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Le Chiffon Rouge
Morlaix
En appelant à se rassembler à Brest pour réaffirmer notre exigence commune d’un monde sans guerre, un monde de paix, la CGT-Bretagne se fait aussi l’écho du poète invitant « sur cette ville heureuse à regarder ensemble cette pluie sage et heureuse, l’arsenal et le bateau d’Ouessant... » Et même si rue de Siam ou place Edouard Mazé, nous ne croiserons ni Prévert, ni Barbara, clamons avec force dimanche prochain depuis la cité du Ponant qui a connu les brûlures de l’Histoire : « Quelle connerie la guerre ! »
Tract du Mouvement de la Paix pour la manifestation nationale et même internationale du 9 janvier à Brest, 14h place de la Liberté
Ce mardi 23 novembre de 11h à 13h soyons nombreux mobilisés devant l'hôpital de Morlaix pour la venue du représentant de Macron: sa politique de casse de l'hôpital public n'est plus supportable!!!
Ouest-France Morlaix 22 novembre 2021
À l’occasion de la venue de Joël Giraud, secrétaire d’État chargé de la ruralité au centre hospitalier des Pays de Morlaix (Finistère), le comité de défense de l’établissement lance un appel à mobilisation ce mardi 23 novembre 2021, entre 11 h et 13 h, pour « stopper l’hémorragie des hôpitaux publics ».
Le comité de défense du centre hospitalier des pays de Morlaix appelle « toute la population du pays de Morlaix » à un rassemblement devant le bâtiment administratif de l’établissement de santé, ce mardi 23 novembre 2021, de 11 h à 13 h, à l’occasion de la venue de Joël Giraud, secrétaire d’État en charge de la ruralité.
« Urgence pour l’hôpital public », « accès aux soins pour toutes et tous ». Voilà les mots d’ordre de ce comité, qui estime que « le gouvernement doit stopper l’hémorragie des hôpitaux publics et permettre à tous les Français d’accéder aux soins et arrêter la maltraitance institutionnelle ».
Réouverture d'un accueil physique à la Préfecture du Finistère
Droit au travail pour toutes les personnes munies d'une promesse d'embauche
Le recours à la dématérialisation des démarches administratives s’est accentué au fil des années, devenant même systématique pour les demandes de titre de séjour. Toutes les procédures doivent désormais se faire en ligne, de la prise de rendez-vous jusqu'au dépôt du dossier.
Face à cette maltraitance institutionnelle, même les personnes en situation régulière ont des difficultés à accéder au guichet virtuel et perdent leurs droits lors du renouvellement de leur titre de séjour. Sous prétexte de simplification et d'efficacité, cette dématérialisation imposée a avant tout pour effet de priver les personnes de leurs droits en les gardant à distance de l’administration.
Pourtant le Conseil d’État a rappelé en 2019 que les dispositions réglementaires ne permettent pas de rendre obligatoire l’accomplissement des démarches administratives par voie électronique, mais qu'une alternative doit être proposée.
Un accueil physique doit être rétabli dans le Finistère, comme dans tout le pays, et la préfecture doit être dotée de moyens humains suffisants pour répondre aux besoins des usagers et garantir pour toutes et tous un véritable service public.
En outre, la préfecture doit permettre le droit au travail pour toutes les personnes disposant d'une promesse d'embauche.
Des personnes, qui travaillaient notamment dans l'agroalimentaire, ou le BTP ou l’hôtellerie / restauration, se sont vues refuser le renouvellement de leur titre de séjour avec l'interdiction de travailler. Or, de nombreux employeurs peinent ou ne parviennent pas à embaucher dans des métiers jugés en tension par la préfecture. Il faut permettre aux personnes munies d'une promesse d'embauche de contractualiser avec leur employeur en leur délivrant un titre de séjour renouvelable.
Les associations et organisations soussignées (*) appellent les usagers des services publics, français ou étrangers, avec ou sans papiers, à se rassembler à Quimper devant la préfecture, rue piétonne Sainte-Catherine, le mercredi 17 novembre 2021 de 13 h 30 à 15 h 30.
(*) liste des associations et organisations …
PCF Quimper et PCF Finistère
avec
Droit d'Asile Quimper Cornouaille
Temps Partagé
Attac-Quimper
100 pour un toit Cornouaille
et de nombreuses autres organisations
Après avoir tracté auprès des salariés des entreprises Sermetta et Bosh, les communistes morlaisiens étaient présents sur le marché de Morlaix ce samedi matin, place des Otages et place Allende, pour distribuer le tract de Fabien Roussel sur le soutien au pouvoir d'achat des français et le journal santé du PCF en Bretagne, A cœur ouvert, édition octobre 2021.
Une vingtaine de milliers de tracts sont également distribués pendant 3 semaines sur tous les quartiers de Morlaix et une partie des communes du pays de Morlaix.
Des tracts de la JC seront aussi à distribuer aux Etudiants IUT Morlaix et aux Lycéens du Lycée de Morlaix
Des journaux A cœur ouvert seront également distribués à l'hôpital.
Les communistes morlaisiens se réuniront en Assemblée Générale le mardi 9 novembre, à 18h, après une réunion de débat et de réflexion thématique sur la question des énergies le 2 novembre qui a été très riche et intéressante.
Mardi 9 novembre 2021 : AG PCF Morlaix (18 h – local PCF MORLAIX)
Samedi 13 novembre 2021 : AG PCF Finistère (10 h – 16 h / Salle polyvalente, 2 Place de l’Eglise 29140 KERNEVEL en plein cœur du bourg)
Cette Assemblée Générale sera l’occasion de faire un point sur l’activité de la fédération, des sections du Finistère, de débattre de l’actualité sociale et politique, de nos actions, la campagne des élections présidentielles et des élections législatives.
Après une matinée de débats, un apéritif convivial suivi d’un repas (couscous, fromage, tarte) est prévu à 12 h 30 sur inscription (participation de 10€ demandée). A l'issue de ce repas les débats reprendront à 14h.
Mercredi 24 novembre 2021 : réunion du Comité des Jours Heureux du Pays de Morlaix (18 h – local PCF Morlaix)
Samedi 27 et Dimanche 28 novembre 2021 : Fête de l’Huma Bretagne à Lanester.
Ce sera le retour de la Fête de l’Huma Bretagne à Lanester.
Discours d'Yvan Le Gall pour la CGT à la manifestation intersyndicale du 5 octobre au côté notamment de Sébastien Menès de Sud (Photo Pierre-Yvon Boisnard, 5 octobre 2021)
Manif à Morlaix ce matin pour les salaires, les retraites, l'emploi et les conditions de travail à l'appel de l'intersyndicale. Un défilé jusqu'au Poulliet en revenant par l'allée du Poan Ben et les Jacobins.
Environ 300 manifestants, des travailleurs et des retraités, des citoyens, des militants de la CGT, de la FSU, de Sud, de FO et des militants communistes bien sûr!
Et 500 manifestants à Quimper, 1000 à Saint-Brieuc, 1500 à Brest, 2500 à Rennes, 800 à Lorient, 270 à Lannion, 150 à Guingamp, 250 à Vannes, 150 à Pontivy, en tout + de 7000 en Bretagne administrative.
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Ouest-France, 5 octobre 2021 - Gaëlle Collin
« On demande de quoi vivre » : à Morlaix, 260 personnes mobilisées ce mardi 5 octobre
L’intersyndicale avait appelé à la manifestation, ce mardi 5 octobre 2021. À Morlaix (Finistère), 260 personnes se sont mobilisées, et ont déambulé dans le centre-ville. Les revendications étaient larges : la défense du pouvoir d’achat, la revalorisation des salaires et des retraites.
« Dans le pays de Morlaix (Finistère) et Landivisiau, les services de santé sont à la peine. HOP ! dont l’avenir est incertain, Bosch où la situation est compliquée », détaillaient les représentants de l’intersyndicale CGT, FO, FSU, Solidaires, FIDL, MNL, Unef et UNL, pour expliquer leur appel à manifester. Ce mardi 5 octobre 2021, ils étaient 260 à défiler dans les rues du centre-ville pour défendre leur pouvoir d’achat, l’emploi et les retraites.
Dans le cortège, des salariés de l’hôpital et de HOP !, des enseignants, des retraités, des agents du médico-social, ainsi que quelques représentants de partis politiques. Les revendications étaient multiples, allant de la revalorisation salariale à celle des retraites, en passant par l’opposition à la réforme de l’assurance-chômage, entrée en vigueur vendredi 1er octobre 2021.
Parmi les mobilisés, des travailleurs du médico-social. « On nous dit qu’on est soignants, lorsqu’on est soumis à l’obligation vaccinale contre le Covid. Mais on n’est plus considérés comme tel lorsqu’on exige des revalorisations salariales », soulignent, ironiquement, des salariés des Genêts d’or. Ils n’ont pas eu le droit, contrairement à leurs confrères de la fonction publique hospitalière, à la prime de 183 € mensuelle prévue par le Ségur de la santé.
« On demande de quoi vivre, poursuivent-ils. Notre point d’indice est gelé depuis dix ans, sauf que le coût de la vie a augmenté. Être payé 1 300 € pour être aide-soignant, ce n’est pas possible ! Nos conditions de travail sont dégradées et résultat, on a des difficultés de recrutement. Nos métiers ne sont plus attractifs. »
3 octobre 2021
A cela se rajoute l'ignominie de la réforme de l'assurance chômage ! Le Président de la République et son Premier ministre ont donc décidé d'imposer la mise en œuvre de la contre-réforme de l'assurance-chômage en ce 1er octobre, malgré l'unanimité qu'elle rassemble contre elle.
Selon les chiffres de l'Unedic, avec l'entrée en vigueur de celle-ci, 1,15 millions de personnes vont ainsi voir aujourd'hui leurs droits baisser drastiquement, en moyenne de 17 % et jusqu'à 40 % pour les 400.000 les plus précaires, dont de nombreux jeunes. 50% des allocataires touchent moins de 860 euros par mois : Comment oser dire que l'on gagne plus au chômage qu'en travaillant !
Cette décision est une ignominie à l'égard des salariés concernés, jugés coupables d'un chômage dont seuls sont responsables les gouvernements successifs et le MEDEF
5 bonnes raisons de manifester
EMPLOIS
- Pour exiger la suspension des plans de suppressions d'emploi
- Pour le conditionnement des aides publiques au maintien et à la création d'emplois stables
- Pour exiger la création des emplois nécessaires pour répondre aux besoins dans les hôpitaux, les Ehpad... et dans l'ensemble de la fonction publique
AUGMENTATION DES SALAIRES
- Pour donner les moyens à toutes et tous de vivre dignement de leur travail et relancer l'économie via la consommation des ménages
DEVELOPPEMENT DE L'INDUSTRIE
- Pour conditionner les aides publiques aux entreprises à des critères sociaux et environnementaux et en assurer leurs contrôles par les représentants des personnels
- Pour maintenir et relocaliser les activités stratégiques sur le territoire
- Pour relancer la recherche et l'innovation à hauteur de 3 % du PlB
SERVICES PUBLICS
- Pour gagner des moyens pour les services publics de l'éducation, la santé, les transports, l'eau, de l'énergie... afin qu'ils répondent aux besoins de la population et aux défis de
demain
CONDITIONS DE TRAVAIL
- Pour une baisse du temps de travail hebdomadaire
- Pour le droit à la déconnexion et à l'encadrement du télétravail
- Pour l'ouverture des droits à la retraite à 60 ans à taux plein
- Pour la reconnaissance de la pénibilité
Alors que le premier ministre veut faire oublier l’enterrement de la loi grand âge, promise depuis le début du quinquennat et censée donner corps au « cinquième pilier de la Sécurité sociale » consacré aux enjeux de la dépendance (le rapport Libault de 2018 prévoyait 6 milliards d’euros en 2024 pour faire face aux besoins du grand âge.), on en loin du compte pour faire face aux besoins de la perte d'autonomie avec un plan gouvernemental de 400 millions.
La mobilisation des salarié-e-s et des retraité-e-s doit donc s’engager sans attendre pour gagner l’intégration du droit à l’autonomie dans la branche maladie de la Sécurité sociale, financé par les cotisations sociales, au sein d’une Sécurité sociale intégrale. Dans le cadre d’une nécessaire loi sur le grand âge et l’autonomie, exigeons la mise en place d’un grand service public de l’autonomie, en établissements ou à domicile avec 200 000 embauches dans les EHPAD et 100.000 dans le secteur de l’aide à domicile.
Alors que le président de la République veut reporter à 64 ans l’âge de départ à la retraite en modifiant les règles paramétriques en agissant sur l’âge de départ à la retraite et en augmentant le nombre de trimestres cotisés la mobilisation s'impose .
JOURNEE D’ACTION « RETRAITéS »
VENDREDI 1er OCTOBRE 2021,
A 11 H 00 , DEVANT LE KIOSQUE, PLACE DES OTAGES, A MORLAIX
Le choix d’une action unitaire avec les organisations de retraités du Groupe des 9, le vendredi 1er octobre 2021 n’a rien d’anodin.
En effet, pour mémoire, chaque année, le 1er octobre a lieu la Journée internationale des personnes âgées, créée par l’ONU le 14 décembre 1990.
A cette occasion, le gouvernement a prévu d’intervenir sur le thème du « bien vivre » …
Dès lors, il s’agit, pour nous, de ne pas le laisser parler seul sur ce sujet, car, nous pensons que le « bien vivre », c’est avoir les moyens de vivre !
C’est aussi, à cette période, que le gouvernement arbitrera, dans le cadre de la loi de finances, l’augmentation des retraites et des pensions.
D’autre part, début octobre, les parlementaires, sur proposition du gouvernement, vont débattre du PLFSS (Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale) pour 2022, avec vote au Parlement en fin d’année (qui concerne les retraites, la santé et l’action sociale).
Nous défendrons l’augmentation des retraites et des pensions, parce qu’elle constitue un investissement juste socialement et nécessaire pour l’économie.
Redonner du pouvoir d’achat aux retraités est d’utilité publique et permettrait de favoriser la croissance dont le pays a besoin.
Nous porterons aussi la nécessité d’une protection sociale à 100 % et le droit à l’autonomie dans le cadre de la Sécurité sociale.
Nous rejetterons le discours de nos gouvernants qui consiste à dire et à penser que les retraités sont de manière inéluctable un coût pour la société.
Enfin, nous porterons haut et fort l’exigence de services publics renforcés dans leurs trois composantes (santé, collectivités territoriales et Etat), par des accueils de proximité et du personnel en nombre et qualifié.
Le service au public rendu par des commerçants n’est pas du service public, de même que le seul accueil par Internet n’est pas du service public.
En cette journée internationale des personnes âgées, revendiquons une retraite en bonne santé, une pension de haut niveau aujourd’hui et pour les générations futures et exigeons le droit au bien vieillir !
Ce VENDREDI 1er OCTOBRE 2021, A 11 H 00, DEVANT LE KIOSQUE, PLACE DES OTAGES, A MORLAIX, les organisations locales de retraités (CGT, FO, CFE/CGC, FSU et Solidaires) appellent les retraités à se mobiliser et à porter leurs exigences en participant à cette manifestation.
Alors que le premier ministre veut faire oublier l’enterrement de la loi grand âge, promise depuis le début du quinquennat et censée donner corps au « cinquième pilier de la Sécurité sociale » consacré aux enjeux de la dépendance (le rapport Libault de 2018 prévoyait 6 milliards d’euros en 2024 pour faire face aux besoins du grand âge.), on en loin du compte pour faire face aux besoins de la perte d'autonomie avec un plan gouvernemental de 400 millions.
La mobilisation des salarié-e-s et des retraité-e-s doit donc s’engager sans attendre pour gagner l’intégration du droit à l’autonomie dans la branche maladie de la Sécurité sociale, financé par les cotisations sociales, au sein d’une Sécurité sociale intégrale. Dans le cadre d’une nécessaire loi sur le grand âge et l’autonomie, exigeons la mise en place d’un grand service public de l’autonomie, en établissements ou à domicile avec 200 000 embauches dans les EHPAD et 100.000 dans le secteur de l’aide à domicile.
Alors que le président de la République veut reporter à 64 ans l’âge de départ à la retraite en modifiant les règles paramétriques en agissant sur l’âge de départ à la retraite et en augmentant le nombre de trimestres cotisés la mobilisation s'impose .
Avenir de la psychiatrie: nos camarades étaient présents à Brest hier a la manif des professionnels avec une expression du PCF pour de vrais moyens pour la psychiatrie.
Photos Gladys Grelaud, conseillère régionale communiste finistérienne, Enzo de Gregorio, secrétaire départemental de la JC, Jean-Paul Cam, secrétaire de section PCF de Brest.
Soutien @pcfbrest29 au rassemblement pour une psychiatrie où l’humain est au cœur, ce midi à #brest
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