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1 février 2019 5 01 /02 /février /2019 14:27
Loi alimentation : Enfumage et chantage (Cécile Cukierman - PCF)

Loi alimentation : "Enfumage et chantage" (Cécile Cukierman - PCF)

A partir d'aujourd'hui, du fait du relèvement de 10% du "seuil de revente à perte" prévu par la loi "Agriculture et Alimentation", plusieurs centaines de produits devraient voir leur prix augmenter.

L'objectif de la loi serait d'inciter la grande distribution à réduire ses marges sur les produits alimentaires pour faciliter le prix rémunérateur et permettre aux agriculteurs de vivre de leur travail.

L'opération d'enfumage et le chantage qu'entend jouer la grande distribution est scandaleuse.

L'augmentation le prix du caddie va pénaliser, en premier lieu, les foyers les plus modestes.

Le PCF appelle à de véritables états généraux des prix agricoles. Grande distribution et industrie agroalimentaire de transformation doivent prendre leur responsabilité et garantir des prix justes aux consommateurs et rémunérateurs pour les agriculteurs plutôt que de les prendre en otage.

Cécile Cukierman, porte-parole du PCF et sénatrice de la Loire

Paris, le 1er février 2019.

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1 février 2019 5 01 /02 /février /2019 05:46
Co-voiturage à partir de Morlaix pour le meeting de Ian Brossat et des candidats aux Européennes  du PCF au Relecq-Kerhuon: 18h, devant le local du PCF Morlaix

Co-voiturage à partir de Morlaix pour le meeting de Ian Brossat et des candidats aux Européennes du PCF au Relecq-Kerhuon: 18h, devant le local du PCF Morlaix, 2 petite rue de Callac

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31 janvier 2019 4 31 /01 /janvier /2019 06:30
Européennes. Ian Brossat (PCF) ne renonce pas à unir la gauche - interview de Ian Brossat par Christian Gouerou, Ouest-France, 30 janvier 2019

Christian GOUEROU.

Ian Brossat, tête de liste du Parti communiste français (PCF) aux élections européennes, sera en meeting près de Brest (Finistère), vendredi soir. Il ne renonce pas à rassembler les communistes, Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon.

La désunion à gauche, entre le PCF, Génération. s, la France Insoumise, le mouvement citoyen Place publique, ou encore le PS et les Verts, vous tire vers le bas : comment l’analysez-vous ?

Cela fait longtemps que la gauche est traversée par ce débat sur l’Europe. Que ce soit pour le traité de Maastricht ou le référendum de 2005, le Parti socialiste par exemple a été divisé en son sein. Au PCF, nous avons rejeté tous les traités européens, même le traité de Rome. Quand nous regardons la réalité de l’Europe à ce jour, cela nous donne raison. Pour autant, nous souhaitons rassembler tous ceux qui souhaitent une autre Europe. Je ne renonce pas à rassembler Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon. Pour les Verts, ils ont décidé d’y aller seuls. C’est regrettable.

Quelle est donc cette Europe que vous dénoncez ?

Nous dénonçons l’Europe qui a créé la règle des 3 % de PIB du déficit public, qui crée l’austérité, la baisse des services publics et des services de santé publique. Il faut sortir de cette logique des 3 %. Je suis profondément européen, mais je ne veux pas de l’Europe qui délocalise, libéralise, fabrique des travailleurs détachés. Pour sauver l’Europe, nous devons l’arrimer à du progrès social. Si l’Europe continue comme elle est, elle se désintégrera.

Faudrait-il en sortir ?

Je ne suis pas favorable à un Frexit ! Quand on regarde ce qui se passe avec le Brexit, ça ne fait pas rêver. Pour les Britanniques, sortir de l’Europe ne veut pas dire sortir du libéralisme.

Avec qui travaillez-vous au sein du Parlement européen ?

Nous faisons partie du groupe « La gauche unitaire européenne » qui compte une cinquantaine de députés. Avec eux, nous menons des batailles comme celle concernant la directive « conditions de travail des routiers », qui empirait la situation des conducteurs routiers. Nous l’avons gagnée avec l’aide des syndicats et la mobilisation de nos députés. Cela veut dire que le Parlement a un rôle non négligeable. La Commission ne peut pas tout décider.

Des Gilets jaunes vont présenter une liste pour les élections européennes : qu’en pensez-vous ?

Que des citoyens s’organisent, c’est une bonne chose. Ensuite, j’attends de voir le programme, le contenu… Le PCF a cherché à construire une liste avec 50 % d’employés et ouvriers. La crise des Gilets jaunes a mis en relief l’inadéquation totale de la classe politique avec la société. En deuxième position, sur notre liste, nous avons Marie-Hélène Bourlard, ouvrière du Nord, qui, si elle est élue, sera la première femme ouvrière à rentrer au Parlement européen. En 5e position, nous avons Mamoudou Bassoum, qui s’est engagé dans le mouvement des Gilets jaunes.

Ian Brossat, tête de liste du PCF, sera en meeting au Relecq-Kerhuon près de Brest, vendredi 1er février, à 20 h, salle municipale des associations Germain Bournot.

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30 janvier 2019 3 30 /01 /janvier /2019 16:56
31 janvier, salle de Robien à 18h: Débat à St Brieuc sur le financement des EHPAD, des soins à domicile, des hôpitaux - avec Denis Durand - Atelier PCF Santé Bretagne (Ouest-France, 30 janvier)

Co-voiturage à partir du local de la section PCF de Morlaix 2 petite rue de Callac à 16h45 ce jeudi 31 janvier.

31 janvier, salle de Robien à 18h: Débat à St Brieuc sur le financement des EHPAD, des soins à domicile, des hôpitaux - avec Denis Durand - Atelier PCF Santé Bretagne (Ouest-France, 30 janvier)
31 janvier, salle de Robien à 18h: Débat à St Brieuc sur le financement des EHPAD, des soins à domicile, des hôpitaux - avec Denis Durand - Atelier PCF Santé Bretagne (Ouest-France, 30 janvier)
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30 janvier 2019 3 30 /01 /janvier /2019 14:30
Mobilisation syndicale interprofessionnelle, grève et manifestations à l'appel de la CGT le 5 février: le PCF soutient

Le pays traverse une crise sociale et politique d’une gravité exceptionnelle. Les mouvements et les luttes engagées dans la période démontrent que le monde du travail, la jeunesse, les retraités et les privés d’emploi rejettent massivement la politique antisociale du gouvernement et sont disponibles pour la mobilisation collective. Il est urgent de redistribuer les richesses créées par le travail. La CGT revendique dans ce sens une augmentation générale et immédiate des salaires, des pensions, des minima sociaux, des revenus de remplacement de 300 euros, avec pour base le SMIC à 1800 € brut.

Pour que nos revendications soient entendues, l’union locale CGT de Morlaix appelle le plus grand nombre à faire grève et à manifester le mardi 5 février 2019.

Sur Morlaix, un rassemblement aura lieu le 5 février, place des Otages, à partir de 10 h 30.

 

Le PCF appelle à la mobilisation le 5 février

A l'appel de la CGT, le PCF sera mobilisé pour la grève et les manifestations mardi 5 février prochain.

Alors que la mobilisation des gilets jaunes continue, alors que les réponses apportées sont insuffisantes, le PCF sera mobilisé mardi 5 février partout en France pour répondre à l'urgence sociale.

Les communistes s’impliqueront dans tous les échanges citoyens, les favoriseront et aideront à ce qu’ils se traduisent en propositions concrètes.

C'est dans cet esprit que le PCF souhaite que s’élaborent partout des « Cahiers d’espoir », nouveaux cahiers de doléances de ce XXI° siècle, où chacune et chacun pourra s’exprimer, faire état de ses revendications, avancer des solutions qui correspondront aux besoins les plus urgents de nos concitoyens.

Fabien Roussel, secrétaire national du PCF, participera à la manifestation parisienne aux côtés d'élu-es et de militant-es communistes.

Paris, le 30 janvier 2019.

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30 janvier 2019 3 30 /01 /janvier /2019 13:49
Photo fête de l'Huma 2018 au petit matin

Photo fête de l'Huma 2018 au petit matin

POUR QUE VIVE ET SE DÉVELOPPE L’HUMANITÉ (PCF)
 
 
A plusieurs reprises, « L’Humanité », par la voix de son directeur Patrick Le Hyaric, a alerté sur la gravité des difficultés financières qu’affronte le groupe de presse.
Tous les journaux connaissent de sérieux problèmes financiers. La plupart d’entre eux peuvent combler leur déficit parce qu’ils sont adossés à de grands groupes industriels et financiers, au prix d’une
concentration de la presse et des médias entre quelques mains
 
L’Humanité, composante historique du pluralisme de la presse française et des combats progressistes, ne peut compter que sur l’engagement de ses équipes, le militantisme, ses lectrices et lecteurs, ses amis, les
diffuseurs de L’Humanité –Dimanche.
 
Elle est toujours discriminée en matière de communication publicitaire et, depuis la fin de l’année 2015, un million d’euros de crédits de l’Etat, au titre de quotidien à faibles ressources publicitaires, lui ont été ôtés, accroissant d’autant ses difficultés financières.
Trop peu de forces politiques, sociales ou associatives réclament des pouvoirs publics qu’ils garantissent les conditions d’un réel pluralisme de la presse, pourtant inscrit dans la Constitution française. Il y va
des conditions de l’information et du débat d’idées dans notre pays.
 
Qu’il s’agisse des luttes sociales, de celles pour la préservation de la planète, des confrontations politiques et culturelles nécessaires en démocratie, de la solidarité internationale et de la paix, dans tous ces domaines, « L’Humanité » joue un rôle original et utile. Tout commande de le revaloriser. Quand les médias rencontrent une telle crise de confiance, l’engagement de L’Humanité aux côtés des milieux populaires, des « invisibles », des penseurs qui contestent le système constitue un atout pour le journalisme et un atout précieux pour la démocratie.
 
C’est pourquoi,  le Conseil national du Parti communiste français appelle à un large engagement pour répondre à la campagne d’abonnements de découverte et de parrainage que lance L’Humanité. Des milliers de personnes autour de nous sont susceptibles d’être intéressées par la découverte et la lecture de L’Humanité-Dimanche et de L’Humanité.
Il invite les élus progressistes et républicains à faire une juste place à L’Humanité, parmi les bouquets de presse dans les Médiathèques et bibliothèques des centres de documentation des lycées et collèges, les
lieux d’accueil au public des collectivités territoriales.
 
Le Conseil national du Parti communiste français appelle également à assurer le succès de la soirée de mobilisation et de solidarité pour L’Humanité, le vendredi 22 février à la salle « La Bellevilloise » à
Paris.
 
 
Parti communiste français,
 
Le  30 janvier 2019
 
Si vous le pouvez faites un don en ligne par internet : https://www.donspep.caissedesdepots.fr/?journal=huma
POUR QUE VIVE ET SE DÉVELOPPE L’HUMANITÉ (PCF)
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30 janvier 2019 3 30 /01 /janvier /2019 13:41
Dans le Pas-de-Calais, Ian Brossat face à un concentré de défis européens (Aurélien Soucheyre, L'Humanité, 28 janvier 2019)
Dans le Pas-de-Calais, Ian Brossat face à un concentré de défis européens
Lundi, 28 Janvier, 2019

Le chef de file du PCF pour les européennes a sillonné vendredi le Pas-de-Calais. Sur fond de Brexit, de mise en concurrence des salariés et de destruction des services publics, il appelle à reprendre le pouvoir sur l’argent.

Le manteau de neige qui recouvre le Pas-de-Calais s’efface sous la pluie. Mais c’est un autre maillage menacé qu’est venu voir Ian Brossat : celui de l’emploi et des services publics. À Boulogne-sur-Mer, 5 000 personnes travaillent dans la zone de Capécure. Le premier port de pêche de France a peur. « Avec le Brexit, il y a un risque que l’on ne puisse plus pêcher au large de l’Écosse », s’alarme-t-on. Boulogne, c’est aussi la première plateforme de transformation du poisson d’Europe. « Mais c’est facile à délocaliser. En cas de Brexit dur, les Hollandais tenteront tout pour capter les flux maritimes », préviennent André et les syndiqués de la CGT marée. « Quand on pense que Marine Le Pen a applaudi le Brexit des deux mains, alors qu’un tiers des emplois ouvriers sont désormais menacés ici… », souffle Ian Brossat. Loin de tout débat abstrait, le chef de file du PCF pour les Européennes souligne que la vie quotidienne sera bel et bien au cœur du scrutin du 26 mai prochain.

Le candidat veut interdire les délocalisations dans l’UE

« Je ne vois pas d’une part la colère sociale et de l’autre ces élections, d’autant qu’il y a aujourd’hui la même logique à Paris et en Europe », insiste-t-il devant salariés et élus rassemblés à Béthune. David, de Bridgestone, dénonce le chantage à l’emploi organisé dans son entreprise : « On nous demande de travailler 39 heures payées 37, sans quoi il n’y aura pas d’investissement. Mais on a aucune garantie sur le maintien de l’emploi pour les 1 100 salariés. » Le groupe a beau faire 25 milliards d’euros de chiffre d’affaires et 2 milliards de bénéfices, il ne se gêne pas pour opposer les gars du coin à ceux des sites en Pologne, Espagne, Italie et Slovaquie. « Il faut interdire les délocalisations internes à l’Union européenne, soit la moitié de celles qui frappent la France », propose Ian Brossat. Défenseur d’une Europe de la coopération qui abandonnerait le dogme de la concurrence, il invite aussi à ce que les travailleurs détachés aient un contrat et un salaire identiques à ceux des Français.

Les communistes souhaitent de plus en finir avec l’austérité, qui va de pair avec la marchandisation des services publics. « On a perdu 75 postes en 2014, et on vient d’apprendre que 80 suppressions de plus sont prévues. C’est simple : ils sont en train de tuer l’hôpital public. Dans notre bilan, il n’y a plus rien sur l’humain, que du financier et du déficit provoqué », s’indigne Pascal Fovet, secrétaire CGT du centre hospitalier Béthune-Beuvry. Sur place, le service de cardiologie est en train de fermer pour se concentrer à Lens, où l’hôpital local a déjà perdu 140 lits (160 de plus sont menacés). Et tant pis si le taux de mortalité dans le bassin lensois dépasse de 38 % la moyenne nationale… « Les personnels donnent tout ce qu’ils peuvent. Ils se battent pour garantir la qualité des soins et rentrent écœurés chez eux », pointe Pascal. « La pneumologie, c’est fermé partout. Il n’y en a plus que dans le privé à Bois-Bernard », s’indigne dans la foulée la sénatrice PCF Cathy Apourceau-Poly. Quant au parking de l’hôpital public d’Arras, il est devenu payant…

Aucune fatalité pourtant. Comme l’a rappelé Ian Brossat lors de son meeting à Calais, les richesses créées chaque année continuent d’augmenter en Europe. « Elles sont passées de 15 000 milliards d’euros il y a dix ans à 17 000 milliards aujourd’hui. Mais en même temps, le nombre de travailleurs pauvres européens est passé de 7 % à 10 %. » C’est dire l’ampleur du vol. Et le candidat d’attaquer frontalement la fraude et l’évasion fiscales, qui coûtent chaque année 1 000 milliards d’euros aux Européens. « Les bénéfices réalisés en France doivent être imposés en France », martèle enfin celui qui propose de s’organiser à l’échelle du continent pour mettre fin au dumping fiscal et social.

Aurélien Soucheyre
Dans le Pas-de-Calais, Ian Brossat face à un concentré de défis européens (Aurélien Soucheyre, L'Humanité, 28 janvier 2019)
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30 janvier 2019 3 30 /01 /janvier /2019 13:08
EDF : Le gouvernement doit dire non à la hausse de 6% des prix de l’électricité ! (Ian Brossat - PCF)
 
EDF : Le gouvernement doit dire non à la hausse de 6% des prix de l’électricité ! (Ian Brossat - PCF)
 
 
La Commission de régulation de l’énergie (CRE) vient de demander au gouvernement une hausse de 6% des tarifs de l’électricité pour 2019. En pleine crise du pouvoir d’achat, il s’agirait d’un nouveau coup grave porté aux familles des classes populaires et moyennes.
 
Ce mauvais coup montre une nouvelle fois les dégâts de la libéralisation du secteur de l’énergie imposée depuis 1996 par directives européennes.
À l’époque, Alain Juppé promettait pourtant que « l’ouverture ménagée du marché se traduira par une baisse des prix au bénéfice des consommateurs domestiques comme des industriels »... En réalité, ces dérégulations entérinées par l’Union européenne ont fait exploser les prix. Entre 2007 et 2017, la facture moyenne des familles utilisant l’électricité pour se chauffer ont ainsi augmenté d’environ 36%. Elle s’alourdira de 85 euros si le gouvernement entérine cette nouvelle hausse en 2019.
 
Il faut intervenir et dire non à cette hausse ! En pleine colère des gilets jaunes, alors que la révolte contre les hausses des prix fait l’unanimité parmi les Français les moins aisés, M. Macron doit enfin prendre la mesure du problème et renoncer à cette nouvelle augmentation.
La TVA sur l’électricité et le gaz, produits de première nécessité, doit être abaissée à 5,5%. Le gouvernement doit également faire de vrais choix en faveur des salaires, des retraites et des minimas sociaux.
 
Enfin, à l’échelon européen, nous demandons un moratoire sur les directives de libéralisation qui, dans tous les secteurs, loin de tenir leurs promesses de baisses des prix pour les consommateurs, ont conduit
au démantèlement des services publics, avec à la clé une augmentation générale des tarifs quel que soit le secteur ou le pays, et ce au profit des acteurs du privé et de leur boulimie de dividendes.
 
La sauvegarde du pouvoir d’achat des Français demande des actes concrets dès maintenant.
 
 
Ian Brossat, tête de liste des communistes aux Européennes et
porte-parole du PCF,
 
Paris, le 30 janvier 2019.
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30 janvier 2019 3 30 /01 /janvier /2019 12:10
Une Rennaise, Katja Krüger, candidate aux élections européennes sur la liste du PCF (Ouest-France, 30 janvier 2019)
Une Rennaise, Katja Krüger, candidate aux élections européennes sur la liste du PCF

Katja Krüger, 43 ans, élue à Rennes, est candidate sur la liste du Parti communiste Français pour les élections européennes du 26 mai prochain. C’est la quatrième Rennaise à s’engager officiellement dans ce scrutin.

Comédienne, dramaturge, intermittente du spectacle, mais aussi adjointe à Rennes déléguée aux Temps de la ville et à la petite enfance, conseillère communautaire et présidente de l’association nationale des politiques temporelles   « Tempo Territorial », Katja Krüger, 43 ans, est candidate pour les élections européennes du 26 mai prochain sur la liste du Parti communiste français menée par Ian Brossat.

Une Franco-Allemande défendant « une autre Europe »

Née à Wuppertal, en Allemagne, elle dit représenter par ses divers engagements « l’espoir d’une autre Europe, qui cultive la paix et l’amitié entre les peuples et rompt avec l’austérité et la concurrence libre et non faussée » . Elle rappelle avoir fait voter au conseil municipal de Rennes la mise hors concurrence et hors marché de la petite enfance, en 2018, « pour préserver les crèches municipales et associatives des logiques marchandes et de rentabilité du droit commun européen actuel » .

La liste « Pour une Europe des gens, et pas celle de l’argent » co-conduite par Ian Brossat, adjoint à Paris en charge du logement, et Marie Hélène Bourlard, ouvrière des Hauts-de-France héroïne du film Merci Patron, comprend « 50 % de membres soit ouvriers, soit employés », assure le PCF.

Elle doit encore être approuvée par les adhérents, lors d’un vote du 31 janvier au 2 février. Le PCF est crédité de 2 à 3 % des intentions de vote dans les récents sondages.

Découvrez la liste présentée par le PCF aux élections européennes et conduite par Ian Brossat

Cinderella Bernard, candidate sur la liste aux Européennes du PCF conduite par Ian Brossat

Glenn Le Saôut, 20 ans, candidat finistérien pour les élections Européennes du PCF conduite par Ian Brossat

 

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30 janvier 2019 3 30 /01 /janvier /2019 06:22
Loic Pen, médecin urgentiste, qui avait démissionné en décembre de la maternité de Creil, est sur la liste de Ian Brossat aux élections européennes, comme d'autres médecins défendant le service public hospitalier et le président de la Convergence nationale pour la défense des services publics

Loic Pen, médecin urgentiste, qui avait démissionné en décembre de la maternité de Creil, est sur la liste de Ian Brossat aux élections européennes, comme d'autres médecins défendant le service public hospitalier et le président de la Convergence nationale pour la défense des services publics

Le PCF appelle à la mobilisation pour sauver la maternité de Creil (PCF)

Ce soir, débutera le déménagement de la maternité de Creil vers le site de Senlis.

Cette décision, décidée par Agnès Buzyn, ministre de la Santé, est incompréhensible et dangereuse.

La maternité de Creil est une maternité de niveau 3 qui accueille chaque année environ 1500 naissances, autant de femme qui devront se rendre à Senlis pour accoucher.

Cette décision ne prend pas en compte la spécificité de territoire, du bassin de vie très populaire où près de 40% de la population ne possède pas de véhicule ce qui compromet l'accès aux soins.

C'est une mise en danger de la vie des femmes et des bébés, un cap franchi dans les attaques contre le système public de santé.

Tous ensemble, mobilisons nous pour sauver la maternité de Creil. Soyons nombreux, aux côtés des personnels et des patients qui occupent nuit et jour depuis samedi le site, pour défendre l'accès au soins et pour protester contre cette fermeture.

 

Vidéo d'appel au soutien de Ian Brossat, tête de liste des communistes aux élections européennes : https://twitter.com/IanBrossat/status/1090200663227797505

 

Bureau de presse du PCF,

Paris, le 29 janvier 2019.

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