Fabien Roussel en meeting à la fête de l'Humanité 2023 devant le stand du Conseil National du PCF place Colonel Fabien- Photo de Daniel Laporte
Fabien Roussel en meeting à la fête de l'Humanité 2023 devant le stand du Conseil National du PCF place Colonel Fabien- Photo de Daniel Laporte
Fabien Roussel à la fête de l'Humanité avec Chris Small, créateur du premier syndicat chez Amazon et licencié par Jeff Bezos. (photo Daniel Laporte)
Jusqu'où les anticommunistes primaires de la France Insoumise iront-ils dans l'abjection du révisionnisme, des fake news et des calomnies?
That is the question!
L'Humanité
Loin de calmer le jeu, Manuel Bompard a renchéri sur la polémique à gauche, après la comparaison par Sophia entre le secrétaire national du parti communiste Fabien Roussel et Jacques Doriot.
Manuel Bompard ne cherche pas à apaiser ses relations avec le PCF. Le coordinateur de la France insoumise voit dans l’indignation des communistes à la suite de l’injure faite à Fabien Roussel un « mauvais coup très calculé » visant à « faire accepter par les communistes la décision de (ce dernier) de rompre avec la Nupes ».
Comme si le secrétaire national du PCF tenait la plume de Sophia Chikirou et de Jean-Luc Mélenchon qui ont publié, la semaine dernière, un visuel sur Facebook assorti du commentaire : « L’histoire se répète, il y a du Doriot dans Roussel. » Le PCF a exigé des excuses, Jacques Doriot étant un ex-communiste devenu anticommuniste avant de se vautrer dans la collaboration avec les nazis.
Or, dans une note de blog publiée lundi, Manuel Bompard préfère s’indigner de « toute la bonne société médiatique » qui s’est « attelée à surjouer l’indignation ». Il explique que la référence à Doriot serait le « partage d’un article du journaliste Daniel Schneidermann ».
Ce qui n’est pas le cas, c’est un visuel du compte X, l’Œil gauche, qui était diffusé par les dirigeants insoumis, avec l’ajout de la comparaison avec Doriot. Mais, pour le coordinateur de la FI, il ne faut visiblement jamais s’excuser et toujours tenter de tout mettre à son avantage.
À ses yeux, l’épisode montre surtout qu’il ne servirait à rien d’ignorer la « stratégie d’isolement de Fabien Roussel ». « Il faut en rendre le peuple juge et le mettre en échec, en partant du réel et sans cacher nos désaccords », écrit-il. Voilà qui pourrait mettre tout le monde d’accord, puisque personne ne dit vouloir rompre la Nupes : la qualité du débat et le respect de tous en est sans doute la condition.
Et à lire sur France TV Info du 23 septembre:
Mathilde Panot, présidente du groupe LFI à l'Assemblée, qui reconnaît savoir que Jacques Doriot était un "maire communiste qui a été un des pires collaborationnistes" français lors de la Seconde guerre mondiale, a toutefois soutenu que Sophia Chikirou et Jean-Luc Mélenchon ont "raison de pointer une dérive de Fabien Roussel qui est très inquiétante".
"Fabien Roussel doit choisir son camp"
Mathilde Panot (france info)
"Le rapport" avec Jacques Doriot est "que vous avez des dérives chez Fabien Roussel qui laissent 'une sorte d'arrière-goût'", selon les mots du journaliste Daniel Schneidermann cités par Mathilde Panot. "Lorsque Fabien Roussel parle des frontières qui seraient devenues des passoires" ou de "la France des allocs", "je m'inquiète de certaines idées qui avalisent des thèses de droite voire d'extrême droite", estime la députée du Val-de-Marne. "Fabien Roussel doit choisir son camp", conclut-elle.
Cécile Cukierman et Ian Brossat, les deux porte-paroles du PCF entre 2018 et 2023, jusqu'au dernier congrès. Désormais, ils se retrouvent au Sénat dans un groupe communiste CRCE qui est passé de 15 à 17 sénatrices et sénateurs
Éliane Assassi, qui quitte le Sénat, passe le témoin à Cécile Cukierman. Mardi, le groupe Communiste de la Chambre haute a élu à sa tête une femme, la quatrième d’affilée à ce poste, comme c’est le cas sans discontinuer depuis 1979. Cécile Cukierman présidera donc le cinquième groupe du Palais Bourbon, fort de 17 élus. Siégeant depuis 2011 au Sénat, dont elle a été la benjamine, elle a été réélue dimanche par 17,14 % des grands électeurs de la Loire, après avoir mené campagne sur la nécessité de redonner de la capacité à agir aux maires. Lors du dernier mandat, elle était vice-présidente de la commission des Lois. Chez elle, où elle est conseillère régionale, Cécile Cukierman est habituée à affronter le président d’Auvergne-Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez et sa droite dure. Une expérience qui lui servira dans un Sénat où le camp conservateur est majoritaire.
Sophie Binet à l'agora de l'Humanité, fête de l'Humanité 2023 (Photo de Daniel Laporte, 16 septembre 2023)
Invité de l’émission Backseat depuis l’Agora de la Fête de l’Humanité, le leader des insoumis avait exposé, selon lui, les causes de la défaite de Philippe Martinez au 53e congrès de la CGT. L’ex-candidat insinuait que l’ancien dirigeant cégétiste aurait été sanctionné pour ne pas avoir travaillé avec les formations politiques à la construction du mouvement social contre la réforme des retraites. La secrétaire générale de la CGT a adressé à l’insoumis une réponse ferme qui réaffirme la stratégie du syndicat, son indépendance et ses relations avec les formations politiques.
L'Humanité, le 26.09.23
Les rapports entre les insoumis et les confédérations syndicales sont loin d’être simples. Vendredi 15 septembre, invité de l’émission Backseat depuis l’Agora de la Fête de l’Humanité, Jean-Luc Mélenchon avait exposé, selon lui, les causes de la défaite de Philippe Martinez au 53e congrès de la CGT. « Lorsque a commencé la bataille des retraites, nous disons que nous avons besoin d’une structure commune, avec les partis politiques et les syndicats, et que nous sommes d’accord pour que les syndicats la dirigent, assure le leader insoumis. Il n’y a jamais eu un seul jour, une seule réunion, une seule rencontre entre les syndicats et les organisations politiques qui se battaient dans l’Assemblée nationale. »
L’ex-candidat à la présidentielle poursuit : « Pire, on est venu demander aux insoumis de retirer nos amendements pour qu’on puisse voter sur l’article 7 (sur les 64 ans, N.D.L.R.). Pour moi, afin que la lutte puisse durer, il fallait que le texte ressorte de l’Assemblée nationale sans avoir voté. C’est le contraire qu’on nous a demandé de faire et nous ne l’avons pas fait. »
Selon Jean-Luc Mélenchon, c’est cela qu’auraient sanctionné les délégués du 53e congrès de la CGT : « La CGT est l’organisation syndicale dans laquelle il y a sans doute le plus d’insoumis au mètre carré. J’observe au congrès de la CGT le rapport d’activité incluant la séquence retraite, le rapport d’orientation et la candidature qui portait ces orientations ont été battues par les cégétistes »
La réponse de Sophie Binet est un courrier daté de ce mardi 26 septembre, à Jean-Luc Mélenchon : « Vos propos indiquent malheureusement une absence totale de respect de l’indépendance des organisations syndicales, fondement indispensable d’une relation saine de la CGT avec les organisations politiques. » Précisant, au passage, que « les propos que vous avez tenus sur mon prédécesseur Philippe Martinez sont inacceptables. »
Dans cette missive, la secrétaire générale cégétiste ajoute : « La CGT ne permet à aucune organisation politique de s’ingérer dans le déroulement et le résultat de ses congrès. (…) Laisser entendre que le résultat du 53e congrès de la CGT pourrait entre le résultat d’une stratégie de la France Insoumise est mensonger et insultant pour les délégués, les syndiqués et les organisations de la CGT qui ne laissent personne d’autre que les travailleuses et les travailleurs leur dicter leur ligne de conduite, certainement pas une organisation politique. »
Au sujet de la mobilisation sociale contre la réforme des retraites, Sophie Binet écrit : « La CGT a toujours dit qu’elle ne pouvait qu’être initiée et menée par les organisations syndicales. » Elle complète : « Si, comme vous l’aviez souhaité, nous avions appelé pour lancer la mobilisation contre la réforme des retraites à une manifestation nationale un dimanche aux côtés des organisations politiques, rien de ce qui a fait la force de la mobilisation historique que nous avons construite n’aurait existé : ni l’intersyndicale, ni l’ancrage territorial, ni la grève, ni le rassemblement très large du monde du travail autour d’un mot d’ordre clair et syndical. De même, si nous avions accepté la « structure commune » que vous dites avoir proposé. »
À propos des relations entre la CGT et la FI, que les deux dirigeants entendaient normaliser, après des rapports parfois compliqués, Sophie Binet rappelle avoir rencontré en juillet dernier une délégation insoumise composée de Manuel Bompard, d’Aurélie Trouvé et de Mathilde Panot. « Nous avons eu un échange franc dont vos représentants se sont félicités, lors duquel je suis revenue en détail sur ces éléments et sur ce que signifiait concrètement l’indépendance syndicale », mesure la secrétaire générale de la CGT. Et de conclure : « Vos propos indiquent malheureusement que ces conditions ne sont toujours pas intégrées ».
Alerte rouge sur nos hôpitaux publics !
Stop à la folie des fermetures de services et d’établissements et à la dégradation de l’accès aux soins !
La fédération du Finistère du Parti communiste français appelle toutes et tous à se rassembler samedi 30 septembre à 11h devant la préfecture du Finistère pour exiger la réouverture des urgences de nuit à l’hôpital de Carhaix et des moyens humains et financiers pour nos hôpitaux publics à la hauteur des besoins de santé de la population.
En juin dernier plusieurs milliers de personnes manifestaient à Guingamp contre les menaces de fermetures de maternités et de services hospitaliers en Bretagne et pour un accès aux soins digne et de qualité pour tous et dans tous nos territoires.
Les communistes, leurs élus, étaient présents pour défendre nos hôpitaux publics, pivots de notre système de soins.
L’été passé, avec bien des difficultés et des souffrances pour ceux qui y travaillent comme pour leurs patients, rien n’a été réglé.
La promesse de réouverture des urgences de nuit à Carhaix au 1er septembre n’a pas été tenue, et tous les hôpitaux finistériens restent dans une grande tension, les personnels des urgences de Quimper-Concarneau , impactés aussi par la fermeture de Carhaix, ont déposé des droits de retrait, comme ceux de médecine à Brest, des opérations ont été déprogrammées.
C’est un cycle infernal qui s’est engagé.
Salaires insuffisants, conditions de travail difficiles, contradiction entre le choix de professions dont la finalité est de prendre soin et la réalité trop souvent inhumaine de ces métiers, la perte de sens qui en découle, ont provoqué une crise de recrutement sans précédent dans la santé et le médico-social, hôpitaux, Ehpad, aide à domicile, enfance, handicap…
Ce qui contribue à dégrader plus encore la situation.
Notre santé est en danger, l’accès aux soins se réduit comme peau de chagrin, les inégalités sociales et territoriales se creusent.
Notre Sécurité sociale, immense avancée de civilisation, mise en place à la Libération par le ministre communiste Ambroise Croizat, a été grignotée et affaiblie au fil du temps.
C’est le résultat de décennies de choix politiques libéraux dictés par les logiques de rentabilité, de marchandisation, de privatisation, avec une obsession, diminuer les dépenses publiques de santé, au mépris du coût social et humain.
Encore 21 000 fermetures de lits hospitaliers entre fin 2016 et fin 2021, pour une grande part dans le 1er quinquennat de Macron, y compris en pleine pandémie.
Et l’an dernier, le PLFSS, projet de loi de financement de la Sécurité Sociale, a été adopté sans vote grâce au 49-3, et à un taux inférieur à celui de l’inflation, donc un budget de la santé en baisse en euros constants.
Stop à cette politique régressive et austéritaire qui maltraite la population !
Les communistes proposent un plan d’urgence pour l’hôpital public, avec des centaines de milliers de créations d’emplois, pour les Ehpad aussi.
Les richesses produites par le travail doivent aller à la satisfaction des besoins fondamentaux, pas à l’enrichissement des actionnaires.
Samedi 30 septembre à 11h à la préfecture de Quimper, exigeons toutes et tous ensemble l’arrêt des fermetures de lits et de services, des moyens pour nos hôpitaux pour permettre à tous les citoyens, où qu’ils soient, un réel accès à une offre publique de soins de qualité, et pour 2024 une loi de financement de la Sécurité Sociale qui réponde aux besoins de santé.
Communiqué du PCF Finistère - 24 septembre 2023
Face à l'abjection des attaques contre Fabien Roussel, un appel à construire le débat à gauche dans le respect de chacune et chacun
« Quelques jours après une Fête de l’Humanité qui fut un grand succès populaire et un formidable évènement politique pour le PCF et toute la gauche, avec 430 000 participants à cette fête extrêmement belle et fraternelle sur le terrain, certaines personnalités de la France Insoumise ont décidé de mener une campagne de calomnie extrêmement brutale et manipulatrice contre Fabien Roussel, qui est depuis des mois la personnalité de gauche préférée des Français.
Le pire étant toujours possible, ces dirigeants insoumis, dont la parlementaire Sophia Chikirou, relayent sur les réseaux sociaux des commentaires injurieux, d’une extrême gravité, mettant en parallèle Fabien Roussel et le collaborationniste Jacques Doriot.
En comparant l'actuel secrétaire national du PCF et député du nord à ce sinistre personnage, ex-élu et dirigeant du PCF en Seine St Denis ayant quitté le parti en 1934, pour devenir férocement anticommuniste d'abord, puis fasciste, nazi et collaborateur à outrance pendant la guerre, jusqu'à s'engager dans la LVF, la Légion des Volontaires Français contre le Bolchevisme, sous l'uniforme nazi pour combattre sur le front de l'est, c’est l’ensemble de la famille communiste et sa mémoire, comme la mémoire de la Résistance en général, qui sont salis. On oublie un peu vite les dizaines de milliers de militants communistes qui ont payé de leur vie leur combat contre l'occupant, Vichy et les collaborateurs, pour une France libérée du fascisme!
C'est la banalisation d'une approche révisionniste et confusionniste de l'histoire qui fait tant de dégâts.
Nous demandons à ces dirigeants FI de supprimer ces publications et de présenter leurs excuses.
Jamais dans l’histoire de la gauche, malgré les divergences qui peuvent traverser nos débats, une attaque d'une telle bassesse n’avait jamais été proférée.
Nous en sommes profondément indignés et offensés.
Nous avons toujours pris nos responsabilités face à l'extrême-droite et nous continuerons de le faire et de jouer pleinement notre rôle au service de notre pays et de sa classe travailleuse. Jamais, nous n’avons choisi l’insulte pour alimenter le débat.
Le PCF Finistère a fait circuler chez les élu.e.s et dirigeants des forces politiques de gauche l'appel à construire le débat à gauche dans le respect de chacune et de chacun ».
Dès le lendemain de la diffusion de cet appel, le 21 septembre, on a retrouvé parmi les signataires plus de 50 parlementaires de gauche, dont 2 dans le Finistère, les 5 président.es de régions de gauche, dont celui de la région Bretagne, 3 anciens candidat.es à la présidentielle et plusieurs dizaines de maires, conseillers régionaux et départementaux de gauche, communistes, socialistes, écologistes, régionalistes et divers gauche.
Cet appel succinct dit ceci:
"Appel à construire le débat à gauche dans le respect de chacune et de chacun
Nous, responsables, élus, militantes et militants des forces de gauche et écologistes, condamnons les propos extrêmement graves assimilant Fabien Roussel au collaborationniste Doriot.
Une telle injure qui bafoue l’histoire et nos valeurs communes, est sans précédent dans notre camp, celui du progrès social, écologique et démocratique. Elle est inacceptable.
Le nécessaire débat à gauche doit se mener avec l’ambition d’un rassemblement majoritaire qui se construit dans le respect de chacune et de chacun ainsi que des idées et des projets en présence, sans invective ni volonté hégémonique."
Le PCF Finistère remercie les 65 élus et dirigeants politiques de gauche finistériens qui ont, en deux jours seulement, signé cet appel.
Et nous appelons les élus et citoyens qui souhaitent le faire pour le retour d’un climat plus apaisé et respectueux à gauche à le faire à leur tour :
respectdudebat@gmail.com
Parmi les premier signataires finistériens de l'appel à construire le débat à gauche dans le respect de chacune et de chacun dans le Finistère :
Bernadette Abiven, conseillère municipale de Brest. Vice-présidente de Brest-Métropole
Patrick Appéré, adjoint au maire de Brest
Audrey Aït Kheddache, membre du conseil national du PS. Membre de la commission de contrôle du PS 29
Isabelle Assih maire de Quimper
Yann Bernard Les radicaux de gauche 29
Fréderique Bonnard Le Floc’h Conseillère municipale de Brest Conseillère départementale du canton de Brest 5
Claudie Bournot-Gallou, adjointe au maire du Relecq-Kerhuon, conseillère de Brest-Métropole
Philippe Broudeur, président de la fédération LRDG 29 , Adjoint à la maire de Quimper, Conseiller communautaire de Quimper Bretagne Occidentale
Hubert Bruzac, vice-président de Brest Métropole. Conseiller municipal à Brest
Angélique de Cecco, conseillère municipale, ville du Relecq-Kerhuon
Renaud de Clermont Tonnerre, maire de Plouégat-Guerand, président du groupe majoritaire à Morlaix-Communauté
François Cuillandre, maire de Brest, président de Brest Métropole
Forough Dadkhah, vice-présidente du Conseil Régional, conseillère municipale à Quimper
Fréderic Devaux, conseiller municipal délégué de la ville de Brest
Ismaël Dupont, conseiller départemental du Finistère, canton de Morlaix, conseiller municipal délégué à Morlaix et conseiller communautaire, secrétaire départemental du PCF
Jean-Luc Fichet, sénateur du Finistère
Tristan Foveau, conseiller municipal de Brest, vice-président de Brest-Métropole
Patrick Gambache, Premier adjoint à Morlaix
Gladys Grelaud, conseillère régionale de Bretagne, responsable de la Coopérative des élu.e.s communistes dans le Finistère
Eric Guellec, adjoint au maire de Brest. Conseiller de Brest Métropole. Président du groupe des élues et élus communistes de la ville de Brest et de Brest Métropole.
Christian Guyonvarc’h, conseiller régional de Bretagne
Elise Hamard-Péron, conseillère municipale ville de Brest
Xavier Hamon, adjoint au maire de Brest, conseiller communautaire
Jacqueline Héré, adjointe au maire de Brest, conseillère déléguée de Brest, conseillère départementale du Finistère, canton de Brest 1
Roger Héré, Premier Adjoint à Plouigneau, vice-président Transports-Mobilités de Morlaix Communauté
Karelle Hermenier, adjointe au maire de Brest
Joëlle Huon, Maire de Plouigneau, Conseillère départementale du Finistère, canton de Plouigneau
Claude Jaffré, conseiller départemental du Finistère, canton de Moëlan
Marie-Pierre Jean-Jacques, vice-présidente à Quimper Bretagne Occidentale aux Mobilités, Transports, Conseillère départementale du Finistère
Robert Jestin, adjoint au maire de Brest
Sylvie Jestin, adjointe au maire de Brest, conseillère déléguée de Brest Métropole
Emilie Kuchel, adjointe au maire de Brest, Conseillère déléguée Brest Métropole, Conseillère régionale de Bretagne
Béatrice Le Bel, Conseillère municipale Ville de Brest
Olivier Le Bras, Conseiller régional de Bretagne
Pierre Le Goff, Maire de Guimaëc, conseiller départemental du Finistère, canton de Plouigneau
Hubert Le Lann, Maire de Berrien
Jean-Michel Le Lorc’h, conseiller municipal de Brest, vice-président de Brest Métropole
Sandra Le Roux, conseillère municipale déléguée de Brest
Pierre-Yves Liziar, Conseiller municipal délégué au Relecq-Kerhuon
Sébastien Marie, maire de Plounéour-Menez
Mathilde Maillard, adjointe au maire de Brest. Conseillère de Brest-Métropole
Taran Marec, conseiller municipal de Brest déléguée
Isabelle Mazelin, adjointe à la culture au Relecq-Kerhuon
Christiane Migot, conseillère municipale déléguée de la ville de Brest. Conseillère de Brest Métropole
Yohann Nedelec. Adjoint au maire de Brest. Vice-président de Brest-Métropole
Denis Palluel, maire de Ouessant, conseiller régional
Bernard Pelleter, conseiller départemental du Finistère, canton de Quimperlé, ancien maire de Mellac
Fortuné Pellicano, adjoint au maire de Brest. Conseiller de Brest-Métropole. Président du groupe
Parti Radical de Gauche – Le Centre Gauche de la ville de Brest et de Brest-Métropole, conseiller régional de Bretagne
Sandrine Perhirin, adjointe au maire de Brest Conseillère de Brest-Métropole
Jean-Claude Perrot, conseiller municipal à Briec
Michèle Queroue-Mary, adjointe au maire de Brest
Tifenn Quiguer, Conseillère municipale de Brest, vice-présidente de Brest-Métropole
Yvonne Rainero, Conseillère municipale déléguée à Quimper
Jacques Rannou, maire de la commune associée de Kernevel
Régine Roué, conseillère régionale
Patricia Salaün Kerhornou, conseillère municipale de Brest déléguée, Vice-présidente de Brest Métropole
Valérien Scattolin Adjointe au maire à Morlaix et conseillère communautaire
Pierre-Yves Thomas, Conseiller municipal à Carhaix, secrétaire de la section PCF de Carhaix-Huelgoat
Mélanie Thomin, députée de la 6e circonscription du Finistère
Fragan Valentin-Leméni, adjoint au maire de Brest
Jean-Paul Vermot, maire de Morlaix, président de Morlaix-Communauté, président de l’UESR 29 (Union des élus socialistes du Finistère)
Gaëlle Zaneguy, adjointe au maire à Saint Thégonnec Loc Eguiner, conseillère départementale du Finistère, canton de Morlaix
La section Union Démocratique Bretonne du Pays de Brest
Le Groupe Local Génération.s de Brest
Le Groupe Local Les Radicaux de Gauche de Brest
Crise de l'hôpital public et des urgences: une nouvelle manifestation prévue devant la préfecture à Quimper samedi à 11h, à l'initiative du comité de défense de l'hôpital de Carhaix. L'article du Ouest-France donne une belle place à l'analyse du PCF Carhaix Huelgoat qui appelle à la manifestation de samedi à Quimper.
Réunion de travail de la coopérative des élu.e.s communistes du Finistère ce mercredi 20 septembre au soir dans notre local fédéral de Brest. Des élu.e.s de Quimper, du Relecq-Kerhuon, de Brest, de Landerneau, de Morlaix étaient présent.e s pour cette réunion constructive et efficace de l’association des élu.e.s communistes et republicains du Finistère qui se relance depuis quelques mois sous l’impulsion de Gladys Grelaud, membre du Conseil National de la coopérative des élu.e.s communistes, et d’un bureau composé d’élus de plusieurs communes de notre grand département qui compte une soixantaine d’élu.e.s communistes et apparentes. Nous avons discuté des mobilités, des trains et bus de proximité, du désenclavement de la pointe finisterienne, des difficultés rencontrées dans les EHPAD du département, de l’explosion des factures d’énergie, de la maîtrise publique de l’eau, de la crise climatique et sanitaire dans les hôpitaux et l’accès aux soins, et de nos initiatives communes et coordonnées face a ces situations. Prochaine réunion fixée le jeudi 30 novembre dans le nouveau local du PCF à Quimper, 5 place de Locronan, suivie d’un repas fraternel des élus communistes et sympathisants du Finistère.
une page facebook de la coopérative des élu.e.s communistes du Finistère existe désormais: https://www.facebook.com/profile.php?id=61551739974361
43 nouveaux adhérents ont rejoint le Parti communiste dans le Finistère depuis le 1er janvier 2023, dont 10 à la fête de l'Humanité.
Bravo et merci à eux!
La fédération du Finistère du PCF compte désormais 882 adhérents.
Pourquoi adhérer au PCF ?
Parce ce qu'on est plus libres quand on augmente son pouvoir d'agir et qu'on a plus de pouvoir d'agir quand on agit collectivement et de manière organisée.
Pour rejoindre un parti qui a une longue histoire, consubstantielle de celle des conquêtes sociales et démocratiques en France, de la lutte contre le fascisme et l'oligarchie, un parti qui n'a pas trahi ses valeurs ni sombré dans l'opportunisme, qui les incarne dans ses engagements et combats quotidiens. Un parti qui défend l’émancipation humaine, la lutte contre toutes les formes de racismes, de sexismes, de discriminations. Un parti qui se bat au quotidien pour le dépassement de toutes dominations, de toutes exploitations, des humiliations, de la pauvreté.
Un parti qui veut construire les rassemblements aussi bien pour gagner su bien-être ici et maintenant et pour inventer un autre monde, fondé sur des rapports humains libérés de la loi de l’argent et du capitalisme.
Un parti à la fois républicain et internationaliste, humaniste et matérialiste, engagé dans les batailles électorales et les visées de rassemblement tout en gardant un cap révolutionnaire de transformation en profondeur de la société et des rapports économiques et sociaux.