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Le Chiffon Rouge
Morlaix
Mobilisés contre la vie chère, dans l’action pour des salaires et des pensions dignes !
Macron doit rendre leur argent aux familles et aux salarié.e.s.
J’appelle la population, les salarié.e.s, les familles à se mobiliser massivement partout dans le pays dès ce week-end, devant les préfectures et sous-préfectures pour exiger du Président Macron des réponses fortes, d’ampleur et durables face à la remise en cause scandaleuse et indigne de notre pouvoir d’achat.
Carburants, énergie, produits alimentaires, mutuelles, assurances… l’explosion des factures est devenue une réalité insupportable pour des millions de familles et de salarié.e.s.
Dans le même temps, les salaires et les pensions de retraite, les minima sociaux demeurent particulièrement faibles, alors qu’énormément d’argent public a été déversé depuis un an, pour une grande partie accaparé par les plus grandes entreprises, dont les profits explosent, et par une petite minorité de fortunés pour qui Macron n’a pas hésité à prendre des mesures radicales pour protéger et gonfler leur patrimoine financier.
La colère des Français est donc plus que légitime et ne peut attendre les élections pour obtenir des réponses.
Il faut agir tout de suite et imposer à Macron et à son gouvernement de baisser immédiatement et sensiblement les prix des carburants et de l’énergie et d’augmenter le SMIC, les salaires et les pensions.
Partout dans le pays, les communistes organiseront dès les prochains jours, des rassemblements devant les préfectures et sous-préfectures pour exiger des représentants de l’État dans les territoires des réponses à la hauteur d’une situation insupportable pour le plus grand nombre. Je serai moi-même devant la préfecture de Lille lundi 25 octobre à 10h.
Le 21 novembre, à Paris, Place Stalingrad, soyons des milliers à exiger la hausse de salaires, des pensions, la baisse des factures et la création des centaines de milliers d’emplois dont notre pays a besoin.
Fabien Roussel
Secrétaire national du PCF
Candidat à l’élection présidentielle
Coopératives : quelle actualité, quelles possibilités pour demain ?
Les acteurs de l’ESS acteurs prônent le développement durable/soutenable, ils revendiquent l'économie comme moyen et non comme finalité (lucrativité limitée), la gestion des structures est autonome et indépendante, la notion de solidarité entre les individus (mais aussi entre les structures) est prédominante.
L’ESS privilégie la valeur d'usage sur la valeur marchande, à la fois dans ses buts – notamment au niveau des associations de solidarité –, le recours aux bénévoles, et la non lucrativité (ou lucrativité limitée). D’autre part, si les coopératives doivent mutualiser sous forme de fonds propres une partie de leurs bénéfices, elles mettent de plus l’accent sur la valeur travail. Enfin, l’ESS définit un mode de gestion démocratique dans les entreprises, les coopératives notamment, avec le fameux slogan issu des statuts : « une personne, une voix ». Les salariés coopérateurs ont ainsi le pouvoir d’intervenir dans la gestion et les objectifs de l'entreprise.
Évidemment, il s'agit là de possibles qui font l'objet d'une très forte lutte idéologique. Les forces libérales ont notamment introduit la possibilité pour certaines entreprises privées à but lucratif de s'afficher comme parties prenantes de l'ESS (agrément « ESUS »). Aujourd’hui, le gouvernement Macron, au travers de la notion d'entrepreneuriat social, de « french impact », cherche à faire disparaître les idées de démocratie et de non-lucrativité au profit de celle de « mission ». Les appels d'offres remplacent les subventions, qui permettaient pourtant à de nombreuses associations de solidarité de vivre. La valeur marchande et la compétition prennent le pas sur la valeur d'usage, et donc sur l’utilisé sociale. Les associations en viennent à se concurrencer et sont évaluées en fonction des critères marchands, adoptés par des bailleurs de fonds.
Les Coopératives d’activités et d’emploi (CAE) constituent une alternative à l’auto-entreprenariat pour mener son activité professionnelle en tant qu'entrepreneur, tout en bénéficiant de la protection sociale liée au salariat. Les Sociétés coopératives d’intérêt collectif (SCIC) permettent la production ou la fourniture de biens et de services d’intérêt collectif qui présentent un caractère d’utilité sociale. Dans les Sociétés coopératives ouvrières de production (SCOP), les salarié·e·s possèdent au minimum 51 % du capital. Leur régime juridique permet une répartition spécifique des bénéfices : le partage du profit est équitable. Nous connaissons l’exemple de la Scop-Ti, issue de la lutte des Fralibs. Mais il en existe beaucoup d'autres !
Faire connaître les valeurs de l’ESS, comprendre comment des structures s’en sont détournées, reconnaître à l’inverse la façon dont d’autres irriguent la société de ces valeurs, développer les structures coopératives, innover pour les améliorer voilà des objectifs que nous pouvons nous fixer.
Il est possible de proposer des idées : cliquer sur le lien ci-dessous.
Développer l'économie sociale et solidaire
L'Économie sociale et solidaire (ESS) fait partie de ces ébauches de société communiste par les valeurs émancipatrices et solidaires sur lesquelles elle repose. Les forces libérales ont pris ...
https://www.lafranceencommun.fr/developper_l_economie_sociale_et_solidaire
Walden Gautier, Dugudus, l'artiste auteur de l'affiche du 80e anniversaire de Châteaubriant, et Jean-Luc Le Calvez
Parti Communiste Français
Section de Morlaix
2 Petite Rue Callac 29600 MORLAIX – tel : 02 98 88 30 35
Mel : pcf-morlaix@wanadoo.fr
Blog : http://le-chiffon-rouge-pcf-morlaix.over-blog.com/
UNE TRISTE NOUVELLE : notre camarade LE MOAL est décédé.
Notre camarade Paul LE MOAL, adhérent PCF depuis 1972 (adhérent section de Lanmeur) est décédé.
Paul était le conjoint d’Yvette LE MOAL quia été adjointe au maire de Plougonven durant 3 mandats.
En votre nom à tous, je présente à Yvette, son épouse, et à toute sa famille nos plus sincères condoléances.
Les obsèques se dérouleront le mardi 19 octobre à 14 h 30 au Centre Funéraire de Saint Thégonnec.
Attention, à la demande de Paul, il n’y aura pas d’avis mortuaire dans la presse.
Mais tout ami-e ou camarade qui le souhaite pourra assister aux obsèques.
Alors, merci à chacun, à sa manière et selon ses disponibilités de lui rendre hommage.
Attention, pas de fleurs mais des dons à la Ligue Contre le Cancer.
Fraternellement
Daniel RAVASIO
Pendant la crise sanitaire, la reprise scolaire s’est faite dans des conditions déplorables : faible nombre d’élèves accueillis (15 %) dans des conditions ne permettant pas les apprentissages, protocole sanitaire inapplicable, élaboré par une entreprise privée et qui ne suit pas les recommandations du CHSCT. Les disparités territoriales sont énormes et l’enseignement privé profite de la situation pour attirer de nouvelles familles, accroissant ainsi les inégalités et affaiblissant le service public. Cette reprise met en place une responsabilité individuelle des choix et des actes en matière d’éducation. Loin de résoudre le problème des inégalités posé par l’école à distance, elle les accroît.
Notre école est en crise : l’interruption scolaire a mis en exergue et à amplifié les inégalités scolaires vécues depuis de longues années. Face à cette crise, Macron et son gouvernement proposent une réponse simple : en finir avec l’objectif d’égalité. Nous voulons au contraire construire un changement radical de politique, pour construire une école commune, pour toutes et tous : une école gratuite dans laquelle les enfants sont à égalité, faisant le pari que tous les jeunes sont capables d’atteindre un haut niveau de formation, de culture et de savoir, permettant à toutes et tous de maîtriser leur destin, individuel et collectif.
Cette période, qui a des conséquences sur l’ensemble de la société, dans tous les domaines, pose avec encore plus d’acuité la question centrale du rôle de l’école. Comment peut-elle donner aux citoyennes et aux citoyens de demain les moyens d’agir sur leur avenir, celui de leur pays, celui de la planète ? Cette réflexion ne peut être séparée de la lutte pour une société plus juste car cela seulement permettra, d’une part, aux apprentissages de ne plus être un enjeu de réussite et de survie personnelles et, d’autre part, la construction d’une société du XXIe siècle, au service de toutes et tous. L’heure est à un véritable plan d’urgence pour l’éducation.
Il est possible de proposer des idées : cliquer sur le lien ci-dessous.
+70 finisteriens en déplacement collectif a Châteaubriant. Quelques uns des camarades du PCF Finistère derrière le drapeau du PCF "région du Finistère" brodé a la main pendant le Front populaire, cache pendant l'occupation et confie a Piero Rainero par Marie-Corentine Tanniou, résistante communiste de Pont l'Abbe dans le pays bigouden
4 des 7 élus communistes brestois a Châteaubriant - 17 octobre 2021. Eric Guellec, Taran Marec, Sandra Le Roux, Anne-Catherine Cleuziou.
L'artiste Dugudus, auteur de l'affiche du 80e anniversaire, entre nos deux camarades de la section PCF de Morlaix Walden Gautier et Jean-Luc Le Calvez
Photo Jean-Luc Le Calvez, Fabien Roussel avec les secrétaires départementaux de Loire-Atlantique Véronique Mahé et Aymeric Seassau, et le responsable du musée de la Résistance Nationale
Ce fut une très belle journée, poignante et en même temps pleine d'un souffle de combativité pour faire vivre une France fraternelle, égalitaire, libre et généreuse, dans la poursuite du rêve des internés et fusillés de Châteaubriant, des milliers de résistants communistes déportés, fusillés, internés, torturés, combattants de l'ombre et de lumière, que nous célébrions hier pour la commémoration de l'exécution des 27 de Châteaubriant.
Photos de Jean-Luc Le Calvez, Ismaël Dupont, Véronique Mahé, Claude Quillec, et du PCF National
L'équipage du minibus de Morlaix - 2 autres voitures partaient de la région morlaisienne, et un minibus et une voiture de Brest, un car de Concarneau: + 70 Finistériens en tout en déplacement collectif à Châteaubriant
Les nord-finistériens étaient une trentaine à l'arrivée à Châteaubriant - ici au restaurant le Jal's
Les nord-finistériens étaient une trentaine à l'arrivée à Châteaubriant - ici au restaurant le Jal's
Avec Marie-Françoise Madec, Claude Quillec, Jeannine Daniel, Marion Francès et Ismaël Dupont et le drapeau de la Région du Finistère du PCF Pays Bigouden qui a traversé l'occupation caché chez des résistants, remis à la fédération du finistère par la résistante bigoudène Marie-Corentine Tanniou (confié d'abord à Piero Rainero)
Avec Ronan Sinquin, Ismaël Dupont, Piero Rainero et Marie-Françoise Madec Jacob et le beau drapeau du PCF Finistère datant du Front Populaire
Pour les communistes, le climat doit être considéré comme un bien commun, géré par la communauté humaine mondiale.
Les sociétés doivent réduire toutes les énergies carbonées (gaz, charbon, pétrole) et organiser des mix énergétiques composés de ressources les moins productrices de gaz à effet de serre. Nous prônons le développement d’une industrie respectueuse de l’environnement et de la préservation des ressources naturelles en liaison avec des services publics nationaux de l’environnement et de l’écologie qui doivent coopérer entre eux au plan mondial.
Nous proposons de développer un nouveau mode de production et de consommation. Cela implique de nouveaux pouvoirs des salarié·e·s, des élu·e·s et des populations dans les décisions stratégiques des entreprises, des critères de gestion alternatifs, l’instauration de nouveaux mécanismes de crédit bonifié, ou pénalisé, sur critères sociaux et environnementaux. Cela implique également la mise en place de nouveaux indicateurs, au-delà de ceux du PNB et du PIB, pour mesurer le bien-être humain ainsi que des éléments de mesure de l’état de la nature.
Pour réussir la transition écologique, plusieurs orientations radicales doivent être mises en œuvre.
Nous proposons : le refus des accords de libre-échange de type Ceta et Mercosur et l’adoption d'une loi favorisant les circuits courts ; la création d'un pôle public de l'énergie pour une gestion 100 % publique ; une politique de nouvelle industrialisation écologique ; la mise en place progressive d’une sécurité d’emploi ou de formation écologique ; la priorité aux transports écologiques ; des logements et bâtiments et un nouvel urbanisme plus écologiques ; la baisse de la TVA jusqu’à 0 % sur tous les biens et services vertueux pour le climat ; un nouveau modèle de production agricole conjuguant l’impératif écologique à la nécessité de nourrir l’humanité ; la protection de la biodiversité dont nos forêts.
Des mesures ambitieuses dans tous ces domaines peuvent être financées par la création d'un fonds écologique et social de 100 milliards d'euros, abondé par la création monétaire des banques, ainsi que l’État et les entreprises. Il fonctionnerait avec une gouvernance démocratique associant élu·e·s du peuple, représentant·e·s des travailleurs et associations.
Il est possible de proposer des idées : cliquer sur le lien ci-dessous.
Réussir la transition écologique
Les alarmes des scientifiques pleuvent comme à Gravelotte. La préoccupation liée au changement climatique est désormais dans toutes les têtes. Chacun essaye de modifier ses pratiques individue...
https://www.lafranceencommun.fr/reussir_la_transition_ecologique