Communiqué de Jacques Rannou et Christine Belleguic
Nous saluons chaleureusement les électrices et les électeurs qui en nous réservant leurs suffrages on tenu à marquer leur engagement et leur détermination à soutenir et promouvoir une politique véritablement novatrice.
Face au danger qui s'annonçait le Parti communiste n'a eu de cesse depuis plusieurs mois d'appeler, sans être entendu, à l'union des forces progressistes.
La division coûtera cher au pays et notamment au salariés, aux retraités, au chômeurs, aux précaires. François Hollande, Manuel Valls et le Part socialiste portent une lourde responsabilité dans cette situation.
Du CICE, à la déchéance de nationalité, en passant par le pacte de responsabilité ou la loi travail tout a été fait qui tournait le dos aux espoirs nés de la défaite de Sarkozy.
En adossant obstinément toutes les politiques publiques au seul profit des classes dominantes et des actionnaires, ils ont profondément déstabilisé le peuple de gauche, provoqué dégoût et colère.
Dans bien des domaines, la politique annoncée par Emmanuel Macron est dans l'exacte continuité avec celle conduite par les gouvernements depuis 2012.
Nous sommes, comme nos électrices et nos électeurs, des femmes et des hommes de conviction.
Entre deux maux, nous ne choisirons pas le moindre.
La gauche est à reconstruire. Les communistes des pays de Concarneau et Quimperlé prendront dans les semaines qui viennent les initiatives utiles à l'ouverture d'un espace de dialogue et de rencontre des forces de progrès
Le 14 juin 2017.
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