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12 mai 2024 7 12 /05 /mai /2024 06:32
Après que 143 États ont voté pour l’adhésion de la Palestine à l’ONU, amplifier la solidarité avec la Palestine - Patrick Le Hyaric

Partout dans le monde désormais, la jeunesse des universités notamment, fait entendre sa voix pour Gaza. C’est heureux. Il convient de les encourager et de soutenir, d’être dans le mouvement et non pas contre lui aux côtés des dirigeants américains, français et allemands. Le débat a rebondi lors de la préparation du concours de l’eurovision où se manifeste une solidarité avec les enfants et le peuple de Gaza que la direction suprémaciste israélienne veut détruire et à nouveau déporter sa population quand elle ne l’affame pas et ne la mitraille pas.

L’argumentaire selon lequel, le concours de l’Eurovision est apolitique, qu’il ne faut pas y faire de la politique est ridicule quand on se souvient que la Russie y a été exclue il y a un an. Encore et toujours le « deux poids, deux mesures ». Partout dans le monde dans les salles de spectacles comme dans les stades de football se manifeste la solidarité avec la Palestine. Et, c’est heureux !

Ceux qui croient un seul instant que l’armée Israélienne pourchasse le Hamas se trompent lourdement. Le pouvoir de Tel- Aviv a décidé de récupérer l’intégralité de ce territoire en éliminant la population. Un accord de cessez le feu n’est pas possible tant que ce pouvoir veut bombarder Rafah.

Le mouvement populaire international et aux États-Unis a contraint Biden à menacer de ne plus livrer de « bombes » au pouvoir Israélien. Netanyahou tient tête tellement l’impérium l’a habitué à répondre à ses désirata d’annexion totale de la terre Palestinienne. Il faut maintenant que cela se fasse. Il faut aussi que l’union européenne suspende l’accord d’association. Plus de livraison d’armes pour perpétuer le crime de guerre ; le crime contre l’humanité en cours. Et le président de la République doit cesser de tergiverser : La France doit reconnaitre l’État de Palestine. L’Espagne va sans doute le faire le 21 mai. L’Irlande, la Slovénie, Malte vont le faire dans les jours à venir. Au pays des lumières, il faut cesser d’étendre l’ombre mortifère qui couvre Gaza.

À ce jour 143 États ont voté pour l’adhésion de la Palestine à l’ONU (dont la France). Seulement 9 ont voté contre, dont Israël et les États-Unis. C’est au Conseil de sécurité que se joue l’adhésion définitive, alors que l’administration Biden y oppose son véto. Oui, le mouvement populaire de la jeunesse et des partisans du droit international en cours doit encore prendre de l’ampleur. Solidarité !
 
Patrick Le Hyaric, 11 mai 2024 
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12 mai 2024 7 12 /05 /mai /2024 06:12
Distribution de tracts pour la liste de Léon Deffontaines et vente de L'Humanité magazine sur le marché de Morlaix le 11 mai
Distribution de tracts pour la liste de Léon Deffontaines et vente de L'Humanité magazine sur le marché de Morlaix le 11 mai

Les militants du PCF Morlaix Lucienne Nayet, Rolland Bagnis, Daniel Ravasio et Ismaël Dupont vendaient L'Humanité Magazine et les hors-séries de l'Humanité, le journal communiste fondé par Jean Jaurès en 1904 qui a fêté ses 120 ans il y a quelques semaines, tout en distribuant des tracts pour la campagne de Léon Deffontaines et de la liste de la "Gauche Unie pour le monde du travail".

Notre candidat finistérien sur la liste conduite par Léon Deffontaines, Taran Marec, sera présent, lui, sur le marché de Morlaix avec les militants communistes le 18 mai 2024, à 3 semaines des élections européennes.

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12 mai 2024 7 12 /05 /mai /2024 06:09
L'honneur est sauf - Hervé Hamon, Le Télégramme, 12 mai 2024
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12 mai 2024 7 12 /05 /mai /2024 06:03
Guerre à Gaza : comment la liberté d’expression est attaquée en France (L'Humanité - 9 mai 2024 - Gaël De Santis)
Guerre à Gaza : comment la liberté d’expression est attaquée en France
 
Interpellation de personnes qui organisent des manifestations, interdiction de rassemblements et de réunions publiques, dévoiement des poursuites pour « apologie du terrorisme »… En France, les libertés fondamentales sont attaquées pour faire taire les voix pour la Palestine.
 
L'Humanité - 9 mai 2024
Gaël De Santis
 
Sans doute que beaucoup ne s’en rendent pas encore compte, et pourtant : menacer la liberté d’expression concernant la guerre à Gaza revient à menacer la liberté d’expression tout entière. La dérive en cours en France, pays des droits de l’homme, est des plus inquiétantes. Le nombre de militants réprimés parce qu’ils dénoncent les bombardements, la colonisation israélienne et appellent à un cessez-le-feu ne cesse d’augmenter. Jean-Paul Delescaut, secrétaire de la CGT du Nord, a été condamné à une peine d’un an de prison avec sursis pour « apologie du terrorisme ». Son crime : un tract qui liait maladroitement les attaques terroristes du Hamas du 7 octobre aux souffrances infligées au peuple palestinien depuis des décennies.
 
« Nous assistons à une augmentation du nombre de procédures en lien avec cette accusation d’apologie du terrorisme », témoigne Vincent Brengarth. L’avocat s’interroge : « L’expression globale contre la politique d’apartheid d’Israël aurait-elle dû cesser après cette date ? » Il défend Rima Hassan, juriste franco-palestinienne, candidate sur la liste de la FI aux européennes, qui a été entendue le 30 avril par la police judiciaire. Sa faute ? Lors d’un entretien avec le média en ligne le Crayon, elle a répondu « vrai ! » à la question « le Hamas mène-t-il une action légitime ? ». L’extrait avait été tronqué de manière malveillante sur les réseaux sociaux, occultant le reste de l’entretien, où elle qualifiait de terroristes les attaques du 7 octobre.
 
« 600 procédures pour apologie de terrorisme »
 
Mais ce n’est pas tout : pour la première fois dans l’histoire de la Ve République, une présidente de groupe parlementaire, la députée FI Mathilde Panot, a elle aussi été convoquée devant une brigade criminelle. Si le communiqué de son groupe qualifiait l’attaque du Hamas le 7 octobre d’« offensive armée des forces palestiniennes », il ne constituait en rien une apologie du terrorisme. C’est pourtant ce qui lui est reproché.
 
Du côté de la Ligue des droits de l’homme (LDH), on recense « 600 procédures pour apologie de terrorisme », souligne son président, Patrick Baudouin. « Le recours à cette notion est instrumentalisé à des fins politiques. Merci messieurs Bernard Cazeneuve et François Hollande ! » dénonce-t-il.
 
Car c’est sous leur action que la qualification d’apologie du terrorisme a été rendue plus arbitraire. La dérive alors initiée a été condamnée en 2022 par la Cour européenne des droits de l’homme. Mais elle ne cesse de s’intensifier.
Pour Vincent Brengarth, il y a une « tendance préoccupante avec un dévoiement de l’infraction ».
 
Sont poursuivies des personnes « en dehors du spectre de ceux qu’elle était censée viser, à savoir des gens qui présentent de manière favorable des actes terroristes ». Des militants qui prennent du recul et décrivent une situation se retrouvent accusés de justifier les faits.
 
Cette avalanche de mises en cause fait suite à une circulaire d’Éric Dupond-Moretti, garde des Sceaux, le 10 octobre, dans laquelle il appelait les procureurs à un « traitement judiciaire vigilant » des cas d’apologie du terrorisme et d’antisémitisme.
 
C’est au final tout un pan de l’expression collective qui est attaqué.
 
« Plusieurs responsables de l’Association France Palestine solidarité (AFPS) ont été interpellés et convoqués par la police peu de temps après le 7 octobre », se plaint François Rippe, vice-président de l’association. « Il leur est reproché d’avoir organisé des manifestations interdites », précise-t-il. Certains ont même été convoqués alors qu’ils se rendaient sur place pour prévenir de l’interdiction décidée quelques heures plus tôt.
 
Des manifestations interdites par dizaines
Ces épisodes sont le fruit d’un télégramme du 12 octobre du ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, enjoignant les préfets d’interdire toutes les « manifestations propalestiniennes ». Le Conseil d’État s’était opposé à cette interdiction systématique, appelant à les réaliser au cas par cas. « Cela a tout de même permis l’interdiction entre octobre et décembre 2023 d’une cinquantaine de rassemblements », se souvient François Rippe. Même si dans la plupart des cas, les référés-libertés engagés ont permis la tenue des manifestations, qui se sont déroulées pacifiquement.
 
Le gouvernement se livre enfin à une diabolisation du mouvement étudiant de solidarité avec Gaza. À Sciences-Po Paris, à la Sorbonne, police et gendarmerie sont intervenues pour empêcher une occupation des locaux. Et les présidents d’université sont sommés de veiller au « maintien de l’ordre ». Outre la possibilité de s’exprimer et de manifester, la liberté de réunion est elle aussi menacée.
 
Jean-Luc Mélenchon et Rima Hassan en ont fait les frais à Lille, où le préfet a interdit leur conférence dans une salle privée. La chose n’est pas nouvelle. « On a vu des décisions préfectorales qui interdisaient, avant le 7 octobre, les réunions avec l’avocat franco-palestinien Salah Hamouri, sous la pression d’organisations juives d’extrême droite ou de la Licra », souligne Patrick Baudouin.
 
L’apologie de crime de guerre, jamais poursuivi
 
De longue date, le soutien du gouvernement français envers Israël s’est traduit par des atteintes aux libertés. Dès 2010, la ministre de la Justice Michèle Alliot-Marie signait une circulaire prohibant l’appel au boycott des produits israéliens, une disposition jugée illégale par la CEDH en 2020. Alors même que Paris livre des armes à Israël, elle réprime ceux qui exigent un cessez-le-feu.
« Les personnes qui ont pu, dans leur expression publique, encourager l’action d’Israël contre la population civile de Gaza ne font pas l’objet d’une criminalisation », constate en revanche Vincent Brengarth, pour qui « nous sommes dans une application variable de la loi ». Patrick Baudouin souligne que de tels propos relèvent de « l’apologie de crime de guerre » et ne sont pas poursuivis.
Les atteintes à la liberté d’expression ne s’arrêtent pas à la question palestinienne. La criminalisation de l’action syndicale, sociale et écologique s’étend dans le pays. « Nous comptabilisons mille syndicalistes poursuivis », déplore Céline Verzeletti, secrétaire confédérale de la CGT. « Désormais, c’est rarement classé sans suite. On pense qu’il y a des consignes données au parquet pour qu’ils poursuivent systématiquement », ajoute-t-elle. Concernant les bombardements d’Israël sur Gaza, les tribunes se multiplient pour rappeler que « critiquer la politique d’un État est un droit fondamental et ne saurait constituer une apologie du terrorisme ». Il est urgent de s’en rappeler.
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11 mai 2024 6 11 /05 /mai /2024 08:11

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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10 mai 2024 5 10 /05 /mai /2024 09:07
Européennes 2024 : Taran Marec, l’atout jeune des communistes à Brest (Emma Villeroy, Ouest-France, 10/05/2024)
Européennes 2024 : Taran Marec, l’atout jeune des communistes à Brest
 
Taran Marec, élu communiste de la Ville de Brest (Finistère), est sur la liste de Léon Deffontaines avec Fabien Roussel pour les Européennes. Il veut « sortir les plus jeunes de l’abstention ».
 
Taran Marec, 25 ans, est candidat aux Européennes 2024 sur la liste menée
par Léon Deffontaines avec Fabien Roussel pour la Gauche Unie pour le travail soutenue par le PCF, L’Engagement, Les Radicaux de Gauche, République et socialisme).
 
Ouest-France Emma VILLEROY. Publié le 10/05/2024
 
« On veut incarner, une gauche qui porte une lueur d’espoir des jours
heureux, pour les gens qui vivent dans la misère particulièrement violente », soutient très engagé Taran Marec, 25 ans et membre du Parti communiste français (PCF) Finistère. « On veut incarner une main tendue. »
 
Élu à la mairie de Brest sur la liste de François Cuillandre depuis 2020, il est délégué à la langue bretonne. C’est le plus jeune conseiller municipal de la ville. Il est aussi responsable des Jeunesses communistes dans le Finistère depuis janvier.
 
Pour les Élections européennes 2024, il fait partie des quatre candidats bretons retenus sur la liste menée par Léon Deffontaines avec Fabien Roussel (la Gauche Unie pour le travail soutenue par le PCF, L’Engagement, Les Radicaux de Gauche, République et socialisme) et est en 61e position. Ses chances d’être élu sont nulles, mais il entend bien mener campagne.
 
Finistérien depuis toujours.
 
Originaire de Lesneven, le militant a effectué toute sa scolarité à l’école Diwan où l’enseignement est dispensé en langue bretonne. Aujourd’hui, il est développeur informaticien à l’université.
Dernièrement, c’est la pétition lancée pour la gratuité des transports qui a fait parler de lui. « Tout est lié dans cette proposition, le social, l’économie et l’écologie et les pistes sont nombreuses pour permettre le financement. »
Sur les autres engagements, le candidat souhaite de « vraies propositions sociales » pour les travailleurs. « On veut réindustrialiser notre pays, de meilleures conditions de travail et cesser la mise en concurrence. Il y a l’exemple local parfait de la pêche avec cette logique concurrentielle totalement absurde où des moules du Brésil peuvent se retrouver dans des restaurants chez nous alors que les pêcheurs du coin ne peuvent pas les vendre à cause de quotas. »
Concernant l’énergie, la proposition est de sortir du marché européen avec le « mix nucléaire-renouvelable » produit en France.
 
La carte de la jeunesse
Ce n’est pas pour rien qu’il est au sein des Jeunesses communistes, le parti mise sur les nouveaux électeurs. « On est très mobilisé pour sortir les plus jeunes de l’abstention. Ce sont aussi leurs élections et on peut leur dire qu’il y a des solutions à leurs problèmes. On est très mobilisés pour représenter ces générations qui peuvent se sentir un peu exclues des débats. »
 
Objectif 5 %
Taran Marec vise les 5 % pour son parti lors des Européennes du 9 juin pour lutter contre l’extrême droite. « En tant que communiste, on porte un discours d’humanité et pas leur discours de haine. Le Rassemblement national gagne du terrain sur des mensonges et un discours de façade sur le camp des travailleurs. Quand la gauche propose des augmentations de salaires par exemple, ils votent toujours contre. Avoir les 5 % permettrait d’obtenir cinq sièges d’un coup, ce qui serait cinq places en moins pour eux.»
En 2019, le PCF n’avait obtenu aucun siège au Parlement européen.
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10 mai 2024 5 10 /05 /mai /2024 07:39

Une belle interview de 30 minutes de Taran Marec secrétaire des jeunesses communistes du Finistère, élu à Brest, délégué à la langue bretonne, et candidat aux Européennes sur la liste conduite par Léon Deffontaines de la Gauche Unie pour le monde du travail. C'est passé jeudi sur la matinale de la radio associative bretonne et il est possible de revoir toute cette interview en vidéo sur YouTube.

Émission du 9 mai 2024. Taran Marec, secrétaire fédéral des Jeunesses communistes du Finistère, conseiller municipal délégué à la langue bretonne à Brest est l'invité politique de Bretagne 5 Matin, dans le cadre de la campagne pour les élections européennes. Taran Marec, détaille le programme de la liste communiste "La Gauche unie pour le monde du travail" conduite par Léon Deffontaines, programme qui est axé sur la volonté de construire une Europe sociale. Il revient également sur l'incident qui a opposé des militants communistes à Raphaël Glucksmann, la tête de liste PS-Place publique aux européennes le 1er mai à Saint-Étienne, un incident qui pourrait compromettre l'union de la gauche pour les prochaines échéances électorales. Taran Marec, insiste sur l'urgence de s'intéresser au quotidien des Français, aux questions d’accessibilité aux services publics, de pouvoir d’achat ou encore de facture énergétique en proposant un nouveau modèle social, et salue l'engagement politique des jeunes et leur volonté de faire évoluer la société.

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10 mai 2024 5 10 /05 /mai /2024 05:58

 

 

 

 

 

 

 

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9 mai 2024 4 09 /05 /mai /2024 15:22
Union des étudiants communistes (UEC): Amplifions la mobilisation pour la paix !

La mobilisation des étudiantes et étudiants contre le génocide en cours à Gaza est un espoir pour la construction d’un large mouvement pour la paix. Sur leurs lieux d’études, les Jeunes Communistes sont partie prenante et moteur de ces mobilisations.

L’histoire nous regarde. Malgré de grandes déclarations et des condamnations, la France n’a pas pris d’initiatives politiques d’ampleur pour imposer un cessez-le-feu à Gaza. Cette inaction rend la France complice du massacre de civils et d’une famine utilisée comme une arme de guerre.

Au-delà des initiatives diplomatiques, la France doit faire pression sur le gouvernement de Netanyahu en se battant pour la suppression de l’accord d’association entre l’Union européenne et la France. Elle doit aussi immédiatement cesser la coopération militaire et en finir avec l’ambiguïté entretenue sur la livraison d’armes à Israël.

La jeunesse a un rôle à jouer dans le combat pour la paix. Par notre mobilisation, nous pouvons mettre la pression sur notre gouvernement pour obtenir qu’il agisse enfin. La répression policière et administrative systématique des mobilisations dans les universités est inacceptable. Les lieux d’études sont aussi des lieux de débats et de pensée critique. Les ingérences politiques dans leur fonctionnement représentent une menace.

Notre victoire passera par une mobilisation massive. Pour les Jeunes Communistes, cela passe par le fait d’aller convaincre chaque jeune, même très éloigné des mobilisations actuelles, de se mobiliser. Seule une mobilisation à vocation majoritaire, sur des mots d’ordres clairs et rassembleurs, pourra obtenir des victoires.

Le MJCF appelle à l’amplification de la mobilisation sur les lieux d’études en faisant du 7 mai une grande date de mobilisation pour la paix et pour le peuple palestinien afin d’obtenir :

- Un cessez-le-feu immédiat et le retrait de l’armée israélienne de Gaza.

- La fin de la colonisation en Cisjordanie.

- La libération de tous les prisonniers politiques palestiniens et la libération des otages détenus par le Hamas.

- La reconnaissance d’un État palestinien aux côtés de l’État israélien sur les frontières de 1967, conformément aux résolutions de l’ONU.

Amado Lebaube

Article publié dans CommunisteS, n°995, 9 mai 2024.

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9 mai 2024 4 09 /05 /mai /2024 05:51

 

 

 

 

 

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