Les débats portaient sur le texte proposé comme base commune, adopté le 5 mai par 51% des adhérents communistes s'étant exprimés, 60% des adhérents communistes finistériens: "Le temps du commun" .
Pour découvrir le projet de base commune "Le Temps du Commun" - le texte complet de la base commune , son résumé ou cliquer sur les liens ci-dessous pour une découverte partie par partie avec la présentation par le rédacteur, le texte complet et une version courte pour prendre connaissance rapidement des principaux points de chaque partie.
- Partie 1 | Le temps du commun
- Partie 2 | 2017 : une autre voie pour l'avenir de la France
- Partie 3 | Des transformations utiles et concrètes pour un Parti communiste de nouvelle génération
Compte rendu du Congrès Départemental du PCF Finistère : le 28 mai 2016 à Berrien (9h-17h30)
Bureau du Congrès élu par les militants présents du CD (3 abstentions, 8 pour) : Jacqueline Héré, Martine Le Nozerh, Jean-Paul Cam, Erwan Rivoalan, Jean-Louis Pascal, Jean-Pierre Demaimay, Ismaël Dupont
48 délégués titulaires représentant les sections de Audierne-Cap Sizun, Brest, Carhaix, Châteaulin, Concarneau, Douarnenez, Fouesnant, Huelgoat, Le Relecq Kerhuon, Morlaix, Pays Bigouden, Quimper, Quimperlé.
+ 7-8 de suppléants et observateurs.
A – Partie Projet : Le Temps du Commun
1/ 1er Amendement de la Fédération du Finistère sur la partie I – Le Temps du Commun
Présenté par la section de Morlaix - adopté par le Congrès Départemental du Finistère 27 voix pour, 13 abstention, 8 contre
Dans l'introduction au Temps du Commun (de la page 3 à la page 8), il convient d'ajouter à l'endroit approprié ces deux passages du Texte Alternatif n°3, si possible à la suite l'un de l'autre :
« Le socialisme, un projet pour la France
Nous appelons à un effort de construction idéologique considérable, s'appuyant sur la théorie marxiste, pour penser une société nouvelle qui mette fin à l'exploitation, aux inégalités et injustices, au pillage des ressources naturelles de la planète et à la guerre. Cette société, nous la nommons le socialisme.
° Puis dans le corps du texte (p.73 dans la revue « En partage ») :
« Nous devons être porteurs d'un projet de socialisme du 21ème siècle, réduisant, par de larges nationalisations des grands moyens de production et d’échange, le pouvoir de la bourgeoisie, recherchant des coopérations internationales libérées de la domination des règles des marchés, rompant radicalement avec les règles de la concurrence et de la spécialisation, pour imposer la planification en réponse aux besoins, le pouvoir des travailleurs dans une république sociale. Nous nommons donc sans complexe notre projet de société comme une société socialiste. Nous défendons clairement et simplement l’idée d’un plan conduit par un État démocratisé de haut en bas, possédant les moyens de le mettre en œuvre, avec des services publics élargis facteur d’égalité, des cadres réglementaires et fiscaux plus contraignants pour tourner l’effort des entreprises vers les objectifs de la société, s’appuyant sur la mobilisation du mouvement populaire pour une nouvelle démocratie, de la cité à l’entreprise ».
2/ 2ème Amendement de la Fédération du Finistère sur la Partie I – Le Temps du Commun
Présenté par la section de Morlaix – adopté à l'unanimité :
Page 10 après ligne 15 :
Le droit du travail doit être renforcé tant au niveau national qu'international. Il nous faut pousser à la création de nouveaux droits du travail en étant actif notamment au sein de l'OIT. L'extension du droit du travail au niveau international étant un frein à la mise en concurrence des travailleurs des différents pays. Encore faut-il contraindre les États à en appliquer les règles.
3/ 3ème amendement de la Fédération du Finistère sur la Partie I – Le Temps du Commun
Présenté par la section de Brest, 45 votes pour, 1 abstention
Page 10 – ligne 15 :
Dans ce cadre, la question de la juste rémunération des gens, que leur activité soit dans le cadre de l' « économie productive » ou du développement d'activités non marchandes utiles au développement de la société, est une nécessité.
4/ 4ème amendement de la Fédération du Finistère sur la Partie I – Le Temps du Commun
Présenté par la section de Morlaix : 42 pour, 3 abstentions
Page 11 – ligne 1 :
Rajouter après 32h : sans retomber dans le piège de l'aménagement du temps de travail, sans réduction de salaires.
5/ 5ème amendement de la Fédération du Finistère sur la Partie I – Le Temps du Commun
Présenté par la section de Morlaix : 26 pour, 16 contre, 3 abstentions
Page 14 – ligne 36 :
Rajouter :
Il faut redéfinir le rôle de l'état, tout ce qui est d'utilité publique doit être sorti du privé et géré par l'état en lien avec les populations (énergie, transport, santé, éducation, alimentation, police, justice, armée, développement territorial, recherches, etc.). La part du privé doit être définie clairement et contrôlée afin qu'elle ne mette pas en péril la nécessité du service public, par des objectifs qu'elle pourrait avoir sur le retour du capitalisme (refus des Partenariats Publics Privés, …).
6/ Demandes d'enrichissement du texte de la fédération du Finstère sur la partie I – Le Temps du Commun
Présenté par la section de Quimper – adopté à l'unanimité
deux observations allant dans le sens d'une enrichissement de la base commune sur 2 aspects:
1) la santé et la protection sociale
Les enjeux relatifs à la santé et à la protection sociale devraient avoir plus de place dans "le temps du commun" pour au moins 2 raisons :
ils ont une place centrale dans l'affrontement actuel entre, pour dire vite, le capital et le travail, comme on le voit avec la question des baisses de cotisations des entreprises
ils sont constitutifs de la "société du bien vivre et du bien commun que nous proposons"
Elle sont aussi transversales pour un certain nombre de thèmes : démocratie, services publics...
Or ces questions, si elles sont abordées dans le préambule du "temps du commun" sont à peine effleurées par la suite
Il faudrait par exemple un paragraphe spécifique dans la partie 2 "une société du bien vivre et du bien commun" (p14 à 19) sur les pouvoirs à reconquérir dans ce domaine et nos propositions
2) une société pour tous les âges
C'est encore lié à la protection sociale mais il me semble que cette idée (voir le dernier n° de notre revue Plein Temps") devrait figurer à part entière dans note pacte républicain et mérite aussi un paragraphe spécifique dans la partie 3 "révolutionner la République..." (pages 19 à 24) à l'égal de l'égalité femmes-hommes et du racisme par exemple
La sécurisation des parcours de vie ne concerne pas que la jeunesse et doit s'étendre jusqu'à la fin de vie.
Cela soulève aussi la question du maintien de la vie sociale, de l'accès à la culture...
7/ 7ème amendement de la Fédération du Finistère sur la Partie I – Le Temps du Commun
Présenté par la section de Morlaix : 21 pour, 4 contre, 21 abstentions
P 19 – ligne 19
Il faut demander une réforme globale de l'impôt dans le sens d'une baisse de la TVA, d'une plus grande progressivité et importance relative de l'impôt sur le revenus (augmenter le nombre de tranches, augmenter l'impôt des tranches supérieures), d'une réappropriation de l'impôt sur les entreprises via une taxation des réimportations ou directement des entreprises qui travaillent et font produire à l'étranger actuellement pour bénéficier d'une fiscalité et d'un « coût du travail » moins élevés.
***
8/ Vœux et observations de la section de Morlaix ayant suscité un débat contradictoire, mais pas fait l'objet de vote ni d'adoption par conséquent par le Congrès Départemental :
Le congrès départemental a largement débattu de question comme l'Europe, les marges de manœuvre du gouvernement grec et de Syrisa, l'euro, la laïcité, la critique des religions, l'inféodation des médias aux puissances d'argent et au libéralisme et des moyens de lutter contre, sans que se dégagent des consensus sur les premiers sujets.
Ces débats ont été amenés par le Compte-Rendu de la Conférence de section de la section de Morlaix mis au dossier comme tous les compte-rendus de Conférence de section et comme tous les amendements portés par les sections.
« Le temps du Commun (pages 19 à 28) : Révolutionner la république (I – 3) – Une France engagée pour la Paix dans le Monde (I – 4)
Dans cette partie là, pas de perspectives réelles non plus sur les contours de la société qu'on veut pour notre pays. De quelle Europe on veut ? Comment on la construit ?
On fait des constats qui sont souvent très justes mais on ne crée pas la perspective, on ne la donne pas. Il faut aller au-delà des simples constats et des valeurs : il faut être beaucoup plus précis. Là on manque de vision sur l'avenir. Se projeter sur les 20 années à venir en étant pas que sur des vœux pieux, mais en prenant en compte le monde tel qu'il est, avec ses affrontements réels (de classes, d'intérêts économiques et nationaux).
Par exemple :
° Quelle Europe peut-on construire, reconstruire qui respecte les souverainetés populaires et permette de développer des droits sociaux et humains, à l'inverse de ce qui se passez aujourd'hui ? Ne faut-il pas à la fois pour des raisons de fond et des raisons politiques avoir un discours encore beaucoup plus tranché et critique sur l'Europe, l'euro et sa gouvernance (que certains voient comme des outils de paupérisation et de spéculation), dire que l'on est prêt à sortir des Traités européens existant et que la condition de possibilité d'une politique progressiste en France passe par une rupture avec cette Europe là ? Ce qui n'empêche pas de trouver des convergences avec toutes les résistances au libéralisme et aux politiques capitalistes en Europe. La thématique de l'Europe sociale, de l'harmonisation future par le haut des normes sociales par un renforcement de l'intégration politique de l'Europe ne paraît plus crédible.
° Sur le droit à l'information : comment lutter contre la concentration capitaliste dans les médias, faire en sorte que 5 ou 6 milliardaires ne possèdent pas 80 % des relais d'opinion ? Relancer et réactualiser la loi du CNR de lutte contre les confiscations des médias par les intérêts capitalistes. En même temps, ne pas non plus fermer les yeux sur le fait qu'actuellement, les médias publics ne permettent pas un véritable pluralisme des points de vue permettant au citoyen de se faire son opinion en accédant à toutes les pensées. C'est l'hégémonie du libéralisme qui s'y applique aussi. Le manque de pluralisme de la présentation de l'offre politique dans les médias est encore accentué par le changement des règles prévalant en matière « d'équité du temps de parole » pour les présidentielles.
° Sur la laïcité, on est beaucoup trop général, on esquive les questions concrètes qui font débat aujourd'hui, de manière légitime (le voile à l'école ou à l'université, le menu unique, le financement des lieux de culte, des écoles privées, pour ne prendre que quelques exemples) et on fait comme si les limites d'une laïcité respectueuse des différences culturelles dans le cadre d'un pays tolérant étaient faciles à définir. Sur l'égalité homme-femme et les luttes contre les discriminations de tout genre, on ne souligne pas assez l'influence pernicieuse très souvent des religions et de leurs systèmes de valeurs rétrogrades. Notre texte, qui ménage la chèvre et le chou, et se veut consensuel, ne donne pas suffisamment d'outil de jugement concret pour les communistes confrontés à ces débats qui montent dans la société, instrumentalisés par la droite et l'extrême-droite, comme par les intégrismes religieux. La religion peut clairement être une source de préjugés sur l'inégalité homme-femme, il n'y a pas que les facteurs spatiaux, sociaux...
Certains ont à l'inverse mis en garde contre le fait que notre texte de Congrès, qui doit présenter des principes et des orientations générales, des éléments théoriques et d'analyse, deviennent un catalogue programmatique.
Certains ont dit qu'il fallait se méfier des formules raccourci telles que « sortir de cette Europe », « combattre cette Europe » : on est communiste et partisan de l'idéal européen, il faut combattre avec les Européens progressistes, comme on le fait au sein du Parti de la Gauche Européenne, pour une autre Europe. Il faut construire un contre-projet européen.
La laïcité, intransigeante ou ouverte, permissive ou récupérée par des approches islamophobes, et la critique des religions et de leurs systèmes de valeurs jugés régressifs, ont aussi suscité un débat nourri. La nécessité d'avoir une approche progressiste de la laïcité a été affirmée par certains, mais sur son contenu, il y a discussion. Le retour des intégrismes et fondamentalismes religieuses est perçu comme un symptôme de la crise et de l'abandon économique de pans entiers de la société, de sorte qu'au lieu de se focaliser sur l'effet, il faut s'attaquer à la cause, les inégalités sociales et le système qui les produit.
B. Partie Stratégie : 2017, une autre voie pour l'avenir de la France.
1) 1er amendement de la Fédération du Finistère sur la Partie II– 2017, une autre voie pour l'avenir de la France
Présenté par la section de Morlaix, adopté par 27 voix pour, 16 contre, 2 absentions
Amendement exprimant un rejet ou du moins un constat d'échec de la stratégie d'ouverture aux Primaires de gauche et la nécessité de construire dès à présent une autre stratégie tenant compte de ce qu'est la nature et la crise de la social-démocratie aujourd'hui.
Amendement : Suppression du paragraphe de la page 35 entre les lignes 39 et 51
2) Vœu porté par la Fédération du Finistère sur la Partie II– 2017, une autre voie pour l'avenir de la France
Vœu présenté d'abord par la section du Pays Bigouden et qui a été proposé pour être pris à son compte par le Congrès Départemental du Finistère : 23 voix pour, 18 contre, 5 abstentions, 2 refus de vote
L'Humain d'abord
Dans le processus de co-élaboration citoyenne des propositions à porter, le texte du Congrès doit se réapproprier « L'humain d'abord », seul texte unitaire énonçant dans la dernière période en France une politique de gauche, mettre en débat sa réactualisation, qui peut être importante et variée, proposer de le confronter à ce que proposerons les citoyens eux-mêmes, et viser clairement un programme de fortes transformations sociales mobilisatrices (qui seul peut être crédible face à la crise) à la fois pour la France et aussi face aux enjeux européens.
3) 2 ème amendement de la Fédération du Finistère sur la Partie II– 2017, une autre voie pour l'avenir de la France
Amendement porté par la section de Douarnenez, adopté par 34 voix pour, 2 contre, 7 abstentions
Page 36 – lignes 10 à 50/ Page 37 lignes 1 à 8
Rédaction :
La rédaction des quatre parties de ce qui devrait constituer le « socle » d'entrée dans une éventuelle primaire citoyenne se présente sous forme de questions. Nous ne contestons pas que nous devions être ouverts et laisser aux citoyens, et autres forces intéressées par la démarche, la possibilité de répondre autrement aux questions que nous.
1. Cependant afin d'éviter toute ambiguïté faudrait-il border tout ça en indiquant aussi là ce que nous refusons (les actuelles politiques libérales)
2. Rien n'empêche d'indiquer aussi de façon courte et percutante les mesures d'urgence que nous pouvons avancer (32h, augmentation des salaires, arrêt TAFTA, retour sur inversion du calendrier électoral présidentielles-législatives, proportionnelle, retour à un strict rôle garant des institutions pour le président de la République...).
4/ 3 ème amendement de la Fédération du Finistère sur la Partie II– 2017, une autre voie pour l'avenir de la France
Amendement porté par la section de Douarnenez : adopté par 41 voix pour, 3 contre, 2 abstentions
Page 38 – ligne 1 à 11
Motivation :
Des camarades n'ont pas accepté ce qui leur est apparu comme un forcing de la direction nationale après les élections régionales (déclaration un peu rapide sur la « mort » du Front de Gauche, heureusement recadrée depuis) et sur l'engagement vers des primaires de gauche.
Cela a motivé des votes différents début mai.
Nous demandons :
Renforcer le texte par un engagement à consulter les communistes à toutes les étapes et définition à cette fin d'un calendrier et de modalités précis :
1. Quand constate t-on ou pas la possibilité de continuer à explorer la voie « primaire » ?
2. Processus de consultation des communistes si cette possibilité se réalise
3. Quels contenus précis les communistes peuvent avancer (en dehors de celui indiqué dans l'amendement précédent, le n°2 sur cette partie) ?
4. Quel éventuel candidat communiste ou soutenu par le PCF pourra les défendre ?
5. En cas d'échec du processus, décision ou pas de présenter un candidat communiste.
5/ 4ème amendement de la Fédération du Finistère sur la Partie II– 2017, une autre voie pour l'avenir de la France
Amendement porté par la section de Brest, adopté à l'unanimité
Ligne 22-23 de la page 35
Préparer les législatives à la même hauteur que l'on porte la question des Présidentielles
6/ Observations sur le débat sur cette partie
Un amendement a été rejeté nettement « Présenter dès à présent un candidat communiste pour les élections présidentielles» : 4 pour, 37 contre, 5 abstentions
L'amendement n°1, le vœu, le 2e et 3e amendement, ainsi que les compte-rendus des Conférences de section ont fait l'objet de débats intenses, et si une majorité c'est dessiné pour l'amendement n°1 et le vœu il n'y a pas eu de consensus.
En revanche, remontaient des compte rendus de sections des constats partagés : un processus d'ouverture aux primaires clivant, décidé sans débat en amont dans le parti, un manque de consensus sur le sujet. Un texte de base commune déjà daté. La nécessité de le réécrire et de défendre aux présidentielles et aux législatives un programme de rupture avec la politique actuelle qui ouvre des perspectives aux gens. Définir maintenant un calendrier précis.
La question du périmètre d'une éventuelle – hypothétique primaire a aussi été débattue : primaire de toute la gauche, primaire sans le PS, de la gauche de la gauche, primaires avec des dissidents et frondeurs du PS ?
La question de l'analyse des réussites et échecs du Front de Gauche depuis 2009, de la nécessité de prendre la mesure de nos responsabilités dans cet échec relatif et en tout cas dans cette crise actuelle du Front de Gauche, sans tout imputer à Mélenchon et au PG, a aussi été mise en débat. Craintes chez certains d'un retropédalage vers une stratégie de gauche plurielle alors même que le PS, et plus largement la social-démocratie en Europe, tombent dans le discrédit et qu'il y a la place pour naître autre chose, pour faire grandir une gauche d'alternative qui cherche à transformer le système.
En même temps, certains font remarquer que la gauche peut être durablement marginalisée si elle n'est pas présente au second tour des présidentielles, si la droite dure et l'extrême-droite seulement se disputent et se partagent le pouvoir, perspective catastrophique et évitable. Que le rôle du Parti Communiste est de faire ce pari optimiste du ressaisissement des forces de gauche, de l'unité de la gauche sur une autre politique que celle portée par le gouvernement, est de sauver l'idée de gauche contre les néo-libéraux et les « démocrates » à l'américaine qui veulent sa peau.
Voici le nouveau Conseil Départemental du PCF Finistère:
VOICI LE NOUVEAU CONSEIL DÉPARTEMENTAL DU PCF FINISTÈRE ÉLU POUR 3
ANS:
La liste, comportant la proposition d'Ismaël Dupont comme secrétaire départemental, a été élue avec 40 voix Pour, 6 bulletins nuls.
Ismaël Dupont - section de Morlaix
Anne-Marie Alayse - section de Brest
Sylvain Araldi - section de Concarneau
Christian Beaumanoir -section de Crozon
Claude Bellec - section de Brest
Alain Bescou - section du Cap Sizun
Véronique Blanchet - section du Pays Bigouden
Daniel Boudin - section de Châteaulin
René Briand - section de Quimper
Jean-Paul Cam - section de Brest
Martine Carn- section de Morlaix
Jeannine Daniel - section de Scaër
Jean-Pierre Demaimay - section de Douarnenez
Catherine Flageul - section de Brest
Dominique Gontier -section de Moëlan
Isabelle Gonçalves - section de Douarnenez
Marie-France Goussé - section de Concarneau
Jean-Pierre Guyon - section de Concarneau
Bruno Guigourèse - section de Brest
Jacqueline Héré - section de Brest
Roger Héré - section de Morlaix
Daniel Jouan - section de Fouesnant
Christine Kerdreux - section de Quimper
Etienne Le Bellec - section du Pays Bigouden
Martine Le Nozerh - section du Pays Bigouden
André Le Roux - section du Pays Bigouden
Yacine Méliani - section de Quimper
Jean-Louis Pascal - section de Concarneau
Xavier ¨Perchec - section de Fouesnant
Jean-Claude Perrot - section de Quimper
Serge Puil - section de Morlaix
Erwan Rivoalan - section de Brest
Yvonne Rainero - section de Quimper
Gérard Rousseau - section du Cap Sizun
Ronan Tanguy - section du Relecq Kerhuon
Pierre-Yves Thomas - section de Carhaix
Les délégués de la Fédération du Finistère au Congrès National du 2 au 5 juin 2016 sont:
- Claude Bellec: qui conduit la délégation
- Jacqueline Héré
- Eric Guellec
- Maxime Paul
- Yvonne Rainero
- Yacine Meliani Baguet
- Ismaël Dupont
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