À l’appel du collectif J’ai mal à mon village, 400 personnes se sont réunies, dimanche matin, devant le centre de la Pep 56 (Pupilles de l’enseignement public) de Billiers. Un temps pressenti pour accueillir une vingtaine de migrants, le centre d’accueil était parti en fumée, ravagé par les flammes, le 21 octobre dernier. Le collectif a voulu « défendre l’image d’accueil de la commune, pas une image réductrice et haineuse ».
À l’appel du collectif J’ai mal à mon village, 400 personnes se sont réunies, dimanche matin, devant le centre de la Pep 56 (Pupilles de l’enseignement public) de Billiers. Le centre d’accueil était parti en fumée, ravagé par les flammes, le 21 octobre dernier.
Il avait été un temps pressenti, pour accueillir une vingtaine de migrants. Un projet qui avait été finalement abandonné.
Si l’enquête est encore en cours,” il est facile de faire un lien entre ce sinistre et l’éventualité que ce centre de sport et vacances puisse devenir provisoirement un centre d’accueil et d’orientation pour des migrants en provenance de Calais."