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24 octobre 2020 6 24 /10 /octobre /2020 16:44
Christian Lasson, photo Le Télégramme, 16 octobre 2019

Christian Lasson, photo Le Télégramme, 16 octobre 2019

Hommage des camarades communistes à Christian LASSON

Discours lu par Philippe Moreau pour la section PCF du Pays Bigouden à la cérémonie d'obsèques de Christian Lasson

C'est avec beaucoup d'émotion que les communistes du Pays Bigouden s’associent aux camarades de Saint-Dizier et de la Haute-Marne pour rendre hommage à Christian et présenter nos plus sincères et fraternelles condoléances à Véronique son épouse, à ses enfants Pierre-Damien et Sally-Ann, à ses petits enfants Alex et Benjamin, à toute sa famille. Nos condoléances vont aussi aux familles de sa belle sœur et de son conjoint disparus tragiquement en même temps que Christian.

Christian a rejoint notre section du parti communiste il y a seulement trois ans mais les camarades bigoudens ont eut le temps d'apprécier l'homme de conviction, le cœur sur la main, toujours battant pour la cause humaine en faveur des plus démunis.

Les camarades de Saint-Dizier et de la Haute-Marne, qui pendant plusieurs années ont partagé avec Christian un nombre impressionnant de combats nous ont fait parvenir un texte chaleureux que je vais m'efforcer de résumer au mieux.

Pour beaucoup de camarades Christian était une référence, un modèle, son engagement au service des autres était guidé par son souci permanent de combattre l'injustice, de lutter sans relâche, souvent au détriment de sa vie de famille, pour la dignité de l'être humain.

Homme de combat, mais aussi de dialogue, il n'avait de cesse de tout mettre en œuvre pour rassembler, unir les salariés contre les mauvais coups. Deux exemples où il a joué un rôle primordial et qui ont marqué les mémoires à Saint-Dizier ; la lutte des 287 cheminots dont certains postes devaient être supprimés et l'occupation de l'usine des Pigeat-Hazard menacée de fermeture. Tant d'autres luttes aussi ont jalonné sa vie, il faudrait des heures pour en parler, gagnées ou perdues peu importe Christian est toujours allé au bout de ses engagements et de la parole donnée.

A la CGT, son militantisme lui a valu de très hautes responsabilités du local jusqu'au national.

Puis il y a son engagement politique au Parti Communiste. Alors qu'il se sentait depuis longtemps "communiste de cœur", c'est au 1er Mai 1988 qu'il décide de prendre sa carte.

Cette adhésion il l'a très bien exprimé l'année dernière à un journaliste du "Télégramme" qui l'interrogeait lorsqu'il a succédé à son ami et camarade Alain BONNET à la tête du Secours Populaire de Pont l'Abbé; "mon choix est politique, quand on connaît l’histoire du Secours populaire, qui l’a fondé, à savoir le parti communiste, les valeurs d’entraide et de solidarité qu’il véhicule... ça en dit long sur les idées du bonhomme" avait-il dit en souriant.

Au sein du Parti, il poursuit son combat pour une société plus juste où la loi du fric n'écraserait plus l'Être Humain et c'est en 1983 qu'il entre au Conseil Municipal de Saint-Dizier avec le maire communiste Marius CARTIER

Durant ses trois mandats (de 1983 à 2001) ses nombreuses interventions au Conseil Municipal reflétaient la vie des plus humbles, des chômeurs, des ouvriers, du monde du travail, il était leur avocat. Il s'est également grandement investi à l'organisation du Festival de la Jeunesse en faisant partie de l'équipe qui concoctait les programmes.

Christian croyait en la jeunesse, en sa capacité à changer le monde. Sans doute cela lui venait de son expérience aux « colonies de vacances » SNCF qu'il a animées, puis dirigées avec tant de réussite.

Christian fait parti de ces gens dont c'est un vrai bonheur de les croiser et c'est un crève-cœur pour nous les communistes du Pays Bigouden de l'avoir perdu si tôt d'autant que, comme il n'était pas de nature à s'étaler sur son passé, nous découvrons aujourd'hui à l'appui des témoignages des camarades de Saint-Dizier quel sacré combattant il était vraiment.

Christian, les communistes de la Haute-Marne et du Pays Bigouden te dédient ces paroles d'une chanson de Jean Ferrat, persuadés que tu les entendras ;

« Tu aurais pu vivre encore un peu pour notre bonheur, notre lumière avec ton sourire avec tes yeux clairs ton esprit ouvert, ton air généreux »...

Nous rendons hommage à notre camarade victime avec deux autres personnes de ce drame de la mer qui s’est joué mercredi 14 octobre près de Saint-Guénolé. Christian Lasson était arrivé dans le pays bigouden depuis 3 ans et s'était tout naturellement rapproché de la section PCF du pays bigouden dont il était membre du comité de section.
Il vivait auparavant en Haute-Marne et avait été élu communiste à Saint-Dizier pendant trois mandats (1983-1989, 1989-1995, 1995-2001).
Nous avons aujourd'hui une pensée forte pour lui bien sûr, parti bien trop tôt, et pour ses amis, sa femme, son fils, ses proches et ses camarades de Haute-Marne et du Pays Bigouden.
Un hommage de la CGT, du secours populaire et du PCF lui sera rendu dans les jours à venir à Penmarc'h, comme nous en a informé André Le Roux, secrétaire de section du PCF Pays Bigouden. 
 
Article du Télégramme, Publié le 16 octobre 2020.
 
La famille du Secours populaire de Pont-l’Abbé a perdu l’un des siens
"La grande famille du secours populaire est en deuil après la disparition de Christian Lasson, 62 ans, lors d’un tragique accident de mer, mercredi soir, à l’entrée du port de Saint-Guénolé à Penmarc’h. Après trois ans passés en tant que bénévole au sein de l’association, il avait pris la présidence du comité de Pont-l’Abbé à la suite d’Alain Bonnet, il y a un an. Originaire de Champagne, il a fait toute sa carrière à la SNCF, et a mené des activités syndicales en siégeant au sein du CCE (Comité d’entreprise européen) de la SNCF. Son parcours professionnel l’avait par ailleurs amené à occuper plusieurs fonctions. Il avait eu notamment la responsabilité de 52 colonies d’enfants sur le territoire français, plus les séjours à l’étranger, ainsi que le service des livres et les bibliothèques. Il avait été aussi longtemps directeur de colo, et c’est comme ça qu’il avait découvert la Bretagne. À 54 ans, en prévision de la retraite, il avait passé un diplôme de Gestionnaire d’entreprise en économie sociale, ce qui l’avait conduit tout naturellement à prendre en main la gestion du Secours populaire. Son objectif, en prenant les rênes du comité, un des quatre comités les plus importants du département, avec Brest, Quimper et Châteaulin, était de l’ouvrir davantage aux jeunes, de les inciter à prendre plus de place et de responsabilités dans l’organisation."

Voici une interview que Christian Lasson donnait au Télégramme en 2019 en tant que responsable local du Secours Populaire:

Publié le 16 octobre 2019 - Le Télégramme
Secours populaire. Christian Lasson : « C’est une grosse machine collective »

Christian Lasson, bénévole depuis trois ans, est le nouveau président du comité local du Secours populaire. Le biker au grand cœur revient sur les motivations de son engagement.

Annoncé lors de la dernière assemblée générale, le départ d’Alain Bonnet, président du comité de Pont-l’Abbé pendant huit ans, est effectif depuis la rentrée. Et comme prévu, c’est son ami Christian Lasson, bénévole depuis trois ans, qui est désormais aux manettes. Vous l’avez peut-être croisé sur les routes au guidon de sa Kawasaki 1400 GTR, ou au large de Saint-Guénolé, à la manœuvre sur son Pen Sardin. Ou bien, sûrement, lors d’une braderie ou d’une collecte alimentaire du Secours populaire. Bonnet vissé sur le crâne et barbe de biker, Christian Lasson ne passe pas inaperçu. Sa gentillesse et son discours engagé non plus.

Quel a été votre parcours avant le Secours populaire ?

Je viens de Champagne où j’ai fait toute ma carrière à la SNCF. C’est dans le cadre des activités syndicales que j’ai connu Alain Bonnet, puisque j’ai siégé comme lui au CCE (Comité d’entreprise européen) de la SNCF. J’ai eu la chance durant mon parcours professionnel d’occuper plusieurs fonctions. J’ai eu notamment la responsabilité des 52 colonies d’enfants sur le territoire français, plus les séjours à l’étranger, et le service des livres et bibliothèques. J’ai été aussi longtemps directeur de colo, et c’est comme ça que j’ai découvert la Bretagne. À 54 ans, en prévision de la retraite, j’ai passé un diplôme de Gestionnaire d’entreprise en économie sociale, ce qui me permet d’être à l’aise aujourd’hui dans la gestion du Secours populaire.

Le choix du Secours populaire était-il réfléchi ?

Absolument, c’est un choix politique. Quand on connaît l’histoire du Secours populaire, qui l’a fondé, à savoir le parti communiste, les valeurs d’entraide et de solidarité qu’il véhicule, ça en dit long sur les idées du bonhomme (rires). Cela dit, l’association est apolitique et personne ici ne revendique d’appartenance à un parti ou à un autre. Ce qui ne veut pas dire oublier ses origines, ses convictions et ne pas regarder ce qui se passe autour.


Quel regard portez-vous sur l’avenir du monde associatif ?

On est à une époque où on parle sans cesse de repousser l’âge du départ à la retraite. Or, en France, 80 % des associations sont dirigées par des retraités. Quand on leur pose la question sur les raisons de leur engagement associatif, ce sont des chiffres Insee, ils répondent « parce qu’on a le temps et qu’on est encore en bonne santé ».
Alors, si on prolonge de plus en plus l’âge de départ à la retraite, le temps, il y en aura moins. Quant à la santé, selon une étude qui vient de sortir, les hommes restent « en bonne santé » jusqu’à 63 ans, après, ça se gâte. Donc, ce genre de décisions politiques risque de poser problème au monde associatif, qui est une grande force chez nous.


Quels seront les grands axes de votre mandat ?

J’ai un mandat de deux ans et je m’inscris dans la continuité de ce qu’a accompli Alain Bonnet et son équipe. On va juste essayer d’apporter des améliorations ici ou là pour être encore plus efficaces dans notre aide aux personnes dans le besoin. Je dis « on », car le Secours populaire à Pont-l’Abbé, c’est une grosse machine collective qu’on ne peut pas diriger tout seul : on fait partie des quatre comités les plus importants du département, avec Brest, Quimper et Châteaulin. Et on aide 263 familles sur notre secteur, soit 565 personnes.


Quels sont vos projets ?

Mon objectif principal, c’est de « rajeunir » les troupes. Jeune, ça va de 18 à 50 ans, car actuellement la moyenne d’âge du bureau, c’est plus de 60 ans. Pour cela, il faut ouvrir davantage nos portes et inciter les jeunes à prendre plus de place et de responsabilités dans l’organisation. L’autre projet à plus court terme est sur le point d’être finalisé : il s’agit de proposer à nos bénéficiaires de participer aux sorties et activités de la MPT. L’accord va se faire en novembre, il ne reste plus qu’à écrire les modalités noir sur blanc. Un autre sujet me tient à cœur, c’est de mettre en place un projet culturel à destination des jeunes, en leur proposant des concerts, théâtres, expos et loisirs. Voilà pour les projets principaux. Mais il y a aussi le développement du « 15 », notre nouveau local qui fonctionne déjà très bien, et la recherche de partenariats avec les associations et les commerçants. On veut aussi trouver des producteurs locaux et développer le circuit court pour les produits frais. Et rencontrer les maires des différentes communes où on intervient, car nos besoins ont évolué, mais pas les aides.


Le Secours populaire se substitue-t-il aux institutions ou aux services publiques ?

On entend dire parfois qu’on fait le jeu des politiques, mais ce n’est pas vrai. Ce qu’on fait, personne d’autre ne le ferait si on n’était pas là. Ce n’est pas les politiques qu’on vise, ce sont les gens, on est là pour les aider, c’est ça qui compte pour nous et ça n’a pas de prix. Ce qui ne dédouane pas du tout les politiques de leur inaction. C’est important de le dire, même si ça ne plaît pas à tout le monde.

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23 octobre 2020 5 23 /10 /octobre /2020 08:32
Châteaubriant - 22 octobre 1941/ 18 octobre 2020: le reportage photo de Jean-Luc Le Calvez pour l'hommage aux 27 fusillés, otages communistes et cégétistes livrés par Vichy à la répression nazie
Châteaubriant - 22 octobre 1941/ 18 octobre 2020: le reportage photo de Jean-Luc Le Calvez pour l'hommage aux 27 fusillés, otages communistes et cégétistes livrés par Vichy à la répression nazie
Châteaubriant - 22 octobre 1941/ 18 octobre 2020: le reportage photo de Jean-Luc Le Calvez pour l'hommage aux 27 fusillés, otages communistes et cégétistes livrés par Vichy à la répression nazie
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Châteaubriant - 22 octobre 1941/ 18 octobre 2020: le reportage photo de Jean-Luc Le Calvez pour l'hommage aux 27 fusillés, otages communistes et cégétistes livrés par Vichy à la répression nazie
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Châteaubriant - 22 octobre 1941/ 18 octobre 2020: le reportage photo de Jean-Luc Le Calvez pour l'hommage aux 27 fusillés, otages communistes et cégétistes livrés par Vichy à la répression nazie
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Châteaubriant - 22 octobre 1941/ 18 octobre 2020: le reportage photo de Jean-Luc Le Calvez pour l'hommage aux 27 fusillés, otages communistes et cégétistes livrés par Vichy à la répression nazie
Châteaubriant - 22 octobre 1941/ 18 octobre 2020: le reportage photo de Jean-Luc Le Calvez pour l'hommage aux 27 fusillés, otages communistes et cégétistes livrés par Vichy à la répression nazie
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Châteaubriant - 22 octobre 1941/ 18 octobre 2020: le reportage photo de Jean-Luc Le Calvez pour l'hommage aux 27 fusillés, otages communistes et cégétistes livrés par Vichy à la répression nazie
Châteaubriant - 22 octobre 1941/ 18 octobre 2020: le reportage photo de Jean-Luc Le Calvez pour l'hommage aux 27 fusillés, otages communistes et cégétistes livrés par Vichy à la répression nazie
Châteaubriant - 22 octobre 1941/ 18 octobre 2020: le reportage photo de Jean-Luc Le Calvez pour l'hommage aux 27 fusillés, otages communistes et cégétistes livrés par Vichy à la répression nazie
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Châteaubriant - 22 octobre 1941/ 18 octobre 2020: le reportage photo de Jean-Luc Le Calvez pour l'hommage aux 27 fusillés, otages communistes et cégétistes livrés par Vichy à la répression nazie
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Châteaubriant - 22 octobre 1941/ 18 octobre 2020: le reportage photo de Jean-Luc Le Calvez pour l'hommage aux 27 fusillés, otages communistes et cégétistes livrés par Vichy à la répression nazie
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Châteaubriant - 22 octobre 1941/ 18 octobre 2020: le reportage photo de Jean-Luc Le Calvez pour l'hommage aux 27 fusillés, otages communistes et cégétistes livrés par Vichy à la répression nazie
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Châteaubriant - 22 octobre 1941/ 18 octobre 2020: le reportage photo de Jean-Luc Le Calvez pour l'hommage aux 27 fusillés, otages communistes et cégétistes livrés par Vichy à la répression nazie

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20 octobre 2020 2 20 /10 /octobre /2020 10:36
Châteaubriant - 18 octobre 2020 - hommage à nos camarades pour le 79e anniversaire des exécutions des 27 otages communistes de Châteaubriant à La Sablière
Châteaubriant - 18 octobre 2020 - hommage à nos camarades pour le 79e anniversaire des exécutions des 27 otages communistes de Châteaubriant à La Sablière
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Châteaubriant - 18 octobre 2020 - hommage à nos camarades pour le 79e anniversaire des exécutions des 27 otages communistes de Châteaubriant à La Sablière
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Châteaubriant - 18 octobre 2020 - hommage à nos camarades pour le 79e anniversaire des exécutions des 27 otages communistes de Châteaubriant à La Sablière
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Châteaubriant - 18 octobre 2020 - hommage à nos camarades pour le 79e anniversaire des exécutions des 27 otages communistes de Châteaubriant à La Sablière
Châteaubriant - 18 octobre 2020 - hommage à nos camarades pour le 79e anniversaire des exécutions des 27 otages communistes de Châteaubriant à La Sablière
Châteaubriant - 18 octobre 2020 - hommage à nos camarades pour le 79e anniversaire des exécutions des 27 otages communistes de Châteaubriant à La Sablière

Plusieurs camarades finistériens (Brest, Scaër, Morlaix, Plouigneau, St Thégonnec...) étaient à Châteaubriant ce dimanche 18 octobre, et parmi eux 5 camarades du PCF Morlaix, pour les 79 ans de l'exécution des otages le 22 octobre 1941 par les nazis, 27 prisonniers dont le seul tort était d'être communistes et qui ont été livrés à l'occupant par le sinistre ministre de Vichy Pucheu.

Ian Brossat prenait la parole dans la carrière pour y représenter le Parti communiste français.

L'hommage aux vingt-sept fusillés , à la Carrière des fusillés, au lieu-dit la Sablière, ce dimanche 18 octobre à Châteaubriant était placé sous l’autorité d’Odette Nilès, présidente de l’Amicale Châteaubriant-Voves-Rouillé-Aincourt.

Châteaubriant, 18 octobre. Ian Brossat avec nos camarades et amis de Morlaix, Walden Gauthier, lycéen, militant des jeunesses communistes, 16 ans, et Lucienne Nayet, présidente du Réseau du Musée National de la Résistance de Champigny-sur-Marne, pour l'hommage aux 27 fusillés communistes de la Sablière de 1941. Photo Mariane Gauthier-Destable. Jean-Luc Le Calvez

 

Le 22 octobre 1941, à Chateaubriant, 27 résistants, choisis par Vichy, furent fusillés par les nazis. 
Des hommes,syndicalistes et politiques, dont « on dira que c’était des communistes » pour reprendre les mots d’Aragon qui leur a rendus hommage.

https://www.humanite.fr/node/371693

"A propos d'une ignominie: être dignes des 27": Pierre Le Rose rend hommage à Pierre Guéguin et Marc Bourhis, fusillés de Chateaubriant concarnois (L'Unité, journal communiste de Concarneau, novembre-décembre 1979)

Châteaubriant - 18 octobre 2020 - hommage à nos camarades pour le 79e anniversaire des exécutions des 27 otages communistes de Châteaubriant à La Sablière
Châteaubriant - 18 octobre 2020 - hommage à nos camarades pour le 79e anniversaire des exécutions des 27 otages communistes de Châteaubriant à La Sablière
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19 octobre 2020 1 19 /10 /octobre /2020 17:03
La section PCF de Brest appelle à participer au rassemblement mercredi 21 octobre à 18h place de la Liberté à l'appel de la LDH pour rendre hommage au professeur assassiné
PCF Section du Pays de Brest
5 rue Henri Moreau 29200 Brest
Tramway : station St Martin
Tel 02 98 43 47 78
@ : pcf_brest@yahoo.fr
 
Communiqué de Presse
La section du Pays de Brest  du PCF invite ses adhérent-es et ami-es à participer au rassemblement mercredi 21 octobre à 18 h place de la Liberté à Brest à l'appel de la Ligue des Droits de l'Homme pour rendre hommage au professeur assassiné pour avoir fait son travail d'éducation à la liberté intellectuelle et aux valeurs de laïcité. Tous ensemble pour refuser les dérives sectaires et la violence politique véhiculée par des idéologies obscurantistes! Pour défendre nos valeurs républicaines de liberté, d'égalité, de fraternité et de laïcité!
Cet abject assassinat appelle au combat pour renforcer considérablement les fondements d’une République sociale, laïque et démocratique fidèle à ses principes de liberté, d’égalité et de fraternité, à retrouver dans la société la force du débat civilisé.
Tous ensemble, unis dans le respect de notre diversité, continuons de faire vivre la richesse de notre République laïque,défendons notre liberté d’expression et ne cédons pas un pouce aux fanatiques et à tous ceux qui cherchent à imposer la haine et à diviser notre peuple. En ces moments tragiques, la République doit se tenir unie et ferme dans l'affirmation de ses valeurs.
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13 octobre 2020 2 13 /10 /octobre /2020 19:14
Le PCF soutient la mobilisation du 15 octobre pour l'hôpital public et appelle les citoyens à s'y associer
Le PCF soutient la mobilisation du 15 octobre pour l'hôpital public et appelle les citoyens à s'y associer

COMMUNIQUE DE PRESSE

 

Hôpital public : il y a urgence !

 

Le coronavirus continue à circuler activement dans notre pays, et pas seulement dans les grandes métropoles, alors que l’approche de l’hiver fait craindre un afflux difficile à maîtriser vers les hôpitaux, et que la prise en charge des parcours de soins des autres malades a déjà souffert de la pandémie.

Nos hôpitaux publics et leurs personnels ont tenu bon face à l’incurie du gouvernement mais sont aujourd’hui au bord de la rupture.

Des enquêtes récentes témoignent de l’ampleur du burn-out des soignants qui pousse nombre d’entre eux à envisager de quitter leur métier.

La crise sanitaire a mis en évidence le fossé qui s’est creusé entre les besoins de la population en matière d’accès aux soins et les moyens matériels et humains pour y répondre.

En 20 ans, 100 000 lits ont été fermés dans les hôpitaux, et 7 milliards d’euros ponctionnés sur les budgets des hôpitaux publics.

La France est au 22ème rang des 33 pays de l’OCDE pour la rémunération des infirmières.

Il ne suffira pas, pour combler ce gouffre, des 183 € lâchés par le gouvernement pour les hospitaliers, mais refusés à celles et ceux qui travaillent dans le social et le médicosocial.

Le gouvernement Macron n’a mis en place aucune stratégie cohérente pour faire face à la pandémie.

Loin de répondre aux urgences sanitaires, il poursuit au contraire le même cap austéritaire, vidant les caisses de la Sécurité Sociale à coup d’exonérations de cotisations patronales, ce qui fragilise encore plus nos hôpitaux et accélère les suppressions de lits. Et veut même taxer de 18 € les passages aux urgences non suivis d’hospitalisation.

Pendant ce temps, les grandes entreprises du CAC 40 reçoivent sans condition 100 milliards d’euros tout en supprimant des dizaines de milliers d’emplois, et les plus grandes fortunes battent tous les records.

L’argent ainsi détourné vers la finance joue contre l’économie, contre l’emploi.

Il y a urgence à l’utiliser autrement, il doit être mobilisé pour la réponse aux besoins.

Et les dividendes financiers doivent être mis à contribution.

Le Parti Communiste du Pays de Morlaix soutient la mobilisation du jeudi 15 Octobre pour l’hôpital et appelle les citoyens à s’y associer (BREST : Appel à manifester pour la santé, place de la Liberté, jeudi 15 octobre 2020 à 10 h ; à 11 h devant la sous-préfecture).

Toutes et tous, ensemble, exigeons l’arrêt des restructurations hospitalières et des fermetures de lits, un plan massif de recrutement et de formation de personnels, au moins 100 000 embauches tout de suite, la revalorisation des salaires.

Toutes et tous, ensemble, exigeons, la fin des scandaleuses exonérations patronales, la contribution du capital financier (100 milliards peuvent être disponibles immédiatement, dont 42,5 milliards pour l’ASSURANCE MALADIE qui finance les hôpitaux).

Et rassemblons-nous pour une autre politique résolument à gauche, sociale, écologique et démocratique.

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10 octobre 2020 6 10 /10 /octobre /2020 05:13
BREST : Riposte contre la « Manif Pour Tous » et #marchonsenfants RDV samedi 10/10 14h30 fac Segalen Communiqué de Presse inter-orga.

Samedi 10 octobre, les franges les plus réactionnaires de la société française s’apprêtent à sortir dans la rue. Leur étendard du moment : la lutte contre la PMA & la GPA . Qu’on ne soit pas dupe des intentions des organisateurs de « marchons enfants », peu leur importe les enfants, ils sont là pour  la défense de leur credo : l’ordre moral et le couple hétéro-patriarcal.

Émanation anti-PMA de la « manif pour tous », « Marchons enfants » est officiellement composé de dizaines d’associations se présentant comme plus respectables l’une que l’autre. En effet, même si la stratégie de « la manif pour tous » avait déjà été de lisser son image auprès de l’opinion en ne faisant pas apparaître les franges les plus intégristes et radicales, force est de constater que le bilan avait été mitigé : d’un côté elle avait réussi à mobiliser dans la rue (dont des « réacs-modérés ») d’un autre côté elle n’avait pas pu freiner l’expression et les actions violentes des groupes intégristes et d’extrême droite (printemps français, CIVITAS, groupuscules d’ultra-droite divers…). Le résultat avait été catastrophique avec des manifestations finissants en émeutes LGBTQIphobes, xénophobes et racistes et une multiplication dramatique des agressions contre les personnes LGBTQI pendants et après les trop longs mois qu’avaient duré la promulgation de la loi pour le mariage pour toutes et tous. « Marchons enfants » tente donc de contrôler son image au maximum, mais quand on y regarde de plus près sa sociologie est évidente. Une grande partie des groupes censés en faire partie sont des coquilles vides. Les organisations animatrices du mouvement sont toujours les mêmes  et en particulier  Alliance Vita et la manif pour tous. Ce sont des mobilisations pour le maintien (voir le renforcement) des inégalités de genre et d’orientation sexuelle. Au contraire nous continuerons à nous battre pour l’égalité de toutes et tous et sommes solidaires des associations LGBTQI.

Les organisations syndicales FSU, CGT EDUC ACTION, CNT, Solidaires réunies au sein de Visa 29, politiques : PCF,LFI, UCL, NPA, ENSEMBLE, ainsi que le COLLECTIF DES DROIT DES FEMMES et LE PLANNING FAMILIAL appellent les Finistèrien·nes  à affirmer haut et fort leur refus de l’expression de l’intolérance et de la discrimination dans les rues de Brest ce 10 octobre comme tous les autres jours.

Rdv

Samedi 10 octobre 14 h 30 Parvis Fac Segalen

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10 octobre 2020 6 10 /10 /octobre /2020 05:00
Les élus communistes de Brest

Les élus communistes de Brest

Magazine Sillage n°230 - Tribune du groupe des élu.e.s communistes

Magazine Sillage n°230 - Tribune du groupe des élu.e.s communistes

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7 octobre 2020 3 07 /10 /octobre /2020 11:06
Photo de José Corre

Photo de José Corre

La vieillesse est venue petit à petit, par délicatesse, pour ne pas froisser le vieux musicien. Ces paroles sont empruntées à la chanson, Les Cerisiers, de Jean Ferrat que José chantait en toutes occasions, qui faisait naître l’émotion dans l’auditoire, et correspondait parfaitement à la vie d’engagements qui fut la sienne.

Dès l’enfance, quand il trainait ses galoches entre les baraques du quartier du Bouguen, José a vécu la solidarité ouvrière qui permettait de dépasser à peine la pauvreté dans ces années d’après- guerre. Il a vite compris la nécessité de se serrer les coudes et de se battre aux côtés de ceux de sa condition pour la dignité, la justice sociale, la satisfaction de revendications améliorant le quotidien.

A l’âge de 17 ans, en 1956, José adhère au Parti Communiste Français. De 1961 à 1964, il fut secrétaire départemental des jeunesses communistes, membre du comité fédéral de 1961 1968. Pépé est longtemps resté membre du comité de section de BREST.

Cet engagement s’est également traduit par son adhésion à la CGT dès qu’il commença sa vie de travail, notamment à EDF où il endossa plusieurs responsabilités différentes, non sans se trouver fréquemment en face des tracasseries de la direction.

Personnellement je me suis engagé aux jeunesses communistes en 1968. J’ai donc fréquenté José et Christiane depuis longtemps, manif après manif, une campagne électorale chassant l’autre et toujours dans l’expression de fraternité chaleureuse. Il a même réussi à me glisser une licence au club de tennis de table d’EDF, LUMINA Sport, où l’on participait au championnat FSGT.

On s’est tellement peu quittés que nous nous sommes retrouvés citoyens au Relecq-Kerhuon à l’époque où Guy LIZIAR en était le maire, communiste bien sûr. José s’est investi aux côtés de Guy, qu’il remplaça à la présidence après son décès.

La seconde patrie de José et Christiane, l’Espagne, a beaucoup compté dans l’organisation de leur vie et à travers leur soutien indéfectible aux républicains espagnols ayant fui le Franquisme, réfugiés en France avant de retourner dans leur pays.

Pépé, le surnom que José s’était choisi, est le diminutif espagnol de José, diminutif lui-même de Josepe. La maison de la rue des poudriers porte d‘ailleurs fièrement le nom de CASA PEPE.

Il est un autre combat que José a mené toute sa vie, c’est la défense de son journal, l’Humanité. Il ne ratait aucune occasion de vanter les mérites du journal de JAURES afin d’éveiller l’intérêt et pousser à l’abonnement.

Nous allons devoir nous passer de José désormais et ce ne sera pas facile. Surtout pour Christiane, Patricia, Paola et ses petits enfants qui pourrons compter sur le soutien de tous les amis et camarades rencontrés au fil de la vie.

Gérard et Stéphane sont ici aujourd’hui, dans nos pensées et dans nos cœurs.

C’est à l’automne que le vieux musicien a fini par claquer sur son tambourin. A chaque printemps, le temps des cerises nous remettra en mémoire cet engagement de José de rester fidèle à l’esprit qu’on a vu paraître avec la Commune et qui souffle encore au cœur de Paris.

Le moment est venu de te saluer une dernière fois, José, mon camarade, mon ami. Merci de nous avoir gratifiés de ton humanisme et de ta fraternité. Nous avons croisé ton chemin avec bonheur. Il est donc normal que nous te quittions le cœur rempli de chagrin.

Companero Jose, Presente !

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4 octobre 2020 7 04 /10 /octobre /2020 16:08
Découvrez le Rouge Finistère n°6, automne 2020
Découvrez le Rouge Finistère n°6, automne 2020
Découvrez le Rouge Finistère n°6, automne 2020
Découvrez le Rouge Finistère n°6, automne 2020
Découvrez le Rouge Finistère n°6, automne 2020
Découvrez le Rouge Finistère n°6, automne 2020
Découvrez le Rouge Finistère n°6, automne 2020
Découvrez le Rouge Finistère n°6, automne 2020

Ce week-end, sortie de Rouge Finistère, le journal du PCF Finistère, daté de l'automne 2020, qui sera diffusé a 20 000 exemplaires dans le département. Merci à Chris et Anne pour le travail de mise en page (et de rédaction)!

Merci à tous les rédacteurs et à notre camarade brestois Éric Apperé pour son dessin original!

 

 

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4 octobre 2020 7 04 /10 /octobre /2020 15:41
José Corre - Photo Le Télégramme

José Corre - Photo Le Télégramme

Nous avons eu la tristesse il y a trois jours d'apprendre le décès de notre camarade José Corre, membre de la section du Relecq-Kerhuon.
José était un camarade chaleureux, et d'un grand volontarisme, un militant de très grande valeur.
Soutien indéfectible de l'Humanité, il avait fait un virement mensuel important à l'Humanité il y a deux ans et nous recommandait de mettre le paquet dans la bataille pour la survie de notre journal. Il avait aussi l'Espagne au coeur, comme l'a écrit Jean-Paul Cam, le secrétaire de la section de Brest. Il avait pris la parole et avait été très applaudi lors du meeting des Européennes de Ian Brossat, Cinderella Bernard et Glenn Le Saout au Relecq-Kerhuon il y a deux ans.
Au nom de la fédération du PCF Finistère, je veux adresser un message d'amitié et de condoléances à sa famille, ses amis, ses camarades de Brest et du Relecq-Kerhuon. José était de des militants charismatiques et ouverts sur l'avenir et la jeunesse qui nous servent de modèle pour construire à nouveau les jours heureux du communisme.
Ismaël Dupont, secrétaire départemental de la fédération du PCF Finistère. 
 
***
 
Les mauvaises nouvelles se suivent. Notre camarade José Corre est décédé jeudi 1er octobre.
Adhérent du Parti communiste depuis 1956, José fut  longtemps membre du comité fédéral du Finistère . Secrétaire départemental puis fédéral des jeunesses communistes (UJCF) il fut secrétaire de la section de Brest-centre du PCF.  José participait régulièrement à la vie de notre section et était présent malgré la maladie aux AG .
Toujours soucieux de l'unité des communistes José était un acharné défenseur de l'Humanité et avait l'Espagne au cœur
Les obsèques auront lieu lundi 5 octobre à 16 h 30 à la salle de cérémonie du Vern à Brest
 
La section de BREST présente à Christiane et à ses enfants et petits enfants ses fraternelles condoléances.
 
Voici parmi beaucoup d'autres quelques témoignages d'émotion et de sympathie de nos camarades que la mort de José peine:
 
Pierre-Yves Liziar, secrétaire de section du PCF Relecq-Kerhuon:
" José était l'ami de mon père, Guy Liziar et le mien. C'était un militant communiste. Parmi les facettes de son engagement, il y avait la promotion du tourisme social, pour une solidarité respectueuse qui permet de proposer des vacances de qualité pour tous. Son action bénévole et militante à TVL puis AVEL, a d'ailleurs permis à de nombreux enfants de "respirer un peu d'ailleurs", ce en partenariat avec le Secours Populaire".
 
José Fort, journaliste à l'Humanité:
"J'ai connu José dans les années 1970 chez lui où il m'hébergeait lorsque je "suivais" la fédération de la JC. Puis, bien plus tard, je l'ai retrouvé en Espagne pas loin où vivait ma mère. C'était un chouette copain, un camarade fidèle, un homme sur lequel on pouvait compter.
 
Jean-François Philippe, du PCF Saint-Brieuc:
"Mes sincères condoléances à ses potes, ses camarades, sa famille. La fête de l'huma Bretagne est orpheline et pleure son ami. Repose en paix".
 
Jean-Claude Cariou (section de BREST, militant à l'ANACR):
"J'ai connu José en ..... janvier 1960 , cela fera bientôt 61 ans, au moment de mon adhésion à la J.C. dont il était responsable .J'étais alors en 1ère au lycée de Kerichen à Brest, et c'était bien sûr la lutte pour la paix en Algérie ,mais aussi contre l'OAS, et ses crimes qui commençaient alors : une période très militante , que j'ai continué ensuite à l'UEC et au Parti plus tard à l'Université . J'ai quitté le Finistère pendant 12 ans pour le travail , mais je n'ai jamais vraiment perdu de vue José,ne serait-ce que dans les manifs :un excellent camarade , qui savait trouver les mots pour expliquer la situation avec un naturel optimiste et chaleureux" .
 
Jeannine Daniel (section de Scaër):
"Respect pour cet infatigable camarade qui s'en va et nous laisse un peu orphelins".
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