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15 février 2020 6 15 /02 /février /2020 20:39
Forum Jeunesse de Morlaix Ensemble - Jeudi 13 février à La Madeleine, au mille club - Photos de Jean-Luc Le Calvez
Forum Jeunesse de Morlaix Ensemble - Jeudi 13 février à La Madeleine, au mille club - Photos de Jean-Luc Le Calvez
Forum Jeunesse de Morlaix Ensemble - Jeudi 13 février à La Madeleine, au mille club - Photos de Jean-Luc Le Calvez
Forum Jeunesse de Morlaix Ensemble - Jeudi 13 février à La Madeleine, au mille club - Photos de Jean-Luc Le Calvez
Forum Jeunesse de Morlaix Ensemble - Jeudi 13 février à La Madeleine, au mille club - Photos de Jean-Luc Le Calvez
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Forum Jeunesse de Morlaix Ensemble - Jeudi 13 février à La Madeleine, au mille club - Photos de Jean-Luc Le Calvez
Forum Jeunesse de Morlaix Ensemble - Jeudi 13 février à La Madeleine, au mille club - Photos de Jean-Luc Le Calvez
Forum Jeunesse de Morlaix Ensemble - Jeudi 13 février à La Madeleine, au mille club - Photos de Jean-Luc Le Calvez
Forum Jeunesse de Morlaix Ensemble - Jeudi 13 février à La Madeleine, au mille club - Photos de Jean-Luc Le Calvez
Forum Jeunesse de Morlaix Ensemble - Jeudi 13 février à La Madeleine, au mille club - Photos de Jean-Luc Le Calvez

C'était hier, jeudi 13 février, l'atelier participatif de Morlaix Ensemble sur la jeunesse à Morlaix, au mille club de la Madeleine. Encore une très belle réunion de construction démocratique collective introduite par Yvon Laurans et David Guyomar pour donner une nouvelle impulsion et un nouveau dynamisme à notre ville bien aimée. Photos de Jean-Luc Le Calvez.

Forum Jeunesse de Morlaix Ensemble - Jeudi 13 février à La Madeleine, au mille club - Photos de Jean-Luc Le Calvez
Forum Jeunesse de Morlaix Ensemble - Jeudi 13 février à La Madeleine, au mille club - Photos de Jean-Luc Le Calvez
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Forum Jeunesse de Morlaix Ensemble - Jeudi 13 février à La Madeleine, au mille club - Photos de Jean-Luc Le Calvez
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15 février 2020 6 15 /02 /février /2020 20:33
Assemblée nationale. La gauche présente son plan de bataille
Vendredi, 14 Février, 2020

Communistes et insoumis ont annoncé, jeudi, leur stratégie pour l’arrivée du projet de réforme des retraites en séance. Alors que 67 % des Français souhaitent une consultation populaire, la motion référendaire devrait être déposée dès lundi.

 

Veillée d’armes à gauche. À peine clos le chapitre de la commission spéciale, communistes et insoumis ont réuni la presse ce jeudi, les premiers à leur siège, les seconds au Palais-Bourbon, pour annoncer la suite de leur bataille parlementaire contre la réforme des retraites, qui arrive lundi dans l’Hémicycle. « Nous voulons obtenir et gagner le retrait du projet de loi », martèle le secrétaire national du PCF, Fabien Roussel, qui, remonté à bloc par le sondage Ifop publié par l’Humanité, estime qu’un référendum permettrait de « sortir de la crise ». 67 % des Français s’y disent favorables et, en cas de vote, 56 % s’opposeraient à la réforme, selon l’enquête. « La bataille continue dans l’Hémicycle, elle a pour objectif d’intéresser toujours plus de monde au contenu de cette loi pour enfoncer la ligne de défense macroniste, et de donner du temps à la mobilisation sociale », résume, de son côté, Jean-Luc Mélenchon. Le président du groupe FI se félicite, loin de l’obstruction reprochée à son groupe, d’avoir « levé plusieurs lièvres » en commission spéciale. Le texte est « pire que prévu, pire qu’annoncé », alerte également le député PCF du Nord. « Âge de départ en retraite à 65 ans », dépenses ramenées à « 12,9 % du PIB et non plus 14 % », « montant du point indexé à un indicateur qui n’existe pas »… la liste est longue. « Ils sont incapables de répondre sur les enjeux phares », complète Clémentine Autain (FI).

Première flèche préparée par les trois groupes de gauche (PS, GDR, FI) : la motion référendaire, qui devrait être décochée dès la première séance. « Notre fenêtre de tir est lundi, de 17  h  30 à 20 heures », prévient le président du groupe GDR, André Chassaigne. Car, pour que la motion soit soumise au vote, au moins 58 de ses signataires doivent être présents dans l’Hémicycle – une « petite difficulté » – et elle ne peut être examinée que lors de la discussion générale qui précède l’examen des articles. Si elle emporte le vote d’une majorité de députés, les débats sont suspendus et le Sénat a quatre semaines pour se prononcer à son tour. « Sans m’avancer, je crois pouvoir dire, puisque LR est opposé au texte du gouvernement, que la majorité sénatoriale pourrait voter cette motion », relève la sénatrice PCF Éliane Assassi.

Outre la bataille d’amendements, la motion de censure fait aussi partie des munitions à disposition de l’opposition. Une « procédure accélérée, un rapport de 1 000 pages, 29 trous liés aux ordonnances, une Macronie muette et un rapport du Conseil d’État dur. Cette obstruction, nous voulons la censurer », explique Mélenchon, qui fustige comme « un sujet de diversion » la question du communautarisme agitée par Emmanuel Macron. « Parmi les groupes de gauche, il y a unanimité pour déposer une motion de censure. Le seul élément à préciser aujourd’hui, c’est quand on la dépose : au début, en cours ou à la fin des débats », détaille André Chassaigne. Mais « voter une motion de censure pour un député LaREM, c’est s’autocensurer ; par contre, soutenir un référendum, c’est soutenir la démocratie », ajoute Fabien Roussel. Pour faire « monter la pression », les communistes lancent une mobilisation éclair afin qu’un maximum de « citoyens interpellent leur député ». En plus d’une campagne de terrain avec tracts et affiches, 250 000 mails sont partis « avec une lettre type » à l’attention des parlementaires, annonce Roussel.

PCF et FI se retrouveront lundi dans l’Hémicycle, mais aussi aux abords du Palais-Bourbon. Les deux formations se sont jointes à l’appel à une « assemblée populaire contre la réforme » au moment où l’examen du texte commencera.

Julia Hamlaoui avec Lola Ruscio
Retraites - Assemblée nationale. La gauche présente son plan de bataille (L'Humanité, 14 février 2020)
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15 février 2020 6 15 /02 /février /2020 20:01
Quatre éclairs dans le sombre ciel mondial

La première lueur vient d'Italie où le Sénat a  levé l’immunité parlementaire du proto-fasciste Salvini pour son inhumanité vis-à-vis des migrants et la violation de la loi Italienne assurant l’accueil des réfugiés.

La seconde c’est le grand succès de nos amis historiques du Sinn Fein en Irlande. Ce parti et ses cadres sont merveilleux de patience, d’intelligence, de persévérance alors qu’ils ont tant subi avant l’accord de paix. Nous les côtoyons depuis très longtemps au Parlement européen, dans différentes relations politiques et amicales. J’ai, de surcroit, une émotion particulière quand je repense aux moments où le Parti communiste avait confié aux fédérations bretonnes d’entretenir des liens particuliers avec cette force durant ce qui s’appelait « la guerre civile ».

La troisième nous vient des États-Unis avec les scores de Bernie Sanders lors des premières élections primaires du Parti démocrate.

La quatrième raison de se réjouir c’est le résultat de ce nouveau sondage : 67% des nos concitoyens souhaitent que le projet gouvernemental de contre-réforme des retraites soit soumis à consultation dans le cadre d’un référendum. 67% c’est un niveau extrêmement important qui dit beaucoup de l’aspiration démocratique. Ceci ne peut que conforter les mouvements sociaux en cours qui ont la particularité désormais d’associer, voire d’unir, les classes travailleuses les plus populaires, les plus exploitées et des couches classifiées de moyenne. Cela donne aussi des forces aux parlementaires progressistes, qui mènent un admirable combat à l’assemblée nationale.

Il faudrait maintenant organiser des délégations larges de travailleurs, de citoyennes et de citoyens, de privés d’emploi, d’enseignants, d’avocats, de médecins et d’infirmières pour aller aux permanences parlementaires de députés de la majorité présidentielle, de façon pacifique pour une discussion politique simple.

« Madame la députée, Monsieur le député vous déplorez que la situation soit bloquée, nous aussi. Vous sentez bien que vos argumentaires sont fragiles. Vous êtes incapable de répondre aux questions qu’on vous pose comme le niveau des futures retraites et l’âge de départ parce que votre gouvernement ne vous donne pas ces éléments. Sans doute avez-vous découvert comme nous avec stupéfaction que la retraite ne serait même pas calculée sur le niveau des salaires mais sur un indice inexistant « un revenu moyen ». Par delà nos différences et nos oppositions, compte tenu de ce qui se passe, on doit convenir que tout ceci n’était pas dans le programme présidentiel ni même dans vos propositions de candidates ou candidats à la députation. Dans ces conditions vous devriez être d’accord pour que l’on consulte les citoyens par référendum. Il y aura un débat démocratique entre nous mais c’est le peuple qui tranchera. Vous pouvez donc voter la motion référendaire que proposent les députés communistes. »

Une telle démarche permettrait d’élargir encore les mouvements en cours, de faire découvrir les contenus des projets en débat à l’assemblée. Pour cela les documents de décryptage de l’Humanité et de l’Humanité Dimanche sont une aide précieuse.

C’est le sens de mon éditorial de l’Humanité Dimanche cette semaine.
 
 
Patrick Le Hyaric: Les retraites méritent un référendum ! - L'Humanité, 13 février
Les retraites méritent un référendum !
Jeudi, 13 Février, 2020
 

Un président de la République est garant de l’intérêt général. M. Macron doit saisir l’occasion de le prouver. Quand plus de 61 % des citoyens refusent la destruction du système de retraite solidaire, il doit l’entendre. Il doit reconnaître que son projet est à l’opposé de son programme de campagne qui garantissait que l’âge de départ en retraite ne reculerait pas et que les pensions ne diminueraient pas (1).

Or, même les études d’impact bricolées montrent que la contre-réforme soumise à la commission spéciale du Parlement prévoit les deux. Et, jusque-là, aucun ministre ne l’a démenti. Dès lors qu’existe un tel écart entre les engagements et ce qui est réellement proposé, qu’une majorité de nos concitoyens le refuse, que tous les syndicats, d’une manière ou d’une autre, s’y opposent et que même des députés de la majorité présidentielle n’en veulent pas, il n’y a qu’un moyen de trouver un juge de paix : proposer au peuple de se prononcer par référendum.

L’enjeu est énorme. Il s’agit en effet de savoir comment des millions de personnes, sur plusieurs générations, vont vivre la période « d’après le travail » de leur existence. Il s’agit de savoir s’il est juste et efficace de briser l’un des piliers de l’État social qui repose sur 14 % des richesses produites. Et si la sixième puissance mondiale, dans laquelle la productivité du travail a été démultipliée, a aujourd’hui les capacités ou non de rénover son pacte social construit alors que la France était ruinée, dévastée, au sortir de la Seconde Guerre mondiale. Le débat doit avoir lieu.

En mentant sur un projet de toute évidence conçu pour satisfaire les fonds de pension et appuyer la dynamique perverse du capital financier, le gouvernement a braqué les classes populaires, désormais rejointes par des fractions importantes et diverses des classes moyennes. En enrégimentant autoritairement sa majorité, même rétive, dans un projet de bouleversement de la société, il a aggravé les préventions et la méfiance à l’encontre d’une démocratie vécue comme représentative du seul pouvoir. Le groupe communiste au Parlement a raison de proposer une motion référendaire. Il est rejoint aujourd’hui par d’autres forces. Refuser ce référendum, ce serait refuser une part décisive de démocratie participative et humilier l’immense majorité des citoyens. Cela reviendrait à faire la part belle à l’extrême droite pour la faire grandir encore. Cet enjeu démocratique est de haute importance : celui de « faire France » non pas seulement ensemble, mais en commun, au nom de la République sociale.

La question à soumettre aux citoyens serait, contrairement aux allégations gouvernementales, d’une grande et claire simplicité : « Êtes-vous oui ou non pour le projet de réforme des retraites proposé par le gouvernement ? » Le débat public approfondi permettrait à chacune et chacun d’étudier toutes les hypothèses, de vérifier les chiffres, d’accéder aux études d’impact, aux analyses des syndicats, des partis, des associations. Le référendum se justifie donc. Tous les éléments sont réunis pour que la décision souveraine des Français soit précédée d’une belle et grande délibération collective, comme ils en furent capables en 2005 lors du référendum sur le projet de Constitution européenne.

Il ne s’agit pas ici d’une bataille de chapelles, ni d’arracher une quelconque reddition, mais bien d’obtenir une grande respiration démocratique. L’intérêt général le commande. Le gouvernement doit l’entendre ! « L’Humanité » et « l’Humanité Dimanche » contribuent à faire vivre cette demande démocratique.

(1) Son programme présidentiel stipule : « Nous ne toucherons pas à l’âge de départ à la retraite, ni au niveau des pensions. »
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15 février 2020 6 15 /02 /février /2020 07:28
Décès de notre camarade Jean-Jacques Goussé à Concarneau - Obsèques ce samedi 15 février à 16h30 à Quimper
Une bien triste nouvelle...
 
Nous venons d'apprendre le décès de Jean-Jacques Goussé, adhérent au Parti à Concarneau, et mari de notre comptable bénévole si précieuse depuis des années, Marie-France Goussé.
 
Jean-Jacques Goussé est adhérent communiste depuis les années 68.
 
Originaire de Vitry-sur-Seine comme Marie-France, animateur de rue, il est arrivé dans le Finistère avec son épouse et sa famille en 1979, s'installant d'abord à Moélan-sur-Mer, puis en 1984 à Concarneau. Sa passion était la voile et la formation des jeunes en centre nautique, auprès des Glénans. Il termina sa carrière professionnelle comme directeur du service jeunesse à la mairie de Concarneau. 
 
Avec Marie-France, Jean-Jacques était devenu une figure de Concarneau. 
 
Depuis un an, il était atteint par une maladie orpheline et il est malheureusement décédé d'un arrêt cardiaque mercredi dernier à l'hôpital, à l'âge de 73 ans. 
 
Je veux exprimer toute notre sympathie et notre solidarité à Marie-France dans cette épreuve et cette peine terrible,et notre chagrin de voir disparaître Jean-Jacques.
 
Ismaël Dupont, secrétaire départemental du PCF Finistère.
 
 
"Jean-Jacques a toujours défendu la laïcité et la solidarité. En 1968, il adhère au Parti communiste. Après un court passage dans une banque, il postule à un emploi d'animateur à la mairie de Vitry-sur-Seine. Il va rencontrer deux personnes qui vont l'aider à se construire. Il devient animateur de quartier, c'est-à-dire aider les jeunes, éviter les règlements de compte, découvrir les autres. Lors d'un voyage avec les jeunes, il tombe amoureux de la mer. Plusieurs fois, il revient à Rosbras et il y emmène sa famille. Un jour, Yvon Emery lui propose de travailler avec les classes de mer. Puis sa rencontre avec Robert Jan le décide à y travailler. Il participe avec l'équipe au développement de la voile scolaire. Il s'est bagarré pour que le projet de la maison des jeunes se réalise. Il termine sa carrière en tant que responsable pour la jeunesse à Concarneau. Pendant ce temps, il a participé au comité de jumelage de Concarneau et à d'autres associations. Il est élu comme secrétaire général quelques années. Il est le dernier président de l'association qui dirigeait le musée de la Pêche, avant que la CCA en prenne la gestion avec celui de Pont-Aven. Il fut admiratif du travail accompli par le personnel du musée pour devenir musée de France. Dernièrement, il faisait parti du comité de quartier du centre ville de Concarneau. Par sa vie, il a participé à la vie de la communauté"
Marie-France Goussé   
Jean-Jacques Goussé (photo Le Télégramme) - Jean-Jacques était notamment impliqué à Concarneau au comité des pêches et au comité de jumelage. Très impliqué depuis des années dans la vie concarnoise, Jean-Jacques Goussé vient de mourir, à l’âge de 73 ans. Exerçant la fonction de responsable du service animation et jeunesse à la Ville jusqu’à sa retraite, il s’était notamment investi de très nombreuses années au sein du comité de jumelage, dont il a longtemps porté la casquette de secrétaire général.

Jean-Jacques Goussé (photo Le Télégramme) - Jean-Jacques était notamment impliqué à Concarneau au comité des pêches et au comité de jumelage. Très impliqué depuis des années dans la vie concarnoise, Jean-Jacques Goussé vient de mourir, à l’âge de 73 ans. Exerçant la fonction de responsable du service animation et jeunesse à la Ville jusqu’à sa retraite, il s’était notamment investi de très nombreuses années au sein du comité de jumelage, dont il a longtemps porté la casquette de secrétaire général.

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15 février 2020 6 15 /02 /février /2020 07:20

Une rencontre avait lieu avec Thomas Portes la semaine dernière Samedi 8 Février à 10H30 autour d’un café au local de section du PCF. 5 Rue Henri Moreau, 29200 Brest, suivie d'une participation au forum social brestois de réflexion et formation sur la lutte contre l'extrême-droite.
 
Thomas Portes occupe actuellement le poste de chef de cabinet du maire (PCF) de Champigny (Val-de-Marne), il est responsable national du PCF en charge du collectif des cheminots, syndicaliste CGT et auteur de « Au coeur de la haine ».

C’est au printemps 2018 que Thomas Portes s’est vu assigné en justice par Génération Identitaire suite à un tweet où il réagissait et l’opération anti migrants du col de l’Echelle. Cette assignation n’était pas un hasard, mais le fruit d’une démarche réfléchie et assumée visant pour Génération Identitaire, à se mettre en scène sous les feux des médias, en envoyant au tribunal et tentant de criminaliser une nouvelle fois les migrants et ceux qui leur portent assistance. Dans le cas de Thomas c’est également le syndicaliste cheminot qui est dans le viseur. « Ce n’est pas moi mais eux qui devraient être poursuivie pour appel à la haine ! » écrit-il fort justement quand il évoque son futur procès.

Programme du Forum Social :

Forum Social Brestois

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15 février 2020 6 15 /02 /février /2020 07:00
Photo-montage en forme de synthèse visuelle du dernier conseil de communauté du mandat 2014-2020 par Pierre-Yvon Boisnard

Photo-montage en forme de synthèse visuelle du dernier conseil de communauté du mandat 2014-2020 par Pierre-Yvon Boisnard

Conseil de communauté de Morlaix-Co du 10 février 2020 - Photos Pierre-Yvon Boinard et bref compte rendu
Conseil de communauté de Morlaix-Co du 10 février 2020 - Photos Pierre-Yvon Boinard et bref compte rendu
Conseil de communauté de Morlaix-Co du 10 février 2020 - Photos Pierre-Yvon Boinard et bref compte rendu
Conseil de communauté de Morlaix-Co du 10 février 2020 - Photos Pierre-Yvon Boinard et bref compte rendu
Conseil de communauté de Morlaix-Co du 10 février 2020 - Photos Pierre-Yvon Boinard et bref compte rendu
Conseil de communauté de Morlaix-Co du 10 février 2020 - Photos Pierre-Yvon Boinard et bref compte rendu
Conseil de communauté de Morlaix-Co du 10 février 2020 - Photos Pierre-Yvon Boinard et bref compte rendu
Conseil de communauté de Morlaix-Co du 10 février 2020 - Photos Pierre-Yvon Boinard et bref compte rendu
Conseil de communauté de Morlaix-Co du 10 février 2020 - Photos Pierre-Yvon Boinard et bref compte rendu
Conseil de communauté de Morlaix-Co du 10 février 2020 - Photos Pierre-Yvon Boinard et bref compte rendu
Conseil de communauté de Morlaix-Co du 10 février 2020 - Photos Pierre-Yvon Boinard et bref compte rendu
Conseil de communauté de Morlaix-Co du 10 février 2020 - Photos Pierre-Yvon Boinard et bref compte rendu
Conseil de communauté de Morlaix-Co du 10 février 2020 - Photos Pierre-Yvon Boinard et bref compte rendu
Conseil de communauté de Morlaix-Co du 10 février 2020 - Photos Pierre-Yvon Boinard et bref compte rendu
Conseil de communauté de Morlaix-Co du 10 février 2020 - Photos Pierre-Yvon Boinard et bref compte rendu
Conseil de communauté de Morlaix-Co du 10 février 2020 - Photos Pierre-Yvon Boinard et bref compte rendu

C'était le dernier conseil communautaire de Morlaix-Communauté de la mandature 2014-2020.

Encore une fois un grand merci à Pierre-Yvon Boisnard pour avoir couvert la totalité des conseils communautaires depuis 6 ans - Un bel exemple d'observation et de transmission pour faire vivre la démocratie locale et la mettre à l'honneur. Merci à lui aussi de transmettre toujours au Chiffon Rouge ses photos. 

Ce fut un conseil de communauté studieux et calme, comme le souligne la presse ce matin, sans beaucoup d'interventions critiques ni de débats contradictoires. Agnès Le Brun notamment a voté le budget primitif cette fois, sans intervention critique sur le sujet, alors qu'au conseil communautaire passé le 16 décembre, les échanges avaient été assez frontaux entre la maire de Morlaix et le président de la communauté d'agglomération Thierry Piriou.

Conseil Communautaire du 16 décembre 2019 - photos de Pierre-Yvon Boisnard et compte rendu partiel d'Ismaël Dupont (+ Revue de presse)

C'était le dernier Conseil communautaire du président d'agglomération, qui ne se représente pas à la mairie de Pleyber-Christ (où il soutient la candidature de Julien Kerguillec), mais aussi de Jean-Michel Parcheminal, maire de Plouenour-Menez, ne se représentant pas,VP aux Finances, et de Yves Moisan, maire de Plouézoc'h, ne se représentant pas, VP à l'économie et au tourisme, de Guy Pouliquen, maire de Locquénolé ne se représentant pas, VP au personnel, Yvon Le Cousse, maire de Plougonven, VP lui aussi... Pour un certain nombre de conseillers communautaires, c'était aussi sans doute, les élections en décideront pour certains, un terme provisoire ou définitif à leurs fonctions d'élus communautaires.

C'est un engagement qui mérite d'être salué car c'est du temps et du travail au service de l'intérêt général.

Thierry Piriou a été applaudi et remercié en fin de conseil communautaire.   

Pour ma part, je tiens à dire que je n'ai pas raté un seul conseil communautaire depuis 6 ans, que j'y suis intervenu plusieurs fois et en préparant mes interventions par une lecture attentive des documents, des recherches d'informations complémentaires parfois, à chaque assemblée pour alimenter le débat, poser des questions, défendre des positionnements plus ou moins critiques, faire des propositions, manifester des oublis ou des manques, ou bien signifier mon accord avec certaines orientations importantes et nécessaires.

J'ai pris soin aussi de rendre public l'ordre du jour de chaque conseil communautaire (quand il n'était pas accessible) et de faire un compte rendu à chaque fois de mes interventions.

Les échanges ont parfois été âpres sur certains conseils communautaires mais dans l'ensemble ce fut pour moi un plaisir d'y défendre des idées bien ancrées à gauche, et donc une exigence de démocratie, de transparence, de défense des services publics et du monde associatif. J'espère que les citoyens morlaisiens porteront leur vote majoritairement sur la liste "Morlaix Ensemble" afin que nous puissions continuer à y travailler pour l'intérêt de la démocratie locale et du territoire. Les relations entretenues avec les autres élu-e-s communautaires et le président Thierry Piriou ont été très cordiales, toutes tendances confondues, en dépit parfois des différences de points de vue. 

Voici mon bilan de mandat publié il y a quelques mois:

Bilan de mandat de conseiller municipal et communautaire PCF de Ismaël Dupont (PCF)

  Au conseil de lundi, je suis intervenu sur le vote du PLUIH (3 voix contre, dont les 2 élus de droite de la majorité à Plouigneau, tout le reste pour) en portant l'attention du conseil sur les réserves exprimées par l'association pour un petit port breton sympa à Plougasnou par rapport à l'implantation d'une cale submersible de carénage de bateaux (avec des produits chimiques) sur le fond de l'anse du Diben, malgré l'existence reconnue d'une zone humide et d'espèces d'oiseaux protégées - oie bernache cravant, cygne tuberculé, tadorne de belon, héron cendré, aigrette garzette - alors que la zone du port actuel au nord de l'anse semblait plus indiquée pour installer un telle dalle de carénage, ce qu'avait exprimé l'association sous couvert d'un avocat spécialiste en droit communautaire lors de l'enquête publique. C'est Claude Poder qui a répondu en disant que rien n'était encore définitif mais il est étonnant que la maire de Plougasnou n'ait pas répondu elle-même si cette question qui peut conduire à ce que le projet du PLUIH soit retoqué.

Sur le vote du budget primitif, j'ai exprimé mon accord avec plusieurs des grands investissements prévus dans le budget mais ma préoccupation:

- Pour une politique plus ambitieuse et volontariste de transport en commun, notamment sur le plan des liaisons péri-urbaines, en regrettant que ce sujet n'ait pas été pris à bras le corps depuis ans, malgré les enjeux de mobilités de tous les publics, d'aménagement du territoire, de lutte contre la crise écologique et climatique. J'ai regretté que les propositions du collectif citoyen transport pour Morlaix Sud, aux sympathisants et animateurs présents en nombre dans la salle, ne soient pas prises en compte et qu'ils ne puissent avoir accès aux documents financiers de la DSP Transport avec Kéolis, ce qui pose un problème de contrôle et de transparence sur l'utilisation des moyens publics. J'ai réclamé à nouveau l'ouverture de lignes périurbaines avec des trajets plus fréquents et rapides pour développer l'usage du transport en commun et faire naître de nouvelles habitudes.   

- J'ai dit mon regret qu'on n'ait pas tranché cette année sur la création d'une école intercommunale de musique et de danse pour faire monter en puissance et démocratiser la formation artistique des enfants et des adultes, offrir des bonnes conditions d'enseignements musicaux, avec des tarifs accessibles.

- J'ai exprimé aussi le besoin d'une vraie ambition de la communauté sur la question du vieillissement et de la perte d'autonomie, et le besoin, notamment, de l'ORPAM, qui perd près de 8000€ de subventions cette année à l'échelle départementale, d'être mieux soutenu par la communauté, sachant que la moitié de ses adhérents ne sont pas morlaisiens et qu'il exerce avec efficacité et à la satisfaction de tous des missions spécifiques, originales et nécessaires de formation continue, de lutte contre l'isolement et le vieillissement, etc. 

- Enfin j'ai exprimé aussi ma préoccupation par rapport à la situation tendue de Morlaix Communauté au service déchets-Environnement, et dans les déchetteries, avec un certain nombre d'arrêts qui, faute d'embauches, mettent en danger la continuité du service.

Je suis intervenu à un troisième moment du conseil sur le sujet de l'aide communautaire au réaménagement de la voie d'accès au port (600 000€ sur un budget total de 2 millions et quelques) en exprimant mes interrogations sur la suppression de nombreuses places de parking pour les riverains et le 2 D. Et surtout en posant la question d'un réaménagement global du schéma de circulation sur la zone d'accès à la gare, avec notamment la nécessité de trouver une parade à la dangerosité de la circulation, notamment des grands bus, dans la rue Gambetta (réflexion sur un sens unique, détournement des bus sur un autre axe, bus de petits gabarits... ).

Ismaël Dupont - 12 février 2020

 

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15 février 2020 6 15 /02 /février /2020 06:49
1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 46/ Denise Roudot (1933-2002)
Article de Denise Roudot dans "Notre Finistère", supplément à l'Humanité, 13 décembre 1964

Article de Denise Roudot dans "Notre Finistère", supplément à l'Humanité, 13 décembre 1964

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère:

46/ Denise Roudot (1933-2002)

Née le 7 avril 1933 à Landerneau (Finistère), morte le 13 mars 2002 à Brest (Finistère) ; professeur de mathématiques ; militante du SNET puis du SNES ; militant du PCF dans le Finistère.

Fille d’un boulanger, Denise Guermeur, professeur, se maria en août 1960 à Landerneau, avec Henri Roudot, employé à la SNCF, futur dirigeant de la fédération du Finistère du Parti communiste français. Ce dernier mourut lors d’une réunion du secrétariat fédéral en 1965-1966.

Professeur dans un lycée technique de la région de Brest, militante du Syndicat national de l’enseignement technique, Denise Roudot était membre de la commission administrative académique du syndicat au milieu des années 1960 et suppléante à la commission administrative de la section du Finistère de la Fédération de l’Éducation nationale.

Membre du Parti communiste français depuis 1959, secrétaire de la section communiste de Brest-centre, elle entra en 1964 au comité de la fédération communiste et fut membre de la commission féminine. Elle devint membre du secrétariat fédéral en 1966, responsable de la propagande, puis figura au seule bureau fédéral en 1968. Quand la séparation en deux de la fédération en 1970, elle demeura membre du seul comité de la fédération Finistère Nord. Elle refusa d’être membre du comité fédéral lors de la conférence fédérale de 1971 pour des raisons de santé.

Elle fut candidate au Conseil général dans le canton de Daoulas en 1967 (19,67%).

1967-1968: le Parti Communiste dans les luttes du Finistère (archives Pierre Le Rose)

Le PCF voulait la présenter aux élections législatives de 1973 dans la deuxième circonscription (Morlaix). Jeune maman, elle refusa.

Elle répondit positivement à une souscription pour aider l’Humanité en 1998. Elle habitait alors Plougastel-Daoulas.

Amie de Dédé Moat, elle récupéra ses archives personnelles et politiques après son décès.

Source: https://maitron.fr/spip.php?article170498, notice ROUDOT Denise née Guermeur par Jacques Girault, version mise en ligne le 8 février 2015, dernière modification le 26 octobre 2017.

L'hommage d'Yvonne Rainero, secrétaire de section PCF de Quimper:

"J'avais beaucoup d'amitié pour Denise avec qui j'ai milité à Brest au début des années 70. Si elle s'était un peu mise en retrait des responsabilités fédérales, elle était très présente sur le terrain. Toutes les deux profs de math nous nous partagions la diffusion des idées communistes et de nos publications dans les lycées de la cité scolaire de Kérichen (lycée d’État pour moi, lycée technique pour elle comme on disait à l'époque) et nous avions créé ensemble sur la cité scolaire (une très grande concentration éducative avec 3 lycées 2 collèges sur le même territoire et de l'autre côté de la rue un groupe primaire-maternelle) une cellule d'établissement dont j'étais la secrétaire. Nous diffusions notre matériel, y compris un journal enseignant, sur les 3 lycées et les 2 collèges. Mais Denise était aussi très présente à Plougastel où elle résidait, elle partageait alors la vie du cycliste breton Michel Nédélec, ancien vainqueur de Bordeaux-Paris, elle était secrétaire de la cellule locale et avait obtenu des résultats électoraux impressionnants dans ce secteur a priori peu favorable à nos idées. Denise était très liée avec Dédée Moat, deux femmes pour qui l'engagement communiste et le sens de l'amitié, de l'attention aux autres allaient de pair".

Lire aussi nos autres publications pour l'année du centenaire du Parti communiste dans la série "100 ans d'engagements communistes en Finistère":

Lire aussi:

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 45/ Paul Le Gall (né en 1925)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 44/ René Le Bars (1933-2016)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 43/ Louis Le Roux (1929-1997)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 42/ Pierre Corre (1915-1943)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 41/ Daniel Le Flanchec (1881-1944)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 40/ Joséphine Pencalet (1886-1972)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 39/ Sébastien Velly (1878-1924)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 38/ Edouard Mazé (1924-1950)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 37/ Guy Liziar (1937-2010)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 36/ Henri Moreau (1908-1943)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 35/ Alphonse Penven (1913-1994)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 34/ Michel Mazéas (1928-2013)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 33/ Pierre Guéguin (1896-1941)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 32/ Jean-Louis Primas (1911-1943)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 31/ François Paugam (1910-2009)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 30/ Angèle Le Nedellec (1910-2006)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 29/ Jules Lesven (1904-1943)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 28: Raymonde Vadaine, née Riquin

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 27/ Jeanne Goasguen née Cariou (1901-1973)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 26/ Gabriel Paul (1918-2015)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 25/ François Bourven (1925-2010)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 24/ Yves Autret (1923-2017)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 23/Pierre Jaouen (1924-2016)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 22/ André Berger (1922-1943)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 21/ Joseph Ropars (1912-1943)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 20/ Paul Monot (1921-1943)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 19/ Jean-Désiré Larnicol (1909-2006)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 18/ Jean Le Coz (1903-1990)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 17/ Alain Cariou (1915-1998)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 16/ Jean Nédelec (1920-2017)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 15/ Alain Le Lay (1909-1942)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 14/ Pierre Berthelot (1924-1986)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 13/ Albert Abalain (1915-1943)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 12/ Andrée Moat (1920-1996)

1920-2020: cent ans d'engagements communistes en Finistère: 11/ Jean Le Brun (1905-1983)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère - 10/ Denise Larzul, née Goyat (1922-2009)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 9/ Pierre Le Rose

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 8/ Marie Salou née Cam (1914-2011)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 7/ René Vautier (1928-2015)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 6/ Denise Firmin née Larnicol (1922-2019)

1920-2020 - 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 5/ Fernand Jacq (1908-1941)

1920-2020: 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 4/ Corentine Tanniou (1896-1988)

1920-2020 - 100 ans d'engagements communistes en Finistère: 3/ Albert Rannou (1914-1943)

1920-2020 - 100 ans d'engagements communistes en Finistère - 2/ Marie Lambert (1913-1981)

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15 février 2020 6 15 /02 /février /2020 06:37
Casse de l'hôpital, fermeture des Mésanges - Le comité de défense de l'hôpital de Morlaix et la CGT manifestaient à Plougonven vendredi 14 février.
Casse de l'hôpital, fermeture des Mésanges - Le comité de défense de l'hôpital de Morlaix et la CGT manifestaient à Plougonven vendredi 14 février.
Casse de l'hôpital, fermeture des Mésanges - Le comité de défense de l'hôpital de Morlaix et la CGT manifestaient à Plougonven vendredi 14 février.
Casse de l'hôpital, fermeture des Mésanges - Le comité de défense de l'hôpital de Morlaix et la CGT manifestaient à Plougonven vendredi 14 février.
Casse de l'hôpital, fermeture des Mésanges - Le comité de défense de l'hôpital de Morlaix et la CGT manifestaient à Plougonven vendredi 14 février.

Le comité de défense de l'hôpital de Morlaix et la CGT étaient à Plougonven, sur l'annexe de l'hôpital de Morlaix, vendredi 14 février.

Photo Ouest-France

Photo Ouest-France

Ouest-France, 13 février

https://www.ouest-france.fr/bretagne/plougonven-29640/plougonven-pour-la-saint-valentin-la-cgt-de-l-hopital-aux-mesanges-6735265

Plougonven. Pour la Saint-Valentin, la CGT de l’hôpital aux Mésanges

Un débrayage est prévu en début d’après-midi, vendredi 14 février, pour protester contre la fermeture du site des Mésanges.

 

Si la fermeture temporaire de plusieurs lits avait été annoncée au mois de décembre dernier dans le service SSR (Soins de suite et de réadaptation) des Mésanges à Plougonven, la CGT du Centre hospitalier du pays de Morlaix entend se mobiliser contre la fermeture du site, sans perspective de réouverture faute de médecins, expliquent les déléguées syndicales Julie Hamon et Christelle Carmès.

Un débrayage est prévu devant le bâtiment SSR de Plougonven, ce vendredi 14 février, de 14 à 15 h et en journée complète. Une mobilisation pour marquer le coup, sur notre secteur et se recentrer sur une problématique de l’hôpital, donc. C’est une fermeture de service qui prend le même chemin que la fermeture du service de cardiologie, qui ne fonctionne pas depuis trois ans, ajoute Christophe Boudrot, secrétaire de la section. L’espoir de recrutement est plus que faible, déplorent-ils.

Casse de l'hôpital, fermeture des Mésanges - Le comité de défense de l'hôpital de Morlaix et la CGT manifestaient à Plougonven vendredi 14 février.
Casse de l'hôpital, fermeture des Mésanges - Le comité de défense de l'hôpital de Morlaix et la CGT manifestaient à Plougonven vendredi 14 février.
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13 février 2020 4 13 /02 /février /2020 16:19

 

Le Parti communiste organise un grand meeting, où des femmes, premières concernées par la précarité, l’exploitation et les inégalités professionnelles, prendront la parole. Le vendredi 6 mars 2020, 19 h, à la Bellevilloise. Avec Fabien Roussel. « L’égalité professionnelle ça ne se négocie pas ! ». Et le 8 mars, jour de la grève féministe, nous manifesterons en France « On arrête toutes » !

 

PCF - Égalité professionnelle : la précarité se vit d’abord au féminin

Ce 8 mars 2020, journée internationale de lutte pour les droits des femmes, sera une fois de plus celui de la lutte pour l’égalité professionnelle ! Bien que l’égalité entre les femmes et les hommes dans tous les domaines ait valeur constitutionnelle et que l’égalité professionnelle soit inscrite dans plus de treize lois en France, de fortes inégalités existent dans l’emploi et l’insertion professionnelle, au travail et après, devant la retraite par exemple. Si les femmes ont toujours travaillé, elles ne disposent pas toujours de leur autonomie, et certaines sont maintenues sous la dépendance financière de leur conjoint. L’écart salarial moyen stagne aussi autour de 25 %.

C’est pourquoi la lutte pour l’égalité professionnelle constitue un levier de premier plan pour parvenir à une égalité réelle entre les femmes et les hommes.

Le 8 mars sera marqué par la « grève féministe » et la manifestation « On arrête toutes » (de travailler, de briquer, de cuisiner, de consommer...) pour les droits des femmes et pour l’égalité, avec le collectif national droits des femmes, et à laquelle le PCF participe bien évidemment !

Dans leur vie professionnelle, les femmes subissent de nombreuses contraintes au travail, qui non seulement ne permettent pas de construire une carrière dans de bonnes conditions, mais en plus qui privent le monde du travail de talents et de forces considérables. Si le taux d’emploi des femmes et leur rémunération étaient égaux à ceux des hommes, le PIB de la France bondirait de 6,9 %.

Nous voulons conquérir l’égalité professionnelle : Les inégalités se sont réduites jusqu’en 1990 puis plus rien ! Les femmes travaillent, concentrées dans seulement 12 familles professionnelles sur 87 et qui sont non reconnues, et sous payées, alors que depuis plus de 30 ans elles sont plus diplômées que les hommes. Elles occupent des postes moins qualifiés, moins valorisés. La société patriarcale maintient les femmes dans un statut d’infériorité. Le patronat utilise le travail des femmes comme un laboratoire d’expérimentation afin d’étendre la précarité, la flexibilité et le temps partiel à l’ensemble du monde du travail.

Nous voulons établir l’égalité salariale : La situation se dégrade à toute vitesse pour le salaire des femmes en France à cause des politiques d’austérité et de dérèglement du droit du travail. En s’intéressant à la différence salariale, on s’aperçoit qu’en 2018 les femmes travaillaient gratuitement à compter du 12 novembre à 15 h 35, soit 10 jours plus tôt qu’en 2016.

Il faut reconnaitre le travail des femmes : L’invisibilité du travail des femmes est une construction sociale et il faut se battre partout et sans cesse pour démontrer que l’égalité entre les femmes et les hommes n’est pas un supplément d’âme. Nous voulons une prise en compte du genre dans la prise en charge de la pénibilité dans les emplois « féminisés », aide à la personne, assistantes maternelles, puéricultrices, professeures des écoles, avocates, infirmières…

Nous voulons lutter contre le « plafond de verre » professionnel : Il cantonne les femmes sur les postes les moins qualifiés, avec les plus bas salaires, avec les possibilités d’évolution les moins importantes… La revalorisation des métiers dits « féminins » passe aussi par une revalorisation des déroulements des carrières. 55 % des hommes contre seulement 37 % des femmes font des heures supplémentaires. Outre le problème énorme que cette mesure pose pour les finances de la Sécurité sociale, cela contribue à renforcer les inégalités de revenus, l’inégale répartition des tâches ménagères, la charge mentale. Nous voulons la transparence des systèmes de rémunérations.

Nous voulons gagner les 32 heures pour toutes et tous et en finir avec les temps partiels imposés : 82 % des salariés qui ont un contrat à temps partiel sont des femmes. Ces postes sont donc aussi les postes où l’on subit le plus d’abus parce qu’on est plus vulnérable face à la hiérarchie, la clientèle ou à l’environnement professionnel. Ainsi, 56 % des agressions sexuelles arrivent sur le lieu de travail.

Nous voulons la mixité des métiers partout, on a toutes et tous à y gagner : L’assignation des femmes, dès le plus jeune âge, à certains métiers plutôt que d’autres : 48 % des femmes occupant un emploi sont cantonnées dans quatre secteurs d’activité : la santé et les services sociaux, l’éducation, l’administration publique et le commerce de détail. Une telle répartition des métiers est un poids mort pour l’avenir du pays, quand on sait, par exemple, les difficultés auxquelles s’exposent les jeunes femmes pour engager un cursus d’ingénieur alors que la France a besoin de 10 000 ingénieur·e·s supplémentaires par an.

En se donnant l’ambition de sécuriser l’emploi et la formation pour toutes et tous, le PCF intègre la lutte collective contre les inégalités, les stéréotypes sexistes et les discriminations subis par les femmes, notamment la précarité et le temps partiel imposé comme une priorité.µ

Hélène Bidard, membre du CEN.

 

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13 février 2020 4 13 /02 /février /2020 16:11

 

Pour le retrait, tapez 1. C’est notre revendication, celle du mouvement social, des organisations syndicales mobilisées... Elle demeure d’actualité.

Face à ce rejet massif de son projet, le gouvernement a décidé d’accélérer et de passer en force au Parlement. Le texte contient 29 ordonnances par lesquelles le gouvernement s’arroge le pouvoir législatif. La majorité a fait le dos rond, espérant voir passer l’orage. Elle fait mine de ne pas comprendre ce qui se passe dans le pays (ou ne le voit pas)

PCF - Le retrait ou le référendum

En commission spéciale, nous avons entendu des députés nier que leur projet n’ait pas de soutien populaire, affirmant trouver sur le terrain les marques d’un « soutien discret ». Le pari est de faire rentrer la rivière dans son lit en affichant une détermination sans faille et en enserrant le débat dans une procédure parlementaire au rabais.

Nous connaissons le rapport des forces au sein de l’Assemblée nationale. Pour autant, cela ne rend pas légitime une réforme qui suscite un tel rejet. C’est pourquoi, le groupe de la Gauche démocrate et républicaine et les députés communistes ont proposé le dépôt d’une motion référendaire pour rendre la parole au peuple sur cette question si cruciale.

Nous ajoutons donc une touche tapez 2 : « Si vous ne retirez pas ce projet, et puisque vous pensez qu’il répond aux aspirations majoritaires, ayez donc le courage de le mettre en débat dans le pays. » Mais le mieux serait de taper 1. Évidemment. Y compris pour Emmanuel Macron, sans doute. Il devrait donc y réfléchir sérieusement et renoncer à taper 3 : Passage en force. Les conséquences pour nos retraites seraient d’une extrême gravité, mais le traumatisme démocratique profond, venant s’ajouter à une crise déjà considérable.

Ce d’autant que le gouvernement, déjà engagé dans une impasse politique est désormais aussi dans une impasse institutionnelle. Le Conseil d’État a rendu un avis cinglant et les débats actuels nourrissent la matière pour le Conseil constitutionnel. L’imprécision, l’impréparation, l’étendue des ordonnances, l’absence de réponses précises, la publicité mensongère contenue dans les principes généraux... Au bout du compte, j’accuse le gouvernement de ne vouloir discuter ni avec les syndicats, ni avec le Parlement. Ni avec les citoyennes et citoyens.

Deux réponses nous sont faites face à cette demande de référendum. D’abord, on nous demande quelle sera la question. Et d’égrainer : voulez-vous un système plus juste, voulez-vous un système plus lisible... Toutes sortes de vertus dont se pare le projet gouvernemental et qui ne seront pas au rendez-vous. La question est simple : Un projet est sur la table, en voulez-vous ? Ensuite, on nous objecte que le sujet est trop complexe pour être soumis à une procédure référendaire. Ainsi, il nécessiterait beaucoup de concertations et de discussions pour en maîtriser tous les tenants et aboutissants. On connaît la qualité du dialogue avec les organisations syndicales... Plus, c’est une manière d’expliquer que les citoyennes et citoyens de notre pays ne seraient pas assez intelligents pour comprendre et se prononcer. Cet argument est irrecevable et scandaleux. Les citoyennes et citoyens de ce pays, le monde du travail et de la création ne demande qu’une seule chose : s’en mêler.

La démocratie ne consiste pas en l’exercice d’une domination, fut-elle temporaire. C’est cette pratique antidémocratique, ajoutée à un projet antisocial, qui provoque une telle réaction populaire. Une pétition vient d’être lancée par l’Humanité pour exiger ce référendum. Elle a déjà été signée par de nombreux acteurs de la vie sociale, politique et culturelle. Cette pétition va contribuer à placer le pouvoir face à ses responsabilités, face à sa pratique, face à sa véritable nature. Elle va manifester ce désir profond de décider ensemble. Notre motion référendaire aura ainsi plus de poids encore, qui pourra elle aussi faire grandir cette exigence dans le débat public. Mesdames et messieurs les députés, si vous ne voulez pas taper 2, il n’y a qu’une seule solution : tapez 1 !

Pierre Dharréville, député des Bouches-du-Rhône, membre du CEN.

 

 

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