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Le samedi 5 novembre sur le marché de Morlaix et le dimanche 6 novembre sur le marché de Saint-Martin-des-Champs, les militants communistes du pays de Morlaix distribueront un tract sur l'énergie et pour annoncer la venue de Fabien Roussel dans un mois, le lundi 5 décembre à 19h au Roudour de Saint-Martin-des-Champs.
La candidature du port de Roscoff pour intégrer le réseau transeuropéen de transport n’a pas abouti. Le Parti communiste français demande au ministre des Transports de retourner plaider sa cause auprès de la Commission européenne. | ARCHIVES VINCENT MOUCHEL/ OUEST-FRANCE
Photo Port de Roscoff - Ouest-France, 3 novembre 2022
​Le port de Roscoff (Finistère) n’a pas été retenu dans le réseau central européen de transport, le 20 octobre 2022. Le Parti communiste français demande au ministre délégué chargé des Transports, Clément Beaune, aille insister auprès de la Commission européenne pour la faire changer d’avis.
Clément Beaune, ministre délégué chargé des Transports, a annoncé que le port de Roscoff n’avait pas été retenu dans le réseau central européen, le 20 octobre 2022. « Il n’en satisferait pas les critères », détaille le Parti communiste français du Finistère, dans un communiqué.
Ce dernier rappelle cependant que le port roscovite a une place de stratégie depuis le Brexit : « Il devient la première porte d’entrée de l’Irlande vers l’Union européenne. »
Aussi, « l’activité portuaire importante déployée à Roscoff, le potentiel agroéconomique du territoire et l’intensité du transport voyageurs maritimes, dans laquelle elle se situe, justifient son inscription dans le réseau de transport transeuropéen ».
Si Roscoff est maintenu dans le réseau global, cela ne suffit pas pour, le PCF. Le parti demande à Clément Beaune « d’insister auprès de la Commission européenne afin que le port de Roscoff soit associé au port de Brest, et inscrit au réseau central RTE-T ».
MANIFESTATION DANS LE CADRE DE LA JOURNEE NATIONALE D'ACTION CGT DU JEUDI 27 OCTOBRE
MANIFESTATION DU "COMITE LOGEMENT PAYS DE MORLAIX"
Communiqué de la section PCF du pays de Morlaix
Le 18 octobre toutes et tous mobilisé-e-s !
Un mouvement social d’ampleur est en train de se développer dans notre pays.
La journée intersyndicale de mobilisation interprofessionnelle du mardi 18 octobre pour les salaires doit permettre à celles et ceux qui paient au prix fort la hausse des prix des produits alimentaires, l’explosion de ceux de l’énergie, qui craignent pour leur accès aux services publics, pour leur emploi, qui ne peuvent plus faire face aux besoins les plus élémentaires, de se faire entendre.
La section du pays de Morlaix du PCF apporte son total soutien à cette mobilisation pour l’augmentation des salaires, pensions et minima sociaux, et pour défendre le droit de grève.
Elle appelle à participer en nombre à la manifestation de ce mardi 18 octobre à 11h place des Otages à Morlaix
Notre pays est riche, mais ces richesses ne profitent pas à ceux qui les créent.
Nombre d’entre eux sont aujourd’hui des travailleuses et travailleurs pauvres.
Les inégalités se creusent.
La politique du gouvernement nourrit les immenses profits des grandes entreprises avec 160 milliards d’aides publiques chaque année.
Les multinationales affichent des bénéfices record, distribuent d’énormes dividendes et continuent d’imposer des bas salaires.
Total Energie affiche pour le seul 1er semestre 2022 10 milliards d’euros de profits et a déjà versé 2,6 milliards d’acompte à ses actionnaires. Cet acompte représenterait une augmentation de 300 € pour chacun des 35 000 salariés du groupe en France pendant 12 ans !
Cette accumulation de richesses pour une infime minorité alors que les familles, les collectivités, les associations, les petites entreprises subissent de plein fouet la violence de l’explosion des prix des carburants et de l’énergie, est indécente.
Il est urgent et possible d’augmenter les salaires et d’en finir avec les gâchis du grand patronat et du gouvernement.
Les communistes proposent d’exiger des directions des groupes pétroliers l’ouverture de véritables négociations salariales pour sortir du conflit le plus rapidement possible ; de convoquer une conférence salariale dans toutes les branches professionnelles, de porter le SMIC à 1.600 euros net (2 000 brut) et de prendre en compte l’inflation dans les augmentations ; de nouveaux pouvoirs d’intervention pour les salarié.e.s sur les choix des entreprises ; un plan de sécurisation de l’emploi et de la formation.
Toutes et tous ensemble portons ces exigences mardi 18 octobre à 11h à Morlaix