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28 mai 2024 2 28 /05 /mai /2024 08:11
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28 mai 2024 2 28 /05 /mai /2024 05:25
Passage médias de Léon Deffontaines jusqu'au 9 juin
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27 mai 2024 1 27 /05 /mai /2024 11:58

 

Lundi 27 mai :

Léon Deffontaines participera au débat des huit têtes de listes sur BFMTV, en direct, en plateau, de 20h30 à 23h0-Mardi 28 mai : Léon invité de Touche pas à mon poste sur C8, en direct, en plateau, de 19h10 à 19h35- Mardi 28 mai : Léon invité de LCI pour le grand oral des têtes de listes, en direct, en plateau, de 21h45 à 22h00

Mercredi 29 Mai :

Léon Deffontaines invité de la matinale de CNEWS, en direct, en plateau, de 08h30 à 08h55

Jeudi 30 mai : 

Léon Deffontaines participera au débat des six têtes de listes sur CNEWS, en direct, en plateau, de 21h00 à 23h00

Samedi 1er juin : 

Léon Deffontaines invité du 13h de TF1 présenté par Anne-Claire Coudray, en direct, en plateau, vers 13h20

Dimanche 2 juin : 

Léon Deffontaines invité de BFMTV pour le grand oral des têtes de liste, en direct, en duplex depuis Marseille, à 12h45

Mardi 04 juin : 

Léon Deffontaines participera au débat des huit têtes de listes sur France 2, en direct, en plateau, de 20h30 à 23h00

 

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27 mai 2024 1 27 /05 /mai /2024 08:08
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26 mai 2024 7 26 /05 /mai /2024 08:21

 

 

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26 mai 2024 7 26 /05 /mai /2024 07:19
Photo Ouest-France

Photo Ouest-France

200 personnes manifestent à Brest contre le « choc des savoirs »
 
200 personnes se sont rassemblées, place de la Liberté, à Brest, ce samedi 25 mai 2024, avant une courte déambulation dans les rues de la ville. Ils dénoncent la réforme dite du « choc des savoirs », portée par le gouvernement et visant à créer des groupes de niveaux dans les collèges.
À Brest, 200 personnes ont manifesté contre la réforme dite du « choc des savoirs », ce samedi 25 mai 2024.
 
À Brest, 200 personnes ont manifesté contre la réforme dite du « choc des savoirs », ce samedi 25 mai 2024. | OUEST FRANCE
 
Mickaël LOUÉDEC. Publié le 25/05/2024
 
C’est en fustigeant « le tri généralisé des élèves dès le plus jeune âge » et en dénonçant « une attaque frontale contre l’école publique », qu’un peu plus de 200 personnes ont manifesté ce samedi 25 mai 2024, à Brest (Finistère).
Lire aussi : Des manifestations dans toute la France contre la réforme du « choc des savoirs »
Dans le viseur des manifestants, majoritairement des enseignants à en juger les drapeaux brandis le long du parcours, la fameuse réforme dite du « choc des savoirs ». À savoir, plusieurs mesures censées élever le niveau des élèves. L’une d’elles consiste à l’instauration de groupes de niveaux, en français et en mathématiques au collège.
 
« Un fossé va se creuser »
Les manifestants présents à Brest y voient « du tri » et de « l’assignation sociale ». Ismaël Dupont, conseiller départemental, présent pour le PCF, craint aussi que « les élèves ayant un niveau plus fragile » ne soient « stigmatisés ». Il reprend : « La mixité sociale à l’école profite aux élèves qui viennent des milieux défavorisés et ne désavantage pas les autres. Là, un fossé va se creuser entre les bons et les moins bons élèves. »
Sur le court parcours emprunté par le cortège, les manifestants ont aussi dénoncé l’obligation d’avoir le DNB (ex-Brevet des collèges) pour passer en seconde. Une mesure jugée « catastrophique ».
Les « groupes » entreront en vigueur à compter de la rentrée scolaire 2024 pour les classes de sixième et de cinquième, et à partir de la rentrée scolaire 2025 pour les classes de quatrième et de troisième.
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26 mai 2024 7 26 /05 /mai /2024 07:18
550 Lycéens étaient présents hier matin à Quimper à l'initiative des jeunes communistes pour défendre plus de moyen pour l'éducation nationale, contre Parcoursup et contre le SNU
550 Lycéens étaient présents hier matin à Quimper à l'initiative des jeunes communistes pour défendre plus de moyen pour l'éducation nationale, contre Parcoursup et contre le SNU
550 Lycéens étaient présents hier matin à Quimper à l'initiative des jeunes communistes pour défendre plus de moyen pour l'éducation nationale, contre Parcoursup et contre le SNU
550 Lycéens étaient présents hier matin à Quimper à l'initiative des jeunes communistes pour défendre plus de moyen pour l'éducation nationale, contre Parcoursup et contre le SNU
Oui à l'éducation !
Non à la sélection !
 
MJCF Finistère
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26 mai 2024 7 26 /05 /mai /2024 06:01

 

Sur l’emploi, c’est un véritable village Potemkine que le président de la République tente de construire ces derniers mois, à grands coups de mensonges, de dissimulations et de petits arrangements avec les chiffres. Et la nouvelle réforme de l'assurance chômage qui réduit encore les droits des privé·es d'emploi va encore aggraver la situation du pays.

Derrière l’autosatisfecit permanent et les éléments de langage qui vantent la réindustrialisation de la France et mettent en avant les créations nettes d’emplois, se cache une réalité bien différente pour le monde du travail dans notre pays.

A l’heure où la CGT vient de rendre publique une Liste noire de 126 entreprises où, depuis septembre 2023, les plans de licenciements, les suppressions d’emplois et les menaces de fermetures concernent directement 32 660 emplois, dont près de la moitié pour le seul secteur industriel, le PCF dévoile les 3 mystifications d’Emmanuel Macron.

Les trois mystifications du discours présidentiel

Mystification N°1 :

Le Président de la République annonce 2 millions d'emplois supplémentaires par rapport à avant la pandémie.
En fait, d'après l'Insee, ce sont 1,2 million d'emplois qui ont été créés.
En effet, le Président de la République compare au 1er trimestre 2020, c'est à dire mars 2020 (puisque l'emploi est compté en fin de période), moment de confinement, où l'emploi avait déjà reculé de 700.000. Il choisit donc de prendre pour référence un niveau exceptionnellement bas, alors qu'il faut comparer au 4ème trimestre de 2019.

Mystification N°2 :

90.000 emplois ont bien été créés dans l'industrie mais ils ne représentent que 7,5% des 1,2 million d’emplois créés, c'est-à-dire moins que la part de l'industrie dans l'emploi total de notre pays.
On est donc passé de 12,4% des emplois dans l'industrie avant pandémie à 12,1 % à présent ! La part de l’industrie dans l’emploi en France continue donc de diminuer.

Mystification N°3 :

Sur les 1 200 000 emplois supplémentaires, par rapport à fin 2019, on compte 528 000 apprenti·es supplémentaires.

Or, ces derniers ne sont pas des emplois à plein temps : il faudrait au moins, ne compter qu'un mi-temps, voire moins.

 

➡️ Le PCF propose d'engager une nouvelle industrialisation

La France comptait, en 1975, 5 millions d’emplois industriels produisant 25% de la valeur ajoutée. Ils ne sont aujourd’hui plus que 2,8 millions et produisent 10% de la valeur ajoutée. La France, victime de ce long déclin organisé, émarge désormais aux toutes dernières places du peloton européen quand d’autres pays comme l’Allemagne ou l’Italie ont bien mieux « résisté ». Il est temps de mettre un terme à cette saignée industrielle !

Le PCF, ses élu·es, ses militant·es, seront de tous les combats, avec les organisations syndicales et les forces politiques disponibles pour défendre les emplois et les sites industriels, pour faire face aux enjeux de la transition écologique, en relocalisant les productions au plus proche des besoins, et en créant les productions nouvelles que la crise climatique impose.

Dans cet esprit, Léon Deffontaines, tête de liste de la « Gauche unie pour le monde du travail », participera  aux États généraux pour l’industrie et l’environnement organisés le 28 Mai par la CGT.

Dans les rassemblements syndicaux, sur les piquets de grève, au parlement national et demain au parlement européen, les communistes feront entendre leurs propositions.

➡️ Nous demandons des comptes au pouvoir Macron qui prétend inverser la tendance en termes d’emploi en attirant des investissements étrangers sans tenir compte de la nature des emplois détruits et des emplois créés. Datas Centers et entrepôts logistiques ne compensent pas les emplois industriels détruits si structurants pour nos territoires.
➡️ Nous demandons des comptes aux grands groupes français dont 62% des emplois se trouveraient à l’étranger, contre seulement 38% chez les Allemands et 28% chez les Italiens.
➡️ Nous demandons des comptes aux institutions européennes qui ont favorisé la concurrence à l’intérieur de l’Europe et contribué ainsi aux délocalisations en France.
 
Nous pouvons relever le défi d’une nouvelle industrialisation :

  • En sortant du marché européen de l’électricité qui fait peser sur les entreprises des coûts exorbitants quand le pays produit de l’électricité à bas coût,
  • En investissant massivement dans les infrastructures énergétiques, ferroviaires, portuaires pour favoriser l’industrie et l’inscrire dans la transition écologique,
  • En ouvrant des droits nouveaux pour les travailleur·ses leur permettant d’être informé·es en amont et de pouvoir s’opposer avec un droit de veto aux choix mettant en cause leurs emplois et outils de production, en les associant à la conditionnalité, au suivi et aux contrôles des aides publiques accordées aux entreprises,
  • En créant les conditions d’une sécurité d’emploi et de formation,
  • En lançant des pré-recrutements massifs dans la santé, l'enseignement, le fret ferroviaire,
  • En définissant les filières stratégiques d’avenir et souveraines utiles à la nation pour y déployer des plans de formation massifs (filière ferroviaire, filière nucléaire, filière pharmaceutique, filière de la rénovation énergétique, intelligence artificielle..),
  • En mobilisant les banques, et tout particulièrement la BCE, pour financer cela !

Voilà la nécessité. Voilà l'urgence ! Rompre avec la finance et développer les capacités et les salaires des femmes et des hommes, en France et en Europe.
 

 

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26 mai 2024 7 26 /05 /mai /2024 05:52

 

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24 mai 2024 5 24 /05 /mai /2024 05:23
Choc des savoirs: pourquoi le monde de l'éducation s'indigne - L'Humanité, 24 mai 2024
« Choc des savoirs » : pourquoi le monde de l’éducation s’indigne ?

Une intersyndicale d’une ampleur inédite appelle ce samedi 25 mai à la mobilisation contre le tri des élèves et, plus largement, contre la politique éducative du gouvernement.

C’est rarissime, voire inédit : tous les syndicats de l’enseignement et de l’éducation (à l’exception d’un seul, ultra-minoritaire), mais également la FCPE, principale fédération de parents d’élèves, ainsi que les organisations lycéennes appellent ensemble à dire « Non au choc des savoirs » et à se manifester pour cela samedi 25 mai, dans plus de 60 villes et à Paris. Le message est clair : au-delà des différences, des désaccords et des divisions, la gravité de la situation exige de se rassembler.

Même si le gouvernement refuse désormais de parler de groupes « de niveau », car l’expression en révèle déjà trop sur ses intentions de tri social, c’est bien cela dont il s’agit. Et c’est ce que refuse l’intersyndicale : « Le projet de ce gouvernement est de faire vivre les jeunes dans des mondes parallèles », expliquait ainsi la secrétaire générale du Syndicat des enseignants de l’Unsa, Élisabeth Allain-Moreno, lors d’une conférence de presse de l’intersyndicale, mercredi 22 mai.

Les syndicats craignent une séparation des élèves dès l’entrée en 6e, les « bons » d’un côté, les « faibles » de l’autre, ces derniers se voyant ensuite imposer l’obtention du DNB (diplôme national du brevet) pour entrer au lycée et, en cas d’échec, une orientation vers des classes « prépa seconde », antichambre de leur éjection vers l’apprentissage.

« Un décalque de mesures portées par Marine Le Pen en 2017 »

Benoît Teste, secrétaire général de la FSU, développe l’analyse : il voit dans le « choc des savoirs » et, au-delà, dans les dernières annonces du gouvernement en matière éducative ces derniers mois, « une tentative d’avancer des mesures démagogiques, réactionnaires », de faire passer des idées nauséabondes comme celle « qu’une partie des élèves ne serait pas éducable », qu’il faudrait « en envoyer certains vers l’entreprise au plus tôt… ».

Le syndicaliste y détecte aussi « un décalque de mesures portées par Marine Le Pen à la présidentielle 2017, comme le DNB barrage ou l’uniforme. C’est aussi notre responsabilité de lutter au quotidien pour un projet humaniste d’une école pour tous. Lutter contre l’extrême droite, ce n’est pas abstrait ».

Pour lui, « l’école est à un point de rupture et c’est grave pour le futur de notre pays ». C’est l’autre point principal sur lequel l’intersyndicale s’accorde : la bataille contre les mesures du « choc des savoirs » va plus loin que le seul enjeu scolaire. Pour Maud Valégeas, de SUD éducation, « le 25 est le début d’une mobilisation plus large pour construire une école publique émancipatrice ».

Depuis janvier, les mobilisations sont partout : locales, avec la multiplication devenue presque quotidienne d’opérations « collège mort » portées aussi par les parents d’élèves ; départementales, comme le mouvement de grève « pour un plan d’urgence » en Seine-Saint-Denis, entamé le 26 février et qui dure toujours face à un ministère qui joue ostensiblement la montre ; et nationales, avec deux journées de grève « majoritaires dans les collèges », souligne encore Benoît Teste. Et personne ne voit dans ce samedi une conclusion. Au contraire, reprend le secrétaire général de la FSU, « nous espérons une forte mobilisation qui soit le début d’un mouvement de tout le pays pour son école ».

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