Clip officiel de campagne du PCF pour les élections législatives des 12 et 19 juin 2022
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Clip officiel de campagne du PCF pour les élections législatives des 12 et 19 juin 2022
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Les insécurités économiques, sociales et environnementales pèsent désormais de manière déterminante sur toute l’humanité, provoquant une désorganisation profonde des sociétés avec des cohortes de désastres humains. Ces problèmes trouvent leur origine dans le système global capitaliste.
Depuis plusieurs décennies, les politiques néolibérales ont accru les fléaux des inégalités et de la pauvreté avec les dominations prédatrices des grandes puissances et la mise en concurrence des travailleurs, notamment par les grandes institutions financières internationales. La crise du Covid-19 et la guerre en Ukraine rendent la situation, plus particulièrement pour les pays du Sud, cataclysmique. En fonction des pays, la part des 10 % les plus riches représente entre 30 et 70 % du revenu national, alors que les 50 % des plus pauvres possèdent moins de 5 % du total. Depuis 2020, 97 millions de personnes sont à nouveau touchées par l’extrême pauvreté. Cela attise partout les frustrations socio-économiques, les tensions identitaires et religieuses ou les conflits armés.
L’insécurité alimentaire fait près de 10 millions de morts par an, tandis que le problème de la faim affecte 800 millions d’êtres humains. L’agriculture productiviste, les complexes agro-industriels encouragés par les règles de l’OMC génèrent un système non-soutenable qui provoque un effondrement de la biodiversité, l’érosion et l’artificialisation des sols, compromettant la survie de la Terre. Dans la corne de l’Afrique, le manque d’eau, la sécheresse, les guerres, les ravages des criquets déciment l’élevage, tandis que les productions agricoles sont au plus bas. La hausse des prix des produits alimentaires, antérieure aux crises récentes, s’accélère, frappant les plus pauvres. L’alimentation occupe en effet 40 % des dépenses dans les pays les moins avancés et 20 % dans les pays émergents. Alors que les factures d’importation flambent, que les pénuries menacent, que les chaînes d’approvisionnement sont perturbées, nombre de gouvernements envisagent, comme en Tunisie, de mettre un terme aux subventions sur certaines denrées.
Tandis que le contexte géopolitique devrait être un point de bascule afin d’accélérer la conversion vers une agriculture plus durable, la multiplication des discours alarmistes dans les pays riches visent à renoncer à tous les engagements, comme le maintien des néonicotinoïdes ou des engrais azotés, et à banaliser le retour en force du productivisme hypothéquant la régénération des sols.
Selon l’OMS, l’insécurité climatique est à l’origine de 8 millions de morts par an. Pluies diluviennes en Afrique du Sud, accélération de la désertification du Sahel, sécheresse dans le sous-continent indien, incendies en Australie ou en Russie, fonte des glaces et élévation du niveau des océans…, des régions entières risquent de devenir inhabitables. Si les causes de ces phénomènes sont particulièrement documentées, il est désormais impératif d’articuler les questions sociales à celles du climat en s’attaquant à ce mode de production, aux logiques libérales, au commerce mondialisé et à l’accaparement des richesses par quelques-uns. Les pays du Sud sont les plus vulnérables au changement climatique. Sans investissement dans les infrastructures qui protègent des chocs climatiques, les coûts vont être de plus en plus lourds à supporter, d’autant que nombre d’entre eux paient également les frais d’une mondialisation en perte de vitesse.
L’insécurité sanitaire est telle que l’on ne parvient plus aujourd’hui à chiffrer les dégâts. L’OMS alerte depuis des années sur la résurgence de maladies mortelles avec une hausse spectaculaires des cas de rougeole, de polio ou de fièvre jaune. Ces hausses proviennent d’un recul de la vaccination. En 2020, 23 millions d’enfants en ont été privés. Et que dire des 44 % de la population mondiale qui n’ont même pas reçu une première dose de vaccin contre le Covid-19, alors que les brevets demeurent privés ! La marchandisation et la privatisation des politiques de santé publique sont responsables de cette situation, tout comme le modèle dominant de la recherche-développement qui ne vise qu’à maximiser les profits.
L’insécurité est également éducative. La pandémie a interrompu l’éducation de millions d’enfants dans les pays les plus pauvres, alors qu’ailleurs les décrochages scolaires ont été massifs. Cela aura des conséquences incalculables sur les parcours individuels, des effets dévastateurs sur la productivité et les revenus des futures générations.
Enfin, l’insécurité généralisée frappe tout particulièrement les migrants. Dans un monde global et ouvert, les migrations progressent en raison des déséquilibres démographiques et des insécurités humaines. Elles ont acquis une dimension structurelle et durable que rien n’arrêtera. Ces hommes et ces femmes doivent pourtant faire face à la mort, à la répression, à des accueils désastreux, des humiliations ou des exclusions. Il y a urgence à inventer dans ce registre des politiques plus humaines, en insistant sur le caractère positif des phénomènes migratoires.
Toutes les conditions d’une profonde dépression sont aujourd’hui réunies, notamment dans les pays du Sud confrontés au durcissement des politiques monétaires, aux risques de défaut de paiement, au fardeau de dettes faramineuses, à l’assèchement des dépenses publiques, à l’inflation, à l’effondrement monétaire…, alors que la corruption et la gabegie des classes dirigeantes provoquent de véritables affaissements de sociétés entières.
Après la chute du mur de Berlin, la mondialisation s’est confondue avec le néolibéralisme, concevant la construction du monde par le marché, asphyxiant le politique et le social. Mais depuis la fin du XXe siècle, on assiste à l’émergence d’une contestation mondialisée. Les printemps arabes (2011) avaient marqué un tournant. Les mouvements sociaux ont rebondi en 2019 par l’effet conjugué d’une chute de légitimité des institutions et de la peur suscitée par les conséquences de la mondialisation. Ce tournant structure de manière nouvelle l’espace mondial illustrant la centralité du phénomène. Seule l’épidémie de Covid-19 est parvenue, temporairement, à l’endiguer. Avec le recul partiel de l’épidémie et l’exacerbation des tensions, les mouvements de contestation sont de retour, comme en témoigne le soulèvement populaire au Sri Lanka, mais qui pourraient toucher très rapidement de nouveaux pays comme le Pakistan, le Bangladesh ou le Pérou.
Les communistes doivent y porter une grande attention car ils posent de manière renouvelée le combat de classe contre le capitalisme. Il serait illusoire en même temps de nationaliser des menaces qui sont de nature globale en fermant les frontières ou en mettant en œuvre des politiques souveraines nécessairement contradictoires au niveau des États. Il y a urgence à renforcer les compétences des institutions internationales comme la FAO, l’OMS, le HCR ou l’Unicef, afin de mieux repenser le monde dans l’interdépendance.
Pascal Torre
responsable-adjoint du secteur international du PCF
chargé du Maghreb et du Moyen-Orient.
Jean-Paul Lecoq, député communiste du Havre, membre de la commission International-Défense à l'Assemblée, avec Enzo De Gregorio (responsable JC 29) à la manifestation pour le désarmement nucléaire et la Paix à Brest en janvier, à l'occasion du sommet européen des Ministres de la Défense
Législatives Candidat PCF à sa réélection, Jean-Paul Lecoq espère voir la Nupes emporter la majorité. Et, avec elle, construire de nouvelles politiques internationales.
En campagne pour sa réélection dans la 8e circonscription de Seine-Maritime, Jean-Paul Lecoq peut compter sur un ancrage fort avec le terrain et un rassemblement de la gauche. En cas de victoire, le communiste, membre de la commission des Affaires étrangères, promet que sa voix comptera pour bâtir d’autres politiques de la paix et du commerce international.
Comment abordez-vous cette campagne qui rassemble toutes les forces de gauche ?
Je la mène avec confiance. Que ce soit dans les entreprises, dans les écoles pour sauver des classes, nos actions sur le terrain sont connues et reconnues. L’ambiance est bien meilleure qu’à la présidentielle, avec un réel espoir. L’accord à gauche rend contagieuse l’idée que nous serons capables de changer les choses dans l’intérêt des gens. Lors d’une rencontre, la première question qui m’a été posée, c’est : « Quand les politiques vont-ils tenir leur promesse ? » Il faut y répondre, en expliquant nos propositions et comment on les finance, afin de redonner confiance et que les citoyens retournent voter.
Durant le précédent mandat, vous vous êtes investi sur les questions internationales. Si la gauche devenait majoritaire, une autre politique de la paix pourrait-elle être enclenchée ?
Je l’espère. La gauche doit porter le respect des résolutions des Nations unies, ce qui n’a pas toujours été le cas, notamment au moment de la gauche plurielle. Des questions brûlantes doivent avancer : sur le Sahara occidental occupé par le Maroc, sur la politique d’apartheid en Palestine… À ce sujet, comme député, j’ai demandé en urgence la convocation de la commission des Affaires étrangères, ce qui a été refusé alors que ça a été possible pour l’Ukraine. On multiplie les deux poids, deux mesures alors que, dans chaque cas, la paix dans le monde est menacée. Des résolutions existent condamnant le Maroc, Israël, la gauche française doit exiger leur application. C’est ainsi, non pas avec la force et l’Otan, mais en œuvrant à redonner du sens aux Nations unies, que nous pouvons bâtir une politique de paix. C’est la diplomatie des Lumières contre celle du business et des ventes d’armes.
Concernant l’Ukraine, prônez-vous une autre attitude diplomatique que celle portée par Emmanuel Macron ?
Il faut porter l’idée d’une sécurité globale. Dès lors qu’on redonne du poids à l’ONU, au multilatéralisme, chacun peut exprimer ses inquiétudes et, ensemble, nous pouvons chercher des alternatives au conflit. Chaque pays doit pouvoir sentir que le monde entier est attentif à sa sécurité. Et, pour en finir avec les surenchères guerrières, un tel climat doit être garanti par une structure crédible.
Alors que la Finlande et la Suède s’apprêtent à rejoindre l’Otan, est-ce le moment de quitter l’organisation ou du moins son commandement ?
L’Otan aurait dû disparaître en même temps que le pacte de Varsovie. Elle était en mort cérébrale, mais l’intervention de Poutine en Ukraine lui redonne du poids. C’est dangereux, car c’est le signe que l’on se prépare à vivre une nouvelle guerre froide. Nous devons sortir de ce vieux monde. Puisque, à gauche, nous sommes d’accord pour être indisciplinés vis-à-vis de l’Union européenne, il faudra dire que nous ne voulons pas de l’Otan pour réfléchir à la sécurité de notre territoire et à celle du monde mais d’une Europe de la diplomatie mondiale.
La guerre en Ukraine a des répercussions sur les prix de l’alimentation. Comment la gauche au pouvoir peut-elle être motrice pour repenser ce modèle de mondialisation ?
Nous y travaillons depuis longtemps, jusqu’à l’échelle très locale avec le maraîchage municipal, par exemple, pour faire en sorte que les territoires soient le plus autosuffisants possible. Au-delà du développement de ces alternatives, le combat doit être mené contre les accords de libre-échange qui conduisent à cette mondialisation de la production. La reprise en main de l’économie par la politique est indispensable. Les citoyens sont de plus en plus conscients de ces enjeux : il ne s’agit pas d’arrêter le commerce mondial, mais d’y apporter de la cohérence, notamment vis-à-vis de la lutte contre le réchauffement climatique. Il faut aussi dénoncer les profiteurs de guerre. Si les prix ont augmenté rapidement, c’est d’abord sous l’effet de la spéculation, car les stocks d’essence ou d’huile existaient. Nous proposons d’y mettre un terme avec le blocage des prix.
La journaliste palestinienne Shireen Abu Aqleh a été assassinée par les forces d’occupation israélienne à Jénine. Alors qu’elle effectuait son travail de grand reporter, dont la notoriété est partout reconnue, elle a été froidement et sciemment exécutée alors qu’elle était totalement identifiable par l’insigne « presse » inscrite sur son gilet pare-balle.
Ce nouveau crime de l’armée israélienne s’inscrit dans une brutale escalade faite de d’implantations de colonies, de spoliations de terres, de destructions, d’arrestations et d’assassinats de femmes, d'hommes et d'enfants, afin de soumettre la population à un régime de terreur.
La situation est explosive face à la répression, la colonisation et la politique d’apartheid dont les Palestiniens sont victimes. Dans des conditions difficiles, les mobilisations se poursuivent et peuvent s’amplifier.
Le Parti communiste français (PCF) condamne ce nouveau crime et exprime sa solidarité constante avec la famille de Shireen Abu Aqleh et le peuple palestinien dans ce combat légitime.
Le Parti communiste français exige que le président de la République et son gouvernement, en sa qualité de président en exercice de l'Union européenne, prennent l'initiative de sanctionner les autorités israéliennes en suspendant l'accord d'association UE-Israël dont l'article 2 stipule : « Les relations entre les parties, de même que toutes les dispositions du présent accord se fondent sur le respect des principes démocratiques et des droits humains fondamentaux énoncés dans la déclaration universelle des droits de l'homme. »
Les tergiversations et les complicités tacites n’ont que trop duré. Elles nourrissent les crises régionales, les forces obscurantistes, le sentiment d’humiliation et d’injustice face à ces atrocités qui se déroulent dans l’indifférence.
Le Parti communiste français appelle à multiplier les initiatives en faveur de la paix pour le respect du droit international et des droits inaliénables des Palestiniens.
Parti communiste français
Paris, le 11 mai 2022
Les médias en parlent peu et, pourtant, depuis deux mois déjà, les Sri Lankais descendent dans la rue pour protester contre leurs conditions de vie et dénoncer leur souffrance quotidienne. Pénuries de nourriture, de carburant et de médicaments sont le quotidien de la population, victime d'une grave crise économique qui ravage leur pays.
Le Sri Lanka n'est pas le seul pays où la sécurité alimentaire n'est plus assurée. Afghanistan, Pakistan, Liban, Yémen, Éthiopie, Madagascar, Guatemala...la liste des pays concernés s'allonge. La sous-alimentation et la malnutrition resurgissent dans toutes les régions du monde depuis la pandémie de la Covid-19. Le rapport mondial de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) sur les crises alimentaires1 indique qu'en 2020 environ 118 millions de personnes de plus qu’en 2019 ont été confrontées à la faim, faisant monter le total des victimes à plus de 800 millions.
En novembre dernier, en raison d'une sécheresse historique liée au réchauffement climatique, des dizaines de milliers de Malgaches n'avaient plus accès à l'eau et souffraient de la faim.
Depuis le 24 février et le déclenchement de la guerre en Ukraine par la Russie, la sécurité alimentaire est menacée dans bien des pays au monde. Outre la population ukrainienne victime directe du conflit, ce sont également les pays très dépendants des matières premières ukrainiennes ou russes qui subissent et subiront de sévères pénuries.
Le rapport du FAO attire l'attention sur l'importance des poussées de la faim dans le monde, elles sont les plus fortes depuis des décennies. La réapparition des famines, de la faim et de la malnutrition montre les failles de nos sociétés fragilisées par les politiques ultra libérales. Les questions de production et de consommation, de quantité et de qualité des aliments, sont un enjeu primordial pour les êtres humains. L'alimentation, est un bien fondamental pour les femmes et les hommes, elle doit être extraite des forces de l'argent.
Les facteurs de l'insécurité alimentaire sont multiples : conflits, changements climatiques, crise économique ; leur répétition amplifie les effets, ce sur quoi il faut ajouter le facteur exponentiel qu'a été la pandémie. Ces causes suggèrent, comme l'indiquait Lydia Samarbakhsh dans son rapport de la commission des relations internationales du PCF en novembre 2021, que « les menaces et sources d'insécurité sont plus « globales » qu'uniquement nationales et elles invitent à l'élaboration de réponses politiques multilatérales, inclusives, où l'interdépendance est facteur de réussite collective par les coopérations et solidarités qu'elle permet de développer, contrecarrant dès lors toute ambition hégémonique. »2
La faim constitue une véritable menace pour la sécurité car pour survivre toutes les dérives peuvent voir se développer : trafic en tout genre, prostitution, travail des enfants, vente d'organes, etc. La sécurité alimentaire est un pilier pour la construction d'un monde de paix.
Méline Le Gourriérec
membre de la commission des relations internationales
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La victoire du Sinn Féin dans les six comtés du nord ouvre une nouvelle page de l’histoire de l’Irlande.
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Avec 29 % des votes de première préférence, nos camarades ont toute légitimité pour assurer la direction du gouvernement régional, avec Michelle O'Neill comme Première ministre. Il est de la responsabilité des partis unionistes d’entendre le choix démocratique exprimé par le peuple irlandais.
Si on y ajoute les perspectives ouvertes en République d’Irlande, le Sinn Féin est aujourd’hui le premier parti sur l’ensemble de l’île. Le temps est venu pour un réel changement en Irlande. Le Sinn Féin porte avec force l’exigence des droits pour tous les Irlandais, dans leur diversité : droit à la santé, droit au logement, respect de la neutralité et engagement pour la paix et la sécurité collective, renforcement de l’intervention citoyenne pour toutes et tous.
Cette exigence est inséparable de la réalisation du droit historique du peuple irlandais de vivre dans une République unie. La voie vers un référendum de réunification au cours de la décennie est ouverte. Mettre fin à l’odieuse partition artificielle, qui divise le peuple irlandais depuis un siècle, serait non seulement rendre justice à tous ceux qui ont lutté, souvent au prix de leur vie, pour les droits du peuple irlandais ; ce serait aussi construire une République irlandaise indépendante, seul cadre possible permettant à l’ensemble des Irlandais, quelles que soient leurs convictions, de vivre ensemble.
Comme le disait Bobby Sands : « Notre vengeance sera le rire de nos enfants ».
Le Parti communiste français félicite chaleureusement le Sinn Féin pour cette victoire historique, qui en appelle d’autres. Il mesure également l’ampleur des embûches, des oppositions et des difficultés à surmonter. Il exprime à nouveau sa solidarité historique avec le Sinn Féin et les droits du peuple irlandais.
Parti communiste français
Paris, le 7 mai 2022
Photo Daniel Laporte, Tredudon, Berrien, 8 mai 2022 - Gérard Lahellec, Pierre-Yves Thomas et Hubert Le Lann
Photo Daniel Laporte, Tredudon, Berrien, 8 mai 2022 - Gérard Lahellec, Pierre-Yves Thomas et Hubert Le Lann
Tredudon-le-Moine, Berrien, 8 mai 2022, rassemblement d'hommage à la Résistance et ses valeurs - photo Daniel Laporte, 8 mai 2022
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Tredudon-le-Moine, Berrien, 8 mai 2022, rassemblement d'hommage à la Résistance et ses valeurs - photo Daniel Laporte, 8 mai 2022
Tredudon-le-Moine, Berrien, 8 mai 2022, rassemblement d'hommage à la Résistance et ses valeurs - photo Daniel Laporte, 8 mai 2022
Tredudon-le-Moine, Berrien, 8 mai 2022, rassemblement d'hommage à la Résistance et ses valeurs - photo Daniel Laporte, 8 mai 2022
Tredudon-le-Moine, Berrien, 8 mai 2022, rassemblement d'hommage à la Résistance et ses valeurs - Jeannine Daniel et Marion Frances - photo Daniel Laporte, 8 mai 2022
Tredudon-le-Moine, Berrien, 8 mai 2022, rassemblement d'hommage à la Résistance et ses valeurs - photo Daniel Laporte, 8 mai 2022
Tredudon-le-Moine, Berrien, 8 mai 2022, rassemblement d'hommage à la Résistance et ses valeurs - photo Daniel Laporte, 8 mai 2022
Tredudon-le-Moine, Berrien, 8 mai 2022, rassemblement d'hommage à la Résistance et ses valeurs - photo Daniel Laporte, 8 mai 2022