Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
30 juin 2017 5 30 /06 /juin /2017 06:13
Déni de justice pour les victimes de l'amiante - communiqué du PCF, 28 juin 2017

COMMUNIQUÉ DE PRESSE PCF 


Déni de justice pour les victimes de l’amiante !


21 ans après le dépôt des premières plaintes, le Parquet de Paris vient de requérir l’arrêt de l’instruction de plusieurs enquêtes pénales ouvertes contre des entreprises dont les salarié-e-s ont développé des pathologies mortelles liées à l’amiante.
21 ans d’attente pour les victimes de l’amiante et leurs familles pour déboucher, très certainement, sur un non lieu ! Le procès pénal ne cessait de patiner. Il pourrait bien connaître un terrible coup d’arrêt.
Avec 100 000 morts prévus d’ici 2025 dans notre pays, le drame de l’amiante est pourtant un véritable fléau et s’annonce comme l’un des plus grands scandales sanitaires du XXIème siècle.
Au regard de l’impunité totale qu’elle fait peser sur des responsables industriels qui ont construit des fortunes sur le dos de salarié-e-s morts pour gagner leur vie, cette annonce est pour les victimes et leurs familles un terrible coup de massue. Cela s’apparente pour eux à un véritable déni de justice, comme un voile posé sur la douleur de dizaines de milliers personnes exposées à ce matériau mortifère.

 

Parti communiste français
 

Paris, le 28 juin 2017.

Partager cet article
Repost0
30 juin 2017 5 30 /06 /juin /2017 06:11
Migration. « L’État organise volontairement une crise de l’accueil des réfugiés »
Entretien réalisé par Émilien Urbach
Lundi, 26 Juin, 2017
L'Humanité
Patrick Margaté
Commission des relations internationales du PCF
Patrick Margaté Commission des relations internationales du PCF
 

Une dizaine de citoyens solidaires continuent d’être poursuivis pour avoir aidé des exilés. Un harcèlement judiciaire qui s’inscrit, selon Patrick Margaté, dans une politique délibérée de mauvais accueil censée dissuader les migrants de venir.

En moins de dix jours, pas moins de huit citoyens solidaires des exilés ont eu à subir l’acharnement des préfets à les poursuivre en justice. Une épreuve de force orchestrée par l’exécutif qui, comme l’a montré le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, vendredi à Calais, fait le choix de politiques plus répressives à l’égard des réfugiés et de leurs soutiens. Chargé des questions de migrations au PCF, Patrick Margaté fustige cette logique gouvernementale et appelle à une « réaction vive » des citoyens.

Plusieurs procès pour « délit de solidarité » ont lieu en ce moment. Quel sens a cet acharnement ?

Patrick Margaté Ce harcèlement des citoyens solidaires est à rapprocher des propos de Gérard Collomb à Calais. Il ne propose aucune solution et veut rendre les associations de solidarité responsables de la situation. En réalité, nous ne faisons pas face à une « crise des migrants », mais à une crise de la politique d’accueil, dont les bénévoles, qui se mobilisent seuls pour donner accès aux droits fondamentaux à ces exilés, font les frais. Ils ont le soutien indéfectible des communistes. Le sénateur PCF, Bernard Vera est notamment intervenu en janvier et tout récemment auprès du ministère de l’Intérieur pour demander la suppression de l’article L. 622-1 du Code des étrangers qui permet de poursuivre les solidaires. Sans réponse, pour l’instant. Après l’élection présidentielle, il y a eu pourtant une période d’apaisement sur les questions migratoires et une majorité de Français semblaient prêts à défendre des solutions positives en matière de droits et d’actions humanitaires. Las, les propos de Gérard Collomb vont à l’inverse…

Gérard Collomb refuse de créer un centre d’accueil pour ne pas faire un « appel d’air ». Est-ce fondé ?

Patrick Margaté Il ne faut pas tomber dans le piège qui consiste à penser qu’il y aurait une crise des migrants en France et que les exilés seraient en surpopulation. Les chiffres indiquent, au contraire, une stabilité depuis des années. En réalité, nous sommes face à une crise de l’accueil volontairement organisée par les gouvernements successifs au prétexte qu’il ne faudrait pas créer d’« appel d’air ». Lors de la fermeture du bidonville de Calais, plus de 6 000 réfugiés ont trouvé place dans des centres d’accueil et d’orientation (CAO) répartis en France. Partout, ça a été une réussite. Aujourd’hui, le gouvernement joue l’épreuve de force alors qu’il a tous les moyens de résoudre la situation, que ce soit en ouvrant des centres d’accueil ou en facilitant l’accès à la demande d’asile.

Comment faire face à ce durcissement ?

Patrick Margaté Les mauvais coups du gouvernement risquent d’être portés pendant l’été. Il faut des réactions extrêmement vives de la part des associations. De leur côté, les parlementaires communistes feront prochainement des propositions concrètes pour améliorer l’accueil. Nous sommes persuadés que la France a les moyens d’accueillir sans qu’aucun équilibre financier ou démographique soit déstabilisé.

Êtes-vous pour un moratoire sur les accords de Dublin ?

Patrick Margaté Oui. Il faut que toutes les situations soient examinées au cas par cas. Les politiques européennes actuelles ont pour conséquence des renvois de personnes dans des pays en guerre. Je pense notamment aux Afghans, Soudanais et Érythréens. La notion de « pays sûrs » est à considérer de manière sérieuse. Les États membres de l’Union européenne n’ont pas la même définition de cette notion. Il faut l’harmoniser et que les appels des organismes européens et nationaux de défense des droits de l’homme, comme celui du Défenseur des droits, Jacques Toubon, la semaine dernière, soient enfin pris en compte. L’expérience des CAO a bien fonctionné. Ils permettaient l’examen des situations personnelles. Les citoyens et les associations sont prêts à y contribuer. C’est pourquoi nous soutenons la demande d’Anne Hidalgo, maire de Paris, d’ouverture de nouveaux centres d’accueil, comme celles formulées dans le même sens par les élus et les associations à Calais et à la frontière franco-italienne. Le gouvernement doit faire un choix politique. Soit il s’engage dans une réelle politique d’accueil et nous serons un exemple pour tous les pays membres de l’Union européenne. Soit il refuse cette logique et nous accompagnerons les inquiétantes régressions en cours au niveau européen.

Patrick Margaté

Commission des relations internationales du PCF

Partager cet article
Repost0
30 juin 2017 5 30 /06 /juin /2017 06:03

Le député communité a poussé un coup de gueule remarqué et s’en est pris à Richard Ferrand, le président du groupe LREM. « Qu’est-ce que c’est que cette façon de fonctionner ? Est-ce que c’est cela la nouveauté ? Le nouveau monde ? C’est cela la nouvelle politique que vous voulez introduire dans cet hémicycle » a-t-il interrogé furieux avant de dire que tout cela était « petit ».

 

André Chassaigne a dénoncé le fait que Richard Ferrand et le groupe LREM ne veulent pas laisser deux fauteuils de vice-président à l’opposition comme il en est traditionnellement coutume.

Séance mouvementée à l’Assemblée nationale mercredi soir. Aux alentours de 22h30, François de Rugy, a demandé que l’on passe à l’élection des vice-présidents. En l’absence des postulants républicains, retirés volontairement, le groupe LREM a présenté cinq candidats. Le groupe Modem, quant à lui, a avancé un nom issu de ses rangs.

Les vice-présidents étant au nombre de six dans l’Assemblée, la majorité concourrait donc pour le grand chelem. D’ordinaire, deux vice-présidents sont choisis au sein de l’opposition. Une situation qui a énervé André Chassaigne. Le député communité a poussé un coup de gueule remarqué et s’en est pris à Richard Ferrand, le président du groupe LREM. « Qu’est-ce que c’est que cette façon de fonctionner ? Est-ce que c’est cela la nouveauté ? Le nouveau monde ? C’est cela la nouvelle politique que vous voulez introduire dans cet hémicycle » a-t-il interrogé furieux avant de dire que tout cela était « petit ».

Partager cet article
Repost0
30 juin 2017 5 30 /06 /juin /2017 05:58
Trump au 14 juillet: La République en marchande d'armes (PCF - 29 juin 2017)

Trump au 14 juillet : La République en marchande d'armes

 

Quelques jours après le Conseil européen consacré à la Défense et l'annonce d'Edouard Philippe de la décision de monter le budget de la Défense à 2% du PIB en conformité avec les directives de l'OTAN et l'injonction du président américain, le chef de l'Etat confirme donc la présence aux prochaines célébrations du 14 juillet de Donald Trump, au prétexte du centième anniversaire de l'entrée des Etats-Unis dans la Première Guerre mondiale.

Le président français et son gouvernement sont bien décidés à renforcer les positions de la France au sien de l'OTAN et à consolider leurs relations avec l'Administration Trump dont les premiers pas sur la scène internationale ont de quoi inquiéter sérieusement.

Qu'il s'agisse de l'escalade militaire en Asie avec la Corée du Nord, ou du bombardement unilatéral de la Syrie il y a quelques semaines, mais aussi de la position du président Trump dans le bras-de-fer engagé par l'Arabie saoudite et ses vassaux contre le Qatar... tout dans les derniers agissements ou déclarations de Donald Trump indiquent que sa politique va contribuer à l'insécurité internationale en activant le surarmement et les interventions étrangères.

Emmanuel Macron prétend vouloir donner un avenir au projet européen en alignant toujours plus l'UE et ses membres sur l'OTAN alors qu'il creuse la tombe de l'idée européenne fondée sur l'aspiration à la paix, et déjà largement altérée.

En invitant Donald Trump, le 14 juillet, Emmanuel Macron finit de transformer notre fête nationale en fête des nationalistes et des marchands d'armes, il trahit le sens de ces célébrations officielles et populaires.

Le PCF sera des initiatives pacifistes pour refuser la présence de Donald Trump, exiger la sortie de la France du commandement intégré et de l'alliance atlantiste, et pour la dissolution de l'OTAN afin de la remplacer par des cadres communs régionaux sous égide de l'ONU pour la coopération et la sécurité collective permettant de prévenir et résoudre les conflits en stoppant la course au surarmement et en travaillant au développement humain, social, économique et écologique.

Partager cet article
Repost0
30 juin 2017 5 30 /06 /juin /2017 05:51
Les députés et sénateurs du groupe communiste, républicain, citoyen, n'iront pas à Versailles adouber le nouveau monarque gouvernant en court-circuitant le Parlement  au service des milieux d'affaires - le PCF appelle à une manifestation du Tiers-Etat le 3 juillet à Versailles

"Un certain nombre d'élus de tous bords ont d'ores et déjà annoncé qu'ils boycotteraient la chose pour protester, au choix, contre la politique d'Emmanuel Macron, son exercice du pouvoir ou les pratiques de La République en marche à l'Assemblée. Le PCF va plus loin, annonçant jeudi 29 juin une manifestation devant la mairie de Versailles en plein congrès et invitant "le Tiers-État" à s'y joindre, dans une référence directe à la Révolution de 1789. Dans un communiqué, le Parti communiste écrit :

Contre le coup de force institutionnel de Macron, manifestons à Versailles Lundi à 14h. Le Tiers-État se donnera rendez-vous à Versailles pour protester contre le coup de force institutionnel d'Emmanuel Macron."

 

Communiqué des députés communistes et sénateurs du groupe communiste, républicain et citoyen.

Nous n’irons pas à Versailles tenir congrès

Le Président de la République a décidé, dans une urgence savamment organisée, de convoquer le Parlement en Congrès ce lundi 3 juillet pour nous abreuver de son discours. Ce sera sans nous, députés communistes et sénateurs du groupe communiste républicain et citoyen.

Nous n’irons pas à Versailles adouber le monarque présidentiel. Nous n’irons pas à Versailles pour valider le court-circuit du travail de l’Assemblée, à la veille du discours de politique générale du Premier ministre et du vote de confiance au gouvernement —ou de défiance ?— qui doit s’ensuivre. Ce n’est pas respectueux de l’Assemblée nouvellement élue et un mauvais présage sur le rôle dévolu aux Députés et au Sénateurs dans cette législature qui s’ouvre. Il y a une volonté de soumettre le Parlement que nous n’acceptons pas. On le mesure déjà avec la volonté du recours aux ordonnances et le projet de loi d’habilitation en préparation. Avec ce type de fonctionnement, ce n’est pas la République qui est en marche, mais le Parlement qui est mis au pas, au mépris du fonctionnement des institutions et de l’équilibre des pouvoirs.

le 29 juin 2017 

 

LUNDI 3 Juillet 2017 Ah,ça ira,ça ira,ça ira ! 
Contre le coup de force institutionnel de Macron, manifestons à Versailles, lundi 3 juillet à 14h.

Le tiers État se donnera rendez-vous à Versailles pour protester contre le coup de force institutionnel d'Emmanuel Macron.
Rendez-vous à 14h, avenue de Paris, angle de la Rue des États généraux, devant la mairie de Versailles.
Parti communiste français

(Marche des femmes vers Versailles, lors des journées du 5 et 6 Octobre 1789)

Les députés et sénateurs du groupe communiste, républicain, citoyen, n'iront pas à Versailles adouber le nouveau monarque gouvernant en court-circuitant le Parlement  au service des milieux d'affaires - le PCF appelle à une manifestation du Tiers-Etat le 3 juillet à Versailles
Les députés et sénateurs du groupe communiste, républicain, citoyen, n'iront pas à Versailles adouber le nouveau monarque gouvernant en court-circuitant le Parlement  au service des milieux d'affaires - le PCF appelle à une manifestation du Tiers-Etat le 3 juillet à Versailles
Partager cet article
Repost0
30 juin 2017 5 30 /06 /juin /2017 04:59
Macron et ses sponsors: une facétie de Gérard Filoche
Partager cet article
Repost0
30 juin 2017 5 30 /06 /juin /2017 04:55
Migrants: stop aux harcèlements d'Etat (LDH - 28 juin 2017)
Migrants : stop aux harcèlements d'Etat (LDH)
Mercredi, 28 Juin, 2017
L'Humanite

Communiqué de la Ligue des droits de l'homme.

Le Premier ministre Edouard Philippe vient d'annoncer « d'ici dix jours, un plan d'action ambitieux pour redonner son sens à notre tradition d'asile ». La LDH examinera avec grande attention les propositions du gouvernement qui devront sortir du double discours actuel.

Sur le terrain, l'action de l'Etat présente une triste réalité, comme à Calais, où la justice a dû être saisie par onze associations, dont la LDH, pour contraindre les pouvoirs publics à une réponse d'urgence humanitaire.

De même, la situation des migrants dans la vallée de La Roya est toujours aussi dramatique. Chaque jour, ce sont des dizaines d'hommes, de femmes et d'enfants qui tentent, parfois au risque de leur vie, de franchir la frontière italienne. Souvent physiquement épuisés, ils sont confrontés à des forces de police qui ne cessent de les traquer.

Mais ce harcèlement d'Etat s'applique aussi à ceux qui les aident. En un mois, huit personnes ont fait l'objet d'une garde à vue. Le domicile de Cédric Herrou est encerclé, filmé en permanence. En appel, le parquet a requis huit mois de prison avec sursis à son encontre. Même chose pour Pierre-Alain Mannoni contre lequel trois mois avec sursis ont été requis, alors qu'il avait été relaxé en première instance… Quant aux quatre retraités de l'association de défense des migrants de la vallée franco-italienne de La Roya, ceux-ci viennent d'être condamnés chacun à huit cents euros d'amende avec sursis pour avoir aidé six étrangers – dont deux adolescents en les faisant monter dans leur voiture.

Un peu partout en France, les poursuites pour « délit de solidarité » se multiplient, alors que cette infraction a été en principe abolie par le précédent gouvernement. Mais cette suppression s'est accompagnée de dispositions si imprécises qu'elles donnent lieu à des interprétations jurisprudentielles contradictoires, en fonction de la nature des actes de solidarité incriminés.

C'est pourquoi la LDH demande au gouvernement d'arrêter, sans délais, de traiter en délinquants ces citoyen-ne-s qui agissent auprès des migrants en toute humanité, trop souvent en lieu et place de pouvoirs publics défaillants. Elle attend de l'Etat la réaffirmation de la tradition d'accueil de la France, dans le respect du droit d'asile et de la dignité des migrants.

Partager cet article
Repost0
28 juin 2017 3 28 /06 /juin /2017 18:27
Les députés communistes mobilisés contre les ordonnances Macron pour casser le droit du travail
Les députés communistes mobilisés contre les ordonnances Macron pour casser le droit du travail
Partager cet article
Repost0
28 juin 2017 3 28 /06 /juin /2017 16:56

Déclaration de la Commission exécutive confédérale

Réforme du droit du travail : le double jeu du gouvernement

Le Gouvernement a engagé des rencontres avec les organisations syndicales et patronales sur la réforme du droit du travail.

Chaque organisation est reçue individuellement, en tout et pour tout six fois une heure, pour 120 ans d’histoire sociale !

La CGT a décidé de participer à ces réunions avec un double objectif :

- avoir une législation du travail renforçant les droits de l’ensemble du monde du travail (salariés et non-salariés) ;

- dénoncer l’idée selon laquelle les droits collectifs seraient responsables du chômage.

Sur la base d’un document de 15 pages, la CGT a mis sur la table des propositions allant dans ce sens. Personne ne peut donc évoquer la désertion et le refus de discuter de la CGT dans ce processus.

Où en est-on à ce jour ?

D’un côté, les syndicats sont reçus sans que le ministère ne dévoile précisément ses intentions. De l’autre, il faut lire la presse pour découvrir les principales mesures du futur projet de loi.

On y apprend, par exemple, qu’un CDI de « projet », dans la droite ligne du CPE (Contrat Première Embauche) rejeté par la rue en 2006, serait créé pour allonger dans le temps la précarité et pour supprimer toutes contraintes financières pour les employeurs.

Ce n’est ni plus ni moins qu’une vieille revendication du Medef.

On y apprend également qu’il serait laissé la possibilité de licencier des salariés qui refuseraient d’adapter leur contrat de travail à un accord d’entreprise, même minoritaire.

Dès lors, un salarié refusant une baisse de son salaire prévu dans un accord serait licencié sans possibilité de recours. Et la liste est longue…

Alors que 70% de l’opinion publique et une majorité de syndicats ont rejeté la loi dite El Khomri, ce gouvernement veut écrire une loi pire que la précédente !

La CGT refuse de servir d’alibi ou de faire-valoir dans le cadre d’un dialogue social pipé d’avance.

Nous refusons d’ores et déjà d’entendre dire fin septembre que les ordonnances, présentées par le Gouvernement, auraient été co-élaborées avec les syndicats.

C’est pourquoi notre organisation a lancé une campagne d’information, de débat mais aussi de mobilisation dans les services, les entreprises et les territoires, dans le public comme dans le privé.

Ces initiatives se prolongeront tout l’été car il n’est pas question d’accepter ce marché de dupes. La CGT considère que la mobilisation doit s’amplifier, s’ancrer sur tous les lieux de travail, dans un cadre unitaire le plus large possible. La rentrée de septembre doit être la traduction des résistances, du mécontentement et d’une volonté de changement en matière économique et sociale.

C’est pourquoi elle propose de faire du 12 septembre, une journée d’action et de grève dans toutes les entreprises et services.

Montreuil, le 27 juin 2017

Réforme du droit du travail: le double jeu du gouvernement - Déclaration de la CGT qui appelle à un mouvement social contre la casse du droit du travail le 12 septembre
Partager cet article
Repost0
28 juin 2017 3 28 /06 /juin /2017 16:52
Intervention du sénateur communiste du Morbihan Michel Le Scouarnec pour l'hébergement d'urgence: lettre au ministre de la cohésion des territoires
Politique du logement et hébergement d’urgence

mercredi 28 juin 2017

Michel Le Scouarnec, sénateur du Morbihan, a adressé au Ministre de la Cohésion des territoires un courrier lui demande les actions qu’il compte mener dans le cadre de la politique du logement, et plus particulièrement sur les hébergement d’urgence.

Pour le sénateur communiste, "construire des logement sociaux, voire très sociaux constitue la seule réponse pour garantir un logement de qualité et adapté à tous. Pour cela il est nécessaire d’alimenter les aides à la pierre à hauteur de 500 millions d’euros par an au lieu de 200 millions actuellement, pour la construction. Au-delà d’apporter une offre de logements adaptés aux besoins de la populations, cet accroissement de l’effort de construction stimulera l’activité économique et agira mécaniquement sur le montant des loyers".

"L’ANAH mérite d’être conforté dans ses missions afin d’accompagner au mieux les collectivités locales dans leurs programmes de rénovation des habitats anciens" affirme le sénateur.

La lettre de Michel Le Scouarnec au ministre de la cohésion des territoires pour conforter l'ANAH dans ses missions

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le chiffon rouge - PCF Morlaix/Montroulez
  • : Favoriser l'expression des idées de transformation sociale du parti communiste. Entretenir la mémoire des débats et des luttes de la gauche sociale. Communiquer avec les habitants de la région de Morlaix.
  • Contact

Visites

Compteur Global

En réalité depuis Janvier 2011