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5 février 2016 5 05 /02 /février /2016 17:59
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5 février 2016 5 05 /02 /février /2016 17:02
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5 février 2016 5 05 /02 /février /2016 07:29

INFORMATION DES PARENTS d'ELEVES DES ECOLES PUBLIQUES: RASSEMBLEMENT DEVANT LA MAIRIE LE VENDREDI 5 FEVRIER à 16H15.

Menu unique:

Face à cette décision, purement politique et clivante, les parents des écoles Morlaisiennes ont prévu un rassemblement

vendredi 5 février à 16h15.

Nous revendiquons une école publique ouverte et républicaine qui respecte la culture de chacun.

Rassemblement ce vendredi 5 février pour des cantines scolaires accueillantes des écoles de Morlaix pour toutes les familles, tous les enfants: 16h15-16h30 devant la mairie de Morlaix!
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5 février 2016 5 05 /02 /février /2016 07:28

Cette semaine, nous avons eu la grande tristesse d'apprendre le décès de Serge Abramovicz, militant de l'AFPS et du Front de Gauche Morlaix, un homme aux grandes qualités humaines, avec beaucoup de chaleur, d'humour, de gentillesse et de joie de vivre.

Il nous manquera.

Serge était le mari de Michèle Abramovicz, conseillère municipale d'opposition à Morlaix et ex co-présidente de l'association Front de Gauche du Pays de Morlaix pendant deux ans et demi.

Les obsèques de Serge auront lieu le vendredi 5 février à 13h30 au crématorium de St Thégonnec.

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5 février 2016 5 05 /02 /février /2016 07:10

S'il fallait un bon ambassadeur pour le projet de Vinci à Notre-Dame-des-Landes, on l'a trouvé en la personne du très philanthrope Pierre Gattaz qui aborde les dossiers du moment dans le Ouest-France d'hier, le 4 février:

Baisse des allocations chômage:

"Nous voulons une refonte structurelle du système (d'assurance chômage) qui produit 4 milliards d'euros de déficit chaque année, trente milliards d'euros cumulés. La dégressivité fait partie des solutions, peut-être pas la meilleure, mais cela peut inciter à retrouver une activité".

Bien sûr, si les chômeurs restent chômeurs, c'est qu'ils se complaisent dans le chômage, qu'ils ne sont pas incités par la pression de la misère, de la perte rapide et brutale de revenus, à se bouger pour trouver du travail et se vendre au prix et aux conditions de l'employeur.

Et le million de création d'emplois promis par le patronat en échange des 40 milliards d'euros de cadeaux en exonérations de cotisations sociales et d'impôts accordés par le gouvernement Valls-Hollande? "

Crise agricole:

" Ce que vivent nos agriculteurs, c'est la cristallisation de ce que connaît la France depuis 25 ans: un coût du travail trop élevé à cause des prélèvements obligatoires, l'investissement productif découragé par rapport à l'épargne... Et puis nos paysans souffrent d'une sur-transposition des directives agricoles sur l'environnement".

Pour que ça aille mieux, donc, il faut continuer à déréguler, à mettre en concurrence pour faire baisser le coût du travail, à casser les prix garantis et les protections, à remettre en cause les protections environnementales et de santé publique. Le monde agricole de Pierre Gattaz, c'est la ferme usine à capital français implantée en Pologne avec des bêtes garanties 100% OGM.

Notre-Dame-des-Landes:

"C'est un outil indispensable pour l'Ouest de la France. L'ensemble des forces économiques est en faveur de cette nouvelle infrastructure. C'est un chantier qui pourrait générer de l'emploi localement: on parle de 5,4 millions d'euros de travail, soit plus de 3000 emplois (le gros mensonge!). Ce projet illustre malheureusement un certain nombre de blocage français (c'est vrai que l'Amérique de Bush et de Trump est beaucoup plus facilitante pour le big business...)... Il faut maintenant que l'on passe aux actes pour donner vie à ce grand projet".

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5 février 2016 5 05 /02 /février /2016 07:02
Hausse du chômage: une contre-performance prévisible

Hausse du chômage : une contre-performance prévisible

► La promesse d'inversion de la courbe du chômage est loin d'être tenue. Le gouvernement s'entête dans ses solutions libérales et continue à multiplier les cadeaux aux patrons pour le même résultat : toujours moins pour les salarié-e-s, toujours plus pour les dividendes versés aux actionnaires.

► Pierre Laurent, au nom du PCF, lance une campagne pour l'emploi, le travail et la formation. « Ceux qui nous disent que nous sommes obligés d'entrer dans la guerre économique pour protéger l'emploi nous mentent. Les solutions existent ».

Avec les chiffres de décembre publiés par Pôle emploi, on connaît le bilan de l’année 2015. Celui d’une nouvelle hausse du chômage. Les mesures annoncées par le gouvernement ne sont pas de nature à résoudre les causes conjoncturelles et structurelles du sous-emploi.

Bilan 2015

Pour s’en tenir à la catégorie A, en un an, ce sont 90.000 chômeurs de plus, soit +2,6%. Si l’on étend le bilan en intégrant les catégories B et C, (ceux qui ont connu une faible activité le mois précédent), il est plus négatif encore. La hausse atteint nationalement 5% sur un an. Soit 5,476 millions de personnes en métropole, dont 3,591 millions pour la seule catégorie A. Phénomène plus préoccupant encore, sur ces 5,476 millions de personnes, 2,470 millions sont au chômage depuis plus d'un an. Ce chômage de longue durée ne cesse de progresser.

Quels remèdes ?

Ȧ court terme, le gouvernement ne cesse d’invoquer « la croissance ». Les zones d’ombre qui pèsent sur la reprise ne permettent guère d’espérer une franche amélioration. D’autant que peu de mesures sont prises pour dynamiser la consommation et l’investissement. Quant aux « baisses de charges » pour les entreprises, elles sont principalement captées en « effet d’aubaine » pour relever le taux de marge bénéficiaire. Restent les décisions à effets statistiques (mise en formation de 500.000 demandeurs d’emploi et accentuation des emplois aidés), elles auront certainement un impact sur « la courbe du chômage », mais sans traduire un essor durable de l’emploi. Lutter contre le chômage demanderait de rompre avec l’austérité et d’engager une autre utilisation des ressources monétaires et budgétaires. Cela reste à conquérir, dans les choix des entreprises comme dans ceux de l’État.

Le besoin de rupture est encore plus grand si l'on veut s’attaquer au chômage structurel. Les recettes capitalistes sont connues : dans leurs paroxysmes, le million de « contrat zéro heure » en Grande-Bretagne et l’ubérisation du travail en « entrepreneurs indépendants » dépourvus de protection sociale, sont exemplaires. Ce sont des « ruptures » avec le « compromis social » qui a marqué sur une longue période la seconde moitié du 20e siècle.

Mobilisons-nous

Toutes les forces sociales progressistes qui ne veulent pas de cet avenir de régression de civilisation doivent se battre, d’autant plus qu’on ne reviendra pas - (fort heureusement pour la planète et ses habitants) - à des rythmes et des formes de croissance du type de ceux des « Trente glorieuses ». Réduction du temps de travail, révolution énergétique et écologique, réorientation des modes de production et de consommation, essor de la coopération contre les gâchis de la concurrence, démocratie économique et sociale, développement des services publics,… autant de pistes qui doivent être la réponse de fond aux défis du sous-emploi.

PIERRE LAURENT : Nous engageons une campagne pour le travail, l'emploi et la formation

« Zéro chômeurs/du travail pour tous, plus qu'une campagne sera un axe central pour un nouveau projet de société. Dans tous les domaines, nous devons envisager les choses autrement car la société marche sur la tête. L'une des grandes ambitions, avec la protection de la planète, sera de construire une société sans chômage. (…) Le travail, l'emploi, l'éducation pour tous, doivent être au coeur de notre projet.

Ceux qui nous disent que nous sommes obligés d'entrer dans la guerre économique pour protéger l'emploi nous mentent. Nous ne cessons d'abdiquer nos principes devant les exigences des marchés et des multinationales. Et l'emploi recule, mois après mois, année après année. Les paysans sont poussés au désespoir parce qu'on ne rémunère pas le travail paysan à sa juste valeur. La révolution numérique, qui permettrait de réduire le temps de travail, n'est utilisée que pour promouvoir l' « uberisation », c'est à dire la dérèglementation généralisée du travail.Pour nous, cette révolution peut au contraire nous permettre de construire un nouvel âge de la Sécurité sociale qui sécuriserait l'emploi et la formation toute la vie. Évidemment, cela nécessite de mobiliser l'ensemble des richesses disponibles : les immenses sommes détournées par les banques et les marchés financiers doivent revenir à la société . »

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5 février 2016 5 05 /02 /février /2016 06:58

La déchéance sociale du gouvernement

Dégressivité des indemnités chômage -

Alors que les négociations entre syndicats et patronat débutent le 22 février, un rapport remis à la ministre du Travail propose de réduire la dette de l’Assurance chômage en réduisant la durée d’indemnisation et en introduisant la dégressivité des allocations chômage. La baisse pourrait aller jusqu’à 2 600 euros par an pour près de 400 000 allocataires.

Mise en œuvre entre 1992 et 2001, la dégressivité des allocations a pourtant démontré son inefficacité pour les demandeurs d’emploi à retrouver du travail. Cette nouvelle concession au patronat est un aveu supplémentaire de faiblesse du gouvernement qui choisit l’austérité pour ne pas s’attaquer aux immenses profits financiers annoncés chaque jour.

Faute de réussir à lutter efficacement contre le chômage, le gouvernement préfère accroître la précarité des plus fragiles. Le retour à l’équilibre de l’Assurance chômage est pourtant envisageable si on décidait d’augmenter la cotisation patronale, et de relancer l’emploi pour réduire le nombre de chômeurs.

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRC s’opposent à la dégressivité des allocations chômage et la réduction de la période d’indemnisation qui transfèreront demain les allocataires vers les dispositifs départementaux d’aides sociales comme le RSA, actuellement en crise.

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5 février 2016 5 05 /02 /février /2016 06:55

Trop d’argent public continue d’alimenter les niches fiscales comme le dispositif Pinel

Accès au logement social pour le plus grand nombre -

Alors que les chiffres du mal logement viennent d’être rendus publics par la fondation Abbé Pierre, nous sommes confortés dans notre conviction qu’il y a urgence à agir pour garantir à tous le droit au logement.

141 000 personnes dorment dans la rue, chiffre qui a doublé en 10 ans. Près de 900 000 personnes ne disposent pas de logement personnel.

Ce sont des familles, des femmes et des enfants qui se retrouvent parfois obligés de dormir dans la rue ou dans une voiture, alors même que les parents travaillent. Pour ceux qui subissent de plein fouet les conséquences de la crise économique et du chômage, accéder au logement peut paraître inaccessible.

Ainsi, 5,7 millions de personnes produisent un effort financier que la fondation qualifie d’excessif, c’est-à-dire qui laisse un reste à vivre en deçà du seuil de pauvreté.

Une telle situation conduit à une multiplication des impayés. Aujourd’hui, 1,2 million de personnes sont sous la menace d’une expulsion, alors même parfois qu’ils sont reconnus prioritaires au titre du DALO.

Ces situations sont le lit de traumatismes immenses. Le mal logement a aussi des conséquences multiples, sur la santé, sur la scolarité des enfants….

Cette situation heurte profondément notre morale politique et humaniste, et notre conscience.

Oui, il y a urgence à agir ! C’est pourquoi, le groupe CRC prend toutes ses responsabilités en vous soumettant cette proposition de loi.

Depuis maintenant plusieurs décennies, le logement n’est plus considéré comme un droit, mais comme un bien marchand, objet d’un marché spéculatif. Ce dernier a permis de créer des rentes spectaculaires pour certains et des grandes difficultés pour le plus grand nombre.

Nous identifions comme cause principale de cette crise l’absence d’une construction à la hauteur des besoins.

Nous sommes ainsi bien loin des 500 000 logements par an dont 150 000 sociaux promis par le Président de la République en 2012.

Pour l’année 2015, seulement 109 000 logements sociaux ont été financés selon les chiffres donnés par le ministère. Cumulée aux difficultés du secteur privé, cette situation est inquiétante à double titre, pour le droit au logement bien sûr, mais également pour l’emploi. La perte dans le BTP est supérieure à 12 000 emplois en 2014 ! Certes, on nous a annoncé une éclaircie, mais la situation reste très préoccupante.

Cette absence de production est liée à plusieurs phénomènes. Les coûts de construction bien sûr qui sont plus élevés, et notamment les prix du foncier. Je rappelle d’ailleurs que nous avons une proposition en la matière permettant la création d’une agence foncière nationale pour le logement.

Parmi les freins également que nous identifions, et c’est la question qui nous occupe aujourd’hui, la baisse drastique des aides à la pierre. Baisse qui malheureusement se conjugue avec la forte diminution des dotations aux collectivités.

En effet, d’un côté, il y a moins d’aides à la pierre et de l’autre les collectivités perdent en dotations 3,7 milliards d’euros par an, 11 milliards à l’horizon 2017.

Dans ces conditions, les prix de sortie seront de plus en plus élevés, faute de soutien de la part de l’État.

Or, c’est l’absence de construction publique suffisante qui est l’une des causes du logement cher dans le privé. En effet, le déficit de l’offre crée une demande trop forte qui conduit à une montée des prix. Il y a donc bien une problématique commune et des interactions fortes entre le secteur privé et le secteur dit social. Un parc public répondant aux besoins est à nos yeux, le plus sûr instrument de régulation des loyers dans le secteur privé. Preuve, que les 2 secteurs ne s’opposent pas.

Le projet de loi de finances pour 2016 nous inquiète particulièrement.

Le désengagement de l’État poursuivi depuis de nombreuses années s’accentue. Les subventions de l’État sont en voie de disparition, et ce, contrairement à l’engagement du Président François Hollande qui avait promis de doubler les aides à la pierre. Il passe un cap cette année avec la création du fonds national pour les aides à la pierre. On acte ainsi clairement le fait que les crédits de l’État ne constituent plus l’essentiel du financement des aides à la pierre.

Le calcul est simple : avec moins d’argent, on construira moins, ce qui aggravera la crise actuelle du logement.

Nous estimons donc qu’il est urgent de réorienter la masse financière affectée aux politiques du logement. Elle pèse aujourd’hui 40 milliards. Nous avons donc des marges de manœuvre…

Trop d’argent public continue d’alimenter les niches fiscales de type Scellier ou De Robien.... ou encore le dispositif Pinel. Cette dernière niche a pour objet de soutenir le développement du logement dit « intermédiaire », reconnaissant ainsi un nouveau segment de marché, plus cher que le logement « social », mais moins élevé que le logement dit « libre ». Mais jamais le logement cher n’a été mis en cause par les politiques successives.

Pire, elles soutiennent les investisseurs privés, disons-le, les plus fortunés, à hauteur de 1,8 milliard au total, somme qui serait bien plus utile pour les acteurs du logement social. On utilise l’argent public pour permettre aux plus aisés de se constituer un capital. Ce n’est pas conforme à notre morale ni à notre sens de la justice sociale.

En effet, les niches fiscales ont une efficacité qui n’a jamais été avérée. D’ailleurs nous n’avons aucun chiffre qui nous permette de l’affirmer. Par contre, elles créent un effet d’aubaine évident, pour réduire les impôts des intéressés. Soyons clairs, c’est leur motivation principale pour investir comme le rappelle le rapport de Sophie Primas.

Soutenir l’investissement locatif, c’est au fond nourrir ce système spéculatif. Nous considérons que les pouvoirs publics doivent cesser de favoriser la rente privée.

Oui, il faut encadrer les loyers dans le secteur privé, mais il faut surtout réserver l’argent public, denrée rare et précieuse aujourd’hui, à la construction publique.

L’article premier de cette proposition de loi propose donc d’abroger le dispositif Pinel afin de permettre de réaffecter ces crédits. Certes, aujourd’hui cela ne représente que 240 millions d’euros. Mais ce dispositif a vocation à monter en puissance, à l’image du Scellier qui coûte 800 millions d’euros par an. Il ne s’agit donc pas d’une mesure disproportionnée, mais d’une mesure d’efficacité.

Nous considérons que ces 240 millions, issus des impôts payés par l’ensemble des contribuables, doivent aider le secteur HLM à mettre sur le marché des logements accessibles afin de répondre à la demande sociale.

Nous considérons que limiter l’intervention publique à l’assistanat en matière de logement organise le plus sûrement la ghettoïsation de certains quartiers, engendrant des problèmes multiples. En sachant aujourd’hui, que les parcs se dégradent et que les populations qui sortent du parc sont remplacés par des populations malheureusement plus pauvres.

Nous considérons que le brassage et la mixité sont des réponses au défi posé aujourd’hui au modèle républicain. Les politiques publiques du logement constituent une partie de la réponse, nous en sommes intimement convaincus.

Pour atteindre cet objectif, nous proposons de relever les plafonds d’accès au logement social. Cette démarche doit, d’ailleurs, se conjuguer avec une baisse des plafonds de loyers, Madame la Ministre.

Il ne s’agit pas, contrairement à ce que j’ai entendu, d’allonger inutilement la liste des demandeurs de logement déjà bien trop longue, ni de sortir les plus pauvres, les commissions d’attribution jouent leur rôle, mais d’agir pour l’universalité du droit au logement.

L’Union sociale de l’habitat dit souvent que le logement social est le patrimoine de ceux qui n’en ont pas. C’est même le patrimoine commun de tous. Nous considérons donc que tous doivent pouvoir y prétendre.

Ce relèvement du plafond aurait trois conséquences positives :

La première, la plus fondamentale, serait de permettre à des personnes aux ressources trop faibles pour se loger dans le parc privé, de pouvoir accéder au parc public dans des conditions économiquement acceptables. Cela constitue à nos yeux une réponse bien plus adaptée que la création d’un nouveau segment de marché dit logement intermédiaire.

La seconde serait de permettre aux Maires bâtisseurs de répondre à un panel plus large de demandeurs et donc de faciliter les opérations de construction. Il arrive ainsi que des logements neufs restent vides faute de locataires aux ressources suffisantes pour assumer un loyer certes relevant du logement social, mais déjà largement inaccessible pour le plus grand nombre.

Enfin, ce relèvement du plafond répond à notre vision généraliste du droit au logement et donc à notre volonté de renforcer la mixité sociale et urbaine. Le renouvellement urbain en œuvre dans les zones les plus denses doit être une chance pour mettre en œuvre la mixité, source de réussite et d’apaisement.

Voilà, mes chers collègues, les éléments de présentation que je souhaitais vous soumettre.

Michel Le Scouarnec

Michel Le Scouarnec

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5 février 2016 5 05 /02 /février /2016 06:52
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5 février 2016 5 05 /02 /février /2016 05:08

Les élus du groupe Communiste, républicain et citoyen (CRC) voteront, le 9 février, contre la prolongation de l'état d'urgence pour trois mois, présentée hier en Conseil des Ministres.

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