Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
10 juin 2014 2 10 /06 /juin /2014 19:03
Partager cet article
Repost0
10 juin 2014 2 10 /06 /juin /2014 08:20

Le jeudi 12 juin à 20h : AG du Front de Gauche Pays de Morlaix  au local du 2, petite rue de Callac 

Discussion sur l'organisation du Front de Gauche, sa ligne stratégique, les moyens de faire progresser notre efficacité. 

 

femme front de gauche morlaix

Partager cet article
Repost0
9 juin 2014 1 09 /06 /juin /2014 19:55

7 juin 2014 photo JL Le Calvez 2

 

7 juin 2014 photo Jean-Luc Le Calvez 3

7 juin 2014 photo JL Le Calvez 4

7 juin 2014 photo JL Le Calvez

 

Merci à tous ceux qui ont pu venir ce samedi matin et à tous ceux qui ont aidé à l'organisation du rassemblement.

La MJC, le Front de Gauche, EELV, le NPA, la CNT, ATTAC, des lycéens de Corbière, des élèves de Suscinio et de nombreux citoyens ont répondu à l'appel.

Nous étions au plus fort du rassemblement environ 150.

Un mouvement à prolonger et à amplifier !

 

Une page Facebook "STOP EXTREME DROITE Morlaix" a été créée pour rassembler les sympathisants de la démarche et informer sur les futures actions après le rassemblement de samedi.

 

https://www.facebook.com/stopextremedroitemorlaix

Partager cet article
Repost0
9 juin 2014 1 09 /06 /juin /2014 19:16

  Morlaix samedi 07 juin 2014

        

Plus d'une centaine de manifestants se sont rassemblés pour rendre hommage à Clément Méric et pour dénoncer la montée du FN ce samedi matin devant le hall de la mairie de Morlaix. 

Partager cet article
Repost0
8 juin 2014 7 08 /06 /juin /2014 20:52

Conseil municipal 5 juin 2014 Télégramme

 

conseil municipal 6 juin 2014

 

conseil-municipal-5-juin-OF-copie-1.jpg

 

conseil-municipal-5-juin-OF-2.jpg

Partager cet article
Repost0
4 juin 2014 3 04 /06 /juin /2014 16:28

rassemblement contre ED 7 juin

 

Clément Méric, 18 ans, assassiné par des militants d'extrême-droite le 5 juin. Ne l'oublions pas.

Les jeunes se sont peut-être pas allés voter mais ils ne sont pas pour l'extrême-droite.

Prouvons-le leur!

Tous au rassemblement en mémoire de Clément Méric et pour contrer la progression de l'extrême-droite.

A Morlaix, le samedi 7 juillet, à 11h sur le parvis devant la mairie.   

Partager cet article
Repost0
4 juin 2014 3 04 /06 /juin /2014 16:10

" Depuis une semaine, l'entrée de la venelle du "Château" (entre la rue de l'Hospice et la rue Edouard Corbière) est grillagée, on ne sait pourquoi, un grillage tout neuf de 2 m de hauteurs, avec des plots et tout  "interdit aux piétons"...Cela devient très compliqué dans notre quartier :la rue de l'Hospice est barrée depuis des semaines, on ne peut pas la remonter. Depuis le lundi 2 juin, la rue du Docteur Le Febvre, on ne sait plus, elle est interdite des deux côtés, d'un côté en bas, d'un côté en haut, les panneaux sont là... Quant à la rue des Brebis, elle est également interdite de montée à ce jour depuis le collège de St Jo.Bref, c'est un véritable "mic-mac" si je peux me permettre... en tant que riveraine, je m'en sort, je ne peux imaginer les "touristes" qui peinent à venir voir le panorama et qui restent dormir dans leur voiture à défaut de sortir de ce labyrinthe (et je peux te dire que j'en ai aidé plus d'un et cela depuis longtemps). Je plaisante mais on en ait pas loin (aucunes indications, aucun panneaux, rien, des sens interdits et c'est tout). Bref, comme tout les habitants, nous sommes stupéfaits que jamais il n'y a eu de communication de la part de la Mairie, cela n'est pas nouveau. " 

Témoignage d'une riveraine 

Partager cet article
Repost0
4 juin 2014 3 04 /06 /juin /2014 05:40

Le Président de la République n'aura donc rien changé à ses objectifs initiaux, comme d'habitude. Et la méthode qu'il dévoile ce matin pour la réforme territoriale se situe dans le registre du cirque ! C'est l'un des symptômes de la crise démocratique profonde que nous traversons et dont les deux dernières élections ont à nouveau montré la gravité. Aucune leçon n'est tirée.

 A l'endroit où il faudrait rechercher un nouvel élan démocratique, sa réforme territoriale n'affiche pas d'autre ambition que l'austérité accrue pour les budgets publics et l'accroissement de la compétition entre territoires, conformément aux injonctions européennes. Cela se fait au prix d'une aggravation de l'autoritarisme inhérent à la Vème République et de la mise en place de pouvoirs de plus en plus technocratiques abrités de la souveraineté populaire.

 Si la démarche présentée est si acrobatique, c'est pour éviter une validation démocratique aux résultats incertains. Ainsi, on redécouperait les régions au gré des vents avant même que de définir les missions des collectivités. Tout serait imposé sans s'appuyer sur le bilan de l'action menée dans les diverses collectivités et sur la créativité qui a fait la force de la décentralisation.

 Nous n'acceptons pas le double-langage qui consiste à décréter que les communes sont "une petite République dans la grande" tout en augurant leur démantèlement. Le fait de plonger les départements en respiration artificielle relève de la même démarche de duplicité. Au final le projet est complètement contraire au renouveau de la République, à l'égalité entre territoires, à l'égalité en droits de toutes et tous. Enfin, présenter en soi la suppression d'élus du peuple comme un progrès démocratique et une illusoire source d'économies substantielles ravira la droite et l'extrême droite quoiqu'elles en disent : c'est leur inépuisable fonds de commerce.

 La République a besoin d'un sérieux coup de jeune - de passer la 6eme - or il s'agit là d'un acte de destruction qui conduit à une nouvelle concentration des pouvoirs. Une fois de plus, il s'agit de répondre au mieux aux exigences grandissantes des forces patronales et de la finance dont l'emprise s'accroît au fur et à mesure. Les hommes et les femmes de notre pays et de notre continent ont chaque jour qui passe le sentiment accru que le pouvoir est ailleurs, qu'il s'exerce sans eux, qu'ils évoluent dans une démocratie d'apparence. Aucune modification des règles de la démocratie ne peut se faire sans démocratie.

 Nous exigeons des référendums pour chaque modification et, c'est essentiel, un grand débat, animé par une Constituante, pour refaire de la République notre bien commun et redonner à l'action publique toute l'efficacité que peut revêtir le pouvoir quand il est réellement exercé par le peuple.

Pierre Dharréville, responsable de la commission République, démocratie et institutions au PCF

Partager cet article
Repost0
2 juin 2014 1 02 /06 /juin /2014 14:56

logo

 

 

VERS UNE RÉPUBLIQUE NOUVELLE

 

La République est à refonder. Notre pays connaît une crise démocratique profonde qui affecte toutes les institutions. Cette crise est le produit des politiques libérales menées depuis des années, confinant de plus en plus les pouvoirs publics au renoncement et à l’impuissance, cédant toujours plus de pouvoir aux logiques des grandes puissances financières.

Cette crise grave appelle un grand mouvement de renouveau démocratique dont notre peuple doit être l’auteur. Pas de changement possible de nos institutions démocratiques sans démocratie, sans consultation des Français. Toute réforme d'ampleur doit être soumise à la ratification populaire par référendum. Notre exigence pour cette réforme des institutions est claire : renouveau démocratique et relance des politiques publiques plus justes et plus efficaces.

 

La dérive autoritaire en cours

L'oligarchie financière, avec les forces politiques qui veulent bien la servir ont organisé le déclin de l'efficacité de l'action publique. Dans tous les pays d’Europe, on a ainsi cherché à réduire leur nombre et donc leur capacité d’action, sous couvert d’économies d’une part et de compétitivité d’autre part.

 

Ce que nous combattons

  1. L’austérité qui impose des réductions de budgets pour les collectivités locales en affaiblissant les investissements comme la réponse aux besoins de la population et la garantie des droits humains fondamentaux.
  2. Le culte de la compétition acharnée entre les territoires qui conduit à vouloir mettre les institutions publiques au service des projets des décideurs économiques, en les faisant fonctionner sur un mode managérial et technocratique.
  3. La volonté affichée de réduire aveuglément le nombre des représentants du peuple et l’idée selon laquelle la démocratie coûterait trop cher et prendrait trop de temps.
  4. La réduction insensée des budgets publics. Promettre l’efficacité, promettre une plus grande égalité et ne pas se donner les recettes nécessaires à l’action, c’est se condamner à l’échec.
  5. La mort programmée de la décentralisation qui conduit à une recentralisation sur un État lui-même resserré et qui n’en finit pas d’abdiquer de ses responsabilités.

 

Ce que nous proposons

  1. Le maintien d'un tissu démocratique dense : la commune, la participation et l'intervention citoyenne à tous les niveaux.

    Les communes sont le centre de la vie démocratique nationale. Elles doivent être confortées et leurs moyens renforcés. La proximité de leur action publique est vitale pour la République.

    A tous les niveaux de la République, nous voulons augmenter la participation et l’intervention citoyennes. Face à la crise de la démocratie représentative, la souveraineté du peuple doit connaître un nouveau processus de développement. Ce développement passe par un exercice collectif des responsabilités et la fin du présidentialisme à tous les étages.

  2. Une architecture institutionnelle qui garantisse l'égalité sur tout le territoire, favorise le partage et la coopération, et non pas des institutions à la carte.

    Le maintien des trois niveaux de collectivités actuelles (commune, département, région) est nécessaire au maintien d'une couverture harmonieuse et égalitaire de l'action publique sur le territoire. Ces collectivités doivent disposer d'assemblées élues à la proportionnelle, être dotées de ressources fiscales propres, et assurées de la clause de compétence générale. La suppression des départements, a fortiori accompagnée de l'agrandissement des régions, laisserait un vide béant sans niveaux intermédiaires. Les métropoles ne peuvent combler ce vide sur l'essentiel du territoire.

  3. Les moyens de réelles politiques publiques ambitieuses.

    Le programme d'austérité draconien prévu pour les collectivités doit être annulé et les dotations nécessaires pour répondre aux besoins rétablies et revalorisées. Ce n'est pas un coût sans retour. L'investissement public local est un des moteurs de la croissance.

  4. Déprofessionnaliser la politique et la détechnocratiser ; généraliser la proportionnelle.

    La seule véritable efficacité réside dans des mouvements choisis et décidés par le plus grand nombre et non imposés depuis le cerveau — fût-il éclairé — de quelques-uns. Nous voulons des institutions qui représentent mieux le peuple, avec des assemblées à parité, en limitant le cumul, en favorisant le renouvellement des mandats. Nous proposons de créer un véritable statut de l’élu pour permettre une plus grande rotation, une plus grande possibilité de donner de son temps au service du bien commun, un élargissement de celles et ceux qui sont dans l’action citoyenne.

  5. Un processus constituant sanctionné par la consultation des Français.

    Nous proposons la mise en place d’un processus constituant. Les multiples retouches apportées à notre Constitution nécessitent désormais une remise à plat, intégrant tous les échelons de la vie démocratique et tous les champs, y compris celui de la protection sociale.

Partager cet article
Repost0
2 juin 2014 1 02 /06 /juin /2014 14:49

 

 

Plus de seize millions de retraités, sur une population de 65,7 millions d’habitants, cette véritable révolution de la longévité a vu l’espérance de vie dépasser les 81 ans en 2011 (66 ans en 1950). Soit plus de vingt ans à mordre dans la vie, après le départ en retraite. Ce progrès formidable doit cesser d’être considéré comme une charge, un coût à réduire comme le font les libéraux de tous poils. Les retraités ont envie de réinventer la vieillesse en partant suffisamment tôt à la retraite pour mener réellement une vie hors travail. Les retraités veulent avoir les moyens de vivre, de se projeter dans l’avenir, pouvoir participer à la vie sociale, avoir un rôle à jouer dans la société. De bonnes retraites et un service public nouveau peuvent considérablement encourager, amplifier, enrichir ces activités contribuant à construire une autre société. Il est possible de gagner en qualité de vie pour tous les âges. Les moyens techniques, scientifiques et économiques de ce siècle le permettent. C’est un choix de société majeur qui nécessite d’être intégré dans les politiques mises en œuvre pour aller vers une société pour tous les âges.

 

 

 

Une autre politique à la place decette austérité insupportable.

 

 

 

 

 

 

Comme les actifs, engageons-nous dans un mouvement de contestation contre les politiques d’austérité du gouvernement et pour leur substituer une alternative de gauche et de progrès social. Le pacte de responsabilité du président Hollande est un pacte de dupes dont salariés et retraités sont les victimes et les patrons les grands gagnants.Pour eux, un cadeau de 36 milliards d’€ après les 20 milliards d’€ du Crédit d’Impôts Compétitivité Emploi. Pour nous, baisse continue du pouvoir d’achat de nos pensions, réduction de la couverture maladie, augmentation des impôts, de la TVA, de la CSG, création de la CASA. Et d’autres mesures tout aussi néfastes sont dans les tiroirs du gouvernement. La suppression de la part patronale des cotisations sociales de la branche famille constitue, après la CSG, la deuxième brèche dans notre salaire socialisé.

 

 

Cette disposition remet profondément en cause et menace notre modèle social solidaire issu du Conseil National de la Résistance.

 

L’entêtement gouvernemental à vouloir réduire les dépenses publiques, alors que le chômage continue de s’aggraver, met à mal les services publics auxquels les retraités ont largement recours.

 

Jamais dans notre pays les inégalités n’ont été aussi criantes. Les grandes fortunes continuent de s’enrichir honteusement tandis que la pauvreté se développe, chez les jeunes et les retraités. Les débâcles électorales et la montée du FN, appellent d’autres réponses .

 

La constitution d’une alternative à gauche a besoin du rassemblement de celles et ceux qui veulent mettre au pas la finance et ouvrir une nouvelle ère de progrès

 

 

Un salarié retraité n’a rien à justifier.

 

 

Un salarié retraité touche un revenu de remplacement sans contrepartie. À travers le pacte « cotisation-répartition », sa classe assume solidairement ce statut social parce que chacun de ses membres est garanti d’y accéder un jour. Leurs retraites ne pèsent en rien sur le soi-disant coût du travail. Elles ne pèsent que sur le profit !

 

Utiles, ils l’ont été en produisant le monde dans lequel vivent les nouvelles générations de salariés qui, elles-mêmes, sont appelées à rejoindre un jour cette avant-garde émancipée : le défi est que ces dernières puissent le faire de plus en plus tôt ! En créant les retraites, Ambroise Croizat avait en tête un objectif plus ambitieux que de permettre aux retraités de créer de la valeur économique hors de l’entreprise capitaliste : en témoigne son institution des activités sociales des CE. Il avait en tête l’émancipation ; c’est-à-dire le temps de la liberté, de la vie sociale, de la culture : en définitive le temps de la création et du partage gratuit …

 

 

Perte d'autonomie : urgence !

 

 

 

La perte d’autonomie ne se limite pas au vieillissement Elle recouvre 3 situations distinctes : le grand âge, le handicap et l’invalidité. Le projet gouvernemental porte sur le seul vieillissement. Ce n’est pas un risque en soi mais une évolution de la vie qui appelle la mise en œuvre de moyens pour assurer à la personne de poursuivre son existence dans la dignité, à partir des solidarités, des financements et des accompagnements  collectifs nécessaires.

 

Une loi de programmation et  d’orientation sur l’adaptation de la société au vieillissement avait été annoncée. Malgré des avancées,  nous sommes toujours dans une situation d’urgence sociale. La situation des personnes en perte d’autonomie et leur accompagnement appelle des mesures fortes et rapides en termes de prise en charge, de structures de soins et d’accueil médicalisé, d’aide au maintien à domicile et au soutien des aidant(e)s. Et des choix de société devant un enjeu de civilisation. Aujourd’hui, le reste à charge des personnes et des familles atteint l’insupportable. Les aidant(e)s sont souvent isolé(e)s pour faire face à l’insuffisance de structures.  Notre projet s’inscrit dans l’affirmation de notre défense de la protection sociale solidaire avec une sécurité sociale renforcée et élargie dans ses prérogatives, avec comme fil conducteur : »l’humain d’abord.

 

 

Sortir du matraquage fiscal des retraités

 

La réforme en profondeur de la fiscalité doit répondre au  besoin de justice devant l’impôt et d’une autre répartition. Elle doit favoriser  la création de richesses utiles et la satisfaction des besoins sociaux, combinées à une pénalisation des gaspillages financiers et du capital. Et pour cela nous faisons les propositions suivantes : Un impôt sur le revenu de type universel à taux et au nombre de tranches relevés ; un impôt sur les sociétés progressif et modulé selon l’affectation des bénéfices  ; un nouvel impôt territorial des entreprises taxant leurs placements financiers ;un ISF au barème rehaussé intégrant les biens professionnels modulés en fonction des efforts consentis en matière d’emplois et de formation ; un recul de la pression fiscale sur la consommation (TVA, TIPP) ; une réforme de la fiscalité directe locale passant par une véritable révision des bases d’imposition et le plafonnement de la taxe d’habitation.



Un pacte irresponsable pour la santé et la protection sociale !

 

Ce sont finalement plus de 23 milliards d’euros qu’a décidé de prélever le Premier ministre sur la sécurité sociale et la santé. C’est une remise en cause terrible de notre système de protection sociale solidaire ! Une telle ponction va frontalement percuter l’universalité de la sécurité sociale ! Le Medef le réclame depuis des années !  La remettre en cause, c’est remettre en cause l’architecture de la sécurité sociale inventée par Croizat.

Aujourd’hui, les retraités ont l’occasion de dire haut et fort leur attachement à une protection sociale solidaire, une sécurité sociale qui rembourse à 100% les soins prescrits, une démocratie sanitaire réinventée avec le retour des élections aux caisses de sécurité sociale, un pôle public du médicament, une prise en charge de la perte d’autonomie avec la sécurité sociale et le développement des services publics...



Les propositions du PCF en termes de protection sociale sont plus que jamais d’actualité pour une réelle alternative politique aux décisions de régression sociale subies depuis des années.

 

 


 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 


Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le chiffon rouge - PCF Morlaix/Montroulez
  • : Favoriser l'expression des idées de transformation sociale du parti communiste. Entretenir la mémoire des débats et des luttes de la gauche sociale. Communiquer avec les habitants de la région de Morlaix.
  • Contact

Visites

Compteur Global

En réalité depuis Janvier 2011