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9 février 2020 7 09 /02 /février /2020 06:00
Portrait de Joséphine Pencalet, alors âgée d’une vingtaine d’années. Photo d’archives Le Télégramme

Portrait de Joséphine Pencalet, alors âgée d’une vingtaine d’années. Photo d’archives Le Télégramme

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 40/ Joséphine Pencalet (1886-1972)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère:

40/ Joséphine Pencalet (1886-1972)

Née le 18 août 1886 à Douarnenez (Finistère), morte le 13 juillet 1972 à Douarnenez (Finistère) ; ouvrière sardinière ; conseillère municipale communiste de Douarnenez (1925), la première femme élue en Bretagne et une des toutes premières de France, à chaque ces candidates étant présentées par le Parti communiste alors que les femmes n'avaient pas encore le droit de vote, au nom de l'égalité des droits.

Notice du Maitron, par Fanny Bugnon:

Fille de René-Joseph Pencalet (marin, né en 1844) et de Marie-Jeanne Celton (née en 1844). Issue d’une famille nombreuse de marins douarnenistes avec laquelle elle s’est rapidement trouvé en conflit, Joséphine Pencalet quitta la Bretagne après avoir achevé sa scolarité dans un internat catholique de Quimperlé. Elle travailla alors comme lavandière en région parisienne, où elle épousa, le 18 janvier 1908 à la mairie d’Argenteuil, un employé des chemins de fer, Léon Frédéric Le Ray, originaire d’Ille-et-Vilaine et rencontré à Douarnenez alors qu’il effectuait son service militaire dans la Marine. De cette union désapprouvée par sa famille naissent deux enfants : Léon (né en 1910) et Anna (née en 1918). Son veuvage au sortir de la Première Guerre mondiale la conduisit à revenir avec ses enfants à Douarnenez où elle est embauchée comme ouvrière dans l’une des nombreuses conserveries de poisson de la ville.

Sa participation à la grève victorieuse des sardinières de novembre 1924-janvier 1925 qui paralysa les usines douarnenistes pendant 7 semaines et qui connut un écho national, lui valut d’être sollicitée par Daniel Le Flanchec*, maire sortant élu en 1924, pour figurer sur la liste du Bloc ouvrier et paysan aux élections municipales du mois de mai 1925.

Les conditions de sa désignation sont floues : s’il n’est pas certain qu’elle ait été membre du PCF ni même du comité de grève, son veuvage aurait facilité sa candidature. La présence d’une candidate correspond aux consignes du Secrétariat féminin de Moscou de présenter des candidatures féminines aux élections, indépendamment de leur illégalité, et de la stratégie du PCF. Placée en 4e position, comme « ouvrière d’usine », elle recueillit 1283, arrivant en 24e position des suffrages. Elle fut ainsi proclamée élue au premier tour, le 3 mai, devenant ainsi la première femme élue en Bretagne. Installée le 17 mai comme l’une des premières conseillères municipales françaises, elle siégea pendant six mois au sein des commissions scolaire et d’hygiène. Parallèlement, elle exerça la fonction de secrétaire adjointe du bureau du Syndicat des Métaux de Douarnenez, affilié à la CGTU.

En vertu de l’inéligibilité des femmes et malgré l’argumentaire développé par Joséphine Pencalet devant la justice administrative à propos des ambiguïtés de la loi électorale de 1884 qui n’interdit pas explicitement les candidatures féminines et alors que les députés votèrent en faveur du suffrage municipal féminin en avril 1925, l’élection de Joséphine Pencalet fut annulée par arrêté préfectoral le 16 juin 1925, décision confirmée cinq mois plus tard par le Conseil d’État au motif qu’aucune disposition légale ne considérait les femmes éligibles. Signalons que la décision du Conseil d’Etat du 27 novembre 1925 concerna également l’annulation de l’élection de Charles Tillon* pour non-résidence à Douarnenez. Joséphine Pencalet disparut alors de la vie politique douarneniste jusqu’à sa mort, avant d’être redécouverte au tournant du XXIe siècle comme une figure de la mémoire ouvrière locale.

 

***

La municipalité de Douarnenez était devenue communiste en 1921, avec Sébastien Velly, premier maire communiste de France (il avait été élu conseiller municipal sous l'étiquette de la SFIO en 1919 mais son maire, Le Gouic, resté fidèle à la SFIO, avait été mis en minorité par les autres conseillers), puis à partir de 1924 Daniel Le Flanchec, qui restera maire de Douarnenez, suite à la grande grève des Penn Sardin qu'il soutient en 1924 jusqu'à la victoire sur le patronat des conserveries en janvier 1925. Douarnenez comptait à l'époque presque 5000 marins-pêcheurs et des milliers d'ouvrières travaillant en coiffes et sabots dans 21 conserveries.

Un article d'Audrey Loussouarn dans L'Humanité en 2013 raconte bien cet épisode héroïque des luttes sociales en Bretagne sous le titre « Ces sardinières qui ont su tenir tête à leurs patrons ».

http://www.humanite.fr/social-eco/douarnenez-ces-sardinieres-qui-ont-su-tenir-tete-l-546179

« (…) Les «petites filles de douze ans» prennent aussi le chemin de l’usine. Aucune législation du travail.. Si la pêche était bonne, les femmes pouvaient travailler jusqu’à soixante-douze heures d’affilée! Pour se donner du courage, elles chantaient. «Saluez, riches heureux / Ces pauvres en haillons / Saluez, ce sont eux / Qui gagnent vos millions.» Certaines sont licenciées pour avoir fredonné ce chant révolutionnaire dans l’enceinte de leur usine. Conditions de travail déplorables, flambées des prix, salaires de misère, c’en est trop. Le 20 novembre 1924, les sardinières de la fabrique Carnaud vont décider de se mettre en grève. Elles demandent 1 franc de l’heure, alors que le tarif de rigueur est de 80 centimes. Les patrons refusent. Trois jours plus tard, un comité de grève est mis en place. Le lendemain, ce sont les 2000 sardinières qui arrêtent le travail et marchent dans les rues de Douarnenez. Une pancarte est dans toutes les mains: «Pemp real a vo» («Ce sera 1,25 franc»). Aux côtés des femmes, Daniel Le Flanchec. Ce «personnage éloquent, tonitruant», comme le décrit Michel Mazéas, et que les sardinières appellent leur «dieu», leur «roi», accompagne le mouvement. Un meeting se tient début décembre sous les Halles. Il réunit plus de 4000 travailleurs et des élus. Le 5 décembre 1924, l’Humanité titre: «Le sang ouvrier a coulé à Douarnenez». Le journaliste raconte comment une «charge sauvage commandée par le chef de brigade de Douarnenez piétina vieillards et enfants». Ordre venant du ministre de l’Intérieur. L’élu communiste, en voulant s’interposer devant l’attaque des gendarmes, sera suspendu de ses fonctions pour «entrave à la liberté du travail». La tension monte, les patrons ne veulent toujours pas négocier, des casseurs de grève s’immiscent dans le mouvement. Dans le même temps, des représentants syndicaux et politiques de la France entière se joignent aux grévistes. C’est dans la nuit du 31décembre au 1erjanvier que tout va basculer: des coups de feu retentissent. Des cris se font entendre: «Flanchec est mort!» Il est retrouvé blessé dans la rue. La colère explose. L’hôtel des casseurs de grève est saccagé. Un chèque y sera retrouvé, signé de la main d’un des patrons d’usine. Les conservateurs, qui ont tenté d’assassiner l’élu, avoueront plus tard qu’ils voulaient «seulement combattre le communisme». Finalement, le 8 janvier, après près de cinquante jours de bataille acharnée, les patrons céderont. Les sardinières obtiendront 1 franc horaire, avec heures supplémentaires et reconnaissance du droit syndical. Au cours de ce conflit qui a duré 48 jours à partir de la grève de la conserverie Carnaud, des dirigeants syndicaux sont accourus de toute part, et notamment parmi eux le dirigeant rennais de la CGTU, Charles Tillon, futur résistant et ministre communiste à la Libération.

Parmi les diverses répercussions attribuées au mouvement social, on peut retenir l'élection de Joséphine Pencalet (1886-1972) au conseil municipal auprès de Daniel Le Flanchec en 1925. La responsable syndicale fut l'une des dix premières femmes élues en France. Dépourvues de droit de vote, les femmes ne pouvaient pas encore être élues à cette époque, Joséphine Pencalet n'exerça donc jamais ses fonctions.

Charles Tillon disait à Michel Kerninon en 1978 pour la revue Bretagnes ce que lui avait appris ces mouvements sociaux de 1924-1925 à Douarnenez et dans le pays bigouden:

A Michel Kerninon, en 1978, il dit avec passion l'importance dans sa vie de ces combats avec les pêcheurs et les ouvrières du pays Bigouden et de Douarnenez:

" "J'ai donc appris à devenir ce que le "Comité des Forges" de l'époque appelait un "gréviculteur". La plus belle des grèves, la plus héroïque et la plus empreinte de sentiment populaire fut certainement pour moi la grève de Douarnenez. Alors j'en ai fait d'autres, au milieu de ceux qui parlaient la langue bretonne, je suis vraiment devenu non seulement un Breton de la région des fortifications qui défendaient la Bretagne autrefois, c'est à dire de l'Ille-et-Vilaine mais de cette Bretagne plus profonde, moins connue et si vivante, celle du Finistère, des Côtes-du-Nord, cette Bretagne "qui va au-devant de la mer" (...) En Bretagne, "il y avait une grande misère, le long des côtes surtout. Pour le reste, il n'y avait pratiquement pas d'industrie. Sur la côte, la pêche nourrissait l'industrie de la conserve; à la fois la pêche du 19e siècle et le début d'une industrialisation de la conserve. Les pêcheurs étaient des artisans. Ils allaient à la mer et ne connaissaient qu'elle. Mais, à terre, ils se défendaient mal. Les tempêtes ne leur faisaient pas peur, mais ils restaient désarmés devant les préfectures et leurs moyens de police. Soutenus par l'appareil d'Etat, les acheteurs s'entendaient pour contraindre les pêcheurs à vendre le moins cher possible. Mais voilà bientôt qu'en Bretagne, la grande grève des usines de Douarnenez rayonnait de la juste fierté d'avoir vaincu le patronat le plus rapace qu'on puisse trouver puisqu'il avait osé aller jusqu'à l'organisation du crime pour terroriser la population et faire tuer, s'il l'avait pu, le maire communiste Le Flanchec! Avant la grève, les pêcheurs n'étaient pas syndiqués, il fallait donc organiser dans le même syndicat le patron de la barque qui gagnait un peu plus, et ses matelots, ses compagnons de tempêtes et de souffrances. Ce n'était pas simple et c'est sans doute pourquoi il n'y avait pas eu, jusque là, de syndicat durable. Mais les femmes avaient le leur. Et la fierté qui les avaient animées gagnait en 1925 tous les ports de Bretagne. La colère déferlait parmi les ouvrières les plus exploitées, comme à Pont-l'Abbé ou à Concarneau, où une jeune fille d'usine sur quatre ou cinq était tuberculeuse... Le mouvement victorieux des femmes d'usine a entraîné les pêcheurs à mieux prendre conscience de leurs droits, et qu'en labourant la mer, ils étaient la source de tout. Mais le patronat de la côte aussi s'organisait. Et, au lieu de petits syndicats locaux, les patrons jusqu'à Saint-Jean-de-Luz, s'unissaient en un énorme Comptoir d'achat soutenu par le Comité des armateurs de la marine marchande et par l'Administration maritime. Alors commença leur grande offensive pour rationaliser l'industrie de la pêche, pour exporter des capitaux et des usines au Portugal, au Maroc, là où les salaires sont les plus misérables. Une "révolution" sur le dos des salariés et qui dure encore.. Nous avions été heureux pendant deux ans. Mais viendraient les défaites! Rationaliser l'industrie de la pêche pousserait à rationaliser l'industrie de la conserve. Aussi, commençait une autre histoire de la mer...""

1978: Charles Tillon revient sur sa traversée du siècle et ses engagements avec Michel Kerninon dans la revue Bretagnes n°8 : Désenchaîner l'espérance

 

 

Photo BCD - Douarnenez, 1921: Première municipalité communiste de France

Photo BCD - Douarnenez, 1921: Première municipalité communiste de France

Le Télégramme du dimanche 23 10 2016 dresse un portrait de la syndicaliste
Joséphine Pencalet.

La première Bretonne élue. Syndicaliste ,CGTU, communiste, elle mena la grande grève des sardinières avant d’être la première femme élue

© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/histoire/josephine-pencalet-premiere-bretonne-elue-21-10-2016-11264319.php#

Élue conseillère municipale en 1925 à Douarnenez, à une époque où les femmes sont dépourvues de droits politiques, le cas de Joséphine Pencalet reste inédit en Bretagne jusqu’à l’obtention du droit de vote par les femmes le 21- avril 1944. Retour sur l’histoire de cette ouvrière, pionnière de la cause féminine méconnue en Bretagne comme en France. « Douarnenez, toujours à la pointe du combat social, a élu triomphalement une femme ! C’est notre camarade Joséphine Pencalet… » C’est ainsi que la Une du journal L’Humanité du 6-mai 1925 saluait l’élection, au premier tour des municipales avec 1283 voix, de cette ouvrière bretonne. Pourtant, rien ne prédestinait cette Finistérienne âgée de 39 ans, à entrer dans l’histoire comme la première femme élue de Bretagne, et l’une des seules dans l’Hexagone à cette période. Née le 18-août-1886, dans une famille nombreuse de marins-pêcheurs, Joséphine Pencalet monte à Paris pour trouver un travail de domestique. Malgré la désapprobation de ses parents, elle épouse en 1908 Léon Leray, un Breton comme elle, employé des chemins de fer. Ils se sont rencontrés à Douarnenez au début du siècle, lorsque Léon effectuait son service militaire dans la Marine. Le couple a deux enfants lorsque Léon meurt de la typhoïde, au sortir de la Grande Guerre. Joséphine se retrouve veuve, et décide de rentrer à Douarnenez. Une Penn Sardin Elle est embauchée comme ouvrière chez Chancerelle, la plus ancienne conserverie de la ville. À cette époque, les Penn Sardin - les « têtes de sardines » en breton, c’est ainsi qu’on appelle les ouvrières des usines de conserves de poissons à Douarnenez, en raison de leur coiffe - connaissent des conditions de travail très difficiles. En novembre-1924, elles entament une grande grève qui dure plusieurs semaines. Joséphine Pencalet participe au mouvement et devient même secrétaire-adjointe du bureau des Métaux de Douarnenez, affilié à la CGT Unitaire. Les ouvrières obtiennent finalement gain de cause, cette victoire a un retentissement dans toute la France. Quelques mois plus tard, lors des élections municipales de mai-1925, le maire sortant de la ville portuaire bretonne, le communiste Daniel Le Flanchec, propose à Joséphine Pencalet de rejoindre sa liste, où elle figure en quatrième position. Une consigne venue de Moscou Pour ce scrutin, le Parti communiste français décide en effet de présenter une dizaine de femmes dans l’Hexagone, à la demande de Moscou. Douarnenez est alors l’une des deux seules municipalités communistes de France, et Daniel Le Flanchec compte bien se servir du succès des Penn Sardin pour aider à sa réélection. D’autant plus que la question du vote féminin est alors très présente. Les femmes ont pris une part importante dans la société pendant la dernière guerre, en remplaçant les hommes dans les usines, et certaines réclament une égalité toute légitime. Pas moins de trois propositions de loi sont déposées devant l’Assemblée nationale, plusieurs hommes politiques - tous bords confondus - sont en faveur de la réforme. Mais le Sénat fait obstruction, et rien ne change. Si les femmes n’ont toujours pas le droit de vote et ne peuvent pas être élues, cela n’empêche pas le PCF de présenter des candidates. « Les femmes sont exclues de la citoyenneté politique, mais dans le cadre des municipales, la loi électorale de 1884 prévoit qu’on vérifie a posteriori l’éligibilité des élus », explique Fanny Bugnon, historienne qui a travaillé sur le cas de la Bretonne. Faut-il encore trouver une volontaire, chose compliquée comme le raconte le syndicaliste et futur résistant rennais Charles Tillon, dans ses Mémoires : « À vrai dire, la difficulté n’était pas de la faire élire, mais de trouver une citoyenne qui consentît à jouer les suffragettes comme en Angleterre ! Pas un ménage n’accepta ce sacrifice. Seule une avenante veuve, Joséphine Pencalet, se dévoua. Elle avait souvent tenu le drapeau rouge par les rues. Elle sut se moquer des menaces du préfet, trinquer avec les pêcheurs et rembarrer les blagueurs… ». Une élection annulée par le préfet L’ouvrière est donc élue au premier tour et siège durant six mois au conseil municipal de Douarnenez. Mais comme attendu, quelques semaines après le scrutin, la préfecture du Finistère invalide l’élection de la candidate communiste, « considérant qu’en l’état actuel de la loi, les femmes ne sont, en France, ni éligibles ni même électrices aux élections municipales ». Joséphine Pencalet fait appel et saisit le Conseil d’État, qui confirme malheureusement la décision le 27 -novembre 1925. À Douarnenez, « l’annulation de l’élection de Joséphine Pencalet [...]n’occasionne aucun trouble à l’ordre public », précise l’historienne. Pourtant célébrée quelques mois plus tôt dans ses colonnes, la presse communiste nationale ne fait aucune mention de la décision du Conseil d’État. Du jour au lendemain, la première Bretonne élue retourne à l’anonymat de sa vie ouvrière. Si elle conserve ses convictions, elle garde, jusqu’à sa mort le 13 -juillet 1972, à l’âge de 85 ans, le sentiment d’avoir été utilisée et nourrit une profonde amertume envers la classe politique. En savoir plus « Joséphine Pencalet, une Penn Sardin à la mairie », de Fanny Bugnon, publié dans « Bretonnes, des identités au carrefour du genre, de la culture et du territoire », collectif, éd. PUR, 2016. « 1925, Joséphine Pencalet, une pionnière », film documentaire d’Anne Gouerou, collection Aux urnes universelles, prod. Beo, 2015. « On chantait rouge », Charles Tillon, éditions Robert Laffont, 1977. « Douarnenez, histoire d’une ville », Jean-Michel Le Boulanger, éditions Palantines, 2000. « Il y a un siècle, les femmes et la mer », Nelson Cazeils et Fanny-Cazeils-Fennec, éditions Ouest-France, 2003.

© Le Télégramme - Plus d’information sur http://www.letelegramme.fr/histoire/josephine-pencalet-premiere-bretonne-elue-21-10-2016-11264319.php#

Article publié le 23 octobre 2016.

Lire aussi nos autres publications pour l'année du centenaire du Parti communiste dans la série "100 ans d'engagements communistes en Finistère":

Lire aussi:

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 39/ Sébastien Velly (1878-1924)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 38/ Edouard Mazé (1924-1950)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 37/ Guy Liziar (1937-2010)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 36/ Henri Moreau (1908-1943)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 35/ Alphonse Penven (1913-1994)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 34/ Michel Mazéas (1928-2013)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 33/ Pierre Guéguin (1896-1941)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 32/ Jean-Louis Primas (1911-1943)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 31/ François Paugam (1910-2009)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 30/ Angèle Le Nedellec (1910-2006)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 29/ Jules Lesven (1904-1943)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 28: Raymonde Vadaine, née Riquin

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 27/ Jeanne Goasguen née Cariou (1901-1973)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 26/ Gabriel Paul (1918-2015)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 25/ François Bourven (1925-2010)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 24/ Yves Autret (1923-2017)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 23/Pierre Jaouen (1924-2016)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 22/ André Berger (1922-1943)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 21/ Joseph Ropars (1912-1943)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 20/ Paul Monot (1921-1943)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 19/ Jean-Désiré Larnicol (1909-2006)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 18/ Jean Le Coz (1903-1990)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 17/ Alain Cariou (1915-1998)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 16/ Jean Nédelec (1920-2017)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 15/ Alain Le Lay (1909-1942)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 14/ Pierre Berthelot (1924-1986)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 13/ Albert Abalain (1915-1943)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 12/ Andrée Moat (1920-1996)

1920-2020: cent ans d'engagements communistes en Finistère: 11/ Jean Le Brun (1905-1983)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère - 10/ Denise Larzul, née Goyat (1922-2009)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 9/ Pierre Le Rose

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 8/ Marie Salou née Cam (1914-2011)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 7/ René Vautier (1928-2015)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 6/ Denise Firmin née Larnicol (1922-2019)

1920-2020 - 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 5/ Fernand Jacq (1908-1941)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 4/ Corentine Tanniou (1896-1988)

1920-2020 - 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 3/ Albert Rannou (1914-1943)

1920-2020 - 100 ans d'engagements communistes en Finistère - 2/ Marie Lambert (1913-1981)

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