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+ 3000 manifestants à Brest ce 7 septembre pour un gouvernement du Nouveau Front Populaire, contre le déni de démocratie et le coup de force de Macron.
Photos empruntées aux pages facebook de Gladys Grelaud, Jacqueline Héré et Isabelle Maugeais, nos camarades Conseillères régionale et conseillères départementales communistes finistériennes.
Nos camarades du PCF et de la JC, nos élu.e.s étaient présents en force.
Photo Patrick Gambache - Prise de Parole de Daniel Ravasio pour le PCF sur le texte commun du Nouveau front populaire
Photo Lucienne Nayet - Prise de Parole de Daniel Ravasio pour le PCF sur le texte commun du Nouveau front populaire
700 personnes à la manifestation de Morlaix contre le déni de démocratie et le coup de force de Macron, son alliance objective avec le RN pour continuer à servir des objectifs d'austérité et neo-liberaux, le capital et la bourgeoisie avec le premier ministre Michel Barnier. Un texte commun unitaire (Daniel Ravasio a pris la parole pour le PCF) a été lu à plusieurs voix par les 7 orgas politiques (écologistes, France insoumise, générations, gauche indépendantiste, npa, parti communiste, parti socialiste) qui appelaient au rassemblement initié par les organisations de jeunesse et un autre par l'intersyndicale qui appelait aussi à se mobiliser et à manifester ce samedi 7 septembre.
Avec les + 3000 manifestants à Brest, + 1500 manifestants à Quimper, les 150 manifestants à Carhaix, etc, c'est près de 6000 manifestants qui sont venus exiger un gouvernement de gauche et du nouveau front populaire dans les villes du Finistère (et entre 110 000 selon le gouvernement et 300 000 selon le NFP au niveau national) et dire leur incompréhension par rapport à la nomination de Michel Barnier contre premier ministre. Un bon point d'appui pour développer les luttes sociales et mobilisations citoyennes nécessaires dans les semaines à venir, notamment celle du 1er octobre.
Photos de Lucienne Nayet, Patrick Gambache, Pierre-Yvon Boisnard
Et diaporama de Pierre-Yvon Boisnard.
C'est la rentrée sociale et politique... Ce samedi 7 septembre, nos camarades du PCF Morlaix sur le marché de Morlaix pour vendre l'Humanité magazine et mobiliser pour la manif du nouveau front populaire et des syndicats contre le déni de démocratie et le coup de force de Macron: Mona Jaouen, Lucienne Nayet, Gilles Grall, Michelle Bourven, Michel Lespagnol, Patrick Gambache.
4 vignettes bon de soutien militantes pour la fête de l'Humanité des 13, 14, 15 septembre ont été vendues et 5 Humanité Magazine ont été vendues.
Les samedis à venir, de septembre à juin, vous pourrez acheter l'Humanité magazine auprès des camarades du PCF qui se relaieront pour la vendre sur le marché de Morlaix.
Photos de Pierre-Yvon Boisnard.
"Enfants de Gaza, enfants de Palestine, c'est l'humanité qu'on assassine" Au cœur d'un génocide en cours contre le peuple palestinien, il est des personnes qui refusent de regarder ailleurs ou d'être complices, qui soutiennent le droit à l'existence, à la sécurité, à la liberté, à l'auto-détermination, à la dignité de ce peuple palestinien occupé, colonisé, martyrisé, affamé, séparé, mutile, discriminé, bombardé, torturé, diffamé, que tous les états ont abandonné à la volonté d'anéantissement de l'état d'Israël, mais pas les peuples car l'évidence et l'énormité du crime sont trop fortes! Palestine vivra, Palestine luttera, Palestine vaincra le colonialisme et l'oppression. Belle mobilisation à Morlaix cet après-midi dans les venelles et place des otages pour le relais national du drapeau palestinien de la libération.
Prochaine manifestation de solidarité avec le peuple palestinien le 20 septembre.
Cessez-le-feu à Gaza, fin de la colonisation, stop génocide, fin de l'apartheid, boycott, arrestation des criminels contre l'humanité du gouvernement et de l'armée israélienne. Des prises de parole très fortes de Elias, Meriem, François, etc.
Le Télégramme, 5 septembre 2024
Le samedi 7 septembre soyons mobilisé.e.s à Morlaix comme dans beaucoup d'autres villes du Finistère et de France pour que notre vote des élections législatives soit respecté et que Macron nomme une première ministre du Nouveau front populaire.
C'est à 15h place des otages à Morlaix. Les organisations de gauche se réunissent ce mercredi 4 septembre à 18h15 au local du PCF pour s'entendre sur une déclaration commune et un communiqué commun.
Voir aussi:
"Les citoyens ont répondu à l’appel à la mobilisation lancé par plusieurs partis politiques à Morlaix (Finistère), samedi 31 août 2024, place des Otages. Ces membres du Nouveau front populaire dénoncent notamment « un déni de démocratie » du président de la République qui refuse de nommer Lucie Castets Première ministre."
Plus de 100 participants ce samedi 31 août à ce rassemblement pour que Macron cesse de nier la défaite de la droite et nomme Lucie Castets à Matignon.
On se retrouve samedi 7 septembre, à l'occasion d'une journée d'action nationale décidée par les organisations de jeunesse, accompagnées par la majorité des partis de gauche et du nouveau front populaire, à 15h, place des Otages. Le Parti communiste, les Ecologistes, la France Insoumise, le Parti Socialiste, Génération.S, le Nouveau Parti Anticapitaliste, la Gauche indépendantiste y appellent comme pour la manifestation du 31 août.
Photos et diaporama Pierre-Yvon Boisnard
Voici le texte commun qui a été lu par des représentants des Ecologistes, de la France Insoumise, de Génération.S, du NPA, et du Parti communiste français ce 31 août:
Le samedi 7 septembre, à l'occasion d'une journée d'action nationale décidée par les organisations de jeunesse, accompagnées par la majorité des partis de la gauche et du nouveau front populaire, à 15h, place des Otages.
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Le 30 juin et le 7 juillet, la mobilisation des Françaises et des Français pour les élections législatives a été sans précédent.
52 jours ont passé. Le président de la République continue de nier le résultat des urnes et les attentes exprimées par les Français.
En écartant la nomination de Lucie Castets comme Première Ministre issue du Nouveau front populaire, il s'apprête à mettre en place un gouvernement soutenu par le parti présidentiel, la droite républicaine et le rassemblement national, au profit du Medef et des marchés financiers.
Pour empêcher qu’un programme de progrès, d’écologie et de justice sociale puisse s’appliquer, Emmanuel Macron entend contourner le vote des français aux élections législatives et empêcher la coalition de gauche arrivée en tête, avec 193 députés élus, de gouverner et d’appliquer son programme, cela alors même que les élections législatives et européennes ont montré que l’adhésion à la politique d’Emmanuel Macron était minoritaire dans le pays.
Le Chef de l’État a dit lundi refuser l’hypothèse d’un gouvernement du nouveau front populaire au nom de la stabilité institutionnelle.
Le chef de l’État s’est montré beaucoup moins scrupuleux de la stabilité institutionnelle du pays quand il a nommé Élisabeth Borne à Matignon, soutenue elle aussi par une majorité relative, ce qui l’obligea à user de l’article 49.3 à 23 reprises.
Il faut mesurer à quel point Emmanuel Macron met en danger la République.
Le Président de la République a fait un choix extrêmement grave qui renforcera le Rassemblement national pour deux raisons :
- La première raison est un enjeu de majorité pour gouverner. Sans la gauche, il ne peut y avoir de majorité à l’Assemblée nationale qu’avec l’accord du Rassemblement national puisque le parti présidentiel et ses alliés, même avec la droite républicaine en renfort, ne disposent pas de majorité.
Macron a annoncé que un gouvernement de Lucie Castets et du nouveau front populaire serait censuré immédiatement. Mais c’était sous-entendre une alliance pour leur motion de censure entre le RN et le camp présidentiel. Sinon il leur manquerait 47 députés pour leur motion de censure.
Comment penser que le RN ne va pas se saisir de cette situation pour imposer ses conditions ?
- La seconde raison est qu'en fermant la porte aussi brutalement à un gouvernement de gauche, en le censurant à la place même des députés, il envoie un signal de mépris total le choix des électeurs, qui s’est fait sur un programme de rupture social et écologique, exigeant un vrai changement pour le pays.
Et si le Président agit ainsi, c'est pour une raison fondamentale : le capital, les marchés financiers ne veulent pas prendre le risque d'un gouvernement de gauche même pour une courte période leurs intérêts seraient directement menacés !
Derrière ce choix, c'est donc le choix d'une classe sociale qui s'apprête à donner les clés du pays à l'extrême droite.
L'ensemble des femmes et des hommes qui sont attachés à la République et à la démocratie sont invités à se mobiliser contre ce choix. Il en va de l'avenir de la République et de notre démocratie.
La Droite et les députés fidèles à Macron, sous l’œil bienveillant de l’extrême-droite, veulent garder le pouvoir coûte que coûte et favoriser, toujours, les plus puissants, la finance, les plus riches, par une politique néo-libérale brutale la grande majorité des citoyennes et citoyens.
Leur programme est connu : imposer l'austérité au peuple avec des milliards d'euros de coupes dans les dépenses publiques et continuer à faire des cadeaux à des hauts revenus et des multinationales.
L’Assemblée nationale est complètement muselée par le président Macron qui incarne jusqu’à la caricature la dérive monarchique de la cinquième république, en ne respectant pas la séparation des pouvoirs prévue par la Constitution.
Nous appelons nos concitoyens et concitoyennes du pays de Morlaix à se mobiliser pour faire exiger que le Président de la République cesse ce déni de démocratie.
Mobilisons-nous notamment le samedi 7 septembre à la même heure, 15h, ici même, place des Otages, à l’occasion de l'appel national des étudiants et de nos formations politiques.
L'urgence, c'est:
- l'abrogation de la réforme des retraites
- l’augmentation des salaires et des pensions, l'égalité professionnelle femme-homme et le développement de l'emploi
- la justice fiscale
- des moyens pour nos services publics, notamment la santé et l’éducation
- le blocage des prix de première nécessité pour le soutien au pouvoir d’achat
- et un grand plan de transition écologique pour faire face aux crises écologiques multiples (réchauffement climatique, érosion de la biodiversité, épuisement des ressources, crise énergétique, pollutions, … )
- remettre de la police de la proximité et des moyens pour la sécurité des citoyens
- œuvrer pour la Paix, la diplomatie, et la reconnaissance du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes.
Nos diverses organisations se sont réunies jeudi 29 août pour travailler d’un commun accord pour ce rassemblement.
Il y avait les Écologistes, la France Insoumise, la Gauche Indépendantiste, Génération.S, le Nouveau Parti Anticapitaliste,, le Parti communiste, et des citoyens du nouveau front populaire, rassemblement également soutenu, comme celui du 7 septembre prochain, par le Parti socialiste.
L’appel a été relayé également auprès de nombreuses associations et des organisations syndicales.
Ne nous laissons pas confisquer notre victoire !
Sarah HUMBERT. Publié le
Les citoyens ont répondu à l’appel à la mobilisation lancé par plusieurs partis politiques à Morlaix (Finistère), samedi 31 août 2024, place des Otages. Ces membres du Nouveau front populaire dénoncent notamment « un déni de démocratie » du président de la République qui refuse de nommer Lucie Castets Première ministre.
Une centaine de personnes se sont mobilisées le 31 août 2024 à Morlaix, pour dénoncer le refus du président Emmanuel Macron de nommer Lucie Castets Première ministre. | OUEST-FRANCE
Les dernières semaines avant les congés d’été 2024 ont été animées, avec les élections législatives anticipées, et la reprise ne s’annonce pas plus calme.
Ce samedi 31 août 2024 à 15 h à Morlaix (Finistère) plusieurs organisations politiques qui font partie du Nouveau front populaire (Europe écologie les verts, la France Insoumise, Génération.s, Nouveau parti anticapitaliste et Parti communiste français), ont appelé à la mobilisation, place des Otages.
Plus de 50 jours après les élections législatives anticipées de juillet 2024, le nouveau gouvernement n’a toujours pas été formé. Face à cela, les partis de gauche de Morlaix (Finistère), s’agacent et avaient appelé à la mobilisation. | OUEST-FRANCE
Les partis dénoncent, notamment, le refus du président Emmanuel Macron de nommer Lucie Castets Première ministre. Le Nouveau front populaire souhaitait la voir accéder à ce poste. Ils parlent même d’un « déni de démocratie ».
Des partis qui dénoncent un « mépris des électeurs »
Face à environ une centaine de personnes, une prise de parole à plusieurs voix a eu lieu. Pour les partis : « Le président continue de nier le résultat des urnes en écartant la candidature de Lucie Castets. […] En fermant la porte à un gouvernement de gauche, Emmanuel Macron envoie un signe de mépris total du choix des électeurs », appuient-ils.
Ismaël Dupont, secrétaire départemental du PCF, a pointé : « L’urgence, c’est la fin de la réforme des retraites, l’égalité femmes hommes, la justice fiscale, plus de moyens pour les services publics, un grand plan de transition écologique… », a-t-il énuméré.
Une nouvelle mobilisation est déjà prévue le 7 septembre 2024 à 15 h, place des Otages. Le secrétaire départemental appuie : « Ne nous laissons pas confisquer notre victoire, il y va de l’intérêt des classes populaires et de l’ensemble de la population. […] On a vraiment besoin d’un gouvernement de gauche et pour ça il faut qu’on s’y mette tous. »
L’UDB convié, mais qui ne souhaite pas être présente
De son côté l’UDB (Union démocratique bretonne), bien que conviée à l’événement, avait fait savoir dans un communiqué de presse qu’elle ne participerait pas à cette mobilisation. Elle écrit « l’UDB, parti de gauche fédéraliste, n’a pas vocation à apporter lors des élections, les voix qui ont pu se porter sur ses candidats, ni à faire la claque dans des rassemblements qui se décident exclusivement à Paris ou à l’invitation de formations ne voyant leur combat qu’à travers le prisme parisien, en ignorant les enjeux de la démocratie territoriale ; laquelle est pourtant devenue une urgence démocratique […]. Le 13 juin 2024, vous nous avez invités à une rencontre pour présenter à la gauche du Pays de Morlaix, la candidate désignée par les instances parisiennes de vos partis politiques. Si nous avons beaucoup de sympathie pour Sylvaine Vulpiani et reconnaissons bien sincèrement son mérite et son courage, nous ne pensions sincèrement pas, que ce choix mobiliserait les électeurs, de même, que la nomination de 19 candidats LFI, dans les 37 circonscriptions de Bretagne historique. »
Le parti pointe : « Il est temps pour l’UDB d’exister vraiment pour ce que nous sommes et non dans l’ombre de ces partis qui n’ont plus de boussole. »
Diaporama : Morlaix Rassemblement du PCF, de La France Insoumise, des Ecologistes EELV du Pays de Morlaix...