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Le Chiffon Rouge
Morlaix
Photos Fabris Cadou et Ismaël Dupont.
Une cinquantaine d'opposants à la contre réforme des retraites de Macron (FO, CGT, SUD, FSU, PCF, régionalistes, Gilets Jaunes) à Penzé (commune de Taulé) ont manifesté le jeudi 30 janvier devant le restaurant de Penzé, Tal ar Milin, avant la réunion débat organisée par la députée LREM Sandrine Le Feur. Sur l'argumentation, la députée macroniste n'a à peu près répondu à rien, se contentant de distribuer la parole et d'appeler à un débat apaisé malgré la violence de la réforme que sa majorité défend et le refus d'entendre une majorité de Français (plus de 60%) hostiles à la dégradation de leurs droits à la Retraite par Macron et favorables au mouvement social d'opposition, un des plus longs de la Ve République.
Sandrine Le Feur par son impuissance à argumenter en faveur de la réforme a bien manifesté le vide de contenu progressiste et de justifications véritables de cette réforme malgré les éléments de langage.
Dans la salle, aux côtés de la députée En Marche, à peine une quinzaine de sympathisants en comptant le staff, tandis qu'au moins 60 personnes présentes étaient clairement hostiles à cette réforme.
Plusieurs interventions ont été très marquantes sur cette soirée, mais pas, celles, plutôt pathétiques, des macronistes et de Sandrine Le Feur: Martine Jézequel et Jean-Yvon Ollivier pour la CGT, Antoine Gauchard pour la FSU, des jeunes gilets jaunes. Je suis aussi intervenu à plusieurs reprises, sans obtenir le moindre début de réponse de la députée.
Une vingtaine de personnes ont pu s'exprimer dont 3 ou 4 simplement qui sympathisaient avec cette réforme pour des raisons idéologiques (des macronistes convaincus et bien à droite).
Ismaël Dupont
Jeudi Rouge 30 janvier, organisé pour le Réseau Partage des Savoirs du PCF.
JEUDIS ROUGES
comprendre, agir, risposter
Espace Benoîte Groult
3, avenue du Coat Kaër - 29300 Quimperlé
Jeudi 30 janvier 2020, 18 h 30
Salle ISOLE
3ème de la saison 2019/2020 et second du cycle La Bretagne en vrai.
La Bretagne en vrai, loin des cartes postales, d'une région en carton pâte dont on nous rebat les oreilles.
Loin des plages, du farniente,des menhirs, des calvaires...
Tiens au fait en parlant de calvaires qu'en est il des cohortes de travailleurs pauvres, des exclus, des réfugiés, de la misère dans notre département ?
Loin de nous l'idée de dresser un tableau apocalyptique mais d'aborder avec des spécialistes un sujet généralement ignoré ou à tous le moins minimisé.
Nous avons invité pour présenter ce dossier et en débattre des représentants de deux assocations reconnues au plan national et départemental, le Secours Populaire Français et le Secours Catholique.
Le détail de la soirée -Précarité, pauvreté, exclusion, un autre visage de nos territoires
Regards croisés du
Secours Catholique
Isabelle Biseau présidente de la délégation départementale et Ludovic Raulin délégué diocésain
et du Secours Populaire Français
Françoise Le Lann et Yves Guiriec membres du comité départemental.
Plus d'information contactez:pcfpaysdequimperle@gmail.co
Organisé par le réseau d'initiatives « partage des savoirs » du PCF en Bretagne sud
Au cœur de la haine
https://www.editions-arcane17.net
Lorsque Thomas Portes, visage des mobilisations cheminotes du printemps 2018, se voit assigné en justice par Génération identitaire, suite à un tweet dénonçant l’opération anti-migrants du col de l’Échelle, il reste abasourdi. « Ce n’est pas moi mais eux qui devraient être poursuivis pour appel à la haine ! »
Passées la stupéfaction et la colère, le jeune syndicaliste décide de riposter en préparant son procès « dans l’action ». Quel meilleur moyen que l’écriture pour le faire ? Pendant près d’un an, il va aller à la rencontre d’acteurs de terrain, qui comme lui, ont décidé de résister à la peste brune.
Au cœur de la haine est le récit de leurs conversations. « Ces pages livrent un regard sans concessions sur la France d’aujourd’hui ; mon regard. Elles offrent également des éléments d’analyse sur la situation et proposent des solutions... »
« Le constat peut paraître sombre, mais il n’est en rien pessimiste. » Au fil des étapes du récit, Hénin-Beaumont, Hayange, Le Mans, Nice ou Lyon, l’Europe, on comprend mieux comment l’extrême droite construit son rayonnement et accroît son influence. On trouve aussi dans l’engagement des acteurs de terrain, la possibilité d’œuvrer. à une autre vision du monde et des rapports sociaux.
Sortie nationale le 14 janvier. Disponible en précommande sur le site à partir du 6 janvier.
Cheminot, syndicaliste et jeune dirigeant politique du Tarn et Garonne Thomas Portes est cité à comparaître devant le tribunal correctionnel de Paris
sur requête de l'association «Génération Identitaire»
http://ldh49.over-blog.org/2018/08/soutenons-thomas-portes-assigne-en-justice-par-generation-identitaire.html
Samedi 21 et dimanche 22 avril 2018, entre 80 et 100 militants du groupe Génération identitaire se sont rendus au col de l’Echelle, dans les Hautes-Alpes, pour déployer des banderoles dans le but de «tenir » la frontière franco-italienne et démontrer ainsi leur hostilité à l’arrivée de migrants sur le sol français. Ce groupe déjà connu des militants des droits de l’homme a été l’un des organisateurs d’une expédition entravant le sauvetage des migrants en mer Méditerranée par les ONG au cours de l’été 2017. Les principaux dirigeants identitaires européens avaient alors affrété le navire C-Star contre les associations humanitaires venant en aide aux réfugiés.
Au regard de telles initiatives dénotant clairement le mépris dont font preuve ces militants d’extrême droite face à des femmes, enfants et hommes ayant quitté leur pays souvent au péril leur vie afin de fuir les guerres, les persécutions, la misère, le réchauffement climatique, Thomas Portes, dans un juste et légitime accès de colère et de dégoût face à ces comportements fascisants, a réagi sur un réseau social par un tweet lors de cette opération dans les Alpes du Sud. Il y dénonçait les pratiques d'un groupuscule qu’il assimilait à celles d’une sombre période de notre histoire.
Les militants de Génération identitaire se sont reconnus dans les propos du tweet dans lequel ils n’étaient pourtant pas nommés. En effet consécutivement à ce tweet, le 6 juillet dernier, Thomas Portes a reçu une citation à comparaître devant le tribunal correctionnel de Paris, à la suite d’une plainte qu’ils ont déposée pour injures publiques.
Qu’ils s’en prennent à Thomas, jeune syndicaliste et jeune dirigeant du Parti communiste français n’est pas un hasard. Ils veulent faire taire les voix qui aujourd’hui s’élèvent pour dénoncer des comportements insupportables. Nous ne pouvons pas laisser faire !
Alors que partout en Europe, l’extrême droite et des démagogues des partis « attrape tout », surfant sur une instrumentalisation nauséabonde de la question migratoire avec une dérive xénophobe de plus en plus prégnante jusqu’à la constitution de gouvernements droite-extrême droite, nous militant-e-s politiques, associatifs, syndicalistes et progressistes devons tout mettre en œuvre pour éviter que l’Europe de demain ne sombre dans une régression nationale-populiste d’extrême-droite qui ne peut conduire qu'au pire. Ne cédons pas aux intimidations et aux menaces !
Pour défendre nos valeurs républicaines et répondre par notre solidarité à l’assignation en justice de Thomas Portes, nous créons ce comité de soutien et invitons à le rejoindre toutes celles et ceux se refusant à voir notre pays aux mains d’une organisation qui telle une milice entend faire justice elle-même.
Co présidentes du comité de soutien :
Marie Pierre VIEU (députée européenne) / Catherine PHILIPPE (secrétaire départementale PCF 82)
Parmi les 1er signataires
Isabelle ALONSO (Chroniqueuse) - David ANTON (secrétaire syndicat CGT cheminot Castres) - Benjamin AMAR (CGT) - Pouria AMIRSHASHI (rédacteur de l’hebdo Politis) – Pierric ANNOT (secrétaire départemental PCF 92) – Cathy APOURCEAU POLY (sénatrice) - Clémentine AUTAIN (députée) - Christophe ARNAUDY (secrétaire départemental PCF 72) - Maryse ARTIGUELONG (vice-présidente - Ligue des droits de l'Homme-75) - Eliane ASSASSI (sénatrice) – Gilles BALBASTRE (réalisateur) – Jacques BAUDRIER (conseiller de Paris) - Esther BENBASSA (sénatrice) – Jean BENGUIGUI (comédien) – Amar BELLAL (rédacteur en chef Progressistes) – Jérémy BACCHI (secrétaire départemental PCF 13) – Alain BACHE (secrétaire départemental PCF 40) – Pierre BARBANCEY (grand reporter) -Julien BAYOU (conseiller régional IDF) – Manon BLACHOT (chanteuse) -Sandra BLAISE (secrétaire départementale PCF 88) - Isabelle BLOCH (professeur émérite université Bordeaux) – Bernard BLOCH (metteur en scène) – Sophie BINET (CGT) – Matthieu BOLLE-REDDAT (secrétaire syndicat cheminot CGT Versailles) - Dominique BOUE (secrétaire départemental PCF 36) - André BOUDES(secrétaire départemental PCF 81) – Vincent BOUGET (secrétaire départemental PCF 30) – Philippe BOUYSSOU (maire d’Ivry) – José BOVE (député européen) – Patrick BRAOUEZEC (membre du parlement honoraire) - Caroline BREBANT (adjointe au maire ST Maximin) – Laurent BRUN (secrétaire général CGT cheminot) - Alain BRUNEEL (député) – Ian BROSSAT (adjoint au maire de Paris) – Sophie BUSSIERE (avocate – secrétaire EELV Pays Basque) – Eric CADORE (secrétaire départemental PCF 32) – Lamine CAMARA (Conseiller régional IDF) – Stéphane CAZAUX (Secrétaire syndicat CGT cheminot Muret) - Guy CHAPOUILLIÉ (cinéaste – universitaire) – André CHASSAIGNE (député) – Marie Hélène CHAUVAT (secrétaire départementale PCF 23) – Julien CHOUET (secrétaire départemental PCF 24) - Samir CHIKHI (génération-s 82) – Vanessa CODACCIONI (politologue) – Laurence COHEN (sénatrice) –Corinne COMPAN(conseillère départementale-12) -Jean Marc COPPOLA (conseiller municipal Marseille) – Eric COQUEREL (député) – Alexis CORBIERE(député) - David CORMAND (secrétaire national EELV) – Sergio CORONADO (ancien député) – Nicolas COSSANGE (conseiller régional Occitanie) – Cécile CUKIERMAN (sénatrice) – Guy DAIME (adjoint au maire de Montech) - Olivier DARTIGOLLES (porte-parole PCF) –Isabelle DE ALMEIDA (présidente du Conseil National PCF) – Laurence DE COCK (historienne) – Raphael DEBU (conseiller régional AURA) – Elen DEBOST (conseillère départementale Sarthe) – Jean-Paul DEKISS (écrivain, réalisateur, producteur et président de la Ferme des Lettres) – Gérard DENIS (professeur économie université de Pau) – Lina DESANTI (secrétaire UD CGT 82) – Pierre DOMENGES (auteur) – Cécile DUMAS (conseillère municipale Antibes) – Jacques DUPUIS (physicien-75) – Denis DURAND(économiste) – Nelly FATON (secrétaire départementale PCF 39) – Elsa FAUCILLON (députée) – Caroline FIAT (députée) - Aurélie FILIPPETTI (ancienne ministre de la culture) - Gérard FILOCHE (inspecteur du travail) – Françoise FITER (conseillère départementale-66)– Olivier FOURNET (1er secrétaire PS 82) - Pascal FOURNET (CGT) – Sylvie FUCHS (conseillère régionale IDF-77) - Michèle FURTUNA (professeure de lettres) – Bernard GARCES (NPA82) - Audrey GARINO (directrice générale de la Marseillaise) - Fabien GAY (sénateur) – Gilbert GARREL (Président IHS CGT) – Jean Luc GIBELIN (vice-président région Occitanie) – David GOBE (CGT cheminot secteur Europe) – Guillaume GONTARD (sénateur) – Joseph GONZALEZ (MERR 82) – Robert GUEDIGUIAN (réalisateur) – Tamara GUERRERO (présidente MERR 32) – Saïd HAMDOUNI (enseignant chercheur en droit public université Toulouse) – Pierre HENRY(directeur général France terre d’asile) – Cédric HERROU (militant droits de l’homme) – Arnaud HILLION (conseiller municipal d’opposition Montauban) - Mina IDIR (secrétaire départementale PCF 84) – Pierre IVORRA (chroniqueur économie Humanité) – Eddie JACQUEMART(président de la CNL) – Yves JAMAIN (secrétaire départemental PCF 86) – Pierre JACQUEMAIN (rédacteur en chef Regards) – Brahim JLALJI (secrétaire départemental PCF 17, élu La Rochelle) - Sébastien LABORDE (secrétaire départemental PCF 33, adjoint au maire St Denis de Pile) – Pierre LACAZE (Elu Toulouse Métropole) - Aude LANCELIN (rédactrice en chef le Média) – Michel LARIVE (député) – Bastien LACHAUD (député) - Sarah LEGRAIN (secrétaire nationale du Parti de Gauche) – Mathilde LARRERE (historienne) – Pierre LAURENT (secrétaire national PCF) – Patrick LE HYARIC (directeur de l’Humanité/député européen) – Sylvie LAVAL (maître de conférences université Toulouse) – Ivan LAVALLEE (Directeur de rédaction de la revue Progressistes) – Serge LAYBROS (secrétaire départemental PCF 46) – Didier LE RESTE (conseiller de Paris) – Roland LEROY (ancien de la Résistance, député honoraire du Parlement) - Jérôme LEROY (chroniqueur à Liberté Hebdo) – Paul Antoine LUCIANI (conseiller municipal d’opposition Ajaccio) – Céline MALAISE (conseillère régionale IDF) – Philippe MARLIERE (universitaire) – Emmanuel MAUREL (député européen) – Christophe MARRE (secrétaire général secteur CGT Cheminots Midi Pyrénées) – Marc MARTEL (CGT Cheminot Montauban) – Gérard MATTERA (secrétaire départemental PCF 52) - Myriam MARTIN (conseillère régionale Occitanie) - Maryse MARTINEZ (présidente MRAP 66) – Jean-Luc MELENCHON (député) – Jean-François MIGNARD (secrétaire général de la Ligue des droits de l’Homme – LDH) - Alain MIRANDA (ancien Bâtonnier du barreau d’Agen) - Gérard MORDILLAT (réalisateur) – François MOREL (comédien) - Marielle NICOLAS(maître de conférences Pau) – Danièle OBONO (députée) - Gérard ONESTA (Président du Bureau de l’Assemblée du Conseil Régional d’Occitanie) – Jean ORTIZ (universitaire Pau) – Pierre OUZOULIAS (sénateur) – Alain PAGANO (secrétaire départemental PCF 49) – Mathilde PANOT (députée) – Laurence PATRICE (conseillère d’arrondissement Paris 15ème) - David PELLICER (FI 82) - Martine PEREZ (secrétaire départementale PCF 12) – Gilles PERRET (réalisateur) – Catherine PHILIPPE (secrétaire départementale PCF 82) - Marie PIQUE (vice-présidente région Occitanie) – Thomas PORCHER (membre des économistes atterrés) – Stéphane PEU (député) – Serge PEY (poète) – Rodolphe PORTOLES (conseiller municipal d’opposition Montauban) – Philippe POUTOU (NPA) – Sébastien PRAT(secrétaire départemental PCF 15) – Jean Luc PRINCE (réalisateur) – Loïc PRUD’HOMME (député) – Adrien QUATENNENS (député) – Valérie RABAULT (députée) – Christian RAUTH (comédien) – Alain RAYNAL (journaliste) – Serge REGOURD (conseiller régional Occitanie) – Muriel RESSIGUIER (députée) – Jean-Hugues RATENON (député) – Philippe RIO (maire de Grigny) - Adrien ROME(secrétaire départemental PCF 64) – Guillaume ROUBAUD QUASHIE (directeur de Cause Commune "revue d'action politique du PCF") – Liliane ROVERE (comédienne) – Sabine RUBIN (députée) – Luc RONFORT (EELV 82) - Eric ROULOT (maire de Limay) – GéraldineROUQUETTE (conseillère municipale Castres) – Virginie ROZIERE (députée européenne) - François RUFFIN (député) – Jean Michel RUIZ (conseiller régional IDF) – Malik SALEMKOUR (président de la Ligue des droits de l’Homme – LDH) - Thierry SAN ANDRES (maire de St Benoît de Carmaux) - Manuel SANCHEZ (cinéaste) – Dominique SATGE (conseillère régionale Occitanie) - Pierre SANTINI(comédien) –Bernard SANDERRE (cameraman) – Danielle SIMONNET (co-coordinatrice du Parti de Gauche et conseillère de Paris) - Hervé SAULIGNAC (député) - Aymeric SEASSAU (adjoint au maire de Nantes) – Jérôme SOUBEYRAND (scénariste-réalisateur) - Roger SOUZA (comédien – réalisateur) – Gilbert STROMBONI (IA/IPR de lettres honoraire) - Bénédicte TAURINE (députée) – Gaël TABARLY (conseiller municipal d’opposition Montauban) – Jean François TEALDI (journaliste syndicaliste) – François TEJEDOR(secrétaire général CGT Cheminot région PACA) – Bernard THIBAULT (organisation internationale du travail) – Marine TONDELIER(conseillère municipale d’opposition Hénin Beaumont) – Marie Claude TREILHOU (cinéaste) – Jean TRIGUERO (secrétaire départemental PCF 09) – Marcel TRILLAT (réalisateur) – Marie Christine VERGIAT (députée européenne) – Mylène VESENTINI (conseillère régional Occitanie) – Marie Pierre VIEU (député européenne) – Véronique VINET (conseillère régionale Occitanie) – David VILLEGAS (secrétaire général CGT Cheminot Aquitaine) – Francis WURTZ (député honoraire européen) – Bora YLMAZ (secrétaire départemental PCF 54).
Théâtre et philosophie
jouée par la compagnie "Min'de rien" (Yann Flouriot, Hervé Guitet) basée à Rennes qui a déjà joué cette pièce une cinquantaine de fois dans toute la France, notamment devant des classes de philo en lycée, dans des salles municipales, en librairie, dans des soirées théâtre en maison
Pièce de théâtre d'une heure suivie d'un débat: à l'origine du rationalisme moderne, les débats entre la raison et la foi
Entrée libre, ouverte à tous, participation au chapeau
Local du PCF pays de Morlaix, 2 petite rue de Callac à Morlaix
Retrouvez sur notre chaîne YouTube Rouge Finistère PCF29 notre nouvelle vidéo d’éducation populaire
A l’occasion des 30 ans de la chute du Mur de Berlin et de la fin de la RDA, conférence-débat avec Saskia HELLMUND, qui nous parla de la RDA « ex Allemagne de l’Est » où elle est née et a vécu sa jeunesse et étudié, sur la base des deux livres qu’elle a déjà publiés:
– La fille qui venait d’un pays disparu
– Pays perdu, pays choisi. Journal d’une jeune Allemande de l’est (chez Skol Vreizh)
Saskia est née en 1974 en RDA et a fait des études d’histoire à Leipzig, Berlin et Paris. Après un doctorat sur la médiation culturelle transfrontalière, elle a enseigné à la Sorbonne. Depuis 2012, elle est installée en Bretagne, dans la Baie de Morlaix. L’été, y travaille comme guide touristique et guide de randonnée, l’hiver, elle enseigne sa langue maternelle à l’UCO de Guingamp. En ce moment, elle prépare la création d’une pièce de théâtre sur la chute du Mur vue de l’Est.
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A l’occasion des 30 ans de la chute du Mur de Berlin et de la fin de la RDA, conférence-débat avec Saskia HELLMUND, qui nous parla de la RDA « ex Allemagne de l’Est » où elle est née et a vécu sa jeunesse et étudié, sur la base des deux livres qu’elle a déjà publiés: – La fille qui venait d’un pays disparu – Pays perdu, pays choisi. Journal d’une jeune Allemande de l’est (chez Skol Vreizh) Saskia est née en 1974 en RDA et a fait des études d’histoire à Leipzig, Berlin et Paris. Après un doctorat sur la médiation culturelle transfrontalière, elle a enseigné à la Sorbonne. Depuis 2012, elle est installée en Bretagne, dans la Baie de Morlaix. L’été, y travaille comme guide touristique et guide de randonnée, l’hiver, elle enseigne sa langue maternelle à l’UCO de Guingamp. En ce moment, elle prépare la création d’une pièce de théâtre sur la chute du Mur vue de l’Est.
Beaucoup de monde hier soir, mercredi 11 décembre 2019, au forum - Morlaix et ses associations de notre liste "Morlaix Ensemble" ! Des échanges très enrichissants avec de nombreuses associations morlaisiennes. De nombreuses associations étaient représentées à notre seconde réunion publique de campagne. Merci à tous ! Les 344 associations morlaisiennes étaient à l'honneur hier soir ! Morlaix Ensemble échange avec cette richesse de notre territoire !
Jean-Paul Vermot avait introduit et animé la première réunion publique sur la redynamisation du centre-ville de Morlaix et du commerce il y a deux semaines. Cette fois-ci, c'était autour de Ismaël Dupont d'animer la réunion "Morlaix et ses associations" et d'introduire les débats en deux temps, un premier temps consacré à décrire la situation et les préoccupations transversales des associations morlaisiennes, les problèmes à régler, un second temps consacré à mettre en débat certaines de nos propositions et orientations tout en répondant à la douzaine d'interventions des acteurs associatifs morlaisiens. La prochaine réunion publique Forum de "Morlaix Ensemble", sur la Santé et les Solidarités dans l'action municipale à Morlaix, sera introduite et animée par Catherine Tréanton: le jeudi 9 janvier (Auberge de Jeunesse).
Les débats ont tourné:
- sur la place de la solidarité internationale, des droits de l'homme et de l'ouverture à l'international et aux jumelages dans la politique de la ville: intervention de représentants de Morlaix-Wavel, de l'AFPS pays de Morlaix, de Amnesty International, de Morlaix-Wurselen
- sur le suivi de associations remplissant un rôle quasiment de délégation de service public par la municipalité, un suivi très "relâché" pour ce qui est de la majorité actuelle, absente de nombreux CA: intervention de représentants de MAJ et de Carré d'AS
- sur la culture et la place de l'initiative et de la création associative à l'origine de projets majeurs pour la région: intervention de représentants de Wart, de SEW
- sur l'office municipal des Sports
- sur le besoin de sécurisation par des conventions pluri-annuelles et des financements liés au fonctionnement et non simplement aux projets ponctuels des associations
- sur la place de la jeunesse dans le projet municipal
- sur le rapport à Morlaix-Communauté et aux communes voisines pour mutualiser les compétences et les moyens en matière de soutien au monde associatif
- sur la future maison des associations, la nouvelle affection de la salle actuelle de cinéma de La Salamandre place de la Commune, ses rapports avec MAJ, sur la future affection possible des locaux du Patio en cas de création, que nous souhaitons, d'une nouvelle école intercommunale de musique et de danse
- sur le terrain synthétique de foot, projet construit à la va-vite en fin de mandat
- sur les assos qui s'auto-financent sans subvention comme le club de tir
- sur les modes d'attribution des subventions
- sur le soutien aux APE et aux écoles : présence de représentants d'APE d'Emile Cloarec et de Corentin Caër
Morlaix Ensemble
Forum
Morlaix et ses
ASSOCIATIONS
LES CONSTATS
344 associations domiciliées sur Morlaix
¼ environ touchent des subventions de la ville
Sports, Culture, Culture bretonne, Sciences, Pratiques artistiques, Préservation du Patrimoine, Education populaire, APE et APEL de parents d'élèves, Enfance, Social, Solidarité et solidarité internationale, Humanitaire, Jumelages, Handicap, Environnement et écologie, Animation de quartiers, Anciens Combattants, l'éventail est très large.
Des milliers d'adhérents d'associations (25 % des morlaisiens donnent du temps pour une ou des associations) sont réunis par des passions partagées, l'envie de créer des liens et des échanges humains, d'améliorer la qualité de vie pour soi-même et dans notre ville par du plaisir à partager, des réalisations, du lien social.
Certaines de ces associations ont un statut particulier en tant qu'elles sont employeuses, et participent de ce fait directement à l'économie locale tout en ayant des modes de financement spécifiques. Dans le Pays de Morlaix, 440 associations sur 2648 soit à peu près 1 sur 6, ont des salariés, et certaines, dans le secteur social et médico-social, emploient beaucoup de personnes comme les Genêts d'Or, Don Bosco, Massé-Trevidy, etc. En tout le secteur associatif représente 11,6 % des emplois du privé dans le pays de Morlaix contre 10,5 % en moyenne nationale.
Les nouveaux arrivants sont souvent étonnés et agréablement surpris par l'extrême richesse et vitalité du tissu associatif morlaisien.
Les initiatives nouvelles fleurissent chaque année – festivals, évènements, nouvelles formes de solidarités et d'économie en phase avec le développement durable.
Des associations non domiciliées sur le territoire (problème de l'accès aux salles, aux moyens et aux boîtes aux lettres) mais dans des communes limitrophes de Morlaix ont aussi de nombreux bénévoles et adhérents morlaisiens, et une activité forte sur la ville.
Dans le domaine de la culture, du sport, du social et des solidarités, les associations sont à l'origine de projets, équipements, pratiques qui font désormais partie intégrantes de l'identité et du patrimoine de Morlaix, de son rayonnement et de son attractivité (Panoramas, SEW, etc)
Si Morlaix n'est pas simplement une ville sinistrée économiquement et démographiquement, mais a un pouvoir de séduction et une qualité de vie exceptionnels, on le doit en grande partie à nos associations qui créent de la vie, des échanges, du lien social.
En même temps, au milieu de ces initiatives collectives de la société civile morlaisienne, et compte tenu du fait que les associations proposent beaucoup, on ne voit pas toujours le fil rouge des politiques culturelles, sportives, sociales de la ville, ni l'existence de ces politiques en tant que telles.
Des préoccupations qui semblent partagées par le milieu associatif morlaisien :
- Avoir accès à des salles pour se réunir, pratiquer ses activités. Ce n'est pas simple faute d'équipements municipaux en nombre suffisant, de la pluralité des demandeurs, ou du fait de restrictions d'accès.
- Besoin d'avoir des élus plus disponibles, plus attentifs et à l'écoute, qui répondent plus rapidement et répondent tout court à nos interrogations.
- Etre reconnu dans ce que son association apporte à la collectivité. Avoir une visibilité, sentir que l'on n'est pas insignifiant mais au contraire important pour Morlaix.
- Avoir de la visibilité et des garanties sur les subventions que l'on va pouvoir obtenir quand on en demande. C'est d'autant plus important pour les associations employeuses, mais pas que pour elles.
- Avoir une transparence et une équité au niveau de l'attribution des subventions, des critères et des règles de décision qui y président.
- Avoir des moyens garantissant la réalisation des projets, le maintien de tarifs corrects pour les activités et pratiques, une évolution qualitative des équipements, performances, propositions.
- Ne pas être seuls face à la complexité du montage de dossiers, des taches administratives, des responsabilités.
- Simplifier le problème des doubles gouvernances et compétences entre communes, entre Morlaix et Morlaix-Communauté. Pouvoir bénéficier d'équipements du Pôle Urbain sans toujours réfléchir en termes de limites communales.
- Des équipements qui peuvent être vieillissants, inadaptés, à moderniser, sur lesquels il faudrait investir.
- Une consultation et une association aux projets d'investissement, aux politiques de la ville et de la communauté d'agglomération dans les domaines qui nous concernent
- Des cadres pour coopérer entre associations, être entendus, être visibles et reconnus
- L'office municipal des sports. Faut-il le rétablir?
Des propositions et orientations que nous mettons en discussion
- Une maison des associations avec une structure d'accueil en centre-ville, des antennes de quartiers, des services associés (boîtes aux lettres, prêts de matériel, communication, lien avec la municipalité, salles de réunions, formation, aide administrative) en lien avec le Resam et les services de la ville.
- Un Forum des Associations chaque année permettant non seulement aux associations de présenter leurs activités et atouts, mais aussi à celles-ci de dialoguer entre elles et avec les citoyens sur des sujets communs et transversaux. Périmètre du forum à définir ensemble.
- Des Assises de la ville et de la vie associative pour échanger en profondeur, notamment en début de mandat
- Une politique incitative de découverte et d'accès aux sports, à la culture et aux loisirs pour tous les publics. Des tarifications solidaires à développer.
- Des commissions extra-municipales régulières (deux par an au moins) pour réunir les acteurs associatifs par domaines d'activités pour préparer les projets municipaux.
- Des élus plus disponibles et à l'écoute.
- Des services municipaux dotés de davantage d'autonomie et étoffés pour faire face aux besoins. Une organisation plus simple, plus réactive et moins pyramidale.
- Des salles et des services gratuits.
- La possibilité pour les associations de naître et de développer des projets avec un soutien public.
- Une révision des règles et du calendrier de subventionnement.
- Une politique sportive plus ambitieuse.
Section de Morlaix
2 Petite Rue Callac 29600 MORLAIX – tel : 02 98 88 30 35
Mel : pcf-morlaix@wanadoo.fr Blog : http://le-chiffon-rouge-pcf-morlaix.over-blog.com/
Mardi 10 décembre (18 h – local PCF Morlaix) : Les mardis de l’éducation populaire.
Ce mardi 10 décembre nous accueillerons Gérard LE PUILL à 18 h dans notre local (2 Petite Rue Callac – Morlaix).
Gérard LE PUILL est journaliste à l’Humanité et essayiste, spécialiste des questions d’environnement, d’agriculture et d’écologie.
Il interviendra sur le thème « Comment faire face à l’urgence climatique et à l’urgence sociale? ».
Il est l’auteur de différents ouvrages :
- Devant l'urgence climatique, bousculons les politiques (éditions du Croquant)
- Produire mieux pour manger tous d'ici 2050 et après
- L'écologie peut encore sauver l'économie
- Réinventons l'économie dans un monde fini
Ces conférences sont gratuites et ouvertes à tous.
Mardi de l'éducation populaire suivant:
Maurice Le Moine, journaliste (Monde Diplomatique) sur le Venezuela, la Bolivie, et les destabilisations des Etats-Unis et de l'oligarchie de droite en Amérique Latine: le mardi 14 janvier