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26 septembre 2022 1 26 /09 /septembre /2022 05:23
Pour nos salaires, nos retraites, nos conditions de travail, nos services publics, le 29 septembre, on est en grève, en manifestation et on se bat pour une politique de progrès social!
Pour nos salaires, nos retraites, nos conditions de travail, nos services publics, le 29 septembre, on est en grève, en manifestation et on se bat pour une politique de progrès social!

 Jeudi 29 septembre on est en grève et on manifeste notre colère.

Rappel des rassemblements :

– Brest 11h place de la Liberté

– Quimper 11h place de la Résistance

– Morlaix 11h place des Otages

– Carhaix 11h30 maison des syndicats

– Quimperlé 10h30 en face du centre Guehenno

Alors, jeudi on est en grève, on se bouge et on proteste dans la rue contre cette politique macronienne, et pour de meilleurs salaires, pour nos retraites.

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25 septembre 2022 7 25 /09 /septembre /2022 13:47
A coeur ouvert: le journal santé du PCF - octobre 2022
A coeur ouvert: le journal santé du PCF - octobre 2022
A coeur ouvert: le journal santé du PCF - octobre 2022
A coeur ouvert: le journal santé du PCF - octobre 2022
A coeur ouvert: le journal santé du PCF - octobre 2022

1500 exemplaires de ce "A cœur ouvert" d'octobre 2022 seront bientôt distribués par les militants communistes dans le Finistère, auprès des professionnels et usagers de la santé, des hôpitaux, des Ehpad, etc.

Pour en savoir plus, le blog de l'Atelier Santé PCF Bretagne:

        http://croizat-pcf.blogspot.com/

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25 septembre 2022 7 25 /09 /septembre /2022 07:57
Manifestation pour le droit au logement à Morlaix le 29 octobre, 14h
Mobilisons-nous pour le droit au logement en Bretagne, et contre l'inflation des prix des logements.
 
Après les manifs du 10 septembre à Lannion et Douarnenez, le PCF Finistère et le PCF Pays de Morlaix appellent à manifester pour l'accès au logement pour tous et toutes le samedi 29 octobre à Morlaix à 14h.
 
avec pour mot d'ordre la régulation des locations de courte durée, la taxation des résidences secondaires, l'encadrement des loyers, le refus de l'habitat indigne, l'effort financier pour le logement social et public à loyer modéré et sa présence sur tous les territoires.
 
Quand on parle de pouvoir d'achat, on parle bien de logement, c'est le premier poste de dépenses des ménages français et bretons. Intervenir pour le réguler est incontournable car ce sont les étudiants, les jeunes ménages, les familles monoparentales, en somme les classes populaires qui sont les plus touchées.
La question du logement est cruciale en ce moment. De nombreux besoins sont insatisfaits et elle est au cœur aussi des inégalités sociales qui vont en s'amplifiant avec l'inflation actuelle, produite par de nombreuses spéculations imbriquées.
 
On ressent comme jamais auparavant en Bretagne les conséquences désastreuses pour la majorité des habitants de la spéculation foncière et immobilière, de la spécialisation des territoires, du poids des résidences secondaires dans certaines communes. Ce phénomène n'est pas particulier à la Bretagne et ne se limite pas d'ailleurs aux secteurs touristiques mais à l'ensemble des zones à forte valeur spéculative. On y trouve évidemment une partie de la frange littorale mais également des villes comme Rennes,ou Brest et leurs abords résidentiels.
 
Les constats que tout un chacun peut faire - gentrification du centre des grandes villes, gentrification des zones côtières à vocation touristique, développement de locations touristiques de courte durée, éloignement des salariés des zones d'emplois ou des secteurs bien pourvus en équipements etc – ne sont que le résultat des effets pervers du marché du logement laissé hors de toute régulation publique.
 
Chacun peut aujourd'hui mesurer les dégâts d'une politique totalement tournée vers le « laisser faire », le « fil de l'eau » la réduction de l'action publique et la transformation du logement social conçu pratiquement à son origine comme un logement de service public en logement des plus démunis.
 
On peut ensuite venir nous parler de mixité sociale, de cohérence entre le lieu de travail et le domicile, de bonne gestion des mobilités, d'indispensables transitions énergétiques, sociales, environnementales, dans la réalité , on est très loin du compte.
 
Si nous voulons une société inclusive, qui respecte de droit de tous les citoyens en matière de logement et de lieux de résidence nous ne pouvons en rester là.
 
Il y a des leviers qui existent. Il faut les utiliser.
Il y a des batailles à gagner. Il faut les mener.
Il y a des objectifs à atteindre. Il faut les désigner.
 
Le Parti communiste s'est toujours battu pour le droit au logement et le droit au territoire, en témoigne par exemple, et il y en a bien d'autres, le travail de Ian Brossat à Paris pour la défense du logement social et la lutte pour encadrer airbnb et d'autres plateformes de location touristique. Les communistes se sont aussi battus à l'origine de la loi SRU pour l'obligation d'avoir une proportion minimale de logement social dans toutes les communes et des pénalités en cas de retard sur ce plan de la mixité sociale.
 
Il est grand temps de redonner toute sa place stratégique au logement de service public, au logement pour tous. Car ce qu'il est convenu d'appeler le logement social c'est d'abord le logement pour tous. On ne peut donc détourner sa mission en le limitant au logement des plus démunis. En fait le logement de service public attribué sous conditions de ressources qu'il s'agisse du logement locatif ou en accession à la propriété intéresse la grande majorité des habitants de la région et 70% d'entre y sont éligibles. C'est donc un élément majeur du droit au logement et au territoire.
 
Il faut encourager les communes les communauté des communes et d'agglomération, à utiliser tous les moyens qui sont d’ores et déjà à leur disposition pour maîtriser le foncier et les opportunités immobilières, notamment dans les secteurs où l’exclusion des couches populaires est la plus marquée ou en voie de gentrification. En gardant pour ligne de conduite l’intérêt collectif et le bien commun.
 
Les organismes du logement de service public locaux, départementaux sont des partenaires essentiels avec lesquels il convient de conclure des conventions pour des interventions ciblées destinées à promouvoir la mixité sociologique.
 
Il est temps aussi d'expérimenter des solutions nouvelles comme l'Office Foncier Solidaire qui a déjà fait ses preuves à Paris et à Rennes, l’acquisition par bail emphytéotique, l'acquisition du logement sans le terrain, offrant la possibilité aux classes moyennes et populaires de vivre dans des zones qui leur sont de fait interdites.
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23 septembre 2022 5 23 /09 /septembre /2022 05:31
Carhaix 22 septembre : 500 personnes manifestent pour la santé et le médico-social  (photos UL CGT Carhaix)
Carhaix 22 septembre : 500 personnes manifestent pour la santé et le médico-social  (photos UL CGT Carhaix)
Carhaix 22 septembre : 500 personnes manifestent pour la santé et le médico-social  (photos UL CGT Carhaix)
Carhaix 22 septembre : 500 personnes manifestent pour la santé et le médico-social  (photos UL CGT Carhaix)
Carhaix 22 septembre : 500 personnes manifestent pour la santé et le médico-social  (photos UL CGT Carhaix)
Carhaix 22 septembre : 500 personnes manifestent pour la santé et le médico-social  (photos UL CGT Carhaix)
Carhaix 22 septembre : 500 personnes manifestent pour la santé et le médico-social  (photos UL CGT Carhaix)
Carhaix 22 septembre : 500 personnes manifestent pour la santé et le médico-social  (photos UL CGT Carhaix)
Carhaix 22 septembre : 500 personnes manifestent pour la santé et le médico-social  (photos UL CGT Carhaix)
Carhaix 22 septembre : 500 personnes manifestent pour la santé et le médico-social  (photos UL CGT Carhaix)
Carhaix 22 septembre : 500 personnes manifestent pour la santé et le médico-social  (photos UL CGT Carhaix)
Carhaix 22 septembre : 500 personnes manifestent pour la santé et le médico-social  (photos UL CGT Carhaix)
Carhaix 22 septembre : 500 personnes manifestent pour la santé et le médico-social  (photos UL CGT Carhaix)
Carhaix 22 septembre : 500 personnes manifestent pour la santé et le médico-social  (photos UL CGT Carhaix)
Carhaix 22 septembre : 500 personnes manifestent pour la santé et le médico-social  (photos UL CGT Carhaix)
Carhaix 22 septembre : 500 personnes manifestent pour la santé et le médico-social  (photos UL CGT Carhaix)
Carhaix 22 septembre : 500 personnes manifestent pour la santé et le médico-social  (photos UL CGT Carhaix)
Carhaix 22 septembre : 500 personnes manifestent pour la santé et le médico-social  (photos UL CGT Carhaix)
Carhaix 22 septembre : 500 personnes manifestent pour la santé et le médico-social  (photos UL CGT Carhaix)
Carhaix 22 septembre : 500 personnes manifestent pour la santé et le médico-social  (photos UL CGT Carhaix)
Carhaix 22 septembre : 500 personnes manifestent pour la santé et le médico-social  (photos UL CGT Carhaix)
Carhaix 22 septembre : 500 personnes manifestent pour la santé et le médico-social  (photos UL CGT Carhaix)
Carhaix 22 septembre : 500 personnes manifestent pour la santé et le médico-social  (photos UL CGT Carhaix)
Carhaix 22 septembre : 500 personnes manifestent pour la santé et le médico-social  (photos UL CGT Carhaix)
Carhaix 22 septembre : 500 personnes manifestent pour la santé et le médico-social  (photos UL CGT Carhaix)

Le rassemblement des personnels de la santé et de l’action sociale, lancé à l’appel de l’USD 29, a battu son plein à Carhaix, ce jeudi. Plus de 500 personnes y ont participé.

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23 septembre 2022 5 23 /09 /septembre /2022 05:23
500 personnes au rassemblement de Carhaix pour la santé et le médico social ce 22 septembre (revue de presse Télégramme et Ouest-France)
500 personnes au rassemblement de Carhaix pour la santé et le médico social ce 22 septembre (revue de presse Télégramme et Ouest-France)
500 personnes au rassemblement de Carhaix pour la santé et le médico social ce 22 septembre (revue de presse Télégramme et Ouest-France)

Le rassemblement des personnels de la santé et de l’action sociale, lancé à l’appel de l’USD CGT 29, a battu son plein à Carhaix, ce jeudi. Plus de 500 personnes y ont participé. Les articles du Télégramme et Ouest France:

 

Finistère. À Carhaix, ces salariés du social et de la santé exigent une hausse durable des salaires
À Carhaix (Finistère), lors de la mobilisation pour le monde de la santé et du médico-social, jeudi 22 septembre 2022, des centaines de salariés ont insisté sur une revendication principale : l’augmentation durable des salaires. Venus des quatre coins du Finistère, ils témoignent.
Des salariées de l’association Appui santé Finistère sud, inclues dans le dispositif d’appui à la coordination (Dac) créé par l’Agence régionale de santé, ont aussi des revendications.
Des salariées de l’association Appui santé Finistère sud, inclues dans le dispositif d’appui à la coordination (Dac) créé par l’Agence régionale de santé, ont aussi des revendications. | OUEST-FRANCE
Ouest-France Victoria GEFFARD. Publié le 22/09/2022 à 18h54
Écouter
Ils sont tous réunis pour une revendication. Du public au privé, du médico-social ou de la santé, ces soignants, venus de tout le Finistère, veulent une augmentation durable de leurs salaires.
La mobilisation « festive » à Carhaix (Finistère) organisée par la CGT (Confédération générale du travail) leur a permis de s’exprimer jeudi 22 septembre 2022. Certains pour la première fois. Car leur « métier passion », comme dit Emmanuelle, qui préfère rester discrète sur son vrai prénom, leur permet difficilement de s’extirper, le temps de quelques heures, pour manifester. En tout, ils étaient près de 400 personnes, selon les gendarmes et la CGT.
Un salaire bloqué à 1 500 €
Elle est éducatrice spécialisée pour l’association des Papillons blancs, basée au Relecq-Kerhuon (Finistère). Après dix ans d’expérience, son salaire atteint 1 500 € nets par mois. « Je demande une revalorisation de salaire. Comme tout le monde, notre pouvoir d’achat baisse, mais nos salaires n’augmentent pas. Malgré tout, je ne changerais pas de métier », souligne-t-elle.
Des métiers moins attractifs
Elle n’est donc pas au point de jeter l’éponge, mais d’autres ont déjà franchi le pas. « J’ai vu beaucoup de jeunes collègues partir et se reconvertir car le métier n’est plus aussi attractif qu’avant. J’ai un collègue aide médico-psychologique qui s’est reconverti récemment comme serrurier », regrette Pierre-Yves Caudal, infirmier en psychiatrie à la retraite de l’établissement public de santé mentale situé à Saint-Avé (Morbihan). « Les cas d’épuisements professionnels sont beaucoup plus fréquents qu’avant. Aujourd’hui, dans le service où j’étais, ils sont trois soignants pour trente patients chaque jour. C’est intenable ».
« Nous donnons beaucoup de notre personne »
De son côté, Hélène, éducatrice spécialisée à la maison d’accueil spécialisée à Carhaix (Finistère) et non syndiquée, a 35 ans de métier. Elle travaille au contact d’adultes en situation de grande dépendance. Pour cette soignante aussi, sa rémunération n’est pas à la hauteur de sa mission.
À quelques pas, derrière elle, Julie Hamon, aide-soignante aux urgences de l’hôpital de Morlaix (Finistère) et membre de la CGT, ne dit pas autre chose. « Nous donnons beaucoup de notre personne avec des horaires atypiques. On fait face aussi à la violence verbale des patients qui râlent. Et je peux les comprendre quand on arrive à 20 heures d’attente parfois », réagit-elle.
[Julie Hamon et Pascal Kerboriou, aides-soignants au centre hospitalier de Morlaix (Finistère) demandent de travailler « dans des conditions acceptables ».]
Julie Hamon et Pascal Kerboriou, aides-soignants au centre hospitalier de Morlaix (Finistère) demandent de travailler « dans des conditions acceptables ». | OUEST-FRANCE
 
D’autres ont surtout besoin de reconnaissance. Comme Priscilla, Audrey et Hélène : elles sont toutes « coordinatrices de parcours », un nouveau métier du sanitaire, social. « Nous sommes des salariés qui compensent les failles du système de santé. Notre profession ne figure pas dans celles reconnues dans le médico-social. Tout comme nos collègues de l’administratif et de la direction », affirme Aurélie Bonnard, qui exerce entre Châteaulin et Concarneau.
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21 septembre 2022 3 21 /09 /septembre /2022 11:21
Rassemblement pour la Santé et le médico-social à Carhaix le 22 septembre - Communiqué du PCF Finistère
Il nous faut des lits, du personnel et des augmentations de salaire! 
 
Ce cri d'alarme des personnels hospitaliers, de ceux des Ehpad, du social et du médico-social résonne maintenant depuis de trop nombreuses années sans réelle prise en compte par les gouvernements successifs alors que les rapports alarmants s'accumulent dans les tiroirs ministériels depuis 20 ans.
-Le dernier en date, «la mission flash» représente avec ses propositions une nouvelle étape d'abandon de l'hôpital public, une remise en cause sans précédent du service public au profit de la médecine libérale et des établissements privés lucratifs.
 
Bien décidé à laisser étouffer l'hôpital public dans le chaos ambiant, le ministre de la santé F.Braun du nouveau gouvernement Macron, a l'intention de pérenniser les mesures de régulation des urgences d'ici la fin de l'année, réduisant ainsi l'accès au droit à la santé pour toutes et tous.
Et comble du machiavélisme, il propose à la rentrée, une «grande conférence de la santé» promise par le candidat Macron. Quel mépris pour tous les acteurs de notre système de santé qui dénoncent, preuves à l'appui, une crise sans précédent de l'hôpital public à l'échelle nationale et porteurs de propositions et de mesures immédiates. Il n’y a pas besoin d’une consultation citoyenne pour savoir qu’il faut augmenter tous les quotas de formation et, comme le propose le PCF, on pourrait salarier les jeunes pendant leur formation en échange d’un engagement de service public.
D'autant plus perfide, que pas un seul mot n'est prononcé sur un financement à la hauteur du désastre, alors que fin octobre doit être discuté par les parlementaires le nouveau Projet de loi de financement de la Sécurité Sociale pour 2023, PLFSS qui se voudrait exceptionnellement ambitieux pour répondre aux attentes fortes des professionnel-es et de la population.
 
- Le plan d'urgence proposé par le PCF, le travail de propositions de ses parlementaires suite à leur tour de France des hôpitaux, sont plus que jamais d'actualité. Avec les élu·e·s au plan local et national, les syndicats, les collectifs de défense citoyens et professionnels, la population, nous pouvons être en capacité d'exiger un système de santé et de protection sociale à la hauteur des besoins de ce 21e siècle
 
La fédération du Finistère du PCF appelle à participer au rassemblement des hospitaliers et de l'action sociale  jeudi 22 septembre à Carhaix, Place du Champ de Foire, à partir de 12h00
 
Plusieurs cars (gratuits) seront mis à disposition :
 
Le lien pour s'inscrire : https://framadate.org/U3kxjy7lVdiNfr4e
*  10h30 à Roscoff, entrée du Centre de
Perharidy
*  11h00 à Morlaix, parking Biocoop
*10h15 à Brest, Parking du polder face à
Ty-Yann
*  10h45 à Landivisiau, AC McDo
*  10h15 à Quimper, AC Pack Poulic
*  10h45 à Châteaulin, AC de Pouillot
 
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21 septembre 2022 3 21 /09 /septembre /2022 05:33
MOBILISES POUR LA SANTÉ LE 22 SEPTEMBRE
 
« Il nous faut des lits, du personnel
et des augmentations de salaire ! »

Ce cri d'alarme des personnels hospitaliers, de ceux des Ehpad, du
social et du médico-social résonne maintenant depuis de trop nom-
breuses années sans réelle prise en compte par les gouvernements
successifs alors que les rapports alarmants s'accumulent dans les ti-
roirs ministériels depuis 20 ans.Le dernier en date, «la mission flash» représente avec ses propositions une nouvelle étape d'abandon de l'hôpital public, une remise en cause sans précédent du service public au profit de la médecine libérale et des établissements privés lucratifs.

Bien décidé à laisser étouffer l'hôpital public dans le chaos ambiant,
le ministre de la santé F.Braun du nouveau gouvernement Macron, a
l'intention de pérenniser les mesures de régulation des urgences d'ici
la fin de l'année, réduisant ainsi l'accès au droit à la santé pour toutes
et tous.
Et comble du machiavélisme, il propose à la rentrée, une «grande conférence de la santé» promise par le candidat Macron. Quel mépris pour tous les acteurs de notre système de santé qui dénoncent, preuves à l'appui, une crise sans précédent de l'hôpital public à l'échelle nationale et porteurs de propositions et de mesures immédiates. Il n’y a pas besoin d’une consultation citoyenne pour savoir qu’il faut augmenter tous les quotas de formation et, comme le propose le PCF, on pourrait salarier les jeunes pendant leur formation en échange d’un engagement de service public.
 
D'autant plus perfide, que pas un seul mot n'est prononcé sur un finan-
cement à la hauteur du désastre, alors que fin octobre doit être discuté
par les parlementaires le nouveau Projet de loi de financement de la
Sécurité Sociale pour 2023, PLFSS qui se voudrait exceptionnellement
ambitieux pour répondre aux attentes fortes des professionnel-es et
de la population.
 
Le plan d'urgence proposé par le PCF, le travail de propositions de
nos parlementaires suite à leur tour de France des hôpitaux, sont plus
que jamais d'actualité. Avec les élu·e·s au plan local et national, les syndicats, les collectifs de défense citoyens et professionnels, la popula-
tion, nous pouvons être en capacité d'exiger un système de santé et de
protection sociale à la hauteur des besoins de ce 21e siècle.
 
Partout, soyons le 22 septembre avec les personnels du secteur de la santé et du médico-social, avec elles et eux nous gagnerons !
 
Le Jeudi 22 septembre  a lieu une grande Mobilisation de la Santé et l’Action Sociale à laquelle le PCF appelle à participer très nombreux dans le Finistère:   Rassemblement à Carhaix, Place du Champs de Foire, à partir de 12h00 (restauration et buvette sur place) :
 
Prise de parole
 
Concerts/Manifestation.
 
Plusieurs cars (gratuits) seront mis à disposition :
Le lien pour s'inscrire : https://framadate.org/U3kxjy7lVdiNfr4e
*  10h30 à Roscoff, entrée du Centre de
Perharidy
*  11h00 à Morlaix, parking Biocoop
*10h15 à Brest, Parking du polder face à
Ty-Yann
*  10h45 à Landivisiau, AC McDo
*  10h15 à Quimper, AC Pack Poulic
*  10h45 à Châteaulin, AC de Pouillot
Tous à Carhaix en manifestation le 22 septembre pour la Santé et l'Action sociale!
Tous à Carhaix en manifestation le 22 septembre pour la Santé et l'Action sociale!
Tous à Carhaix en manifestation le 22 septembre pour la Santé et l'Action sociale!
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18 septembre 2022 7 18 /09 /septembre /2022 08:24
Interview de Fabien Roussel - Ouest-France, 18 septembre 2022
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18 septembre 2022 7 18 /09 /septembre /2022 08:15
Roger Héré invité de Tébéo pour un débat sur les transports et mobilités avec Marie-Pierre Jean-Jacques et Yohann Nedelec - Bonjour Bretagne, 14 septembre

Mercredi 14 septembre, Roger Heré, élu PCF et vice-président Transports-Mobilités de Morlaix Communauté, était invité par Tébeo, à l'émission du journal du soir "Bonjour Bretagne", animée par les journalistes Pauline Fercot et Frédéric Lorenzon, pour débattre avec Yohann Nedelec, vice-président de Brest métropole - Mobilités, grands projets, Rade, et Marie-Pierre Jean-Jacques, Vice-Présidente de la communauté d'agglomération Quimper Bretagne Occidentale, pour parler des différentes stratégies des agglomérations finistériennes - Morlaix, Brest, Quimper - pour faire évoluer nos déplacements en fonction des enjeux sociaux et écologiques.

Une émission très intéressante à revoir sur ce lien, à partir de la 11ème minute de l'émission:

https://www.tebeo.bzh/player.php?idprogramme=11559604...

 

 

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17 septembre 2022 6 17 /09 /septembre /2022 06:57
Locaux du PCF Finistère et de la section de Brest dégradés à Brest - halte à la violence politique!
Locaux du PCF Finistère et de la section de Brest dégradés à Brest - halte à la violence politique!

Après l'extrême-droite à deux reprises cette année (croix gammées, menaces contre les "gauchistes" que nous serions, inscriptions et autocollants pro-Zemmour, dont certains avec des armes) qui a dégradé et taggé les locaux du PCF Finistère à Brest ces derniers mois, c'est le tour d'autres hurluberlus qui après la Fête de l'humanité - la plus grande fête populaire de France avec la participation de 400 000 personnes pendant 3 jours - ont cru bon dans leur petite ou grosse tête mal faite d'insulter les communistes et de dégrader le bien acquis par le travail des militants du parti qui s'est battu pour une très grande partie des conquêtes sociales et politiques en France: le mot "MEDEF" recouvrant la porte du local de la fédération PCF et de la section de Brest, 5, rue Henri Moreau, du nom d'un ouvrier résistant communiste brestois exécuté par les nazis au mont Valérien en 43, la phrase inepte "la France des allocs vous chie dessus" bariolant le mur de la fédé rue André Berger, du nom d'un autre jeune résistant communiste tué au Mont Valérien.

Des provocations qui visent bien sûr encore et encore, jusqu'à plus soif, à détourner le sens des propos de Fabien Roussel défendant le refus de l'organisation capitaliste du chômage, et la défense du travail pour tous, comme élément structurant de la vie personnelle et sociale, et à porter le soupçon et le discrédit sur une prétendue dérive droitière du PCF qui subitement emboîterait le pas d'une politique et d'une idéologie du Medef qu'il a toujours combattu, et parfois tellement seul... Bien évidemment Fabien Roussel et les communistes défendent l'augmentation des minima sociaux et du RSA autant que celles des salaires, des retraites, et une sécurité sociale couvrant à 100% les dépenses de santé, comme nous promouvons l'extension et la défense du logement social, de la gratuité du service public, pour garantir l'accès universel - c'est dans nos programmes électoraux et dans nos propositions parlementaires en continu depuis des années - et nous avons toujours lutté contre la pauvreté et les inégalités dans la lutte parlementaire, au niveau des collectivités, de la lutte politique et sociale.

Mais nous défendons aussi une société où tout le monde aurait accès à un travail bien payé et non exploité ou aliéné, car le travail finance la sécurité sociale et les solidarités, et est un élément nécessaire de la satisfaction des besoins sociaux. Nous ne croyons pas à la fin du travail, nous ne voulons pas de la disparition des industries, de la destruction de l'agriculture.

Nous continuerons à le faire, avec la fierté des valeurs que nous portons, sans nous laisser intimider par quiconque, et surtout pas par le harcèlement bien orchestré venu d'une certaine gauche qui donne libre cours régulièrement à son anti-communisme viscéral.

Il y a quelques mois, suite aux présidentielles, les locaux du PCF Ille-et-Vilaine et ceux de bien d'autres sections et fédérations encore avaient été dégradés. Nous avions retrouvé des pancartes insultantes devant le local du PCF Morlaix nous accusant de favoriser Macron et la droite en ayant présenté la candidature de Fabien Roussel. Tout ça bien sûr sous couvert d'anonymat mais avec des messages quasi signés. Ça suffit maintenant!

Un climat de violence politique entretenu aussi par le harcèlement des militants sur les réseaux sociaux, les insultes, sarcasmes vulgaires, et menaces que nombre d'entre eux ont dû subir, un climat d'intimidation qui est profondément hystérique et anti-démocratique.

Ismaël Dupont, secrétaire départemental du PCF Finistère

15 septembre 2022

Locaux du PCF Finistère et de la section de Brest dégradés à Brest - halte à la violence politique!

Article du Télégramme - ce 17 septembre 2022

« De tels actes ne sont pas dignes du débat que nous devons avoir à gauche », a réagi sur Twitter Enzo De Gregorio, secrétaire départemental du Mouvement des Jeunes Communistes, à la suite des tags perpétrés sur le local brestois du PCF. (Photo Le Télégramme/David Cormier)

À Brest, le local du PCF a été tagué, après la formule du premier secrétaire national, Fabien Roussel, à propos de la « gauche des allocs »

 

Image

À Brest, le local du PCF situé rue Henri-Moreau, en plein centre-ville, a essuyé deux tags, dont un ordurier, probablement inscrit dans la nuit du jeudi  15 au vendredi 16 septembre 2022. L’inscription sauvage à la bombe de peinture fait explicitement référence à la formule de Fabien Roussel, le premier secrétaire national du parti, qui, le 10 septembre, en marge de la Fête de l’Humanité, a opposé la « gauche du travail » à la « gauche des allocs ».

La formule a déclenché une polémique médiatique et une salve de critiques au sein de la Nupes. Et ces propos ne passent manifestement pas davantage dans la capitale du Ponant.

« De tels actes ne sont pas dignes du débat que nous devons avoir à gauche », a réagi sur twitter Enzo De Gregorio, secrétaire départemental du Mouvement des Jeunes Communistes.

tribune de Fabien Roussel parue dans Le Monde cette semaine.
« J’assume défendre le parti du travail »
Le secrétaire national du PCF répond, dans une tribune au « Monde », aux critiques suscitées par ses propos sur « la gauche du travail » face à « la gauche des allocations [et] des minima sociaux ». Et persiste. Selon lui, le défi de la gauche est de « travailler à une société qui garantit à chacun d’avoir un emploi, une formation et un salaire tout au long de sa vie ».
En déclarant préférer le travail au chômage, je n’imaginais pas provoquer pareille polémique. Que n’avais-je dit ? Certains ont pris leurs plus beaux airs indignés et y ont vu une saillie inspirée des pires discours de la droite réactionnaire. D’autres sont allés jusqu’à s’élever contre un racisme à peine larvé. Quel délire !
Quand on parle des autres, on parle d’abord de soi. En s’indignant ainsi, que disent-ils d’eux-mêmes ? Qu’ils ont démissionné. Qu’ils ont renoncé à la grande ambition qui devrait rassembler la gauche : celle d’éradiquer le chômage. Si l’esclavagisme revenait demain, ils négocieraient avec le Medef le poids des chaînes. Pas moi. Car le chômage tue, il bousille des vies. Il fait basculer des familles entières dans la pauvreté. Il instille partout le venin de la division entre ceux qui ont un emploi et ceux qui en sont privés. De là où je vous parle, dans ce Nord ouvrier depuis si longtemps fier de ses usines et du savoir-faire de ses travailleurs, on sait la dureté du travail et le coût du chômage. On sait intuitivement que le chômage est « l’armée de réserve » du capital, comme le disait si bien Marx.
Remettre en cause la logique libérale du chômage
C’est la menace du chômage qui permet au Medef et aux libéraux d’imposer les bas salaires, les horaires élargis sans supplément de rémunération, le quotidien infernal d’une vie sans pause et sans plaisirs. Et nous devrions accepter le chômage de masse et nous contenter de garantir un revenu d’existence ? Il est temps, au contraire, de remettre en cause les logiques libérales qui ont toujours entretenu le chômage plutôt que de l’éradiquer, qui ont préféré l’accompagner plutôt que d’empêcher le déménagement de pans entiers de notre industrie.
Ouvrons les yeux. L’industrie représentait 24 % de notre PIB en 1980 et seulement 10 % en 2019. Notre flotte de pêche est passée de 11 500 bateaux, en 1983, à 4 500, aujourd’hui. Quant à la saignée paysanne, elle nous a fait passer de 1 263 000 exploitations agricoles, en 1979, à 429 000, en 2017. Résultat : 5 millions de privés d’emplois, 2 millions de bénéficiaires du RSA, 4,5 millions de primes d’activité versées par la CAF. Et 10 millions de Français sous le seuil de pauvreté. Beau succès.
Alors, j’assume. Je me bats pour une société qui se fixe comme horizon de garantir un emploi, une formation, un salaire à chacun de ses concitoyens. Et je m’inscris en faux contre ceux qui théorisent la « fin du travail ». Ce discours passe totalement à côté des réalités qui se font jour. Ayons de l’ambition pour notre pays.
Tant de besoins mériteraient d’être satisfaits. De quoi permettre à chacun de trouver sa place dans la société et de retrouver sa dignité par le travail.
Redonner du sens au travail
Regardez ces classes sans professeurs, ces trains qui ne circulent pas faute de conducteurs, ces services d’urgences fermés faute de personnels. Qui peut croire que nous relèverons le service public sans fonctionnaires en plus ? Qui peut imaginer que nous conduirons la transition écologique sans créer d’emplois ? Qui peut penser que nous pourrons reconquérir notre souveraineté énergétique, industrielle, alimentaire sans millions d’emplois supplémentaires ni formations massives ?
Bien sûr, à titre transitoire, les salariés ont besoin de protections, d’accompagnement et je serai à leur côté pour dénoncer toutes les attaques du gouvernement contre eux, avec cette réforme de l’assurance-chômage ou encore le projet de travail obligatoire en échange du RSA.
Mais quel beau défi pour un pays, pour la gauche, que de travailler à une société qui garantit à chacun d’avoir un emploi, une formation et un salaire tout au long de sa vie professionnelle. Un projet révolutionnaire qui va de pair avec l’amélioration des conditions de travail, la hausse des salaires, la réduction du temps de travail et le rétablissement de la retraite à 60 ans et vise à sécuriser tous les âges de la vie. Redonnons du sens au travail en l’émancipant de la puissance aveugle du marché et en se posant partout la question : comment produire et répondre à nos besoins, en respectant autant les êtres humains que la planète ? C’est l’ambition qui m’anime. Ni plus ni moins.
Fabien Roussel est député du Nord et secrétaire national du PCF.
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