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13 novembre 2019 3 13 /11 /novembre /2019 12:30
Une très belle réunion publique avec Ian Brossat ce vendredi 8 novembre 2019 à Quimper aux Halles St François

Premières photos d'Eugène Caradec Davilliers et de Ismaël Dupont de la réunion publique de Ian Brossat, porte-parole du PCF, candidat communiste aux dernières européennes, adjoint au logement à la mairie de Paris et président de l'ANECR (association nationale des élus communistes et républicains, qui regroupe 7000 élus dont 600 maires) à Quimper ce vendredi 8 novembre, sur l'enjeu des élections municipales, mais beaucoup d'autres thèmes connexes ont été abordé aussi par Ian Brossat, et les personnes qui l'accompagnaient à la tribune, Yvonne Rainero, Glenn Le Saoût, Ismaël Dupont, comme par les participants, Françoise Guéguen, syndicaliste CGT, qui est intervenue sur la réforme chômage, Martine Carn, présidente de comité de défense de l'hôpital du pays de Morlaix, sur la crise vécue par les usagers et salariés de l'hôpital, Jean-Marc Clery, responsable de la FSU Bretagne, sur la réforme territoriale et les contours flous d'un nouvel acte de la décentralisation, Bernard Jasserand, sur la privatisation de l'énergie, etc : la réforme de Macron contre les droits des chômeurs, la réforme des retraites, le climat de banalisation du racisme et de l'islamophobie pour faire diversion a la question sociale, la dégradation des services publics, notamment a l'hôpital, les propositions communistes phare dans ces élections municipales.

90 personnes étaient présentes pour cette très belle réunion publique avec un Ian Brossat super brillant et limpide comme à son habitude!

Ian Brossat avait auparavant échangé de la problématique d'Air bnb, du logement et de la ville pour tous à Douarnenez avec une centaine de personnes à la librairie L'Ivraie à Douarnenez. 

Une très belle réunion publique avec Ian Brossat ce vendredi 8 novembre 2019 à Quimper aux Halles St François
Une très belle réunion publique avec Ian Brossat ce vendredi 8 novembre 2019 à Quimper aux Halles St François
Une très belle réunion publique avec Ian Brossat ce vendredi 8 novembre 2019 à Quimper aux Halles St François
Une très belle réunion publique avec Ian Brossat ce vendredi 8 novembre 2019 à Quimper aux Halles St François
Une très belle réunion publique avec Ian Brossat ce vendredi 8 novembre 2019 à Quimper aux Halles St François
Une très belle réunion publique avec Ian Brossat ce vendredi 8 novembre 2019 à Quimper aux Halles St François
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Une très belle réunion publique avec Ian Brossat ce vendredi 8 novembre 2019 à Quimper aux Halles St François
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Une très belle réunion publique avec Ian Brossat ce vendredi 8 novembre 2019 à Quimper aux Halles St François
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13 novembre 2019 3 13 /11 /novembre /2019 12:14

Bolivie : La France doit condamner le coup d’État et ne pas abandonner le peuple bolivien (PCF)


Le coup d'Etat en Bolivie qui a chassé du pouvoir, le 10 novembre dernier, le président Evo Morales et les forces de gauche bolivienne a été orchestré par l'Administration Trump, qui s'est félicitée d'un « moment significatif pour la démocratie », et par « son ministère des colonies », l'Organisation des Etats américains (OEA).


Cet acte de la plus haute gravité doit être, sans plus attendre, reconnu comme tel et condamné par la France, les États membres de l'UE et le Conseil de sécurité de l'ONU.


La violence, les chasses à l'homme, ratonnades, humiliations, saccages, tabassages et meurtres organisés par les forces de droite et d'extrême droite, des forces policières et militaires boliviennes avec le soutien actif des Etats-Unis depuis le soir du scrutin présidentiel n'ont pas cessé. Les militant-e-s de gauche mais aussi l'ensemble de la population, et particulièrement les populations Indigènes, risquent leur vie chaque jour.


Dans un tel contexte, le silence du Quai d'Orsay est non seulement incompréhensible mais inadmissible. Monsieur Macron, monsieur Le Drian, n'êtes-vous plus capables de reconnaître un coup d'Etat qui plonge un pays entier dans les ténèbres et prolonge le bain de sang ? Ce silence déshonore notre pays, notre peuple.


Le Parti communiste français (PCF) appelle l'ensemble des forces démocratiques de notre pays à exprimer leur soutien et solidarité au peuple bolivien.


Le PCF demande instamment au président de la République de condamner explicitement le coup d'Etat du 10 novembre, de manifester son soutien au peuple bolivien en portant au Conseil de sécurité de l'Onu dans les délais les plus brefs un projet de résolution condamnant le coup d'Etat en Bolivie et les manœuvres d'ingérence, les soutiens internationaux qui ont créé cette situation de chaos.


Le PCF renouvelle son soutien à Evo Morales, au MAS, sa pleine solidarité avec le peuple bolivien et participera à toutes les manifestations pour la démocratie, les droits humains et la paix en Bolivie.


Parti communiste français,


Paris le 13 novembre 2019.

Bolivie : La France doit condamner le coup d’État et ne pas abandonner le peuple bolivien (PCF)
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13 novembre 2019 3 13 /11 /novembre /2019 09:53
UNE VRAIE REFORME DES RETRAITES: les communistes devant l'usine Sermeta
UNE VRAIE REFORME DES RETRAITES: les communistes devant l'usine Sermeta
UNE VRAIE REFORME DES RETRAITES: les communistes devant l'usine Sermeta
UNE VRAIE REFORME DES RETRAITES: les communistes devant l'usine Sermeta
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UNE VRAIE REFORME DES RETRAITES: les communistes devant l'usine Sermeta

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13 novembre 2019 3 13 /11 /novembre /2019 09:08

Sous pression en raison d'une vague de violences et du retournement de l'armée et de la police, le président Evo Morales a démissionné. Pour Maurice Lemoine, il s'agit d'un «coup d'Etat» dans le cadre d'une «vaste confrontation» sur le continent.

Ancien rédacteur en chef du Monde diplomatique, Maurice Lemoine s'est exprimé sur RT France ce 11 novembre au sujet de la démission d'Evo Morales en Bolivie. Pour ce spécialiste de l'Amérique latine, cela ne fait aucun doute : «On est face à un coup d'Etat [...] à caractère fasciste.» Précisant qu'il n'utilise pas souvent ce terme, à «manier avec précaution», le journaliste explique que, parmi les «protagonistes du coup d'Etat [...] Luis Fernando Camacho [l'un des principaux leaders de l'opposition] appartient à l'extrême droite raciste».

Pour Maurice Lemoine, «on est dans un vaste rapport de force en Amérique latine entre les secteurs néolibéraux qui viennent de perdre des batailles importantes» en Argentine, où le péroniste de centre-gauche Alberto Fernandez a remporté la présidentielle dès le premier tour, avec l'élection du président mexicain Andrés Manuel Lopez Obrador, ou encore avec les crises en cours au Chili et en Equateur.

 «Evo Morales est une pièce importante et si on le fait tomber, on fait tomber l'un des alliés de ce que [l'ancien Conseiller à la sécurité nationale américain] John Bolton appelait la "troïka de la tyrannie", c'est-à-dire le Venezuela, Cuba et le Nicaragua», poursuit Maurice Lemoine, qui estime qu'on face à «une vaste confrontation à l'échelle du continent».

Evoquant l'avenir de la Bolivie, confrontée à une vacance du pouvoir après les démissions en cascade à la tête du pays, sous pression de l'armée et des violences qui ont éclaté depuis l'élection présidentielle du 20 octobre, qui donnait Evo Morales gagnant mais dont les résultats sont contestés par l'opposition.

«Je crains des violences. Il y a quand même 47% de Boliviens qui ont voté pour Evo Morales. Je ne pense pas que le renversement de leur président va passer comme une lettre à la poste», conclut Maurice Lemoine.

 

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13 novembre 2019 3 13 /11 /novembre /2019 07:58
photo Le Télégramme Conseil Municipal de Morlaix

photo Le Télégramme Conseil Municipal de Morlaix

Ordre du jour du Conseil Municipal de Morlaix du jeudi 14 novembre 2019 à 18h30 - Mairie de Morlaix

- Débat d'orientation budgétaire 2020 

- Contrat de maintenance d'équipement d'affichage - année 2020

- Convention de la salle socio-culturelle de Ploujean

- Réhabilitation du musée de Morlaix: concours de création, fabrication et pose de vitraux (primes pour les candidats: montant maximum de primes 20 000€ TTC)

- Décision modificative n°3 au budget principal et budgets annexes

- Fonds de concours pour l'aménagement extérieur de la rue du Poulfanc

- Acquisition d'un ensemble immobilier - 9 rue Général Le Flô

- Cession de parcelles à Morlaix Communauté - secteur de l'aéropôle

- Aiguillon Construction - avis sur le projet de vente de logements - rue Courbet 

- Vente de terrain à Finistère Habitat - rue Michel Bakounine

- Subventions pour le fonds d'intervention pour l'habitat

- Cession d'un immeuble donné par héritage à la ville de Morlaix à Caen

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13 novembre 2019 3 13 /11 /novembre /2019 06:21

 

L'éditorial de Sébastien Crépel.  Il faut pourtant se crever volontairement les yeux pour ne pas voir que la démission du chef de l’État bolivien n’a rien d’une « victoire de la démocratie ».

Osons le mot que beaucoup refusent encore d’employer : le retrait d’Evo Morales de la présidence de la Bolivie est bel et bien le fruit d’un coup d’État. Coup d’État contre l’ordre constitutionnel légal, qui se trouve soudain comme suspendu, après la démission des seules autorités légitimes pour gouverner le pays dans l’attente du dénouement de la crise électorale. Coup d’État contre la démocratie elle-même, ensuite, puisqu’il met brutalement fin à la présidence Morales sans passer par un retour aux urnes, comme le chef de l’État andin le proposait en réponse à sa réélection contestée.

Certes, il s’agit d’un coup d’État déguisé, le mode opératoire ayant un peu évolué depuis l’ère des Banzer – fameux pour avoir recyclé l’ancien SS Klaus Barbie au sein de ses « services spéciaux » – et autre Barrientos – l’assassin de Che Guevara –, deux des plus récents dictateurs dans le pays aux 190 coups d’État depuis l’indépendance. Nul militaire n’a, pour l’heure, annoncé prendre le pouvoir. Les belles âmes qui, sous n’importe quels autres cieux, auraient appelé à la première heure au respect de l’État de droit y puiseront peut-être de quoi se trouver en paix avec elles-mêmes.

Il faut pourtant se crever volontairement les yeux pour ne pas voir que la démission du chef de l’État bolivien n’a rien d’une « victoire de la démocratie ». Ce n’est pas la protestation civique contre le résultat annoncé des élections qui a poussé au départ le président sortant, mais l’action conjuguée de la violence de miliciens cagoulés pourchassant, molestant les élus de gauche et incendiant leur maison, du basculement à droite du commandement de la police et de l’armée, et des pressions des États-Unis et des gouvernements conservateurs s’exprimant sous couvert de l’Organisation des États américains (OEA). En bon autocrate en herbe, le nouvel homme fort de La Paz au pedigree d’extrême droite, Luis Fernando Camacho, a appelé à l’ « arrestation d’Evo Morales ». La libération de Lula, dans le Brésil voisin, montre heureusement que le pire n’est jamais sûr.

Par Sébastien Crépel

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13 novembre 2019 3 13 /11 /novembre /2019 06:10

Le secours catholique vient de publier son rapport annuel sur l’État de la pauvreté en France. Celui-ci est édifiant. L’association accompagne désormais 1 347 500 personnes dont près de la moitié d’enfants, un chiffre en augmentation. Les personnes accompagnées ont un revenu moyen en baisse de 15 euros en euros par rapport à 2017. Ainsi, les pauvres sont de plus en plus pauvres.

 

Ce rapport est un nouveau signal d’alarme après l’étude de l’INSEE, publiée fin septembre, démontrant que le taux de pauvreté atteignait un niveau inégalé depuis les années 1970, à 14,7 % (9,3 millions de Français concernés). Comment s’en étonner alors que le gouvernement choisit de baisser à nouveau les APL et de réduire drastiquement les allocations chômage, économisant ainsi plus de deux milliards d’euros sur le dos de nos concitoyens les plus précaires ?

 À l’autre bout de l’échelle, pourtant, les riches se portent mieux que jamais : la rémunération des patrons du CAC 40 a augmenté de 12 % en 2018, avec une moyenne de 277 fois le SMIC. Les dividendes des actionnaires ont également connu une forte hausse. Rien d’étonnant : avec la suppression de l’ISF et la mise en place du PFU, les Français les plus favorisés ont reçu une montagne de cadeaux fiscaux de la part du gouvernement, pour un montant d’environ 5 milliards d’euros par an. 

 

Or, face à ces réalités qui démontrent l’injustice flagrante de sa politique, Emmanuel Macron ne trouve rien de mieux que de supprimer l’Observatoire National de la Pauvreté (ONPES). Au lieu de guérir la fièvre, il préfère casser le thermomètre ! Le Chef de l’État semble n’avoir rien appris de ses déboires passés et multiplie les attaques contre les droits sociaux des Français : il est désormais temps d’agréger toutes les colères sociales pour le faire reculer.

 

Ian Brossat

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11 novembre 2019 1 11 /11 /novembre /2019 12:25

Un rassemblement soutenu par les Jeunes Communistes du Finistère est prévu au CLOUS de Brest à 17h le mardi 12 novembre 2 avenue Victor Le Gorgeu.

Mardi 12 Novembre, disons stop à la précarité étudiante ! (PCF)
 
Mardi 12 Novembre, disons stop à la précarité étudiante ! (PCF)
 
Suite à la tentative d’un étudiant lyonnais de 22 ans de mettre fin à ses jours en s’immolant par le feu, le PCF prend pleinement part à l'appel à la mobilisation et aux rassemblements de soutien organisés
dans toute la France ce mardi 12 novembre devant les CROUS. C'est avec la rage au ventre que nous apprenons son geste désespéré, entraîné par le refus du CROUS de renouveler sa bourse. Actuellement
entre la vie et la mort, le PCF lui apporte son soutien et souhaite son rétablissement au plus vite, pour qu'il continue sa bataille pour la justice sociale.
 
Les responsables sont, sans difficulté, nommés : les politiques antisociales du gouvernement d’Emmanuel Macron, de ce gouvernement des riches. Depuis le début du quinquennat, les étudiants doivent faire face
à la baisse des APL, la hausse des factures d’électricité, d’eau de gaz, les réductions drastiques des budgets à n'en plus finir, alors que les bourses stagnent et que le coût des études ne cesse d'augmenter. Qui
plus est, de nombreux étudiants sont contraints de se salarier pour subvenir à leurs besoins, ce qui met en péril la réussite de leurs études. Cet étudiant est une énième victime de la précarité et de la
paupérisation des étudiants qui s’est aggravée sous le quinquennat d’Emmanuel Macron. Tous les ans, des étudiants sombrent dans la précarité. En commettant l’irréparable, il veut mettre fin à ce silence
qui les tue aussi sûrement que la faim.
 
Nous partageons sans concessions son appel à se battre contre la montée du fascisme et le libéralisme qui nous divisent et nous précarisent.
Le PCF exige des mesures concrètes d’urgence : une augmentation en nombre et en montant des bourses avec un financement par des cotisations patronales, la construction de 100 000 nouveaux logements étudiants publics par an, la rénovation des logements existants et la nationalisation des résidences étudiantes privées, ainsi qu’un réinvestissement massif dans l’enseignement supérieur public à hauteur
de plusieurs milliards d’euros par an. Pour reprendre ses mots, la lutte doit continuer pour en finir avec la précarité étudiante. Plus que jamais, nous continuerons à nous battre pour l'effectivité de la
gratuité des études, pour un enseignement supérieur public qui permette la réussite de tous et toutes et qui fasse avancer la société toute entière
 
Parti communiste français,
 
Paris, le 11 novembre 2019.
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11 novembre 2019 1 11 /11 /novembre /2019 12:21
Violences au sein de la famille : ambiance délétère et débat tronqué au Sénat (groupe communiste; républicain, citoyen, écologiste au Sénat, 7 novembre 2019)

Violences au sein de la famille : ambiance délétère et débat tronqué au Sénat

Hier soir, en séance publique était discutée la proposition de loi du député Aurélien Pradié visant à agir contre les violences au sein de la famille.
Alors que chaque année, en France, 220 000 femmes sont victimes de violences physiques et sexuelles par leur conjoint ou ex-conjoint, et que tous les deux jours l’une d’elles y perd la vie, l’accélération de la lutte contre ce fléau est aujourd’hui plus
qu’urgente.

Toute initiative législative en la matière doit être l’occasion d’améliorer notre droit largement imparfait sur le sujet. Ainsi, pour apporter leur pierre à l’édifice, les sénatrices et sénateurs ont déposé plus de 120 amendements sur ce texte transpartisan.

Or, très rapidement (dès le début de l’article 2), la rapporteure, comme la ministre ont coupé court à tout débat et toute discussion sur ces amendements d’amélioration du texte. Systématiquement la quasi-totalité de ceux-ci a été rejeté – au moyen d’arguments bien souvent faibles voire fallacieux - privant par exemple notre Haute Assemblée d’un débat sur l’autorité parentale et le droit de visite des conjoints violents.

En l’absence remarquée de la secrétaire d’Etat à l’égalité femmes-hommes Marlène Schiappa, la garde des Sceaux, Nicole Belloubet, a souhaité en finir au plus vite avec ce texte, arguant que des travaux étaient en cours sur tous les sujets abordés,notamment dans le cadre du Grenelle des violences conjugales organisé par le gouvernement et qui rendra ses conclusions le 25 novembre prochain. La ministre a
souligné que la proposition de loi méritait d’être adoptée « dans les meilleurs délais », quand bien même les conclusions du Grenelle pourraient nécessiter « un autre texte législatif ». En effet, le même jour, a été annoncé une proposition de loi plus complète d’un député REM, cette fois-ci, sans doute autour du 25 novembre, pour le symbole.
Cette attitude du gouvernement nous interroge une fois encore sur sa conception du rôle du Parlement, et en particulier du Sénat.
La lutte contre les violences faites aux femmes, élevée au rang de grande cause nationale du quinquennat, mérite bien mieux que cette lamentable instrumentalisation dans le seul but d’apparaitre à l’initiative !
C’est dans ce cadre que les membres du groupe CRCE, ainsi que leurs collègues socialistes, ont préféré quitter l’hémicycle pour que cesse cette mascarade.
Faire reculer les violences demeure notre priorité et nous resterons mobilisé.e.s pour débarrasser la société de ce fléau.
Paris, le 7 novembre 2019

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11 novembre 2019 1 11 /11 /novembre /2019 08:59
Article Le Télégramme, 11 novembre 2019: André Le Roux et Thierry Trimaille du PCF Pays Bigouden et Pont L'Abbé sur la photo

Article Le Télégramme, 11 novembre 2019: André Le Roux et Thierry Trimaille du PCF Pays Bigouden et Pont L'Abbé sur la photo

COMMUNIQUE DE PRESSE - MUNICIPALES 2020

« Les partis et organisations de Gauche du Pays bigouden se sont réunis le 6 novembre à l’invitation du PCF bigouden, afin de réfléchir à un large rassemblement unitaire sur un projet commun porteur des valeurs d’émancipation sociale, écologique et politique dans le cadre des élections municipales de mars 2020.

Plusieurs thèmes ont été abordés, dont les engagements de Gauche à porter dans le projet municipal, une attention particulière et renforcée aux actions des communautés de communes vers qui de nouvelles compétences sont transférées et le rassemblement de nos forces basé sur un partage des informations et des expériences des différentes listes de Gauche dans les communes du Pays bigouden.

Concernant les communautés de communes et particulièrement la CCPBS, une initiative interviendra rapidement pour s’opposer au fait de concéder une nouvelle fois au privé la gestion du service d’eau potable. Nous demandons qu’aucune décision ne soit prise avant l’élection du futur Conseil Communautaire en mars prochain.

L'importance de la préservation de la ressource eau – ce bien commun – et la maîtrise des tarifs imposent qu'aucune décision ne soit prise dans la précipitation. Un véritable débat public sur le choix de la délégation du service public de l’eau et de l’assainissement à des entreprises privées ou à une régie publique, doit être organisé. Pour notre part, nous défendrons notre position en faveur d’une régie publique et citoyenne de l’eau en Pays Bigouden.

 

La prochaine réunion a été fixée au jeudi 21 novembre à 18 heures.

Organisations et partis présents : PCF bigouden, Nouvelle Donne, Front de Gauche Pays Bigouden, FI Pays Bigouden, PS bigouden et Génération.s Ouest Cornouaille. Une invitation à nous rejoindre est transmise à EELV.

 

Pont-l’Abbé, le 10 novembre 2019 

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