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19 septembre 2020 6 19 /09 /septembre /2020 07:23
3 adhésions au Parti communiste dans le Finistère le 17 septembre - Adhérer au PCF, le choix du partage et de l'Humain d'abord

Le mouvement social, l'indécence économique de la politique des grands patrons, des actionnaires, et des gouvernements, les licenciements et régressions sociales au prétexte et aggravés par le Covid, la croissance hallucinante des inégalités, portent plus que jamais l'exigence impérieuse d'une construction politique d'une autre société dans un cadre collectif où puissent s'engager ceux qui ne se résignent pas à l'inhumanité de la société capitaliste.  

3 adhésions dans les manifs finistériennes le même jour au PCF dans le Finistère. Une à Morlaix, Marie-Françoise, et deux à Brest, une étudiante de Lettres d'une vingtaine d'années, et un salarié de 37 ans, Eric.

Bienvenue à eux au Parti Communiste.

Dans le même temps Yvonne Rainero pour la section PCF de Quimper a pu remettre sa carte à Quimper à notre jeune adhérent de cet été Gaëtan Best 17 ans, il part à Lille où il entre à Sciences Po mais reviendra régulièrement à Quimper.

***

Extrait Article du Télégramme Télégramme, 18 septembre 2020

Gaëtan, Tyfenn et Chloé, tous les trois étudiants, ont rejoint la manifestation pour exprimer leur colère. Ils ne se résignent pas à devenir une génération sacrifiée. (Le Télégramme/Quentin Raillard)

Des jeunes, justement, ont répondu présents, comme Tyfenn Douillard, une étudiante : « C’est notre avenir qui est en jeu. Alors oui, nous sommes en colère ». À côté d’elle, Gaëtan Best, étudiant en sciences politiques, s’insurge contre le plan de relance : « Nous savons que la covid-19 est née de l’agriculture intensive, qui, en empiétant sur les surfaces naturelles, a transmis le virus de l’animal à l’homme. Pourtant les élites persistent à reproduire les erreurs du monde d’avant, plutôt que d’inventer un nouveau modèle », pointe le jeune homme.

Gaëtan, nouvel adhérent du PCF à Quimper, 17 ans, avec ses amies étudiantes dans la manif du 17 septembre (photo Le Télégramme Quimper)

Gaëtan, nouvel adhérent du PCF à Quimper, 17 ans, avec ses amies étudiantes dans la manif du 17 septembre (photo Le Télégramme Quimper)

3 adhésions au Parti communiste dans le Finistère le 17 septembre - Adhérer au PCF, le choix du partage et de l'Humain d'abord

Adhérer au PCF, le choix du partage et de l'Humain d'abord 

En 2019, 60 nouveaux adhérents ont rejoint le PCF dans le Finistère et une dizaine de jeunes ont rejoint la JC dans notre département parallèlement. Parce que les enjeux sociaux et politiques du moment sont cruciaux, nous voulons faire au moins aussi bien en 2020, année du centenaire du PCF.

Les enjeux sont énormes: on le voit avec la casse de l'hôpital public, les conséquences des ravages environnementaux sur la santé et la qualité de vie, la domination des logiques de privatisation et de rentabilité financière sur le secteur du médicament, l'aide sélective aux entreprises pour les gros du CAC 40, le niveau d'absence de planification des mesures de prévention et de protection sur la crise du coronavirus, l'incurie de l’État pour sauver nos vies, après qu'il soit passé en force pour les durcir considérablement avec la réforme des retraites, de l'assurance chômage, du droit du travail.

Combattre Macron et les forces capitalistes qu'il représente, opposer une alternative à la progression des idées de l'extrême-droite et au rejet de la politique, exigent un parti communiste fort, plus fort, actif, plus actif, en prise avec les attentes de la population.

Pour la deuxième année consécutive, selon la commission nationale des comptes de campagne et des comptes des partis politiques, le PCF est le deuxième parti de France en nombre d'adhérents cotisants.Nous nous en réjouissons même si cela traduit plus l'effondrement militant des autres partis qu'une progression du nôtre en terme de nombre d'adhérents. En tout cas, nous ne reculons pas trop. Nos militants sont fidèles et de nouveaux adhérents arrivent, de tous les horizons, les âges, les milieux, prêts à s'investir.

Dans le Finistère, nous comptons environ 850 adhérents, dont près de 600 à jour de cotisation, une vingtaine de sections, et sans doute au moins une quarantaine d'élus au sortir des prochaines municipales.

Nous avons un lien avec le monde syndical et le monde associatif, et nous essayons d'être présents au maximum de nos possibilités dans les luttes pour la défense des services publics, des salariés, des déshérités, tout en offrant des perspectives en terme de solutions de long terme pour construire des alternatives, en tenant aussi une ligne de rassemblement dans la diversité sur de la gauche sur des objectifs de progrès sociaux et démocratiques.

Notre parti va fêter ses cent ans à la fin de l'année, c'est un parti bien vivant et démocratique que beaucoup de jeunes rejoignent pour agir contre la domination capitaliste et patriarcale, contre le racisme et la xénophobie, pour le paix, parce que le communisme est la jeunesse du monde.

L'humain d'abord est inscrit dans notre culture politique à travers nos fêtes de la fraternité comme nos actions concrètes. Des initiatives rassembleuses et porteuses politiquement qui sont progressivement suspendues malheureusement pendant la crise du Covid-19.

Nous avons la culture du militantisme au quotidien et du débat et refusons aussi bien la politique opportuniste, les dérives présidentialistes de personnalisation et de délégation du pouvoir que les stratégies populistes qui cherchent à diviser plutôt qu'à rassembler le camp de ceux qui ont intérêt à un vrai changement de système pour combattre et dépasser le capitalisme.

Adhérer au PCF, c'est se rendre acteur pour changer la société. C'est convertir sa révolte et son refus en action collective, c'est rejoindre le camp des gens qui se mettent debout contre l'injustice !

C'est donner de la force aussi à nos parlementaires, qui dans les deux groupes à l'Assemblée et au Sénat, proposent des alternatives aux politiques néo-libérales, luttent contre elles d'arrache-pied, construire aussi des propositions concrètes, dans un très grand respect de la dignité de leur fonction et des citoyens, se faisant bien souvent les porte-voix des attentes des classes populaires, des organisations syndicales, des partisans de la paix et de la solidarité internationale, ce qui est aussi le cas de nos élus locaux.

 

 https://www.pcf.fr/mon_pcf_adhesion

Fédération du Parti communiste français du Finistère - 5 rue Henri Moreau - 29 200 BREST

federation@29.pcf.fr

pcf29.org

06 20 90 10 52

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17 septembre 2020 4 17 /09 /septembre /2020 11:05
Rouge Finistère, spécial mobilisation du 17 septembre 2020: Agir pour l'emploi et le pouvoir d'achat
Rouge Finistère, spécial mobilisation du 17 septembre 2020: Agir pour l'emploi et le pouvoir d'achat
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12 septembre 2020 6 12 /09 /septembre /2020 06:24
Isabelle Mazelin, tête de liste de "En Finistère, la gauche" (PCF, Génération.s, Les Radicaux de Gauche, Nouvelle Donne) avec à ses côtés Philippe Broudeur, Sylvaine Vulpiani, Bernard Pino, Catherine Flageul, Laurent Le Treust

Isabelle Mazelin, tête de liste de "En Finistère, la gauche" (PCF, Génération.s, Les Radicaux de Gauche, Nouvelle Donne) avec à ses côtés Philippe Broudeur, Sylvaine Vulpiani, Bernard Pino, Catherine Flageul, Laurent Le Treust

Sénatoriales dans le Finistère. Communiqué du Parti communiste en réponse à l'article "Commentaire" paru les pages départementales du Ouest-France le 8 septembre dernier:
 
COMMUNIQUE de la Fédération PCF du Finistère
 
 
10 septembre 2020
 
Le PCF s'engage pour une gauche rassemblée sur des bases de respect réciproque et de projet
 
Avec de belles réussites, aux municipales de mars et juin dernier, le PCF a fait le choix d'aborder toutes les élections dans le Finistère dans une dynamique d'union sur des projets allant dans le sens des intérêts des habitants des communes, du social, de la démocratie locale et de l'écologie. Ce choix nous paraît le plus à même de servir les intérêts de la gauche, de l'alternative au libéralisme économique, et des catégories populaires. Nous souhaitons aussi l'union de la gauche aux Départementales et aux Régionales, cela nous paraît nécessaire pour garder des majorités de gauche dans le département du Finistère et à la Région Bretagne. C'est la voie du bon sens et de la raison pour la gauche.
C'est pourquoi nous avons été surpris que le PS présente une liste dès début juillet avec déjà cinq candidats socialistes positionnés sur 6, et une 4e place non éligible laissée à un partenaire. Drôle de manière d'envisager un rassemblement de la gauche.
Le PCF Finistère riche de ses 850 adhérents dont beaucoup de jeunes prend en compte la nécessité d'incarner une politique renouvelée et proche des gens pour faire reculer l'abstention et l’écœurement des citoyens, n'est pas disposé à jouer le rôle de faire-valoir.
Il est souhaite en revanche, aujourd'hui comme demain, travailler avec toutes les forces disponibles pour reconstruire une gauche rassemblée capable de tirer les leçons de ses erreurs et fautes passées.
Le choix qui a été fait de placer en 3ème position un ancien ministre plutôt que de proposer cette place à un partenaire, ne va pas dans le bon sens et ne contribue pas au nécessaire rassemblement face aux candidats de la droite.
Un accord n'a pas été possible avec les socialistes sur les Sénatoriales. Nous le regrettons.
Les communistes en ont pris acte et ont décidé démocratiquement de partir avec des partenaires avec qui des bases de dialogue constructif et de travail respectueux étaient posées: Génération.s, Les Radicaux de Gauche, Nouvelle Donne.
Notre tête de liste commune Isabelle Mazelin, une élue de terrain et une salariée, grâce à cette logique d'union de la gauche, a bel et bien la possibilité réelle d'être élue sénatrice.
Ce serait un atout pour le département et pour le Parlement d'avoir une sénatrice de plus pour porter la défense des travailleurs et des travailleuses, des services publics de proximité, du droit du travail, des collectivités locales et des élu-e-s locaux.
A l'heure actuelle, c'est la seule tête de liste femme dans le Finistère qui pourrait rejoindre rejoindre le seul groupe au Sénat présidé par une femme, Eliane Assassi: le groupe de rassemblement CRCE, communiste, républicain, citoyen, écologiste.
Tous les communistes finistériens, et bien au-delà de nombreux élus de gauche, sont unis derrière cette candidature et cette liste "En Finistère, la gauche" qui a ses chances car parmi les élus de gauche, nombreux sont ceux qui sont pour l'union, contre les logiques d'isolement et d'hégémonie, et qui souhaitent voir des sénateurs porter avec courage les valeurs de la gauche au Parlement.
 
Isabelle Mazelin, tête de liste de "En Finistère, la gauche", est candidate au côté de Philippe Broudeur, élu à Quimper, président des Radicaux de Gauche Finistère, de Sylvaine Vulpiani, Conseillère régionale Génération.s (Plouescat), de Bernard Pino, médecin aux Urgences (Pont L'Abbé), membre de Nouvelle Donne, de Catherine Flageul, militante du PCF, du Mouvement de la Paix et de la plateforme finistérienne pour le désarmement nucléaire, CIAN 29 (Rosnoën), de Laurent Le Treust, co-référent de Générations.S 29 (Quimper)
En Finistère, le PCF s'engage pour une gauche rassemblée sur des bases de respect réciproque et de projet - Sénatoriales du 27 septembre 2020
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12 septembre 2020 6 12 /09 /septembre /2020 05:46
Dessin de Eric Appéré (PCF Brest)

Dessin de Eric Appéré (PCF Brest)

Le PCF qui, comme la LDH, s'était adressé au préfet Lelarge à ce sujet (voir ci-dessous) se félicite d'avoir été entendu - en partie - par le nouveau préfet puisque les étrangers sont dorénavant accueillis tous les matins à la préfecture. Il était temps de sortir de cette situation indigne et inhumaine qui contraignait les demandeurs de premiers titres de séjour à de longues files d'attente à l'extérieur de la préfecture par tous les temps et pendant plusieurs heures avec des enfants.
 
Voici la lettre que nous notre camarade Yvonne Rainero, secétaire de section PCF à Quimper et élue à la ville de Quimper, avait adressée au précédent préfet :
 
Monsieur le Préfet,
Mardi 18 août, à Quimper, une nouvelle fois, plusieurs dizaines de personnes ont dû affronter dans des conditions indignes de longues heures d’attente devant la préfecture du Finistère dans l’espoir, souvent déçu, d’accéder enfin au service d’accueil des étrangers.
Étrangers, et nos frères pourtant, pour reprendre les mots d’Aragon.
Hommes, femmes, enfants, certains déjà présents très tôt le matin et par tous les temps, pour espérer se glisser dans cette petite fenêtre du mardi de 13h30 à 16h, sinon il faudra revenir le mardi suivant, et ainsi de suite... car ce service d’accueil ouvert avant le confinement matin et soir tous les jours ouvrables ne s’entrouvre plus depuis le 16 mars que 2h30 par semaine, le mardi après-midi.
Et que dire de la mise en danger en période de Covid 19 de ces personnes, à la santé souvent fragile en raison de ce qu’elles ont vécu et de la précarité de leur situation, qui se retrouvent pendant plusieurs heures côte à côte dans ces files d’attente.
N’êtes-vous pas, Monsieur le Préfet, au titre de vos fonctions jusqu’à la fin de ce mois d’août, en charge de la protection des populations de notre département, sans discriminations, contre tous les risques, notamment sanitaires ?
Risques de contamination que vous n’avez pas manqué d’opposer à plusieurs reprises aux organisateurs de manifestations, y compris s’agissant de soignants.
Nous vous demandons instamment, Monsieur le Préfet, de mettre fin à ces conditions insupportables imposées à des êtres humains et qui heurtent les valeurs d’accueil et de solidarité largement partagées par notre population.
Elles ne font pas honneur à la préfecture de notre département où pourtant à quelques pas de votre bureau est perpétué le souvenir de Jean Moulin, qui fut sous-préfet de Châteaulin et symbolise aujourd’hui la mémoire des valeurs de la Résistance.
Nous voulons aussi saisir cette occasion pour tirer la sonnette d’alarme sur la dégradation préoccupante des services de l’État et des services publics en général dont les moyens financiers et humains n’ont cessé d’être amputés par les gouvernements successifs et particulièrement ceux nommés par le président Macron.
La crise sanitaire a montré combien le service public est au cœur du lien social, qu’il est un facteur de solidarité, d’égalité, de progrès démocratique, de développement de nos territoires, de transition écologique.
Vous assurant de l’engagement sans faille des communistes de Quimper et du Finistère pour la défense et l’amélioration des services publics à la population, nous vous prions, Monsieur le Préfet, de bien vouloir agréer l’expression de notre considération distinguée.
 
Pour le Parti communiste français,
 
Yvonne Rainero,
secrétaire de la section du pays de Quimper du PCF, membre de sa direction départementale.
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7 septembre 2020 1 07 /09 /septembre /2020 18:43
4 des 6 membres de la liste "En finistère, la gauche" (PCF, Les Radicaux de gauche, Génération.s, Nouvelle Donne, Place Publique) pour les Sénatoriales du 27 septembre 2020: Sylvaine Vulpiani (en 3e position, Génération.s), Isabelle Mazelin (en 1ère position, PCF), Laurent Le Treust (en 6e position, Génération.s), Philippe Broudeur (en 2e position, les Radicaux de Gauche) - photo Ouest-France

4 des 6 membres de la liste "En finistère, la gauche" (PCF, Les Radicaux de gauche, Génération.s, Nouvelle Donne, Place Publique) pour les Sénatoriales du 27 septembre 2020: Sylvaine Vulpiani (en 3e position, Génération.s), Isabelle Mazelin (en 1ère position, PCF), Laurent Le Treust (en 6e position, Génération.s), Philippe Broudeur (en 2e position, les Radicaux de Gauche) - photo Ouest-France

Une deuxième liste de gauche en vue des élections sénatoriales du 27 septembre a été déposée, ce lundi, en préfecture. « En Finistère, la gauche » est une liste d’union rassemblant des représentants de Génération. S, du PCF, des radicaux de gauche, de Nouvelle Donne et Place publique.

Lucile VANWEYDEVELDT. Publié le

Finistère. Élections sénatoriales : une liste « En Finistère, la gauche »

Isabelle Mazelin, élue communiste du Relecq-Kerhuon, est tête d’une liste qui rassemble le PCF, Génération.s, Les Radicaux de gauche, Place publique et Nouvelle donne. Elle a été déposée ce lundi 7 septembre 2020 à la préfecture du Finistère.

Une nouvelle liste vient d’être déposée en préfecture du Finistère, ce lundi 7 septembre 2020, pour les élections sénatoriales. Elle s’intitule « En Finistère, la gauche » et rassemble des membres du PCF, de Génération.s, des Radicaux de gauche, de Place publique et de Nouvelle donne.

La liste « En Finistère, la gauche »

C’est Isabelle Mazelin, 55 ans, élue au Relecq-Kerhuon, membre du PCF, qui est tête de liste. Deuxième position : Philippe Broudeur, 50 ans, élu municipal à Quimper, membre des Radicaux de gauche. Troisième position : Sylvaine Vulpiani, 56 ans, conseillère régionale, membre de Génération.s à Plouescat. Quatrième position : Bernard Pino, 64 ans, habitant de Pont-l’Abbé, membre de Nouvelle donne. Cinquième position : Catherine Flageul, 63 ans, habitante de Rosnoën, membre du PCF. Sixième position : Laurent Le Treust, 51 ans, habitant de Quimper, membre de Génération.s.

 

Le projet de cette liste : « Faire entendre la voix des élus confrontés à la casse des services publics notamment dans les communes rurales, déclare Isabelle Mazelin. Cette liste comprend de nouveaux élus engagés sur le terrain. C’est un atout. »

 

« Renouveau démocratique »

Cette liste d’union de la gauche, comme elle se nomme, n’a pas réussi à s’allier avec le Parti socialiste. Pourquoi ? « Le PS a annoncé ses trois premiers candidats sans concertation, ajoute Isabelle Mazelin. L’union n’a donc pas été possible. Mais notre but n’est pas de mettre des bâtons dans les roues du PS. Ce ne sont pas nos ennemis. Nous sommes juste attachés au renouveau démocratique. »

Autre but de la liste : permettre au Sénat de jouer son rôle de contre-pouvoir. « Grâce aux commissions d’enquête, il contrebalance la politique de l’Assemblée nationale, explique Sylvaine Vulpiani. C’est un rôle important. » Les membres de la liste s’engagent à rendre compte de l’action des élus durant leur mandat, s’ils sont élus. Enfin, « En Finistère, la gauche » se dit favorable à la transition écologique et à la mise en œuvre d’une politique sociale plus marquée.

Pendant la campagne, ses membres iront à la rencontre des grands électeurs avant le scrutin du 27 septembre 2020. Ces grands électeurs sont appelés à renouveler la moitié des membres de la chambre haute du Parlement.

 

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7 septembre 2020 1 07 /09 /septembre /2020 18:19
 Eric Pelennec, sur la photo l'homme au béret à l'étoile rouge, entouré de ses copains du stand du PCF 29 à la fête de l'Huma

Eric Pelennec, sur la photo l'homme au béret à l'étoile rouge, entouré de ses copains du stand du PCF 29 à la fête de l'Huma

Nous avons eu la grande peine d'apprendre de nos camarades brestois la mort de Eric Pelennec.
Malgré son combat face à la maladie celle ci l'a emporté hier après-midi.
Jean-Paul Cam, secrétaire de section du PCF à Brest, présente ainsi cet homme au grand cœur qui va nous manquer, vraiment, avec son humour et sa générosité:
" Responsable syndical de la CGT des agents communaux, militant
communiste de premier plan , défenseur du journal l'Humanité , militant associatif ,sportif de haut niveau Eric alliait la fraternité et la pertinence de l'analyse politique. Jusqu'au bout Eric s'est mobilisé pour son idéal. La section du Pays de Brest présent à Aline, à ses enfants et toute la famille ses condoléances fraternelles".
C'est une nouvelle qui nous émeut beaucoup. Eric est quelqu'un que nous avons eu l'occasion de beaucoup apprécier et admirer dans son volontarisme, sa joie de vivre, son fort caractère mêlé à une vraie gentillesse, perçue notamment à la fête de l'Huma, grand moment de fraternité.
Eric s'est dépensé pour notre stand du Finistère à la fête de l'Huma Paris, réaménageant une caravane bénévole avec des copains, stand dont il était une des âmes et des piliers. Il part beaucoup trop tôt. On a l'impression que des gens comme lui sont invincibles, et pourtant!
Nous pensons fort à sa femme, Aline, à ses enfants, ses nombreux et chers amis et camarades de la CGT et du PCF.
Avec le décès d'Eric Pelennec, c'est un militant haut en couleur, très compétent, dévoué et sympathique qui nous quitte, un rassembleur et un entraîneur. Il va beaucoup manquer au stand du Finistère de la Fête de l'Huma et aussi aux Bretons de Paris, et à toute l'équipe des bénévoles bretons.
Les obsèques d'Eric auront lieu jeudi ,à 14 h 30 à la salle de Cérémonie du Vern à Brest
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3 septembre 2020 4 03 /09 /septembre /2020 18:13
Désormais aux affaires, Ismaël Dupont compte donner un nouveau souffle à Morlaix. « On a du travail et on va le faire avec humilité ». (Le Télégramme/Gwendal Hameury)

Désormais aux affaires, Ismaël Dupont compte donner un nouveau souffle à Morlaix. « On a du travail et on va le faire avec humilité ». (Le Télégramme/Gwendal Hameury)

Lire aussi:

Portrait de Fréderic L'Aminot, nouvel adjoint aux affaires scolaires à Morlaix - Frédéric L’Aminot, le militant de Kerfraval (Le Télégramme, Yann Clochard, 19 août 2020)

Valérie Scattolin, pilote du commerce et du tourisme (LE TELEGRAMME – 12 août 2020)

Le sixième volet de notre série sur les adjoints est consacré à Ismaël Dupont, chargé des finances, des ressources humaines et de la police municipale. Un communiste amoureux de sa ville.

D’aucuns le craignaient, pendant la campagne des Municipales. Mais force est de constater que depuis l’élection du communiste Ismaël Dupont, les chars russes n’ont toujours pas débarqué en ville. « Je n’ai pas non plus planté de drapeau rouge sur la mairie, car je n’ai jamais eu la culture de l’arrogance ni du triomphalisme. J’ai mes idées, bien sûr, mais je suis avant tout au service des Morlaisiens. Y compris de ceux qui ne pensent pas comme moi. Je ne suis ni sectaire ni fanatique », réplique l’intéressé, premier adjoint chargé des finances, des ressources humaines et de la police municipale.


 

Première victoire politique

Âgé de 40 ans, ce père de deux enfants, professeur documentaliste au collège Mendès-France (il est professeur de philosophie à l’origine), est un amoureux de Morlaix, où il s’est installé il y a un peu plus d’une décennie. « Cette ville a tellement d’atouts ; elle me fait vibrer. Malheureusement, c’est aussi l’une des villes les plus malades de Bretagne. Elle a besoin d’un nouveau souffle », juge le natif de Vannes, qui a passé sa jeunesse entre le Morbihan et les terres léonardes paternelles. Un constat qui l’a poussé à s’engager au côté du socialiste Jean-Paul Vermot, lui, le secrétaire départemental du PCF, membre de son conseil national, qui avait tenté sa chance en solo, en 2014. À l’époque, la fusion d’entre deux tours n’avait pas suffi pour battre la droite. Cette année, il a donc changé de stratégie, intégrant « une liste de rassemblement » dès le premier tour. Ce qui l’a conduit à sa toute première victoire électorale. Jusqu’au 28 juin dernier, l’ancien candidat aux municipales, aux législatives, aux départementales et aux sénatoriales, n’avait, en effet, cumulé que des échecs.

Conscient des responsabilités

« Collectivement, on a vécu une campagne très riche humainement. J’ai fait de belles rencontres. Il y a chez nous une grande fraternité et beaucoup de tolérance », souffle le quadragénaire, qui n’a jamais renié ses idées. Il faut dire qu’elles ne datent pas d’hier. « Je me suis engagé très jeune en politique. J’avais 15 ans lorsque je me suis mobilisé contre le plan Juppé sur les retraites et la Sécurité sociale, en 1995. Je me suis engagé au MJS (Mouvement des jeunes socialistes), puis j’ai fait mon chemin idéologiquement », rappelle Ismaël Dupont. Qui a intégré le PCF en 2006, séduit par les discours de Marie-George Buffet.

Issu d’une famille comptant « deux grands-pères cathos sociaux, adjoints dans leurs communes respectives », et des parents de gauche, « post-soixante-huitards non militants », trop tôt disparus (il est orphelin depuis ses sept ans), ce passionné d’histoire et de littérature est fier de pouvoir ceindre l’écharpe tricolore. Fier aussi de la mission de premier adjoint qui lui a été confiée. Mais, il a surtout conscience des responsabilités très fortes qui pèsent désormais sur ses épaules. « Il y a beaucoup d’attente. La situation sociale est difficile, les enjeux énormes ».

Un homme de défis

Ça tombe bien : doté d’une grande capacité de travail, Ismaël Dupont aime les défis. Ses ambitions ? Côté RH : « Améliorer les conditions de travail des 400 agents de la ville, créer un climat de confiance réciproque ». Côté finances : « En lien avec les services, dégager des marges de manœuvre pour appliquer notre programme. Un travail que l’on va mener collectivement, avec humilité ». Et de préciser que les choix budgétaires seront expliqués aux Morlaisiens, lors de présentations publiques. Le social, l’attention portée aux plus démunis, le collectif, la démocratie participative… Ismaël Dupont est définitivement un vrai rouge. Et il l’assume.

 

Gwendal Hameury

Gwendal Hameury

Le portrait chinois d’Ismaël Dupont

Si vous étiez un livre ?

« L’Odyssée », d’Homère. Ça m’inspire depuis mon enfance et nourrit mon imaginaire. La Grèce antique, le voyage… Ça me parle.

Si vous étiez un artiste ?

L’écrivain russe Fiodor Dostoïevski, un sorcier de la littérature.

Si vous étiez une chanson ?

« Suzanne », de Léonard Cohen. J’adore le caractère rocailleux de sa voix. Et puis c’est une chanson qui évoque le voyage… J’aime aussi beaucoup la version française interprétée par Alain Bashung.

Si vous étiez un film ?

« Mulholland Drive », de David Lynch. Je l’ai vu dès sa sortie au cinéma en 2001. Et revu quatre ou cinq fois depuis. C’est envoûtant, mystérieux.

Si vous étiez un animal ?

La chèvre. Parce que l’un de mes contes préférés est « La Chèvre de Monsieur Seguin ». J’ai toujours été emballé par cet animal, son esthétique et son caractère indépendant.

Si vous étiez un lieu ?

La Syrie, visitée à l’été 2010. L’un de mes plus beaux voyages. Magnifique. C’est une grande souffrance de voir les malheurs dans lesquels est plongé ce peuple qui nous avait offert un visage si accueillant.

Si vous étiez un quartier de Morlaix ?

Le mien, bien entendu : le carmel. Pas loin de l’école Corentin-Caër où mes deux enfants ont fait leur scolarité.

Si vous étiez un monument ?

Le cairn de Barnenez, à Plouezoc’h, l’un des plus anciens monuments d’Europe. Car je m’intéresse beaucoup à l’histoire en général, à l’histoire de Bretagne notamment, et plus particulièrement à l’histoire d’avant l’écriture. Il y a aussi une relation affective, en lien avec ma famille, avec ce cairn.

Si vous étiez un objet ?

Sans aucun doute un livre. J’en ai plusieurs milliers à la maison. Je suis un passionné de lecture.

Si vous étiez une couleur ?

Le rouge évidemment. Car c’est une belle couleur. Mais je l’aime aussi pour ce qu’elle représente. Le rouge, c’est la couleur de la révolution, du sang des ouvriers, de la mémoire sociale de lutte contre l’exploitation.

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21 août 2020 5 21 /08 /août /2020 06:26
Déclaration de la Fédération du Finistère: Pollution de l'Aulne (20 août 2020)

Déclaration de la Fédération du Finistère: Pollution de l'Aulne
 

L'eau du robinet n'est plus bonne à consommer dans cinquante communes du département.

L'usine d'eau potable de Coatigrac'h, à Châteaulin a relevé une concentration élevée en ammoniaque

Des résidus de méthanisation provenant de la centrale de production de biométhane de Châteaulin, exploitée par le groupe Vol-V, sont à origine de cette pollution qui touche des milliers de foyers.

La préfecture du Finistère a pris un arrêté pour restreindre l'usage de l'eau dans 50 communes dont celle de Chateaulin, Crozon, une large partie du Pays Bigouden notamment.

Les communes impactées et leurs habitants se voient dans l'obligation de se procurer pour les besoins alimentaires de l'eau en bouteille.On imagine sans peine le coût de ces achats imprévus pour les familles te les collectivités territoriales.

L'enquête diligentée permettra d'établir certainement les responsabilités dans cet invraisemblable accident

Mais dès à présent la société en charge de la centrale de méthanisation doit s’engager à prendre en charge les dépenses des particuliers et des collectivités locales liées à la pollution dont les équipements qu'elle gère sont à l’origine.

Brest le 20 août 2020.

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20 août 2020 4 20 /08 /août /2020 06:27
Frédéric L’Aminot, adjoint chargé des affaires scolaires, est un passionné de jardinage. Il se rend régulièrement aux jardins partagés autour du château d’eau, près de la caserne des pompiers de Morlaix. (Le Télégramme/Yann Clochard)

Frédéric L’Aminot, adjoint chargé des affaires scolaires, est un passionné de jardinage. Il se rend régulièrement aux jardins partagés autour du château d’eau, près de la caserne des pompiers de Morlaix. (Le Télégramme/Yann Clochard)

Le Télégramme, Yann Clochard, 19 août 2020

Fréderic L'Aminot, le militant de Kerfraval 

Engagé dans le monde du syndicalisme, Frédéric L’Aminot connaît déjà les rouages politiques. À la mairie de Morlaix, son expérience sera précieuse en tant qu’adjoint aux affaires scolaires.

Derrière ses larges épaules se cache un cœur tendre. N’allez pas croire que de Frédéric L’Aminot, 47 ans, se laisse marcher sur les pieds. Il s’est toujours engagé dans divers combats pour l’intérêt commun. Père de deux garçons, il a présidé l’association de parents d’élèves de l’école Jean-Piaget puis du collège Mendès-France. Un passé plus qu’utile pour le nouvel adjoint au maire de Morlaix, chargé des affaires scolaires.

Originaire de Plouescat, il est arrivé à l’âge de 14 ans dans la Cité du viaduc. « J’ai toujours habité dans les quartiers du plateau, dit-il. Pors-ar-Bayec et aujourd’hui Kerfraval ». Après des études d’électrotechnicien au lycée Tristan-Corbière, il devient ouvrier chez Celtys, filiale du groupe Quéguiner, à Landivisiau. Là-bas, il fait ses débuts dans le monde du syndicalisme. « J’ai monté une section de la CGT et j’en suis le délégué syndical. Avant la vie politique, j’ai surtout une vie syndicale ».

« Sauver l’école de Ploujean »

Lors de manifestations à Morlaix, il rencontre Ismaël Dupont et Jean-Luc Le Calvez. Il rejoint la liste du front de gauche, battu au premier tour des municipales, en 2014. Avant d’intégrer l’union de gauche, en 2020, avec Morlaix Ensemble. « J’ai suivi le mouvement. J’ai rencontré des personnes qui ont entériné mon choix. Jean-Paul Vermot m’a proposé le poste d’adjoint aux affaires scolaires. Je n’ai pas hésité longtemps ».

Le Morlaisien se réjouit de travailler avec Edith Fer, conseillère déléguée. « En tant qu’enseignante, elle apportera la vision des professeurs. Et moi, celle des parents d’élèves ». L’adjoint promet notamment de « sauver l’école de Ploujean qui ne demande qu’à vivre ». Un combat de plus qu’il espère bien remporter.

 

en complément
Le portrait chinois de Frédéric L’Aminot
Frédéric L’Aminot, adjoint chargé des affaires scolaires, est un passionné de jardinage. Il se rend régulièrement aux jardins partagés autour du château-d’eau, près des pompiers de Morlaix.

Si vous étiez un lieu ?

Les jardins partagés du château d’eau. C’est peu connu. J’aime venir me vider la tête, penser à autre chose. Et on apprend beaucoup de choses. Le fait de cultiver mes légumes, au moins, je sais d’où ça vient.

Si vous étiez un monument ?

Peut-être la Manufacture. Il y a une sacrée histoire de lutte syndicale, contre la fermeture. C’est un monument qui va revivre et on se demande pourquoi on ne l’a pas fait avant.

Si vous étiez un quartier ?

Mon quartier, Kerfraval ! Il mélange toute la société avec une école et un collège pas loin.

Si vous étiez une couleur ?

Le rouge, pour la couleur de la lutte.

Si vous étiez une chanson ?

Les chansons du groupe Merzhin, je les aime toutes. Je suis le groupe depuis le début, je suis allé à beaucoup de concerts.

Si vous étiez un animal ?

Ce serait un félin. J’aime rebondir. Et il ne faut pas me pousser à bout. J’étais peut-être un peu timide mais mon expérience syndicale m’a permis de régler ce problème.

Si vous étiez un objet ?

Une bêche parce que j’aime jardiner.

Si vous étiez un livre ?

« Germinal », d’Émile Zola. Il m’a marqué, je l’ai eu au bac de Français. On revient toujours à la même chose : la lutte des classes.

Si vous étiez un film ?

Je suis fan de la saga « Star Wars », même si certains sont plus mauvais que d’autres. Quand on regarde les plus anciens, on se demande comment ils ont réussi à faire des effets spéciaux.

 

Lire aussi:

Valérie Scattolin, pilote du commerce et du tourisme (LE TELEGRAMME – 12 août 2020)

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20 août 2020 4 20 /08 /août /2020 06:26

Lyonnaise d’origine, Valérie Scattolin a emménagé il y a peu dans une rue proche de la Manu, une bâtisse qu’elle admire. (Le Télégramme/Adrien Masson)

 

Le troisième volet de notre série sur les nouveaux adjoints au maire de Morlaix est consacré à Valérie Scattolin en charge, entre autres, du commerce et du tourisme. Un visage déjà connu du côté de Hop ! Morlaix.

Depuis l’annonce de la suppression de Hop ! Morlaix à l’horizon 2023, Valérie Scattolin, 54 ans, est une des figures de la contestation des salariés morlaisiens. Au point que son rôle d’adjointe au tourisme, au commerce et l’animation du centre-ville puisse être oublié. Deux fonctions qui sont pourtant liées pour Valérie Scattolin puisque son engagement politique lui est venu de celui qu’elle avait pour les salariés de son entreprise. Elle est élue au comité social et économique de Hop ! depuis 2005 et déléguée du syndicat Unsa depuis la fin des années 2000. En 2014, alors qu’une loi contraint les partis politiques à présenter autant d’hommes que de femmes aux élections, Valérie Scattolin se lance en politique avec « grand intérêt ». Celle qui se dit curieuse intègre la liste du Front de gauche pour les municipales aux côtés d’Ismaël Dupont, (aujourd’hui premier adjoint). La liste est battue et Valérie Scattolin ne rentre pas au conseil municipal. Mais en 2017, après un désistement, elle intègre l’opposition pour trois ans. « Je n’étais pas trop pour au début, mais ça m’a permis d’acquérir une expérience ». Elle a ensuite pris sa carte au Parti communiste français en 2019, avant de se lancer dans la campagne pour les municipales aux côtés de Jean-Paul Vermot.

Atterrissage à Morlaix en 1999

Au départ, Valérie Scattolin voulait travailler dans le secteur du tourisme. Après un voyage d’un an aux États-Unis pour perfectionner son anglais, elle se tourne vers l’aéronautisme à Lyon, sa ville d’origine. Elle enchaîne les postes avant de postuler chez Brit Air à Morlaix alors qu’elle travaillait pour la compagnie dans le Rhône. La Lyonnaise pose donc ses bagages à Morlaix en 1999. Elle trouve la ville « parfaite pour une mère célibataire avec une fille âgée d’une dizaine d’années. On y trouve tout et c’est une ville animée ». La quinquagénaire toujours souriante qui assure avoir le sens du contact aimerait que tout le monde trouve sa place dans la ville, en voiture, à vélo ou à pied. Elle-même cycliste et installée depuis peu dans le quartier de la rue Villeneuve, la nouvelle adjointe profite des nouvelles pistes cyclables. Elle s’inspire de ce qui se fait de bien dans les autres villes, et apprécie particulièrement, « le tracé au sol pour les lieux à visiter à Nantes ».

Consciente qu’elle pourrait perdre son emploi d’ici la fin de son mandat, Valérie Scattolin assure qu’elle pensera à une reconversion en temps voulu. Il est inenvisageable pour elle d’accepter un poste trop éloigné de Morlaix car elle souhaite aller au bout de son mandat.

En complément:

Portrait chinois de Valérie Scattolin

Si vous étiez un livre ?

« Le Petit prince » car c’est un livre de Saint-Exupéry donc en lien avec l’aviation et c’est aussi en lien avec la transmission aux jeunes.

Si vous étiez une artiste ?

Jeanne Added, j’aime beaucoup cette artiste. Je l’ai vu plusieurs fois en concert et notamment dans des concerts secrets dans le cadre de Panorama. On était vraiment tout proche d’elle.

Si vous étiez un film ?

« Le Cinquième élément », car c’est le futur avec ce qui pourrait arriver de mieux et de pire. C’est à nous de faire en sorte que ça soit le meilleur qui arrive.

Si vous étiez un animal ?

Un chat. J’en ai deux et je trouve qu’ils sont vraiment calmes et reposants. Ça me fait plaisir quand je les retrouve.

Si vous étiez un lieu ?

Le quartier de la Croix-Rousse à Lyon. C’est un très beau quartier où j’ai vécu plus de 15 ans.

Si vous étiez un quartier de Morlaix ?

Ça serait la Manufacture. C’est une beauté architecturale et elle témoigne aussi de l’histoire ouvrière de la ville de Morlaix.

Si vous étiez un monument ?

Le château du Taureau. J’ai eu la chance de passer un week-end sur l’île Louët et de le voir de près. C’est aussi un symbole de la baie de Morlaix que ce soit côté Trégor comme du côté Léon.

Si vous étiez un objet ?

J’hésite entre le téléphone et le vélo car je suis très connectée. Mais je vais quand même dire le vélo car depuis que j’ai déménagé dans le quartier de la rue Villeneuve il y a un mois, je fais beaucoup de déplacements à vélo.

Si vous étiez une couleur ?

Le mauve. C’est ma couleur fétiche, c’est reposant, vif et lumineux.

 

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