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4 août 2020 2 04 /08 /août /2020 12:42
Triste nouvelle : notre camarade Yvette, épouse de Michel PRIGENT, est décédée.
Michel et Yvette étaient, sont des militants d'une grande générosité.
Elle va nous manquer.

Ses obsèques se sont déroulés le jeudi 30 juillet.

 
 

Roger HERE, son camarade Ignacien et 1er adjoint de la nouvelle municipalité de Plouigneau, a lu, à cette occasion un texte hommage à Yvette PRIGENT

 

 

 

Yvette,

 

Il me revient le difficile privilège de t’adresser ces quelques mots d’adieu.

 

Avec toi, notre amie, notre camarade, c’est une figure Ignacienne qui s’efface, mais non sans laisser les traces d’une vie active et passionnée…

 

Une mémoire vivante aussi qui disparaît, car rien de ce qui a fait la vie de la commune de Plouigneau et du Trégor finistérien ne t’échappait, et en particulier  quand il s’agissait de questions  politiques.

 

Beaucoup t’ont connue à Plouigneau depuis des lustres, et pensent tout naturellement que tu es Ignacienne de naissance, pure souche,...Eh bien pas du tout !

 

D’autres pensent que tu es née à Plouégat Moysan… Eh bien pas davantage non plus !

 

Non, car comme bon nombre de bretonnes et bretons tu es née à Paris, le 17 octobre 1937, dans le 15ème...un quartier qui n’est plus aujourd’hui celui de prolétaires, tu dois bien l’admettre.

 

Car ton papa avait un emploi chez Renault, à Billancourt, ceci explique cela !

 

Cependant, en raison de problèmes de santé, les médecins conseillent à ton papa un retour en Bretagne. Et te voilà arrivée à Plouégat (Moysan bien sûr).

 

C’est là que grandit le petit « garçon manqué » que tu étais, selon l’expression populaire de l’époque, sportive et dégourdie, ne ratant aucune occasion de grimper aux arbres, paraît-il. C’est donc à Plouégat Moysan que la petite Yvette Derrien a grandi.

 

Prof de gym ! tu voulais devenir prof de gym ! Mais une angine mal soignée est venue contrarier tes projets. Tu me l’a redit plusieurs fois ces dernières années, et la dernière fois que tu me l’as rappelé c’était il y a quelques semaines seulement. Un événement marquant pour toi, car cette maladie, les médecins te l’ont confirmé, fut la source de tes ennuis cardiaques qui ne te quitteront plus  tout le reste de ton existence jusqu’à son achèvement mardi dernier.

 

Adieu donc le rêve de prof de gym, adieu aussi la perspective de rentrer dans les PTT qui te fut refusée pour ces raisons de santé.

 

Tu te résous donc à monter à Paris, ta ville de naissance, pour chercher du travail.

 

Et tu es embauchée à l’imprimerie « Archer contact » à Montreuil en 1957. Tu avais 20 ans !

 

C’est au cours de cette même année 1957, à 20 ans que tu adhères aussi au Parti Communiste Français auquel ta fidélité sera sans interruption et sans faille aucune (63 ans de parti, rien que ça!).

 

Il faut dire que tu as été élevée dans une famille coco. Le papa l’était bien sûr, mais bien d’autres aussi, dont par exemple le tonton Roger (Roger Geffroy) qui a d’abord été un résistant, agent de liaison FTP, au maquis de Saint Laurent, puis un fidèle compagnon d’armes (au sens politique s’entend) de Jacques Duclos.  Michel m’a même  dit que tu as participé à certaines des ces campagnes politiques. Evidemment, avec de tels formateurs, c’est sûr, ton engagement ce sera du solide !

 

Nous voici maintenant en 1960 ; et un événement très important survient dans ta vie : la naissance de ton fils Eric.

 

Tu travailles toujours à Montreuil, mais les circonstances de la vie, un divorce en 1965, font que tu reviens à nouveau vivre à Plouégat (Moysan bien sûr).

 

Après quelques boulots, tu participes à la création de Négobeurreoeuf en 1967 à Plouigneau (Négo comme négoce, beurre comme beurre et œuf comme œuf, tout simplement (nul besoin de décrire plus amplement  l’activité) où tu occupes un emploi de secrétaire.

 

C’est durant ces années qu’un jour, à un bal chez Brignou à Plouigneau à Pen ar C’hra (entrée du bourg)  tu fais la connaissance d’un ouvrier boulanger qui travaille à Morlaix, rampe Saint Nicolas. Un militant aussi, un syndiqué à la CGT !  Un gars sympa, gentil, serviable, pétri de qualités et bonne pâte aussi...normal après tout pour un boulanger ! Le gars se prénomme Michel. Tu vas l’épouser en 1970 et prendre son nom : Prigent ! Et désormais on t’appellera : Yvette Prigent !

 

Vous vous installez route nationale à Plouigneau, en location dans un appartement, et peu après Michel adopte Eric comme son propre enfant.

 

Votre vie sera commune désormais, et même fusionnelle.

 

En 1972 vous construisez une maison lotissement Coat an Lem à Plouigneau (Kerjean actuellement)

 

Unis dans la vie, vous l’êtes aussi dans les activités professionnelles (Michel a changé de métier et est devenu lui aussi salarié de Négobeurreoeuf comme chauffeur laitier) et unis aussi dans la vie militante qui va rythmer vous jours, vos semaines, vos années.

 

Un engagement sans compter, même après 1974, année où opérée une première fois du coeur tu dois cesser ton activité professionnelle et te trouves placée en invalidité.

 

Beaucoup de campagnes militantes tous les deux ensemble, avec de nombreux camarades communistes et sympathisants qui ne manquaient pas dans le secteur. Tous gardent en mémoire par exemple la campagne menée avec René Le Nagard, conseiller général communiste du canton de Plouigneau, contre les troupes de droite du notable Tilly de Guerlesquin, bataille épique paraît-il aux dires de plusieurs.

Que d’anecdotes de ces actions où tu te trouvais toujours au centre poussant sans relâche à la mobilisation.

 

Ces activités se poursuivent encore lorsque Michel se met à son compte en 1983 comme transporteur routier et que vous déménagez définitivement au 23 rue de la libération. Le hangar servira aussi à stocker le matériel pour les fêtes de l’Huma  à La Courneuve, mais aussi pour la fête de l’Huma Bretagne à Lanester. Il en a vu passer des cocos de tous les coins du Finistère et de Bretagne ce hangar-là !

 

Et pas seulement le hangar car la maison accueillait aussi les réunions des communistes de la localité et de la section, dans lesquelles tu étais toujours présente et active.

 

Tout était rouge dans la maison, du sol au plafond et de l’étage à la cave, ...les bouteilles aussi parfois à la fin des réunions...et même les joues des participants quand ils sortaient. Mais de cela il y a prescription aujourd’hui.

 

En 1990 ce fut la naissance de ta chère petite fille Manon, qui malgré son handicap, adorait venir passer des vacances chez sa mamie et son papi, tous les deux chéris. Elle adorait s’installer à l’avant du camion où elle trônait fièrement, position où elle pouvait dominer les automobilistes et les passants, tout comme plus tard dans le camping-car.

 

Avec ce camping-car , une fois que Michel eût pris sa retraite en 2004, vous avez sillonné les routes de France, les mêmes que Michel fréquentait en tant que transporteur, mais en visitant les régions cette fois, ce qui n’était pas du tout la même chose. Et invariablement dans votre périple il y avait une étape à la fête de l’Huma.

Ce furent de belles années. Des habitudes bien ancrées qui ne cesseront que lorsque tu seras devenue trop fatiguée, mais ça ne fait pas si longtemps.

A ce propos, Ismaël Dupont, secrétaire de la fédération du Finistère du PCF qui regrette de ne pas pouvoir être présent aujourd’hui, car il est éloigné de la région depuis une semaine, m’a chargé de l’associer, ainsi que toute la fédération du Finistère du PCF,  à l’hommage à Yvette. Il m’indique ainsi, je le cite « Yvette était avec Michel un pilier du stand du Finistère à la fête de l’Huma Bretagne et de La Courneuve. Yvette était une militante communiste très expérimentée, convaincue et généreuse. A leur contact on avait accès à tout un vécu militant. La force de leur amour leur a permis d’affronter des épreuves de vie très dures, comme la mort d’Eric. Yvette va beaucoup nous manquer. Nous pensons très fort à toi Michel, et serons à tes côtés pour que tu gardes la force et le goût de vivre. »

 

Ta santé déjà fragilisée par les multiples conséquences de tes problèmes cardiaques, fut encore plus altérée lorsque tu perdis ton fils Eric en août 2014. Ce fut un choc terrible.

 

Quatre ans plus tard c’est ton frère Martial qui s’en allait.

 

Ainsi donc les épreuves ne t’auront pas épargnée. Mais jusqu’au bout tu auras été une lutteuse, physiquement mais aussi intellectuellement.

 

Et en cette année 2020, un événement est venu secouer la commune de Plouigneau. La liste #ChangeonsPlouigneau est venue mettre fin à la main mise de la droite sur la commune depuis 40 ans. La gauche à Plouigneau et des communistes au conseil municipal ! Enfin ! As-tu dit !

 

Mais tu n’auras pas, hélas, connu très longtemps cette situation car tu t’en es allée tout juste deux mois après l’installation du nouveau conseil municipal.

 

Mais tu peux partir avec la satisfaction du devoir accompli. Car aujourd’hui c’est une vaillante camarade qui nous quitte, et dont le souvenir restera pour longtemps très vivace dans nos mémoires et dans nos coeurs.

 

Alors, au nom de tous, de toutes celles et tous ceux qui t’ont aimée, avec qui tu as lutté, combattu, partagé tes idées et tes convictions, je t’adresse, chère Yvette, ce salut respectueux, sincère et fraternel.

 

Adieu notre chère amie, adieu chère camarade.

 

 

 

 

 

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30 juillet 2020 4 30 /07 /juillet /2020 05:54
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25 juillet 2020 6 25 /07 /juillet /2020 15:31
Photo Ouest-France

Photo Ouest-France

Conseil municipal à Morlaix : adjoints élus, indemnités fixées

Marie Jousseaume, Ouest-France, 25 juillet 2020

Entre autres sujets abordés par les élus lors du conseil municipal vendredi 24 juillet 2020, l’élection des adjoints, les indemnités perçues par les élus et le vote des comptes administratif et de gestion de 2019.

On prend les mêmes et on recommence. Lors du conseil municipal de vendredi, il a fallu que les conseillers votent de nouveau pour élire les adjoints au maire, théoriquement déjà élus lors du précédent conseil, samedi 4 juillet. En cause, un accroc à la loi engagement et proximité de décembre 2019, qui oblige à l'alternance de genre entre les adjoints.

A l'issue du premier scrutin, c'était Catherine Tréanton qui était en première position. Elle a cédé sa place à Ismaël Dupont, en charge des finances (voir par ailleurs la liste des adjoints et de leurs délégations). "Elle compte parmi les vice-présidents de Morlaix communauté. Elle a donc été libérée du premier mandat pour une meilleure gestion des deux mandats", indique le maire Jean-Paul Vermot.

Indemnités: hausse pour les adjoints, baisse pour le maire

Du côté des indemnités des élus, la tendance est à la baisse pour le maire (-9,21%) pour augmenter celle des adjoints de 16,75%. Ce qui donne une indemnité de 2245€ mensuels nets pour le maire, de 726€ pour les adjoints, de 171€ (*brut) pour les conseillers délégués et enfin de 90€ (*brut) pour les conseillers municipaux. Une manière de "donner une indemnité à tous les conseillers", pour le maire. 

Le conseiller d'oppositoon George Auregan a souligné "la cohérence par rapport à Morlaix Communauté où toutes les indemnités ont baissé" mais aussi la considération envers l'équipe précédente. Réponse de Jean-Paul Vermot: "A Morlaix communauté, la répartition s'est faite sur une enveloppe restreinte, après les fusions de communes. On a fait le choix de reconnaître le travail des adjoints. C'est la même position que l'on tenait il y a six ans. En aucune façon on ne minore le travail des adjoints de l'ancienne mandature".

Pour voter les comptes de l'année 2019, gestion et administratif, les 26 conseillers de la majorité se sont abstenus tandis que l'opposition a voté pour. La cheffe de file de l'opposition, Agnès Le Brun, n'était pas présente, c'est le conseiller Jean-Charles Pouliquen qui est monté au créneau pour défendre le bilan comptable de l'équipe précédente. "Grâce à une gestion efficace, la Ville a une bonne assise financière", a t-il souligné, en rappelant que l'investissement de la ville se chiffrait à un peu plus d'un million en 2007 contre 7 millions en 2009, entre autres exemples. Le nouveau maire, lui, n'a pas souhaité "refaire la campagne. Il s'agit d'une photo à un instant T"

Pour la ville, le Covid représente une perte de 500 000€ de recettes. Néanmoins, deux subventions de 25 000€ chacune ont été votées pour des mesures sociales d'urgence en direction du centre communal d'action sociale, des associations caritatives locales et en soutien aux commerçants touchés par la crise sanitaire. 

Marie Jousseaume,

 

 

   

Photo Ouest-France

Photo Ouest-France

Les neuf adjoints au maire pour le mandat : Ismaël Dupont, premier adjoint en charge des finances, des ressources humaines, de la cuisine centrale et de la police municipale ; Catherine Tréanton, deuxième adjointe en charge des affaires sociales, de la petite enfance, des aînés, de la solidarité et de la question du handicap ; Yvon Laurans, troisième adjoint en charge des sports, de la jeunesse, des relations extérieures ; Nathalie Barnet, quatrième adjointe en charge de la transition écologique, du développement durable, des espaces verts, de la propreté urbaine, des mobilités ; André Laurent, cinquième adjoint en charges des affaires culturelles et de la culture bretonne ; Valérie Scattolin, sixième adjointe en charge du tourisme, du commerce, de l’animation du centre-ville et du dispositif Action cœur de ville ; Frédéric L’Aminot, septième adjoint en charge des affaires scolaires ; Laëtitia Tosser, huitième adjointe en charge de la vie citoyenne et associative, de la démocratie participative et des conseils de quartiers ; Jérôme Plouzen, neuvième adjoint en charge des travaux, de l’urbanisme, de la gestion du patrimoine et des cimetières.

Au total, le conseil compte 33 conseillers municipaux, dont 26 pour la majorité et sept pour l’opposition.

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25 juillet 2020 6 25 /07 /juillet /2020 07:44
Le projet de skatepark, étudié depuis des mois, a été validé en conseil municipal. L’idée de le compléter par un autre espace « plus famille », à l’image de ceux de Pleyber-Christ et de Locquénolé est aussi en réflexion.  Avis aux amateurs de roller, skate et BMX ! Le projet de skatepark, régulièrement mis en avant dans l’actualité des dernières années, est entré dans une phase très concrète : le conseil municipal a en effet validé les études de projet, fixé le coût prévisionnel définitif des travaux à 372 596, 40 € TTC, la rémunération définitive de l’équipe de maître d’œuvre à 55 889, 46 € TTC.  La construction du skatepark sera assurée par le groupement Sparfel-Heude Bâtiment, connu notamment du milieu pour avoir réalisé l’installation au Jardin Kennedy à Brest.  Pour rappel, il s’agit

Le projet de skatepark, étudié depuis des mois, a été validé en conseil municipal. L’idée de le compléter par un autre espace « plus famille », à l’image de ceux de Pleyber-Christ et de Locquénolé est aussi en réflexion. Avis aux amateurs de roller, skate et BMX ! Le projet de skatepark, régulièrement mis en avant dans l’actualité des dernières années, est entré dans une phase très concrète : le conseil municipal a en effet validé les études de projet, fixé le coût prévisionnel définitif des travaux à 372 596, 40 € TTC, la rémunération définitive de l’équipe de maître d’œuvre à 55 889, 46 € TTC. La construction du skatepark sera assurée par le groupement Sparfel-Heude Bâtiment, connu notamment du milieu pour avoir réalisé l’installation au Jardin Kennedy à Brest. Pour rappel, il s’agit

Cécile Renouard, Le Télégramme, samedi 25 juillet

Un premier conseil municipal bis

Le tout premier conseil municipal du 4 juillet 2020 est peut-être à oublier. Du moins en partie... Les adjoints au maire Jean-Paul Vermot, élus ce jour-là et démissionnaires depuis à cause de la loi Engagement et proximité, ont été réélus au Conseil de ce vendredi 24 juillet, mais à un rang de décalage! 

Des adjoints repositionnés par la loi Engagement et Proximité.

Le 4 juillet dernier, neuf adjoints avaient été désignés auprès de Jean-Paul Vermot. Dans les jours qui ont suivi, une vérification a été opérée concernant ce conseil et des échanges ont eu lieu avec le préfet du Finistère, qui ont abouti à un rappel des termes de la loi du 27 décembre 2019 dite "Engagement et proximité" et l'obligation d'alternance de genre entre les adjoints.

Depuis les neuf adjoints du 4 juillet ont démissionné pour se représenter à cette séance vingt jours plus tard mais dans un ordre différent : Ismaël Dupont prenant de fait la première place, suivi par Catherine Tréanton, Yvon Laurans, Nathalie Barnet, André Laurent, Valérie Scattolin, Fréderic L'Aminot, Laëtitia Tosser et Jérôme Plouzen. Ce nouvel ordre qui a fait passer la première adjointe Catherine Tréanton au deuxième rang des adjoints ne laisse pas indifférent Jean-Paul Vermot qui a décidé d'écrire aux parlementaires locaux. Pour lui, cette loi impose en effet que "le genre le plus représenté a de fait le premier poste" d'adjoint, soit dans le cas de Morlaix, le genre masculin. Pour rappel, le nombre d'adjoints au conseil de la Cité du Viaduc est de 9, chiffre impair, avec 5 hommes et 4 femmes.

Des fonctions définies  Le 1er adjoint Ismaël Dupont est en charge des "finances, des ressources humaines ainsi que de la police municipale", la 2e, Catherine Tréanton, en charge des "affaires sociales, la petite enfance et le handicap"; le 3e, Yvon Laurans, les "sports, les animations et équipements sportifs" et est "correspondant défense"; la 4e, Nathalie Barnet, en charge de la transition écologique et du développement durable"; la 5e, André Laurent, "les affaires culturelles, la langue bretonne"; la 6e, Valérie Scattolin, adjointe en charge du "tourisme, du commerce et de l'animation de centre-ville", le 7e, Fréderic L'aminot, en charge des "affaires scolaires"; la 8e, Laëtitia Tosser, en charge de la "vie citoyenne et associative, référente démocratie participative et des conseils de quartier", et enfin, le 9e, Jérôme Plouzen, en charge des "travaux et de l'urbanisme". 

Des indemnités revues. La tendance du maire à ne pas prendre le montant total des indemnités proposées, aux bénéfices des autres membres du conseil, se confirme avec le mandat de Jean-Paul Vermot. Cette fois, la volonté marque un pas de plus en "baissant de 9,21%" l'indemnité du premier édile  au profit d'une "augmentation de celle des adjoints et des conseillers". Du fait que Morlaix est "attributaire de la dotation de solidarité urbaine et de cohésion sociale" et qu'elle est également "chef-lieu d'arrondissement", des majorations sont prises en compte dans le calcul des indemnités. Au final, ont été votés, avec 7 abstentions de l'opposition, un montant brut de 3558,62€ à Jean-Paul Vermot maire; 1017, 15€ aux neufs adjoints; 171,13€ pour les 16 conseillers délégués et 90,23€ pour les conseillers municipaux (opposition).        

Des commissions. Plusieurs élections ont eu lieu pour désigner notamment les membres des commissions ou encore les représentants du conseil au sein d'organismes et structures extracommunales. A noter que, pour la commission d'appel d'offres, siégeront Jérôme Plouzen, Yvon Laurans, Valérie Scattolin, Patricia Stephan, ainsi qu'Annie Piriou et pour la commission de délégation de service public, Nathalie Barnet, Catherine Tréanton, Laëtitia Tosser, Ahamada Zoubeiri et Jean-Charles Pouliquen.

La crise sanitaire marque le conseil

Nul doute que ce conseil du 24 juillet était copieux avec 33 points à l’ordre du jour, dont une grande part sur les presque trois heures de tenue, consacrée au compte de gestion 2019 du budget de la commune et des budgets annexes (voté, abstention de la majorité) et au compte administratif 2019 (voté, abstention de la majorité)…

Des subventions exceptionnelles

Nul doute également que la crise sanitaire a marqué ce conseil. À commencer par le protocole sanitaire imposé dans la salle puis ensuite à lire et écouter les derniers chiffres du budget de la ville qui dévoilaient « une subvention exceptionnelle de 15 000 € attribuée afin d’aider certaines associations à vocation sociale et caritative après la crise sanitaire », « une subvention exceptionnelle de 10 000 € octroyée au CCAS pour une aide de sortie de crise », « une subvention d’équilibre versée à la cuisine centrale de 277 000 € suite à la crise sanitaire et à la fermeture des écoles », une autre « versée au Parc de Langolvas de 13 000 € suite à l’annulation des événements sur la période » ou encore « la mise en place d’un abattement de 20 % sur la taxe locale sur la publicité extérieure » liée encore à la « crise sanitaire et l’impact économique »…

Le projet d’autres animations estivales suspendues

D’autres crédits étaient prévus pour mettre en place « des animations estivales ». Mais comme l’a expliqué Jean-Paul Vermot, « le contexte des derniers jours » a fait suspendre ce projet. Seule est maintenue une « action à venir avec l’association des commerçants », qui n’a pas été dévoilée avant une grande réunion programmée lundi 27 juillet. Nul doute donc que la crise sanitaire a touché et touche encore la ville. Le maire n’a d’ailleurs pas caché que « vraisemblablement, un drive Covid serait opérationnel dès la semaine prochaine ».

Feu vert pour le skatepark à Ty Dour
Le projet de skatepark, étudié depuis des mois, a été validé en conseil municipal. L’idée de le compléter par un autre espace « plus famille », à l’image de ceux de Pleyber-Christ et de Locquénolé est aussi en réflexion.

Avis aux amateurs de roller, skate et BMX ! Le projet de skatepark, régulièrement mis en avant dans l’actualité des dernières années, est entré dans une phase très concrète : le conseil municipal a en effet validé les études de projet, fixé le coût prévisionnel définitif des travaux à 372 596, 40 € TTC, la rémunération définitive de l’équipe de maître d’œuvre à 55 889, 46 € TTC.

La construction du skatepark sera assurée par le groupement Sparfel-Heude Bâtiment, connu notamment du milieu pour avoir réalisé l’installation au Jardin Kennedy à Brest.

Pour rappel, il s’agit d’un skatepark de nouvelle génération d’une superficie d’environ 1 000 m² constitué « d’un street park destiné à tous les niveaux de pratiquants et d’un bowl destiné à un public de pratiquants initiés ».

Ce projet s’inscrit dans un aménagement d’ensemble : « la création d’un accès à partir de l’avenue de Würselen et d’un parking, la rénovation et l’extension d’un vestiaire dédié aux usagers du site et l’aménagement de nouveaux équipements sportifs complémentaires (cheminement doux, voie verte, espace multisports) ».

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25 juillet 2020 6 25 /07 /juillet /2020 05:55
Conseil municipal de Morlaix du 24 juillet 2020 - Photos Jean-Luc Le Calvez et compte rendu Ismaël Dupont
Conseil municipal de Morlaix du 24 juillet 2020 - Photos Jean-Luc Le Calvez et compte rendu Ismaël Dupont
Conseil municipal de Morlaix du 24 juillet 2020 - Photos Jean-Luc Le Calvez et compte rendu Ismaël Dupont

C'était hier, 24 juillet, le deuxième conseil municipal depuis l'élection de la nouvelle majorité municipale à Morlaix le 28 juin.

Le Conseil Municipal a duré 3 heures.

Étaient absents et avaient donné des pouvoirs : Laëtitia Tosser, Kristell Breton, Marie Simon Gallouedec, Agnès Le Brun

Il a été procédé à une nouvelle élection des adjoints car l'ordonnancement initial de la liste d'adjoints voté début juillet n'était pas conforme aux nouvelles dispositions de la loi Schiapa de décembre 2019 (on ne peut élire 1ere adjointe une femme, même quand le maire un homme, si il y a un adjoint homme de plus sur la liste que le nombre d'adjointes).

Eugène Davillers Caradec, en tant que benjamin du conseil municipal (22 ans), a fait passer l'urne pour le vote à bulletin secret et a dépouillé avec Charlotte Julie. 

La liste d'adjoints présentée par Morlaix Ensemble a été élue avec 26 voix pour, 6 abstentions, 1 bulletin nul. 

Elle se compose ainsi:

Ismaël Dupont, Premier adjoint, aux Finances et aux Ressources Humaines, cuisine centrale et police municipale

Catherine Tréanton, Deuxième adjointe, aux Affaires Sociales, à la petite enfance, aux aînés, solidarité et handicap

Yvon Laurans, Troisième adjoint, à la Jeunesse et aux Sports, délégué défense et relations extérieures

Nathalie Barnet, Quatrième adjointe, à la Transition écologique et développement durable, espaces verts et propreté urbaine

André Laurent, Cinquième adjoint, à la culture, à la langue bretonne,

Valérie Scattolin, Sixième adjointe, au commerce, animation du centre-ville et au tourisme

Fréderic L'Aminot, Septième adjoint, aux affaires scolaires

Laëtitia Tosser, huitième adjointe, à la vie associative et citoyenne, à l'état civil et à la démocratie participative et des comités de quartier

Jérôme Plouzen, neuvième adjoint, à l'urbanisme et aux travaux, gestion patrimoine et des cimetières

Après l'élection de la liste des adjoints, Jean-Paul Vermot a présenté leurs délégations et les délégations des conseillers municipaux délégués de la majorité:

Patrick Gambache, conseiller délégué Affaires générales, Personnel, Tranquillité publique et police municipale  

Maéla Burlot, conseillère déléguée Petite enfance

Marie-Françoise Madec Jacob, conseillère déléguée aux Seniors

Elodie Postollec, conseillère déléguée santé

David Guyomar, conseiller délégué handicap et à la jeunesse

Kristell Breton, conseillère déléguée écologie

Patricia Stephan, conseillère déléguée écologie

Jolan Faucheur, conseiller délégué aux affaires sportives

Edith Fer, conseillère déléguée aux affaires scolaires, aux cérémonies patriotiques

Katell Salazar, conseillère déléguée à la communication, aux cérémonies patriotiques

Ahamada Zoubeiri, conseiller délégué à la vie associative

Ghislain Guengant, conseiller délégué aux affaires de Ploujean

Elise Kérebel, conseillère déléguée à la culture

Françoise Quéinnec, conseillère déléguée à la culture

Henri Merlin Gaba Engaba, conseiller délégué aux travaux

Eugène Davillers Caradec, conseiller délégué à l'urbanisme

Au total le Conseil Municipal se compose de 33 élus, dont 26 pour la majorité, 7 pour l'opposition

***

La commission d'appel d'offres a été élue, elle comprend en titulaires: Jérôme Plouzen, Yvon Laurans, Valérie Scattolin, Patricia Stephan, Annie Piriou, et en suppléants Ghislain Guengant, Henri Merlin Gaba Engaba, Elise Kerebel, Patrick Gambache et Georges Auregan.

La commission de délégation de service public a été élue, avec en titulaire Nathalie Barnet, Catherine Tréanton, Laetitia Tosser, Ahamada Zoubeiri, Jean-Charles Pouliquen, et en suppléants Eugène Davillers Caradec, Kristell Breton, André Laurent, Maéla Burlot, Agnès Le Brun

La commission consultative des services publics locaux a été élue aussi, avec en associations représentées L'association des commerçants Morlaix Nouvelle Vague et UFC Que choisir et en titulaire Nathalie Barnet, Catherine Treanton, Laëtitia Tosser, Jean-Charles Pouliquen, et en suppléants, Eugène Davillers-Caadec, Kristell Breton, André Laurent, Agnès Le Brun

La commission consultative des impôts directs, c'est à dire la première liste de titulaires et suppléants entre lesquels choisiront 8 membres titulaires et 8 membres suppléants les membres des Finances Publiques, a également fait l'objet d'un vote. 16 titulaires proposés par la majorité et l'opposition: Annie Bergot-Le Calvez, Marie-Hélène Le Guen, Sébastien Portier, Youssouf Zaïnaba, Ismaël Dupont, Aurélia Sophie-Keruzec, Hervé Le Jeune, André Paulus, Michelle Gambache, Yvon Guyomar, Jean-Claude Le Bras, Christian Spagnol, Sabine Petton, Serge Moulec, Alain Daniellou, Marlène Tilly. Et les 16 suppléants proposés par la majorité et l'opposition: Gilles Barnet, Valérie Scattolin, Yvon Laurans, Laëtitia Tosser, Ghislain Guengant, Marie-Françoise Madec, Andé Laurent, Patricia Stephan, Henri Merlin Gaba Engaba, Maëla Burlot, Ahamada Zoubeiri, Jolan Faucheur, Camille Rivoalen, Bernard Fouler, Thomas de Roux, Mendy Maillot

Il a également été procédé à la désignation des représentants du conseil municipal au sein des organismes et structures extra-communales:

AEP Skol Diwan Montroulez: Fréderic L'Aminot, titulaire, Edith Fer, suppléante

Aides et soins à domicile des Pays de Morlaix: Marie-Françoise Madec titulaire, Elise Kerebel suppléante

ASAD: Catherine Tréanton et Eugène Davillers Caradec titulaires, Ahamada Zoubeiri et Katell Salazar suppléants

Association Courses pédestres Saint-Pol-Morlaix: Yvon Laurans et Jolan Faucheur, titulaires, Laëtitia Tosser et Elodie Postollec suppléants

ART (Association Recherche travail): Catherine Tréanton titulaire, Patricia Stephan suppléante

Cercle Edouard et Tristan Corbière: André Laurent titulaire, Katell Salazar suppléante

Collège du Château: Fréderic L'Aminot titulaire, Edith Fer suppléante

Collège Mendès France: Edith Fer titulaire, Fréderic L'Aminot suppléante

Morlaix-Réo, comité de jumelage coopération décentralisée: Yvon Laurans titulaire, Jérôme Plouzen suppléant

Conseil de surveillance CHPM hôpital de Morlaix: Jean-Paul Vermot

Comité de jumelage Morlaix-Truro: Yvon Laurans, Jérôme Plouzen, Charlotte Julie titulaires, Eugène Davillers Caradec, Kristell Breton, Christophe Stewart suppléants

COS (comité des œuvres sociales ville de Morlaix): Catherine Tréanton, Ismaël Dupont, Annie Piriou, titulaires; Patrick Gambache, Valérie Scattolin, Jean-Charles Pouliquen  

Établissements privés sous contrats d'associations: Patrick Gambache titulaire, Catherine Tréanton, suppléante

GRETA d'Armorique: Katell Salazar titulaire, Jérôme Plouzen suppléant

L'Entresort: André Laurent titulaire, Elise Kerebel suppléante

La Courte échelle (Ti an Oll): Catherine Treanton, titulaire, Maëla Burlot, suppléante

La Récré: Catherine Tréanton, Maéla Burlot, Marie Gallouedec, titulaires, Ahamada Zoubeiri, Eugène Davillers Caradec, Annie Piriou, suppléants

La Salamandre: André Laurent titulaire, Françoise Quéinnec suppléante

Le Patio: André Laurent et Ismaël Dupont, Georges Aurégan, titulaires, Patricia Stephan, Charlotte Julie et Eugène Davillers-Caradec suppléants

Les Moyens du Bord: André Laurent titulaire, Françoise Quéinnec suppléante

Lycée Tristan Corbière: Fréderic L'Aminot, titulaire, Edith Fer suppléante

Lycée Agricole Suscinio: Marie-Françoise Madec titulaire, Elise Kerebel suppléante

Maison des Jeunes et de la Culture (MJC): Eugène Dabillers-Caradec, Yvon Laurans, titulaires, Patricia Stephan, Jolan Faucheur suppléants

Maison Familiale de Kerozar: Ghislain Guengant titulaire, Nathalie Barnet suppléante

Mission locale Pays de Morlaix: Catherine Tréanton titulaire, Yvon Laurans suppléante

Morlaix Animation Jeunesse (MAJ): Ahamada Zoubeiri, David Guyomar, André Laurent, Yvon Laurans, Charlotte Julie, titulaires; Elodie Postollec, Kristell Breton, Fréderic L'Aminot, Eugène Davillers-Caradec, Marie Gallouedec, suppléants

Office des retraités et personnes âgées de Morlaix (ORPAM): Ismaël Dupont, Marie-Françoise Madec, Patrick Gambache, Laëtitia Tosser, Marie Gallouedec, Charlotte Julie, titulaires; Catherine Tréanton, Henri Merlin Gaba Engaba, Jérôme Plouzen, Maëla Burlot, Christophe Stewart, Jean-Charles Pouliquen, suppléants 

RESAM: Laetitia Tosser titulaire, Patrick Gambache suppléant

PAPI (Gemapi): Patrick Gambache titulaire, Yvon Laurans suppléant

Sec/W: Valérie Scattolin titulaire, Patricia Stephan suppléante

Théâtre Pays de Morlaix: André Laurent, Elise Kerebel, Georges Auregan, titulaires, Françoise Quéinnec, Ismaël Dupont, Christophe Stewart, suppléants

WART: Kristell Breton titulaire, Jérôme Plouzen, suppléant

SDEF: Jérôme Plouzen, Jean-Charles Pouliquen, titulaires, Nathalie Barnet, Christophe Stewart, suppléants

Conseil de Sécurité, et de Prévention de la Délinquance: David Guyomar (tit), Eugène Davillers-Caradec (Sup)

Commission de contrôle des listes électorales: Patrick Gambache, Elodie Postollec, Ismaël Dupont, Agnès Le Brun, Annie Piriou (Tit), Henri Merlin Gaba Engaba, Yvon Laurans, Laëtitia Tosser, Georges Auregan, Jean-Charles Pouliquen (Sup)

Fondation Massé-Tévidy: David Guyomar (Tit), Patrick Gambache (Sup)

Belizal: Marie-Françoise Madec (Tit), Eugène Davillers Caradec (sup)

SAFI: Jérôme Plouzen (Tit), Patrick Gambache (Sup)

Syndicat mixte de protection et de conservation du littoral (Vigipol): : Nathalie Barnet (Tit), Henri Merlin Gaba Engaba (sup)

Infra Polmar: Jérôme Plouzen (tit), Ghislain Guengant (sup)

Resagri (Anciennement chambre d'agriculture): Yvon Laurans (tit), Henri Merlin Gaba Engaba (sup)

Chambre des métiers: Patrick Gambache (tit), David Guyomar (sup)

Commission des marchés et de la foire haute: Valérie Scattolin, Patricia Stephan, Jolan Faucheur (titulaires), André Laurent, Fréderic L'Aminot, Jérôme Plouzen (suppléants)

FLAJ (fonds local d'aide à l'initiative des jeunes): David Guyomar, Yvon Laurans (titulaires), Catherine Tréanton (suppléante)

CLAVAP: Jérôme Plouzen, Laetitia Tosser, Ismaël Dupont, Marie-Françoise Madec, Ghislain Guengant, Elise Kerebel (titulaires), Yvon Laurans, Françoise Quéinnec, Henri Merlin Gaba Engaba, Maela Burlot, Ahamada Zoubeiri, Kristell Breton (suppléants)

CDAC: Jean-Paul Vermot, Valérie Scattolin, Patrick Gambache (Tit), Ahamada Zoubeiri, Katell Salazar, Ismaël Dupont (sup)

Fonds de solidarité pour le logement: Catherine Tréanton (tit), Jérôme Plouzen (sup)

Commission locale de lutte contre les exclusions: Catherine Tréanton (tit), Elodie Postollec (sup)

***

Vote des indemnités des élus:

Baisse de 9,21%" de l'indemnité du maire au profit d'une "augmentation de celle des adjoints et des conseillers". Du fait que Morlaix est "attributaire de la dotation de solidarité urbaine et de cohésion sociale" et qu'elle est également "chef-lieu d'arrondissement", des majorations sont prises en compte dans le calcul des indemnités. Au final, ont été votés, avec 7 abstentions de l'opposition, un montant brut de 3558,62€ (2245€ net) à Jean-Paul Vermot maire; 1017, 15€ brut (726€ net) aux neufs adjoints; 171,13€ brut pour les 16 conseillers délégués et 90,23€ brut pour les conseillers municipaux (opposition).        

***

- Vote d'une ligne de crédit de 29 170€ pour la formation des élus

- Autorisation d'emploi d'un collaborateur de cabinet

- Vote du compte de gestion 2019 et des budgets annexes: 26 abstentions (majorité), 7 voix pour (opposition)

- Vote et débat sur le compte administratif 2019 et les budgets annexes: 26 abstentions (majorité), 7 voix pour (opposition)

- Affectation des résultats 2019

- Décision modificative budgétaire n°1 tenant compte d'un coût lié à la baisse des recettes due à l'épidémie de Covid-19 de 500 000€ et d'un effort de solidarité exceptionnel de 50 000€ reparti sur l'aide sociale (doublement du budget de la commission d'attribution des aides exceptionnelles du CCAS, porté à 20 000€ au lieu de 10 000€, ouverture d'une ligne de 15 000€ pour le soutien exceptionnel aux associations caritatives), 25 000€ mis dans le soutien à l'animation commerciale et à l'animation du centre-ville.

- Emprunt bancaire de 3,2 millions pour financer l'investissement auprès de la Société Générale (taux d'intérêt fixe de 0,68% pour un remboursement sur 20 ans)

- Abattement de 20% sur la taxe locale sur la publicité extérieure

- Financement du Skate Park avec un accès à la Boissière avenue de Würselen: 372 596, 40€ TTC. Signature du marché

- Accords cadres et marchés pour les denrées alimentaires de la restauration collective

- Fourniture et livraison de tickets restaurants pour les agents de la collectivité

- Coûts supplémentaires pour les travaux sur la plateforme culturelle rue de Paris

- Renouvellement de la convention d'objectifs et de mise à disposition des locaux avec le Patio

- Aide aux familles pour la pratique musicale et artistique au Patio sur critère de quotient familial avec participation de la ville (l'an passé, un montant d'aides de 19 000€)

- Tarifs dégressifs de cantine scolaires, de garderie municipale, d'accueil de loisirs maternel, la Ferme des enfants: inchangé

- Soutien à l'initiation au breton dans les écoles primaires publiques: 25 classes concernées, participation de la ville pour 15 015€, du département pour 22 500€, de la Région Bretagne pour 7 485€

- Mise à disposition des équipements sportifs: autorisation de signature de convention

- Avenant de prolongation de la convention d'objectifs avec la Région Bretagne, Morlaix-Communauté, la ville de Morlaix, et l'association WART

- Bilan des acquisitions et cessions immobilières 2019

- Acquisition d'emprises foncières rue du Poulfanc et vente du lot n°2 au lotissement communal rue de Réo

- Convention avec le SDEF

 

 

 

 

 

 

 

 

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24 juillet 2020 5 24 /07 /juillet /2020 05:55
Le nouveau conseil municipal, ici, dans la salle du conseil de l’hôtel de ville de Morlaix. (Le Télégramme/Cécile Renouard)

Le nouveau conseil municipal, ici, dans la salle du conseil de l’hôtel de ville de Morlaix. (Le Télégramme/Cécile Renouard)

A l'ordre du jour du prochain conseil municipal de Morlaix, le vendredi 24 juillet à 18h30, le deuxième depuis l'élection de la nouvelle équipe majoritaire de gauche:

- Élection des adjoints et présentation de leurs délégations, de la délégation des conseillers municipaux délégués

- Désignation des élus au sein des commissions, structures et organismes divers

- Commission de délégation de service public: désignation des membres

- Commission consultative des services publics locaux: désignation des membres

- Commission consultative des impôts directs: désignation des membres

- Désignation des représentants du conseil municipal au sein des organismes et structures extra-communales

- Commissions communales pour l'accessibilité: désignation des membres

- Délibération fixant le montant des indemnités de fonction du maire, des adjoints et conseillers municipaux

- Exercice du droit à la formation des élus

- Autorisation d'un collaborateur de cabinet

- Vote du compte de gestion 2019 du budget de la commune et des budgets annexes

- Vote du compte administratif 2019 du budget de la commune et des budgets annexes

- Affection des résultats 2019

- Décision modificative n°1 du budget de la commune et des budgets annexes prévoyant notamment un plan de soutien post-covid à l'animation du centre-ville et au commerce (25 000€) et au social (25 000€)

- Autorisation de signature d'un emprunt bancaire

- COVID 19 - Mise en place d'un abattement sur la taxe locale sur la publicité extérieure

- Marché de maîtrise d’œuvre pour la création du skatepark à La Boissière - fixation du coup prévisionnel des travaux et du forfait définitif de rémunération   

- Fourniture de denrées alimentaires pour les besoins de la cuisine centrale

- Fourniture et livraison de titres de restauration pour les personnels de la ville et du CCAS

- Avenant pour les travaux de construction d'une plateforme culturelle à Morlaix

- Renouvellement de la convention d'objectifs et la mise à disposition de locaux avec l'association Le Patio - Centre d'initiation aux Arts

- Le Patio - Aide aux familles pour l'année 2020

- Tarifs dégressifs de cantines et garderies (inchangés par rapport à l'an passé)

- Dispositif d'initiation au breton dans les écoles primaires publiques de la ville en 2020-2021: engagement financier de la ville maintenu

- Mise à disposition des équipements sportifs

- Convention d'objectifs avec la Région Bretagne, Morlaix Communauté, la ville de Morlaix et Wart

- Bilan des acquisitions et cessions immobilières

- Acquisition d'entreprises foncières

- Lotissement communal rue de Réo: vente du numéro 2

- Convention avec le SDEF (syndicat départemental d'énergie et d'équipement)

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22 juillet 2020 3 22 /07 /juillet /2020 05:30
les communistes veulent la gratuité des masques et ont déposé une proposition de loi en ce sens le 18 juin, rejetée par la LREM!
😷Gratuité des masques😷
Dans un article de son journal du 20h, France 2 a annoncé que le gouvernement avait mis en place la gratuité des masques pour une partie des français suite à la demande de LFI et du PS.
Oubliant au passage, le PCF qui a demandé depuis des mois la gratuité des masques pour TOUS les français.
Quand le PCF va t’il être reconnu pour ce qu’il est, et nommé au sein de journaux télévisés nationaux qui plus est publics ?...
Enzo de Gregorio, 21 juillet 2020 
 
Fabien Roussel, député du Nord, secrétaire national du Parti Communiste:
Notre proposition de loi pour la gratuité des masques était à l'ordre du jour de l'Assemblée Nationale, le 18 juin. Ce texte engageait aussi la Sécurité sociale à acheter la production française. La majorité LREM-MODEM a voté contre. Mais il n'est pas trop tard pour bien faire !

 

Accès gratuit aux masques pour chaque assuré de la sécurité sociale

présentée par Mesdames et Messieurs

Fabien ROUSSEL, Pierre DHARRÉVILLE, Huguette BELLO, Moetai BROTHERSON, Alain BRUNEEL, MarieGeorge BUFFET, André CHASSAIGNE, JeanPaul DUFRÈGNE, Elsa FAUCILLON, Manuéla KÉCLARD–MONDÉSIR, Sébastien JUMEL, JeanPaul LECOQ, JeanPhilippe NILOR, Stéphane PEU, Gabriel SERVILLE, Hubert WULFRANC,

député·e·s.

– 1 –
EXPOSÉ DES MOTIFS

Mesdames, Messieurs,

Il a fallu de longues semaines à la France pour se rendre à l’évidence : oui, le port du masque de protection partout et pour tous est bien indispensable en cas de pandémie grave d’un virus empruntant les voies respiratoires.

C’est ce qu’a confirmé l’Académie nationale de médecine dans un communiqué publié le 2 avril.

« Il est établi que des personnes en période d’incubation ou en état de portage asymptomatique excrètent le virus et entretiennent la transmission de l’infection. En France, dans ce contexte, le port généralisé d’un masque par la population constituerait une addition logique aux mesures barrières actuellement en vigueur ». Message reçu par le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) qui préconise à son tour, dans un avis diffusé le 24 avril « de rendre obligatoire le port d’un masque grand public dans les établissements recevant du public, dès lors que la distance physique d’au moins 1 mètre ne peut être garantie ou s’il y a un doute sur la possibilité de l’organiser et la respecter ».

Le 28 avril, à l’Assemblée nationale, le Premier ministre définit les conditions d’obligation du port du masque : « S’il ne sera pas obligatoire dans la rue, par exemple, il le sera dans les transports en commun. On parle là essentiellement des masques en tissu, ceux chirurgicaux et FFP2 restant réservés en priorité aux professionnels de santé. » La machine est lancée. Fin mars, la France a passé une commande à la Chine d’un milliard de masques « grand public » pour se mettre en ordre de bataille.

Au‑delà des problèmes d’approvisionnement, la question qui se pose est celle de la santé publique.

D’un côté, les scientifiques recommandent le port du masque pour rompre la chaîne de circulation du virus et de l’autre, il est obligatoire dans de nombreuses situations, sous peine d’amende.

Si le port du masque n’est pas l’unique moyen de lutter contre la propagation du virus, il est donc reconnu comme un outil important et même nécessaire.

Ce constat étant posé, l’accès aux masques n’est pas aisé. L’offre n’est pas encore au niveau de la demande et le coût en reste élevé.

Marché noir et contrebande

Début avril, la région Île‑de‑France s’est fait souffler un marché au dernier moment, victime d’une offre américaine à un prix trois fois supérieure à celui annoncé. Pire encore, le 7 mai, plusieurs communes de Seine‑Saint‑Denis se sont fait dérober, à la frontière espagnole, une commande de 500 000 masques en tissu, d’une valeur de 112 000 euros.

Fortement sollicitée par les états du monde entier, la production chinoise est sous tension. Avant la crise sanitaire, la Chine fabriquait vingt millions de masques par jour. Fin mars, la France en a commandé un milliard, soit, en temps normal, deux mois de production chinoise, uniquement pour notre pays ! C’est‑à‑dire seulement pour 67 millions d’habitants, sur 400 millions d’Européens, auxquels s’ajoutent 350 millions d’Américains. Même si elles ont fait monter leur production jusqu’à 120 millions de masques par jour, impossible pour les usines chinoises de couvrir la demande mondiale.

Un véritable marché noir s’est alors ouvert autour des masques chirurgicaux. Depuis la réquisition des stocks par l’État, plusieurs affaires de ventes illégales de masques ont été traitées par la police et la justice. Ainsi, 32 500 masques ont été saisis dans un entrepôt de Saint‑Ouen (Seine‑Saint‑Denis), 28 800 dans une boutique de grossistes chinois à Aubervilliers, 20 000 chez un particulier du XIXe arrondissement et autant chez une gérante d’agence de voyages du XIIIe arrondissement… Début avril, le parquet de Paris indiquait avoir ouvert une quinzaine d’enquêtes pour des faits similaires.

Pénurie de masques, mauvaise gestion, acheminement chaotique ont parfois mis les collectivités en concurrence et ont eu de lourdes conséquences dans les secteurs de la santé et du médico‑social. Si le milieu hospitalier, et les Ehpad ont été particulièrement touchés, de nombreux cabinets ont dû fermer, entraînant de grosses difficultés pour les personnels mais également des retards, voire des renoncements aux soins pour des milliers de personnes. À titre d’exemple, 5 % seulement des cabinets dentaires sont restés ouverts dans notre pays, alors qu’en Allemagne, ils étaient 85 % !

Prix du masque

Dans un tel contexte, l’obligation de porter un masque dans les transports en commun n’impacte pas tous les Français et toutes les Françaises de la même façon. La crise économique, qui s’ajoute à la crise sanitaire, ne les affecte pas à égalité. Elle prive d’emploi ou place en chômage partiel plus de 12 millions de personnes depuis la mi‑mars. Malgré les soutiens de l’État, 31 % des Français·es déclarent que leurs revenus personnels en sortent amoindris, selon une enquête de l’Institut Kantar, réalisée mi‑avril. Or avant même l’irruption du covid‑19 dans leur quotidien, un tiers des ménages peinait déjà à joindre les deux bouts.

Si le Gouvernement a bien plafonné le prix de vente des masques chirurgicaux dans la grande distribution, ce prix, selon des enquêtes conduites par les associations de consommateurs, a déjà été multiplié par 6 ou 7 depuis le 15 mars dernier dans les autres circuits de vente.

Une boite de 50 masques chirurgicaux qui coûtait entre 6 et 7 euros dans une pharmacie coute aujourd’hui plus de 40 euros !

Pour un couple avec deux enfants allant au lycée ou au collège, l’achat des masques pour toute la famille et pour une durée d’un mois représente une somme de 200 euros.

Si pour ce mois de mai, de nombreuses mairies ou collectivités telles que les conseils régionaux, départementaux ou EPCI ont distribué des masques à leurs administré·es, qu’en sera‑t‑il le mois prochain ?

L’État a participé une première fois à l’achat de ces masques en finançant pour moitié les commandes des collectivités mais n’a pas prévu de renouveler cette opération.

À partir du mois de juin, nos concitoyennes et concitoyens devront donc aller acheter leurs masques pour pouvoir se rendre au travail, aller faire leurs courses ou pour rendre visite à des parents sans craindre d’attraper le virus ou de le transmettre.

Seuls ceux qui ont une pathologie grave ont le droit à une prescription médicale et peuvent se faire rembourser l’achat de masque par la sécurité sociale.

Mais pour les autres, pour des millions de foyers, il n’est pas envisageable de consacrer entre 30 et 50 euros mensuels par personne pour se procurer des masques chirurgicaux en nombre suffisant.

D’autant que pour être efficaces, ceux‑ci doivent être changés toutes les quatre heures.

Quant aux masques en tissu, dont le prix varie entre deux et sept euros, ils ne sont lavables qu’un certain nombre de fois. Des initiatives ont été lancées dans beaucoup de communes pour pallier ces difficultés. Et ce n’est pas aux collectivités de prendre en charge un tel enjeu de santé publique.

100 % remboursé par la sécurité sociale

Il est urgent de mettre fin à cette guerre des masques comme à la contrebande qui va se développer au fil des semaines. La santé de nos concitoyens ne doit pas dépendre de leur pouvoir d’achat. C’est la raison pour laquelle nous souhaitons que l’État prenne la décision de rendre accessibles les masques à toute la population, au même titre qu’il le fait pour l’accès aux soins et aux médicaments.

Le masque est un instrument de santé

Il doit donc revenir à la sécurité sociale d’assumer la prise en charge des masques à 100 %, pour chacune et chacun de ses assurés.

Cela existe déjà pour des matériels et dispositifs médicaux pris en charge à 100 % par la sécurité sociale, comme les appareillages de type béquille, minerve, attelles, les pansements et autres ustensiles de soins, les prothèses…

Cette dépense, évaluée à 200 millions d’euros par mois, serait imputée, durant toute la durée de l’épidémie, au budget de la branche maladie.

Une telle décision contribuerait, selon la majorité des scientifiques, à un renforcement de la lutte contre la circulation de l’épidémie et par là même, au contrôle des dépenses de santé. La diminution du nombre de personnes infectées allégerait automatiquement la charge supportée par la sécurité sociale et serait source, au final, d’importantes économies.

En pratique, chaque assuré·e aurait droit à un certain nombre de masques grand public et chirurgicaux remboursés par mois, et cela jusqu’à la fin de la pandémie. À défaut de carte vitale, le citoyen pourrait aller retirer auprès de sa caisse d’assurance maladie un bon physique lui ouvrant les mêmes droits, renouvelables chaque mois.

Protéger ainsi, de la façon la plus équitable possible, l’ensemble des Françaises et Français de l’hexagone et des Outre‑mer grandirait notre Nation, dans le respect de nos valeurs républicaines.

Et si les masques 100 % sécu favorisaient un effort de production locale

La présente résolution pourrait enfin inviter la France à être plus volontariste dans la production des masques, afin de participer à l’effort de fabrication et de relocalisation pour répondre aux besoins tant humains qu’environnementaux.

Quelle belle ambition face à une telle pandémie : protéger tous ses citoyens et citoyennes et favoriser en même temps l’emploi en mobilisant ses forces productives !

PROPOSITION DE RÉSOLUTION
  • L’Assemblée nationale,
  • Vu l’article 34‑1 de la Constitution,
  • Vu les articles 1er  à 6 de la loi organique n° 2009‑403 du 15 avril 2009 relative à l’application des articles 34‑1, 39 et 44 de la Constitution,
  • Vu l’article 136 du Règlement de l’Assemblée nationale,
  • Vu le livre 3 du code de la sécurité sociale, notamment les titres I et II,
  • Vu le livre premier du code de la santé publique, notamment le titre III,
  • Vu le décret n° 2020‑506 du 2 mai 2020 complétant le décret n° 2020‑293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid‑19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire,
  • Considérant les préconisations de l’Académie nationale de médecine et du Haut Conseil de santé publique sur la généralisation du masque dans l’espace public comme instrument de santé publique pour lutter contre l’épidémie ;
  • Considérant l’obligation de porter un masque dans les transports
  • Considérant la forte demande et l’accès toujours difficile aux masques de protection ;
  • Considérant l’aggravation significative de la situation économique et sociale de nombreux foyers depuis le début de la crise ;
  • Considérant, pour un foyer modeste, le coût conséquent que représente l’achat régulier de masques de protection malgré l’encadrement des prix ;
  • Invite le Gouvernement à rendre accessibles à toute la population les masques de protection, en mettant en place un dispositif de distribution coordonné par l’assurance maladie avec le réseau national de pharmacies.
  • Invite le Gouvernement à mettre en œuvre une prise en charge à 100 % des masques par l’assurance maladie.
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20 juillet 2020 1 20 /07 /juillet /2020 08:21
BRUNO JACQUIN SERA A MORLAIX LE SAMEDI 25 JUILLET - Librairie Dialogues à 10h30 et Rencontre au Bar des deux rivières avec l'AFPS à 18h
AUTEUR DE ROMANS POLICIERS, INVITE PAR L'AFPS du PAYS de MORLAIX, 
BRUNO JACQUIN SERA A MORLAIX LE SAMEDI 25 JUILLET

 

pour présenter son dernier roman Quand hurlent les hyènes* et nous parler de sa démarche d'écriture résolument inscrite dans l'actualité politique, nationale et internationale, les 2 pol comme il le dit lui-même sur son site, un pour Polar et l'autre pour Politique...  les2pol.wixsite.com/brunojacquin
 
 
Deux rencontres publiques (à ne pas louper) sont prévues 
avec cet auteur engagé, ami de la Palestine : 
En matinée pour une dédicace à la librairie Dialogues de 10h 30 à 12 h
et à 18 H pour une rencontre conviviale au bar des Deux Rivières, place de la Madeleine.
 
 
 
**********************************
 

QUAND HURLENT LES HYENES

De Bruno Jacquin

Ed Cairn - juin 2020 - 10 €

 

Avec son troisième roman, Bruno Jacquin, prouve une fois de plus avec talent que l’actualité politique peut être prétexte à des intrigues policières réellement bien ficelées et agréables à lire. Des enquêtes qui tiennent le lecteur en haleine tout en lui fournissant des clés de compréhension du monde tel qu’il va mal…

 

Le récit commence dans le quartier de Silwan à Jérusalem-Est et se termine dans la rue Mea Shearin à l’Ouest de la ville sainte. Pour autant, les protagonistes de l’histoire sont entrainées essentiellement entre Paris, Bayonne et Toulouse où ils croiseront même des militants de... l’Afps.

 

Le vieil homme juif, assassiné près de chez lui, à Bayonne est membre de l’Ujfp et de l’association Zokhot et c’est lui, qui lors d’une mission en Palestine, a servi de guide au principal suspect de ce meurtre antisémite. L’enquête est menée tambour battant par Leïla Laoudi, journaliste au Messager…

 

 

Pour en savoir plus sur les romans et la démarche de Bruno Jacquin, on peut consulter son site et sa page Facebook :

https://les2pol.wixsite.com/brunojacquin

 
 
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18 juillet 2020 6 18 /07 /juillet /2020 12:27

Conseil communautaire du 16 juillet 2020: les 3 nouveaux élus communautaires adhérents du Parti communiste à Morlaix Communauté (sur 51) : Ismaël Dupont, Valérie Scattolin, Roger Héré, vice-président au Transport et Mobilités.

Ces 3 élus communautaires représentent aussi 19 élus municipaux communistes et apparentés sur le territoire de Morlaix-Communauté depuis les élections municipales de mars et juin 2020.

Dans l'ensemble du territoire de Morlaix-Communauté, ce seront donc en tout 19 élus communistes et sympathisants qui travailleront pour les intérêts des citoyens: 8 à Plouigneau (6 adhérents et 2 sympathisants, avec notamment Roger Héré et Christophe Boudrot, adjoints, Daniel Duval, adjoint, Mariane Gauthier Destable, Julie Hamon, Patrick Béguivin, Annick Le Guern,) un adjoint à Guimaëc (Jéremy Lainé), un conseiller municipal à Saint-Thégonnec-Loc-Eguiner, le plus jeune élu de la région, Corentin Derrien, 8 élus à Morlaix (5 adhérents, et 3 sympathisants):  Ismaël Dupont, Valérie Scattolin, Fréderic L'aminot, adjoints, Marie-Françoise Madec Jacob, Maéla Burlot, Eugène Davillers Caradec, Elise Kérebel,Patrick Gambache, conseillers délégués; Martine Carn, élue d'opposition à Plougonven 

Parmi ces élus, 15 d'entre eux sont des nouveaux élus!

On avait pas vu ça depuis longtemps.

Photos Jean-Luc Le Calvez

Roger Héré - Conseil communautaire du 16 juillet 2020 - Photo Jean-Luc Le Calvez

Roger Héré - Conseil communautaire du 16 juillet 2020 - Photo Jean-Luc Le Calvez

Valérie Scattolin - Conseil communautaire du 16 juillet 2020 - Photo Jean-Luc Le Calvez

Valérie Scattolin - Conseil communautaire du 16 juillet 2020 - Photo Jean-Luc Le Calvez

Ismaël Dupont - Conseil communautaire du 16 juillet 2020 - Photo Jean-Luc Le Calvez

Ismaël Dupont - Conseil communautaire du 16 juillet 2020 - Photo Jean-Luc Le Calvez

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18 juillet 2020 6 18 /07 /juillet /2020 12:09
Le président de la région Bretagne s'engage auprès des salariés de Hop! Morlaix et des élus du territoire

Le président de la région Bretagne Loïc Chesnais-Girard a rencontré les représentants des salariés de Hop ! Morlaix, vendredi 17 juillet. Il a renouvelé son soutien envers le site qui emploie 276 personnes.

Avec Jean Paul Vermot, Maire de Morlaix et président de la communauté d'agglomération, Valérie Scattolin, adjointe au maire, salariée de Hop!, et responsable syndicale, d'autres salariés de Hop!, et Jean Luc Fichet, Sénateur, il a eu une réunion de travail avec les représentants des salariés de HOP Morlaix.

Les réponses de Air France ne sont pas acceptables.

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