François Maspero, figure emblématique d’une gauche anticoloniale et résolument engagée, qui mena de front avec sa maison d’édition le combat contre la censure et la torture pendant la guerre d’Algérie, puis fut l’hôte dans la quartier latin à Paris de nombreux intellectuels marxistes dans les années 60 et 70. On se souviendra également de son rôle dans la création du tribunal Russel pour la justice envers La Palestine et son peuple.
Enfin, nous pleurons l’écrivain uruguayen Eduardo Galeano, conscience des peuples latino-américains, emprisonné puis contraint à l’exil à la suite du coup d’état organisé dans son pays par la junte militaire en 1973, et dont le livre Les Veines ouvertes de l’Amérique latine, qui relate plusieurs siècles de dominations impérialistes et de pillages sur le continent sud-américain, avait été offert par Hugo Chavez à Barack Obama.
Triste journée pour la culture, la création littéraire et l’intelligence. Appelons à les lire et relire. Leurs œuvres vivront !

Patrick Le Hyaric

Günter Grass (photo L'Humanité.fr)

Günter Grass (photo L'Humanité.fr)

François Maspéro (photo Alternatives Economiques)

François Maspéro (photo Alternatives Economiques)

Partager cet article
Repost0
13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 06:17

Le Morlaisien Ismaël Dupont, 35 ans, a été élu ce samedi, à Plonéour-Lanvern (29), secrétaire départemental de la fédération du Finistère du Parti communiste à l’issu d’un congrès extraordinaire. Il succède au Rospordinois Éric Le Bour. En place depuis huit ans ce dernier n’aura donc pu poursuivre son action jusqu’au congrès de 2016.
Explications.

Différend politique
"On travaille depuis six mois à ce que les choses changent", lance Ismaël Dupont aux adhérents du Parti communiste réunis depuis le matin en assemblée générale extraordinaire.
Un changement de ligne vis-à-vis d’un gouvernement socialiste qui, selon lui, "se soumet" à la "dictature des milieux financiers". Le nouvel homme fort de la fédération du Finistère souhaite que le Parti communiste "incarne une alternative politique" et entend "élargir le Front de gauche".
Une démarche qui n’était pas celle d’Éric Le Bour. Partisan d’un rassemblement très large à gauche, ce dernier a été désavoué. "J’estime que malgré une différence de politique on peut travailler ensemble et être utile à faire avancer les choses", explique Éric Le Bour. "J’avais proposé qu’on travaille à un document collectivement et une direction remaniée regroupant les différentes tendances jusqu’au congrès ordinaire de 2016". Il n’a pas été entendu.

Relancer la fédération
Entré au PC en 2006, élu depuis les dernières élections municipales, Ismaël Dupont qui travaille comme documentaliste dans un collège souhaite "relancer la fédération" et notamment "renouer le dialogue entre les sections" qui pour beaucoup "somnolent". La fédération du Finistère compte aujourd’hui plus de 600 adhérents et 92 délégués. Quant aux chantiers qu’il souhaite mener de manière collective, ils sont nombreux. À commencer par les finances de la section. "Il va d’ailleurs mettre en place une conférence financière pour mettre à plat nos difficultés financières", explique-t-il. Le changement qu’il préconise passe aussi par la capacité de la fédération à faire des propositions. Les pistes de réflexions sont nombreuses. Elles concernent l’économie et les relations syndicat-entreprise, la santé, le maritime, la culture, recherche et l’enseignement. Pas question de traîner en route. Le premier conseil départemental se tient dans quatre jours à Pont-de-Buis.

Photo Télégramme du 12 avril 2015

Photo Télégramme du 12 avril 2015

Partager cet article
Repost0
13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 06:08

Motion adoptée à l'unanimité des 80 délégués au Congrès Extraordinaire du PCF du Finistère à Plonéour-Lanvern le 11 avril 2015.

Dans le Finistère le Parti Communiste au cœur des luttes pour reconstruire une nouvelle force de gauche, une majorité alternative, citoyenne et populaire, pour sortir de l’austérité et pour un projet social, solidaire et écologique.

Notre pays va mal, notre région aussi, c'est un constat alarmant mais bien réel que chacun peut faire. Discréditée par un gouvernement et un président de la République élu en son nom, la gauche est en danger. Les élections l’ont une nouvelle fois confirmé: cette politique libérale, ou sociale-libérale, est mortifère, elle fait le jeu de l’extrême droite et de la droite.

En Bretagne, entre 2011 et 2012 : 11.000 foyers aux revenus fiscaux inférieurs à 20.000 euros sont devenus imposables. 30 % de ces foyers, les plus modestes ont payé l'impôt sur le revenu en 2012 contre 27,5 % l'année précédente. Leur effort fiscal : plus de 42 millions d'euros en un an.

Conséquences directes, une multitudes d'aides individuelles directement liées au niveau d'imposition ont été soit remise en cause soit sérieusement diminuées... Appauvrissant encore davantage les plus précaires. La part des habitants qui renoncent aux soins pour motif financier, atteint dans notre région un pourcentage de 25 à 30% voir supérieur pour certaines communes, l'on constate que les personnes ou catégories qui, n'étaient pas allées consulter un médecin depuis plus de 12 mois pour des motifs financiers sont en majorité, des précaires : chômeurs, familles monoparentales, personnes sans CMU (couverture maladie universelle) ni complémentaire santé. Les femmes sont, par ailleurs, plus nombreuses que les hommes à déclarer avoir renoncé à des soins. L’indispensable loi sur le vieillissement et la perte d’autonomie reste à construire : par le peu de moyens nouveaux qu’elle prévoit pour adapter la société aux personnes âgées dans toutes les dimensions de leur existence, la loi de Marisol Touraine est tragiquement en deça des enjeux. Adapter la société au vieillissement demande de financer la prise en charge de la perte d'autonomie dans le cadre de la sécurité sociale universelle en mettant à contribution les revenus financiers.

Conséquences économiques et sociales : Chômage, précarité, mal vivre... Nous n'allons pas comme certains constater les dégâts d'une politique et de droite prolongée par une austérité de « gauche » mais plutôt y voir la continuité de l'agression contre les plus démunis. la diminution des crédits sociaux et publics, le blocage des rémunérations du travail et des retraites, le maintien d’une fiscalité injuste et la casse de l’organisation territoriale du pays.

S'ajoute à tout cela le sentiment de n'être pas écoutés voire méprisés par un gouvernement sourd à ce qui monte du pays: défenseurs de l'hôpital de Douarnenez en butte à la volonté de casse de cet établissement par la Ministre , salariés de l'agro-alimentaire, parents d 'élèves se dressant contre les fermetures de classe et bien d'autres encore,tous sont exaspérés, en colère.

Pourtant ils et elles sont porteurs de propositions, de solutions, d'idées novatrices. Que ne les écoute-t-on pas!

Pendant ce temps le grand capital se gave, les groupes du CAC 40, n'ont jamais fait autant de profits.

En 2014, les profits des groupes du CAC 40 ont bondi de 40 %. Leurs actionnaires ont empoché le gros du gâteau. Des résultats obtenus contre l’emploi et les salaires. La reprise de l’économie, elle, reste en attente.

En 2014, les sociétés du CAC 40 ont dégagé 67,58 milliards d’euros de profit, soit une hausse de 39,4 % par rapport à 2013. Un formidable pactole dont l’essentiel est tombé dans l’escarcelle de leurs actionnaires, sous forme de dividendes ou de rachats d’actions : 56 milliards d’euros exactement, un montant proche du record de 2007

En moins d'un an quatre élections ont eut lieu, et à chaque fois le même désaveu, et la poursuite d'une même politique anti sociale, austéritaire.

Nous ne défendons pas une chapelle ou une boutique: pour nous, le parti communiste français n’est pas une fin en soi mais un outil au service de notre peuple pour changer l’ordre des choses et combattre les dégâts générés par la domination capitaliste.

Nous ne sommes pas la gauche de la gauche, mais bien le cœur de la gauche. Le Parti Communiste, composante essentielle, fondateur du Front de Gauche,travaille à son élargissement, les promesses venue de SYRIZA en Grèce, ou de PODEMOS en Espagne, montre qu'il est possible de constituer des forces qui s'opposent à l'austérité, à la précarité, qui luttent pour une société plus humaine, plus démocratique.

Nous voulons retisser les liens indispensables avec nos concitoyens, en apportant notre expérience, mais aussi être, à l'écoute et au plus près, dans les luttes et les moments difficiles que traversent les populations de notre département, et pas seulement en périodes électorales.

Pour cela nous avons besoin de vous :Femmes et Hommes, Militants ou sympathisants communistes qui à un moment vous êtes éloignés de nous, militants d'associations, syndicalistes, citoyens qui voulez que cela change votre place est parmi nous, avec nous: notre Parti vous est ouvert.

Ouvert vers toutes les forces populaires, militantes, associatives et citoyennes de notre département, concernées par la nécessaire et indispensable réaction face aux menaces qui sont devant nous.

Toutes les forces de progrès sont interpellées. L'heure est à la construction d'une nouvelle force de gauche, d’une majorité alternative, citoyenne et populaire, pour sortir de l’austérité et pour un projet social, solidaire et écologique.

Pour notre part nous sommes décidés à y travailler dans nos campagnes, dans nos villes, sur les lieux de travail. De notre engagement à tous et toutes dépend notre avenir. Chacun et chacune d'entre vous peut à sa façon y contribuer. Ouvrons ensemble « Les chantiers de l'Espoir »!

Dans le Finistère, le Parti Communiste au coeur des luttes pour reconstruire une nouvelle force de gauche, une majorité alternative, citoyenne et populaire pour sortir de l'austérité
Partager cet article
Repost0
12 avril 2015 7 12 /04 /avril /2015 19:54
Photo des Congressistes (100 participants, 80 délégués) - Jean-Luc Le Calvez

Photo des Congressistes (100 participants, 80 délégués) - Jean-Luc Le Calvez

Ce samedi 11 avril, 80 délégués des sections communistes du Finistère se sont retrouvés en Congrès extraordinaire à Plonéour Lanvern. Congrès demandé par 200 communistes et rendu selon eux indispensable pour qu'ils disposent d' "une fédération qui remplisse son rôle, qui fonctionne démocratiquement et où tous les communistes aient leur place."

Tous les avis ont pu s'exprimer dans un climat apaisé. Si le regard porté sur la situation de l'organisation ne fait pas l'unanimité tous s'accordent pour dire qu'il faut ensemble trouver les réponses à y apporter.
Une feuille de route a été actée. Dans le souci de faire du commun, elle reprend les propositions des signataires de la demande du Congrès ainsi que celles venant du Conseil départemental sortant qui peuvent les compléter ou les préciser. Elle sera mise en forme par le Conseil départemental élu qui se réunira dès mercredi à Pont de Buis.

Ismaël Dupont, secrétaire départemental.

Sur 78 présents la nouvelle direction avec Ismaël Dupont comme nouveau secrétaire départemental a été élue par 65 voix avec 11 bulletins nuls et deux blancs.
On reviendra plus longuement sur l'événement que constitue ce Congrès pour le PCF dans le Finistère dès la semaine prochaine.

MOTION votée à l'unanimité par les congressistes

" Dans le Finistère le Parti Communiste au cœur des luttes pour reconstruire une nouvelle force de gauche, une majorité alternative, citoyenne et populaire, pour sortir de l’austérité et pour un projet social, solidaire et écologique".

Notre pays va mal, notre région aussi, c'est un constat alarmant mais bien réel que chacun peut faire. Discréditée par un gouvernement et un président de la République élu en son nom, la gauche est en danger. Les élections l’ont une nouvelle fois confirmé: cette politique libérale, ou sociale-libérale, est mortifère, elle fait le jeu de l’extrême droite et de la droite.

En Bretagne, entre 2011 et 2012 : 11.000 foyers aux revenus fiscaux inférieurs à 20.000 euros sont devenus imposables. 30 % de ces foyers, les plus modestes ont payé l'impôt sur le revenu en 2012 contre 27,5 % l'année précédente. Leur effort fiscal : plus de 42 millions d'euros en un an.

Conséquences directes, une multitudes d'aides individuelles directement liées au niveau d'imposition ont été soit remise en cause soit sérieusement diminuées... Appauvrissant encore davantage les plus précaires. La part des habitants qui renoncent aux soins pour motif financier, atteint dans notre région un pourcentage de 25 à 30% voir supérieur pour certaines communes, l'on constate que les personnes ou catégories qui, n'étaient pas allées consulter un médecin depuis plus de 12 mois pour des motifs financiers sont en majorité, des précaires : chômeurs, familles monoparentales, jeunes, personnes sans CMU (couverture maladie universelle) ni complémentaire santé. Les femmes sont, par ailleurs, plus nombreuses que les hommes à déclarer avoir renoncé à des soins.

L'indispensable loi sur le vieillissement pour adapter la société à la perte d'autonomie souffre de moyens très insuffisants par rapport aux enjeux.

Conséquences économiques et sociales : Chômage, précarité, mal vivre... Nous n'allons pas comme certains constater les dégâts d'une politique et de droite prolongée par une austérité de « gauche » mais plutôt y voir la continuité de l'agression contre les plus démunis, le sacrifice d'une grande partie de la jeunesse livrée à l'incertitude du lendemain et à un avenir bouché ,la diminution des crédits sociaux et publics, le blocage des rémunérations du travail et des retraites, le maintien d’une fiscalité injuste et la casse de l’organisation territoriale du pays.

S'ajoute à tout cela le sentiment de n'être pas écoutés voire méprisés par un gouvernement sourd à ce qui monte du pays: défenseurs de l'hôpital de Douarnenez en butte à la volonté de casse de cet établissement par la Ministre , salariés de l'agro-alimentaire, parents d 'élèves se dressant contre les fermetures de classe et bien d'autres encore,tous sont exaspérés, en colère.

Pourtant ils et elles sont porteurs de propositions, de solutions, d'idées novatrices. Que ne les écoute-t-on pas!

Pendant ce temps le grand capital se gave, les groupes du CAC 40, n'ont jamais fait autant de profits.

En 2014, les profits des groupes du CAC 40 ont bondi de 40 %. Leurs actionnaires ont empoché le gros du gâteau. Des résultats obtenus contre l’emploi et les salaires. La reprise de l’économie, elle, reste en attente.

En 2014, les sociétés du CAC 40 ont dégagé 67,58 milliards d’euros de profit, soit une hausse de 39,4 % par rapport à 2013. Un formidable pactole dont l’essentiel est tombé dans l’escarcelle de leurs actionnaires, sous forme de dividendes ou de rachats d’actions : 56 milliards d’euros exactement, un montant proche du record de 2007

En moins d'un an quatre élections ont eut lieu, et à chaque fois le même désaveu, et la poursuite d'une même politique anti sociale, austéritaire.

Nous ne défendons pas une chapelle ou une boutique: pour nous, le parti communiste français n’est pas une fin en soi mais un outil au service de notre peuple pour changer l’ordre des choses et combattre les dégâts générés par la domination capitaliste.

Nous ne sommes pas la gauche de la gauche, mais bien le cœur de la gauche. Le Parti Communiste, composante essentielle, fondateur du Front de Gauche,travaille à son élargissement, les promesses venue de SYRIZA en Grèce, ou de PODEMOS en Espagne, montre qu'il est possible de constituer des forces qui s'opposent à l'austérité, à la précarité, qui luttent pour une société plus humaine, plus démocratique.

Nous voulons retisser les liens indispensables avec nos concitoyens, en apportant notre expérience, mais aussi être, à l'écoute et au plus près, dans les luttes et les moments difficiles que traversent les populations de notre département, et pas seulement en périodes électorales.

Nous voulons relancer le débat d' idées: oui nous le pensons, il y a d'autres solutions que celles que l'on nous présente comme fatales, comme naturelles, « modernes », inévitables...

Pour cela nous avons besoin de vous :Femmes et Hommes, Militants ou sympathisants communistes qui à un moment vous êtes éloignés de nous, militants d'associations, syndicalistes, citoyens qui voulez que cela change votre place est parmi nous, avec nous: notre Parti vous est ouvert.

Ouvert vers toutes les forces populaires, militantes, associatives et citoyennes de notre département, concernées par la nécessaire et indispensable réaction face aux menaces qui sont devant nous.

Toutes les forces de progrès sont interpellées. L'heure est à la construction d’une majorité alternative, citoyenne et populaire, pour sortir de l’austérité et pour un projet social, solidaire et écologique.

Pour notre part nous sommes décidés à y travailler dans nos campagnes, dans nos villes, sur les lieux de travail. De notre engagement à tous et toutes dépend notre avenir. Chacun et chacune d'entre vous peut à sa façon y contribuer.

Ouvrons ensemble « Les chantiers de l'Espoir »!

le bureau du congrès avec le représentant de la direction nationale, Jean-Louis Frostin (photo JL Le Calvez)

le bureau du congrès avec le représentant de la direction nationale, Jean-Louis Frostin (photo JL Le Calvez)

Michel Le Goff, candidat FDG aux municipales à Bannalec, membre du PCF et responsable syndical chez Bigard (photo JL Le Calvez)

Michel Le Goff, candidat FDG aux municipales à Bannalec, membre du PCF et responsable syndical chez Bigard (photo JL Le Calvez)

Martine le Nozerh, Jean-Louis Frostin et Jacqueline Héré (photo Jean-Luc Le Calvez)

Martine le Nozerh, Jean-Louis Frostin et Jacqueline Héré (photo Jean-Luc Le Calvez)

Roger Héré, un des 8 délégués de la section de Morlaix

Roger Héré, un des 8 délégués de la section de Morlaix

Christian Delannee, un des délégués de la section de Morlaix, avec Roger Héré et Jean-Jacques Penven (Huelgoat)- photo Jean-Luc Le Calvez

Christian Delannee, un des délégués de la section de Morlaix, avec Roger Héré et Jean-Jacques Penven (Huelgoat)- photo Jean-Luc Le Calvez

Jean Dréan, notre cher camarade de Plouigneau exilé à Quimper par la force des choses - photo Jean-Luc Le Calvez

Jean Dréan, notre cher camarade de Plouigneau exilé à Quimper par la force des choses - photo Jean-Luc Le Calvez

Roger Dupas, du pays bigouden, qui a lu la motion votée par le congrès à l'unanimité (voir ci-dessus) - photo Jean-Luc Le Calvez

Roger Dupas, du pays bigouden, qui a lu la motion votée par le congrès à l'unanimité (voir ci-dessus) - photo Jean-Luc Le Calvez

Ismaël Dupont et Roger Héré- photo Jean-Luc Le Calvez

Ismaël Dupont et Roger Héré- photo Jean-Luc Le Calvez

le moment du vote pour le Conseil Départemental - photo JL Le Calvez

le moment du vote pour le Conseil Départemental - photo JL Le Calvez

Partager cet article
Repost0
12 avril 2015 7 12 /04 /avril /2015 11:39

Samedi ont eu lieu les premières réunions des « Chantiers d’espoir », une manifestation née d’un appel publié en janvier et signé par de nombreuses personnalités allant du Front de gauche à la gauche du PS. Avec un objectif : échapper au marasme politique et construire une alternative à gauche.

Cela ressemble à des retrouvailles ou à une amicale de militants de gauche un peu sonnés, mais qui n’arrivent pas à se résoudre à la défaite. À moins que cela soit le début d’une alternative. Samedi ont eu lieu les premières réunions des « Chantiers d’espoir », une manifestation née d’un appel publié en janvier et signé par de nombreuses personnalités, dont les dirigeants du Front de gauche, ceux d’Europe Ecologie-Les Verts (EELV), des responsables syndicaux, la Fondation Copernic et une poignée de socialistes.

À Paris, environ 350 personnes ont répondu à l’invitation. En soi, et par les temps qui courent à la gauche du PS, c’est déjà pas mal. On pouvait y croiser des militants et des dirigeants du PCF, du Parti de gauche, d’Ensemble (la troisième grande composante du Front de gauche, qui a largement contribué à impulser les Chantiers), quelques écologistes – Cécile Duflot a fait une très brève apparition –, des « socialistes affligés »,des « citoyens » encartés nulle part… La féministe Caroline De Haas co-présentait la réunion.

Tout ce petit monde a joué le jeu : par petits groupes, ils ont choisi un thème, débattu puis noté leurs idées sur des post-it affichés au mur. Passé le moment de surprise sur la méthode – beaucoup étaient plus habitués aux meetings traditionnels où le micro est accaparé par les têtes d’affiche –, les ateliers ont semblé bien fonctionner, à propos de démocratie (c’était le thème le plus demandé), du travail, du partage des richesses, de l’écologie ou des égalités.

« Le pouvoir de décider nous échappe totalement », « il y a des gens qui font un petit jardin ensemble », « ça peut être aussi l’auto-organisation », « j’ai 57 balais, je me vois mal monter sur une barricade », « les post-it, ça me rappelle quand on a fait venir une boîte d’audit dans mon service », pouvait-on entendre au hasard des travées. « LOCAL »,« les lobbys des formations », « Reconnaître toutes les natures du travail », « qu’est-ce que la richesse ? », « interroger nos névroses de consommation », « comment féminiser la politique », « lutter contre l’islamophobie », pouvait-on lire sur les fameux post-it. À la fin de la journée, et après une synthèse avec quatre personnalités de la société civile (lire notre Boîte noire), les plus enthousiastes pouvaient s’inscrire par ville et par arrondissement pour créer un « comité local ».

Dans la salle, beaucoup de militants, ou « d’ex », plus tout à fait de première jeunesse, et presque tous blancs. Cela ressemblait au public traditionnel du gymnase Japy ou des collectifs unitaires dont la gauche de la gauche raffole. Cela ressemblait aussi aux collectifs anti-libéraux de 2005 – « les CUAL » pour les initiés –, aux assemblées citoyennes du Front de gauche de 2011 et de 2012 – quand elles ont eu lieu. Ou encore aux « ruches » du PCF, à la réunion des « Socialistes affligés » ou celle organisée par le député PS Pouria Amirshahi, il y a quelques mois à Paris.

Oui, et alors ?, rétorquent les initiateurs. « Pour le traité constitutionnel européen et les collectifs anti-libéraux, on a commencé par l’Appel des 200, et puis ça a pris. La question est de savoir si ça va prendre cette fois, rappelle Clémentine Autain (Ensemble/Front de gauche). Et puis, je n’en connais pas d’autres, des endroits où tous ces gens se retrouvent. »

Julien Bayou, co-porte-parole d’EELV, convoque, lui, Martin Luther King : « Avoir la foi, c’est monter la première marche même quand on ne voit pas tout l’escalier. » « Il faut tâtonner, inventer. On a tous envie de créer des convergences, de se réunir autrement qu’en contre, contre la loi Macron ou les grands projets inutiles. Après, pour faire quoi ? On ne sait pas », poursuit l’écolo. « Il y a un côté carrefour des gauches assez intéressant, et ce n’est pas si fréquent », abonde Frédéric Hocquard, conseiller de Paris (PS). Puis :« Il faut qu’il se passe quelque chose, et donc il faut tout essayer. » « On sent une envie, pour changer la donne, refaire monter une conscience de gauche, reprendre le pouvoir », jure Caroline De Haas, longtemps militante socialiste avant de jeter l'éponge et tête de liste aux européennes sur une liste féministe.

Jean-Luc Mélenchon, présent tout l’après-midi, en sourit : « Moi je suis pour, c’est très bien. Il faut essayer tous les trucs qui décloisonnent, qui décoincent. Il y a aussi un travail sur les idées qui se fait – ce petit monde bouge idéologiquement. » Mais le candidat à la présidentielle de 2012 se lasse un peu d’un processus sans fin : « Chez nous, c’est une maladie de retourner à la case départ ! On recommence à parler programme. Mais c’est normal : ceux qui résistent sont des coupeurs de cheveux en quatre ! » Puis : « Ils en sont à rassembler l’autre gauche. C’est une base. Parce que ce sont des gens précieux dans cette salle, de ceux qui tiennent tête. » Et finalement : « L’angle mort ici, c’est l’action. C’est quoi une stratégie révolutionnaire ? Là, silence ! Moi j’ai proposé la stratégie de la Constituante (avec le mouvement pour la 6e République – ndlr). Il faut que je sois patient… »

Au Front de gauche, les débats qui agitent ce cartel d’organisations ne sont toujours pas réglés : Mélenchon garde toujours en tête le modèle sud-américain ; le PCF répond « programme » et Ensemble espère un dépassement citoyen en insistant sur la nécessité de nouvelles pratiques politiques. Quant aux écolos, ils sont englués dans leurs violents désaccords sur un éventuel retour au gouvernement de Manuel Valls ; et la gauche du PS a encore la tête dans le congrès du parti prévu début juin. Mais tous sont atterrés par la politique menée par François Hollande et Manuel Valls, et inquiets de la montée du Front national. Ils suivent aussi les alliances électorales inédites, parfois victorieuses, parfois laborieuses, nouées aux municipales (comme à Grenoble) ou aux dernières départementales.

« On veut construire un socle de propositions pour essayer de lancer un processus politique de la gauche du PS au Front de gauche, voire au NPA (absent samedi – ndlr). L’objectif induit, c’est les régionales, voire la présidentielle », explique Pierre Khalfa, coprésident de la Fondation Copernic. Mais sans reproduire les erreurs du Front de gauche : « Il n’a pas été capable d’amplifier la dynamique de la campagne de 2012. Parce qu’il est resté un cartel de partis. Et que sa posture publique est restée essentiellement protestataire. Le “bruit et la fureur” (incarné par Mélenchon – ndlr) a échoué ; il faut rendre une nouvelle société désirable et construire pour 2017 une figure pouvant incarner un espoir. Les “Chantiers d’espoir”, ce sont la pré-condition à cette candidature. »

« Il faudra bien se projeter sur quelque chose de concret. Si on veut dépasser les cadres militants, il faut un débouché électoral », prévient aussi Éric Coquerel (Parti de gauche/Front de gauche). Pierre Laurent, le secrétaire national du PCF, n’en est pas encore là : « La question centrale, c’est de faire émerger un projet commun aux forces qui cherchent à débloquer la situation politique. Il faut prendre le temps de cette construction pour faire émerger un scénario permettant de sortir du tripartisme. »Prochaine réunion : le 20 juin

Partager cet article
Repost0
9 avril 2015 4 09 /04 /avril /2015 07:15

SAMEDI 16 MAI

Fête communiste au NAUTILE à LA FORÊT-FOUESNANT

pour LES MENEUSES, sur le thème "Travail et luttes au féminin"

Ils vous proposent:

- Dès 15h: Exposition (photos-affiches-ouvrages divers).

- A 17h:Débat sur l'engagement militant à partir de témoignages (agro-alimentaire- défense des hôpitaux-parcours de vies-...).

Pouvait-t-on trouver meilleure animatrice que Françoise PENCALET-KERIVEL, historienne, militante douarneniste, dont le seul nom fleure bon la lutte?

Un hommage sera rendu à Jacqueline LE LOUET, militante syndicale et politique, par Marie-Andrée Bernard

- 19h: Restauration sur place

- 20h30: Concert ( 10 Euros à l'entrée-8 Euros en réservation).

" Le CHANT des SARDINIERES"

avec Marie-Aline LAGADIC et Klervi RIVIERE ( Prix de l'Académie Charles CROS)

Partenaires:

-Festival de photo du GUILVINEC.

- Librairie "La JOIE de LIRE" de SAINT-GUENOLE.

- Institut d'Histoire Sociale de la CGT.

Les billets sont, dès maintenant disponibles auprès des Communistes du Pays fouesnantais, au Nautile et à l'Office de Tourisme de La Forêt-Fouesnant.

Les Amis du PCF

Samedi 16 Mai, La Forêt-Fouesnant (au Nautile): "Les Meneuses", Travail et luttes au féminin
Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le chiffon rouge - PCF Morlaix/Montroulez
  • : Favoriser l'expression des idées de transformation sociale du parti communiste. Entretenir la mémoire des débats et des luttes de la gauche sociale. Communiquer avec les habitants de la région de Morlaix.
  • Contact

Visites

Compteur Global

En réalité depuis Janvier 2011