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12 avril 2020 7 12 /04 /avril /2020 07:11
1920-2020: Cent ans d'engagements communistes en Finistère: 68/ François Tanguy (1925-1987)

1920-2020: Cent ans d'engagements communistes en Finistère:

68/ François Tanguy (1925-1987): un pilier de la CGT Finistérienne

Né le 2 avril 1925 à Landerneau (Finistère), mort en juillet 1987 à Brest (Finistère) ; ouvrier maçon ; secrétaire général de l’union départementale CGT du Finistère (1956-1978) ; membre du bureau fédéral de la fédération du PCF du Finistère (1952-1965).

François Tanguy, dit Fanch Tanguy, était le fils d’un plâtrier. A la mort de son père, sa mère devint blanchisseuse pour élever ses quatre enfants. Après avoir participé à 19 ans à la Résistance et s’être engagé dans la 1ère Armée, il se trouvait à la frontière autrichienne avec son unité au moment de la capitulation du Reich le 8 mai 1945.

Revenu à la vie civile, il adhéra à la CGT en 1946 et s’engagea de plus en plus dans la vie militante. En 1950, employé comme maçon dans une entreprise du bâtiment de Brest, il fut élu délégué du personnel puis fut élu dans le même temps secrétaire de l’union locale de Landerneau.

En 1951, il remplaça Pierre Mazé, promu à la fédération du bâtiment, à la direction du syndicat CGT du bâtiment de Brest. C'était le frère d'Edouard Mazé, tué lors de la manifestation du 17 avril 1950 à Brest (cf. "Un homme est mort" de René Vautier, et BD de Kris et Davodeau)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 38/ Edouard Mazé (1924-1950)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 7/ René Vautier (1928-2015)

En 1952, François Tanguy œuvra à la constitution de l’union syndicale départementale du bâtiment (USB).

Le 28 février 1952, grève pour les 30 Francs de l'heure dans le bâtiment à l'appel de trois syndicats CGT-CFTC-FO. La quasi-totalité des travailleurs a quitté les chantiers à Brest. Fanch Tanguy prend la parole, traduit en arabe par un travailleur algérien: "... Si depuis 1950, nous avons imposé cinq accords de salaires, depuis notre dernier accord les prix ont sérieusement grimpé et justifient les 30 francs horaire.... Le gouvernement que nous voulons, c'est un gouvernement qui remplit le ventre des travailleurs... Ce que nous obtiendrons de la commission paritaire sera fonction de l'action que vous aurez engagée au sein de vos entreprises, sous toutes les formes; actions que vous ferez connaître..." C'est ce jour là que naît l'Union Syndicale du Bâtiment (USB). A 88% des travailleurs, on décide de la poursuite de la grève chez Campenon au bout de 9 jours de grève le 4 mars 1952. Les patrons du bâtiment ne veulent consentir qu'à 5% d'augmentation. La grève se poursuit, comme dans la métallurgie, chez les dockers, aux Trolleybus, à l'Arsenal. Le 20 mars 52, Brest compte 8000 grévistes, dont 5000 du Bâtiment. Le Conseil municipal de Brest, bien ancré à gauche, est solidaire du mouvement social. L'arrivée au pouvoir comme chef de gouverneme de Antoine Pinay, "l'homme du gros patronat" (Fanch Tanguy) - un ancien collaborateur, qui a voté les pleins pouvoirs à Pétain le 10 juillet 1940, a été décoré de la Francisque, a été nommé au conseil national vichyste, poste qu'il a occupé jusqu'en 42, qui a fait partie des réseaux clandestins de l'OTAN mis en place en 49 dans le cadre de la guerre froide et de la politique anti-communiste - "a donné toutes les espérances aux patrons de notre département pour ne pas satisfaire aux légitimes revendications de la classe ouvrière". Le gouvernement Pinay baisse les prix d'articles de grande consommation pour refuser d'indexer les salaires sur les prix et accroit la présence des forces répressives menaçant le mouvement social.  Le 25 mars 1952, à Brest, des grévistes manifestants sont matraqués et arrêtés par les CRS  et ne sont relâchés le soir que suite à l'intervention des forces syndicales. "Le lendemain, au Bouguen, devant les habitants en émoi, les CRS cernent les baraquements du foyer de l'O.N.C.O.R où sont hébergés les travailleurs nord-africains. Cette démonstration s'effectue sous les ordres du commissaire Danzé et a pour objectif d'interdire le meeting qui doit se tenir à cet endroit pour protester contre l'arrestation, la veille au soir, de trois travailleurs algériens"  (Fanch Tanguy, La CGT dans le Finistère 1944-1968, II. Sur tous les fronts) Une délégation syndicale intervient et obtient leur libération, promettant d'annuler le meeting contre l'arrêt des expulsions des grévistes qui ne peuvent payer leur hébergement au foyer de l'O.N.C.O.R. Les patrons du bâtiment, petits et gros, font bloc pour refuser de donner satisfaction aux revendications. Dans la métallurgie, les patrons refusent toute commission paritaire, et à la direction des trolleybus aussi, c'est le blocage. Les patrons prennent argument de la baisse des prix Pinay, reviennent sur leur proposition antérieure d'augmentation de 5%. Dans ces conditions, la CGT décide d'une marche de la faim sur Quimper. Afin de lui donner tout le retentissement nécessaire, les unions locales CGT et CFTC de Brest lancent un appel à la cessation générale du travail et à un rassemblement, le 31 mars, au nouveau théâtre.   

François Tanguy raconte cette marche de la faim de 80km de Brest à Quimper - mais les grévistes de Morlaix, Concarneau, Douarnenez, vont aussi rejoindre Quimper - une véritable épopée.

Les routes, les ponts, les carrefours stratégiques, les gares, les ponts de chemin de fer sont surveillées par d'importantes forces policières, fusil à la bretelle. A Quimperlé, 400 CRS font route vers Quimper, un camion de CRS stationne à Landivisiau, 12 au Pont-de-Buis, 8 à Châteaulin.

A Brest, le départ est prévu au Petit Paris. Chaque responsable a la conduite et la responsabilité d'un groupe à de 25 grévistes. Il est prévu que la municipalité de Châteaulin offre un casse-croûte, le syndicat de la poudrerie de Pont-de-Buis également, ainsi qu'un commerçant de Daoulas.

Les "marcheurs de la faim" viennent en réalité en bicyclette, tandems, motos. Chaque participant reçoit un exemplaire de la chanson à entonner, "La Marche de la Faim", qui est composée sur l'air des "Bats d'A.F" (Chant de marche des bataillons d'Afrique):

"Il est toujours sur cette terre

des requins qui (ne travaill'pas) bis

Tandis que nous les prolétaires

Nous produisons (tout de nos bras) bis

Toujours aux mêmes les sacrifices 

Ils ont l'espoir (que ça dur'ra) bis

Toujours aux mêmes sacrifices

Oui mais bientôt (tout ça chang'ra) bis

Et en avant! Tous en avant!

REFRAIN

Nous allons sur la grand'route

Ventre creux (et sans faiblir) bis

Le PINAY peut bien s'en foutre

Mais son règne va finir, oui va finir

Nous aurons notre victoire

Qui s'inscrira dans l'hist(oire)

Tous unis dans la bat(aille)

Place à ceux qui travaillent"

Puis la musique du Bergot prend place en tête du défilé, suivie par le comité central de grève, les marcheurs de la faim et les manifestants appelés par les Unions Locales. Devant le défilé qui remonte la rue Jean Jaurès, les commerçants ont cessé toute activité. Au rond-point, qui n'est encore qu'un amas de terre, au nom des syndicats et du comité central de grève, François Tanguy donne alors lecture du serment, adopté la veille, par le comité central de grève:

"Nous travailleurs brestois, en lutte contre la misère, nous affirmons notre solidarité absolue avec nos camarades brestois qui entreprennent une héroïque marche de la Faim.

Nous faisons le serment solennel de rester toujours unis comme un bloc et de lutter avec la plus grande énergie, par tous les moyens et jusqu'à la victoire, pour:

1. Le réajustement de nos salaires au coût de la vie;

2. Une baisse réelle et durable du coût de la vie par la diminution des profits capitalistes, la suppression des taxes de guerre et de vie chère;

3. Le maintien et l'augmentation des crédits de reconstruction, d'investissement;

4. La réduction des dépenses militaires, seule source d'économie possible.

Nous proclamons solennellement que nous ne permettrons pas que les travailleurs, l'ensemble des petites gens, soient acculés à plus de misère encore pour garantir les profits capitalistes et faire face aux charges écrasantes d'un budget de guerre qui conduit à la catastrophe.

Nous exigeons des députés de notre département qu'ils défendent ces propositions à l'Assemblée Nationale.

Nous appelons toute la population du Finistère à s'unir avec nous afin d'obtenir, par une action commune, un gouvernement démocratique au service du Peuple de France, qui assure le progrès du pays et le bien-être des travailleurs, la liberté et la paix".

Après ratification à main levée, le départ est donné. 

Pendant que les marcheurs de la faim font route pour rejoindre Quimper, un magnifique meeting se tient au nouveau théâtre. Bien que FO ait boycoté la grève, 4000 à 5000 travailleurs se retrouvent rue Yves Collet pour entendre les dirigeants syndicaux: Pierre Mazé, Charles Cadiou, Stephan pour la CGT prennent la parole, ainsi que Jean Bourhis pour la CFTC.

Pour rejoindre Quimper, en milieu ou fin d'après-midi, les marcheurs ont emprunté des chemins de traverse, des champs, des rivières et des monts, pour éviter les barrages de la police et des CRS. Les marcheurs jouent au chat et à la souris avec les "forces de l'ordre". François Tanguy a lui reçu le mandat de prendre le train, comme un voyageur ordinaire, pour assurer la prise de parole à Quimper.   

"Le meeting a lieu, à la débauche du soir, aux nouvelles Halles à Quimper. Sans attendre, de nombreuses entreprises sont désertées par les travailleurs qui viennent en s'échelonnant (les rassemblements de plus de 3 personnes sont interdits par le préfet) vers le lieu de réunion... Rue Kéréon, la concentration s'effectue et un cortège prend rapidement forme; le drapeau est sorti, les marcheurs, tiennent toute la rue; les "flics" derrière et surpris, ne peuvent plus rien; la Marche de la Faim est entonnée, elle retentit puissamment dans la rue et se prolonge jusqu'au dernier couplet:

"...Et en avant! tous en avant!

Ils voudraient même notre poitrine

Mais nous, nous ne (marcherons pas) bis

En Tunisie, en Indochine

Contre nos frères (qui luttent là-bas) bis

Nous n'acceptons pas la misère

La liberté (avec le pain) bis

Nous l'aurons dans une France prospère

Avec la paix (pour tous demain) bis

Nous allons sur la grand route..."

Les fenêtres s'ouvrent tout au long du parcours et nous arrivons aux nouvelles Halles débordantes et pleines à craquer. L'ambiance est formidable, les thèmes des allocutions sont ceux développés le matin à Brest. Il fait nuit lorsque les Marcheurs de la Faim vont regagner la salle Le Guyader pour se restaurer et passer la nuit sur la paille étalée dans la salle de bal".

Le lendemain, les marcheurs de la faim reviennent sur Brest après des haltes à Châteaulin et Pont-de-Buis, et doivent retrouver la manifestation brestoise des travailleurs qui remonte à partir de 16h la rue Jean Jaurès, pendant que des camions de CRS encerclent la place.  "Soudain, à l'intersection de St Martin, les Marcheurs de la Faim débouchent juste devant le cortège et continuent leur route vers la maison des syndicats, sous les saluts et applaudissements des manifestants, mais également des personnes présentes sur les trottoirs. Avant d'aller se restaurer à la cantine Floch, rue Amiral Réveillère, une joyeuse assemblée regroupe tous les grévistes, et écoute les péripéties des Marcheurs de la faim".

(Fanch Tanguy, La CGT dans le Finistère 1944-1968, II. Sur tous les fronts)

Finalement, les patrons, avec le soutien de la droite au pouvoir et du gouvernement de réaction d'Antoine Pinay, reviennent même sur leur promesse d'augmentation des salaires de 5% et la CGT doit interrompre la grève (500 000 F de dons avaient été collectés pour la caisse de solidarité aux grévistes) tout en continuant la lutte par d'autres moyens.

Cette période 1951-1952, en pleine phase chaude de la guerre froide, est une période d'intense mobilisation pour Henri Martin et contre la guerre d'Indochine, contre le réarmement allemand, contre l'implantation de l'OTAN et des forces armées américaines en Europe (le 20 février 1952 arrive comme en pays conquis à Brest une unité de l'armée de terre américaine - les "US Go Home" peints au goudron par les militants communistes et cégétistes sur des centaines de murs de Brest, sur la chaussée, la sous-préfecture, la gare, le foyer du marin, les châteaux d'eau, comme à la place de Strasbourg, doivent être effacés par la police), contre la venue du général Ridgway. En mai 52, Jacques Duclos et le rédacteur en chef de l'Humanité, André Still, sont arrêtés. Les journaux du Parti communiste sont saisis. C'est le cas de "Ouest-Matin" et de son rédacteur, le dirigeant communiste brestois Louis Le Roux. 

La CGT  dénonce:  "Le 27 mai, à Paris, 10 000 policiers sont mobilisés pour la venue du général américain Ridgway, lequel, après avoir utilisé en Corée des armes microbiennes, est appelé Ridgway la peste. La puissante manifestation, aux cris de "U.S Go Home!" qui a eu lieu le 28 mai à Paris est reprimée avec une brutale sauvagerie. Elle fait un mort et un nombre considérable de blessés. Le député et secrétaire du parti communiste Jacques Duclos est arrêté et écroué à la prison de Fresnes. Il est inculpé d'atteinte à la sûreté de l'Etat... En parlant d'attentat et de complot, le ministre de l'intérieur reprend les traditions des gouvernements qui, au cours de notre histoire, ont usé de ce subterfuge pour instaurer la dictature des classes exploiteuses... Il n'y a actuellement, en France, qu'un seul complot, c'est celui des classes dirigeantes contre la paix, les libertés, les conditions d'existence des masses laborieuses".   

Dans la foulée, des manifestations ont lieu à Morlaix, à Brest, et un meeting à Quimper, au gymnase, où Louise Tymen rend la parole devant 1000 personnes au nom de l'Union locale. Des militants à Brest remplacent le drapeau américain sur le monument américain par le drapeau tricolore, avec une mention sur une planchette "Les patriotes s'inclinent devant les libérateurs mais chassent les occupants". Faute de trouver les auteurs de l'action anti-impérialiste, trois femmes appartenant à l'organisation brestoise de l'UFF, l'Union des Femmes Françaises, dépendante du Parti communiste, Mesdames Bernard, Lagrange, Bozec, sont arrêtées et écrouées à la prison de Landerneau.  

François Tanguy fut élu au bureau de l’union départementale à l’issue du congrès de l’UD du Finistère qui se tint les 21 et 22 novembre 1953 à Douarnenez devenant alors un des adjoints d’Henri Ménès.

Dans le même temps il fut élu secrétaire de l’union locale de Brest en 1954.

Il devint secrétaire général de l’union départementale à l’issue des travaux du congrès de l’UD les 7 et 8 avril 1956 à Quimper remplaçant Henri Ménès, secrétaire de l’UD depuis 1950. Il dirigea alors l’UD du Finistère pendant plus de trois décennies jusqu’en 1978 connaissant la même trajectoire que Marcel Piriou dans le Morbihan ou Robert Daniel dans les Côtes-du-Nord.

Il fut l’un des artisans de la mise en place en 1970 du comité régional CGT Bretagne dont Marcel Piriou fut le premier secrétaire. Attentif à l’histoire syndicale, il rédigea une histoire de la CGT dans le Finistère (1944-1968) en trois volumes éditée quelques mois avant son décès. Cette œuvre de près de 1 000 pages, préfacé par Miche Coz, secrétaire de l’UD qui lui succéda, montre combien son histoire personnelle se confondit avec l’histoire des luttes syndicales du Finistère.

Il fit partie du bureau de la manifestation du 13 avril 1956 qui réunit 3000 personnes contre le mouvement initié par Pierre Poujade. Il représenta la CGT au comité de vigilance et de défense républicaine constitue à Brest le 14 mai 1958. Il prit la parole lors du meeting intersyndical le 1er février 1960 à Brest à l’issue de la grève nationale pour la défense des libertés démocratiques et républicaines pour qu’un terme soit mis à l’insurrection Alger. Il prit la parole lors du meeting du 11 février 1962 à Brest après événements de Charonne. Il prit la parole le 19 mars 1962 à Brest lors du meeting à la maison des syndicats après la signature des accords d’Évian. Il intervint au nom de la CGT lors de la manifestation du 8 mai 1968 à Brest devant 20 000 personnes.

Fanch Tanguy eut aussi des responsabilités politiques au sein du PCF auquel il adhéra en 1948. Il intégra le bureau de la fédération en 1953 y siégeant avec d’autres responsables de l’UD comme Henri Ménès et François Tournevache.

1920-2020: Cent ans d'engagements communistes: 67/ François Tournevache (1919-1993)

Il siégea jusqu’en 1965 au bureau de la fédération dirigée par Pierre Le Rose (1953-1956) puis par Paul Le Gall (1956-1969).

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 9/ Pierre Le Rose

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 45/ Paul Le Gall (né en 1925)

Il suivit une école de formation des cadres du PCF d’un mois puis de quatre mois au début des années 1960. Il siégea au comité de la fédération jusqu’à la partition en deux entités effectuée en 1969.

Sources: François Tanguy, La CGT dans le Finistère (1944-1968), Éditions UD CGT Finistère (3 volumes), 1992.

(https://maitron.fr/spip.php?article172973, notice TANGUY François dit Fanch par Alain Prigent, version mise en ligne le 14 mai 2015, dernière modification le 8 juillet 2018).
 
1920-2020: Cent ans d'engagements communistes en Finistère: 68/ François Tanguy (1925-1987)
1920-2020: Cent ans d'engagements communistes en Finistère: 68/ François Tanguy (1925-1987)
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1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 44/ René Le Bars (1933-2016)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 43/ Louis Le Roux (1929-1997)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 42/ Pierre Corre (1915-1943)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 41/ Daniel Le Flanchec (1881-1944)

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1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 31/ François Paugam (1910-2009)

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1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 24/ Yves Autret (1923-2017)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 23/Pierre Jaouen (1924-2016)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 22/ André Berger (1922-1943)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 21/ Joseph Ropars (1912-1943)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 20/ Paul Monot (1921-1943)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 19/ Jean-Désiré Larnicol (1909-2006)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 18/ Jean Le Coz (1903-1990)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 17/ Alain Cariou (1915-1998)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 16/ Jean Nédelec (1920-2017)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 15/ Alain Le Lay (1909-1942)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 14/ Pierre Berthelot (1924-1986)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 13/ Albert Abalain (1915-1943)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 12/ Andrée Moat (1920-1996)

1920-2020: cent ans d'engagements communistes en Finistère: 11/ Jean Le Brun (1905-1983)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère - 10/ Denise Larzul, née Goyat (1922-2009)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 9/ Pierre Le Rose

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 8/ Marie Salou née Cam (1914-2011)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 7/ René Vautier (1928-2015)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 6/ Denise Firmin née Larnicol (1922-2019)

1920-2020 - 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 5/ Fernand Jacq (1908-1941)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 4/ Corentine Tanniou (1896-1988)

1920-2020 - 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 3/ Albert Rannou (1914-1943)

1920-2020 - 100 ans d'engagements communistes en Finistère - 2/ Marie Lambert (1913-1981)

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  • : Favoriser l'expression des idées de transformation sociale du parti communiste. Entretenir la mémoire des débats et des luttes de la gauche sociale. Communiquer avec les habitants de la région de Morlaix.
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