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9 septembre 2017 6 09 /09 /septembre /2017 05:31
André Chassaigne dévoile l'illusion Macron! (L'Humanité Dimanche)
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8 septembre 2017 5 08 /09 /septembre /2017 14:07
Le conseiller Macron portait déjà la parole de Pierre Gattaz à l’Elysée en 2012-2013
GÉRARD LE PUILL
VENDREDI, 8 SEPTEMBRE, 2017
HUMANITE.FR
Pierre Gattaz et Emmanuel Macron à l'université d'été du Medef en août 2016. Photo : Eric Piermont/AFP

Alors que le locataire de l’Elysée veut aujourd’hui aller plus loin que la loi El Khomri pour casser le code du travail, le témoignage d’un journaliste de l’Agence France Presse (AFP), en poste à l’Elysée  ces dernières années, nous révèle  qu’il était déjà le porte-parole du président du Medef quand il conseillait François Hollande sur les dossiers économiques.

Les sondages sur la chute de popularité d’Emmanuel Macron et de son Premier ministre Edouard Philippe se suivent et se ressemblent, même si, réalisés par différents instituts, ils ne donnent pas les mêmes chiffres. Celui réalisé par l’institut Elabe pour le quotidien Les Echos du 8 septembre auprès de 1002 personnes nous indique que  45% des Français interrogés disaient faire confiance au nouveau président de la République en mai, juin et juillet. Ce chiffre chutait à 40% en août et tombe à 37%  en septembre.

L’indice de confiance envers le Premier ministre, issu du parti Les Républicains créé par Nicolas Sarkozy, avait démarré à 36% en mai pour passer à 37% en juin et cumuler à 43% en juillet. Il n’était  plusque de 37% en août et tombe à 32% en septembre. Au fur et à mesure que les Français découvrent la véritable politique voulue par le président Macron et son gouvernement, la confiance recule. On peut penser que l’attaque frontale contre le code du travail, alors que de nouveaux cadeaux sont annoncés en faveur du patronat, nourrit de plus en plus la  méfiance des Français.

Faire payer les petites augmentions de salaire du privé par les retraités

Macron a annoncé qu’il voulait faire passer l’impôt sur les bénéfices nets des entreprises à 25%  au lieu de 33% aujourd’hui. « Et en le même temps », pour reprendre son tic de langage, il annonce que seuls les  biens immobiliers seront à l’avenir soumis à l’Impôt de solidarité sur la fortune (ISF) tandis que les capitaux spéculatifs qui jouent à l’économie de casino sur toutes les bourses de la planète en seront exonérées. Comme si cela ne suiffait pas, les petites augmentations de salaires que permettra la suppression simultanée de la cotisation chômage et de la cotisation maladie des salariés du privé  ne coûteront rien aux employeurs puisqu’elles seront financées via une augmentation de 1,7% de la CSG imposée aux fonctionnaires et à 60% des retraités dont les pensions n’ont pourtant pas augmenté depuis quatre ans.

Faut-il s’étonner de cette attitude qui semble dictée au président de la République par Pierre Gattaz et le Medef ? Non si  on prend la peine de relire le chapitre 5 du livre écrit par Hervé Asquin (1), correspondant de l’AFP à l’Elysée,  du temps où  François Hollande était président. Dans ce livre paru en mai 2016, Asquin raconte comment, dès l’été 2013, une visite discrète de René Ricol, ancien commissaire général  à l’Investissement nommé par Nicolas Sarkozy, est venu à l’Elysée pour persuaderFrançois Hollande de donner satisfaction au président du Medef qui  réclamait un « pacte de confiance ».

Suite à cette démarche, Pierre Gattaz était reçu à l’Elysée par François Hollande en compagnie de René Ricol, du conseiller Macron et de Michel Sapin, ministre du travail à l’époque. Selon le journaliste de l’AFP, Gattaz plaida pour l’ouverture de cinq chantiers : baisse du coût du travail, de la fiscalité sur les entreprises, baisse des dépenses publiques en parallèle, simplification du droit du travail, levée des freins à l’embauche. C’est à la suite de cette rencontre que Louis Gallois fut chargé de préparer un nouveau cadeau fait au patronat via le Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi (CICE). C’était l’époque où Pierre Gattaz portait à la boutonnière un pins’ promettant la création d’un million d’emplois.

Gattaz et Macron « sont a tu et à toi », ils » échangent des textos nuit et jour ».

Et le rôle de Macron dans tout ça? Voici quelques extraits de ce qu’en dit Hervé Asquin dans son livre  en s’appuyant sur de nombreuses citations de Gattaz comme de Hollande : « A l’Elysée, Pierre Gattaz dispose d’un relai de poids : Emmanuel Macron. Il sera son cheval de Troie». Selon Gattaz, cité par  Asquin, Macron « veut transformer le pays  et je profite de ce contact (…) Je lui  présente le pacte de confiance, il le fait aboutir avec François Hollande. Bravo ! C’est une victoire pour Emmanuel Macron, pour François Hollande et pour le pays ».

Selon Hervé Asquin, Gattaz et Macron « sont a tu et à toi ». Hollande lui révèle qu’ils « échangent des textos nuit et jour», avant d’ajouter : «  Qu’un collaborateur comme Macron  puisse échanger des textos, essayer de donner des informations, c’est tout à fait légitime, mais qu’ils aient des conversations à tout moment, sous toutes les formes, nuit et jour, c’est quand même…  ». « Le président n’achève pas sa phrase », écrit Hervé Asquin confirmant cette façon qu’à  François Hollande de ne pas aller au bout de ses suggestions comme l’a aussi révélé le livre des deux journalistes du Monde (2).

Parce qu’il était du voyage présidentiel du 10 au 12 février 2014 aux Etats-Unis auquel participait aussi le président du Medef, le journaliste de l’AFP précise aussi que la décision d’accorder 40 milliard  d’allègements de charges au patronat fut décidé dans l’Airbus présidentiel entre François Hollande et Pierre Gattaz avec   la participation d’Emmanuel Macron et de Pierre Moscovici.

Suite à cet accord, Gattaz dira aux journalistes présents dans ce même avion : «Il n’est pas question que je prenne des engagements de résultats, ce n’est pas de l’argent public qu’on nous donne, c’est une baisse de la fiscalité. Je n’ai pas un bouton sur lequel j’appuie pour créer de l’emploi; l’emploi, c’est une conséquences».

La double conséquence fut finalement l’impossibilité pour François Hollande de solliciter un second  mandat à l’Elysée et le hold-up d’Emmanuel Macron  pour s’emparer du poste avec les objectifs que les Français découvrent progressivement.

(1) Hervé Asquin, l’Elysée selon Hollande, l’Archipel

(2) Un président ne devrait  pas dire ça, de Gérard Davet et Fabrice Lhomme, Stock

Journaliste et auteur
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8 septembre 2017 5 08 /09 /septembre /2017 13:09
Patronat. Le CAC 40 en passe de battre tous les records de profits
SÉBASTIEN CRÉPEL
LUNDI, 4 SEPTEMBRE, 2017
L'HUMANITÉ
Olivier Brandicourt, PDG de Sanofi, vole la vedette à Total au premier semestre grâce à un profit en hausse de 200 %. éric Piermont/AFP
 

Avec 52 milliards au premier semestre, en hausse de 26,5 %, les bénéfices des 40 principales sociétés cotées ne se sont jamais mieux portés. De quoi contredire l’argumentaire sur la casse du Code du travail menée au nom de « l’emploi ».

Le « coût du travail » et les « rigidités » du marché du travail seraient la cause du chômage en France ? Mieux que des discours, les résultats du CAC 40 au premier semestre apportent un éclairage utile sur la question. Avec 52 milliards d’euros engrangés depuis janvier, en hausse de 26,5 % par rapport au premier semestre de l’année dernière, les bénéfices des 40 principales sociétés cotées ne se sont jamais mieux portés. À tel point qu’ils sont en passe d’exploser le sommet de 2007, année de tous les records pour les profits, quand 95 milliards étaient entrés dans les caisses avant que la crise financière ne vienne sonner la fin de la fête… momentanément. Sur sa lancée, le résultat net des groupes pourrait crever le plafond des 100 milliards d’euros en 2017, un niveau jamais égalé, avec une croissance au bout de l’année visant les 30 %, comme en 2016 (+ 32 %).

D’ores et déjà, les grands groupes ont accumulé en six mois un trésor équivalant à plus de deux tiers de la totalité de leurs profits de l’an dernier. La recette de ces entreprises pour renouer avec l’euphorie des années 2000 : une politique de restructuration et de réduction des coûts, notamment salariaux, mise en œuvre durant la crise et qui leur a permis, une fois la conjoncture redevenue plus favorable, de renouer avec des profits historiques progressant beaucoup plus rapidement que leur chiffre d’affaires (+ 6,9 %). En d’autres termes, de faire de l’argent sur le dos de l’emploi, avec un taux de marge en hausse d’un point en un an, à 12,5 % en moyenne, contre 11,4 % un an plus tôt.

Le poids des banques demeure prédominant

Dans le détail, on observe une augmentation des bénéfices pour les trois quarts des sociétés du CAC 40, dont certaines affichent des taux de progression à trois chiffres, loin, très loin de la croissance de l’économie française (0,5 % au premier trimestre comme au deuxième trimestre). C’est le cas d’ArcelorMittal (+ 234 %, 8e avec 2,07 milliards d’euros de bénéfices) et surtout de Sanofi qui, en triplant ses profits (+ 200 %, 6,7 milliards d’euros), vole la tête du classement du semestre à Total, pourtant en bonne forme (+ 32,3 %, 2e avec 4,35 milliards). Parmi les autres stars du top 10 des superprofits, Renault et le Crédit agricole (+ 58,5 % chacun, respectivement 5e avec 2,4 milliards et 6e avec 2,2 milliards), LVMH (+ 23,8 %, 7e, 2,1 milliards) et L’Oréal (+ 37,7 %, 9e, 2 milliards) affichent aussi de belles progressions, tandis que BNP Paribas (– 1,9 %, 3e, 4,3 milliards) et Axa (+ 1,9 %, 4e, 3,3 milliards) sont quasi stables. Seule la Société générale affiche un fort recul de ses bénéfices (– 24,3 %, 10e, 1,8 milliard). Hors le Crédit agricole, ce n’est d’ailleurs pas le secteur financier qui tire la croissance des bénéfices du CAC 40. Bien que le poids des banques demeure prédominant avec 11 milliards d’euros au premier semestre, ce sont les sociétés non financières qui caracolent à + 32,8 % de profits en moyenne, soit 6 points de plus que le CAC 40 dans son ensemble.

« Quand on écoute les patrons du CAC 40, on entend les mots : très bon premier semestre, chiffres records, carnet de commandes en hausse, confie un expert au journal les Échos. Cela faisait longtemps que l’on n’avait pas vu un tel enthousiasme. » De quoi contredire l’argumentaire du premier ministre qui prétend, dans le Journal du dimanche, qu’il n’y aurait d’autre voie pour « attaquer le chômage » que l’octroi de « plus de souplesse au droit du travail » – en réalité, la casse des droits collectifs des travailleurs par ordonnances – et la baisse du « coût du travail » par la « baisse des cotisations ». Car la fragilisation des salariés dans le rapport de forces face aux employeurs d’un côté, et la baisse de leur salaire brut par l’amputation des cotisations de l’autre, vont peser encore davantage sur le niveau global des salaires, favorisant la captation d’une part toujours plus grande des richesses par le capital. Au contraire, des économistes comme Nasser Mansouri-Guilani, syndicaliste à la CGT, plaident pour une définanciarisation de l’économie. Cela passe, selon le responsable syndical, non seulement par la fin des politiques de « déflation salariale », c’est-à-dire par l’augmentation des salaires, mais aussi par le réinvestissement de l’argent détourné par la finance dans les capacités de production.

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8 septembre 2017 5 08 /09 /septembre /2017 05:20
archives PCF Morlaix, char de l'Huma et du PCF (avec faucille et marteau) à Morlaix dans l'après-guerre

archives PCF Morlaix, char de l'Huma et du PCF (avec faucille et marteau) à Morlaix dans l'après-guerre

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8 septembre 2017 5 08 /09 /septembre /2017 05:00
Séance d'autographe pour Pierre Juquin à Morlaix (archives PCF Morlaix)

Séance d'autographe pour Pierre Juquin à Morlaix (archives PCF Morlaix)

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7 septembre 2017 4 07 /09 /septembre /2017 19:11
La Fédération PCF du Finistère se joint à l'appel de AFPS Cornouaille pour exiger la libération de Salah Hamouri. Rassemblement le Jeudi 14 septembre à Quimper

La Fédération PCF du Finistère se joint à l'appel de AFPS Cornouaille pour exiger la libération de Salah Hamouri. 

 

ci-dessous l'appel d'Yves Jardin pour l'AFPS Cornouaille 

 

 

Le groupe du Pays de Cornouaille de l'AFPS appelle à un rassemblement, auquel nous voulons donner une portée départementale, ce jeudi 14 septembre, à 18 h, Place de la Résistance à Quimper, pour exiger la libération de notre compatriote Salah Hamouri , ainsi que de tous les prisonniers politiques palestiniens.

 

 

 

Aux associations de la Plateforme des ONG françaises pour la Palestine: AJPF, CEMEA, CCFD-Terre Solidaire,CIMADE, LDH, MRAP, Mouvement de la Paix, Ritimo.

Aux associations et organisations membres du Collectif pour une Paix Juste et Durable entre Palestiniens et Israéliens:AL, ATTAC, AJPF, ARAC, CGT, EELV, FSU, Mouvement de la Paix, LDH, MRAP, NPA, PCF, Solidaires
Aux associations ou organisations: ACAT, ATCM (Association des Travailleurs et Commerçants Marocains), 4ACG, CNT, Ensemble, Peuples solidaires,UDB 
 
 
Bonjour,
 
Vous avez pu suivre, avec les messages que je vous ai envoyés, la situation de Salah Hamouri. Il a été condamné avant-hier 5 septembre à trois mois de prison, par le tribunal d’instance de Jérusalem, au lieu de la libération sous conditions décidée le 29 août dernier, jugement remis en cause par l’émission par le gouvernement israélien (en fait par la volonté du ministère de la Défense, et surtout de son ministre de la défense, Avigdor Liberman, dirigeant d’un parti d’extrême-droite) d’un ordre de détention administrative, sans inculpation, ni jugement, d’une durée de six mois, indéfiniment renouvelable, et ce sur des "preuves secrètes ».
La peine de trois mois de prison est en fait la réimposition, totalement injuste et arbitraire, de la partie de la condamnation à 7 ans qui n’a pas été purgée par Salah, libéré avec trois mois d’avance le 18 décembre 2011 dans le cadre d’une échange de prisonniers palestiniens et du soldat israélien (franco-israélien en fait) Gilad Shalit; en outre cette libération anticipée avait été faite avec l’accord du gouvernement français de l’époque qui avait demandé que Salah soit libéré dans l’échange de prisonniers. Mais le gouvernement israélien (en fait le ministre de la Défense), ne trouvant pas la peine prononcée avant-hier assez dure, le procureur a fait appel, et une nouvelle audience est prévue le 12 septembre prochain (mardi).Evidemment l’on ne peut dire ce qui sortira de cette audience, mais il est à craindre que l’ordre de détention administrative de six mois ne soit entériné. En outre, l’on ne connaît toujours pas le motif de l’arrestation de Salah, le 23 août dernier, trois jours après avoir passé son examen d’admission au barreau des avocats palestiniens.  Quelle que soit la décision, Salah Hamouri ne sera sans doute pas libéré, à partir de cette date. En outre le gouvernement français ne se montre pas particulièrement actif (c’est le moins que l’on puisse dire) pour demander que Salah, citoyen français et palestinien, soit libéré.
 
C’est pourquoi, au lieu du piquet de la solidarité avec le peuple palestinien qui devait avoir lieu le jeudi 14 septembre à 17 h 30, le groupe du Pays de Cornouaille de l'AFPS appelle à un rassemblement, auquel nous voulons donner une portée départementale, ce jeudi 14 septembre, à 18 h, Place de la Résistance à Quimper, pour exiger la libération de notre compatriote Salah Hamouri , ainsi que de tous les prisonniers politiques palestiniens. Un rendez-vous sera également demandé au préfet du Finistère.

 

Une conférence de presse aura lieu lundi prochain, 11 septembre, à 11h, au Bar « Au Gavarnie »,Quai de l’Odet à Quimper. Toutes les associations et organisations qui appellent au rassemblement y sont bien sûr invitées.

 
Fédération du Parti Communiste Français du Finistère - 5 rue Henri Moreau - 29 200 MORLAIX

Fédération du Parti Communiste Français du Finistère - 5 rue Henri Moreau - 29 200 MORLAIX

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7 septembre 2017 4 07 /09 /septembre /2017 19:08
Appel commun de la CGT et du Mouvement de la paix aux marches pour la Paix du 23 septembre

Depuis plusieurs années, la CGT et le Mouvement de la paix participent conjointement à des initiatives dans le cadre de la promotion de la journée internationale de la paix.

Ceux qui dirigent le monde nous conduisent à un accroissement insupportable des inégalités entre les peuples. Cette situation, qui plonge plus d'un milliard d'habitants de la planète dans l'extrême pauvreté, est un facteur majeur d'insécurité sociale, de violences et de conflits armés…

C'est sur la pauvreté notamment que prospère le terrorisme. Ni rejet de l'autre, ni politique sécuritaire ou surenchère militaire ne peuvent constituer une solution. Le 13 avril 2016, nos organisations ont exprimé le souhait que « Le gouvernement français assure la promotion de la Journée internationale de la paix et la mise en oeuvre des résolutions des Nations unies pour la promotion d’une culture de la paix et de la non-violence ». Nous avons insisté « pour que la France prenne des initiatives marquantes (…) afin de relancer les négociations internationales pour la mise en oeuvre d’un désarmement nucléaire négocié » et rappelé que l’Organisation Internationale du Travail (O.I.T) stipule dans son préambule « qu’une paix durable ne peut se construire qu’à travers la justice sociale ».

En 2000, les résolutions de l’assemblée générale des Nations Unies (A/RES/52/13 et A/53/243) appelaient « préserver les générations futures du fléau de la guerre exige une transition vers une culture de la paix afin de prévenir les conflits en s’attaquant à leurs causes profondes pour résoudre les problèmes grâce au dialogue et à la négociation » L'adoption par les Nations Unies, le 7 juillet 2017, d'un traité d’interdiction des armes nucléaires est un succès historique pour les peuples. Il est soumis à ratification dès le 2O septembre 2017. La conférence mondiale, contre les bombes A et H qui s’est tenue à Hiroshima en Aout 2017, appelle à la réussite d’une vague mondiale de mobilisation pour la paix du 20 au 26 septembre. L'actualité internationale souligne l’urgence d’une mobilisation populaire pour la paix ! Les marches pour la Paix seront un moment essentiel pour exiger de la France qu'elle :
- Ratifie et signe le Traité d’Interdiction des Armes Nucléaires de l’ONU.
- Renonce à porter son budget militaire à 2% du PIB
- Se retire de l’OTAN
- S’engage résolument à construire une politique de paix et de prévention des conflits en application de la Charte des Nations Unies et des résolutions de l’ONU pour une culture de la paix. Le Mouvement de la paix et la CGT sont cosignataires, avec plus de 100 autres organisations, de l’appel national à marcher pour la paix, le samedi 23 septembre 2017. A travers les marches qui seront organisées partout en France, nous réaffirmons notre attachement aux valeurs de paix, de fraternité, de justice, de solidarité, de démocratie, de liberté. CGT /Mouvement de la Paix. Montreuil le 6 septembre 2017.

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7 septembre 2017 4 07 /09 /septembre /2017 18:59
Macron, la SNCF et l’impunité démocratique - par Laurent Mauduit (7 septembre 2017, Médiapart)
Macron, la SNCF et l’impunité démocratique
 PAR 

Emmanuel Macron annonce une réforme explosive de la SNCF et du statut des cheminots. Alors que les ordonnances viennent à peine d'être dévoilées, ainsi qu'une pluie d'autres mesures controversées, le chef de l’État, comme enfermé dans une bulle, avance à marche forcée sans se soucier de ce que le pays souhaite ou peut accepter.

 

Emmanuel Macron use décidément d’une méthode singulière pour annoncer ses réformes. Alors que sous d’autres majorités, les projets essentiels touchant à la politique économique et sociale ont souvent été longuement débattus – au risque parfois de s’enliser –, lui avance constamment à la hussarde. Comme si seules ses propres convictions comptaient et que l’État n’avait nul besoin de prendre le temps d’établir ce que Michel Rocard, en d’autres temps, appelait « un diagnostic partagé », ni de confronter ses intuitions à celles des autres acteurs de la vie de la Cité.

La réforme de la SNCF qui se dessine est la dernière illustration en date de cette conception monarchique dans laquelle s’insère depuis le début du quinquennat l’action publique : usant du pouvoir exorbitant que lui confèrent les institutions antidémocratiques de la Ve République, Emmanuel Macron a une opinion sur tout, décide de tout, et veut que les choses aillent vite. L’avenir de cette entreprise publique – qui est (ou était ?) un grand service public – est visiblement déjà scellé. Dans son esprit et donc dans les faits. Puisque tel est son bon plaisir…

C’est d’abord d’une manière pour le moins cavalière que cette réforme très importante – pour les cheminots, comme pour les usagers du service public – a été annoncée : au terme de ce qui est visiblement une opération de communication soigneusement préparée, le journal Le Monde a obtenu le verbatim des propos que le chef de l’État a tenus le 1er juillet dernier, alors qu’il était à bord d’un TGV pour l’inauguration de la ligne à très grande vitesse Le Mans-Rennes, propos qui ont été par la suite publiés par la direction de l’entreprise dans le magazine interne de la SNCF, Les Infos Le Mag.

L’opération de communication est même grossièrement menée, puisque le quotidien tient un récit qui confine à l’extase : « Le patron de la SNCF, Guillaume Pepy, aurait été ébahi par l’approche de M. Macron – mélange de courtoisie accessible et de propos sans fard – qui a laissé les salariés médusés, racontent les témoins de cet échange », peut-on ainsi lire, en amorce de l’article. Voici sans doute le type de journalisme qu’apprécie Emmanuel Macron, lui qui ne rate jamais une occasion de montrer son agacement contre la presse…

Ce préambule étant fait, Le Monde livre les propos du chef de l’État face à différents interlocuteurs rencontrés lors de ce voyage inaugural. « Pour être franc, je pense que le modèle sur lequel on a vécu, le mythe de la SNCF, n’est pas celui sur lequel on construira la SNCF du XXIsiècle », a-t-il ainsi répondu à un salarié du Technicentre Atlantique de Châtillon (Hauts-de-Seine), qui l’interrogeait sur l’avenir du groupe public. « Votre défi sera de ne pas rester sur la protection du passé (…). Le vrai défi sera de dire : si vous voulez défendre votre entreprise, il faut la réinventer. »

Mais la réinventer comment ? Emmanuel Macron a clairement fait comprendre que cela passerait par une réforme du statut des cheminots et par une remise en cause du régime spécial dont ils profitent. « Vous protéger, ce n’est pas protéger votre statut ou le job d’hier, c’est vous protéger en tant qu’individu, pour aller vers le job de demain (…). Soyons clairs, si nous ne réglons pas ce problème, ce sont vos enfants qui paieront. C’est injuste. »

Dans la tête d’Emmanuel Macron, dès le 1er juillet, tout était donc déjà calé. Les contours de la réforme de la SNCF, mais aussi son calendrier. « Je souhaite que l’on puisse avoir au premier semestre 2018 une loi-cadre qui donne le top départ de cette réforme, par exemple au 1er juillet 2018 ou début 2019. (…) Ceux qui étaient à cinq ans de la retraite ne sont pas touchés, les autres ont des droits acquis dans un régime et à partir de ce jour-là basculent vers un régime unique où un euro cotisé donne lieu aux mêmes droits. »

La réforme pourrait-elle même être encore plus explosive ? Surfant sur les directives de l’Union européenne, qui a fixé les dates limites pour l'ouverture à la concurrence à fin 2019 pour les lignes régionales et à fin 2021 pour les lignes à grande vitesse, le chef de l’État imaginerait-il même que la SNCF aille jusqu’au bout de la logique de privatisation rampante dans laquelle elle est entrée depuis de longues années ? Ce n’est pas dit explicitement, mais c’est à tout le moins suggéré :

« Je pense que si SNCF, avec toute la force que vous représentez, sait s’adapter, elle sera le champion de la concurrence, a plaidé M. Macron. La concurrence va aider les évolutions qui sont déjà en cours. (…) Est-ce que ça veut dire qu’il n’y aura plus de SNCF, que les agents n’auront plus leur place ? Pas du tout. Mais SNCF sera un acteur des mobilités plurielles, beaucoup plus numérisées où les agents auront des missions plus variées (…). Demain, j’attends de SNCF qu’il soit un opérateur intégré qui dira : je sais vous emmener en train puis en car, puis vous louer un taxi ou une solution de covoiturage ou de vélo en ville, etc. Beaucoup ont encore le sentiment, parce que c’est notre imaginaire collectif, que la fierté de SNCF, c’est d’avoir de beaux trains, de belles gares et des infrastructures. Ce n’est pas vrai. Ce sont les voyageurs, les chargeurs, les données les concernant qui ont de la valeur dans cette entreprise. »

À la lecture de ces propos, on pourrait s’en amuser. Finie la SNCF, acteur historique du service public à la française ! Vive SNCF, « acteur des mobilités plurielles ». Mais derrière ces jongleries sémantiques, on devine bien que c’est un projet lourd de conséquences qui se profile…

Le propos présidentiel est donc inquiétant à plus d’un titre. D’abord, il vient confirmer que l’Élysée n’a pas de projets tabous : même les services publics pourraient passer à la moulinette de ce pouvoir néolibéral.

On observera certes que dans le cas de la SNCF, la dérégulation du service public est engagée de très longue date. Parmi les coups de boutoir, il y a ainsi eu la scission au début de 1997 de l’entreprise, avec d’un côté Réseau ferré de France (RFF), chargé du réseau ; et de l’autre la SNCF elle-même, chargée de l’exploitation des transports des voyageurs et des marchandises – même si en 2015, une holding de tête a finalement été créée. Il y a eu à la même époque des transferts aux régions des transports régionaux ; puis les années suivantes, des mises en concurrence sur certaines activités spécifiques de transport.

Et puis, tout au long de ces années, il y a eu une cascade de fermetures de lignes non rentables et une modification radicale des politiques tarifaires de la SNCF. Avec au bout du compte le résultat que l’on sait, que résume cette interrogation : peut-on encore dire que la SNCF est l’acteur majeur du service public des transports ? Assurément, non ! Elle a cessé progressivement de l’être. Car si un service public se définit par quelques critères très simples – comme la péréquation des tarifs ou l’égalité des conditions d’accès pour les citoyens –, la SNCF a progressivement cessé d’y souscrire. Il n’y a plus depuis belle lurette de péréquation des tarifs ; lesquels sont devenus proprement incompréhensibles ! Et il n’y a pas plus d’égalité d’accès des citoyens puisque, progressivement, n’ont plus été exploitées que les lignes rentables.

Et l’on devine sans peine que les ouvertures définitives à la concurrence prévues pour fin 2019 pour les lignes régionales et fin 2021 pour les lignes à grande vitesse risquent de jouer un rôle formidable d’accélérateur : c’est la logique du profit qui va définitivement l’emporter sur la logique du service public.

Même si la déréglementation du service public des transports s’inscrit dans une histoire longue, on se prend à penser que l’ultime coup de boutoir, celui qui fera irrémédiablement basculer la SNCF dans les logiques du privé, aurait pu mériter un débat. Une consultation des cheminots, et tout autant un grand débat public avec les citoyens. Car la SNCF n’est assurément pas une entreprise comme les autres, compte tenu des rôles majeurs qu’elle joue dans la vie de la Cité pour les usagers ; dans la vie économique ; dans les questions d’aménagement du territoire…

Emmanuel Macron ne l’entend visiblement pas de cette oreille. « L’État, c’est moi ! » : toujours pressé, il semble constamment adepte de la méthode autoritaire. Ou plus précisément, il semble empreint d’un trait de caractère, qui est la marque de certains grands corps de l’État et tout particulièrement l’Inspection des finances : lui sait ce qui est bon pour le pays, ce que le pays ne sait pas forcément lui-même. C’est le propre d’un système oligarchique : les élites qui le composent ont la ferme conviction de contribuer au bonheur du peuple, même contre son gré.

Dans le contenu même de la réforme de la SNCF qu’il a ainsi annoncée, comme dans la méthode qu’il a choisie pour ce faire, Emmanuel Macron révèle donc ce qui est sans doute l’une de ses principales faiblesses : il semble enfermé dans une bulle, incapable de pressentir le choc que ses propos peuvent susciter. Incapable de comprendre que la démocratie n’est pas une perte de temps et qu’elle repose d’abord sur un va-et-vient constant entre gouvernants et gouvernés…

 

Le sentiment qu’Emmanuel Macron donne d’être enfermé dans une bulle est d’autant plus fort que cette annonce d’une réforme à hauts risques de la SNCF intervient dans un contexte pour le moins chahuté.

D’abord, le pays vient tout juste de découvrir le choc social que risquaient d’induire les ordonnances, avec à la clef un démantèlement de pans entiers du code du travail. Instruit du conflit social gravissime qu’avait dû affronter Alain Juppé pendant l’hiver 1995, après avoir annoncé pêle-mêle une réforme de l’assurance maladie, une réforme des retraites et la suppression des régimes spéciaux de retraite, tout autre gouvernement aurait avancé avec précaution. Emmanuel Macron, lui, ne se soucie visiblement pas de cela. En avant toute ! Et qu’importe la journée de grèves et de manifestations organisée par la CGT dans toute la France le 12 septembre : pour le chef de l’État, tout cela semble secondaire. Ne perdons pas de temps…

Cet enfermement du pouvoir est même encore plus spectaculaire que cela, puisque l’actualité sociale n’est pas constituée que de la révélation du contenu des ordonnances. Il y a aussi une pluie d’autres mesures, qui continuent jour après jour… De la réduction de 5 euros du montant des aides personnalisées au logement (APL) en passant par de nombreuses mesures d’austérité pour les fonctionnaires, c’est une farandole interrompue de mesures controversées.

Emmanuel Macron semble si sûr de son fait qu’on en viendrait presque à oublier les conditions de sa victoire à l’élection présidentielle : du fait d’un vote de rejet de la candidate de l’extrême droite, beaucoup plus que d’un vote d’adhésion à son propre programme. Mais cela, le chef de l’État ne semble guère s’en soucier, préférant s’enfermer dans un dangereux système d’impunité démocratique. C'est le paradoxe de la situation présente : la violence des mesures concoctées par le chef de l’État est, si l'on peut dire, inversement proportionnelle à la légitimité du pouvoir qu'il incarne…

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7 septembre 2017 4 07 /09 /septembre /2017 17:54
La lutte contre le projet de centrale à Gaz à Landivisiau continue: rendez-vous les 23 et 24 septembre 2017

Les Collectifs en lutte appellent à un rassemblement les 23 et 24 septembre.
 

La lutte contre le projet de centrale à gaz continue. On ne lâche rien !


Ce week-end festif et militant marquera cette rentrée et sera l'occasion
de s'informer, de discuter et d'unir nos forces pour que ce projet de
centrale à cycle combiné gaz ne voit jamais le jour ni ICI ni AILLEURS.

Au programme :

Samedi 23 septembre :

Rendez-vous dans un lieu surprise (vous pourrez vous garer autour de
Tiez-Nevez, ce sera fléché à partir de là)
Midi : Rendez-vous sur le parking du stade de Tiez-Nevez, pour se rendre
ensemble pour faire le montage.
De 14 h à 17 h : discussion sur la poursuite de la lutte contre la
centrale à gaz (en petits groupes puis ensemble).
De 17h à 18h30 : Discussion sur la convergence des luttes.
19h : repas (pizzas et Cie...).
20h concert :  Chafouin (noise-rock), Buterflai (folk, euskal herria),
Ecuacion Anti-Vida (synthé-batterie, euskal herria), Kre ke ke kex koax
koax (Kreiz-Breizh) et autres invités.

Le dimanche 24 septembre :

Landivisiau et Sizun doivent dire non à la centrale vous invitent à des
randonnées contre le projet, circuits de 8, 13 et 14,5  kilomètres.
Départs entre 9h et 15h de la Salle des Capucins à Landivisiau.
Stand découverte de la faune et de la flore. Projection de
films-documentaires. Restauration sur place.

Venez nombreux et équipés (bottes/chaussures de randos, tente, lampe
frontale, gobelet).

Pour plus d'infos :  https://14novembre.noblogs.org

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6 septembre 2017 3 06 /09 /septembre /2017 06:04
Découvrez les temps forts de la fête de l'Humanité: 15, 16, 17 septembre 2017
Découvrez les temps forts de la fête de l'Humanité: 15, 16, 17 septembre 2017

En amenant chaque année ce qu’il se fait de mieux sur ses scènes, la Fête de l’Huma fait partie des grands rendez-vous musicaux du pays. Et préparons, 2017ne sera pas de tout repos. On croisera entre autres l’iguane Iggy Pop, le poète Renaud, le S-Crew de Nekfeu, les légendes du rap des années 90-2000 avec L’Age d’Or du Rap Français (Passi, Neg Marrons, Nuttea, Stomy Bugsy et leurs amis), les nouveaux chouchous du métal made in France Gojira, Trust, Dub Inc, Salut C’est Cool, Feder ou Flavia Coelho. Electro, soul, reggae, hip hop, techno, tango, rock, jazz, pop, R&B, musiques du monde, rap, classique, variété française : il y en a pour tous les goûts à l’huma et ça ne s’arrête quasiment pas pendant 3 jours !

 
 Pour faire un tour de France de la gastronomie

Habitué de la fête de l'Huma, on a un vrai péché mignon: la nourriture proposée. On reste bouche bée devant le choix inégalable dans la restauration. Des spécialités bourguignonnes aux huîtres en passant par les canards du sud-ouest, les mets du nord, de la Méditerranée ou des Vosges, on peut manger de tout et à toutes heure. Alors fruits de mer, raclettes ou morue ? Le plus difficile sera de choisir !

Pour l’ambiance dans les stands

La fête n’a pas lieu que sur les scènes. La bonne ambiance de l’Huma se joue aussi dans les stands des délégations présentes tous le week-end. Une fois le son des principales scènes coupées, une autre musique prend le dessus et la fête continue jusqu’à la fermeture du site dans les ambiances chaleureuses des tentes, les mêmes qui quelques heures avant servaient mojitos et escargots en toute quiétude. Un conseil pratique: faites ami ami avec les personnes qui gèrent les stands, les possibilités d'after sous les chapiteaux s'ouvriront et la nuit ne fera que commencer.

 Pour militer, écouter, débattre

Ne l’oublions pas, la Fête de l’Humanité est avant tout un rendez-vous organisé par le journal éponyme. Bien connue des habitués, la tente de l’Agora au cœur de la fête accueille journalistes, personnalités politique, syndicalistes, intellectuels, artistes et public pour des débats sur l’actualité de la rentrée. Il y a de quoi y passer le week-end !

 Pour tous ce qui fait la Fête

Le Village du monde et ses scènes des luttes internationales, le Village du livre et les auteurs les plus en vue de la rentrée littéraire, la dizaine d’expositions, la Place des spectacles avec la présence de Pierre-Emmanuel Barré, le Quartier Ciné avec la diffusion de documentaires et avant-première, l’Espace Enfant, le Village du Sport, le Village de l’Economie Sociale et Solidaire, l’Espace Numérique, le Forum Social, l’Espace Tourisme… le programme  de la Fête est aussi riche que la Fête est vaste. Préparez-vous à peu dormir et à beaucoup marcher !

Quelques temps forts de la Fête de l'Humanité.
VENDREDI 15 SEPTEMBRE
Soirée de solidarité avec les prisonniers politiques en Palestine, en Turquie, aux États-Unis et au Maroc 19 heures, Village du monde.
Soirée de solidarité avec les « délinquants solidaires » 19 heures, Agora de l’Humanité.

SAMEDI 16 SEPTEMBRE
« Code du travail : les droits collectifs sont_ils un frein à l’emploi ? » Avec Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, et d’autres invités 18 heures, Forum social.

DIMANCHE 17 SEPTEMBRE
« Comment parvenir à la paix en Palestine ? » En présence de Richard Falk, ancien rapporteur sur la situation des droits humains dans les territoires palestiniens. 11 heures, Village du monde.

Le meeting de la Fête de l’Humanité Discours de Pierre Laurent, secrétaire national du PCF. Précédé de prises de parole de solidarité nationale et internationale. Dès 15 heures, Grande Scène... Tous les temps forts

www.fete.humanite.fr 
Les Grands concerts
Stand du Finistère - Fête de l'Huma 2017
 

Tiens, j'irai bien boire un chouchen et déguster un Kig ha Farz au Finistère... Mais où est-il ? Il faut dire que sur les 50 hectares du Parc , il n'est pas toujours facile de retrouver un stand. Celui du PCF29, avec ses 18 mètres de façade, est situé dans le "haut de la fête", Avenue Martin Luther King, proche du croisement avec l'avenue Raymonde Tillon, ce qui forme ce que l'on a coutume d'appeler "La place de Bretagne" avec sa petite scène. Ses voisins sont le Morbihan et ses fameuses huîtres, et le Maine et Loire du camarade Alain Pagano. En face, on déguste des crêpes aux Côtes d'Armor !
Deux petites astuces pour trouver facilement le stand :
- Il est adossé au pré qui accueille jusqu'à 70000 spectateurs lors des concerts.
- Plus facile encore, il est quasiment situé au pied de la Grande Roue, point de repère indispensable pour s'orienter sur la Fête de l'Huma !
Voilà, plus d'excuses ! On vous attend avec impatience !

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