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20 mars 2024 3 20 /03 /mars /2024 19:45
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20 mars 2024 3 20 /03 /mars /2024 15:46
Les camarades du PCF distribuent l'invitation au meeting de Léon Deffontaines et Fabien Roussel du 26 mars sur le marché de Roscoff ce mercredi 20 mars

Les camarades du PCF sur le marché de Roscoff ce mercredi matin. Très bon accueil pour nos trois mousquetaires du jour, avec l'invitation au meeting de Léon Deffontaines et Fabien Roussel à Quimper le 26 mars: Roland Bagnis, Marie-France Monery, et Lucienne Nayet.

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20 mars 2024 3 20 /03 /mars /2024 15:43
Distribution de A coeur ouvert, le journal santé du PCF, à l'hôpital de Morlaix ce mercredi 20 mars
Distribution de A coeur ouvert, le journal santé du PCF, à l'hôpital de Morlaix ce mercredi 20 mars

Distribution du A coeur ouvert, journal santé du PCF, à l'hôpital de Morlaix ce mercredi 20 mars. De bons échanges avec les personnels de l'hôpital et les patients.

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20 mars 2024 3 20 /03 /mars /2024 11:21
CETA : voter contre la ratification, c’est remettre à plat la politique commerciale européenne  (L'Humanité, 20 mars 2024)
CETA : voter contre la ratification, c’est remettre à plat la politique commerciale européenne

Nous publions la lettre ouverte adressée par les organisations mobilisées contre les accords de libre-échange en direction des sénateurs qui doivent se prononcer ce jeudi 21 mars.

Mesdames et Messieurs les Sénatrices et Sénateurs,
Le 21 mars prochain, vous serez amené·es à vous prononcer sur la ratification du CETA, cet accord de libéralisation du commerce et de l’investissement entre l’Union européenne et le Canada. Conclu en 2016, le CETA n’est toujours pas pleinement ratifié, ni en France ni au sein de l’UE, huit ans plus tard. La partie commerciale de l’accord, soit environ 90 % du texte, est pourtant entrée en application provisoire dès septembre 2017, sans que les parlementaires nationaux n’aient été consulté·es à ce sujet. La France fait partie des 10 Etats-membres de l’UE qui n’ont toujours pas pleinement ratifié le CETA. Le contexte actuel de crise agricole devrait nous permettre de compter sur vous.
Malgré vos demandes réitérées, notamment par le vote d’une résolution invitant le gouvernement à « envisager la poursuite de la procédure de ratification du CETA » le 15 avril 2021, les promesses de l’exécutif d’ouvrir les débats sur les risques de cet accord en inscrivant le CETA à l’agenda du Sénat sont restées sans lendemain. Cela a privé le Sénat, et le pays, d’un débat démocratique à son sujet. À ce jour, seule l’Assemblée nationale s’est prononcée sur le CETA, dans un vote précipité au milieu de l’été, divisant fortement la majorité présidentielle d’alors : le 23 juillet 2019, une majorité de députés n’ont pas voté en faveur de la ratification du CETA (211 contre et 77 abstentions contre 265 pour).
Le 21 mars 2024, vous avez donc l’occasion de vous prononcer enfin sur la ratification d’un accord qui n’est pas devenu « bénéfique » comme par enchantement comme voudrait le faire croire l’exécutif. Agiter quelques chiffres bien choisis pour illustrer des opportunités commerciales ne rend pas compte de la réalité des effets et des risques d’un tel accord de
libéralisation du commerce et de l’investissement sur le long terme.

Permettez-nous de vous en rappeler quelques-uns :
● Normes agricoles moins restrictives au Canada : Les normes négociées entre l’UE et le Canada sont moins restrictives que celles imposées aux agriculteur·rices français·es, créant un déséquilibre inacceptable. Le Canada par exemple utilise toujours plus de 40 molécules de pesticides interdites dans l’UE.
● Déstabilisation des filières locales : la mise en concurrence de systèmes productifs nationaux exerce nécessairement une pression à la baisse sur les prix agricoles et les normes des deux côtés de l’Atlantique
● Justice d’exception pour les multinationales : Le mécanisme de règlement des différends investisseur-État, bien que modifié, reste une menace pour la capacité des États à réguler dans l’intérêt public.
● Menace pour la démocratie : les mécanismes de coopération règlementaire et de règlement des différends investisseur-État donnent aux entreprises un pouvoir disproportionné sur les politiques publiques, au détriment de votre pouvoir en tant que parlementaires.
● Impacts sur le climat : les dispositions du CETA ne fournissent pas une protection adéquate contre les impacts négatifs d’un tel accord sur le climat, et le prétendu « Veto climatique » ne résout pas la question.
Voter contre le CETA ne signifie pas s’isoler et mettre fin au commerce transatlantique entre l’UE et le Canada, pas plus qu’isoler la France en Europe. Voter contre la ratification du CETA c’est ouvrir les conditions de possibilité d’une remise à plat de la politique commerciale européenne. Celle-ci ne doit pas continuer à faire de l’agriculture une monnaie d’échange, au détriment des agriculteurs et agricultrices, de la qualité de notre alimentation ou de notre souveraineté alimentaire. Nous devons pouvoir décider des règles que nous voulons dans l’UE, sans en être empêché·es par ces accords et/ou être menacé·es d’être attaqué·es par des multinationales canadiennes ou passant par leurs filiales au Canada.
Enfin, nous ne saurions conclure sans rappeler qu’il n’y a « ni commerce ni parts de marché sur une planète morte ».
Nous vous prions de recevoir, Mesdames et Messieurs les Sénatrices et Sénateurs, l’expression de nos sincères salutations.


Signataires

 

 
  • ActionAid France
  • Aitec
  • Alofa Tuvalu
  • Amis de la Terre France
  • Attac France
  • Bloom
  • CADTM France
  • CCFD-Terre Solidaire
  • Collectif national Stop CETA-Mercosur
  • Confédération Paysanne
  • CGT
  • Chrétiens Unis pour la Terre
  • Extinction Rebellion France
  • Greenpeace France
  • Fédération Artisans du Monde
  • Fondation Copernic
  • Fondation pour la Nature et l’Homme
  • FoodWatch
  • FNE
  • France Amérique Latine – FAL
  • FSU
  • Institut Veblen
  • LDH
  • Le Mouvement de la paix
  • MIRAMAP – Mouvement Inter-régional des AMAP
  • Nature et Progrès Fédération
  • Solidaires
  • WECF
  • ZE

 

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20 mars 2024 3 20 /03 /mars /2024 10:51
Le communiste Fabien Gay : « Si le Sénat vote contre le Ceta, ce sera un coup de tonnerre ! » (entretien Médiapart, 19 mars 2024)

Libre-échange : le Ceta, stop ou encore? Entretien

Le communiste Fabien Gay : « Si le Sénat vote contre le Ceta, ce sera un coup de tonnerre ! »

Le communiste Fabien Gay, à l’origine de l’inscription du Ceta à l’agenda du Sénat jeudi 21 mars, détaille la stratégie visant à faire échouer la ratification de cet accord de libre-échange avec le Canada. Pour lui, Emmanuel Macron ne pourra pas faire la sourde oreille si le texte est rejeté.

Pauline Graulle et Ludovic Lamant

Jeudi 21 mars, c’est lui qui sera le fer de lance de la bataille sénatoriale contre le Ceta, l’accord de libre-échange avec le Canada. Élu de Seine-Saint-Denis, le communiste Fabien Gay revient pour Mediapart sur la manière dont le groupe communiste a mis à l’ordre du jour parlementaire la ratification de cet accord, sept ans après l’entrée en vigueur provisoire de l’essentiel du texte.

Si – et l’hypothèse est très probable – le texte est rejeté par la gauche, les écologistes mais aussi par la droite Les Républicains (LR), jeudi dans l’hémicycle du Palais du Luxembourg, le coup sera rude pour Emmanuel Macron. D’autant plus que se profilent des européennes à haut risque pour le camp présidentiel.

Mediapart : Pourquoi mettre aujourd’hui le Ceta à l’ordre du jour de votre niche au Sénat ?

Fabien Gay : Nous, les communistes, menons ce combat depuis très longtemps, notamment grâce à Patrick Le Hyaric, qui a beaucoup œuvré lors qu’il était eurodéputé [de 2009 à 2019 – ndlr] avec d’autres parlementaires de gauche et écologistes, comme Yannick Jadot et José Bové. En 2018, nous avions déjà demandé un débat pour faire un bilan provisoire. En 2021, nous avons déposé une résolution invitant le gouvernement à poursuivre le processus de ratification : elle a été adoptée l’unanimité. Mais Franck Riester, qui était alors ministre délégué au commerce extérieur, nous avait répondu avec dédain : oui, nous disait-il, cela arriverait, mais en attendant, il avait d’autres choses à faire…

On n’a pas besoin de traités de libre-échange pour commercer.

C’est donc après toutes ces interpellations, par oral ou par écrit, que nous décidons aujourd’hui de reprendre le projet de loi pour le soumettre au vote du Sénat. Ce n’est pas commun qu’un groupe d’opposition mette à son ordre du jour un projet de loi gouvernemental. Mais nous voulons que la démocratie puisse enfin s’exprimer parce que le gouvernement a jusqu’ici refusé de le faire, laissant le traité s’appliquer de manière provisoire sans achever le processus en bonne et due forme…

Pourquoi, d’après vous, le gouvernement a-t-il sans cesse repoussé le vote au Sénat ?

En 2019, et malgré le fait que La République en marche (LREM) avait alors une majorité écrasante à l’Assemblée nationale, le vote sur le texte avait été extrêmement serré [il était passé à 26 voix près, les députés LR ayant voté contre – ndlr]. Le gouvernement savait donc que s’il l’inscrivait à l’ordre du jour du Sénat, où les LR sont largement majoritaires, il allait tout droit à l’échec.

Mais on ne peut pas avoir des traités de deuxième génération, qui touchent les intérêts nationaux [parce que le Ceta intègre un mécanisme de protection des investissements privés – ndlr], et voir un traité s’appliquer depuis sept ans sans avoir ne serait-ce qu’un débat au Parlement !

Ces sept ans d’application permettent de faire un premier bilan de l’accord. Le Ceta a profité, semble-t-il, à des filières agricoles françaises, comme le vin ou le lait… Est-ce raisonnable de revenir dessus aujourd’hui ?

D’abord, on n’a pas besoin de traités de libre-échange pour commercer ! Par ailleurs, ces traités ont été établis pendant les années 1990 dans des conditions très opaques. Plus fondamentalement, notre volonté est de faire chuter le Ceta, pas d’arrêter de commercer et de se replier sur soi-même.

Seul un vote « contre » du Sénat permettra de remettre à plat les choses.

En revanche, nous ne voulons pas de la compétition entre travailleurs. Nous voulons des modes de coopération. Or, le Ceta, le Mercosur, ou encore le traité avec la Nouvelle-Zélande, créent tous de la concurrence déloyale pour nos agriculteurs. La crise sociale et environnementale extrêmement forte nous repose par ailleurs des questions sur les moyens de produire, de consommer, de se déplacer.

Le gouvernement insiste sur les clauses miroirs, un concept qui a été à maintes reprises avancé par Julien Denormandie [ministre de l’agriculture de 2020 à 2022 – ndlr]. Mais ces clauses miroirs ne sont pas inscrites dans ce traité. Donc c’est une illusion de faire croire que nous arriverons à les faire entrer sans rapport de force politique. C’est pourquoi seul un vote « contre » du Sénat permettra de remettre à plat les choses.

Mais que dites-vous des bénéfices pour certaines filières en France ?

Les chiffres avancés par le gouvernement sont en valeur absolue, et largement gonflés par l’inflation. Le problème, ce n’est de toute façon pas tant les barrières douanières que les barrières non tarifaires qui, elles, concernent les investissements dans les entreprises, dans les services publics, et qui viennent donc à ce titre toucher nos normes sociales et environnementales. Elles mettent aussi en place les tribunaux arbitraux privés qui permettront demain à une multinationale qui verrait ses intérêts contrecarrés par de nouvelles normes sociales ou environnementales de pouvoir faire condamner des États.

Des partisans du Ceta font valoir que la crainte de voir la viande bovine canadienne inonder le marché français ne s’est finalement pas réalisée.

Il est vrai que, pour l’instant, il y en a peu qui entre car les filières de bœuf aux hormones – pour le dire vite – ne sont pas ou peu structurées. Par ailleurs, aujourd’hui, les filières canadiennes sont extrêmement exportatrices vers la Chine. Mais on sait que d’ici quelque temps, les Canadiens seront en capacité de se tourner vers le marché européen.

La droite sénatoriale pourrait voter contre le texte, jeudi. Pascal Allizard et Laurent Duplomb, les deux rapporteurs LR du texte, ont d’ailleurs déposé des amendements de suppression… Qu’en dites-vous ?

Nous espérons qu’une majorité votera contre. Quant à l’initiative d’Hervé Marseille [du groupe centriste – ndlr], qui va tenter de sauver le texte gouvernemental en déposant une motion de renvoi en commission en disant qu’il faut le temps d’étudier, nous lui répondons que si nous avions vraiment voulu débattre ou travailler sur ce texte, nous avions le temps en sept ans ! Je crois qu’il y aura, jeudi, une majorité pour enterrer cette tentative de diversion.

Que se passe-t-il si le Sénat vote contre le texte ? Les communistes de l’Assemblée s’engageront-ils à mettre une nouvelle fois le texte au vote lors de leur prochaine « niche » au Palais Bourbon ?

Je ne veux pas parler à la place des députés mais je suis convaincu que le groupe GDR [le nom du groupe communiste à l’Assemblée – ndlr] regardera cette possibilité avec attention.

Mettre le Ceta à l’agenda à quelques mois des européennes, est-ce un moyen pour les communistes de se faire entendre sur un sujet européen alors que vous n’avez plus de députés à Bruxelles depuis 2019 ?

Nous avons déposé le texte en décembre, avant même que n’éclate vraiment la crise agricole. Aujourd’hui, l’arrivée du texte au Sénat oblige chacun et chacune à clarifier ses positions avant les européennes. On espère qu’il poussera pour un grand débat national en France et que tout le monde se positionnera, y compris sur le Mercosur, sur la pertinence de signer des accords à tour de bras.

Si le Sénat vote contre le Ceta, ce sera un coup de tonnerre qui débordera en France, mais aussi dans l’Union européenne et outre-Atlantique ! D’où les manœuvres du gouvernement et des lobbys pour empêcher cela. En 2020, le Parlement chypriote avait refusé lui aussi de voter pour le Ceta. Mais le vote du Sénat français aura une tout autre dimension. Le gouvernement ne pourra pas rester sourd à ce qu’il va se passer jeudi.

Et pourtant, il peut faire comme si cela n’avait pas existé…

Oui, il peut faire comme à Chypre : ne pas notifier le vote à la Commission européenne et attendre une nouvelle Assemblée plus favorable pour refaire le vote. Après, tout cela pose une question démocratique : soit le gouvernement décide une nouvelle fois de traiter le Parlement comme un paillasson et s’essuie les pieds sur la volonté populaire, soit il prend en compte ce vote, qui sera un vote fort, et décide de renégocier un certain nombre de choses qui vont vers le moins-disant social et environnemental.

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19 mars 2024 2 19 /03 /mars /2024 06:00
Collecte solidaire pour l'école alternative des Monts d'Arrée

Contact pour la collecte pour les camarades et sympathisants du PCF Morlaix qui ne pourront pas se déplacer au Super U: dupont.ismael@yahoo.fr

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18 mars 2024 1 18 /03 /mars /2024 06:13
Bilan de mi-mandat des élues régionales du groupe Communistes et progressistes à la Région Bretagne à Pont-de-Buis ce samedi 16 mars 2024
Bilan de mi-mandat des élues régionales du groupe Communistes et progressistes à la Région Bretagne à Pont-de-Buis ce samedi 16 mars 2024
Bilan de mi-mandat des élues régionales du groupe Communistes et progressistes à la Région Bretagne à Pont-de-Buis ce samedi 16 mars 2024
Bilan de mi-mandat des élues régionales du groupe Communistes et progressistes à la Région Bretagne à Pont-de-Buis ce samedi 16 mars 2024
Bilan de mi-mandat des élues régionales du groupe Communistes et progressistes à la Région Bretagne à Pont-de-Buis ce samedi 16 mars 2024
Bilan de mi-mandat des élues régionales du groupe Communistes et progressistes à la Région Bretagne à Pont-de-Buis ce samedi 16 mars 2024
Bilan de mi-mandat des élues régionales du groupe Communistes et progressistes à la Région Bretagne à Pont-de-Buis ce samedi 16 mars 2024
Bilan de mi-mandat des élues régionales du groupe Communistes et progressistes à la Région Bretagne à Pont-de-Buis ce samedi 16 mars 2024
Bilan de mi-mandat des élues régionales du groupe Communistes et progressistes à la Région Bretagne à Pont-de-Buis ce samedi 16 mars 2024
Bilan de mi-mandat des élues régionales du groupe Communistes et progressistes à la Région Bretagne à Pont-de-Buis ce samedi 16 mars 2024

C'était le rendez-vous de bilan de mi-mandat dans les départements ce samedi 16 mars avec les élues régionales communistes (accompagnées par la députée de la circonscription PS Mélanie Thomin et par la conseillère départementale du canton communiste Isabelle Maugeais) pour un échange sur leur travail à la Région Bretagne, dans le cadre du groupe communiste et Progressistes et de leurs délégations.

Au programme, le plan de résilience de l'eau, la protection des espèces, la défense du système de soins contre la politique du gouvernement qui laisse la situation se dégrader (avec Delphine Alexandre, vice-présidente à la région en charge de la politique de l'eau, de la santé, du Morbihan), la politique pour jeunesse avec le conseil régional des jeunes, le plan breton de mobilisation pour les jeunesses (avec Gaby Cadiou, des Côtes d'Armor), la politique de la ville et notamment le soutien aux investissements dans les quartiers prioritaires, les mobilités et les transports (avec Gladys Grelaud, du Finistère).
Quel travail ! Merci à nos élues régionales de faire un retour de leur activité d'élues à la Région auprès des adhérents et des citoyens.

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17 mars 2024 7 17 /03 /mars /2024 15:48
Ils sont sur la liste des Européennes conduite par Léon Deffontaines et vont animer avec lui la campagne européenne jusqu'au 9 juin 2024

Ils sont sur la liste des Européennes conduite par Léon Deffontaines et vont animer avec lui la campagne européenne jusqu'au 9 juin 2024

Comité des Jours Heureux du Pays de Morlaix                 

Elections Européennes

Cher-es Ami-es et Camarades

 

Le PCF a décidé d’initier, pour les élections européennes du 9 juin 2024, une liste de large rassemblement.

La liste conduite par Léon Deffontaines comporte 50 % de candidatures d’ouverture, à l’image des dix premières places ou quatre personnalités communistes seront aux côtés de responsables d’autres formations politiques et de militants du monde du travail engagés dans des combats syndicaux.

 

Le « Comité des Jours Heureux – Pays de Morlaix » a été créé au moment des dernières élections présidentielles pour promouvoir et soutenir la candidature de Fabien ROUSSEL.

Il est appelé à reprendre du service pour les élections européennes du 9 juin 2024.

Il est appelé à reprendre du service pour promouvoir et soutenir la liste de rassemblement initié par le PCF, pour agir au cours de la campagne.

Une première réunion de ce Comité s’est tenue le vendredi 23 Février au local du PCF Pays de Morlaix (2 Petite Rue Callac – Morlaix).

 

Un Comité de Soutien a été créé au niveau du Finistère

Déjà, chacun des membres de ce Comité des Jours Heureux est appelé à venir rejoindre la liste de soutien à cette liste.

 

Une deuxième réunion se tiendra le vendredi 15 Mars 2024 (18 h – local PCF Pays de Morlaix).

Nous savons que nous aurons plusieurs milliers de tracts à distribuer pour annoncer le meeting à Quimper, à organiser un déplacement depuis Morlaix vers Quimper.

 

Léon Deffontaines et Fabien Roussel dans le Finistère le mardi 26 mars 2024 : 19 h 30 - grande salle  « Dan Ar Braz » (rue de stang Bihan).


Le programme

L'accueil se fera à partir de 18h45 (avec sandwichs/ boissons pour ceux qui souhaitent se restaurer avant/après la réunion publique).

Notre objectif est de faire au moins aussi bien en termes de participation (300 personnes) que la réunion de Fabien Roussel le 5 décembre 2022 à Morlaix dans le cadre de son tour de France. On souhaite même réunir plus de monde encore afin de marquer les esprits et d'en faire un très bel événement de la campagne nationale.

Le déroulé et les participants

Les candidats bretons aux Européennes sont tous invité.e.s et seront présentés (Amar Bellal, Katja Kruger, Christian Brice, Taran Marec, le candidat finistérien).

Des militants des trois autres fédérations communistes bretonnes seront présents.

Pour ce qui concerne le déroulé de la réunion publique, elle sera d'abord consacrée à une courte présentation de chaque candidat breton présent, des discours d'introductions assez courts de Léon et Fabien sur les grands enjeux de la campagne et de l'élection dans le contexte politique, puis un jeu de questions/ courtes interventions - réponses de Léon Deffontaines et Fabien Roussel pour animer la réunion publique sous forme participative selon la formule très intéressante et attractive des réunions publiques du tour de France de Fabien Roussel.

 

Campagne de la liste de Léon Deffontaines - Comité des jours Heureux du Pays de Morlaix au local du PCF, vendredi 15 mars à 18h
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16 mars 2024 6 16 /03 /mars /2024 17:53
Poésie en Palestine - Samedi 23 mars, 18h, au Bar des Deux Rivières
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16 mars 2024 6 16 /03 /mars /2024 17:50
Distribution d'invitations pour le meeting de Léon Deffontaines et Fabien Roussel du 26 mars à Quimper sur le marché de Morlaix ce samedi 16 mars
Distribution d'invitations pour le meeting de Léon Deffontaines et Fabien Roussel du 26 mars à Quimper sur le marché de Morlaix ce samedi 16 mars
Distribution d'invitations pour le meeting de Léon Deffontaines et Fabien Roussel du 26 mars à Quimper sur le marché de Morlaix ce samedi 16 mars
Distribution d'invitations pour le meeting de Léon Deffontaines et Fabien Roussel du 26 mars à Quimper sur le marché de Morlaix ce samedi 16 mars

Nos camarades du PCF sur le marché de Morlaix ce samedi 16 mars pour annoncer la venue de Léon Deffontaines et Fabien Roussel dans le Finistère, à Quimper et dans le pays bigouden le mardi 26 mars. Avec Patrick et Michèle Gambache, Marie-France Monery, Lucienne Nayet, Roland Bagnis. Merci à Pierre-Yvon Boisnard pour les photos de notre distribution de tracts et vente de "L'Humanité magazine" sur le marché.

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