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27 janvier 2021 3 27 /01 /janvier /2021 13:33

Fabien Roussel invité de la matinale de Public Sénat, mardi 26 janvier

 

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26 janvier 2021 2 26 /01 /janvier /2021 07:49
Grève et mobilisation du 26 janvier dans l'éducation: de la maternelle à l'université: pas de génération sacrifiée! (PCF)
Grève et mobilisation du 26 janvier dans l'éducation: de la maternelle à l'université: pas de génération sacrifiée! (PCF)
Grève et mobilisation du 26 janvier dans l'éducation: de la maternelle à l'université: pas de génération sacrifiée! (PCF)
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24 janvier 2021 7 24 /01 /janvier /2021 07:01
Il y a 18 ans, décès d'un très grand dirigeant communiste et ouvrier: Henri Krasucki
Henri Krasucki en 1943

Henri Krasucki en 1943

Né en 1924 dans la banlieue de Varsovie, Henri Krasucki arrive à Paris à l’âge de quatre ans. Suivant les traces de son père, il intègre à la fin de l’année 1940 les Jeunesses communistes et participe à la résistance. Arrêté en mars 1943 puis déporté à Auschwitz, il continue le combat derrière les grilles, au milieu de l’horreur qui a pris la vie de son père. A son retour en France, il devient l’un des dirigeants du PCF et poursuit son engagement à la CGT, dont il devient secrétaire général en 1982. Il dira, à propos de sa vie : « Au fond, je ne suis jamais blasé, je demeure fidèle, comme au premier jour, à l’idéal et à l’élan de ma jeunesse. »
 
Nous citons ici un beau texte de Laurent Levy sur Henri Krasucki (lu sur la page facebook de Philippe Bouvier):
 
"Il y a 18 ans aujourd’hui disparaissait un homme d’un modèle à part. On a cassé le moule.
Henri Krasucki était né en 1924 dans un petit shtetl du Yiddishland polonais. Il arrive à l’âge de 4 ans, en France où ses parents, communistes et victimes de l’antisémitisme, ont trouvé refuge. Enfance dans le quartier de Belleville, il devient premier de sa classe dès son entrée à l’école, et se fait embaucher comme ajusteur chez Renault quelques courtes années plus tard, où il milite à la CGT. Militant des jeunesses communistes à Belleville, il y a pour instructeur Pierre Georges, qui s’engagera dans les Brigades Internationales avant de commettre, sous le pseudonyme de Fabien, le premier attentat dans Paris occupé. Henri Krasucki a 17 ans quand il s’engage dans la Résistance, avec les FTP-MOI : sabotages, distributions de tracts, actions armées. Arrêté le 23 mars 1943 dans le cadre de la traque du « groupe Manouchian », il est torturé pendant six semaines, comme sa mère et sa sœur et parfois devant elles, par la police française avant d’être remis, sans avoir rien dit, aux occupants nazis, qui l’expédient à Auschwitz, où son père a déjà été gazé. Sur les plus de 1000 personnes, toutes juives, de son convoi, il est parmi les 86 qui reviendront. Entre temps, il aura participé en janvier 1945 à la « marche de la mort » pour rejoindre Buchenwald alors que les troupes soviétiques avancent en Pologne. Il participe à l’insurrection qui libère le camp de concentration. Il rentre à Paris le 28 avril 1945, « juste à temps pour participer à la manifestation du 1er mai ».
Il devient après guerre dirigeant du PCF et permanent de la CGT, et est naturalisé Français en 1947. Il mènera en parallèle ses activités militantes dans les deux organisations – entrant à trois ans d’intervalle au Bureau Confédéral de la CGT (1961) et au Bureau Politique du PCF (1964), où il devient un temps responsable du travail du parti communiste parmi les intellectuels. Sans jamais cesser de jouer un rôle important à la direction de son parti, c’est ensuite principalement à la CGT qu’il déploie son activité. En juin 1982, il succède à Georges Séguy au secrétariat général de la centrale, un poste qu’il occupera 10 ans."
 
 
lire aussi sur les FTP MOI:
 

DISPARITION. ROBERT ENDEWELT, COMBATTANT DU PARIS POPULAIRE (L'HUMANITE, 18 octobre 2018)

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23 janvier 2021 6 23 /01 /janvier /2021 17:57
Pour la réussite du vaccin, imposer un contrôle public et citoyen (PCF)
Pour la réussite du vaccin, imposer un contrôle public et citoyen (PCF)
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23 janvier 2021 6 23 /01 /janvier /2021 17:06
Vivre sans culture, ça suffit! ( PCF)
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23 janvier 2021 6 23 /01 /janvier /2021 16:43
Mobilisation à Carhaix pour le traité d'interdiction des armes nucléaires le 22 janvier 2021

Mobilisation à Carhaix pour le traité d'interdiction des armes nucléaires le 22 janvier 2021

Rouge Finistère: http://pcf29.org/

En 2017, l’Assemblée générale de l’ONU votait, avec l’appui de 122 États, le traité d’interdiction des armes nucléaires (TIAN). Après le bannissement des armes biologiques et chimiques, l’entrée en vigueur du TIAN, le 22 janvier 2021, constitue un fantastique espoir de prohibition totale des armes de destruction massive.

Cependant la mise en œuvre effective du TIAN fait l’objet de l’obstruction des pays possédant l’arme nucléaire (États-Unis, Russie, Chine, France, Grande-Bretagne, Israël, Pakistan, Inde et Israël).

Alors que la préservation de la planète est au cœur de tous les débats, que l’insécurité plonge des pans entiers de l’humanité dans la misère et que les violences guerrières s’accroissent, le rôle des opinions publiques sera déterminant pour mobiliser les ressources en faveur du développement humain et de la paix.

L’entrée en vigueur du TIAN doit désormais conduire la France à le signer et à le ratifier.

Paris devrait prendre une initiative internationale visant à organiser une procédure multilatérale de destruction des arsenaux nucléaires .

Ce faisant, le gouvernement de la France respecterait la volonté des Français(es) qui sont à 76 % favorables à ce que la France s’engage dans le processus de désarmement nucléaire et à 68 % favorables à la ratification du TIAN par la France selon un sondage Ifop/La Croix/Planète Paix.

Un premier signe serait de geler la modernisation de notre parc d’armes nucléaires.

Ce gel de la modernisation de notre arsenal serait en conformité avec la signature par notre Pays du Traité de Non prolifération des Armes Nucléaires et dégagerait sur 15 ans 100 milliards d’euros qui pourraient être affectés à la santé, les hôpitaux publics, l’éducation, la transition écologique pour ne prendre que ces exemples

Les Communistes du Pays de Quimperlé s’associent sans réserve à le démarche du Mouvement de la Paix et vous appelle faire délibérer votre Conseil Municipal pour demander, par l’intermédiaire d’un vœu adressé au Préfet du Finistère, au Gouvernement de signer et de ratifier le Traité d’Interdiction des Armes Nucléaires.

Nous nous permettons de joindre à ce courriel une proposition de vœu présentée par le Mouvement de la Paix.

Certains de votre attachement à la Paix et à la sécurité, nous espérons que cette initiative retiendra votre attention et celle de votre Conseil Municipal.

Nos nous tenons à votre disposition et vous prions de croire en nos sentiments les meilleurs.

Les Communistes du Pays de Quimperlé

Courrier adressé au Conseil Municipal : Tian courrier aux maires PDF

Proposition de Vœu du Conseil Municipal au format Word : Propostion de Voeu TIAN ODT

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22 janvier 2021 5 22 /01 /janvier /2021 18:08
Ces salariées des Genêts d’or ne comprennent pas pourquoi elles ne peuvent pas toucher la prime de 183 €, alors que des aides-soignantes à l’hôpital en bénéficient. | OUEST-FRANCE

Ces salariées des Genêts d’or ne comprennent pas pourquoi elles ne peuvent pas toucher la prime de 183 €, alors que des aides-soignantes à l’hôpital en bénéficient. | OUEST-FRANCE

Ouest-France

Oubliés du Ségur en Finistère : « Cette prime de 183 euros, c’est un mois de courses »

Plus de 200 salariés du social et du médico-social se sont rassemblés à Morlaix (Finistère), jeudi 21 janvier 2021. Ils dénoncent le non-versement d’une prime mensuelle de 183 €.

Pour Cyril, père de trois enfants, 183 €, c’est  une semaine de courses . Avec cette somme, sa collègue Sandra remplirait le frigo  pour un mois ​. Ces aides-soignants au foyer médicalisé Le Triskel, à Plougonven (Finistère), touchent entre 1 400 et 1 500 € par mois. Ne pas obtenir cette prime, c’est un manque à gagner important pour eux.

« Injustice »

Ils font partie de ceux que l’on appelle « les oubliés du Ségur de la santé », qui, à l’été 2020, actait la revalorisation salariale des personnels des établissements de santé et des Ehpad, à hauteur de 183 € par mois, excluant les salariés du secteur social et médico-social.

Une  injustice ​, dénoncée une nouvelle fois, jeudi 21 janvier 2021, par les syndicats CGT et Sud, mais aussi des responsables d’association, lors d’un rassemblement suivi d’une opération escargot à Morlaix (Finistère).

Parmi les quelque 220 salariés ayant participé à cette mobilisation départementale, Carole et Karine, aides-soignantes à la maison d’accueil spécialisée des Genêts d’or, où était organisé le rassemblement.

 C’est dégueulasse ​, lance Karine, pour qui, là encore,  183 €, ce n’est pas rien ​. Avec treize ans d’ancienneté, elle gagne 1 500 € par mois, primes comprises.  On fait des horaires d’hôpitaux, avec une amplitude allant de 7 h à 21 h 30, et on travaille un week-end sur deux et les jours fériés ​, précise Carole.

Toilettes, activités, sorties… Les deux jeunes femmes s’occupent de personnes en situation de lourd handicap.  Il y a des problèmes de comportement parmi les personnes accueillies, reprend Karine. Mais on aime notre métier. Simplement, on ne veut pas le faire pour rien. 

De gros écarts de salaire

Outre le non-versement de cette prime, l’aide-soignante ne comprend pas les écarts de salaires constatés dans ce secteur. ​Selon Joël Goron, directeur général des Genêts d’or, ces différences  entre des professionnels qui s’occupent de personnes âgées et d’autres en charge de personnes en situation de handicap peuvent aller jusqu’à 300 € ».

Les disparités sont encore plus flagrantes quand ce sont les salariés d’une même entreprise qui ne touchent pas le même salaire, comme c’est le cas à l’hôpital. « On va parfois faire des remplacements dans des services qui, eux, obtiennent les 183 € », indique Cyril, du Triskel, à Plougonven, service en charge des traumatisés crâniens dépendant du centre hospitalier des pays de Morlaix (CHPM). L’aide-soignant le reconnaît : « Ça peut créer une mauvaise ambiance. »

Perte d’attractivité

En tout, dans le pays de Morlaix, ils sont « 40 agents du CHPM à être ​exclus du Ségur », dénonce Christophe Boudrot, de la CGT, citant, outre le Triskel, le service de soins infirmiers à domicile (SSIAD) et le centre de soins, d’accompagnement et de prévention en addictologie (CSAPA).

Si l’on prend en compte toutes les structures privées ou associatives sur le département, ils sont 8 000 à réclamer cette hausse de salaire.

Cela n’aide pas à améliorer l’attractivité de ces métiers, au contraire.  Il y a une incidence sur le recrutement ​, déplore le directeur des Genêts d’or. Avec un impact sur le quotidien des aides-soignantes à la Maison d’accueil spécialisée qui, double peine, se retrouvent à travailler davantage « quand le matin  on est deux au lieu de trois en poste ​. De quoi avoir « parfois envie d’aller travailler ailleurs. 

https://www.ouest-france.fr/bretagne/morlaix-29600/oublies-du-segur-en-finistere-cette-prime-de-183-euros-c-est-un-mois-de-courses-7126821

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22 janvier 2021 5 22 /01 /janvier /2021 17:03
Fabien Roussel :  Nous mènerons le combat de la réindustrialisation avec vous - L'Humanité, 21 janvier 2021
 
Fabien Roussel : « Nous mènerons le combat de la réindustrialisation avec vous »
Jeudi 21 Janvier 2021 - L'Humanité

Vallourec, Enedis, Renault... Accompagné de Céline Brulin et Hubert Wulfranc, le secrétaire national du PCF a rencontré, mardi 19 janvier, des syndicalistes de plusieurs entreprises de Seine-Maritime. Objectif : travailler aux relocalisations, en lien avec les mobilisations des salariés en lutte.

Seine-Maritime, envoyé spécial.

« On entre en période électorale, et les oreilles sont beaucoup plus ouvertes. » Le secrétaire national du PCF, Fabien Roussel, démarre sa visite du département par une rencontre avec l’intersyndicale de Vallourec, entreprise métallurgique dont le site de Deville-lès-Rouen sera bientôt fermé. Aux syndicalistes qui cherchent des pistes de reclassement pour leur usine, le député du Nord, accompagné de la sénatrice Céline Brulin et du député de la circonscription Hubert Wulfranc, promet d’intervenir auprès du gouvernement. « Nous avons tout intérêt à peser ensemble auprès du ministère pour obtenir la réindustrialisation du site », propose Fabien Roussel. « Il faut obtenir une réunion à Paris. »

Cette journée dans plusieurs entreprises de la banlieue de Rouen, le secrétaire national du PCF l’a voulue comme un échange avec les salariés, pour la plupart en prise avec les conséquences de la désindustrialisation, qu’elle soit liée ou simplement amplifiée par la crise sanitaire. « Lorsque ces usines ferment, ce sont les salariés qui payent, et tout le bassin d’emploi avec. » Pas question de laisser faire, pour les trois parlementaires communistes, qui souhaitent soutenir au maximum les mobilisations syndicales. Ainsi, à Cléon, ce sont quelque 687 salariés de Renault qui sont invités au «  départ volontaire » par la direction du groupe.

Grève nationale chez Renault

Pour l’essentiel, ils travaillent à la production de moteurs thermiques et de boîtes de vitesses, selon un syndicaliste de la CGT, Pascal Le Manach. « On leur dit qu’ils ne servent plus à rien. » « À terme, on ne produira plus ici que de l’hybride et de l’électrique », regrettent Pascal et ses collègues. Les salariés seront en grève nationale, le 4 février. « On a investi fortement pour réduire les émissions de particules fines, il y a un vrai savoir-faire que nous devons préserver. On ne peut pas tout miser sur l’hydrogène et l’électrique. On va mener cette bataille avec vous », promet Fabien Roussel. « Nous allons la mettre au cœur des échéances électorales à venir. Avec ce système économique, on est tous perdants. Ce sont des emplois en moins, des recettes fiscales en moins, et un bilan carbone déplorable avec les délocalisations de sites de production. »

Un peu plus tôt, les trois parlementaires se sont rendus sur le piquet de grève des salariés d’Enedis, en lutte contre le plan Hercule qui vise à séparer EDF en trois entités distinctes. Un passage apprécié. « Nous remercions les élus communistes qui nous soutiennent et ont réussi à ouvrir des commissions parlementaires. » « Nous avons pu initier au Sénat un débat sur Hercule », souligne d’ailleurs la sénatrice Céline Brulin. « Nous mènerons le combat avec vous, pour vous, mais aussi pour contribuer à la relance de l’économie de notre pays », assure Fabien Roussel.

« Réquisitionner des sites de production »

En pleine crise sanitaire et en pleine polémique sur les pénuries de vaccin contre le Covid-19, les trois élus PCF ont également rendez-vous sur le site de Sanofi à Saint-Aubin-lès-Elbeuf. Le groupe entend externaliser six usines, dont celle d’Elbeuf, et mettre en concurrence les sites restants…

Ce 19 janvier, les salariés de Sanofi sont en grève. « Nous sommes un site spécialisé en antibiotiques », expliquent les syndicalistes aux élus. « Mais Sanofi ne veut pas en faire, parce que ça ne rapporte pas beaucoup. » Selon eux, « un médicament qui guérit n’est pas un bon médicament. Sanofi préfère développer des médicaments qui traitent ». Un syndicaliste rappelle en outre que le groupe pharmaceutique a perçu un milliard d’euros, en dix ans, en crédits recherche, « tout en supprimant des emplois ». Pour le secrétaire national du PCF, « nous avons besoin d’outils législatifs permettant de réquisitionner des sites de production pour faire des doses de vaccin ». Et, plus que jamais, de rappeler la proposition de son parti de créer un « pôle public du médicament ».

Pour terminer, les parlementaires communistes rencontrent enfin des acteurs de l’événementiel (intermittents, artistes et entrepreneurs) dans l’auditorium Roland-Leroy de Oissel. « Nous sommes venus avant tout pour vous écouter », prévient Hubert Wulfranc. Et l’angoisse est forte : « Les gens ont pris de nouvelles habitudes, ça ne redémarrera pas de suite » ; « Les collectivités nous attribueront-elles les mêmes budgets qu’avant la crise ? » ; « Comment va-t-on rembourser les prêts garantis par l’État ? »... « Nous avons dénoncé des décisions incohérentes », rappelle alors Fabien Roussel. « On aurait pu maintenir les lieux de culture ouverts. » De plus, selon lui, « les aides de l’État ne sont pas suffisantes ». Et mal faites. Il rappelle ainsi à un entrepreneur pourquoi il a voté contre les 10 milliards d’euros de réductions fiscales accordées aux entreprises. « Parce qu’on a accordé cette aide à toutes les entreprises, y compris les plus grandes, qui vont en absorber la majeure partie. Alors qu’il aurait fallu accorder une suppression à 100 % de la taxe foncière et de la CVAE (cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises – NDLR) sur deux ans, mais aux 520 000 TPE et PME qui en ont réellement besoin. »

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20 janvier 2021 3 20 /01 /janvier /2021 10:37

 

 

 

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20 janvier 2021 3 20 /01 /janvier /2021 09:56

 

Les logiques de rentabilité des grands groupes font marcher le monde sur la tête...

Alors que nous traversons une pandémie mondiale, le groupe pharmaceutique Sanofi prend la décision de supprimer entre 400 et 600 emplois dans le secteur de la recherche et développement.

 

 

 

5 000 postes ont déjà été supprimés en France par le groupe en l'espace de 10 ans, sur un total d'environ 25 000 salariés. Et 3 000 postes ont été supprimés sur les 6 000 postes dans la recherche et développement.


Le retard de Sanofi sur le vaccin montre au contraire que le groupe devrait intensifier ses activités de recherche. La multiplication des variants à la Covid-19 doit inciter à une veille pharmaceutique permanente pour avoir une réponse adéquate aux besoins de santé.


Pour la 26e année consécutive, le groupe Sanofi a distribué des dividendes, battant par la même son record atteignant presque la somme astronomique de 4 milliards.


Autant d'argent qui n'a pas été investi dans la recherche, la formation, les salaires. Ni dans la production, alors que les pénuries de médicaments explosent depuis 2016 (2 400 ruptures d'approvisionnement en 2020, soit 4 fois plus qu'en 2016).


C'est une prédation à grande échelle qui s'effectue, au détriment de l'emploi et de l'efficacité même de l'entreprise.

Il est déraisonnable aujourd'hui plus qu'hier encore, de laisser les mains libres aux actionnaires.


Il y urgence à développer des logiques industrielles émancipées de la loi du profit, en donnant de nouveaux droits de gestion aux salariés, afin de développer l'emploi, la recherche et la formation, afin de développer un nouveau cycle vertueux dans un objectif de réponse aux besoins de santé.

Le PCF appelle par ailleurs à la création d'un pôle public du médicament, pour garantir la souveraineté sanitaire de la France.

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