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Ce jeudi Brest accueillera le Secrétaire Général du MJCF et porte parole de Fabien Roussel candidat du PCF - Parti Communiste Français pour l'élection présidentielle, Léon Deffontaines .
Il participera notamment à la manifestation interprofessionnelle qui aura lieu à 11h à la Place de la Liberté et tiendra un meeting à 18h30 à la mairie de quartier de l'Europe (arrêt de tram Europe).
Le meeting de Fabien Roussel approche, le lundi 21 mars à 19h à Nantes, et nous aurions besoin de savoir au plus juste le nombre de personnes qui pourront y participer.
N'hésite pas à t'inscrire auprès de la section de Morlaix daniel.ravasio@orange.fr
ou directement auprès de la fédé soit au 02 98 43 47 78 federation@29.pcf.fr
Pour le nord-Finistère:
Nous avons un car de réservé au départ de Brest, rendez-vous au parc des chaînes à 12h30 pour un départ à 12h45.
Nous passerons par Morlaix, arrivée à 13h45 au parking de Géant (côté Citroën) pour un départ à 14h00.
Nous arriverons à Nantes à la Cité des congrès à 18h00.
Le départ de Nantes se fera à 21h40 pour un retour à Morlaix vers 01h40 et une arrivée à Brest à 03h00.
Pour le sud du département:
Nous avons bloquer 10 places dans un car du Morbihan qui partira du parking du MacDo de Lanester. Pour les horaires et les détails nous sommes entrain de voir avec les copains du 56.
Nous organiserons des covoiturages et envisageons de louer un minibus.
Nous devons communiquer rapidement le nombres de personnes à la fédération du 44 pour inscription et récupérer tous les noms et numéro de téléphone des participants pour la compagnie de car et le minibus si cette option est retenue.
Nous vous rappelons qu'une participation de 20€ est demandée à chacun
Merci de nous faire parvenir votre réponse pour le jeudi 16/03 avant 18h00.
Morlaix, local du PCF, vendredi 4 mars - 6e réunion du comité des jours heureux du pays de Morlaix, comité de campagne de Fabien Roussel sur la circonscription.
26 personnes (sur les 157 adhérents de notre comité qui appellent publiquement à voter Fabien Roussel dans le pays de Morlaix) présentes ce vendredi 4 mars au local du PCF de Morlaix et un excellent échange sur la guerre en Ukraine et ses enjeux, et sur l'organisation de la campagne dans les semaines à venir.
Le prochain comité des jours heureux sera le vendredi 18 mars à 18h tandis que mercredi prochain, 9 mars, nous aurons une réunion publique à Locquénole, salle Kerbrat à 18h30, organisés par Lucienne Nayet et Pascal Pouillet, avec la présence pour présenter le programme de Fabien Roussel de Valérie Scattolin et Enzo De Gregorio, candidats aux législatives, et de Ismaël Dupont, conseiller départemental, secrétaire départemental du PCF.
Le Parti Communiste Français désigne ses candidat·es
dans la 2ème circonscription du Finistère
Réuni·es en Assemblée Générale ce mardi 1er mars 2022, les communistes du pays de Brest ont désigné les Brestois·es Eugénie CAZAUX, 29 ans, et Éric GUELLEC, 53 ans, pour représenter le Parti Communiste Français (PCF) et porter son programme "La France des Jours Heureux" aux élections législatives de juin 2022 dans la 2ème circonscription du Finistère.
Eugénie CAZAUX a été désignée candidate titulaire : âgée de 29 ans elle est enseignante-chercheuse contractuelle en géographie à l'Université de Bretagne Occidentale (UBO). Sympathisante pendant plusieurs années, elle fait le choix d’adhérer au PCF en 2018 pour concrétiser son engagement. Elle conjugue son investissement dans le mouvement social, notamment brestois, avec sa passion pour la photographie.
Éric GUELLEC sera le candidat suppléant : âgé de 53 ans, adhérent au PCF, professeur des écoles spécialisé, il est adjoint au maire de Brest et conseiller de Brest métropole.
Leur candidature conjointe s’inscrit dans la continuité de la campagne présidentielle « La France des Jours Heureux » conduite par le candidat communiste Fabien ROUSSEL.
Elle est guidée par des choix forts, celui de bâtir une France solidaire, digne et heureuse, libérée des dominations, dans laquelle le partage des richesses et le bien commun l’emportent. Elle est une candidature pour le monde du travail, pour nos concitoyennes et concitoyens qui ne se sentent aujourd’hui pas ou plus représenté·es, qui ont été méprisé·es par cinq années de pouvoir Macron.
Durant leur campagne ils auront notamment à cœur de porter l’accès à un logement digne, durable et abordable pour toutes et tous, le droit à la tranquillité publique, et le développement d’une écologie sociale et populaire qui n’oppose pas fin du monde et fin du mois.
Après un quinquennat Macron au service des plus riches, après deux années de crise sanitaire qui ont plongé une partie de nos concitoyennes et concitoyens dans des situations de grandes difficultés sociales, tout l’enjeu est aujourd’hui de reprendre le pouvoir à la finance, de maintenir et développer les services publics, de relocaliser l’activité industrielle, de recouvrer une France du plein emploi avec des salaires dignes pour toutes et tous, de remettre les citoyen·nes au cœur de toutes les décisions.
C’est le sens de la candidature conjointe que nous proposons aujourd’hui aux habitant·es de la 2ème circonscription du Finistère.
À M. PHILIPPE MAHÉ, PRÉFET DU FINISTÈRE , REPRÉSENTANT DU GOUVERNEMENT
STOP À LA DÉGRADATION DU SERVICE PUBLIC POSTAL DE PROXIMITÉ
DANS NOS TERRITOIRES !
Fermetures annoncées ou en cours de bureaux de poste, réductions des horaires d'ouverture, fermetures inopinées à répétition et sans préavis, diminution du nombre de bureaux de plein exercice, passage en force vers des agences postales communales, qui répercutent les coûts sur les mairies, ou des points relais, avec moins de services pour l’usager, et perte de conseil et de confidentialité, provoquent à juste titre émotion et colère dans notre département car le service public postal de proximité est essentiel pour l'accès aux droits, pour l'égalité, pour le lien social, déjà mis à mal par la pandémie, pour la solidarité intergénérationnelle.
La Poste est aussi bien souvent la banque des milieux populaires, au cœur des quartiers et des bourgs, c’était un lieu de conseil, de vie sociale, de service : la course à la rentabilité, l’abandon des bureaux de poste jugés non rentables est une perte sèche pour le lien social et républicain.
Selon les syndicats, ce sont 38 bureaux de poste du département qui sont en cours de suppression ou menacés dans un proche avenir.
Sur le Finistère Sud, si on avait il y a 15 ans environ 130 bureaux et agences postales, aujourd'hui on ne compte plus qu'une trentaine de bureaux et seulement une dizaine avec plusieurs agents sur un même site ; on y comptabilise à ce jour environ 15 à 20 facteurs-guichetiers, plus d'une soixantaine d' Agences Postales Communales et plus d'une quinzaine de Relais Poste Commerçant.
La disparition d’un bureau de poste ici, la réduction des plages d’ouverture ailleurs, signifie plus de difficultés pour tous les habitants, en zone rurale ou urbaine, une perte de droits pour ceux qui ont le plus besoin du service public en raison de la précarité de leurs ressources, de l’isolement, de l’âge, du handicap, de la maladie.
C’est l’aggravation de la fracture numérique et le recul de l’égalité.
C’est un handicap supplémentaire pour des territoires déjà fragilisés par le poids des difficultés sociales, ou par le vieillissement de leur population, un pas de plus vers une mort lente.
C’est une charge financière pour les communes obligées de suppléer aux défaillances de la Poste.
Pourtant la Poste a des obligations de service public, en tant que prestataire du service postal universel, et par le Contrat de présence postale territoriale dont elle est signataire. Elle reçoit une aide financière annuelle de l’État pour cela, jusqu’à 674 millions d’euros en 2021, 500 millions pour le service postal universel et 174 millions pour la mission d’aménagement du territoire.
Le Groupe La Poste vient même de se déclarer « entreprise à mission » et d’inscrire dans ses statuts l’engagement de contribuer au développement et à la cohésion des territoires, celui d’œuvrer pour l’inclusion sociale et la transition écologique !
Comment concilier de telles affirmations avec les réductions d’ouverture et la disparition programmée d’un bureau comme celui de Kermoysan à Quimper, classé quartier prioritaire de la politique de la ville ; avec la fermeture du bureau de Guilers, zone urbaine en pleine expansion ; avec la désorganisation permanente des bureaux de poste du Cap Sizun, très menacés, dans un territoire excentré, socialement et démographiquement fragile. Avec la fermeture du bureau de Roscoff, ou celle du bureau de Tréboul à Douarnenez, transformé en agence postale communale, comme ceux de Plozévet, de Plogonnec...Avec l’amputation des horaires d’ouverture dans plusieurs communes du pays de Morlaix, ou dans le quartier de Kerfeunteun à Quimper.
Nous pourrions énumérer tous les bureaux supprimés cette année ou menacés de l’être, ou affaiblis dans leur fonctionnement, chaque cas contredit les engagements de la Poste.
Et que dire de la démarche écologique de la Poste quand elle supprime les bureaux de proximité générant ainsi toujours plus de déplacements ?
On peut faire la même observation pour le courrier.
L’impact désastreux des "réorganisations" de ces 2 dernières années avec la diminution du nombre de tournées et leur allongement, le manque de personnel, se fait sentir pour les usagers qui reçoivent un service dégradé et toujours plus coûteux, et pour les salariés précarisés et en souffrance.
"Récupérer" une lettre recommandée quand on était absent au moment du passage du facteur se transforme parfois en jeu de piste.
La distribution de la presse aux abonnés, indispensable à notre démocratie, est aussi affectée.
La Poste argumente sur la baisse de fréquentation des bureaux, mais elle l’organise avec des fermetures épisodiques sans préavis, des horaires inadaptés aux besoins de la population.
Quant à la diminution du courrier, si elle repose sur une évolution réelle, elle est fortement accélérée par l’explosion des tarifs postaux, plus 68 % depuis 2017 pour la lettre prioritaire !
En réalité au cœur du problème, il y a la stratégie de financiarisation de la Poste, sa course à la rentabilité au détriment du service public. La politique de l’État, actionnaire à hauteur de 34 %, est en cause qui sacrifie les activités les moins rentables de la Poste, au détriment de ses missions d’intérêt général, de service public, d’aménagement du territoire.
Nous interpellons le Président de la République et le Gouvernement sur l’extrême gravité de la situation.
Dans l’immédiat nous demandons l’arrêt de toutes les restructurations et des suppressions d’emplois .
Comme nous l’avons déjà fait en luttant avec les salariés et les usagers ces dernières années, en refusant les restructurations accomplies au détriment du service public, nous réaffirmons notre détermination à agir pour un véritable service public postal de proximité, accessible à tous, avec des personnels sécurisés dans leur emploi et en nombre suffisant, des bureaux de poste de plein exercice irriguant notre territoire, avec un accueil physique, répondant aux attentes des habitants.
La fédération du Finistère du PCF et les 50 élu-e-s communistes du Finistère, directement confrontés aux besoins et aux aspirations de la population.
Avec les camarades du PCF Finistère et Quimper, nous avons remis cet après-midi une lettre argumentaire au préfet pour la défense des bureaux de poste et du service postal de proximité et nous avons rencontre la presse pour alerter sur ces enjeux fondamentaux pour le quotidien des citoyens et l'aménagement du territoire comme l'accès aux services de tous! La force du collectif nécessaire pour sauver plus de 38 bureaux de poste menacés dans le département en raison de la politique financière du groupe et de ses principaux actionnaires!