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20 mai 2018 7 20 /05 /mai /2018 06:32
La Marée populaire du samedi 26 mai s'organise partout en France et à Morlaix

Des rassemblements sont en préparation à Brest, Quimper et Morlaix, pour le samedi 26 mai et la Marée Humaine contre la politique d'Emmanuel Macron.

A Morlaix, le PCF a pris l'initiative de proposer aux organisations politiques, syndicales, associatives signataires de l'appel présentes sur le territoire à une réunion de préparation le mardi 22 mai à 17h dans ses locaux

Pour l’égalité, la justice sociale et la solidarité,

Marée populaire le samedi 26 mai

Un constat s’impose, Emmanuel Macron, son gouvernement et le  Medef sont décidés à imposer coûte que coûte une restructuration en profondeur de la société française : politique d’austérité, destruction des droits des salarié.es, introduction de la sélection à l’entrée de l’université, casse des services publics, aggravation du sort des sans emplois, réorganisation aggravant les inégalités en matière d’accès à la justice, réforme fiscale favorable aux plus riches, loi répressive contre les migrant.es, priorité donnée au secret des affaires contre le droit à l’information, introduction de l’état d’urgence dans le droit commun, répression des mouvements sociaux et des jeunes des quartiers populaires, utilisation de l'égalité femmes-hommes comme simple outil de communication, sans moyens financiers, alors que les femmes sont les premières concernées par les régressions sociales… sans oublier une politique militariste au niveau international. La multiplication des mesures prises avec brutalité sur tous les fronts a un objectif, celui de créer un effet de sidération et espérer ainsi empêcher toute riposte. Le patronat profite de la situation pour multiplier les restructurations et rester sourd aux revendications du monde du travail. En s’en prenant aux personnels à statut, en particulier aux cheminot.es, Emmanuel Macron espère, s’il l’emporte, casser tout esprit de résistance.

 

Ce coup de force peut échouer, car les mobilisations se multiplient dans le pays, chacune avec sa spécificité : journée nationale d’action, grèves, occupation d’universités, manifestations… Il appartient évidemment aux organisations syndicales de décider, avec les personnels concernés, de leurs formes d’action. Chacune d’entre elles a, a priori, des ressorts différents, mais au-delà de tel ou tel aspect, ce dont il est question concerne la nature même de la société dans laquelle nous voulons vivre. Voulons-nous vivre dans une société où les droits sociaux seraient réduits à néant, où les services publics et la sécurité sociale auraient disparu, où l’inégalité de traitement des territoires serait la règle, où l’accès à l’université serait de plus en plus réduit, où les lanceuses et lanceurs d’alerte et journalistes seraient bâillonnés, où les défis écologiques seraient soumis aux intérêts de la financeoù le logement, les HLM et les locataires seraient marchandises, où la lutte contre les discriminations se réduit à des discours ? Ou, au contraire, voulons-nous une société plus juste, plus solidaire, plus démocratique, plus égalitaire avec un meilleur partage des richesses ? Tel est l’enjeu.

 

Le gouvernement espère que ces mobilisations sectorielles restent isolées et qu’il pourra les défaire les unes après les autres en tenant bon, en les laissant s’épuiser ou en les réprimant. Affichant sa détermination, il espère ainsi nous décourager. Il se trompe, comme le montre la multiplication des collectifs citoyens en lien avec les salarié.es, les retraité.es et les étudiant.es ainsi que le succès de la solidarité aux grévistes, notamment à ceux de la SNCF. Il s’agit maintenant d’aller plus loin et, toutes et tous ensemble, d’affirmer dans la rue que des alternatives existent, que nous ne nous résignons pas au sort que nous promet ce gouvernement. Il fait la sourde oreille, il faut le forcer à nous entendre et à retirer ses projets.

 

Dans le respect de nos champs d’interventions respectifs, nous voulons aller au-delà de toutes les mobilisations positives qui existent déjà et rassembler toutes les forces sociales, syndicales, associatives, politiques pour construire et réussir ensemble un grand rendez-vous citoyen. Partout en France organisons le samedi 26 mai une marée populaire pour l’égalité, la justice sociale et la solidarité. 

 Signataires :

 Alternative et autogestion
 Alternative Libertaire
 APEIS
 ATTAC
 Climat social
 Collectif des Associations Citoyennes
 Collectif National pour les Droits des Femmes
 Collectif La Fête à Macron
 Confédération Générale du Travail
 Coordination nationale de défense des hôpitaux et maternités de proximité
 Convergence nationale de défense des services publics
 DIDF
 DIEM25
 Droit au Logement
 Ecologie sociale
 Europe Ecologie Les Verts
 Les Effronté.e.s
 Ensemble !
 Femmes Egalité
 Fondation Copernic
 France Insoumise
 Gauche Démocratique et Sociale
 Génération.s
 MJCF
 Mouvement Ecolo
 Mouvement National des Chômeurs et Précaires
 Nouvelle Donne
 Nouveau Parti Anticapitaliste
 Parti Communiste Français
 Parti de Gauche
 Parti Ouvrier Indépendant Démocratique
 PCOF
 PCRF
 République et Socialisme
 Résistance Sociale
 Snesup-FSU
 Solidaires
 Syndicat des Avocats de France
 Syndicat de la Magistrature
 UEC
 UNEF
 Union Nationale Lycéenne

 

 

La Marée populaire du samedi 26 mai s'organise partout en France et à Morlaix

Cette rencontre est inédite ! Le siège de la CGT accueillait ce jeudi 17 mai une réunion pour préparer la grande journée d'action du 26 mai. Il a vu arriver tous les ténors des partis à la gauche du PS. Benoît Hamon, Pierre Laurent, Jean-Luc Mélenchon et Olivier Besancenot étaient là pour lancer la mobilisation en vue "des marées populaires" qui seront organisées un peu partout en France. Mais pas question pour eux de prendre la parole et, conformément à ce qu'ils ont décidé de faire pour cette journée, ils ont laissé les responsables d'associations et ONG (la Fondation Copernic et Attac) présenter les choses.

 

Article Le Parisien - 17 mai 2018 

Partis de gauche, syndicats et associations citoyennes lancent un appel commun à «marée populaire festive» contre la politique d’Emmanuel Macron.

Une cinquantaine d’organisations nationales politiques, syndicales et associatives vont participer à la mobilisation du 26 mai un peu partout en France, pour « faire reculer » Emmanuel Macron, ont annoncé jeudi les porte-parole de ce mouvement.

« On est 50 à peu près et les signatures continuent d’arriver d’organisations petites ou grandes, syndicales, politiques, associatives », a expliqué Annick Coupé, l’une des organisatrices du « Collectif » et ancienne porte-parole de Solidaires, lors d’une conférence de presse au siège de la CGT, à Montreuil.

« C’est un ovni, ça n’a jamais été mis en place », a de son côté souligné Willy Pelletier, de la fondation Copernic, promettant une « marée populaire festive », avec fanfares et chars.

Des initiatives sont d’ores et déjà prévues à Paris, Marseille, Toulouse, Lille, Poitiers, Rouen ou Nantes. A Paris, la manifestation partira à 14h30 de la gare de l’Est vers la place de la Bastille. Il n’y aura pas de carré de tête, mais un char. Les organisations syndicales et politiques seront placées derrière le cortège « citoyen ».

 

 
 
 

 

« Amplifier le rapport de force » avec le gouvernement

Parmi les organisations figurent des associations comme Les Effronté.es, Droit au logement ; des partis (La France insoumise, PCF, Europe écologie les verts, NPA…) ou des syndicats (CGT, FSU, Solidaires, Unef).

Les objectifs ? D’une part « réaffirmer le soutien aux luttes » actuelles, dont celle à la SNCF ou dans la fonction publique. D’autre part « faire reculer Macron et son gouvernement » en « amplifiant le rapport de force ».

Etaient présents à la conférence de presse, entre autres, Jean-Luc Mélenchon et Clémentine Autain pour les Insoumis, Pierre Laurent (PCF), Benoît Hamon (Générations), Olivier Besancenot (NPA) ou Eric Beynel (Solidaires).

Philippe Martinez, numéro un de la CGT, était absent, car « il avait un engagement » CGT, a déclaré Catherine Perret, qui représentait le syndicat. La dirigeante a insisté sur l' « indépendance » du syndicat, refusant de voir un changement de pied dans la décision de la CGT de participer à cette mobilisation aux côtés de partis politiques.

Mélenchon raille les syndicats « aux attitudes dogmatiques »

Jean-Luc Mélenchon a regretté les « attitudes dogmatiques » des syndicats absents, notamment la CFDT, mais aussi Force ouvrière. « Il faudrait un peu de souplesse dans le raisonnement, d’ouverture aux autres. Nous ne sommes pas 50 organisations à pratiquer le mélange des genres. Chacun reste lui-même, mais au service de tous », a-t-il dit, en marge de la conférence. « On peut voir le verre à moitié vide, mais là, c’est à 80 % plein ! La CFDT n’appelle pas, mais il y aura plein de gens de la CFDT qui seront présents », a réagi Benoît Hamon, fondateur du mouvement Génération.s.

Déclaration du PCF - 14 mai 2018


Le PCF s'engage pour réussir, le 26 mai, partout en France, face à Macron,
une marée populaire pour l'égalité, la justice sociale et la solidarité

 

Le premier anniversaire de la cordée conduite par Emmanuel Macron, son gouvernement et la majorité parlementaire est marqué par des fronts de contestation, des mobilisations et des luttes multiples. Les masques du «et en même temps» et d’une communication à l’américaine tombent les uns après les autres. Aujourd'hui, selon un récent sondage, 86 % de la population dit ne pas avoir bénéficié de la politique engagée par le nouveau pouvoir. Seuls les plus fortunés, les actionnaires, les grands patrons peuvent dire « Merci Macron ».

 

Emmanuel Macron a fait le choix de l’autoritarisme, du passage en force et du mépris de classe. Son objectif est d’imposer une restructuration complète de notre société en s’attaquant prioritairement à l’égalité, la justice sociale et la solidarité. Cette stratégie s'accompagne d’une dérive atlantiste et militariste lourde de dangers.

 

La politique Macron est contestée par des mobilisations et des luttes nombreuses dans le pays, par des actions syndicales, associatives, citoyennes et politiques qui, malgré le matraquage des médias dominants, font entendre l'exigence d'autres choix politiques.

 

A la SNCF, alors que le gouvernement comptait sur l’isolement des cheminots et la division des syndicats, la bataille ferroviaire engagée par l’intersyndicale a changé la donne. Le débat, que ne voulait absolument pas Emmanuel Macron et son premier ministre, porte aujourd’hui sur une question : quelle ambition pour le ferroviaire public ? Face aux arguments qui lui sont opposés et aux contre-propositions inscrites dans la plate-forme des syndicats pour un véritable développement du rail, le gouvernement est en grande difficulté. Le PCF renouvelle son soutien aux grèves en cours et à l'organisation du « Vot’action » qui permettra aux 150 000 cheminots de s’exprimer. Au-delà, le PCF propose une votation citoyenne permettant à chacun de dire son approbation ou son opposition à cette réforme. Les militant·e·s communistes vont poursuivre et amplifier le travail d’explication, de décryptage des enjeux, et de propositions partout dans le pays. La bataille du rail qui s'engage au Sénat va être importante. Notre groupe y portera notamment l'exigence de solutions prenant en charge la dette de la SNCF et d'une garantie de propriété publique de la SNCF passant par l'incessibilité des titres détenus par l’État.

 

Air France, en réponse au chantage et aux intimidations de la direction de la compagnie,  les organisations syndicales, là aussi dans un cadre unitaire, ont obtenu une magnifique victoire, qui conforte l’ensemble du mouvement syndical et social. Plus de 80 % des salariés se sont exprimés avec une très nette majorité n’acceptant pas les propositions du PDG d’Air France. Il revient maintenant à l’État, qui est l’actionnaire principal, de prendre en main l’avenir de la compagnie en commençant par donner satisfaction aux revendications salariales de celles et ceux qui sont la richesse de cette compagnie.

 

A Carrefour, et dans de nombreuses entreprises privées, des mobilisations se font jour pour l'emploi, les conditions de travail et l'augmentation des salaires.

 

Dans les universités, le gouvernement s’emploie à marginaliser le mouvement de contestation de ParcourSup  et de la loi ORE et à briser les mobilisations des syndicats en cours, y compris par l’intervention des forces de l’ordre lors des assemblées générales ou pour assurer la tenue d’examens dans des conditions inacceptables. Une pression de plus en plus forte s’exercent sur les enseignants, menacés de sanctions disciplinaires. Alors que 65 000 étudiants supplémentaires sont attendus lors de la prochaine rentrée universitaire, ce qui est une très bonne chose, le dispositif actuel va de nouveau conduire à une situation ingérable et à une sélection renforcée. Le PCF appelle donc à poursuivre et à amplifier la mobilisation. Les sections du PCF s'ouvrent pour organiser des révisions du Bac et préparer, avec les bacheliers sans affectation, la prochaine rentrée scolaire.

Dans les Hôpitaux, le tour de France engagé par les parlementaires communistes établit, à chaque étape, le même constat. L'hôpital public ne tient qu’à un fil, celui du dévouement des personnels. Les équipes sont épuisées. C’est tout un système qui dysfonctionne avec des soignants totalement débordés et à bout. Une récente note interne aux services du ministère de la santé, annonce, contrairement aux déclarations publiques de la ministre, qu’il existe bel et bien un nouveau plan d’économie de 1,2 milliards d’euros à prélever sur la masse salariale entre 2018/2022, soit l’équivalent de 30 000 postes sur 5 ans. L'hôpital public ne s’en relèverait pas. Le PCF appelle à démultiplier les initiatives pour la défense de nos hôpitaux et pour un système de santé répondant aux besoins humains. La rencontre nationale de bilan du Tour de France organisée par les parlementaires communistes le 5 juillet sera une étape nationale importante.

 

Dans l'Energie, l'annonce de la privatisation des barrages hydrauliques a été une onde de choc qui a donné corps à un vaste mouvement unitaire pour sauvegarder ce bien public. Les chaînes humaines que nous avons initiées font des émules.

 

Suite à la remise en cause du statut de l'Office national des Forêts, nous serons le 17 mai prochain dans les manifestations unitaires pour préserver nos forêts et la filière bois.

 

Dans un tel contexte, la journée de mobilisation dans la fonction publique, le 22 mai prochain, à l’appel de l’ensemble des fédérations, est un rendez-vous de très grande importance. La réussite de cette journée permettra de faire entendre les exigences et les propositions sur une question essentielle dans la confrontation politique et idéologique qui nous oppose à Emmanuel Macron. Dire la nécessité du développement et de l’élargissement des services publics, des biens communs, c’est dire le choix de société qui est le notre, celui d’une égalité réelle.

 

Concernant les quartiers populaires, le président de la République a commandé un rapport, en novembre dernier, à Jean-Louis Borloo. Ce dernier, après un travail collectif, en lien direct avec les élus et les associations, vient de lancer un cri d’alarme. Le diagnostic est clair et s’impose à tous, à commencer par Emmanuel Macron, nous devons ramener la République dans les quartiers populaires. La généralisation des expérimentations locales qui ont réussi est la piste à suivre. Les moyens financiers, moitié moins que le coût du CICE, doivent être mobilisés. Les élus locaux et les associations doivent être au cœur du dispositif de mise en œuvre et de suivi des actions qui seront engagées. Emmanuel Macron donnera ses arbitrages le 22 mai. Il s’agira d’un moment de vérité. Le PCF appelle à la mobilisation pour une pression maximum sur le gouvernement. Le 9 juin, la Marche sur l’Élysée des Hauts-de-France permettra de faire entendre les oubliés de la République mobilisés pour la dignité et contre l'austérité.

 

Face à ces fronts de mobilisation, la stratégie à l’Élysée, à Matignon et dans les ministère est de miser sur des oppositions sectorielles, qui ne convergent pas en les réprimant.

 

Le PCF appuie le processus de travail unitaire qui a conduit à la proposition d’une journée de mobilisation le samedi 26 mai avec toutes les forces sociales, syndicales, associatives, politiques qui veulent ensemble réussir un beau rendez-vous citoyen. Dans le respect des champs d’interventions respectifs, sans qu’aucune composante à cette construction unitaire inédite ne cherche à s’imposer, à dominer, nous appelons nos organisations et nos adhérents à œuvrer à la réussite de cette journée « marée populaire pour l’égalité, la justice sociale et la solidarité » à diffuser très largement l’appel unitaire, à créer les conditions, partout dans le pays, d’une journée qui rassemble le plus fortement possible pour des alternatives à la désastreuse politique d’Emmanuel Macron et du gouvernement. Les organisations du Parti, ses adhérent·e·s, ses élu·e·s, en fonction des réalités locales, sont invité·e·s à co-organiser dans leurs villes et leurs villages soit le vendredi 25 au soir, soit le samedi 26 au matin, les rassemblements unitaires pour permettre une convergences vers les manifestations départementales ou régionales décidées. 

Site d'Europe 1 suite à l'interview de Pierre Laurent

Le secrétaire national du Parti communiste rappelle que la mobilisation du 26 mai n'est pas à l'initiative de La France insoumise de Jean-Luc Mélenchon mais un appel de 80 organisations.

Le secrétaire national du PCF, Pierre Laurent, a assuré mercredi qu'"il n'y a ralliement de personne à Jean-Luc Mélenchon", après l'annonce par la CGT de sa participation à la mobilisation du 26 mai aux côtés de La France insoumise. "Je demande le respect pour les 80 organisations appelant à cette manifestation", qui "ne répond pas à l'appel de tel ou tel leader", mais est le fruit d'un "processus unitaire" sur plusieurs semaines, a lancé Pierre Laurent devant l'Association des journalistes parlementaires.

Appel collectif. "Le cadre unitaire n'a pas été organisé au départ par La France insoumise", a insisté le sénateur de Paris, critiquant un mouvement qui "développe de manière récurrente l'idée qu'il est lui seul à l'origine de tout et va fédérer tout". La CGT, qui a jusqu'à présent refusé de se joindre à des journées organisées par La France insoumise, a expliqué son ralliement à cette "marée populaire" par "l'urgence sociale". Réunies le 3 mai à la Bourse du travail à Paris à l'initiative de l'association Attac, plusieurs organisations syndicales, politiques et associatives s'étaient mises d'accord sur le principe d'une manifestation le 26 mai pour l'égalité, la justice sociale et la solidarité.

Dans le sillage des cheminots. Pour ce "premier grand rendez-vous qui va voir converger" ces différentes organisations, le responsable communiste s'attend à "une mobilisation de masse dans le pays, bien supérieure à toutes les mobilisations que nous avons connues". Pierre Laurent a estimé que le mouvement des cheminots a été moteur. Sur la réforme ferroviaire contestée, "je suis favorable à une consultation des Français", via une "votation citoyenne" comme dans le passé sur la privatisation de La Poste, a-t-il ajouté. L'idée a été soumise aux organisations rassemblées le 26 mai. 

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