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21 février 2024 3 21 /02 /février /2024 07:07
Ouest-France
À Morlaix, un hommage à Missak et Mélinée Manouchian, le 21 février, pour leur entrée au Panthéon

Publié le

Missak et Mélinée Manouchian, deux résistants du groupe Manouchian, durant la Seconde Guerre mondiale, entreront au Panthéon, le 21 février 2024. Un hommage est prévu à Morlaix (Finistère).

Le panthéon à Paris.

Le panthéon à Paris. | DANIEL FOURAY / ARCHIVES OUEST FRANCE

Le Parti communiste français (PCF) appelle au rassemblement à Morlaix (Finistère), mercredi 21 février 2024, à 17 h, sur l’esplanade de la gare, pour un dépôt de gerbes, devant la plaque Rol Tanguy.

Un « héros de la Résistance »

Ce jour-là, Missak et Mélinée Manouchian entreront au Panthéon. Missak Manouchian, « héros de la Résistance », écrit le PCF, a été chef militaire des Francs-tireurs et partisans de la main-d’œuvre immigrée (FTP-MOI) de la région parisienne. Il a été fusillé en 1944, le 21 février. Mélinée Manouchian, son épouse, a été résistante des FTP-MOI. Elle est décédée en 1989.

Lire aussi : Comment va se dérouler l’entrée au Panthéon de Missak Manouchian, prévue le 21 février ?

Missak Manouchian, qui est né en Turquie, est « le premier résistant étranger à accéder au Temple des grandes figures de la République que représente le Panthéon », indique le PCF. Il précise : « Le groupe Manouchian était membre de la FTP-MOI, une organisation créée par le Parti communiste français. Ils étaient italiens, hongrois, polonais, arméniens, espagnols… ».

Le Parti relie cet événement à l’actualité et conclut : « Ne laissons pas la place à celles et ceux qui voudraient nous vendre le mythe de l’intégration à la française mais qui, sous la dictée de la droite extrême, n’ont pas hésité à adopter le projet de loi Asile et immigration. »

https://www.ouest-france.fr/bretagne/morlaix-29600/a-morlaix-un-hommage-a-missak-et-melinee-manouchian-le-21-fevrier-pour-leur-entree-au-pantheon-94fa1644-cd85-11ee-ae65-ae2b32b20025

Diaporama Le Homard Enchaîné : Hommage à Rol Tanguy Morlaix le 12 juin 2019

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21 février 2024 3 21 /02 /février /2024 07:07

 

 

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21 février 2024 3 21 /02 /février /2024 07:00
Les visages de l'AFFICHE ROUGE et ceux qu'elle n'a pas dévoilés...
Les visages de l'AFFICHE ROUGE et ceux qu'elle n'a pas dévoilés...
Les visages de l'AFFICHE ROUGE et ceux qu'elle n'a pas dévoilés...
Le 21 février, 80 ans jour pour jour après l'exécution de 22 d'entre eux sur 23 (seule Olga Bancic est exécutée en Allemagne plus tard), un hommage national leur sera rendu à travers la panthéonisation de leur chef, Missak Manouchian, et de Mélinée, sa fiancée, résistante également à la FTP MOI, communiste, d'origine arménienne, orpheline, rescapée du génocide comme Missak.
23 héros de la résistance militaire de Paris et de région parisienne, Francs Tireurs et Partisans de la Main d’œuvre immigrée sous la direction du Parti communiste et le commandement opérationnel de Missak Manouchian pendant quelques mois, tous traqués et arrêtés par la police française travaillant pour le compte des nazis, tous communistes ou sympathisants communistes, et par dessus tout anti-fascistes.
Ils sont l'honneur de la France et des combats pour la liberté, l'égalité et un monde de paix et sans racisme et l'antisémitisme menés par le parti communiste. Ils ont sacrifié leur vie pour combattre et terrasser la peste brune qui ressurgit partout en Europe et dans le monde.
 
Portraits repris de "Missak et Mélinée Manouchian. Un couple en Résistance" de Gérard Streiff - l'Archipel, janvier 2024, 21€
- Olga Bancic, condamnée à mort à 32 ans après avoir été affreusement torturée, guillotinée en Allemagne. Née en 1912 à Chisinau (actuelle Moldavie), dans une famille juive qui émigre en Roumanie. Militante syndicale et communiste, elle subit la répression policière en Roumanie. Traquée, elle s'installe en France en 1936 et y poursuit des études de Lettres. Elle s'engage dans la FTP-MOI et participera à une centaine d'action du groupe Manouchian.

- Olga Bancic, condamnée à mort à 32 ans après avoir été affreusement torturée, guillotinée en Allemagne. Née en 1912 à Chisinau (actuelle Moldavie), dans une famille juive qui émigre en Roumanie. Militante syndicale et communiste, elle subit la répression policière en Roumanie. Traquée, elle s'installe en France en 1936 et y poursuit des études de Lettres. Elle s'engage dans la FTP-MOI et participera à une centaine d'action du groupe Manouchian.

Célestino Alfonso. Il meurt à 28 ans. Né en 1916 en Espagne, il arrive en France dans les années 1930. Adhérent à la Jeunesse communiste d'Ivry, il part en 1936 combattre en Espagne. Il sera nommé capitaine et commissaire politique de la 2e Brigade internationale. A son retour en France, en 1939, il est interné au camp de Saint Cyprien, dont il s'évade. Entré dans la Résistance, arrêté par les Allemands en 1942, et déporté, il s'évade encore et rentre à Paris où il devient chef de groupe des FTP-MOI. Il participe à des actions parmi lesquelles l'exécution en 1943 du colonel nazi Julius Ritter, chef du STO.

Célestino Alfonso. Il meurt à 28 ans. Né en 1916 en Espagne, il arrive en France dans les années 1930. Adhérent à la Jeunesse communiste d'Ivry, il part en 1936 combattre en Espagne. Il sera nommé capitaine et commissaire politique de la 2e Brigade internationale. A son retour en France, en 1939, il est interné au camp de Saint Cyprien, dont il s'évade. Entré dans la Résistance, arrêté par les Allemands en 1942, et déporté, il s'évade encore et rentre à Paris où il devient chef de groupe des FTP-MOI. Il participe à des actions parmi lesquelles l'exécution en 1943 du colonel nazi Julius Ritter, chef du STO.

Joseph Boczov: il a 38 ans quand il est exécuté le 21 février 1944. Juif hongrois communiste, Joseph Boczov (ou Jozsef Boczor) est un chimiste, spécialiste des explosifs. Il part combattre dans les rangs des républicains espagnols. Après la défaite il est interné en France. Déporté en Allemagne, il s'évade. A Paris, il devient chef du détachement FTP-MOI, qui se spécialise dans le déraillement de trains transportant des troupes et du matériel de guerre allemands.

Joseph Boczov: il a 38 ans quand il est exécuté le 21 février 1944. Juif hongrois communiste, Joseph Boczov (ou Jozsef Boczor) est un chimiste, spécialiste des explosifs. Il part combattre dans les rangs des républicains espagnols. Après la défaite il est interné en France. Déporté en Allemagne, il s'évade. A Paris, il devient chef du détachement FTP-MOI, qui se spécialise dans le déraillement de trains transportant des troupes et du matériel de guerre allemands.

Georges Cloarec: né en 1923 à Saint-Lubin-des-Joncherets (Eure-et-Loir). Ouvrier agricole à quinze ans, il gagne la zone sud dès l'Occupation allemande pour s'engager dans les forces de la France Libre à Londres mais il n'y parvient pas. Il rejoint Paris et entre en contact avec les résistants immigrés de la FTP-MOI; il prend part à plusieurs actions.

Georges Cloarec: né en 1923 à Saint-Lubin-des-Joncherets (Eure-et-Loir). Ouvrier agricole à quinze ans, il gagne la zone sud dès l'Occupation allemande pour s'engager dans les forces de la France Libre à Londres mais il n'y parvient pas. Il rejoint Paris et entre en contact avec les résistants immigrés de la FTP-MOI; il prend part à plusieurs actions.

Rino Della Negra: né en 1923 à Vimy (Pas-de-Calais), il est exécuté au Mont Valérien à 21 ans. Sa famille, italienne, s'est installée dans son enfance à Argenteuil en 1926. Il travaille chez Chausson, à Asnières. Excellent footballeur, il joue au Red Star. Réfractaire du STO en 1942, il s'engage dans la clandestinité dans les rangs des FTP et rejoint le 3e détachement italien. Il participe notamment à l'attentat contre le général Alexander Apt ou à l'attaque du siège du parti fasciste italien, rue Sédillot.

Rino Della Negra: né en 1923 à Vimy (Pas-de-Calais), il est exécuté au Mont Valérien à 21 ans. Sa famille, italienne, s'est installée dans son enfance à Argenteuil en 1926. Il travaille chez Chausson, à Asnières. Excellent footballeur, il joue au Red Star. Réfractaire du STO en 1942, il s'engage dans la clandestinité dans les rangs des FTP et rejoint le 3e détachement italien. Il participe notamment à l'attentat contre le général Alexander Apt ou à l'attaque du siège du parti fasciste italien, rue Sédillot.

Thomas Elek: né en 1924 à Budapest (Hongrie), dans une famille d'intellectuels communistes qui émigre en France en 1930. Il vit à Fontenay-sous-Bois, près de Paris. Il s'engage à 16 ans dans l'action clandestine et la lutte armée des FTP-MOI et participe à plusieurs déraillements de trains.

Thomas Elek: né en 1924 à Budapest (Hongrie), dans une famille d'intellectuels communistes qui émigre en France en 1930. Il vit à Fontenay-sous-Bois, près de Paris. Il s'engage à 16 ans dans l'action clandestine et la lutte armée des FTP-MOI et participe à plusieurs déraillements de trains.

Moska Fingercweig: ou Maurice Fingercwajg, dit "Marius". Né à Varsovie en 1923. Ouvrier tapissier, militant de la Jeunesse communiste, il s'engage dans le 2e détachement juif des FTP-MOI et prend part à des actions armées. Son père et ses deux frères sont morts en déportation

Moska Fingercweig: ou Maurice Fingercwajg, dit "Marius". Né à Varsovie en 1923. Ouvrier tapissier, militant de la Jeunesse communiste, il s'engage dans le 2e détachement juif des FTP-MOI et prend part à des actions armées. Son père et ses deux frères sont morts en déportation

Spartaco Fontano: né en Italie en 1922. Ses parents, anti fascistes italiens, se réfugient en France. Il interrompt ses études à l'Ecole des arts et métiers en 1942 pour rejoindre les FTP. Il participe à des opérations contre l'occupant, notamment l'attentat contre le général Schaumburg. Son nom et celui de ses frères, également résistants, est francisé en "Fontanot"

Spartaco Fontano: né en Italie en 1922. Ses parents, anti fascistes italiens, se réfugient en France. Il interrompt ses études à l'Ecole des arts et métiers en 1942 pour rejoindre les FTP. Il participe à des opérations contre l'occupant, notamment l'attentat contre le général Schaumburg. Son nom et celui de ses frères, également résistants, est francisé en "Fontanot"

Jonas Geduldig: Né en Pologne en 1918. En 1934, il rejoint son frère en Palestine avant de partir en Espagne combattre les franquistes. Il s'installe à Paris comme mécanicien. En 1942, il s'engage dans les FTP-MOI.

Jonas Geduldig: Né en Pologne en 1918. En 1934, il rejoint son frère en Palestine avant de partir en Espagne combattre les franquistes. Il s'installe à Paris comme mécanicien. En 1942, il s'engage dans les FTP-MOI.

Emeric Glasz: Né en 1902 à Budapest (Hongrie). Ouvrier mécanicien, militant communiste, il émigre en France. En 1939, il s'engage pour combattre au sein du 23e regiment de marche des volontaires étrangers. Démobilisé, il agit clandestinement dans les groupes de sabotage et de destruction, puis au 1er détachement des FTP-MOI et dans les équipes de "dérailleurs".

Emeric Glasz: Né en 1902 à Budapest (Hongrie). Ouvrier mécanicien, militant communiste, il émigre en France. En 1939, il s'engage pour combattre au sein du 23e regiment de marche des volontaires étrangers. Démobilisé, il agit clandestinement dans les groupes de sabotage et de destruction, puis au 1er détachement des FTP-MOI et dans les équipes de "dérailleurs".

Léon Goldberg: Né à Lodz (Pologne) en 1924. Sa famille, juive, s'installe en 1926 à Paris. Il est le seul qui échappe à la rafle du Vel d'Hiv le 16 juillet 1942. Sa famille sera décimée à Auschwitz. Le 24 octobre 1943, il participe à l'attaque d'un train allemand.

Léon Goldberg: Né à Lodz (Pologne) en 1924. Sa famille, juive, s'installe en 1926 à Paris. Il est le seul qui échappe à la rafle du Vel d'Hiv le 16 juillet 1942. Sa famille sera décimée à Auschwitz. Le 24 octobre 1943, il participe à l'attaque d'un train allemand.

Szlama Grzywacz: né en 1909 à Wolomin (Pologne) dans une famille ouvrière. Il adhère à la Jeunesse communiste polonaise. Il est en butte à la répression du régime du maréchal Pilsudski. En 1931, il est condamné à cinq ans de prison. Après sa libération, il combat en Espagne dans les Brigades internationales. Il passe en France où il est interné au camp de Gurs, mais s'en évade. Sous l'Occupation, il est très actif dans le mouvement syndical clandestin auprès des ouvriers juifs de la fourrure et il rejoint les FTP-MOI.

Szlama Grzywacz: né en 1909 à Wolomin (Pologne) dans une famille ouvrière. Il adhère à la Jeunesse communiste polonaise. Il est en butte à la répression du régime du maréchal Pilsudski. En 1931, il est condamné à cinq ans de prison. Après sa libération, il combat en Espagne dans les Brigades internationales. Il passe en France où il est interné au camp de Gurs, mais s'en évade. Sous l'Occupation, il est très actif dans le mouvement syndical clandestin auprès des ouvriers juifs de la fourrure et il rejoint les FTP-MOI.

Stanislas Kubacki: né en 1908 en Pologne. Il part combattre dans les rangs des Brigades internationales en Espagne. Interné au camp du Vernet. Déporté en Allemagne, il réussit à s'évader et gagne Paris, où il se met en contact avec la résistance.

Stanislas Kubacki: né en 1908 en Pologne. Il part combattre dans les rangs des Brigades internationales en Espagne. Interné au camp du Vernet. Déporté en Allemagne, il réussit à s'évader et gagne Paris, où il se met en contact avec la résistance.

Cesare Luccarini: né en 1922 à Castiglione (Italie). Fils d'une famille d'antifascistes émigrés en France, il milite aux jeunesses communistes. Dès le début de l'Occupation, il participe dans le Pas-de-Calais aux premières manifestations de résistance, puis il entre aux FTP.

Cesare Luccarini: né en 1922 à Castiglione (Italie). Fils d'une famille d'antifascistes émigrés en France, il milite aux jeunesses communistes. Dès le début de l'Occupation, il participe dans le Pas-de-Calais aux premières manifestations de résistance, puis il entre aux FTP.

Marcel Rajman: né en 1923 à Varsovie, il arrive à Paris avec ses parents. Il milite à la Jeunesse communiste clandestine. En 1942, il s'engage dans le 2e détachement juif des FTP-MOI. Il est nommé moniteur pour entraîner les nouveaux combattants. Parmi les actions auxquelles il participe, l'exécution du patron du STO, Julius Ritter. Sa mère a été gazée à Auschwitz-Birkenau et son jeune frère déporté à Buchenwald.

Marcel Rajman: né en 1923 à Varsovie, il arrive à Paris avec ses parents. Il milite à la Jeunesse communiste clandestine. En 1942, il s'engage dans le 2e détachement juif des FTP-MOI. Il est nommé moniteur pour entraîner les nouveaux combattants. Parmi les actions auxquelles il participe, l'exécution du patron du STO, Julius Ritter. Sa mère a été gazée à Auschwitz-Birkenau et son jeune frère déporté à Buchenwald.

Roger Rouxel: né à Paris en 1925. Ouvrier tourneur, il est réquisitionné par le STO en 1943 pour travailler en Allemagne et il entre dans la clandestinité avec son ami Robert Witchitz dans les rangs des FTP.

Roger Rouxel: né à Paris en 1925. Ouvrier tourneur, il est réquisitionné par le STO en 1943 pour travailler en Allemagne et il entre dans la clandestinité avec son ami Robert Witchitz dans les rangs des FTP.

Antonio Salvadori: Né en 1920 à San Gregorio (Italie). Sa famille émigre en France, à Belfort, en 1927. Ouvrier du bâtiment, fin 1942, il s'engage dans la Résistance au sein des FTP-MOI à Paris.

Antonio Salvadori: Né en 1920 à San Gregorio (Italie). Sa famille émigre en France, à Belfort, en 1927. Ouvrier du bâtiment, fin 1942, il s'engage dans la Résistance au sein des FTP-MOI à Paris.

Willy Schapino: né en 1910 en Pologne. Il émigre d'abord en Palestine où il est expulsé en 1933. Il s'installe ensuite à Paris où il travaille chez un fourreur. Il rejoint les FTP-MOI en 1943 et sera arrêté lors d'une attaque contre un convoi allemand.

Willy Schapino: né en 1910 en Pologne. Il émigre d'abord en Palestine où il est expulsé en 1933. Il s'installe ensuite à Paris où il travaille chez un fourreur. Il rejoint les FTP-MOI en 1943 et sera arrêté lors d'une attaque contre un convoi allemand.

Arpen Tavitian: né en 1895 dans l'empire russe, il adhère au PC soviétique. Engagé dans l'Armée Rouge et opposant à Staline, il est proche du fils Trotsky. En 1937, il vient à Paris. En 1943, il rejoint les FTP-MOI auprès de son ami Missak Manoukian, FTP-MOI au sein desquels il participe à de nombreuses actions dont un attentat à Saint-Ouen et un autre place de l'Observatoire.

Arpen Tavitian: né en 1895 dans l'empire russe, il adhère au PC soviétique. Engagé dans l'Armée Rouge et opposant à Staline, il est proche du fils Trotsky. En 1937, il vient à Paris. En 1943, il rejoint les FTP-MOI auprès de son ami Missak Manoukian, FTP-MOI au sein desquels il participe à de nombreuses actions dont un attentat à Saint-Ouen et un autre place de l'Observatoire.

Amadeo Ussiglio: né en Italien en 1911, émigré en France en 1930, il exerce la profession de terrassier-carreleur. En 1943, il s'engage au sein des FTP-MOI. Il participe à des opérations de déraillements de trains.

Amadeo Ussiglio: né en Italien en 1911, émigré en France en 1930, il exerce la profession de terrassier-carreleur. En 1943, il s'engage au sein des FTP-MOI. Il participe à des opérations de déraillements de trains.

Wolf Wajsbrot: né à Krasnik (Pologne) en 1925. Il réside à Ivry-sur-Seine de 1939 à 1942. Il apprend la mécanique à l’École du travail (centre d'apprentissage pour jeunes juifs), rue des Rosiers, à Paris. Il s'engage dans les FTP-MOI en 1942. IL participe à l'action du 3 janvier 1943 avenue de Lowndal au cours de laquelle des soldats nazis sont tués.

Wolf Wajsbrot: né à Krasnik (Pologne) en 1925. Il réside à Ivry-sur-Seine de 1939 à 1942. Il apprend la mécanique à l’École du travail (centre d'apprentissage pour jeunes juifs), rue des Rosiers, à Paris. Il s'engage dans les FTP-MOI en 1942. IL participe à l'action du 3 janvier 1943 avenue de Lowndal au cours de laquelle des soldats nazis sont tués.

Robert Witchitz: né en 1924 à Abscon (Nord). Son père est commerçant d'origine polonaise. Sa famille s'installe dans la région parisienne. Le jeune homme milite à la Jeunesse communiste et travaille comme ajusteur. Engagé dans la FTP-MOI. Il est arrêté à la suite d'une attaque contre des convoyeurs de fonds allemands rue de la Fayette.

Robert Witchitz: né en 1924 à Abscon (Nord). Son père est commerçant d'origine polonaise. Sa famille s'installe dans la région parisienne. Le jeune homme milite à la Jeunesse communiste et travaille comme ajusteur. Engagé dans la FTP-MOI. Il est arrêté à la suite d'une attaque contre des convoyeurs de fonds allemands rue de la Fayette.

Missak Manouchian: Né le 1er septembre 1906 à Adiyaman dans l'Empire Ottoman, rescapé du génocide arménien de 1915, élevé dans des orphelinats au Liban et en Syrie, il émigre en France en 1924, débarquant à Marseille. Il fait plusieurs métiers tour à tour, menuisier aux chantiers navals, ouvrier de l'industrie automobile chez Citroën, tout en étant féru de culture et de littérature, en composant des poèmes et des revues culturelles et politiques arméniennes. Il rentre au Parti communiste en 1934. Il dirige la revue "Zangou". Fin 37, Missak Manouchian est délégué au 9e congrès du PCF à Arles. Pendant l'occupation, il dirige les opérations militaires des FTP-MOI de juillet 1943 à novembre 1943, il est arrêté le 16 novembre 1943

Missak Manouchian: Né le 1er septembre 1906 à Adiyaman dans l'Empire Ottoman, rescapé du génocide arménien de 1915, élevé dans des orphelinats au Liban et en Syrie, il émigre en France en 1924, débarquant à Marseille. Il fait plusieurs métiers tour à tour, menuisier aux chantiers navals, ouvrier de l'industrie automobile chez Citroën, tout en étant féru de culture et de littérature, en composant des poèmes et des revues culturelles et politiques arméniennes. Il rentre au Parti communiste en 1934. Il dirige la revue "Zangou". Fin 37, Missak Manouchian est délégué au 9e congrès du PCF à Arles. Pendant l'occupation, il dirige les opérations militaires des FTP-MOI de juillet 1943 à novembre 1943, il est arrêté le 16 novembre 1943

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21 février 2024 3 21 /02 /février /2024 06:56
20 février 2024 - Une très belle soirée des Mardis de l'éducation populaire avec Maryvonne Moal sur les Tsiganes et leur persécution pendant la seconde guerre mondiale
20 février 2024 - Une très belle soirée des Mardis de l'éducation populaire avec Maryvonne Moal sur les Tsiganes et leur persécution pendant la seconde guerre mondiale
20 février 2024 - Une très belle soirée des Mardis de l'éducation populaire avec Maryvonne Moal sur les Tsiganes et leur persécution pendant la seconde guerre mondiale
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20 février 2024 - Une très belle soirée des Mardis de l'éducation populaire avec Maryvonne Moal sur les Tsiganes et leur persécution pendant la seconde guerre mondiale
20 février 2024 - Une très belle soirée des Mardis de l'éducation populaire avec Maryvonne Moal sur les Tsiganes et leur persécution pendant la seconde guerre mondiale
20 février 2024 - Une très belle soirée des Mardis de l'éducation populaire avec Maryvonne Moal sur les Tsiganes et leur persécution pendant la seconde guerre mondiale
20 février 2024 - Une très belle soirée des Mardis de l'éducation populaire avec Maryvonne Moal sur les Tsiganes et leur persécution pendant la seconde guerre mondiale

Un mardi de l'éducation populaire de haut vol avec Maryvonne Moal au local du PCF Morlaix ce mardi 20 février sur les Tsiganes, Gens du Voyages, Citoyens français itinérants, Nomades, Manouches et autres forains et marchands itinérants en Finistère, leur culture, leur mode de vie et leurs traditions, leur histoire, leur fichage sous la 3e république, leur internement et leur persécution pendant l'Occupation, sur décision de l'Occupant nazi inspiré par un racisme échevelé mais avec un internement assuré par la police et la gendarmerie françaises, et l'évolution des rapports avec les gens du voyage jusqu'à une politique de reconnaissance (de l'internement et de la déportation, des persécutions de la seconde guerre mondiale) et de prise en compte croissance des besoins particuliers de la communauté, perturbée par des préjugés et une méfiance persistante.

Un grand merci à Maryvonne Moal, autrice du premier livre sur les Tsiganes finisteriens, pour sa conférence passionnante et aussi un grand merci à la quarantaine de personnes présentes, dont des voyageurs, et plusieurs qui connaissaient très bien le sujet par leurs expériences et leur métier où leurs fonctions.

C'était un très bel échange qui a permis d'approfondir notre compréhension et nos connaissances.

 Les Tsiganes et la Seconde Guerre mondiale, Maryvonne Moal, éditions Tirésias, avec une préface de Christian Bougeard18,00 €

Les Tsiganes et la Seconde Guerre mondiale, Maryvonne Moal, éditions Tirésias, avec une préface de Christian Bougeard18,00 €

Les Bohémiens, Gitans, Roms, Sintis, Manouches… circulaient librement en Europe, aimés des rois et des populations. Ils étaient attendus à la cour, dans les villes, dans les villages. Ils apportaient le rêve, la musique, la danse, la magie… La fête s’installait pour quelques jours, ils intriguaient autant qu’ils fascinaient. Leur mode de vie nomade, différent, libre, entraînait parfois des craintes chez les riverains, ils jouissaient malgré tout d’une vision tolérante. Au fil du temps, ces individus incontrôlables, étaient-ils devenus dérangeants, suspects ? Étaient-ils considérés comme des espions ou des voleurs ? Voulait-on éliminer leur mode de vie nomade? Peu à peu, ils vont ressentir une forme de discrimination… Dès la fin du XIXe siècle, ils vont être stigmatisés comme Nomades, faire l’objet d’expulsions. Au XXe siècle l’État français va les contrôler en mettant en place un système de fichage.

Ils deviennent indésirables. Ils vont se sentir persécutés, rejetés, stigmatisés, on parlera de « race abjecte ». Ils vont avoir le sentiment d’être victimes de racisme.
En 1940, les Nomades « Tsiganes » vont être internés sur le territoire français dans des « camps d’internement pour Nomades ». Après leur libération, en juin 1946, ils vont retrouver la liberté tout en conservant le régime nomade Cet abandon ne signifiera pas le retour au droit commun des Français dits « gens du voyage », car une volonté politique d’éradication de leur mode de vie nomade les poursuivra longtemps.

Maryvonne Moal, née le 1e mai 1948 à Paris 14e, ingénieur-conseil à la retraite. Pendant la Seconde Guerre mondiale une partie de sa famille a été massacrée, son père survit à l’enfer concentrationnaire nazi. Les droits humains et le bien-être de l’espèce humaine sont au cœur de ses combats. Membre depuis sa création de l’Association des Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation elle est Présidente depuis 2014 de la délégation du Finistère. Elle travaille avec les enseignants du département du Finistère à la préparation du Concours National de la Résistance et de la Déportation. Elle intervient dans les établissements scolaires, à la demande des enseignants pour raconter aux élèves des parcours de résistants et de déportés. Elle est membre du jury de ce concours. À la demande des collectivités locales, associations historiques ou culturelles, elle organise et anime des conférences et des forums sur l’histoire de la Résistance et de la Déportation. Membre de l’Amicale nationale des Déportés et familles de disparus de Natzweiler-Struthof et de ses kommandos, Membre de l’association des descendants des médaillés de la Résistance française.

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21 février 2024 3 21 /02 /février /2024 06:49
Dans la crypte du Mont Valérien, Fabien Roussel rend hommage à Missak Manouchian ce mardi 20 février 2024 (photo Lucienne Nayet)

Fabien Roussel rend hommage à Missak Manouchian dans la crypte du Mont Valérien. Un moment de grande émotion. Photo de notre camarade du PCF Morlaix Lucienne Nayet.

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21 février 2024 3 21 /02 /février /2024 06:47
Missak et Mélinée Manouchian rentrent au Panthéon (Ouest-France, 21 février 2024)
Missak et Mélinée Manouchian rentrent au Panthéon (Ouest-France, 21 février 2024)
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21 février 2024 3 21 /02 /février /2024 06:15
   Vendredi 23 Février (18 h – local PCF Pays de Morlaix) : réunion du Comité des Jours Heureux pour lancer notre campagne des élections européennes dans le Pays de Morlaix avec la liste de Léon Deffontaines

Soyons – y nombreux.

 

Vendredi 23 Février (18 h – local PCF Pays de Morlaix) : réunion du Comité des Jours Heureux pour lancer notre campagne des élections européennes.

La liste conduite par Léon Deffontaines comporte 50 % de candidatures d’ouverture, à l’image des dix premières places ou quatre personnalités communistes seront aux côtés de responsables d’autres formations politiques et de militants du monde du travail engagés dans des combats syndicaux.

Elle rassemble ainsi des candidatures de trois autres formations politiques : la Gauche républicaine et socialiste (GRS) avec la candidature d’Emmanuel Maurel, député européen sortant, en 3e position ou encore celle de Sophie Camard, Maire du premier arrondissement de Marseille, en 20e position ; l’Engagement, parti fondé par Arnaud Montebourg, avec Samia Jaber en 6e position ; Les radicaux de gauche (LRDG) avec Isabelle Amaglio-Terisse en 10e position. Murielle Ressiguier, ancienne députée insoumise de l’Hérault est également présente sur la liste.

Après le grand mouvement sur les retraites qui a remis la question sociale au premier plan en France, alors que les luttes pour gagner les augmentations de salaires se multiplient, cette liste rassemble également de nombreuses candidatures issues du monde du travail et des luttes sociales, telle Sigrid Gérardin, syndicaliste enseignante, en 2e position, Fabien Gache, ex-délégué central de Renault en 7e position sur la liste, Marylène Faure du secteur de l’énergie en 12e position ou encore Manon Ovion, figure syndicale de la lutte dans l’entreprise Vertbaudet, et bien d’autres secteurs professionnels.

Parmi les candidatures communistes, André Chassaigne, Président du groupe GDR à l'Assemblée nationale et député reconnu pour son combat pour les agriculteurs, sera en 5e position, accompagné sur la liste de plusieurs dirigeant·es et élu·es du PCF. Hélène Bidard, militante féministe et adjointe à la Maire de Paris en charge de l’égalité femme-homme, de la jeunesse et de l’éducation populaire, Fatima Khallouk, militante des droits des personnes en situation de handicap et adjointe au Maire d’Alfortville en charge de la jeunesse et plusieurs parlementaires dont Cécile Cukierman, Présidente du groupe CRCE – Kanaky au Sénat et Fabien Roussel, en dernière position sur la liste.

Dans le Finistère, c'est notre camarade Taran Marec, élu à Brest, 25 ans, secrétaire départemental du Mouvement des Jeunesses Communistes qui sera candidat sur la liste de Léon Deffontaines avec quatre autres candidats bretons.

Ce rassemblement de citoyens et citoyennes engagés, de républicains, d’acteurs du mouvement social, de quatre partis de gauche a vocation à s’élargir à tous ceux et celles qui à gauche partagent notre ambition pour reprendre la main sur l’avenir de la France et de l’Europe.

Une réunion du Comité des Jours Heureux (Comité créé à l’occasion des élections présidentielles pour soutenir la candidature de Fabien ROUSSEL) est convoquée le vendredi 23 Février 2024 (18 h – local PCF Pays de Morlaix).

 

Il s’agira pour la liste de rassemblement soutenue par les communistes et la section de Morlaix du PCF de lancer la campagne des Élections Européennes sur le Pays de Morlaix dans un cadre unitaire.

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20 février 2024 2 20 /02 /février /2024 06:00
Marcel Rajman, compagnon de Manouchian, FTP MOI, exécuté avec lui au Mont Valérien le 21 février 1944
Dernières lettres de condamné à mort de Marcel Rajman, compagnon de Manouchian, FTP MOI, exécuté avec lui au Mont Valérien le 21 février 1944.
Prison de Fresnes - 21 février 1944
 
"Ma chère petite maman,
Quand tu liras cette lettre, je suis sûr qu’elle te fera une peine extrême, mais je serai mort depuis un certain temps et tu seras consolée par mon frère qui vivra heureux avec toi et te donnera toute la joie que j’aurais voulu te donner. Excuse-moi de ne pas t’écrire plus longuement, mais nous sommes tous tellement joyeux que cela m’est impossible quand je pense à la peine que tu ressens. Je ne puis te dire qu’une chose, c’est que je t’aime plus que tout au monde et que j’aurais voulu vivre rien que pour toi. Je t’aime, je t’embrasse, mais les mots ne peuvent dépeindre ce que je ressens.
Ton Marcel qui t’adore et qui pensera à toi à la dernière minute. Je t’adore et vive la vie.
Marcel
 
Mon cher Simon,
Je compte sur toi pour faire tout ce que je ne puis faire moi-même. Je t’embrasse, je t’adore, je suis content, vis heureux, rends Maman heureuse comme j’aurais voulu le faire si j’avais vécu.
Vive la vie belle et joyeuse comme vous l’aurez tous. Préviens mes amis et mes camarades que je les aime tous. Ne fais pas attention si ma lettre est folle mais je ne peux pas rester sérieux.
Marcel
J’aime tout le monde et vive la vie. Que tout le monde vive heureux.
Marcel
Maman et Simon, je vous aime et voudrais vous revoir."
 
Marcel Rajman (ou Rayman):
Né en Pologne en 1923, à Varsovie, Marcel Rayman ou Rajman a émigré en France, à Paris, avec ses parents et frère, âgé de 2 ans, en 1930. Il exerce le métier de tricoteur, à la suite de son père, qui possédait un atelier.
Il milite à la Jeunesse communiste clandestine. D'abord rattaché à l'Union de la Jeunesse Juive, section juive de la MOI, et à son journal clandestin "Jeune combat", en 1942, il s'engage dans le 2e détachement juif des FTP-MOI.
Il est nommé moniteur pour entraîner les nouveaux combattants.
A l'été de 1943, il devient responsable militaire de l'équipe spéciale en charge des exécutions les plus spectaculaires. Parmi les actions auxquelles il participe, l'exécution du patron du STO, Julius Ritter.
Arrêté le 16 novembre 1943, il est condamné à mort avec 22 camarades. Sa photographie figure sur la fameuse Affiche rouge des nazis présentant les résistants de la MOI comme "armée du crime" avec la légende: "Rayman: Juif polonais - 13 attentats".
Marcel Rayman est fusillé avec 21 camarades au Mont Valérien le 21 février 1944.
Sa mère a été gazée à Auschwitz-Birkenau et son jeune frère déporté à Buchenwald.
 
Source:
"La vie à en mourir. Lettre de fusillés (1941-1944)". Points Seuil. Lettres choisies et présentées par Guy Krivopissko. Introduction de François Marcot.
 
Marcel Rajman, compagnon de Manouchian, FTP MOI, exécuté avec lui au Mont Valérien le 21 février 1944
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19 février 2024 1 19 /02 /février /2024 16:52
Manouchian - Rol Tanguy: destins parallèles
Manouchian - Rol Tanguy: destins parallèles

Mercredi 21 février à 17h, le PCF Morlaix invite les citoyens du pays de Morlaix à rendre hommage à Missak et Mélinée Manouchian et aux héros FTP MOI du groupe de l'Affiche Rouge place Rol-Tanguy à Morlaix, en gare de Morlaix où est né Rol, une heure avant la cérémonie du Panthéon pour l'entrée des corps des Missak et Mélinée dans l'édifice pour la République honore ses héros.

Quelques points communs entre Manouchian et Henri Tanguy, né à Morlaix en 1908, deux ans après la naissance de Manouchian:

- Ils sont communistes et membres de la CGTU puis de la CGT réunifiée pendant le Front Populaire

- Ils étaient ouvriers et cadres politiques, intellectuel peut-on dire même pour Missak Manouchian.

- Ils ont été dirigeants de la Résistance chez les Francs Tireurs et Partisans

- Jusqu'au 21 février 2024, ils font partie des centaines de glorieux résistants communistes et militants ouvriers qui n'ont pas eu le droit de rentrer au Panthéon. Pensons aussi à Martha Desrumaux, à Marie-Claude Vaillant Couturier, à Danielle Casanova, etc.

- Ils ont été métallurgistes

- Ils ont vécu en Bretagne : l'enfance de Henri Tanguy à Brest, la mobilisation de Manouchian à Colpo dans le Morbihan

- Leurs épouses et camarades Cécile Rol-Tanguy née Cécile Le Bihan et Mélinée Manouchian née Mélinée Soukémian étaient toutes deux dactylos de profession, communistes d'engagement, résistantes, notamment spécialisées dans la production de tracts clandestins. Cécile était agent de liaison et Mélinée travaillait dans le "travail allemand" pour retourner des soldats d'occupation, notamment les supplétifs allemands d'origine soviétique, ou bien les espionner.

- Ils ont travaillé chez Citröen au même moment: Manouchian fut embauché comme tourneur chez Citroën où il travailla à Paris entre 1926 et le début des années 30. Henry Tanguy travailla à l'usine Citröen de Saint Ouen comme chaudronnier tôlier en 1926-1927, puis de nouveau comme tuyauteur chez Citroën avenue Felix Faure dans le 15ème en janvier et février 1936, avant son entrée aux Brigades Internationales.

Les deux derniers documents sont extraits de: "Citroën par ceux qui l'ont fait. Un siècle de travail et de luttes" (Les éditions de l'atelier, 2013, 28€).

Manouchian - Rol Tanguy: destins parallèles
Manouchian - Rol Tanguy: destins parallèles
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19 février 2024 1 19 /02 /février /2024 14:45
20 février 2024 - Mardi de l'éducation populaire du PCF Morlaix sur les Tsiganes avec Maryvonne Moal, présidente de la fondation pour la mémoire de la déportation du Finistère
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