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10 mars 2016 4 10 /03 /mars /2016 08:30

Journée d’actions régionales mercredi 30 mars

STOP A L'ABANDON PAR L'AIDE SOCIALE A L'ENFANCE DES MINEURS ISOLES ETRANGERS

Ils arrivent d’Afrique, du Moyen-Orient, d’Afghanistan, du Pakistan, du Bengladesh… Ils ont fui des zones de combat, la misère, la dictature, l’enrôlement forcé… Ils ont voyagé dans des conditions effrayantes. Ils sont mineurs, ils sont seuls. Ils veulent vivre dans un pays en paix, ils veulent aller à l’école, ils veulent se former.

En France, comme dans la plupart des pays qui ont signé la convention internationale des droits de l’enfant, ils ont droit à la protection (article 221-1 du code de l’action sociale et des familles) car ils sont en danger du fait de leur isolement. Et pourtant, le statut de mineur est contesté pour un grand nombre d’entre eux.

La cellule « d'accueil » (application de la circulaire Taubira) de l'Aide Sociale à l'Enfance (ASE) les soupçonne systématiquement de fraude

L’ASE fait expertiser leur état-civil

L’ASE pratique un entretien rapide et superficiel, toujours mené à charge, conduisant à un soupçon de majorité transmis au Procureur Au vu du dossier fourni par l’ASE, le Procureur a recours à une expertise médico-légale (tests osseux, examen dentaire et pubertaire, pratiques contestées par l'Académie de Médecine et le Défenseur des Droits) même lorsque l’acte d’état civil est authentifié par la Police aux Frontières.

L'ASE est directement impliquée dans les conditions de réalisation de ces tests : mauvaise information du droit du jeune à refuser, absence d’interprétariat, pas d’accès par le jeune au rapport médical transmis directement au Conseil Départemental, pression des éducateurs et d’autres acteurs de l’ASE pour réaliser ces tests, etc…

Au final, le Procureur déclare les jeunes majeurs, et l'ASE les abandonne en les sortant brutalement des hôtels où ils étaient logés le temps de l’évaluation. Et pourtant, ils sont mineurs, leurs papiers l’attestent.

Ni reconnus mineurs par les uns, ni reconnus majeurs par les autres, ils ne bénéficient pas des mesures de protection, et ne peuvent non plus agir comme majeurs. Ils sont les nouveaux sans droits. Ils vivent en marge, dans la rue ou dans des squats, à la merci de réseaux criminels. Il ne leur reste que le soutien des associations qui tentent de leur apporter les moyens minimum de subsister (hébergement, nourriture, cours de français ...).

POUR UNE REELLE PROTECTION DE L'ENFANCE NON AU SOUPCON SYSTEMATIQUE DE MAJORITE ARRET DES CONTESTATIONS D'ETAT-CIVIL SUPPRESSION DES TESTS MEDICAUX

Coordination régionale Bretagne – Pays de Loire solidaire des personnes immigrées (Angers, Brest, Châteaubriant, Lamballe, Lannion, Laval, Morlaix, Nantes, Quimper, Rennes, Tours, Saint-Brieuc, Saint-Nazaire

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10 mars 2016 4 10 /03 /mars /2016 07:20
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9 mars 2016 3 09 /03 /mars /2016 06:46
Une du 8 mars 2016 - L'Humanité

Une du 8 mars 2016 - L'Humanité

8 mars : Femmes Résistantes !

En ce 8 mars, un numéro exceptionnel de l'Humanité, disponible chez les marchands de journaux ou sur http://www.humanite.fr/ , témoigne de la présence, multiple et diverse, des femmes dans notre pays sur de nombreux fronts de lutte.

Le journal fondé par Jaurès a confié à 9 femmes le rôle de rédactrices en chef d'un jour :

  • Françoise Davisse, réalisatrice, auteure notamment du documentaire « Comme des lions » sur la lutte à PSA-Aulnay

  • Kadiata Ba, déléguée CGT dans la une entreprise sous-traitante de l'hôtellerie de luxe

  • Caroline de Haas, féministe et initiatrice de la pétition « loi travail : non, merci », loi travail qui, comme toutes les lois régressives de ces dernières années, serait facteur d'une plus grande précarité pour les femmes comme pour les jeunes.

  • Maya Konforti, engagée avec son association « L'Auberge des migrants » dans l'aide aux migrants de Calais.

  • Charlotte Magri, enseignante dans une école des quartiers Nord de Marseille et qui se bat contre les conditions de scolarisation intolérables infligées aux enfants de ce quartier

  • Sabine Salmon, présidente de Femmes Solidaires

  • Françoise Dumont, présidente de la Ligue des Droits de l'Homme

  • Carine Favier, coprésidente du Planning Familial

  • Fatiha Aggoune, vice-présidente du Conseil Départemental du Val de Marne

Leurs engagements, partagés par bien d'autres, femmes et hommes, s'inscrivent dans le combat pour l'émancipation humaine.

Une grande pionnière, Clara Zetkin, déclarait en 1889 à Paris dans son discours à la 1ère conférence de l'Internationale ouvrière, « L'émancipation de la femme comme celle de tout le genre humain ne deviendra réalité que le jour où le travail s'émancipera du capital. ». Sans pour autant sacrifier au combat général le combat des femmes pour « tous les droits qui leur reviennent. ».

C'est elle qui proposa en 1910 à Copenhague la création d'une Journée internationale des femmes par la suite fixée au 8 mars, et qui ne fut officialisée par l'ONU qu'en 1977.

Clara Zetkin, qui, comme Jaurès, essaya d'empêcher le déclenchement de la 1ère guerre mondiale, et dont Aragon écrivait dans les « Cloches de Bâle », « La femme des temps modernes est née, et c’est elle que je chante. Et c’est elle que je chanterai. »

Amie de Rosa Luxembourg, assassinée en 1919 lors de la répression contre la révolution spartakiste.

Femme courage, Clara Zetkin, devant le Reichstag où les nazis avec 37 % des suffrages viennent d'entrer en force, prononce en août 1932 en tant que doyenne, à l'âge de 75 ans, un discours où elle appelle à un front uni des travailleurs, des femmes, de la jeunesse, des intellectuels contre le fascisme :

« Devant cette impérieuse nécessité historique toutes les opinions politiques, syndicales, religieuses, idéologiques, qui nous entravent et nous séparent, doivent passer au second plan. Tous ceux qui sont menacés, tous ceux qui souffrent, tous ceux qui aspirent à se libérer doivent faire partie du front uni contre le fascisme et ses fondés de pouvoir au gouvernement ! »

Quelques mois plus tard Hitler était chancelier et Clara Zetkin en exil à Moscou où elle meurt en juin 1933.

D'autres femmes aujourd'hui dans le monde affrontent les plus grands dangers, la guerre, la prison, la torture, la mort, pour leurs idéaux.

Comment ne pas penser en ce 8 mars à Khalida Jarrar, députée au Parlement palestinien, arrêtée et emprisonnée par les forces d'occupation israéliennes, qui a lancé cet appel de sa prison :

« En ce jour, nous affirmons que nous sommes des prisonnières palestiniennes en lutte, que nous faisons partie du mouvement des femmes palestiniennes, et que la lutte nationale et sociale se poursuit sans cesse et de façon continue jusqu’à ce que nous atteignions notre libération de l’occupation, et, en tant que femmes, notre liberté de toutes les formes d’injustice, d’oppression, de violence et de discrimination à l’encontre des femmes. En ce jour, les femmes palestiniennes marquent cet événement en mettant en évidence les crimes de l’occupant contre les femmes, les enfants, les personnes âgées et les jeunes de Palestine. Cette année, notre appel met l’accent sur la liberté et l’auto-détermination de notre peuple, et sur la liberté et l’auto-détermination des Palestiniennes : pour parvenir à l’égalité et à la libération, pour mettre fin à toutes les formes d’oppression et d’injustice commises contre elles. Nous constituons, avec tou-te-s les combattant-e-s dans le monde pour la liberté des femmes, une partie du combat mondial : contre l’injustice, l’exploitation et l’oppression. »

Comment ne pas penser aussi à ces combattantes Kurdes qui se battent pied à pied contre Daech et en même temps travaillent à jeter les bases d'une société d'égalité entre les femmes et les hommes ?

Comment ne pas évoquer l'assassinat il y a quelques jours de Berta Caceres, militante amérindienne du Honduras, féministe, écologiste et progressiste, qui déclarait il y a quelques mois « Réveillons-nous, humanités ! Il n'y a plus de temps à perdre . Nos consciences se réveillent en contemplant la destruction et la prédation capitaliste, raciste et patriarcale...Notre Terre mère, militarisée, clôturée, empoisonnée, témoin de la violation systématique des droits fondamentaux, nous exige d'agir. »

Sans oublier toutes ces femmes qui, ici et ailleurs, et pas seulement le 8 mars, se battent au quotidien et loin des feux médiatiques pour une vie digne, pour elles et pour les autres, pour la solidarité, pour les droits de toutes et tous.

Clara Zetkin

Clara Zetkin

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9 mars 2016 3 09 /03 /mars /2016 06:02

Pour la mort d’un enfant, le salarié n'aura plus les mêmes droits


"Le projet de loi sur le travail réserve des surprises. Alors que l'ensemble des parlementaires s'étaient mis d'accord pour allonger la durée des congés liés à la mort d'un proche parent, le gouvernement a choisi un autre chemin. Pas d'amélioration pour tous et même un risque de régression : la durée minimum de deux jours de congé n'est plus assurée. "

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8 mars 2016 2 08 /03 /mars /2016 12:49

Quel avenir pour les nouvelles générations ?

Les parents et grands-parents sont mécontents et même en colère d’assister au recul des perspectives d’avenir de leurs enfants et petits-enfants.
Rien de plus naturel me direz-vous !
Oui, mais alors, que faisons-nous pour voir revenir le sourire sur leur visage et le mal-être disparaître ?
C’est insensé de vivre dans cette anxiété. On ne rencontre pas de parents ou de grands-parents qui n’abordent le sujet du travail. Comment ne pas faire autrement me direz-vous ; c’est tout l’avenir de notre jeunesse qui est en cause. Pas une seule famille où il n’y ait du chômage, des CDD à tire- larigot, des petits boulots, des stages avec un siège éjectable à la fin. Comment peut-on être serein dans ces conditions lorsqu’on sait que cette précarité les empêche de préparer tout futur ?
Quel est leur avenir ? La situation est compliquée mais heureusement nous pouvons et nous voulons nous faire entendre avec les mouvements qui se mettent en place et la volonté des jeunes comme des anciens de vivre dignement.
« Si tu veux vraiment, que ça change et que ça bouge, lève-toi car il est temps » (Le chiffon rouge)
Monique DAVID

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7 mars 2016 1 07 /03 /mars /2016 20:20

Loi sur le travail: malgré la dispersion syndicale, une semaine à haut risque pour Matignon


"Semaine à haut risque pour Matignon, qui reçoit les syndicats ce lundi jusqu'à mercredi autour de la loi sur le travail. Ces derniers avancent dispersés. Les contestataires tenteront de transformer mercredi sur le terrain, aux côtés des organisations de jeunesse, la formidable mobilisation citoyenne partie du Web, les réformistes se rassembleront pour faire de la pédagogie samedi."

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4 mars 2016 5 04 /03 /mars /2016 08:13
Projet de loi travail El Khomri à lire et décortiquer avant qu'il vous hache menu!

Un camarade du PCF de Concarneau, Michel Moysan, nous a transmis le projet de loi El Khomri, que nous partageons ici, avec ces commentaires:

"Veuillez trouver en pièce jointe le projet de loi.

Je l'ai parcouru assez rapidement et ai noté les points les plus marquants de celle-ci. le mot "raisonnable" apparaît assez souvent dans le cadre des négociations d'entreprise.

Comme si un patron était raisonnable quand il s'agit de fric. Je ne parle pas des petits patrons mais des suceurs de sang du prolétariat que sont les capitalistes.

Une disposition me paraît quand même assez redoutable, passée sous silence par les médias qui est l'annualisation du temps de travail sous forme d'un temps de travail annuel de 1607 heures qui déclenchera les heures supplémentaires. Je m'explique:

On pourra faire travailler 48 heures par semaine pendant un temps déterminé (l'été par exemple pour le bâtiment) et ensuite 20 heures pendant l'hiver sans qu'une seule heure sup' ne soit versée.

Les cadres ne sont pas mieux lotis et ont du souci à se faire.

En analysant de façon marxiste cette loi nous devrions relancer le mot d'ordre "Prolétaires de tous les pays unissez vous".

Par prolétaires, j'entends ceux qui n'ont que leur force de travail. Les taux maximas des indemnités de licenciement sont un abcès de fixation qui fera passer le reste.

Je ne crois pas et ai rarement vu des entreprises condamnées à verser 30000 euros à des salariés licenciés de façon illégale. Le diable se cache dans les détails.

La lecture de cette loi est assez indigeste et il faut avoir en main le code du travail et celui de l'éducation, passer 3 semaines à décortiquer l'ensemble et avoir un doctorat en droit du travail.

Bonjour la simplification du code du travail. vive la sociale !

Michel Moysan"

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4 mars 2016 5 04 /03 /mars /2016 08:08

En moins de deux semaines, plus de 900.000 personnes ont signé sur Change.org la pétition "Loi travail : Non merci!".

C'est la pétition de tous les records : elle est aujourd'hui la pétition la plus signée sur Change.org en France.

Toute la presse se fait l'écho de ce qui est devenu pour beaucoup un véritable mouvement de défense des droits des salariés.

Face à cette mobilisation, le gouvernement a décidé de reporter la présentation du projet de loi.

"Nous ne sommes pas dupes : le gouvernement essaye de gagner du temps. Une manœuvre pour contourner une mobilisation citoyenne inédite ? Cela renforce notre détermination à convaincre et à mobiliser." explique Caroline de Haas, à l'origine de la pétition.

Son objectif : atteindre 1 million de signatures pour stopper ce qu'elle et ses milliers de signataires considèrent comme un retour en arrière historique pour les droits des salariés.

Cliquez ici pour rejoindre vous aussi la mobilisation. Loi travail : non, merci @MyriamElKhomri ! #loitravailnonmerci Caroline De Haas Paris, France Signez la pétition

La ministre du travail propose une réforme qui transforme en profondeur le code du travail. Parmi les éléments proposés dans le projet actuel

☞ En cas de licenciement illégal, l’indemnité prud’homale est plafonnée à 15 mois de salaire.

☞ Les 11 heures de repos obligatoire par tranche de 24 heures peuvent être fractionnées. ☞ Une entreprise peut, par accord, baisser les salaires et changer le temps de travail

☞ Les temps d’astreinte peuvent être décomptés des temps de repos

☞ Le dispositif « forfaits-jours », qui permet de ne pas décompter les heures de travail, est étendu ☞ Les apprentis mineurs pourront travailler 10 heures par jour et 40 heures par semaine

☞ Le plancher de 24 heures hebdomadaires pour un contrat à temps partiel n’est plus la règle dans la loi (confirmation d'une loi antérieure).

☞ Il suffit d’un accord d’entreprise pour que les heures supplémentaires soient 5 fois moins majorées.

☞ Une mesure peut-être imposée par référendum contre l’avis de 70% des syndicats.

☞ Une entreprise peut faire un plan social sans avoir de difficultés économiques.

☞ Après un accord d'entreprise, un-e salarié-e qui refuse un changement dans son contrat de travail peut être licencié.

☞ Par simple accord on peut passer de 10h à 12h de travail maximum par jour.

Salarié-e-s ou non : cette réforme nous concerne toutes et tous ! Interpellez la ministre du travail et demandez lui de renoncer à ce projet.

1. Signez la pétition 2. Interpellez la ministre sur http://loitravail.lol 3. Likez la page Facebook de la mobilisation

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4 mars 2016 5 04 /03 /mars /2016 07:18

Voici un appel déjà signé de plus de 100 personnes qui se sont engagées pour le Front de gauche et se refusent à voir disparaître l’espoir qu’il a créé. Au contraire, nous voulons qu’il se transforme pour devenir enfin le moteur d’un large rassemblement, une grande force populaire et citoyenne.

Vous pouvez vous joindre à nous pour faite entendre cette exigence. Il vous suffit pour cela de vous rendre sur :

http://lefrontdegauche.fr

Si comme nous vous êtes attaché-e-s au Front de gauche, partagez sur les réseaux sociaux et par mail cet appel. Signez et faites signer !

APPEL : Rallumons l’étincelle du Front de gauche

Nous, militantes et militants des organisations qui composent le Front de gauche, nous, citoyennes et citoyens engagés dans ce rassemblement d’un nouveau genre que nous avons patiemment construit depuis près de huit années, nous n’acceptons pas de voir réduit à néant ce qui constitue encore pour des millions de gens un peu de l’espoir qui a déserté la gauche et la politique.

Scrutin après scrutin, lutte après lutte, nous avons progressivement construit les bases d’une nouvelle gauche, courageuse, antilibérale, innovante, écologiste et défendant les libertés. Nous avons réussi à construire entre nous du commun, une culture, des pratiques. Ensemble, nous nous sommes donnés des élu-e-s. Nous avons conservé ou conquis des positions dans des villes, des départements et des régions. Nous avons surtout ranimé une flamme, et redonné enfin un prolongement politique à l’espoir d’un autre monde possible. Nous n’oublions pas ce qui s’est levé, de La Bastille au Prado : ensemble, nous sommes une force.

Mais à l’approche d’un moment politique essentiel pour notre pays, c’est la désunion qui prend une fois de plus le dessus. Après des mois d’atermoiements et d’hésitations, le Front de gauche risque de périr des divisions stratégiques et des compétitions de personnes ou d’organisations. Nous ne nous résignons pas à cette situation qui réduirait tous nos efforts à néant. Le Front de gauche doit vivre et se transformer pour devenir le moteur d’un large rassemblement, une grande force populaire et citoyenne, capable de bousculer un jeu politique désespérant et de redonner un sens à l’idée de gauche.

Nous appelons les organisations du Front de gauche et leurs directions à réagir pour lancer le mouvement. Dans tout le pays, tenons des assemblées citoyennes auxquelles nous inviterons toutes celles et tous ceux qui ont pris part aux combats du Front de gauche, ou qui veulent les rejoindre. Exprimons partout avec force notre volonté de dépasser ce qui nous divise pour affronter tous ensemble les échéances à venir. Vite, faisons-nous entendre !

Les 106 premiers signataires...

Alam Thomas - Maitre de conférence en sciences politiques, Lille (59), Archambault Fabien – Enseignant Chercheur (87), Auxenfans Joël – Artiste plasticien (92), Bardeaux Elsa – Adjointe au Maire (94), Barré Jean-Jacques – Opérateur culturel (75), Bascoulergue Alain – PCF Aubervilliers (93), Bedin Yannick - EluPCF/FDG (18), Berger Paul – Enseignant retraité, Bidet Jacques – Philosophe (92), Billon-Galland Gérard – Syndicaliste (92), Bontoux Françoise – Communiste et féministe (77), Borvo Cohen-Séat Nicole – Sénatrice honoraire (75), Boursier Marie-Pierre – Conseil national du PCF (92), Bouvier Délou – Syndicat de la Magistrature, Brémont Pierrette – Militante FDG (44), Brunet Philippe – Sociologue Paris-Est (75), Cailletaud René, Chambon Gérard – Enseignant (94), Cocard Joël - Syndicaliste (44), Cohen-Seat Patrice - Avocat (75), Coppola Jean-Marc - Élu de Marseille (13), Costé David – Metteur en scène (93), Coutelis Alain, Crozat Dominique – Enseignante retraitée (91), Cukierman Leila – Directrice de théâtre retraitée (94), Delaitre Bernard - co-animateur assemblée citoyenne, Dionnet Brigitte – Conseil national du PCF (93), Duffour Michel – Ancien Ministre (92), Duparc Jean-Paul - Enseignant (06), Dupont Ismaël – Secrétaire départemental du PCF (29), Emilianoz Béchir – Économiste, Ernaux Annie – Écrivaine, Ferrand Jean-Marc – PCF (77) - Foix Alain – Écrivain et metteur en scène (93), Franco Jean-Robert – Artiste, photographe (75), Gallais Joël – Secrétaire départemental du PCF (56), Gayraud Martine – Conseil national du PCF (30), Geminel Gregory – Secrétaire section PCF (94), Genevée Frédérick – Comité exécutif national du PCF (94), Goldberg Pierre – Ancien député, ancien maire de Montluçon (03), Gonneau Jean-Luc - Éditeur (75), Gonthier-Maurin Brigitte - Sénatrice (92), Gravoin Patrice – Militant communiste (75), Grojean Olivier – Maître de conférence en sciences politiques Paris I (75), Guichard Eric – Enseignant-Chercheur ENSIBB (69), Guillet Michel - PCF (44), Habel Jannette - Universitaire (75), Haloui Fabienne – Secrétaire départementale du PCF (84), Hartemann Agnès – Professeur de Médecine Paris 6 (75), Jacquaint Muguette - Ancienne député (93) Jacques Guy - PCF, Job Alain - Ensemble (89), Jollet Anne - Historienne (75), Josso Joël - Elu (94), Jumeau Philippe – Animateur Comité régional de Bretagne du PCF (56), Jurado Grégory – Élu FDG (77), Keucheyan Razmig - Sociologue (75), Khalfa Pierre - Économiste (75), Lalys Frédérique - Syndicaliste (56), Landais Jean-Pierre – Animateur Huma Café de Nantes (44), Le Bronze Marcel – Front de Gauche (44), Le Corre Hervé – Enseignant, romancier (33), Leroy Roland – Ancien directeur de l'Humanité (30), Levy Laurent - Essayiste (75), Loirand Gildas - Enseignant-chercheur (44), Macherel Raymond – Distributeur Cinéma (75), Marlière Philippe - Professeur en sciences politiques, Martel Jean-Paul – Président MNLE Pays de Loire (44), Martin Claude – Enseignant, Mazauric Claude - Historien (30), Meyroune François – Ancien Maire de Migennes (89), Michel Jacques-Philippe - Producteur (93), Michenaud Marie-Françoise – Secrétaire départementale PCF (85), Moitié Jean-Jacques – Directeur des soins-psychiatrie (28), Mordillat Gérard – Auteur et réalisateur (75), Mouly Frank - Elu PCF/FDG (77), Muzeau Roland – Ancien député (92), Nouet Jean-Pierre - Médecin (94), Parny Francis – Ancien Conseiller régional Île de France PCF/FDG (95), Pellicer David - PCF (82), Pena-Ruiz Henri - Philosophe (75), Perez Martine – Fédération de l'Aveyron du PCF (12), Perez André – Fédération de l'Aveyron du PCF (12), Perrot Olivier – Plasticien Photographe (94), Pigeard de Gurbert Guillaume – Professeur de philosophie (24), Pigenet Michel – Professeur des universités Paris 1 (75), Pottier Caroline – Conseil National PCF (85), Poux Gilles – Maire de La Courneuve (93), Puydebois Jean-Louis - Enseignant (19), Quainquart Françoise – Animatrice Assemblée citoyenne (91), Quiniou Yvon - Philosophe (85), Raymont Alain – Secrétaire départemental du PCF (89), Relinger Jérome - Ingénieur (75), Sève Lucien - Philosophe (92), Schurch Mireille, ancienne sénatrice, Topalov Christian – Sociologue, directeur d'études à l'EHESS (75), Tosel André - Philosophe (06), Touzet Hugo – Secrétaire de section PCF (75), Tricot Catherine – Architecte, urbaniste (75), Vergiat Marie-Christine – Députée européenne (93), Vidal Dominique – Journaliste et historien (75), Violain Bernard – Ancien membre du Conseil National PCF (85), Voglieri-Courtel Joëlle – Militante de l'éducation populaire (77), Weber Louis - Syndicaliste (78), Winghardt Marie-France – Elue PCF/FDG (91), Zarka Pierre – Communiste Unitaire/Ensemble (93)

Appel: Rallumons l'étincelle du Front de Gauche.
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3 mars 2016 4 03 /03 /mars /2016 11:50

La réforme du Code du travail ne fera pas loi

A l’initiative de la Fondation Copernic, plusieurs dirigeants politiques et syndicaux lancent dans les colonnes de l’Humanité cet appel afin d’engager une mobilisation unitaire. C’est le premier acte d’une série de meetings unitaires qui se déroulera partout en France, dans dix à quinze grandes villes.

Et ce, jusqu’au retrait de la loi travail El Khomri. Car il s’agit de « faire ensemble des propositions » pour « fortifier, renforcer les droits des salarié-e-s ». Et les signataires de conclure : « Nul comité de technocrates ne peut, entre soi, hors du monde, le réécrire seul, tant il est le fruit dans ses mille détails, des rapports de force sociaux. En cela, le Code du travail est l’indice de mesure de la qualité d’une civilisation. » On se souvient qu’une même démarche unitaire avait été engagée contre la réforme des retraites.

Fabrice Angei, membre du bureau confédéral de la CGT,

Clémentine Autain, porte-parole d’Ensemble !,

Olivier Besancenot, porte-parole du NPA,

Éric Beynel, porte-parole de Solidaires,

Noël Daucé, secrétariat national de la FSU,

Gérard Filoche, membre du BN du PS,

Pierre Laurent, secrétaire national du PCF,

William Martinet, président de l’Unef,

Willy Pelletier, coordinateur général de la Fondation Copernic,

Danielle Simonnet, coordinatrice nationale du PG.

Jeudi, 3 Mars, 2016

http://www.humanite.fr/la-reforme-du-code-du-travail-ne-fera-pas-loi-600960

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Présentation

  • : Le chiffon rouge - PCF Morlaix/Montroulez
  • : Favoriser l'expression des idées de transformation sociale du parti communiste. Entretenir la mémoire des débats et des luttes de la gauche sociale. Communiquer avec les habitants de la région de Morlaix.
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