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24 octobre 2016 1 24 /10 /octobre /2016 12:06
Photo Ouest-France Concarneau, 22 octobre 2016 : La seconde partie de la cérémonie s'est déroulée au lycée Pierre Guéguin. | Ouest-France

Photo Ouest-France Concarneau, 22 octobre 2016 : La seconde partie de la cérémonie s'est déroulée au lycée Pierre Guéguin. | Ouest-France

Il y a 75 ans, le 22 octobre 1941, le Concarnois Pierre Guéguin et le Tréguncois Marc Bourhis étaient, avec 25 autres otages, fusillés à Chateaubriant après l’assassinat d’un officier allemand par un jeune Nantais.

Un hommage matinal a été rendu samedi à Pierre Guéguin et à Marc Bourhis au cimetière de Concarneau et au lycée Pierre Guéguin. Élus, porte-drapeaux des associations patriotiques et Concarnois à l’issue du dépôt de gerbe se sont recueillis sur la tombe des fusillés.

Le 22 octobre 1941, 27 patriotes dont Pierre Guéguin, l’ancien maire de Concarneau et conseiller général, Marc Bourhis, instituteur à Trégunc, tombèrent sous les balles des nazis à Châteaubriant. Ces exécutions faisaient suite à la mort du responsable des troupes d’occupation de la région nantaise, le lieutenant-colonel Holtz, abattu, le 20 octobre, par deux jeunes résistants communistes. Parmi les fusillés de Châteaubriant, il y avait également Guy Môquet.

Une époque où « s’installait une nouvelle pratique barbare de la terreur nazie, un régime de terreur accompagné par l’état collaborateur de Vichy, a rappelé  Christian Colimard, du comité du souvenir des fusillés de Châteaubriant. Pierre Guéguin, Marc Bourhis en furent victimes au motif qu’ils étaient militants antifascistes d’avant même l’Occupation. Ce sont des dimensions qu’il faut garder à l’esprit en leur rendant hommage. Des dimensions à mettre en regard des tentatives de les extraire de nos mémoires, comme pour mieux effacer ces pages de l’histoire, jusqu’à en nier la leçon essentielle qu’incarnaient Pierre Guéguin et Marc Bourhis inscrite sur de nombreux monuments : maudite soit la guerre. Leçon à réapprendre en ces temps où les discours sont construits sur un registre de résurgence de soif d’autorité qui s’imposerait par tous les moyens, y compris militaires. La dimension pacifiste célébrée à travers cet hommage est une note discordante dans ce concert. Nous l’assumons. »

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20 octobre 2016 4 20 /10 /octobre /2016 05:30

Roger Faligot et Alain Robet à la librairie Dialogues

 avec leur roman graphique La Fille au carnet pourpre

 

Samedi 22 octobre en dédicace dès 14 h 30

 

 A l'été 1940, Anne Corre a quinze ans quand les Allemands envahissent la pointe bretonne où elle habite. Après plusieurs actions spontanées à Brest dès le 11 novembre 1940, la fille du garagiste et de la directrice de l'école publique de Daoulas est envoyée à Paris, au Lycée Victor-Duruy. Aux côtés de Geneviève de Gaulle, elle participe à des actions de Résistance. De retour en Bretagne, lycéenne à Morlaix puis à Quimper, elles s'engage dans un groupe de renseignement et de combat contre les collabos et le Service du travail obligatoire. Sa séduction est l'une de ses armes mortelles...

  

 Traquée par la Gestapo, capturée à Brest, elle est déportée en Allemagne. Même dans les camps, le jeune Bretonne résiste. Puis on perd sa trace. Ne reste qu'un carnet pourpre, étonnant journal intime qui nous permet de reconstituer cette étonnante histoire vraie.

 

 Pour Roger Faligot, reporter et historien d'investigation, ce scénario fait suite à une enquête sur les adolescents dans la Résistance antinazie (La Rose et l'Edelweiss, La Découverte/Poche) et à son histoire de la Cité du Ponant, Brest l'insoumise (Dialogues), dans laquelle on retrouve Anne Corre.

 Au dessin, Alain Robet, dessinateur réaliste spécialisé dans les sagas maritimes et historiques (Gabrielle B...), il est le fils d'un marin de commerce et a grandi à Brest.

La fille au carnet pourpre, un roman graphique sur l'occupation à Brest: Roger Faligot et Alain Robet à la librairie Dialogues de Brest le samedi 22 octobre
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19 octobre 2016 3 19 /10 /octobre /2016 05:39
Sur le site de "peuple des dunes"

Sur le site de "peuple des dunes"

Trébeurden : nouveau rassemblement contre l'extraction de sable

Il y a un an nous étions là
Tréguier ne veut pas d'une dune du Pilat
 
L'extraction est suspendue mais début septembre, le 2e pompage a fait du port de Tréguier (c'est ici) un terminal du sable coquillier de la CAN dans des conditions de déclaration que la ville conteste, mais pas la CAN ni la Préfecture.
Les élus ne veulent pas de ce sable et pointent d'autres  irrégularités : Tréguier est classée "petite cité de caractère", ce qui impose de respecter des règles contraignantes en matière de construction et d'affichage mais aussi de stockage, le port se trouvant dans le champ visuel de la cathédrale. Il semblerait qu'à ce sujet la préfecture ait tenu plusieurs discours.
Tréguier conteste également la surface réelle de stockage et déplore le manque de transparence et d'information... 
Après avoir subi les farines animales (piège à oiseaux), les ammonitrates (bombe en pleine ville) et les poussières du kaolin, la ville s'oppose donc à l'érection d'une dune du Pilat sur son port.
 
D'après l'article d'OF
Dimanche 30 octobre à Treberdeun: rassemblement contre l'extraction de sable
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19 octobre 2016 3 19 /10 /octobre /2016 05:33
Jean-François Martin, l'étudiant rennais en géographie éborgné dans les manifestations contre la loi travail saisit le Défenseur des droits (Ouest-France, 18 octobre 2016)
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18 octobre 2016 2 18 /10 /octobre /2016 05:40
dimanche 23 octobre 2016: 75 ème anniversaire de l'exécution des otages de Chateaubriant, livrés aux nazis par Vichy, en présence de Pierre Laurent (PCF), Camille Lainé (Mouvement des Jeunes Communistes), Philippe Martinez (CGT): départs en bus de Morlaix, Brest, Saint Brieuc

 le dimanche 23 septembre :

Déplacement en minibus à partir de Brest (départ à 7 H 15,parking du Géant) , avec passage à Morlaix ( 8 H ,parking du Géant) et St Brieuc  (9 H ,parking de la gare).

 

 La participation demandée est de 35 euros (Transport + Restau).

Vous pouvez vous inscire par tèléphone au 02 98 44 96 36 , ou par courrier en ramenant le bon à J.C. Le Naour ,10 ,rue Bruat , 29200 Brest avant le mercredi 19 Octobre.

       En cas de non-déplacement , une participation de soutien sera la bienvenue.

La cotisation 2016 est de 20 Euros.

 

Programme :

  • samedi 22 octobre 2016
    • 14h30 : inauguration d'une nouvelle stèle sur le site du camp de Choisel
  • dimanche 23 octobre 2016
    • 10 h : hommage devant la Stèle à la Blisière aux 9 fusillés du 15 décembre 1941
    • 11 h : accueil à la mairie de Châteaubriant
    • 13h30 : rendez-vous au rond-point Fernand-Grenier
    • 14 h : départ du cortège pour la carrière des fusillés
    • 15h15 : cérémonie officielle sous la présidence d'Odette Niles, présidente de l'Amicale, et d'Alain Hunault, maire de Châteaubriant, en présence de Pierre Laurent, secrétaire national du PCF, de Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, de Camille Lainé, secrétaire nationale du MJCF et Sabine Genisson, représentante des jeunes CGT
    • évocation historique et artistique « Un 22 octobre 1941 : ils rêvaient de liberté… », mise en scène par Jean-Jacques Vanier
Soyez dignes d'eux! 

Le 22 octobre 1941 marqua un tournant dans la guerre contre l’occupant nazi. Ce jour-là, 27 patriotes étaient fusillés à la carrière de Châteaubriant, 27 martyrs.

Ce fut un coup de tonnerre qui allait précipiter le développement de la Résistance. Eux, ces militants communistes, syndicalistes, ces  ouvriers, ces  étudiants sont morts pour libérer la France et, comme le disait Gabriel Péri, « pour assurer à tous des lendemains qui chantent ». Rendons hommage aussi à ceux qui ont été parmi les premiers évadés des camps et qui ont repris la lutte, plus déterminés que jamais à porter les mots des copains assassinés, « soyez dignes de nous ».

On peut citer notamment Eugène Henaff, Léon  Mauvais, Gaudin de Nantes, ou encore Rino Scolari, Maurice Niles et Fernand Grenier.

Ce dernier sera envoyé à Londres pour rencontrer le Général de Gaulle et participera à mettre en place le Conseil National de la Résistance après la guerre. À la Libération, j’ai repensé aux dernières paroles de Jean Poulmarc’h, « l’heure n’est plus aux pleurnicheries, à la passivité, l’heure est à la lutte impitoyable pour la libération de la France ». Si certains s’étaient bougés avant, peut-être que les copains ne seraient pas morts.

Faire connaître ces mots qui résonnent encore dans ma mémoire, comme ceux de Jean-Pierre Timbaud qui dit : « Toute ma vie, j’ai combattu pour une humanité meilleure et j’espère que ma mort aura servi à quelque chose. » La Paix est un bien fragile. Hier, il a fallu la conquérir avec le sang des copains, aujourd’hui, il faut encore la consolider, quand on voit qu’il « est encore fécond le ventre d’où est sorti la bête immonde ». Et demain, il faudra encore défendre cette Paix, mais à quel prix ? Il faut donc continuer à lutter pour que ces hommes, ces résistants célèbres ou anonymes, ne soient pas morts pour rien. 

Odette Niles, Présidente de l’Amicale ancienne internée du camp de Châteaubriant Chevalier de la Légion d’Honneur

Châteaubriant 

Les otages

En raison de la personnalité des internés qui se sont évadés en juin 1941 (F. GRENIER, E. HENAFF, L. MAUVAIS, H. RAYNAUD, R. SEMAT) et en novembre 1941 (A. DELAUNE, H. GAUTHIER, P. GAUDIN) les autorités allemandes exercent un contrôle régulier dans le camp. Elles imposent un couvre-feu et l’interdiction de sortir des baraques après 20h 30. (Les WC extérieurs sont interdits)

Le 23 septembre 1941, dix-huit responsables politiques et syndicaux sont parqués dans la baraque 19 du camp P4, avec interdiction de sortir du l’îlot. Quatre autres internés arrivent le lendemain.

Puis le 23 novembre 1941, neuf autres internés seront amenés à la baraque 19.

Les fusillés du 22 octobre 1941

Le lundi 20 octobre 1941, à 7 h 30, un groupe de jeunes résistants abattent en pleine rue du Roi Albert, à Nantes le lieutenant colonel HOTZ, commandant de la place.

Immédiatement, HITLER et le général STUELPNAGEL (commandant des forces allemandes en France) ordonnent des représailles. Les internés sont dès la matinée du 20, consignés dans le camp.

Au début de l’après-midi du 20 octobre, la décision est prise par HITLER et STUELPNAGEL de fusiller 50 otages. STUELPNAGEL le communique le matin du 21 octobre à la direction du camp et indique que 50 autres otages seront fusillés si dans un délai de 8 jours les auteurs de l’attentat ne sont pas arrêtés. Des affiches sont placardées jusqu’à Paris.

Les allemands offrent 15 millions à ceux qui pourraient donner des renseignements sur les terroristes.

Bien qu’au moment de ces décisions, la piste communiste (à propos des auteurs de l’attentat) n’ait pas été trouvée, le préfet PUCHEU avait conseillé aux autorités allemandes de prendre de préférence les otages dans le camp de Choisel. Il avait préparé une liste de 61 noms de communistes « particulièrement dangereux ». Un certain CHASSAGNE (ancien communiste) l’avait aidé pour cette liste, en désignant des militants communistes et syndicalistes de haut niveau, qu’il connaissait dans le camp.

Le mardi 21 octobre 1941, la garde du camp est relevée par les allemands. Grande effervescence.
Certains responsables ont eu connaissance de l’attentat de Nantes, et toutes les suppositions pour ses conséquences sont évoquées.

Un gendarme avertit Charles Michels que les responsables politiques vont être fusillés. J.P. TIMBAUD, C. MICHELS rencontrent Odette NILES et Andrée VERMEERSHCH à l’infirmerie. TIMBAUD leur dit : « Si je meurs, je voudrais des œillets rouges » et MICHELS, en les embrassant dit qu’ « elles lui font penser à ses filles ».

Dans la nuit du 21 au 22 octobre, tous les responsables des baraques se réunissent. Chacun donne son opinion. Il est question d’un soulèvement des internés Cet avis n’est pas retenu, une mitraillette étant placée au milieu du camp par les allemands, qui s’en serviraient sans hésitation. Ce serait un véritable carnage. Il est décidé de chanter la Marseillaise au moment du départ des otages.

Le 22 octobre à midi, toutes les baraques sont consignées avec un gendarme devant chaque porte. Le fusil mitrailleur est placé devant la baraque 6.

Mercredi 22 à midi, baraque 19 à 13h30. Les gendarmes arrivent en ordre vers la baraque et l’adjudant poste ses hommes à l’intérieur du camp P2, tout le long des barbelés.

A ce moment les allemands arrivent suivis par le lieutenant TOUYA. Les cœurs se serrent mais aucun des 22 présents n’a peur.

Le lieutenant TOUYA prononce ces mots :

« Salut, messieurs, préparez-vous à sortir à l’appel de votre nom. » 16 noms sont prononcés. 11 internés seront encore appelés dans différentes baraques, dont Guy MOQUET, à la baraque 10 et GARDETTE, malade à l’infirmerie, le dernier. Tous sont dirigés vers le camp P2, baraque 6.

La baraque 6

La baraque 6 : chaque otage reçoit alors une feuille de papier et une enveloppe pour la dernière lettre à sa famille. L’abbé MOYON, mandé par les autorités arrive dans la baraque, le curé de Châteaubriant n’ayant pas voulu venir au camp. Aucun condamné n’accepte le ministère de l’abbé, mais celui-ci prend la correspondance et les objets destinés aux familles. Eugène KERIVEL est autorisé à faire ses adieux à sa femme, internée comme lui dans le camp.

L’abbé MOYON sortira quelques minutes avant les otages. Les allemands lui interdirent de les accompagner sur le lieu du supplice.

Sur les planches de la baraque 6, les condamnés ont inscrit leur dernière pensée concernant l’idéal pour lequel ils ont lutté.

A 15 h 15 les camions sont arrivés pour le transport des 27 otages. Dès leur départ ceux-ci chantent la Marseillaise. A ce moment tous les internés forcent les portes de leurs baraques, et dans un élan unanime ils se rassemblent et chantent une vibrante Marseillaise, en réponse à celle de leurs camarades qui vont être fusillés, « La Marseillaise, reprise, si scandée, jaillissante. Ah ! Ce n’est pas la Marseillaise des psalmodies officielles. C’est à nouveau la Marseillaise des combats, de la bravoure, de l’héroïsme, des victoires, la Marseillaise vengeresse de 93 et des grands jours de l’histoire nationale. »

Les internés sont avisés que leurs compagnons seront fusillés par 9 en trois fois, à 15 h 45, à 16, et à 16 h 15.

La dernière salve est entendue au camp. Un silence absolu règne. Tous les internés pensent à leurs compagnons qu’ils côtoyaient chaque jour et qu’ils ne reverront plus. L’appel aux morts est prononcé par Henri GAUTIER. A chaque nom, un autre interné répond « fusillé »

Le lieu de cette tragédie fut une carrière de sable aménagée spécialement à 2 km du camp. Le long de la paroi nord, devant un rideau d’ajoncs et de genêts, 9 poteaux furent plantés de 5m en 5m.

A 12 mètres devant, un officier s’appuyait le long d’un arbre pour commander un peloton d’exécution de 90 hommes.

Les condamnés avaient refusé d’avoir les yeux bandés et les mains attachées, ils chantèrent jusqu’au bout la Marseillaise. C’est la dernière salve qui interrompit le dernier chant.

Des lambeaux de chair furent projetés dans les herbages. On retrouva plus tard les lunettes du professeur GUEGUEN, maire de Concarneau. Les corps furent entassés dans les camions et les dépouilles jetées à gauche de l’escalier d’honneur de l’ancienne salle des gardes du château de Françoise de Foix à Châteaubriant. Chacun, en suivant les traces du sang qui s’échappait des camions pouvait connaître leur parcours.

Les premiers échos de Châteaubriant arrivèrent rapidement au camp. Les otages avaient traversé la ville sans cesser de chanter la Marseillaise. Les habitants sur leur passage se découvraient respectueusement. Dès le lendemain, les Castelbriantais voulurent se recueillir et déposer des fleurs au pied des poteaux. Une première manifestation importante eut lieu le dimanche suivant.

Pour les allemands le nombre des otages n’étant pas respecté, 21 otages sur les 23 qui manquaient encore furent pris à Nantes, dont 16 furent fusillés au champ de tir du Bêle et 5 au Mont Valérien. Parmi ces otages de Nantes, il y avait peu de communistes, mais beaucoup d’anciens combattants.

Pendant cette tragique journée, les femmes ont suivi minute par minute le déroulement des événements. En effet l’emplacement de leur baraque permettait de voir tout le camp P2. Viviane DUBRAY, était montée sur une table, voyait par l’imposte tout ce qui se déroulait, en rendait compte aux autres. Le lendemain elle écrivit un poème, cité plus loin.

Après le 22 octobre, l’angoisse persiste. Les internés restés à la baraque 19 sont persuadés qu’ils sont en sursis. Malheureusement, tout se précisera en décembre 1941.

Fusillés de Châteaubriant - 22 octobre 1941

AUFFRET Jules, 39 ans
BARTHELEMY Henri, 58 ans
BARTOLI Titus, 58 ans
BASTARD Maximilien, 21 ans
BOURHIS Marc, 44 ans
DAVID Emile, 19 ans
DELAVACQUERIE Charles, 19 ans
GARDETTE Maurice, 49 ans
GRANDEL Jean, 50 ans
GRANET Désiré, 37 ans
GUEGUIN Pierre, 45 ans
HOUYNK KUONG, 29 ans
KERIVEL Eugène, 50 ans
LAFORGE Raymond, 43 ans
LALET Claude, 21 ans
LEFEVRE Edmond, 38 ans
LE PANSE Julien, 34 ans
MICHELS Charles, 38 ans
MOQUET Guy, 17 ans
PESQUE Antoine, 55 ans
POULMARC’H Jean, 31 ans
POURCHASSE Henri, 34 ans
RENNELLE Victor, 53 ans
TELLIER Raymond, 44 ans
TENINE Maurice, 34 ans
TIMBAUD Pierre, 31 ans
VERCRUYSSE Jules, 48 ans


Les derniers moments des 27 otages avec l’abbé Moyon

dimanche 23 octobre 2016: 75 ème anniversaire de l'exécution des otages de Chateaubriant, livrés aux nazis par Vichy, en présence de Pierre Laurent (PCF), Camille Lainé (Mouvement des Jeunes Communistes), Philippe Martinez (CGT): départs en bus de Morlaix, Brest, Saint Brieuc
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17 octobre 2016 1 17 /10 /octobre /2016 15:09
Jeudi 3 novembre, 18h au cinéma Le Studio à Brest: ciné-débat autour du film documentaire "¨Passeurs de l'ombre" sur le réseau Shelburne qui faisait évacuer les aviateurs alliés tombés en France vers l'Angleterre
« Passeurs de l’ombre »

Film de Rolland Savidan et Roger Huguen

Jeudi 3 novembre 2016 à 18 heures Cinéma Les Studios - 136, rue Jean Jaurès

Dans le cadre du mois du film documentaire. De janvier à Août 1944, des navires anglais ont établi des liaisons maritimes entre le port de Dartmouth, au Sud de L’Angleterre et les falaises de Plouha, sur la côte Ouest de la Baie de St-Brieuc. Le réseau « Shelburne » avait pour mission de faire évacuer par mer les aviateurs alliés tombés sur le sol français. Passeurs de l’ombre retrace l’aventure de ces «héros» et met des noms et des visages sur des personnages dont l’histoire n’avait retenu que silhouettes et pseudonymes... Projection et débat avec la participation de Christian Bougeard, professeur d’histoire émérite à l’UBO

Entrée gratuite dans la limite des places disponibles

Renseignements : 02 98 22 05 39

l'historien Christian Bougeard, spécialiste de la résistance en Bretagne

l'historien Christian Bougeard, spécialiste de la résistance en Bretagne

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17 octobre 2016 1 17 /10 /octobre /2016 07:16

Le Ouest-France publie aujourd'hui un résumé en page départementale de la conférence de presse de la section PCF de Morlaix vendredi dernier. Un article local devrait suivre. 

PCF : « Rassembler l'alternative à gauche »

Pour la présidentielles comme pour les législatives, le PCF a une stratégie : « Nous voulons rassembler et avoir un programme avant de discuter pour savoir quel candidat y va », explique Ismaël Dupont, secrétaire départemental du PCF du Finistère. « Nous voulons un député, pas forcément communiste, mais qui ne votera pas les lois de régression sociale et écologique ». Le PCF a lancé une enquête « Ce que demande le peuple ? ». « Sept priorités ont émergé, qui seront la base du projet politique .». Un courrier pour le rassemblement a été adressé* aux sections d'EELV, De France Insoumise, du PG, du PCF, d'Ensemble ! et de Nouvelle Donne. « Pour l'instant, nous avons reçu la réponse positive d'EELV** Nous avons des combats communs : contre la centrale à gaz de Landivisiau, pour une agriculture plus respectueuse de l'environnement, contre l'extraction du sable coquillier de la baie de Morlaix*** ou encore Notre-Dame-des-Landes »

* Dans la circonscription de Morlaix, par l'association Front de Gauche Pays de Morlaix (PCF, Ensemble, citoyens engagés), ce qui n'est pas précisé dans l'entrefilet en page départementale

** Proposition positive pour une rencontre afin d'envisager la possibilité d'une candidature commune aux législatives dans la circonscription de Morlaix.

*** en réalité de Lannion

 

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16 octobre 2016 7 16 /10 /octobre /2016 20:43
Un déploiement des compteurs Linky qui pose de sérieuses questions et suscite des oppositions fondées

Il faut savoir que les compteurs électriques sont la propriété des collectivités locales.  Ils ne sont en droit seulement que concédés par les collectivités locales à EDF pour leur gestion. Les municipalités ont donc leur mot à dire sur ces installations décidées à la sauvage d'en haut sans débat préalable avec les usagers et imposées aux citoyens qui les contestent de plus en plus au plan national. (cf. les décisions jointes de  deux communes à direction communistes, Bagnolet et Fontenay-sous-Bois qui ont déjà délibéré avec beaucoup d'autres comme la Ville de DOUARNENEZ pour  refuser sur leur territoire leur installation. 

La mise en place des compteurs Linky s'insère dans une logique de dérégulation de l'approvisionnement en électricité et de privatisation.

C'est pourquoi la CGT  Indecosa des consommateurs est très critique vis-à-vis du projet de généralisation sur le territoire des compteurs Linky comme en témoigne le début d'un tract de la CGT Indecosa daté de mars 2016  :  

" Ce compteur électrique communicant Linky est présenté aux consommateurs comme l'outil du « mix énergétique », de la maîtrise d’énergie, ambition politique affichée par le gouvernement français, notamment lors de la COP21. La généralisation de ce compteur est inscrite dans la Loi de Transition Energétique du 17 août 2015, transcription d’une directive de Bruxelles de 2009. 300 millions sont déjà posés dans le monde. C’est une décision politique, imposée à tous, usagers et élus, sans concertation. Elle vise d’ici 2050 à diviser par deux la consommation d’énergie primaire, grâce à des actions « ambitieuses » d’efficacité sur toutes les sources d’énergie.

Mais ce compteur communicant apparaît en fait surtout intéressant pour la gestion locale du réseau et pour l’intégration des énergies renouvelables décentralisées, au détriment de la cohérence nationale et de l’égalité de traitement sur tout le territoire. Il est l’outil d’un objectif idéologique au service du marché concurrentiel.

INDECOSA-CGT a pour mission d’informer et de défendre les consommateurs, de la façon la plus « dépassionnée » possible, en les protégeant de toute instrumentalisation par des lobbies politico-économiques. Pour notre association, Linky pose de vrais enjeux pour les usagers : 

- ENJEUX FINANCIERS 

- ENJEUX DE SANTE 

- PROTECTION DES DONNEES PERSONNELLES

Mais il répond à quels intérêts ?

 ENJEUX FINANCIERS

• ce déploiement au coût exhorbitant de 5 Mds se réalise au détriment d’investissements de développement, d’entretien et d’enfouissement de réseaux parfois défaillants, de services dus aux usagers. Il envoie en recyclage 35 millions de compteurs électriques en bon état.

• des économies d’énergie ne seront avérées que par un changement de comportement des abonnés « eau chaude et chauffage électriques ». Il est essentiel. Le compteur n’est qu’un outil de mesure, pas un moyen ! L’Allemagne a choisi de ne pas le mettre en place pour les contrats entre 3 et 6 kVA, les usagers n'y trouvant aucun bénéfice réel.

• la Commission de Régulation de l’Energie assure que « Les consommateurs ne paieront rien lorsque le gestionnaire de réseau changera leur compteur pour le remplacer par un compteur évolué Linky ».

A l’installation, ne signez rien, ne payez rien ! Les coûts seront récupérés par les gains de productivité et la destruction d’emplois des sous-traitants de relève, puis de pose, dès 2021, et de 6 000 emplois de techniciens ERDF, 80% de l’activité de cette unité. S’il y a un surcoût, la CRE le répercutera sur le tarif réglementé. Pour INDECOSA-CGT, le choix du compteur Linky n’était pas une priorité. Ce déploiement généralisé imposé par le gouvernement devrait être financé, non pas à la seule charge des concessionnaires et donc d'ERDF, mais de façon partagée par l'ensemble des fournisseurs d'électricité (Lampiris, direct energie, alterna, enercoop, eDF, eNGIe…) qui vont « marchandiser » de nouveaux services. " 

Les opposants aux compteurs Linky mettent en avant plusieurs arguments qui sont résumé dans un tract de la section PCF de Meaux. 

Linky pose des problèmes de: 

" - Santé: sensibilité aux radiofréquences (l'appareil envoie en permanence des informations par courant porteur en ligne et rayonne dans toutes les pièces de maison)

- Confidentialité des données: le président d'ERDF a déclaré être un "opérateur de Big Data". La LDH a demandé le 19 avril 2016 un moratoire sur le déploiement de Linky.   

- Continuité d'approvisionnement en cas de piratage informatique

- Coupure à distance et réduction de puissance sans contact humain préalable

- augmentation du tarif sous prétexte d'offre personnalisée

Ces compteurs n'apportent aucun avantage aux consommateurs. 

L'Allemagne et la Belgique l'ont déjà refusé!

Pourquoi pas la France?

Cette évolution à marche forcée est une gabegie écologique (des millions de compteurs fonctionnels détruits), financière (35 millions de compteurs à 140€, soit 5 milliards d'euros), et sociale puisque des milliers d'emplois seront à terme détruits. Les compteurs doivent de plus être remplacés après 10 ans.

Linky a déjà provoqué l'augmentation de nos factures: il est financé par la taxe CTA (Contribution tarifaire d'acheminement) qui finance 50% du budget d'ERDF.

Linky mesure l'énergie apparente (correction du déphasage), soit 10 à 20% en plus pour les appareils électriques avec moteurs; réfrégirateurs, aspirateur, lave-linge, lave-vaisselle, robots ménagers. 

Il semblerait de plus que Linky puisse provoquer des pannes et des incendies".

268 communes ont déjà refusé le déploiement des compteurs Linky.   

     
 

 

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16 octobre 2016 7 16 /10 /octobre /2016 16:48

Depuis l'été, moi-même, secrétaire départemental du PCF Finistère, et plusieurs représentants de la fédération (Erwan Rivoalan, Dominique Gontier, Xavier Perchec, Jean-Paul Cam, Roger Héré, Jacqueline Héré, Claude Bellec) ont rencontré plusieurs organisations finistériennes pour discuter des suites politiques et sociales à donner à la bataille contre la loi Travail et des possibilités de construire une alternative de gauche à vocation majorité, sur la base du refus des politiques libérales et pro-capitalistes, d'un socle de valeurs humanistes et démocratiques partagé, au scénario catastrophe d'une prise de pouvoir par une droite radicalisée et/ou l'extrême-droite. 

Plusieurs organisations ont déjà répondu favorablement à nos demandes de rencontre formulées dans notre adresse aux forces sociales, politiques, associatives du Finistère: 

- l'UDB pour une rencontre fin juillet à Quimper: tout en ayant beaucoup de points de convergence avec nous sur l'appréciation de la situation nationale et des enjeux régionaux et départementaux pour le développement des territoires et la population, l'UDB ne souhaite pas envisager de candidatures communes avec le PCF ou d'autres forces de gauche "hexagonales" aux législatives, privilégiant l'alliance avec le mouvement de Christian Troadec que le Parti régionaliste soutient aux élections législatives. 

- le Parti de Gauche début septembre à Brest: échange très courtois qui a laissé apparaître un certain nombre de points d'accord sur la situation politique mais le Parti de Gauche s'est réservé pour la construction de candidatures communes aux législatives avec le PCF en disant que la configuration adoptée par le PCF aux Présidentielles serait déterminante, et en disant qu'on ne pouvait rien décider avant le 5 novembre, et la conférence nationale du PCF portant sur le choix des configurations possibles aux présidentielles. Nous leur avons redit notre attachement à voir notre gauche unie aux présidentielles, à des rassemblements plus larges que les Forces du Front de Gauche incluant les écologistes d'EELV, les collectifs citoyens et associatifs, pour proposer une issue donnant un espoir dans notre situation politique très compliquée. 

- Nous avons rencontré Brest Nouvelle Citoyenneté à Brest à la mi septembre qui partage l'essentiel de nos analyses sur la situation politique et sociale et aussi l'ambition de proposer des candidatures unitaires avec nous dans les circonscriptions de Brest où le collectif est implanté.

- Nous avons rencontré Ensemble (Ensemble pour une alternative sociale et écologique, membre du Front de Gauche) fin septembre et nous avons décidé ensemble d'aider à relancer la coordination départementale du Front de Gauche. Les camarades d'Ensemble sont traversés à peu près des mêmes débats que les camarades du PCF sur la manière de se situer par rapport à la candidature auto-proclamée de Mélenchon et à France Insoumise. Ils sont partagés sur les Présidentielles mais décideront bientôt nationalement de leur stratégie. Pour les Législatives, ils souhaitent des constructions très ouvertes, offrant les conditions d'un rassemblement le plus large possible de citoyens et des forces de la gauche anti-libérale et écologiste, ce qui est aussi notre point de vue, dans la cohérence de nos orientations nationales. 

 - Nous avons rencontré Solidaires à Brest mi-octobre, la semaine dernière et nous avons échangé sur notre analyse de la séquence du mouvement social contre la loi travail, sur la nécessité de démarches unitaires contre les lois de régression sociale et démocratique, contre la criminalisation du mouvement social, les idées dangereuses de l'extrême-droite, et pour le droit d'asile. Une discussion riche qui a permis de faire apparaître de nombreux points de convergences. 

Nous allons maintenant relancer nos demandes de rencontre: avec EELV avec qui nous souhaitons présenter un maximum de candidatures communes aux élections législatives sur la base d'accords programmatiques et quand les conditions sont réunies, avec d'autres mouvements de gauche de rupture, des socialistes frondeurs, avec le NPA, Nouvelle Donne.

Mais aussi avec des représentants syndicaux et associatifs. 

De leurs côtés, les sections du PCF dans plusieurs endroits du département (VIe Circonscription, Cap Sizun, circonscription de Morlaix notamment) ont déjà lancé aussi des appels à la construction de réponses unitaires ouvertes aux citoyens non engagés dans les partis politiques à la hauteur de la gravité de la situation politique et sociale et de ces périls, pour les Présidentielles aussi bien que pour les Législatives.   

Ce processus de construction unitaire ayant pour mettre mot le rassemblement autour de l'essentiel dans un contexte de mise en danger extrême de nos conquêtes sociales et démocratiques, de notre République, et de nécessiter de trouver une réponse collective de gauche à la faillite du social-libéralisme autoritaire qui a gouverné le pays pour les intérêts du monde de la finance et du patronat pendant cinq ans. 

Ismaël Dupont 

***

Adresse de la Fédération du Parti Communiste Français du Finistère aux forces de gauche, aux forces syndicales et associatives.  

Le 8 juillet 2016,

Adresse du Parti Communiste du Finistère aux forces politiques, syndicales, associatives de transformation sociale et écologique du Finistère.

A Europe Ecologie les Verts, au NPA, à Nouvelle Donne, à l'UDB, aux socialistes de gauche hostiles à la politique du gouvernement Hollande-Valls

A Ensemble, au Parti de Gauche, aux Collectifs Front de Gauche du Centre Finistère, du Pays Bigouden et du Pays de Morlaix

à « Brest Nouvelle Citoyenneté » et à « l'Autre Gauche de Plouzané », à « l'Alliance Citoyenne de Douarnenez », à « La gauche naturellement » à Fouesnant, à l'association « A Bâbord toute » de Concarneau, à « La coopérative citoyenne » à Morlaix, au "Forum civique" de Plougastel

Au Collectif Anti-TAFTA 29, à ATTAC

A la CGT, à Sud Solidaires, à FO, à la FSU, à l'UNEF, à la FIDL, à la JOC

Face à l'urgence des crises sociale, écologique et démocratique, la brutalité du libéralisme, la menace du retour au pouvoir d'une droite dure et le danger de la montée de l'extrême-droite, il est nécessaire de se rassembler pour construire un espoir, une perspective d'émancipation pour notre pays.

Nous vivons un moment inédit de régression sociale : 100 000 personnes de plus sont passées sous le seuil de pauvreté depuis 2012, le chômage et la précarité des salarié-e-s ne cessent d'augmenter, les services publics, la protection sociale et le droit du travail sont remis en cause et dégradés à une vitesse inquiétante.

Trahissant le Mandat Populaire, François Hollande et ses gouvernements se sont soumis aux directives libérales et aux politiques d'austérité préconisées par la Commission Européenne. Ils ont fait le choix idéologique de la domination du capitalisme financier.

La situation politique est complexe. Malgré un mouvement social d'une grande vigueur depuis quatre mois contre le projet de loi El Khomri, qui aggraverait encore la situation des salarié-e-s et précaires et amplifierait le chômage, les échéances importantes de 2017 se préparent dans l'émiettement à gauche.

Beaucoup de nos concitoyens n'iront pas voter si la situation en reste là.

D'autres voteront pour des candidats qui accentueront les inégalités, la concurrence de tous contre tous, la défiance sociale, confessionnelle ou ethnique, le recroquevillement nationaliste et le non respect des objectifs affichés par la COP 21.

Le pire est possible : une gauche progressiste divisée et affaiblie quasiment éliminée des instances de représentation nationale.

Les communistes ne se résignent pas à ce scénario et essaient de changer le rapport de forces. Elles et ils appellent à un large rassemblement de gauche sur des bases claires, en rupture nette avec les politiques économique, sociale, d'immigration, étrangère, menées depuis 2012 et sous Sarkozy.

En essayant d'impliquer les citoyennes et citoyens qui veulent d'une autre politique, qu'ils soient ou pas engagés dans un parti ou un syndicat, elles et ils font remplir une grande consultation citoyenne, les 500 000 questionnaires « Que demande le peuple ? » pour construire un contenu de projet politique pour les échéances de 2017 avec les citoyens, au plus près de leurs attentes et de leurs besoins, et essayer de rendre incontournable un mandat populaire.

C'est une autre façon de faire de la politique, privilégiant le débat d'idées qui rassemble face à la personnalisation politicienne en vague dans les grands médias qui divise et détourne des vrais problèmes.

Nous souhaitons élaborer avec vous un pacte d'engagements validé par une large base citoyenne.

Ce travail de défrichage politique commun peut créer une dynamique qui déjoue les sombres pronostics annoncés.

Pour cela, nous aimerions échanger avec vous pour poser les bases d'une alternative politique et sociale à gauche et vous rencontrer dès que possible pour créer les conditions pour mettre en œuvre ce projet dans tout le département à travers les huit circonscriptions du Finistère.

Nous vous recontacterons très rapidement à ce sujet.

Salutations militantes.

Pour le Parti Communiste du Finistère

le secrétaire départemental,

Ismaël Dupont

  

           

Résultats Grande Consultation Citoyenne "Que demande le peuple?"

Résultats Grande Consultation Citoyenne "Que demande le peuple?"

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16 octobre 2016 7 16 /10 /octobre /2016 11:50
Degemer mat... refugiés en Bretagne

A Quimper, Tregunc, Trebeurden, les partisans d'une Bretagne ouverte et solidaire, accueillante aux réfugiés, étaient 5 à 6 fois plus nombreux que les sympathisants FN: non, les idées xénophobes ne triompheront pas en Bretagne, nous avons des devoirs d'humanité vis à vis des demandeurs d'asile, en Bretagne comme ailleurs! 

Un très beau dessin qui illustre ce beau combat humaniste!    

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