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14 novembre 2021 7 14 /11 /novembre /2021 08:36
On respire mieux à la campagne des jours heureux - par Yvon Huet

ON RESPIRE MIEUX 

A LA CAMPAGNE DES JOURS HEUREUX

 

La campagne présidentielle n'a aucun sens si elle n'est pas accompagnée de luttes tant pour les conditions de vie et de travail que pour la réactivation des activités industrielles de la France. 

 

Et qui dit industrie ne veut pas dire cheminées qui vous crachent à la figure les excréments de la terre, bien au contraire, mais plutôt l'intégration de l'écologie dans la façon de fabriquer et utiliser les produits qu'on doit réapprendre à fabriquer et inventer. 

 

C'est le nécessaire retour de l'intelligence créative contre le répétitif bêtifiant auquel les salariés sont de plus en plus contraints aujourd'hui. Les reculs imposés par les cheminots et la population ainsi que le retour de certaines activités de manufacture donnent le ton de ce qu'il faudrait faire pour sortir des discours sans réalité. 

L'exemple des coopérateurs de Scop-Ti (les Thés et infusions 1336) qui allient bien être au travail et efficacité pour la santé et l'écologie est, quelque part, un exemple à méditer pour toutes celles et ceux qui veulent le changement dans le pays, sachant qu'il faudra mettre au pas les banquiers qui, aujourd'hui, font tout pour faire chuter cette expérience.

 

Le sens de la candidature Fabien Roussel, c'est bien celle de l'accompagnement d'un changement fondamental d'orientation dont la France a besoin pour pouvoir s'exiger à elle-même le bien-être pour le monde du travail. Les frémissements actuels nous donnent raison. 

Mais il faut aller beaucoup plus loin, parce que c'est bien d'une révolution qu'il s'agit, dans le système certes, mais aussi dans les consciences, parce que s'il n'y a pas conscience, on recommencera les mêmes erreurs que celles d'autrefois en se satisfaisant d'une victoire qui sera très vite remise en cause. Nous avons le recul pour le comprendre. Il faut en profiter.

Yvon Huet

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14 novembre 2021 7 14 /11 /novembre /2021 07:01

 

La COP26 qui a lieu à Glasgow est centrale pour le respect des accords de Paris et pour tenir l’objectif de neutralité carbone au niveau mondial pour la seconde moitié du siècle. Avant la COP, les engagements étaient nettement insuffisants. Une baisse des émissions de 7 % au lieu des 30 à 50 % d’ici à 2030 est pourtant nécessaire pour contenir le réchauffement de 1,5 à 2 degrés pour continuer à vivre dans des conditions tolérables.

 

 

Durant cette COP, plusieurs engagements émanant d’une centaine de pays, comme les objectifs de neutralité carbone venant d’Inde et de Chine, nous permettent d’espérer atteindre jusqu’à 30 % de baisse d’émissions. Cela reste nettement insuffisant pour l’objectif 1,5 degré, mais c’est une avancée. Preuve que grâce à la pression des peuples, les COP peuvent servir et poussent les États à honorer leurs engagements. Les manifestations un peu partout dans le monde, comme la mobilisation de l’opinion publique, jouent aussi un rôle central pour construire le rapport de force au niveau mondial.

Bien sûr ce ne sont que des engagements, et il faudra veiller à ce qu’ils soient tenus année après année durant la décennie jusqu’en 2030. Par exemple, les 100 milliards par an d’aide promis par les pays riches en 2009 pour aider les pays pauvres à lutter contre le dérèglement climatique tardent à se concrétiser. C’est une bataille immédiate qu’il faut mener, et porter progressivement à près de 1 000 milliards à partir de 2030. C’est possible en réorientant des financements consacrés au militaire par exemple (près de 2 000 milliards de dollars par an dans le monde), en particulier en mettant fin aux armes atomiques. Ce sujet est pourtant encore tabou dans les discussions des COP. La lutte contre l’évasion fiscale comme moyen de financer les enjeux climatiques n’y est pas non plus abordée. Il faudrait aussi redéfinir le rôle des grandes banques centrales, comme la BCE, qui doivent utiliser la création monétaire pour des investissements bas carbone.

Pour contribuer à cette pression populaire et faire monter ces batailles politiques, le PCF a envoyé une délégation pour participer à la belle manifestation sur le climat de Glasgow, mais aussi pour rencontrer des forces politiques, associatives et syndicales progressistes internationales. Ainsi, la délégation a porté le point de vue du PCF en intervenant lors des débats organisés par le PGE sur le financement des mesures climatiques ou du rôle de la démocratie sur les politiques énergétiques, s’est enrichie du bouillonnement d’idées lors des ateliers du sommet mondial pour le climat qui débattent d’alternatives au capitalisme vert.

La bataille, mondiale, est aussi européenne. En effet, nous ne pourrons relever le défi climatique qu’en sortant du dogme de la concurrence libre et non faussée. Que ce soit le marché carbone qui donne un droit de polluer aux multinationales ou le marché de l’énergie, les politiques européennes sont inefficaces écologiquement et dramatiques socialement. Ce n’est qu’en rompant avec les traités européens et en nous engageant dans une Europe de la coopération entre des pays et des peuples libres, souverains et associés que nous pourrons atteindre nos objectifs. « Ce n’est pas le climat qu’il faut changer, mais le système » était d’ailleurs le mot d’ordre de notre délégation à cette COP26.

Ainsi, nos échanges avec les syndicalistes de la Fédération Internationales des transports (ITF) ont souligné la convergence de luttes et de propositions pour un développement de l’usage du train et donc un investissement massif dans des transports publics et écologiques (transports urbains, fret ou transport passager). C’est une proposition forte pour réduire nos émissions de CO2 et garantir l’accès aux transports comme un droit fondamental.

Enfin, la bataille pour le climat peut aussi se mener localement, nationalement. Pour accentuer la pression populaire et faire changer le système, il faut rendre majoritaires des propositions concrètes et gagner leur application. Des propositions pour une écologie sociale et populaire pour aller vers une empreinte carbone nulle le plus rapidement possible.

Ainsi, Fabien Roussel propose un pacte inédit pour le climat et l’emploi de 140 milliards d’€, en suivant les recommandations du GIEC. Il permettra, entre autres, de mettre en place la gratuité des transports en commun et de faire baisser le prix du billet SNCF, de rénover énergétiquement 500 000 logements par an, pour vivre plus confortablement en réduisant sa facture énergétique.

Voilà quelques exemples de propositions concrètes alliant bataille pour le pouvoir d’achat, pour l’écologie et favorable à l’emploi que nous voulons faire progresser jusqu’à les rendre incontournables. En poursuivant les mobilisations autour de la COP 26 par le vote Fabien Roussel et par le développement de luttes autour de ces propositions.

La délégation PCF

 

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14 novembre 2021 7 14 /11 /novembre /2021 06:45

 

Ian Brossat, adjoint à la ville de Paris chargé du logement, de l’hébergement d’urgence et de la protection des réfugiés et directeur de campagne de Fabien Roussel pour l’election présidentielle, trace la feuille de route des communistes pour cette campagne et en présente les axes forts.

Propos recueillis par Ségolène Mathieu

 

Le 6 juillet dernier, le PCF lançait sa « caravane des jours heureux » pour aller à la rencontre des vacanciers et faire connaître Fabien Roussel. Quels enseignements en avez-vous tiré ?

À travers la candidature de Fabien Roussel, nous avons fait le choix de nous présenter de nouveau devant les Françaises et les Français, après quinze années d’absence à l’élection présidentielle. Quoi que l’on pense de cette élection, elle demeure le rendez-vous majeur de notre Ve République, celui qui structure le temps démocratique et idéologique. Nous avons pris la décision de nous représenter avec la volonté de rester fidèles à ce que nous n’avons jamais cessé d’être : ouverts, généreux, populaires.
Si je rappelle cela en préambule, c’est parce que c’est cette volonté-là qui nous a conduits naturellement à l’idée d’une caravane d’été comme première forme d’action militante, plus légère, si j’ose dire, plus festive, plus libre dans la discussion.

« L’élection présidentielle, ce n’est pas une transat en solitaire mais une course en équipage. Nous avons désormais déployé les voiles, à nous toutes et tous de jouer désormais ! »

Et le bilan de ces deux mois d’échanges est allé bien au-delà de nos espérances. À cet égard, je voudrais remercier chaleureusement Olivier Marchais, grand artisan de cette caravane, ainsi que l’ensemble des militantes et militants qui ont donné de leur temps cet été.

Nous avons parcouru six mille kilomètres et traversé vingt-quatre départements.
La caravane nous a permis d’échanger avec cinq mille six cents vacanciers et travailleurs saisonniers, parmi lesquels de très nombreux non-communistes, un peu plus de quatre mille trois cents au total. Cela a été l’occasion de renforcer le parti, ce qui est un point d’appui pour l’avenir : nous avons ainsi réalisé quarante et une adhésions au Parti communiste, et dix aux Jeunesses communistes.

Surtout, ces rencontres se sont déroulées dans une totale liberté de dialogue : à partir de ces heures de discussions avec les Françaises et les Français, nous voyons très nettement des attentes se dégager. Par exemple, le prélèvement à la source des multinationales, le droit aux vacances, le pouvoir d’achat et les salaires. Il ressort que les gens ont des priorités très ancrées dans leur vie quotidienne ; ce qu’ils attendent de nous, ce sont des mesures très concrètes et applicables à court et moyen terme. ça n’a de sens pour eux que si nous sommes concrets. Ce sera le fil de rouge de notre campagne.

 

La caravane a marqué le lancement de la campagne de Fabien Roussel et des communistes. Quels vont être les autres temps forts dans les mois qui viennent ?

Nous venons de clôturer une magnifique fête de l’Humanité qui a permis, à la suite de la caravane d’été, de poursuivre ce dialogue avec les femmes et les hommes de gauche, si attachés à cette grande fête populaire. Nous allons continuer dans ce sens, celui du dialogue direct, sans filtre, avec les Françaises et les Français.

« À travers la candidature de Fabien Roussel, nous avons fait le choix de nous présenter de nouveau devant les Françaises et les Français, après quinze années d’absence à l’élection présidentielle. »

Cet automne, nous allons initier une série de déplacements, sept grandes soirées thématiques. Nous irons non pas dans les métropoles mais dans des sous-préfectures, dans des villes ou villages plus modestes : la gauche n’y va plus beaucoup, nous voulons, nous, renouer ce contact et ce dialogue. Ces échanges vont nourrir notre programme, que nous dévoilerons cet hiver.

 

Quels sont les enjeux de la campagne et les axes forts que va devoir défendre Fabien Roussel ? Comment les communistes vont-ils s’organiser ?

Jamais les inégalités entre ceux qui détiennent le capital et l’immense majorité d’entre ceux qui n’ont que leur force du travail pour vivre n’ont été aussi criantes. En cinq ans à l’Élysée, Emmanuel Macron a permis aux cinq cents plus grandes fortunes de France de doubler leur patrimoine. Il est passé de 570 à 1 000 milliards d’euros. Quant aux patrons du CAC, leur salaire a augmenté de 30%.

Vous me direz, heureusement que c’est la crise, parce que si ce n’était pas le cas, qu’est-ce que ce serait ? Vos salaires ont-ils augmenté de 30% ? Avez-vous vu l’argent ruisseler par magie dans vos poches ? Ce qui ruisselle, pour la grande majorité des gens, c’est le prix des factures. Gaz, électricité, essence, assurance, alimentaire… Tout. Et je ne vous parle pas du logement. En résumé, plus que jamais, c’est nous tous qui trinquons pendant qu’eux, les plus riches, sirotent le champagne. Cela s’appelle le capitalisme. Chacun voit bien que tout cela nous entraîne dans le précipice et que rien de bon ne peut en sortir. Cela ne peut pas durer parce que le capitalisme épuise les hommes comme il épuise les ressources et la nature.

Dans le même temps, nous sommes, depuis 2017, dans un moment politique tout à fait particulier, notamment caractérisé par un épais brouillard idéologique, qui prend parfois des formes assez inquiétantes. Redevenir aux yeux des Françaises et des Français un repère politique clair et fiable, dans ce brouillard ambiant, telle est notre ambition.

« Nous irons non pas dans les métropoles mais dans des sous-préfectures, dans des villes ou villages plus modestes : la gauche n’y va plus beaucoup, nous voulons, nous, renouer ce contact et ce dialogue. »

Nous avons décidé de mener cette campagne avec la volonté, le désir de s’extraire de ce brouillard politique pour aborder des sujets utiles aux gens – comme nous l’avons fait sur le vaccin et la santé, en affirmant ce que doit être l’horizon de la gauche, comme nous le faisons encore sur les salaires et le monde du travail, sur l’éducation, sur la sécurité aussi, et nous l’assumons, en somme sur tous les sujets qui appellent des réponses politiques de gauche. Ensuite, nous voulons – et c’est notre second objectif – être de nouveau audibles et parler aux gens de gauche mais aussi et surtout à ceux qui se sont détournés de la politique, aux abstentionnistes qui auparavant votaient et s’en sont lassés. C’est vers eux qu’il faut nous tourner ces prochaines semaines.

Permettez-moi d’ouvrir une parenthèse sur ce dégoût de la politique. Les médias en parlent comme si cela était subitement tombé du ciel. C’est en fait le résultat d’un long processus politique qui s’est ouvert en 2005. Ce qui a dégoûté les gens, c’est le référendum européen de 2005, quand les Français se sont rendu compte qu’on se moquait de ce qu’ils avaient exprimé ; c’est aussi le fait d’avoir été trois millions dans la rue en 2010 comme en 2015, contre la réforme des retraites et la loi travail, et que les gouvernements ont ignoré ce mécontentement et sont chaque fois passés au bulldozer ; ce qui a dégoûté les gens, c’est de voir les APL amputés tandis que les cadeaux fiscaux, avec la suppression de l’ISF en particulier, se multipliaient. À tous ceux-là, nous voulons nous adresser de nouveau et leur dire que, nous, communistes, absents du débat politique présidentiel ces quinze dernières années, nous sommes et serons toujours des gens de parole, sur qui ils peuvent compter. Leur dire que nous aurons le courage de mener des réformes populaires. Ce que nous proposons, c’est un pacte pour bâtir ensemble la France des jours heureux.

 

Face aux nombreuses candidatures que répondre à ceux qui désespèrent de l’unité de la gauche ?

D’abord, attendons de voir combien la gauche aura véritablement de candidats. Pour notre part, nous en aurons effectivement un et ce, pour deux raisons. La gauche est faible non pas parce qu’elle serait divisée, mais parce qu’elle ne parle plus concrètement aux Français. La gauche, toute mouillée, c’est 25% aujourd’hui. C’est cela qui nous inquiète. Les communistes dirigent sept cents communes, compte un groupe à l’Assemblée nationale, un autre au Sénat : je me permets de le rappeler parce que cette légitimité du terrain, tout le monde ne l’a pas ; nous, nous l’avons.
Et c’est parce que nous avons cette implantation, parce que nous avons cette connaissance de la réalité quotidienne, y compris de celle des petites villes, que nous avons des choses à dire aux Françaises et aux Français. Nous voulons défendre des convictions et porter une vision pour la France, un projet de société pour les cinq-dix prochaines années.

« Le capitalisme épuise les hommes comme il épuise les ressources et la nature. »

Je pense, par exemple, à la répartition des richesses entre les individus mais aussi entre les territoires, ce qui est souvent oublié à gauche ; à la question de l’énergie, dont l’enjeu va être majeur ces prochaines années à la fois en matière de pouvoir d’achat pour les familles et les PME mais aussi quant à l’indépendance stratégique ; au défi démographique qu’il va nous falloir affronter avec, d’un côté, la jeunesse qui sort abîmée par cette crise de la covid et, de l’autre, les plus de 65 ans, que ce soit à travers les retraites ou le sujet de la dépendance des aînés qui commence à inquiéter les familles. Nous avons des propositions à faire aux Françaises et aux Français et nous le ferons.

Outre la présidentielle, les législatives se profilent, quelle sera la stratégie du PCF ?

Le PCF a la volonté de rassembler très largement pour ces élections en instaurant un pacte législatif avec l’ensemble des forces politiques de gauche, avec le souci de la dimension locale, qui importe et qu’il convient de respecter. Le Parti communiste est moteur et sert de passerelle entre les différents courants politiques pour réussir ces élections législatives.

 

 

La rentrée sociale sera chargée, particulièrement avec les « réformes » des retraites et de l’assurance-chômage. Comment le PCF et son candidat vont-ils s’impliquer dans ces batailles ?

Nous allons nous impliquer sur ces deux sujets de casse sociale sans précédents, comme nous l’avons toujours fait, c’est-à-dire en ayant un pied dans la rue et un pied dans les institutions. S’agissant des retraites, nous sommes convaincus que ce sera l’un des grands enjeux de cette élection. Notre projet est l’exact inverse de celui présenté par Emmanuel Macron. Nous sommes pour le droit de partir à la retraite à 60 ans, avec une bonne pension. Nous défendons une réforme financée par une cotisation sur les revenus financiers mais aussi par la création d’un million d’emplois utiles à la société et par l’égalité salariale.

 

Cette rentrée est également marquée par la quatrième vague de covid-19 sur fond de défiance vis-à-vis de la vaccination et de récupération des manifestations antipasse sanitaire par l’extrême droite. Quelles sont les armes du PCF face à cela ?

La vaccination et le passe sanitaire sont deux choses tout à fait différentes, sur lesquelles le parti a pris des positions très claires. Pour en finir avec la pandémie, nous exigeons la levée des brevets et les transferts de technologie afin de permettre à tous les peuples du monde d’accéder à la vaccination la plus large, la plus rapide. Fabien Roussel fait valoir la nécessité de libérer les vaccins du monde de la finance, l’exigence de soutenir la recherche publique.

« Ce que nous proposons, c’est un pacte pour bâtir ensemble la France des jours heureux. »

Nous souhaitons agir pour la vaccination généralisée, et cette bataille est loin d’être gagnée. Près de trois millions de Françaises et de Français, parmi les plus fragiles, n’y ont pas encore accès ; dix millions de Français ne sont toujours pas vaccinés. Bien souvent, ce sont les mêmes qui ne vont jamais chez le médecin, ou sont éloignés des soins. Ils vivent dans la pauvreté. Cette pandémie met en évidence les dégâts provoqués par la casse de notre système de santé publique et les terribles inégalités qui se creusent entre les classes sociales, les départements, les milieux ruraux ou urbains.
Enfin, il faut former des dizaines de milliers de médecins, d’infirmiers, de soignants, ouvrir des hôpitaux et des lits, permettre à chacun d’avoir à proximité une maternité, un service d’urgence, à la campagne comme dans les grandes villes. Voilà une politique de progrès à mettre en œuvre dans tout le pays ; elle fait le choix du public pour tout ce qui concerne l’hôpital et la santé.

 

Que faut-il retenir de cette édition de l’université d’été qui avec la fête de l’Humanité marque la rentrée sociale des communistes ?

L’une et l’autre sont des rendez-vous précieux pour les communistes, parce qu’elles sont l’occasion de se retrouver – après plusieurs mois de confinement et d’isolement, c’est important – mais aussi et surtout parce qu’elles leur permettent de dialoguer, de penser ensemble, d’imaginer le monde de demain collectivement. C’est notre identité que de savoir travailler ensemble. L’élection présidentielle, ce n’est pas une transat en solitaire mais une course en équipage.

Nous avons désormais déployé les voiles, à nous toutes et tous d’avancer ensemble !

 

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12 novembre 2021 5 12 /11 /novembre /2021 06:43

 

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11 novembre 2021 4 11 /11 /novembre /2021 13:13
Tribune de Fabien Roussel dans le Monde

Tribune de Fabien Roussel dans le Monde

Le 2 décembre 2021, dans le cadre de notre niche parlementaire, nous défendrons une proposition de résolution pour rendre inéligibles les individus condamnés pour incitation à la haine. Être élu est un honneur et une responsabilité qui implique de respecter les valeurs qui constituent le socle de notre modèle républicain.

Lire la tribune de Fabien Roussel au Monde

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11 novembre 2021 4 11 /11 /novembre /2021 06:38
COP 26 de Glasgow - dernière chance pour le climat? - Pierre Laurent
#COP26Glasgow : dernière chance pour le climat ?
Jusqu'au 12 novembre, se tient à Glasgow la COP 26, où chefs d’états et de gouvernements des 191 pays signataires de l’accord de Paris auront l’occasion d’afficher leurs nouvelles ambitions pour la planète.
Cette COP 26 s’est ouverte dans un contexte climatique alarmantet alors que l’Humanité n’a jamais été dans une situation aussi menaçante. Le rapport du GIEC d’août dernier prévoit une hausse des températures de 1,5 °C pour 2030, soit une décennie plus tôt que la précédente estimation publiée il y a 3 ans. D’autres scénarios présentés par le GIEC, beaucoup plus pessimistes, prévoient quant à eux un réchauffement compris entre 3,3 et 5,7 °C.
Ces modifications climatiques, sous-tendant des conséquences environnementales, peuvent avoir des impacts sur la sécurité nationale des Etats, en fragilisant leurs territoires, leurs populations ou leurs organisations. Elles peuvent également avoir des conséquences importantes sur la sécurité internationale. Certes, il est très rare qu’un problème environnemental soit directement lié à un conflit, mais il est clair qu’il contribue à l’instabilité de la zone.
Parmi un millier d’autres, prenons l’exemple du Lac Tchad. Soumis à une sécheresse importante, il laisse place aujourd’hui à des zones humides exploitées par l’agriculture. Les villages de pêcheurs nigérians se trouvant au bord du lac subissent de plein fouet la sécheresse, qui les conduit à se déplacer vers le Cameroun, où se développent des tensions avec les populations locales. Lorsque la faim, la soif et la recherche de moyens de subsistance frappent les être humains, il n’y a plus ni frontières ni raison qui tiennent, provoquant inéluctablement des problèmes géopolitiques.
Cette même étude du GIEC prévoit une élévation du niveau de la mer d’un mètre d’ici 2100, voire de 2 mètres dans les pires scénarios, en raison de l’incertitude liée aux calottes glaciaires. Cela suppose d’incessantes modifications et contestations territoriales. La montée des eaux pourrait ainsi, dans certains cas, mettre en péril la permanence d’un Etat en le privant, purement et simplement, de son territoire. Certains Etats du Pacifique achètent déjà d’autres territoires, à l’instar des Maldives.
La montée des eaux mènerait également à une modification importante du périmètre des Zones Economiques Exclusives. Par exemple dans la zone Arctique où, du fait de la fonte des glaces, s’ouvrent de nouvelles perspectives d’exploitation et d’extraction, avec les tensions et la concurrence que cela sous-tend.
Par conséquent, il est indispensable de prendre des mesures fortes et contraignantes contre le réchauffement climatique, afin de prévenir les conflits de demain.
Ce diagnostic sur le réchauffement climatique et la responsabilité de l’être humain dans ce dernier est aujourd’hui très largement partagé, au-delà des différences politiques. Pourtant, les solutions pour y répondre sont diverses et nous, communistes, pensons que certaines d’entre-elles, mises en avant par les libéraux, concourent même à l’aggravation du phénomène.
Ainsi, nous assistons à une nouvelle offensive du monde économique en matière de « greenwashing ». Nombre d’entreprises, en développant une rhétorique de la « décarbonisation » compatible avec leur modèle de croissance, évitent ainsi de parler de « défossilisation » comme le dénonce le chercheur et militant Maximes Combes dans son ouvrage « Sortons de l’âge des fossiles ».
Le meilleur exemple de cette supercherie reste le « marché du carbone ». L’impasse fondamentale du capitalisme se définit comme suit : à chaque problème, un prix. Les pays ayant de trop fortes émissions carboniques sont invités à « compenser » leur niveau de pollution en versant de généreuses contributions aux pays à faibles émission. Cet entêtement dans le modèle libéral, sans aucune remise en question de nos modes de productions, des impacts sociaux et écologiques, est irresponsable. Plutôt que de contourner l’enjeu climatique, nous serions mieux inspirés de réfléchir à des changements dans nos mobilités, nos modes de consommation, nos logements, nos systèmes de production, notre système alimentaire…
C’est bien l’aspect systémique de la question que je souhaite poser ici. Il est primordial de rester lucides sur les premiers responsables du réchauffement climatique. De la même manière que en 2008, où l’on a voulu faire porter la responsabilité de la crise sur le surendettement des travailleurs alors même que le coupable était le système spéculatif, les libéraux tentent de culpabiliser les modes de consommation des gens ordinaires, afin d’éluder une fois de plus la nécessité d’une bifurcation économique.
Pourtant, la Convention citoyenne pour le climat, constituée d’un panel citoyen représentatif de la population française, avait débouché sur des propositions de mesures contraignantes, à la fois pour l’Etat mais aussi pour les consommateurs. Voilà bien la preuve que les citoyens peuvent accepter de s’engager dans la construction d’une société durable, sociale et responsable, lorsque celle-ci est basée sur un processus véritablement démocratique, dans lequel les règles sont les mêmes pour tous.
C’est véritablement un des enjeux majeurs des prochaines années : la délibération collective, le dialogue sont indissociables du déploiement de solutions techniques pour faire face au changement climatique. Sans pression citoyenne et populaire, sans actes démocratiques forts dans chacun des Etats et au plan international, aucune COP, aussi ambitieuse soit-elle, ne pourra se mettre réellement au niveau du défi climatique. Et aucun peuple n’acceptera de s’engager dans des changements aussi profonds de son mode de vie.
Face au changement climatique, la démocratie reste notre meilleure arme.
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11 novembre 2021 4 11 /11 /novembre /2021 06:35

 

 

 

 

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9 novembre 2021 2 09 /11 /novembre /2021 05:36
Eliane Assassi, présidente du groupe communiste au Sénat: Qui décide entre l'exécutif et les cabinets privés?
Démocratie. Éliane Assassi : « Qui décide entre l’exécutif et les cabinets privés ? »
Vendredi 5 Novembre 2021 - L'Humanité

Les sénateurs communistes ont obtenu la création d’une commission d’enquête parlementaire sur le rôle que les cabinets de conseil privés jouent auprès des décideurs publics. Entretien.

Éliane Assassi Sénatrice PCF

En pleine crise du Covid, le gouvernement avait confié l’élaboration de la stratégie vaccinale au cabinet de conseil américain McKinsey. Un exemple parmi d’autres qui a amené les sénateurs PCF à utiliser leur droit de tirage pour créer une commission parlementaire chargée d’enquêter « sur l’influence croissante des cabinets de conseil privés sur les politiques publiques ». Entretien avec Éliane Assassi, présidente du groupe communiste au Sénat.

Pourquoi avez-vous choisi de lancer cette commission d’enquête, la dernière avant la fin du quinquennat d’Emmanuel Macron ?

Éliane Assassi La gestion de la crise sanitaire a mis en évidence une pratique qui existe depuis des années, à savoir le recours à des cabinets de conseil privés qui participent à définir et parfois dictent la conduite politique du gouvernement. Cela n’est pas nouveau mais il nous a semblé important, à l’heure où certains prônent la réduction du nombre de fonctionnaires, de faire un point sur ce sujet. Combien cela coûte-t-il ? Qui sont ces cabinets ? Comment travaillent-ils et en lien avec qui ? Quelle est la commande précise qui leur est faite ? L’émetteur reste l’exécutif, mais la commande passe sous les radars du Parlement. Au final, nous apprenons de façon détournée qu’il a eu recours à des cabinets. Nous voyons de plus aussi bien au Sénat qu’à l’Assemblée nationale que des études d’impact sur les textes législatifs sont souvent externalisées. Tout cela est très opaque, alors que cela pèse sur les politiques publiques décidées. La Cour des comptes a d’ailleurs remarqué une hausse très forte des recours à ces officines privées. Il est bien que cette instance s’en émeuve, mais c’est aussi le rôle du Parlement de s’y intéresser et de faire la lumière.

De mars 2020 à février 2021, le ministère de la Santé a passé près de 26 commandes auprès de sept cabinets, pour un coût de 11,35 millions d’euros…

Éliane Assassi Ces décisions prises dans le cadre de la lutte contre le Covid nous interrogent. Est-ce le résultat d’une défaillance de la puissance publique ? L’État s’est-il affaibli au point d’être en difficulté au moment de faire face à ses responsabilités ? Mais surtout qui mène les politiques publiques ? Le gouvernement et le Parlement, ou bien des prestataires privés dépourvus de toute légitimité démocratique ? Nous devons donc étudier cette question. Nos camarades députés du groupe GDR avaient déjà déposé, sans succès pour le moment, une demande de commission d’enquête à la suite des révélations par la presse du recours au cabinet McKinsey afin d’établir la stratégie vaccinale. Nous nous inscrivons dans la même logique. La commission d’enquête du Sénat, qui sera présidée par la droite et dont je serai rapporteure, doit être mise en place le 18 novembre.

Au-delà de la crise du Covid, le gouvernement avait déjà mandaté un prestataire privé, rémunéré, pour préparer l’exposé des motifs de son projet de loi sur les transports. Une pratique qui avait été validée par le Conseil constitutionnel…

Éliane Assassi Cela semble invraisemblable, mais si l’on remonte le fil de l’histoire, ce n’est pas nouveau. Simplement, lorsqu’il y a eu les grandes nationalisations de secteurs primordiaux et stratégiques comme les transports, l’énergie ou l’eau, l’État avait balayé ce recours aux officines privées pour écrire la loi et décider des politiques publiques. Et puis, par un effet de balancier, quand il y a eu le retour des privatisations de grands secteurs d’activité dans notre pays, nous avons de nouveau eu recours à des cabinets privés. Nous observons quelque part que quand les services publics sont sous la protection de l’État, nous n’avons pas besoin de ce genre de cabinets. Mais quand on privatise, alors ils ressurgissent et proposent leurs services. D’abord gratuitement, pour mettre un pied dans la porte, et puis de façon rémunérée. Nous observons aussi que certaines personnes qui travaillent pour ces cabinets sont d’anciens responsables politiques qui aspirent parfois à le redevenir. Ce qui s’appelle du pantouflage et pose de façon générale la question de la perméabilité entre intérêts privés et publics.

Entretien réalisé par Aurélien Soucheyre

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4 novembre 2021 4 04 /11 /novembre /2021 06:46
L'Humanité

L'Humanité

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4 novembre 2021 4 04 /11 /novembre /2021 06:34
AG départementale des communistes Finistériens le 13 novembre à Kernevel (10h-17h)
AG départementale des communistes Finistériens le 13 novembre à Kernevel (10h-17h)

La ruche communiste au 5 rue Henri Moreau à Brest.

Bientôt dans les boîtes aux lettres des camarades, le courrier de la fédé avec "A cœur ouvert" d'octobre 2021, l'édition bretonne du journal santé du PCF, et le tract de Fabien Roussel pour la manif du 21 novembre et l'invitation à notre Assemblée générale départementale du Samedi 13 novembre a Kernevel .

Extraits du courrier du PCF Finistère à ses adhérents:

Cher.e. camarade
 
tu es invité.e à la prochaine Assemblée Générale de la Fédération du Finistère du Parti communiste français à Kernevel le samedi 13 novembre, de 10h à 16h Salle polyvalente- 2 place de l'église 29140 Kernével en plein cœur du Bourg
 
Un apéritif convivial suivi d’un repas (couscous, fromage, tarte) est prévu à 12 h 30 sur inscription (participation de 10€ demandée), avant reprise des débats à 14h.
 
Cette Assemblée Générale sera l’occasion de faire un point sur l’activité de la fédération, des sections du Finistère, de débattre de l’actualité sociale et politique, de nos actions, la campagne des élections présidentielles et des élections législatives.
 
Nous serons particulièrement heureux de nous retrouver avec des camarades de tout le département.
Nous avons organisé ces derniers mois des conseils départementaux le 16 juillet, le 28 septembre, le 19 octobre. Nous avons pu tirer un bilan des dernières élections départementales et régionales de juin, qui ont permis l’élection de 3 conseillers départementaux dans le Finistère (9 en Bretagne) et de 1 conseillère régionale (4 en Bretagne) pour le PCF, s’ajoutant, depuis les municipales de 2020, à une cinquantaine d’élus communistes ou apparentés dans les communes du Finistère, dont 16 adjoints et/ou vice-président d’agglomération, et un maire d’une commune associée.
 
La vente de la vignette de la fête de l’Huma Paris s’est soldée par environ 250 vignettes vendues dans le Finistère. La fédération, avec une douzaine de bénévoles, a tenu un stand Bretagne avec les fédérations du Morbihan et d’Ille-et-Vilaine. L’expérience a été positive, avec une très belle dernière fête de l’Huma sur le site de la Courneuve.
 
Les samedi 27 et dimanche 28 novembre, c’est la 30ème fête de l’Humanité Bretagne à Lanester que nous devons réussir après une annulation contrainte en 2020. Ce sera un moment important au niveau politique, festif, fraternel, et aussi dans le cadre de la campagne présidentielle de Fabien Roussel. Des vignettes bons de soutien de la fête de l’Humanité Bretagne (17€ les 2 jours, 12€ pour un 1 jour seulement) sont à vendre auprès de toutes les sections du Finistère (chèque à libeller à l'ordre de : fête de l'huma Bretagne . Des débats seront organisés sur les 150 ans de la Commune de Paris, la culture, l’école, l’extrême-droite, l’alimentation, le logement des seniors, Marcel Cachin et le centenaire du PCF, etc.
 
En face de la grande scène du parc des expositions de Lorient, le PCF Finistère aura son stand restaurant (kig-ha-farz, pommes de terre-saucisses de Molène, fruits de mer, huîtres, far du pays bigouden) et bar : nous invitons tous les adhérents volontaires pour être bénévoles à s’inscrire sur la feuille jointe.
 
Le dimanche 17 octobre, les camarades du Finistère ont été nombreux (près de 60) à Châteaubriant dans la Carrière pour commémorer le 80e anniversaire de l’exécution des 27 otages communistes et cégétistes le 22 octobre 1941, avec des discours puissants de Fabien Roussel, Philippe Martinez, Léon Deffontaines, le secrétaire des Jeunesses Communistes.    
 
Le samedi 23 octobre, nous avons eu une Commission Finances avec notre trésorier fédéral Ronan Tanguy, notre comptable Marie-France Goussé, et plusieurs camarades du CD et trésoriers de section, réunion qui a permis d’établir le montant de la souscription pour les Présidentielles et la campagne de Fabien Roussel à 2340€, des reversements d’indemnités d’élus en hausse significative qui retrouvent leur niveau de 2013 et des cotisations des adhérents relativement stables.
 
Nous invitons aussi tous les adhérents qui le peuvent à participer à la souscription pour les Présidentielles et la campagne de Fabien Roussel en envoyant un chèque à l’ordre de ADF PCF 29, soit en passant par votre section, soit en l’envoyant à la fédération : 5 rue Henri Moreau 29 200 BREST
 
La bonne nouvelle, c’est que nous avons les moyens de procéder à des embauches pour la fédération de manière à gagner en efficacité dans notre organisation et à mieux appuyer les sections. 
 
Nous invitons nos adhérent.e.s à s’engager fortement dans la campagne pour la candidature aux Présidentielles de Fabien Roussel en distribuant des tracts, collant des affiches, relayant ses interviews, popularisant nos prises de position, notre programme et notre projet autour d’eux, et en s’engageant dans les Comités des jours heureux que les sections créent dans les circonscriptions du Finistère.
 
Vous êtes aussi appelés à vous associer aux initiatives que devraient organiser prochainement les sections devant la préfecture et les sous-préfectures, démarche décidée nationalement par la direction du PCF pour mettre au cœur des débats politiques la question sociale, celle des salaires, du pouvoir d’achat, des hausses des prix, notamment de l’énergie, et populariser nos propositions.
 
Ces campagnes présidentielles et législatives, marquées pour l’instant pour la précampagne présidentielle par un contexte très pesant d’omniprésence médiatique des idées d’extrême-droite, peut être un fort moment d’implication populaire et de politisation.
 
Les communistes doivent être à l’offensive, avec devant eux un développement inédit et brutal des inégalités, de l’extrême richesse pendant que le nombre de personnes dans la précarité s’accroît, avec un président qui veut continuer à faire passer en force son projet libéral (privatisation des services publics, remise en cause de la protection sociale, des retraites).
 
Des possibilités de renforcement existent et se vérifient depuis des mois: 29 nouveaux adhérents en 2021 pour le PCF dans le Finistère !
 
Avec ses 860 adhérents, le PCF dans le Finistère est une force qui compte et qui entend gagner en audience et se renforcer encore, car la situation l’exige!
 
Nous nous félicitons aussi de l’essor du MJCF, qui faisait son congrès la semaine dernière, et de la naissance de l’UEC dans le Finistère, structures animées respectivement par Enzo de Gregorio et Corentin Derrien.
 
Pour finir, deux dates à noter dans vos agendas :
 
- le dimanche 21 novembre, 10h-16h manifestation du PCF à Paris et meeting de Fabien Roussel sur le pouvoir d’achat, l’augmentation des salaires et des pensions. La fédération peut participer financièrement aux déplacements des camarades (en covoiturage ou en train). 
 
- le samedi 8 janvier prochain il y aura une conférence régionale du PCF, sans doute à Lanester.
                 
Fraternellement,
Ismaël Dupont, secrétaire départemental
AG départementale des communistes Finistériens le 13 novembre à Kernevel (10h-17h)
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