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29 septembre 2021 3 29 /09 /septembre /2021 06:11
Pierre Dharréville, député PCF des Bouches-du-Rhône

Pierre Dharréville, député PCF des Bouches-du-Rhône

Ouest-France, lundi 27 septembre:

Pierre Dharréville, député PCF des Bouches-du-Rhône:

" Le Premier Ministre a officiellement annoncé, jeudi 8 septembre, le report, une énième fois, de la loi Grand Âge. c'est-à-dire son abandon par cette majorité. L'abandon d'un texte, mais aussi l'abandon de tant de femmes et d'hommes qui ont besoin de la solidarité nationale et de la protection sociale.

Cette loi était pourtant attendue depuis de nombreuses années par le mouvement associatif, par le mouvement syndical, par les différents acteurs, par les salariés, dans toute la société. Cette attente n'allait pas sans crainte, s'agissant de cette majorité, mais elle se manifestait par des revendications fortes. D'ailleurs, des ateliers, des séminaires ont été organisés pour entendre les analyses et propositions.

Déjà, en 2018, alors que je défendais une proposition de loi "Pour une reconnaissance sociale des aidants", celle-ci avait été rejetée par le gouvernement sous prétexte d'une future grande loi sur l'autonomie qui allait tout remastériser, on allait voir ce qu'on allait voir. En 2021, une "cinquième branche" a été créée pour, prétendument, répondre aux enjeux de l'autonomie. J'avais dénoncé, en plus d'un découpage de la Sécurité sociale, une coquille vide et une opération marketing sans suites.

"Des mirages dans le désert de la Macronie".

Avec une gêne visible, tout en nous vantant le caractère "historique" de cette mesure dite "sociale", on m'avait renvoyé vers cette fameuse "grande" loi qui viendrait remplir le grand vide. Nous voici avec une non-loi. Comment être surpris? Les mesures "sociales" sont définitivement des mirages dans le désert de la Macronie. C'est la rigueur budgétaire qui est à l’œuvre, le choix résolu des politiques libérales au détriment du bien-être des femmes et des hommes. 

On confie toujours plus au marché la réponse aux besoins fondamentaux de santé tout au long de la vie. Il faudrait savoir si la santé est un droit, une priorité, un bien commun. Si oui, alors la Sécurité sociale et le service public doivent connaître un nouvel élan, et la question de l'autonomie doit être un grand chantier.

La crise sanitaire a mis en évidence le manque criant de mobilisation et d'engagement public pour protéger nos aînés, avec une forme de relativisme pour les personnes entrées dans ce qu'on appelle le grand âge. Le pari est fait de renvoyer aux solidarités familiales, et notamment aux aidants, un accompagnement qui est une immense question sociale. Et les personnels du secteur font entendre depuis si longtemps leur souffrance, leur colère, leurs revendications. C'est intenable.

Avec ce mauvais film sur l'autonomie, le "en même temps" apparaît ainsi pour ce qu'il est: du double langage. Ce sera l'une des marques du quinquennat antisocial.

Aujourd'hui, comme beaucoup, je suis en colère. Il est urgent et nécessaire de prendre des mesures fortes pour protéger et accompagner les personnes en perte d'autonomie. Il est urgent de créer des structures d'accompagnement et d'accueil dans le cadre d'un grand service public de l'autonomie, de permettre à chacune et à chacun de bénéficier de droits.

A cet endroit, prospère une crise sanitaire et sociale aiguë. Une crise anthropologique. Parler d'autonomie, c'est parler de liberté, d'émancipation et de solidarité.

Prendre soin de l'humain tout au long de la vie, ce n'est pas une préoccupation annexe, c'est un grand geste qui structure un projet de société".

 

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28 septembre 2021 2 28 /09 /septembre /2021 08:32
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23 septembre 2021 4 23 /09 /septembre /2021 05:35
Pierre Laurent: Je n'ai pas de mots...
Je n'ai pas de mots.
Pas de mots pour qualifier les images de réfugiés haïtiens traqués au lasso par des garde-frontières américains. Pas de mots pour nommer l’innommable. Pas de mots pour sonder ce gouffre où l'humanité se meurt.
Le monde en serait donc là ? Après des années de complaisance envers les pires thèses xénophobes, où le migrant est une menace, le pauvre un incapable ou un assisté, le musulman ou l'Afghan martyrisé un terroriste, on en est donc arrivé là ? Un monde où les premiers de cordée, qui répètent ne pouvoir "accueillir toute la misère du monde", se servent de leur corde comme un lasso pour traquer les damnés de la terre ?
Je n'ai pas de mots, car les mots n'existent pas.
Leur absence nous confronte à un impératif catégorique : ce monde est à repenser de fond en comble, dans ses politiques sociales, dans ses répartitions des richesses dans chaque pays comme à l'échelle planétaire, dans ses relations internationales, dans ses coopérations à réinventer, dans son sens de l'humain, de la démocratie, de l'égalité entre les peuples et les femmes et les hommes qui les composent.
Nous mettons sur cette recréation le mot de "communisme".
Chacun·e, selon sa sensibilité, pourra y mettre ses propres aspirations, son propre rêve.
George Sand les exprimait ainsi : "«En attendant qu’on ait résolu le problème d’une éducation commune à tous, et cependant appropriée à chacun, attachez-vous à vous corriger les uns les autres. Vous me demandez comment? Ma réponse sera courte: en vous aimant beaucoup les uns les autres".
Notre rêve commun est une humanité émancipée et libre, un monde dans lequel plus aucune domination ne pourra avoir cours.
Créons ensemble ce monde sur lequel, enfin, les mots refleuriront.
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21 septembre 2021 2 21 /09 /septembre /2021 06:00
« Milliards en fuite ! », d’Alain et Éric Bocquet. Le Cherche Midi, 208 pages, 17 euros.

« Milliards en fuite ! », d’Alain et Éric Bocquet. Le Cherche Midi, 208 pages, 17 euros.

« Milliards en fuite ! » : les 10 pistes d'Éric et Alain Bocquet pour remettre l'économie et la finance au service de tous
Samedi 18 Septembre 2021

La révolution libérale ne marche pas, elle court. Le secteur financier engrange des bénéfices record sans règle ni contrainte, tout en imposant discipline et rigueur aux états qui survivent parfois au bord du gouffre. L’« HD » a rencontré Éric et Alain Bocquet, auteurs de « Milliards en fuite ! - Manifeste pour une finance éthique », et explore les leviers d’action pour mettre à bas la domination des voleurs et reprendre notre destin en main. Entretien.

 

Avec « Milliards en fuite ! », les frères Bocquet avancent 10 pistes pour mettre au pas le monde de l’argent. Après le succès de « Sans domicile fisc », les Nordistes dépassent, dans ce nouvel opus, leur cheval de bataille de l’évasion fiscale pour décoder des pans entiers de la finance. Entretien avec Éric Bocquet, sénateur PCF, et Alain Bocquet, ancien député et maire de Saint-Amand-les-Eaux.

Les 10 propositions des frères Bocquet :

  1.  Une COP fiscale plus que jamais d’actualité
  2. Créer une Organisation mondiale de la finance
  3. En finir avec la spéculation sans visage
  4. Déjouer l’alchimie du blanchiment
  5. Assécher les paradis fiscaux
  6. Repenser la lutte contre l’impunité fiscale
  7. Bâtir une fiscalité juste, démocratique
  8. Dissoudre en partie la dette ou la rembourser
  9. Pour changer la finance, d’abord changer son enseignement
  10. Mobilisation citoyenne : agir local, penser mondial

Vous vous êtes fait connaître avec votre combat contre l’évasion fiscale. Qu’est-ce qui vous a motivés, cette fois-ci, à vous attaquer aux « Milliards en fuite » ?

Éric Bocquet:L’idée est venue avec le Covid-19. La pandémie a tout bousculé sur le plan économique, financier et social. Très vite, nous avons commencé à élargir le propos, au-delà de l’évasion fiscale, en nous attaquant au fonctionnement global de la finance mondiale, de ses excès, de ses conséquences concrètes dans la vie des gens, mais aussi sur le financement des États.

Alain Bocquet: La tournée pour notre dernier livre nous a conduits à rencontrer plus de 10 000 personnes et à être invités dans plus de 80 débats. Toutes ces rencontres nous ont indiqué une chose importante : la compréhension de la domination de la finance mondiale n’est pas totale chez les citoyens. Et, pourtant, ce système vit sur une spéculation généralisée. Quand on sait que seulement 2,5 % des transactions financières reposent sur l’économie réelle, il y a de quoi s’inquiéter sur l’avenir de l’humanité.

Quels ont été les interlocuteurs qui vous ont le plus marqués, lors de votre tournée pour « Sans domicile fisc » ?

Alain Bocquet: Tous ! Du citoyen qui découvrait le problème de l’évasion fiscale, en passant par de nombreux syndicalistes, mais aussi des chefs d’entreprise, des militants chrétiens réunis grâce aux évêques ou encore des francs-maçons. Nous avons vu toutes les catégories de la société et toutes partagent notre inquiétude sur le monde que nous voulons demain.

« Milliards en fuite ! » fourmille d’informations, quelle est votre méthode de travail ?

Éric Bocquet: Avec Alain, et Pierre Gaumeton (journaliste –NDLR), nous nous sommes beaucoup documentés, avec le souci de la rigueur, mais aussi avec un travail de fond. Notre logiciel militant nous permet d’échapper aux rouleaux compresseurs de la pensée unique.

Alain Bocquet: Nos travaux parlementaires nous ont été très utiles. Cette expérience nous a donné l’envie d’aller creuser au plus profond de ces sujets, avec un point de vue largement ouvert aux apports des ONG et des journalistes lanceurs d’alerte. D’ailleurs, les pistes que nous mettons en avant dans notre manifeste ne sont pas à prendre ou à laisser, mais à débattre.

Entre ce livre et le précédent, le monde a changé du fait de la pandémie. Comment la finance a-t-elle tiré son épingle du jeu et pour quelles conséquences ?

Alain Bocquet: La finance a toujours un temps d’avance. Elle s’organise pour précéder les modifications législatives qui pourraient s’imposer à elle, et c’est bien là le problème. Avec la pandémie, on pourrait imaginer que, face à autant de morts et de souffrance, tous les hommes dans ce monde pourraient se donner la main. Que nenni ! Nous ne sommes plus à l’époque de Jonas Salk qui avait refusé de breveter son vaccin contre la poliomyélite. Au lieu de cela, ils ont engrangé les bénéfices.

L’exemple le plus scandaleux se déroule le jour de l’annonce des résultats prometteurs des premiers essais d’un vaccin par Pfizer. Son action a bondi de 15 % et son PDG a vendu des titres pour 5,6 millions de dollars. Mais, en plus, les grands groupes pharmaceutiques ont eux-mêmes organisé la pénurie, empêchant l’immunité vaccinale mondiale. Cela pourrait relever d’un crime contre l’humanité, mais aussi d’une non-assistance à personne en danger.

Éric Bocquet: Aujourd’hui, les marchés financiers retrouvent leur rentabilité d’avant la pandémie. À travers la dette, ils ont accru leur emprise sur les États et les futures politiques qui vont être menées. Si les gens ne se mobilisent pas, cela nous promet des lendemains difficiles. Mais la crise a aussi fait ressurgir des inégalités insupportables. Rendez-vous compte, la France n’a jamais connu autant de millionnaires, plus de 700 000 alors que, depuis le début de la pandémie, les distributions alimentaires aux personnes à la rue ont connu une augmentation de 40 %

 

Parmi les éléments que la crise sanitaire a changés, vous pointez le carcan budgétaire européen. Qu’opposez-vous au gouvernement qui a décidé d’en finir avec le « quoi qu’il en coûte » pour renouer avec l’austérité inspirée des traités européens ?

Éric Bocquet: Toutes les sacro-saintes règles budgétaires ont explosé ! Avant la pandémie, on nous disait : « Attention, l’endettement de la France approche les 100 % », sous-entendu, demain, ce serait l’apocalypse. Six mois plus tard, avec la crise, on approchait les 120 % et rien ! Évidemment, le gouvernement n’avait pas d’autre choix que d’apporter de l’argent public pour éviter l’effondrement général de notre économie. Mais, aujourd’hui, on nous chante la petite musique du remboursement de la dette. D’ailleurs, les aides européennes sont toujours conditionnées à la mise en place de réformes dites « structurelles », notamment sur les retraites ou les services publics. Pour les États, ce n’est jamais gratuit, mais pour les entreprises, en revanche, les aides publiques sont délivrées par milliards sans contreparties

 

Pourquoi avoir choisi d’aborder cette question de la dette dans votre livre ?

Éric Bocquet: Il y a dans le discours néolibéral un paradoxe hallucinant. On nous dit que la France doit conserver la confiance de ceux qui nous financent pour éviter la catastrophe. Mais un pays comme la France obtient des prêts à taux négatifs parce que les marchés ont l’assurance d’être remboursés ! D’ailleurs, nous allons emprunter, cette année, 270 milliards d’euros et vous verrez qu’ils ne vont pas nous coûter cher. En réalité, la dette publique est utilisée comme une arme de destruction massive des aspirations du peuple.

Alain Bocquet: D’ailleurs, annuler une partie de la dette d’un État, comme nous le proposons pour la France, c’est possible. L’histoire est là pour nous le rappeler, comme en RFA, en 1953. Mais cela demande une volonté politique.

Vous n’excluez pas que la mafia puisse en détenir une partie. Comment est-il possible que des dettes souveraines, dont celle de la France, puissent se trouver aux mains de réseaux criminels ?

Éric Bocquet: L’Agence française du Trésor, chargée de lancer des appels d’offres sur les marchés financiers, ne vend des titres de la dette qu’à une quinzaine d’établissements ayant un agrément. Mais, dans un deuxième temps, ces titres sont revendus sur le marché secondaire. Et c’est à ce moment que nous n’avons plus de visibilité sur l’identité des détenteurs. Nous pouvons donc imaginer qu’une société offshore qui a son siège aux Bahamas, détenue par un narcotrafiquant colombien, puisse avoir dans ses comptes des titres de notre dette.

Alain Bocquet: Il n’existe aucune traçabilité, aucune transparence. Quand on sait que 10 % du PIB mondial est détenu par l’argent sale, il y a là plein de questions à soulever et un travail de clarté à réaliser.

« Manifeste pour une finance éthique » est le sous-titre de votre ouvrage. Les deux termes ne sont-ils pas incompatibles ? Face aux défis sociaux et environnementaux de notre siècle, mettre au pas la finance peut-il suffire ?

Éric Bocquet: Nous souhaitons faire de l’argent le nerf de la paix. Face aux enjeux de notre siècle, on nous dit partout que l’argent n’existe pas. Eh bien si, au contraire ! Mais, pour cela, les États doivent reprendre la main. C’est presque une gageure de parler de finance éthique. Mais il n’y a aucune fatalité à ce que ces pratiques d’évasion fiscale et de blanchiment d’argent perdurent. On dit que l’argent n’a pas d’odeur, mais je pense que certains gouvernements n’ont pas d’odorat.

Alain Bocquet: Il faut absolument que les citoyens s’emparent du problème et reprennent le pouvoir sur l’argent. C’est d’ailleurs la dixième piste dans notre livre. Une infime minorité détient les milliards. Mais nous sommes des milliards d’êtres humains à pouvoir décider de l’utilisation de cet argent, qui, après tout, appartient à ceux qui ont créé les richesses. C’est évidemment un combat communiste et humaniste !

Justement, qui sont les bénéficiaires de ce système qui fonctionne à la fois sur l’évasion fiscale, mais aussi sur les bénéfices à tirer des dettes des États ?

Éric Bocquet; On estime que 8 % du PIB mondial est dissimulé dans les paradis fiscaux, soit plus de 6 000 milliards de dollars. Tout cela profite aux marchés financiers, aux multinationales, mais surtout aux Gafam. Ces géants ont enregistré pas moins de 27 milliards de dollars en plus durant les mois de pandémie en 2020. D’ailleurs, les Gafam ont en tête de se substituer aux États en investissant dans la santé, dans l’éducation, dans des voitures sans chauffeur… Ils ont maintenant le PIB de certains États et, à terme, ne leur manqueront plus que l’armée et la diplomatie.

Alain Bocquet: Il est urgent de remettre à plat l’organisation de la finance mondiale. Nous ne sommes plus à l’époque de la domination du dollar. C’est pourquoi nous proposons la création d’une organisation mondiale de la finance, avec des représentants de ce milieu, mais aussi des États, des Parlements, des ONG, des syndicats, pour gérer la Bourse mondiale. Vaste sujet !

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19 septembre 2021 7 19 /09 /septembre /2021 07:27
Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Jeremy, Romaric, Gladys, Christian, les camarades du Finistère au meeting de Fabien Roussel (photo I Dupont)

Jeremy, Romaric, Gladys, Christian, les camarades du Finistère au meeting de Fabien Roussel (photo I Dupont)

Les Bretons dans l'attente du meeting de Fabien Roussel (Photo Ismaël Dupont)

Les Bretons dans l'attente du meeting de Fabien Roussel (Photo Ismaël Dupont)

Meeting de Fabien Roussel - Photo PCF

Meeting de Fabien Roussel - Photo PCF

Meeting de Fabien Roussel - Photo PCF

Meeting de Fabien Roussel - Photo PCF

Meeting de Fabien Roussel - Photo PCF

Meeting de Fabien Roussel - Photo PCF

Meeting de Fabien Roussel - Photo PCF

Meeting de Fabien Roussel - Photo PCF

Avant le meeting de Fabien Roussel: Ismael Dupont, Christian Gagou, et Gladys Grelaud, notre nouvelle conseillère régionale communiste finistérienne

Avant le meeting de Fabien Roussel: Ismael Dupont, Christian Gagou, et Gladys Grelaud, notre nouvelle conseillère régionale communiste finistérienne

Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Ismaël Dupont et Jean-Luc Le Calvez sur le Stand Bretagne : joie des retrouvailles de la section de Morlaix!

Ismaël Dupont et Jean-Luc Le Calvez sur le Stand Bretagne : joie des retrouvailles de la section de Morlaix!

Michel Tudo, l'homme aux plus de cinquante fêtes de l'Huma: cette année fut un grand cru!

Michel Tudo, l'homme aux plus de cinquante fêtes de l'Huma: cette année fut un grand cru!

Jean-Pierre, Meven, Julie et Colette: une partie de la belle équipe du bar de la fête de l'Huma Bretagne

Jean-Pierre, Meven, Julie et Colette: une partie de la belle équipe du bar de la fête de l'Huma Bretagne

Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Jacqueline Héré, Ismaël Dupont, Catherine Quéric: 3 des 9 conseillers départementaux communistes en Bretagne, réunis sur le stand de la fête Bretagne de l'Huma 2021

Jacqueline Héré, Ismaël Dupont, Catherine Quéric: 3 des 9 conseillers départementaux communistes en Bretagne, réunis sur le stand de la fête Bretagne de l'Huma 2021

Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Bruno, Jacqueline, Anne-Marie et Jean-Pierre (photo Ismaël Dupont)

Bruno, Jacqueline, Anne-Marie et Jean-Pierre (photo Ismaël Dupont)

Bruno, Jacqueline, Anne-Marie, Claude, Jacky, Jean-Pierre et Denis (Photo Ismaël Dupont)

Bruno, Jacqueline, Anne-Marie, Claude, Jacky, Jean-Pierre et Denis (Photo Ismaël Dupont)

Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
notre vaillante équipe de monteurs finistériens de la fête: Enzo, Jeannine, Denis, Colette, Michel, Marion, Floriane, Jean-Louis

notre vaillante équipe de monteurs finistériens de la fête: Enzo, Jeannine, Denis, Colette, Michel, Marion, Floriane, Jean-Louis

Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Inauguration du Stand Bretagne de la fête de l'Humanité le vendredi par Gladys Grelaud, Philippe Jumeau, Enzo de Gregorio, Aurélien Guillot

Inauguration du Stand Bretagne de la fête de l'Humanité le vendredi par Gladys Grelaud, Philippe Jumeau, Enzo de Gregorio, Aurélien Guillot

Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Hommage de Nathalie Simonnet et du PCF à notre camarade Yann Le Pollotec sur le stand de Seine St Denis

Hommage de Nathalie Simonnet et du PCF à notre camarade Yann Le Pollotec sur le stand de Seine St Denis

Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux
Une fête de l'Huma 2021 exceptionnelle qui fut à nouveau un hymne à la joie et à l'espoir des Jours Heureux

Quelles furent belles ces retrouvailles à la fête de l'Humanité! Vue du point de vue du stand Bretagne, cette fête de l'Huma 2021 fut une grande réussite et un moment de fraternité exceptionnel, avec de beaux concerts, des débats passionnants, et un meeting de Fabien Roussel enthousiasmant! Les Jours Heureux sont aussi le déjà-là communiste, et si l'espoir, l'esprit de lutte et de résistance s'emparent de la population aussi bien que des participants à la fête de l'Humanité, peut-être un avenir plus juste pour notre pays!  En attendant, cette fête de l'Humanité dont chaque participant a eu ses expériences particulières et inoubliables a été vécue par tous comme une sacrée bouffée d'oxygène et de plaisir d'être ensemble et de partager, avec le goût des autres!

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19 septembre 2021 7 19 /09 /septembre /2021 05:37

Ian Brossat invité des 4 vérités de France 2, samedi 18 septembre

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19 septembre 2021 7 19 /09 /septembre /2021 05:32

 

La sécurité est un droit et une liberté. Les populations les plus exposées à l’insécurité sont celles qui vivent dans les territoires les plus en difficulté. Dès son entrée en campagne, Fabien Roussel a pris cette question à bras le corps avec l’objectif de la mise en œuvre d’une politique progressiste au service de la tranquillité publique, avec une police républicaine proche des citoyens, au service de leurs attentes et de leurs besoins, pour en finir avec une politique sécuritaire utilisée aujourd’hui par un pouvoir de plus en plus autoritaire et réactionnaire.

 

A sept mois du premier tour de l’élection présidentielle, le candidat-président Emmanuel Macron a conclu le « Beauvau de la sécurité » avec un discours fleuve qui en dit long sur les urgences et les défis à relever. Contrairement à ce qui avait été annoncé en début d’année par son ministre de l’Intérieur, avec ce « Beauvau », il n’a pas été question d’un grand moment de « dialogue et de débat citoyen ». Au final, si des avancées sont obtenues, le « Beauvau » ne permettra pas une indispensable refondation. Si des sujets sensibles sont abordés ( recrutement, formation, encadrement, valorisation des métiers, contrôle et transparence ), l’intervention d’Emmanuel Macron est apparue davantage comme un discours de la méthode, un discours de campagne que comme une véritable réponse aux enjeux d’aujourd’hui et de demain. 

Le PCF propose : 

- Une remise à plat totale de l’ensemble de la doctrine d’emploi de la police et de la gendarmerie dans le cadre du maintien de l’ordre. Nous refusons le processus de privatisation de notre sécurité publique engagé par le gouvernement, porté par la loi de sécurité globale et le livre blanc sur la sécurité intérieure. Il convient de définir les orientations des politiques publiques de sécurité, de désigner les acteurs à qui ces missions seront confiées, d’en déterminer les modalités et d’engager les moyens budgétaires nécessaires. Nous proposons une loi de programmation budgétaire.

- Il y a urgence à reconstruire le lien de confiance entre police et les citoyens en réhabilitant une véritable police de proximité (Proposition de loi déposée par le groupe CRCE en septembre 2017) et en agissant pour une police républicaine respectueuse et proche des citoyens . Nous proposons de mettre fin à l’IGPN avec la création immédiate d’une structure indépendante de contrôle et d’enquête de l’action policière, une « haute autorité », composée de personnalités morales à la qualité incontestable, de parlementaires et de représentants des associations agissant en défense des libertés et des droits de l’Homme.

- Nous proposons la création d’une nouvelle direction dédiée à la police de proximité et dotée de 30 000 postes statutaires supplémentaires pour retisser un lien de confiance avec les habitants, avec la jeunesse. Une réorganisation des missions est indispensable afin de ne plus détourner les agents de leurs missions essentielles de gardiens de la tranquillité publique et de la sécurité des citoyens, tout comme la dotation en matériels permettant l’accomplissement de ces missions. La protection des policiers et des gendarmes est une nécessité, et les auteurs d’actes visant des fonctionnaires de nos forces de sécurité, comme pour toutes les personnes dépositaires d’une charge publique, doivent être sanctionnés pénalement.  Un effort particulier s’impose au profit de la formation, initiale (qui est trop réduite) et continue (en renforçant l’offre et en élargissant le nombre de bénéficiaires).

- Nous proposons l’extension à l’ensemble du territoire d’une police de proximité répondant aux attentes et aux besoins des personnes en matière de sécurité, avec des modalités différentes selon la situation, l’existence ou non d’une police municipale avec laquelle un partenariat peut dégager des complémentarités, avec un travail de partenariat avec les autres acteurs locaux. Il faut reconstruire une territorialisation de l’action policière et le rétablissement d’une relation de confiance avec la population. Elle suppose, à tous les niveaux, une large autonomie des agents, ceux-ci conservant une gamme étendue de missions, tout en pouvant faire appel à des unités spécialisées ou autres services de police si nécessaire. La réalisation d’une police de proximité suppose surtout une gestion des effectifs adaptés, avec les moyens humains nécessaires, mais aussi en veillant à assurer dans la composition des équipes un équilibre entre jeunes policiers et policiers expérimentés. 

- Instituer un nouveau pacte civique et social avec nos communes comme l’a proposé l’appel de Grigny avec son maire Philippe Rio:, l’Etat doit garantir le retour de l’ensemble des services publics, leur développement dans tous les territoires de la République. Il y a plus que jamais besoin de politique de solidarité, de justice sociale, d’insertion sociale et professionnelle, de logements dignes, d’éducation populaire et de culture, de santé, de transports, de loisirs...C’est sur un terreau de disparition des services publics que se développent les trafics et la loi des bandes, le développement d’une économie parallèle, des trafics de stupéfiants et aussi du crime.

- La lutte contre l’insécurité et pour la tranquillité publique exige aussi la mobilisation de l’ensemble des acteurs publics - communes , départements, éducation nationale, bailleurs sociaux, travailleurs sociaux, éducateurs, police ou gendarmerie, justice pour coordonner les actions et les moyens à mettre en œuvre pour chaque signalement concernant les enfants, les adolescents.

- La lutte contre tous les trafics implique enfin un contrôle plus strict et plus sévères des frontières et des flux financiers en impliquant les services douaniers, Tracfin et les banques. Nous proposons de revenir sur les  10 000 postes supprimés par le gouvernement ces 4 dernières années dans les services fiscaux et aux douanes et d’en créer 10 000 supplémentaires à Bercy et au ministère de la justice pour augmenter ces contrôles et poursuivre les délinquants en cols blancs.

 

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18 septembre 2021 6 18 /09 /septembre /2021 05:58

 

Selon une étude publiée en décembre 2020 par Eurostat, le nombre de travailleurs pauvres dans les pays de l’Union européenne a augmenté en moyenne de 12 % entre 2010 et 2019, pour atteindre 9,4 %. Ce chiffre masque d’importantes disparités et se monte jusqu’à 12 % en Espagne et en Italie et 13 % au Luxembourg par exemple.

 

 

La crise actuelle a encore aggravé cette dramatique réalité. Ces chiffres illustrent à quel point la bataille pour l’augmentation du salaire minimum et des bas et moyens salaires est centrale pour le mouvement social et pour la gauche en Europe. Cela est d’autant plus criant que l’inflation rencontre son plus haut niveau depuis dix ans.


Différents mouvements récents sont convergents, en tenant bien sûr compte de la réalité des contextes nationaux.


En Allemagne, par exemple, le syndicat des conducteurs de trains a mené trois grèves en l’espace de quelques mois pour exiger une augmentation de salaires. Die Linke en fait une priorité de la campagne électorale en vue des élections au Bundestag qui auront lieu le 26 septembre prochain en mettant au premier rang des sept points de son programme la question du travail et en incluant un salaire minimum à 13 euros de l’heure, la généralisation des conventions collectives ainsi qu’un droit de veto des travailleurs sur les licenciements et les délocalisations.


Dans l’État espagnol, sous l’impulsion de nos camarades du PC d’Espagne et de la Gauche Unie, et notamment de la ministre du Travail Yolanda Diaz, le gouvernement de coalition de gauche, vient d’annoncer une augmentation du salaire minimum à 60 % du salaire moyen d’ici 2023. Cette mesure est d’autant plus nécessaire que l’augmentation du prix de l’électricité obère les revenus. Rapportée à la France, une telle augmentation reviendrait à fixer le SMIC à 1 909 euros brut.


En Belgique, l’augmentation des salaires est conditionnée par le niveau des salaires en France, aux Pays-Bas et en Allemagne depuis une loi de 1996 ! Le PTB (Parti du Travail de Belgique) mène campagne pour l’abolition de cette « loi 96 », pour un salaire minimum à 14 euros de l’heure et pour garantir l’indexation des salaires.


Le débat de la Fête de l’Humanité « Travailleurs européens, unissons-nous ! », avec Fabien Roussel et Raoul Hedebouw, porte-parole du PTB, a illustré avec force la convergence d’intérêts à travers l’Europe, sur les salaires, les retraites et la lutte contre l’évasion fiscale.


Alors, oui, mettre au cœur du défi des jours heureux, de la campagne présidentielle et législatives, la question des salaires, des revenus, des retraites comme le font les communistes et leur candidat Fabien Roussel est non seulement une nécessité, mais aussi un levier puissant pour construire le pacte d’engagements communs en France et des convergences en Europe.

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18 septembre 2021 6 18 /09 /septembre /2021 05:56
Brest: la fédération du PCF affiche la couleur entre les rues Henri Moreau et André Berger
Brest: la fédération du PCF affiche la couleur entre les rues Henri Moreau et André Berger
Brest: la fédération du PCF affiche la couleur entre les rues Henri Moreau et André Berger
Brest: la fédération du PCF affiche la couleur entre les rues Henri Moreau et André Berger
Brest: la fédération du PCF affiche la couleur entre les rues Henri Moreau et André Berger
Brest: la fédération du PCF affiche la couleur entre les rues Henri Moreau et André Berger
Brest: la fédération du PCF affiche la couleur entre les rues Henri Moreau et André Berger
Brest: la fédération du PCF affiche la couleur entre les rues Henri Moreau et André Berger
Brest: la fédération du PCF affiche la couleur entre les rues Henri Moreau et André Berger
Brest: la fédération du PCF affiche la couleur entre les rues Henri Moreau et André Berger

Lendemain de fête de L'Humanite: les vitrines relookées de la fédération du PCF Finistère et de la section de Brest sises entre les rues Henri Moreau (1908-1943) et les rues André Berger (1922-1943), deux résistants communistes brestois arrêtés par des policiers français aux ordres de Vichy et fusillés par les nazis au Mont Valérien le 17 septembre 1943 avec 17 autres camarades!

Et maintenant, en route pour une très belle campagne présidentielle avec Fabien Roussel dont le dernier livre-evenement de la rentrée politique "Ma France: heureuse, solidaire et digne" est disponible en fédération et bientôt auprès des 18 sections du PCF dans le Finistère.

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 22/ André Berger (1922-1943)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 36/ Henri Moreau (1908-1943)

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18 septembre 2021 6 18 /09 /septembre /2021 05:50
27-28 novembre 2021: 30 ème fête de l'Humanité Bretagne avec Miossec, Agnès Bihl, La Caravane passe, Spontus: réservez votre week-end!
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