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20 septembre 2016 2 20 /09 /septembre /2016 18:00
Journée de débats et soirée Fest-Noz et concerts contre la répression du mouvement social à Saint Cadou le vendredi 23 septembre: soutien aux inculpés

Le collectif anti-répression Finistère vous invite à une journée en soutien aux inculpé-e-s du mouvement social et à toutes celles et ceux qui subissent la répression, vendredi 23 septembre 2016, à Saint Cadou.


À partir de 14h : discussions sur la répression post mouvement social autour de la loi travail.

À partir de 19h : cantine

Concerts pui
s fest-noz le soir :

Braindead
Autonomads
Bakounine
Les Arriérés, chuchumuchu ...

Plus d'infos sur brest. mediaslibres.org

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20 septembre 2016 2 20 /09 /septembre /2016 14:52

Bonjour,

Suite à notre dernière assemblée générale du Front de Gauche du Front de Gauche pays de Morlaix le lundi 5 septembre, un bureau du Front de gauche a été fixé le jeudi 22 septembre à 18h, au local du 2, petite rue de Callac à Morlaix.

Ce bureau du Front de gauche pays de Morlaix est ouvert à tous les adhérents de l'association Front de gauche et sympathisants du collectif Front de Gauche.

A l'ordre du jour:

- Nos actions et campagnes militantes dans les semaines à venir.

- Nos expressions publiques

- L'organisation de l'Assemblée Citoyenne du Front de gauche sur le "Travail, l'emploi, la précarité" à Saint Pol de Léon la semaine du 10 au 15 octobre.

- La préparation des Législatives.

A très bientôt.

Venez nombreux!

Bureau du Front de Gauche pays de Morlaix le jeudi 22 septembre à 18h à Morlaix - 2, petite rue de callac
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20 septembre 2016 2 20 /09 /septembre /2016 14:22

Tilly-Sabco Bretagne : 15 jours de plus pour déposer les offres

Les candidats à la reprise du volailler Tilly-Sabco Bretagne auront quinze jours de plus pour se manifester. Initialement prévue ce mardi, la date limite de dépôt des offres est fixée au 4 octobre, à midi. La décision a été prise en accord avec le tribunal de commerce de Brest. En redressement judiciaire depuis le 29 juillet, le dernier grand abattoir du pays de Morlaix (29) est en sursis. Ses 200 salariés sont actuellement au chômage technique. Il n'y a plus d'activité sur le site depuis le début de l'été.

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20 septembre 2016 2 20 /09 /septembre /2016 14:21

LA CFDT Interco appelle les agents de la ville et du CCAS à débrayer, demain, de 11h à 12h et à se rassembler devant l'EHPAD de la Boissière. En cause, la réorganisation du travail au sein de l'établissement, en travaux depuis mai 2015.

A la fin du chantier, fin 2017, il y aura 94 chambres individuelles (contre 79 aujourd'hui) et 25 places pour les personnes désorientées.

Moins de contractuels

Pendant le chantier, la capacité d'accueil s'est réduite à 63 personnes. Le nombre de contractuels va être réduit de 19 aujourd'hui à treize...

Plus largement, Agnès Le Brun semble vouloir remettre en cause les acquis des accords signés après 2001 et le passage au 35 heures, notamment les repos compensatoires.

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20 septembre 2016 2 20 /09 /septembre /2016 14:12
Pour changer de modèle, pour une agriculture relocalisée et paysanne: l'atout de l'enseignement agricole public (Tribune collective signée par Xavier Compain, L'Humanité - 20 septembre)
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20 septembre 2016 2 20 /09 /septembre /2016 11:00

Élections à Berlin : "Il y a une alternative progressiste" (PCF)

Lundi, 19 Septembre, 2016 Humanite.fr Berlin votait hier pour les élections régionales. Comme dans plusieurs Länder cette année, et malgré un SPD qui arrive en tête (21,6 %), la grande coalition SPD-CDU qui gouvernait à l'Abgeordnetenhaus est lourdement sanctionnée (CDU 17,6%).

L'AfD, le parti d'extrême droite anti-establisment et anti-immigrés, fait sont entrée avec 14,2 %, ce qui est très inquiétant dans une ville cosmopolite et ouverte comme Berlin.

La bonne nouvelle, c'est la progression de la liste de Die Linke (15,6%), qui, avec une campagne sociale, de solidarité et de tolérance, a porté haut les couleurs de l'Allemagne fraternelle et bienveillante, celle qu'on a trop peu entendue ces derniers mois.

Le Parti communiste Français tient à féliciter ses militants.

Ce résultat permettra certainement, avec celui des Verts (15,2%), la constitution d'une "coalition rouge-rouge-verte", qui, à condition d'une profonde réorientation de la politique menée précédemment, pourrait ramener Berlin vers le progrès social, écologiste et démocratique. Ce que ce scrutin confirme c'est que, partout en Europe, les forces existent pour des politiques alternatives à l'austérité, à la casse des droits sociaux et au repli nationaliste et xénophobe. Partout, des millions de femmes et d'hommes aspirent à la justice sociale, l'égalité et la solidarité et constituent des majorités populaires potentielles qu'il est urgent d'écouter pour refonder l'Union européenne.

Parti communiste français

Elections à Berlin: "Il y a une alternative progressiste" (PCF)
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20 septembre 2016 2 20 /09 /septembre /2016 10:47

Déclaration du PCF

19 septembre 2016

Alstom Belfort et ses emplois sont indispensables à l’avenir de la France

Début septembre, la direction d’Alstom annonçait son intention de fermer son site de Belfort, seul lieu en France de production des motrices de TGV et de locomotives. Outre qu'elle représenterait un désastre pour l’emploi dans une région déjà sinistrée par le chômage et la désindustrialisation, alors que l’industrie ferroviaire est en plein boum mondial et européen et qu’Alstom en est le 3e acteur mondial avec un confortable carnet de commandes de 30 milliards d’euros, cette décision implique une perte de savoir-faire irréversible pour notre pays.

En effet, les métiers du ferroviaire sont spécifiques et, en plus de la formation initiale, ils demandent souvent plus de huit ans d’initiation par des pairs à des savoir-faire particuliers.

Or, la moyenne d’âge des salariés de Belfort est de plus de 48 ans. Si la direction d’Alstom parvient à fermer Belfort, non seulement cela sera un drame humain et social, mais la France ne sera plus capable de produire sur son sol des motrices de TGV et des locomotives pour des décennies.

Or, avec la lutte contre le réchauffement climatique, le développement des mégapoles urbaines et des liaisons intercités rapides et fiables, jamais l’humanité n’a eu autant besoin de transports ferroviaires.

Partout dans le monde, ce mode de transport est en pleine expansion. Le marché ferroviaire mondial devrait croître de 2,7%, dont 2% en Europe d’ici 2019.

En 2013, il représentait déjà plus 150 milliards de dollars dont 41 milliards en l’Union européenne et 58 milliards de dollars pour le seul matériel roulant. Pour sa part, l’industrie française du ferroviaire reste la 3e du monde, derrière la Chine et l’Allemagne. Alstom est le 3e constructeur mondial derrière Bombardier et Siemens.

Entre avril 2015 et mars 2016, il a engrangé 10,6 milliards d’euros de commandes, portant le total de son carnet de commandes à 30,4 milliards d’euros. Son résultat d’exploitation est en progression de 23% par rapport à l’année précédente et il a distribué 3,2 milliards d’euros à ses actionnaires à travers une offre publique de rachat d’actions.

Alstom a largement bénéficié du CICE et du CIR.

L’appui des services de l’État, comme la réputation d’excellence technique que lui apporte le fait d’avoir la SNCF pour client, sont pour beaucoup dans ses succès à l’exportation. Le choix de la direction d’Alstom de fermer Belfort n’est pas celui d’une entreprise en difficulté face à un environnement hostile, il est un choix stratégique de produire de moins en moins sur le territoire français. Il s’agit de ne plus être un fabricant de trains mais un intégrateur dont le métier serait de concevoir puis de définir des spécifications, acheter, homologuer et mettre en services des matériels roulants en faisant supporter le maximum de risques et de coûts aux équipementiers.

C’est la poursuite de la stratégie de « l’entreprise sans usines » qui a conduit Alcatel-Alsthom au désastre.

Et, à la veille des échéances électorales de 2017, la direction d’Alstom entend prendre en otage les salariés de l’usine de Belfort pour faire financer sa stratégie par l’État via la commande publique de la SNCF et de la RATP. Cette stratégie, qui répond aux exigences de court terme des actionnaires, est contraire aux intérêts et à l’emploi de l’ensemble des salariés du groupe Alstom et à ceux de l’ensemble de la filière ferroviaire française. Elle ne permettra pas de résister à la concurrence mondiale des nouveaux entrants low cost, qu’ils soient chinois, coréens, polonais ou espagnols. Elle s’oppose en France et en Europe au déploiement d'une industrie ferroviaire au service d’une politique de transports, de mobilité pour tous et d’un développement durable et écologique des territoires.

Depuis quinze ans, en s’interdisant d’avoir une politique industrielle, les différents gouvernements ont conforté cette stratégie, y compris en acceptant en 2014 le dépeçage d’Alstom par General Electric, alors qu’avec la commande publique et leur présence dans l’actionnariat d’Alstom, les leviers nécessaires pour s’y opposer et proposer une alternative existaient.

Or, depuis quinze ans, les gouvernements successifs n’ont rien fait, ou si peu, pour le développement du fret ferroviaire. Ils ont fermé de nombreuses lignes de chemin de fer, renoncé à l’éco-taxe destinée à financer les infrastructures et, cerise sur le gâteau, avec la loi Macron, contre toute rationalité écologique, la concurrence du train par des bus low cost a été légalisée et favorisée.

Pire, aujourd’hui, alors que l’État est actionnaire d’Alstom à hauteur de 20%, le gouvernement est dans un déni en jurant ses grands dieux qu’il ne savait rien sur la fermeture de Belfort.

Ce qui relève soit de l’incompétence, soit du cynisme.

L’Union européenne, le Conseil des États comme la Commission, ont une grande responsabilité dans le chaos ferroviaire qui règne sur le continent et dont le projet de fermeture de l’établissement de Belfort est aussi une conséquence. En effet, les différents paquets ferroviaires imposant la concurrence de tous contre tous et l’absence de politique industrielle autre que celle du libre échange via les accords de l’OMC, ont empêché la construction d’une Europe du transport ferré basée sur la coopération des grandes compagnies publiques de chemin de fer et la création d’un « Airbus » du matériel roulant.

Le résultat du dogmatisme libéral de l’Union européenne conduit à ce que les grandes plateformes numériques d’outre-Atlantique sont devenues des concurrents commerciaux redoutables pour les compagnies de chemin de fer européennes et les constructeurs de matériels ferroviaires européens, Siemens y compris, sont menacés à terme par les constructeurs low cost coréens et chinois.

Afin de garantir l’emploi sur le site de Belfort et le plan de charge des sous-traitants de cet établissement et d’assurer la pérennité et le développement d’un pôle d’étude et de production de motrices et de locomotives sur le territoire français répondant aux besoins de transport, de mobilité et de développement écologique et durable de notre temps, le Parti communiste français propose :

- Qu’un moratoire sur la décision de fermeture du site de Belfort, soit immédiatement instauré.

- Qu'une table ronde multi-partite soit mise en place afin d'élaborer des propositions alternatives immédiates, ainsi sur le transport ferroviaire du futur et de suivre le respect des engagements pris. Qu’afin de pérenniser la production à Belfort entre 2018 et la sortie des exemplaires de série du TGV du futur, l’État impose à la SNCF la renégociation du marché de 44 locomotives de la filiale franco-allemande de la SNCF, Akiem, pour qu’au moins la moitié de la commande aille à Alstom et qu'il fasse pression sur Alstom afin de produire à Belfort une partie des 1600 locomotives du contrat passé avec l’Inde.

- Que les compétences permettant la production de locomotives et de motrices de TVG sur le site de Belfort soient préservées et développées par des embauches de jeunes afin de permettre la transmission des savoir-faire.

Des investissements productifs novateurs doivent être mis en place sur le site ainsi qu'une augmentation des dépenses de R&D. La constitution d’un pôle public de l’industrie ferroviaire formé d’Alstom – dont la nationalisation s’impose en tant qu'entreprise stratégique, y compris via une prise de participation de la SNCF et de la RATP –, de Bombardier France et de Siemens-France qui aurait vocation a participer à la construction d’un "Airbus" du matériel roulant européen avec, entre autres, l’allemand Siemens et l’espagnol DAF, en particulier en mutualisant les investissements en R&D mais en développant tous les sites de production. Un grand plan de développement des infrastructures ferroviaires doit être élaboré et s'articuler avec un plan européen que la Banque centrale européenne doit contribuer à financer pour tous les pays de l'Union européenne, avec une partie des 80 milliards d'euros qu'elle crée chaque mois. Les banques publiques et l’État actionnaire doivent financer les contre propositions (dépenses de R&D, investissements matériels) avec un crédit à taux proche de zéro pour les banques et des dividendes très faibles pour l’État et les autres actionnaires. Un allègement des frais financiers du système ferroviaire doit être engagé par une renégociation de la dette bancaire. Que l’on redonne à la SNCF les moyens, par des prêts bonifiés, d’investir pour renouveler son parc de motrices TVG, dont une partie a plus de 30 ans d’âge, ce qui représenterait l’acquisition de 200 unités et d'acquérir des locomotives pour des matériels intermédiaires entre TER et TVG, c'est-à-dire dans le créneau des automotrices roulant entre 160 et 250 km/h, dont le besoin peut être estimé à un marché d’au moins 800 machines. Que l’ensemble des marchés publics noués par la SNCF et les Régions soit passé selon le principe du « mieux disant » et non du « moins disant », avec prédominances des critères de proximité, d’écologie, de durabilité et de démantèlement des matériels en fin de vie sur le territoire national. La mise en œuvre d’un plan d’électrification du réseau de fret français afin d’atteindre le taux d’électrification allemand de 97% (aujourd’hui le réseau français de fret est électrifié à 57%), avec les commandes de motrices électriques adéquates. Ce plan devant être financé par le rétablissement de l’éco-taxe, par des fonds européens et par des prêts bonifiés de la Banque européenne de développement. De se battre au niveau européen pour que l’Union instaure un « Buy european act » équivalent au « Buy american act ».

Ainsi, en Europe, 75% des marchés ferroviaires publics sont totalement ouverts sans clause de production locale alors que le marché japonais est ouvert à seulement 25% et le chinois à 0%. Que la France lance un processus de renégociation des paquets ferroviaires européens avec, en lieu et place de la concurrence de tous contre tous, un objectif de coopération et de mutualisation des différentes compagnies de chemin de fer. Ce qui impliquerait de revenir sur la séparation entre infrastructures de réseau, activités de transport, activités commerciales, d’imposer des cahiers des charges liés à l’aménagement des territoires et d’assurer une osmose entre industrie et services, y compris par des participations croisées.

Autour de l’existence du site du Belfort et de ses emplois se joue l’avenir ferroviaire de notre pays et de l’Europe et donc de notre capacité à répondre aux défis des transitions écologiques et urbaines qui travaillent nos sociétés.

Le PCF considère à ce titre qu’Alstom Belfort et les compétences de ses salariés, les brevets qui y ont été développés, doivent être considérés comme bien commun inaliénable de notre peuple et non comme propriété des actionnaires d’Alstom. Il s'agit renouer avec une grande ambition industrielle au service de tous.

Le Parti communiste est disponible pour débattre avec tous des solutions pérennes pour le site de Belfort, pour l'industrie ferroviaire et participera aux rassemblements aux côtés des salarié-e-s, des syndicats et des citoyen-ne-s et prendra des initiatives pour mener et gagner cette bataille pour l'emploi, le renouveau de l'industrie ferroviaire à Belfort, comme dans tout le pays.

Alstom Belfort et ses emplois sont indispensables à l'avenir de la France
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20 septembre 2016 2 20 /09 /septembre /2016 07:46
Aide aux Grecs. La caravane solidaire (Le Télégramme, 20 septembre): départ de la caravane solidaire du Cap Sizun le 4 octobre

Aide aux Grecs. La caravane solidaire

par Ronan LARVOR

20 septembre

Les réseaux de soutien au peuple grec, qui ne se relève pas de l'austérité imposée par l'Europe, aggravée par la crise des réfugiés, organisent début octobre, depuis la pointe bretonne, une caravane d'information et de collecte de produits et matériels médicaux. La santé est le secteur le plus sinistré.

« La situation en Grèce ne peut pas s'arranger vu l'acharnement de l'Union européenne et de la Banque centrale, assène René Touriguine. La dette continue à augmenter, tous les efforts demandés aux Grecs ne servent qu'à remplir les caisses des banques. Cette dette ne pourra jamais être remboursée. On a l'impression que la Grèce sert de laboratoire pour savoir jusqu'où on peut pousser les gens ».

Le Morbihannais s'est associé avec le Quimpérois Claude Le Moguen pour continuer une aide concrète au peuple grec engagée depuis quelques années.

« Des collectifs Avec les Grecs ont été créés à l'origine pour soutenir politiquement la montée en puissance de Syriza (parti politique grec de la gauche alternative), rappelle René Touriguine, militant de gauche. Nous avons organisé la tournée Podemos-Syriza en Bretagne, en développant la critique sur les questions de l'austérité, de la dette ».

Situation sanitaire dégradée

Aujourd'hui, les soutiens au peuple grec sont engagés dans des actions plus concrètes avec le relais de l'association Bretagne Grèce Solidarité Santé. Car l'élan initial de soutien à Syriza a fait place à l'amertume.

« Syriza au pouvoir n'a pas tenu ses promesses, continue René Touriguine. Tsipras a capitulé. Il aurait dû refuser de rembourser la dette, or il a seulement démobilisé son peuple et ses soutiens. L'austérité a des conséquences terribles. Le budget de la santé a baissé de 40 %. 30 % de la population n'a aucune couverture sociale ». Des initiatives ont été lancées pour répondre à l'urgence, portée en Grèce par des médecins qui interviennent gratuitement dans les dispensaires ouverts aux Grecs comme aux réfugiés. En Bretagne, les réseaux se sont engagés dans des collectes de médicaments et de matériel médical.

L'expression des enfants

Cette initiative a rencontré celle d'étudiants grecs qui ont organisé un concours de dessins dans les écoles de l'Attique sur le thème de la paix et des valeurs humaines. Une partie de ces dessins est actuellement accrochée à la MPT d'Ergué-Armel, à Quimper. L'exposition est itinérante. Elle doit accompagner une caravane solidaire qui partira de la Pointe du Van le 4 octobre prochain. Elle rejoindra d'autres convois partis d'autres périphéries de l'Hexagone, à Lyon le 15 octobre avant un nouveau départ vers Athènes, soit pour les Bretons plus de 4.000 km de route. Les caravanes recueilleront les dons sur son passage.

Programme

Rendez-vous le mardi 4 octobre à 10 h 30 sur le parking de la Pointe du Van, à Cléden- Cap-Sizun. À 13 h 30, étape à Douarnenez devant l'hôpital sur le terrain de l'ex- Intermarché. Départ en convoi pour Quimper à 15 h 30. Le 5 octobre étapes à Concarneau, Quimperlé, le 6 à Lorient, Auray, Vannes...

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20 septembre 2016 2 20 /09 /septembre /2016 07:23
Défense des bureaux de poste: communiqué des élus communistes de Brest Métropole

Communiqué de Presse :

La poste à Brest : défendre à tout prix les services publics de proximité

Il est prévu que le bureau de poste du port de Brest ferme ses portes dès le 1er octobre.

D’autres fermetures sont prévues, notamment celle du bureau des 4 Moulins. Ces décisions sont préoccupantes.

Les élu-e-s communistes jugent ces fermetures intolérables.

La méthode de la poste pour casser le service public postal : constater d’abord son inefficacité, non pas sur les critères traditionnels du service public (réponses aux besoins, égalité des territoires, accessibilité) mais sur des critères de pure rentabilité !

C’est exactement cette démarche qu’elle entreprend sur Brest en réduisant d’abord les horaires d’ouverture, signe avant-coureur d’une fermeture prochaine.

Après avoir cassé les bureaux de poste en zone rurale, la poste s’y emploie méthodiquement en zones urbaines au nom du dogme de la compétitivité, et alors même qu’elle réalise 700 millions d’euros de bénéfice et qu’elle perçoit des aides publics considérables au titre du CICE !

Les particuliers payent une fois de plus le prix fort…

Nous craignons que ces décisions préparent d’autres fermetures et ne soient qu’une première étape vers un service public postal au rabais sur le bassin brestois, pourtant vecteur de création d’emplois et de mieux-vivre.

Face à cela, nous réagissons.

Le groupe des élu-e-s communistes soutient activement le collectif qui s’est formé et se montrera très attentif à l’évolution des services publics postaux sur la commune.

Le contact est pris avec ce collectif pour penser de futures actions, en lien avec la population brestoise, les syndicats, les associations, afin de préserver le service public postal de proximité et qu’il profite à tous.

Les élu-e-s communistes de la Ville de Brest et de Brest Métropole : Jacqueline HERE, Claude BELLEC, Eric GUELLEC, Gaëlle ABILY, Isabelle MAZELIN

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20 septembre 2016 2 20 /09 /septembre /2016 07:23
Appel pour préserver l'avenir du service public de la Poste lancé à la fête de l'Humanité par des communistes et syndicalistes

Nous sommes usagers, syndicalistes, élus locaux, réunis à la fête de l’humanité, ce jour du 10 septembre 2016 : nous décidons de lancer un appel à toutes nos concitoyennes et concitoyens pour défendre et développer le service public de la poste

L’objectif principal du contrat de présence postale territoriale pour les 3 ans à venir , en cours de discussion entre la poste, le gouvernement et l’AMF , au nom de « l’adaptation du réseau aux contraintes économiques » est la fermeture de très nombreux bureaux de poste, en continuant les fermetures dans le monde rural, et en les accélérant dans les villes.

Il s’agit de passer d’un réseau où les Bureaux de Poste étaient largement majoritaires , encore en 2014 ( ils ne sont plus aujourd’hui qu’à 54 %) à un réseau largement dominés par les « partenariats » où les bureaux de poste seront en forte régression.

Le nombre de points de contacts restant inchangé ( 17 000 ) puisque les Bureaux de Poste seront transformés en agences postales communales ou en relais commerçants .

Pour imposer cette régression, il faut lever l’obstacle de l’opposition des maires, des conseils municipaux, de l’action des usagers et des syndicalistes dans les territoires.

Il est donc créé trois sortes de points de contacts et pour ceux qui ne relèvent pas du fonds de péréquation et qui ont plus de 18h d’horaires hebdomadaires , il n’y aura plus de diagnostic partagé ni d’accord préalable du maire et du conseil municipal pour fermer le bureau de poste . Or, aucun bureau de poste ne doit évoluer sans l’accord préalable du conseil municipal et des CDPPT.

Cette politique s’accompagnera de la création de MSAP, maisons de services au public, et des facteurs guichetiers.

L’objectif de ces MSAP rejoint celui des missions nouvelles confiées aux facteurs pour compenser la régression des services publics sociaux et de santé , missions financées par les habitants concernés.

La poste deviendrait la béquille de cette régression généralisée .

Il est possible de mener un combat offensif pour faire de ces MSAP des « MSP », des véritables maisons de services publics , en posant des conditions de créations d’emplois en nombre suffisant, de formation des salariés concernés, de gestion démocratique et participative de ces maisons de service public

La poste doit orienter sa politique vers ce qui est sa mission : le service public, et non pas empocher le CICE ( 300 millions par an) pour supprimer des emplois et privilégier la rentabilité financière.

Nous appellons nos concitoyens à

  1. Refuser l’orientation adoptée pour ce nouveau contrat de présence postale pour 2017-2019.
  2. Se battre partout, pied à pied, pour empêcher toute fermeture d’un bureau de poste . Objectif : zéro fermeture de bureau de poste !
  3. Agir pour mettre en place de vraies maisons de services publics , ce qui implique des objectifs en termes de créations d’emplois , de formation, de gestion démocratique …
  4. Demander que les CDPPT soient élargies aux associations d’usagers et organisations syndicales représentatives du personnel et qu’elles soient consultées sur l’ensemble des évolutions en cours au sein du réseau postal local ou sur les réorganisations de services qui impactent les conditions de travail et le service rendu aux usagers.
  5. Demander la hausse des ressources du fonds de péréquation qui permettent de financer les rénovations et accompagnements du public dans les bureaux de postes et que ce périmètre soit élargi au-delà des quartiers en politique de la ville
  6. Créer partout des collectifs locaux et départementaux avec le tryptique gagnant usagers-syndicalistes- élus et partis politiques . Une coordination nationale impulsera ce mouvement en lien avec la « convergence des services publics »

Premiers signataires:

Paulette AGNEL conseillère municipale de Velleron

François AUGUSTE collectif départemental 38

Marie-Christine BASTIEN collectif départemental 54

Sylvie BAYLE secrétaire générale CGT postaux de Paris

Nicolas BONNET OULADJ président du groupe pcf-fg de paris, président de la commission départementale de présence postale

Jean Claude CHAILLEY résistance sociale

Ismaël DUPONT élu à Morlaix et communauté, sd du pcf finistère

Jean-Philippe GILLET militant cgt, secrétaire section pcf poste paris

François JACQUART conseiller régional auvergne rhône alpes

Michel JALLAMION président convergence des services publics

Michel LANNEZ postier militant syndical

Gilles LE PROUST maire d’Allones, membre du bureau de l’AMF

Daniel LINOSSIER comité vigilance : mettre la poste sous protection citoyenne

Joël MARSEILLE adjoint au maire de TENCIN 38

Martial PASSY maire de Givors vice président métropole de Lyon

Pour signer l'appel, demander des renseignements complémentaires:

Nicolas BONNET : nicolas.bonnet@paris.fr

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