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L’Union européenne vient d’actualiser sa liste des paradis fiscaux ; on y retrouve des pays à l’exotisme mafieux genre îles Caïmans, Samoa, Fidji, Guam, Oman, Vanuatu, Aruba et autre Curaçao. Au même moment, la très sérieuse association britannique « Tax Justice Network » publie la liste des pays « financièrement opaques » ; elle y place en seconde position les États Unis.
« Les États-Unis sont à contre-courant de la tendance mondiale vers plus de transparence », note cette ONG, qui ajoute que les USA représentent 21 % du marché mondial de la finance obscure, cinq fois plus que la Suisse, quatre fois plus que Singapour et près de deux fois plus que le Luxembourg. « On constate au niveau fédéral des réticences systématiques à coopérer dans les échanges de données, même via les normes de l’OCDE. » Mieux, ou pire : « L’État du New Hampshire vient d’introduire un nouveau véhicule juridique autorisant la création de fondations privées non caritatives sans obligation de le déclarer. » Autant d’informations qui ont dû échapper à la vigilance de Bruxelles. Sans doute aussi que les Vingt-Sept ont du mal à situer sur une carte ce minuscule archipel que constituent les États-Unis.
Gérard Streiff
Ouest-France - Municipales 2020
Jeudi 20 février
Les questions que nous avons posées aux candidats aux élections municipales à Morlaix:
D'après vous, quels sont les grands chantiers prioritaires pour la ville de Morlaix? Quelle est votre vision pour le port de Morlaix? Votre avis concernant le chantier de liaison entre la ville haute et la ville basse?
Jean-Paul Vermot (PS, PCF, Génération.s):
Obtenir un 3e département d'IUT et accueillir de nouveaux étudiants, créer une résidence étudiante et un centre de santé dans le centre-ville, faire de la culture un axe d'attractivité en Bretagne, transférer le théâtre et Langolvas à l'agglo pour baisser la pression fiscale, lier l'action des clubs et des écoles pour faire du sport un outil du vivre ensemble, créer un conseil de la jeunesse avec et pour les jeunes. Voilà les priorités pour dynamiser Morlaix!
Un élu référent du port travaillera avec tous les acteurs à un plan de redynamisation. Comment? En améliorant le lien avec le centre, en l'intégrant au nouveau quartier de la Manu et en y développant des activités.
Dépenser 8 M€ HT pour un "funiculaire", est-ce une priorité? Pour bien moins cher, nous relierons tous les quartiers et le centre avec des navettes électriques, et pas seulement la gare. Ainsi, notre fil rouge sera la transition écologique de la ville.
Le Télégramme, 25 février 2020:
La question écologique et du développement durable marque la campagne des élections municipales 2020, reflétant les préoccupations grandissantes des habitants. Comment faire de Morlaix une ville verte ? C’est la question posée aux candidats déclarés aux municipales.
Jean-Paul Vermot, Morlaix Ensemble (Morlaisiens engagés, Génération.s, PCF, PS, Place Publique, PRG):
« 1- Les mobilités. Mieux qu’un funiculaire : le centre-ville et les quartiers seront reliés par des navettes électriques gratuites, via des parkings relais à étages. Des parkings vélo, la sécurité et la continuité des pistes cyclables seront inclus dans un schéma de développement du vélo. L’élargissement des trottoirs et l’ouverture d’un circuit piéton, du centre-ville jusqu’au port, amélioreront l’espace public.
2- L’énergie. Les projets de réhabilitation portés par la ville assureront le gain de 3 niveaux du DPE. Après un diagnostic du potentiel, nous porterons la création d’une société coopérative de production d’énergie propre ouverte aux habitants.
3- La nature. Un plan « paysage de ville écologique » favorisera le végétal. Les couloirs écologiques seront préservés pour la biodiversité. Chaque naissance à Morlaix sera symbolisée par un arbre planté. La propreté de l’espace public sera assurée par le label Ville éco-propre.
4- L’alimentation. Un projet alimentaire de territoire favorisera une agriculture locale et bio. Une régie municipale du maraîchage bio et son rucher seront un lieu pédagogique pour les agriculteurs et les habitants et serviront à nos cantines. La gestion en régie publique de l’eau protégera l’environnement et une tarification sociale assurera son accessibilité.
5- Construire ensemble. Signataire du Pacte pour le climat, nous créerons un espace collectif de suivi de l’impact de nos actions, avec les associations environnementales et les habitants ».
Président pendant trente ans, renversé par la déferlante révolutionnaire de février 2011, l’ex-militaire s’était employé à couvrir son pays d’une chape de plomb.
L’ancien président égyptien Hosni Moubarak, qui a régné pendant trente ans sur l’Égypte, renversé en 2011 par un soulèvement populaire qui réclamait la justice sociale et la fin de la répression policière, est décédé mardi à l’âge de 91 ans, dans un hôpital militaire. Des funérailles militaires en son honneur sont organisées aujourd’hui.
Rien ne le prédestinait à être président. Numéro deux du régime, il se trouvait derrière Anouar el-Sadate lorsque celui-ci a été tué lors d’une parade militaire. Immédiatement installé, il a fait de la stabilité et de la sécurité les principes de son pouvoir avec, comme piliers, la police, les services de renseignements et lui-même, se présentant comme l’homme capable d’empêcher le chaos. Il avait bien compris que, pour gagner les faveurs des pays occidentaux, à commencer par les États-Unis, il fallait montrer patte blanche et se faire le garant de l’accord de paix avec Israël, signé par son prédécesseur, et s’investir, avec modération, dans la résolution du « conflit » israélo-palestinien. Peu importait alors, pour Washington, Paris ou Londres, qu’il maintienne l’état d’urgence qui se traduisait, pour les Égyptiens, par une restriction des libertés civiles, une quasi-interdiction de rassemblement et un développement des arrestations arbitraires et des emprisonnements sans charge. Les États-Unis allaient même jusqu’à verser à l’égypte 2 milliards de dollars par an en aide militaire et économique.
Aimant se présenter comme le père de tous les Égyptiens, Hosni Moubarak, né en 1928 dans le delta du Nil, avait du bagout. On l’entendait souvent dénoncer la corruption et le népotisme dans un pays qui souffrait (et souffre encore) de conditions économiques qui font la part belle au secteur privé. Ce n’était que paroles. Il entendait se faire remplacer à la tête de l’État par un de ses fils, Gamal, et son entourage – familial et amical – croquait à pleines dents dans les opportunités financières qui s’offraient, au détriment du peuple soumis à toutes les contraintes. L’armée, dont il était issu, a ainsi pu devenir un État dans l’État, contrôlant de larges secteurs économiques (routes, transports, tourisme, etc.) Selon l’Unicef, en 2009, 25 % des enfants de moins de 15 ans vivaient dans la pauvreté.
Sous Moubarak, la démocratie n’était qu’un vernis. Toute opposition était muselée. Les organisations progressistes, dont le Parti communiste, étaient démantelées et poursuivies. Ce fut également le cas des Frères musulmans, mais ces derniers bénéficiaient de l’espace existant – le pouvoir ne pouvait s’y attaquer – au sein du réseau des mosquées, d’où les discours politiques emplissaient la sphère publique, et les organisations caritatives relayaient les messages de la confrérie. Comprenant cela, Moubarak a favorisé l’émergence du mouvement salafiste, opposé aux Frères musulmans, rapidement soutenu par l’Arabie saoudite.
À vrai dire, Hosni Moubarak avait une pauvre idée de ce dont l’Égypte et les Égyptiens avaient besoin. La révolte qui a éclaté en 2011 l’a visiblement surpris. Alors que des millions de personnes se rassemblaient dans les villes, comme sur la place Tahrir, au Caire, pour crier « Le peuple veut la chute du régime », il continuait ses atermoiements. L’ami américain avait bien compris que l’homme était fini. Dans une ultime manœuvre pour sauver le régime, le redoutable chef des services de renseignements, Omar Suleiman, était nommé vice-président. Mais il était déjà trop tard. Le 10 février 2011, alors que tout le monde attendait qu’il annonce sa démission dans un discours télévisé, il n’abdiquait toujours pas. Le lendemain, 11 février, Omar Suleiman lisait une déclaration signant la fin du règne de Moubarak, après dix-huit jours de manifestations et 800 morts. Sous la pression de la rue, alors que les chefs militaires voulaient le laisser libre, il était enfin arrêté. Dans une mise en scène digne des meilleures séries B, il se présentait devant la cour chargée de le juger allongé sur un lit roulant. D’abord condamné à la prison à vie, une peine commuée en appel. Il a finalement recouvré sa liberté en mars 2017 et fini sa vie tranquillement, dans un hôpital militaire avec vue sur le Nil.
Lors des visites présidentielles, des nationalistes ont pris d’assaut des quartiers à majorité musulmane.
New Delhi vit sans doute ses jours les plus longs depuis des décennies. Les flammes n’en finissent plus de s’échapper de la capitale de la plus grande démocratie au monde. En tout cas, celle qui fut saluée comme telle par Donald Trump, dont le déplacement en Inde s’est achevé hier. Les affrontements qui ont éclaté dans le nord de la mégapole tranchaient radicalement avec les images d’un président américain tout sourires, posant au soleil couchant avec la première dame devant le Taj Mahal.
À 900 kilomètres au nord, les quartiers à majorité musulmane de Jafrabad, Maujpur et Chand Bagh étaient pris d’assaut par des miliciens d’extrême droite et des partisans de groupes hindouistes liés au Parti du peuple indien (BJP) au pouvoir, brûlant des échoppes, rouant de coups des citoyens musulmans ou des dalits, plus connus ici sous le nom récusé d’intouchables, à l’aide de bâtons, de pierres, de cocktails Molotov ou de jets d’acide. Au moins neuf personnes ont trouvé la mort dans ces affrontements et 200 sont blessées ou en état critique. La mise à sac de la mosquée Ashok Nagar par des fondamentalistes hindous, qui ont planté leur drapeau couleur safran en haut du minaret, ravivait le spectre des émeutes intercommunautaires d’Ayodhya (Uttar Pradesh) en 1992. Hier soir, alors que la fièvre n’était toujours pas retombée dans le quartier de Jafrabad, plusieurs milliers de femmes poursuivaient le sit-in pacifique entamé samedi contre la nouvelle loi de citoyenneté.
Ces violences marquent un tournant dans la mobilisation que connaît l’Inde depuis deux mois autour de ce texte législatif qui entend accorder la nationalité aux réfugiés afghans, bangladais et pakistanais à l’exception des musulmans. Une rupture historique avec la Constitution supposément séculaire. Depuis la nouvelle défaite cinglante du BJP aux élections de New Delhi ce mois-ci, d’aucuns se demandaient quand la violence éclaterait. La campagne des nationalistes avait installé un climat extrêmement tendu à l’égard des manifestants et du chef du gouvernement de Delhi, Arvind Kejriwal (Parti de l’homme ordinaire, centre). Après s’être rendu au chevet des blessés – « hindous, musulmans et policiers », précisait-il dans un tweet –, ce dernier a lancé des appels au calme et à la discussion. À quelques kilomètres de là, de façon presque surréaliste, Melania Trump assistait à un « cours de bonheur » destiné à guider des enfants vers la citoyenneté par la méditation.
Pour le premier ministre indien, accusé d’attiser les tensions en son pays, le déplacement du président américain est une incontestable victoire. Les deux dirigeants possèdent des intérêts croisés aux niveaux stratégique, politique et économique.
À quelques mois de la présidentielle, Donald Trump ne ménage pas ses efforts pour séduire la diaspora indienne, traditionnellement considérée comme acquise aux démocrates. Après l’immense meeting qui avait réuni 50 000 Indo-Américains à Houston, en septembre, en présence du premier ministre indien, Narendra Modi, c’est cette fois au tour du président états-unien de se rendre pour la première fois en Inde. D’un coût de 13 millions d’euros, la visite, qui a débuté hier, est d’une importance capitale puisque censée approfondir la stratégie indo-pacifique qui vise à endiguer l’influence chinoise dans la région. À cet égard, un contrat pour l’achat de vingt-quatre hélicoptères Seahawk d’un montant de 2,3 milliards d’euros doit être conclu. Les discussions devraient également porter sur l’achat d’un bouclier antimissile américain et de six autres hélicoptères Apache.
Le déplacement de Donald Trump à Ahmedabad (Gujarat), un État gouverné par Narendra Modi de 2001 à 2014, est une incontestable victoire personnelle pour le chef du gouvernement indien. D’abord, parce que ce dernier fut frappé d’une interdiction de séjour aux États-Unis pendant dix ans pour son rôle dans le pogrom anti-musulmans de 2002. Le voyage redonne également un crédit international au premier ministre, qui fait face, depuis décembre, à des manifestations d’ampleur contre la nouvelle loi de citoyenneté qui exclut les réfugiés musulmans et écorne le caractère séculaire de la Constitution. Il y avait une certaine ironie à voir, hier, Donald Trump s’initier au rouet au cœur de l’ashram du Mahatma Gandhi. En pleine montée des tensions religieuses, l’instrumentalisation de l’héritage politique du héros de l’indépendance, assassiné par un membre du Rashtriya Swayamsevak Sangh (RSS), la milice fasciste au sein de laquelle le premier ministre indien a fait ses armes, laisse un goût amer. Le doute n’était d’ailleurs plus permis lorsque le président états-unien a été accueilli au Taj Mahal, à Agra, par le moine islamophobe Yogi Adityanath, ministre en chef de l’Uttar Pradesh, qui n’hésitait pas, la semaine dernière, à justifier la mort de vingt manifestants dans son État. Au moment où le chef d’État américain louait la démocratie indienne, de violents affrontements entre la police et les opposants à la loi de citoyenneté se déroulaient à New Delhi.
Hier, Donald Trump n’a pas pipé mot sur l’annexion de fait du Jammu-et-Cachemire, un État à majorité musulmane bouclé par l’armée indienne depuis août. Au cœur du plus grand stade de cricket du monde, 100 000 supporters de Narendra Modi ont applaudi à tout rompre lorsque le président américain a évoqué le « terrorisme islamique radical ». Il ne s’agit toutefois pas d’un blanc-seing à New Delhi dans sa rivalité avec le Pakistan puisque, après avoir suspendu l’aide sécuritaire à Islamabad, accusé d’alimenter en sous-main les djihadistes, Washington a approuvé en décembre la reprise du programme international de formation et d’entraînement militaires (Imet).
Afin d’éviter tout conflit d’intérêts, Donald Trump avait promis avant son élection de se consacrer « entièrement et totalement à la direction du pays » et de se mettre en retrait de son empire immobilier. Seulement, sur ce plan-là non plus son déplacement ne doit rien au hasard. La Trump Organization, impliquée dans l’immobilier, y possède d’importants intérêts économiques et des relations anciennes avec les investisseurs locaux liés au Parti du peuple indien (BJP) au pouvoir, comme c’est le cas de Mangal Prabhat, fondateur de la société immobilière Lodha Group et dirigeant du BJP à Mumbai. En 2018, Donald Trump Jr, qui gère l’empire familial, s’est rendu en Inde afin d’y développer ses activités. Lors de ce séjour, il rencontrait le premier ministre indien et avouait, dans une interview au quotidien indien Mint, que le marché constituait la plus importante zone d’investissements parmi les pays émergents avec cinq projets immobiliers démesurés à Pune, Gurugam, Calcutta, Mumbai et New Delhi. À première vue, Narendra Modi n’usurpe pas le titre de « grand ami » décerné par Trump à l’issue de la visite de l’ashram du Mahatma Gandhi.
Lina Sankari
Publié le 19/02/2020
Deuxième essai pour Joëlle Huon qui n’a pu occuper le siège de maire de Plouigneau (Finistère) en 2014 à quelques voix près. Sa liste rassemble diverses sensibilités de gauche.
« C’est une liste divers gauche sur laquelle figurent des personnes du PS, PCF, Génération.s, Place Publique, des citoyennes et citoyens qui sont attachés aux valeurs de progrès social » annonce la liste #ChangeonsPlouigneau. Trente-quatre colistiers sont rassemblés autour de Joëlle Huon. Âge moyen : 52 ans.
Des candidats qui sont allés à la rencontre de la population depuis le 11 janvier avec des rendez-vous hebdomadaires sur divers secteurs de la commune, afin d’échanger et être à l’écoute des attentes et besoins des Ignaciens et présenter les grands axes de leur programme. Celui s’articule autour de six thématiques. Tous vont dans le sens du mieux vivre à Plouigneau et s’adressent à toutes les générations entre loisirs, sport, services de proximité, pôle santé, citoyenneté, culture, transition écologique et circuit court. « Toutes nos actions seront menées dans la démarche du développement durable et en faisant appel à la participation citoyenne », souligne Joëlle Huon.
Tout le soutien du PCF à la liste d'union de la gauche à la liste conduite par Solange Creignou où est candidat notre jeune camarade Corentin Derrien (PCF), 18 ans, étudiant à Sciences Po Rennes.
Ouest-France - 19 février 2020
Publié le
Solange Creignou a présenté sa liste « St-Thé-Loc, construisons l’avenir » pour les élections municipales à Saint-Thégonnec-Loc-Éguiner (Finistère).
La liste « St-Thé-Loc, construisons l’avenir » menée par Solange Creignou, maire sortante, mêle des candidats aux origines professionnelles diverses, engagés autour d’un projet qui se décline en trois axes : mettre en avant la place de la personne dans les projets communaux, l’écologie et le développement durable ainsi que la démocratie participative et la vie citoyenne.
Sur la liste, 15 conseillers sortants et 12 nouveaux qui comptent poursuivre la dynamique engagée ces dernières années.
Hélène Rumeur 50 ans, agricultrice, conseillère sortante, Émilie Messager 34 ans, infirmière libérale, conseillère sortante, Sébastien Kudyk 35 ans, adjoint administratif, Anne Fillet 47 ans, agent de service de cantine et d’accueil périscolaire, Françoise Gallou 57 ans, auxiliaire de puériculture, aide soignante, conseillère sortante, Solange Creignou 57 ans, retraitée de la poste, maire sortante, Sébastien Gérard 45 ans, chauffeur avitailleur, Jocelyne Prouff 67 ans, retraitée du commerce, conseillère sortante, Gaël Lanoe 31 ans, grutier, Claude Cras 59 ans, agent commercial indépendant, Hervé Guével 50 ans, comptable, Martine Receveur 58 ans, animatrice pôle enfance, adjointe sortante, Stéphane Lozdowsky 55 ans, artisan, adjoint sortant, Bénédicte Compois 41 ans, directrice de centre social, Françoise Raoult 62 ans, vacataire concours administratifs, adjointe sortante, Yvon Pouliquen 63 ans, agriculteur en retraite, conseiller sortant, Josselin Boireau 42 ans, salarié d’une association de protection de la nature, conseiller sortant, Carolyn Engel Gautier 51 ans, traductrice scientifique, conseillère sortante, Sylvie Sovano Chelloug 58 ans, cadre dans la fonction publique territoriale, Viviane Le Bihan, 36 ans, professeure, Martine Madec 64 ans, cadre de santé en retraite, Jean Pierre Chever 50 ans, comptable contrôleur de gestion, conseiller sortant, Youcef Terzi 45 ans, agent de maîtrise, Gaëlle Zanéguy 36 ans, travailleur sociale, adjointe sortante, Corentin Derrien 18 ans, étudiant, Olivier Le Bras 46 ans, agent aéroportuaire, adjoint sortant, Patrick Le Merrer 47 ans, gestionnaire de paie, conseiller sortant.
Pratique : Réunions publiques vendredi 6 mars à 18 h 30 salle des associations et mercredi 11 mars à 18 h 30 salle du Quinquis à Loc.
Michel Pierre sera de retour à la librairie samedi matin pour dédicacer son livre.