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8 avril 2023 6 08 /04 /avril /2023 03:41
L'intersyndicale Morlaisienne vous propose une nouvelle action, avant le passage devant le conseil constitutionnel, pour exprimer votre colère concernant ce projet de réforme des retraites
L'Union Locale de Morlaix vous invite à diffuser largement les éléments ci-dessous pour mettre le maximum de monde dans les rues de Morlaix
rdv 11h00 place PUYO
parcours : place PUYO > place des otages > rue Carnot > place Cornic > rond-point Charles de GAULLE
Les camarades CGT cheminot-e-s s'occupe du barbecue pour que vous puissiez déguster une galette saucisse
Occupation du rond-point jusqu'à 16h00
Barrage filtrant Déchatlon - SERMETA mercredi 12 : 7h00 – 9h00 – arrivée des équipes 15 minutes avant

 

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8 avril 2023 6 08 /04 /avril /2023 03:24

 

Depuis plusieurs semaines le MJCF constate d’importantes dérives dans la stratégie de maintien de l’ordre vis-à-vis du mouvement social. Celles-ci alertent sur l’application de notre droit à manifester et à contester.

 

 

Le conflit autour des méga-bassines de Sainte-Soline se solde par une répression inouïe. Le pronostic vital d’un manifestant reste aujourd’hui engagé, suite aux manifestations de samedi. Si nous ne nous reconnaissons pas dans les actes de violence d’une minorité de manifestantes et manifestants, rien ne peut justifier la stratégie choisie par l’Intérieur et la Préfecture. Le SAMU a même reçu l’ordre de ne pas intervenir sur les lieux pour évacuer des manifestantes et manifestants grièvement blessé·e·s.

Le comportement de la BRAV-M dans les manifestations parisiennes contre la réforme des retraites nous alarme. Comment tolérer l’intimidation raciste d’un manifestant étranger dont les enregistrements ont été récemment révélés ? Comment justifier les charges arbitraires ou le gazage massif lors de fins de manifestation de plus en plus tendues ? Quid également de l’usage de garde-à-vue sans poursuites ou suite ? Ces exactions ne relèvent en aucun cas d’un État de droit. Elle témoigne d’une stratégie de pourrissement et de répression d’un mouvement social massif et déterminé.

Nous ne pouvons, enfin, tolérer les réquisitions et le déblocage par la force d’entreprises mobilisées. Ceux-ci témoignent d’une remise en cause délétère du droit de grève.

Le gouvernement, minoritaire sur sa réforme, est acculé. Il tente de polariser, diviser et rendre violent un mouvement de grève, de manifestation et de blocage largement soutenu par l’opinion publique.

En utilisant systématiquement la répression, en amalgamant les manifestants à des factieux, Emmanuel Macron est un pyromane qui pave la voie à toujours plus de violences.

Le MJCF répondra toujours à la casse sociale par la force du nombre, le calme, la détermination et l’organisation. Devant chaque lycée, chaque université, auprès des jeunes travailleuses et travailleurs, nous nous battrons pour massifier le mouvement social et faire reculer la réforme des retraites.

Le MJCF demande que les réquisitions cessent.

Le MJCF demande la dissolution de la BRAV-M et de la BAC.

Le MJCF demande une remise à plat en urgence de la stratégie de maintien de l’ordre. Le maintien de l’ordre doit garantir la liberté de manifester, qui est un droit fondamental de notre République.

Le MJCF revendique la création d’un observatoire national des violences policières, sous statut public, indépendant du ministère de l’Intérieur, chargé de recenser et d’analyser les violences commises par des agents de police ainsi que les suites administratives et judiciaires qui sont données, et d’en informer les citoyennes et citoyens.

Le MJCF appelle la jeunesse et l’ensemble de la population à continuer de se mobiliser massivement contre la réforme des retraites.

 

 

 

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8 avril 2023 6 08 /04 /avril /2023 03:08

 

PCF. Les adhérents tiennent de vendredi 7 avril au lundi 10 avril leur 39e congrès à Marseille, en pleine bataille des retraites. Perception du communisme, image du parti et adhésion aux valeurs qui y sont associées, popularité de Fabien Roussel… Notre sondage Ifop exclusif.

 

Ce n’est pas encore une révolution, mais l’image du PCF bouge et ses idées marquent des points dans l’opinion. À l’heure, pour les communistes, d’écrire une nouvelle page lors de leur 39 e congrès qu’ils tiennent jusqu’à lundi 10 avril à Marseille, le sondage Ifop que nous publions montre que « derrière les oripeaux historiques qui demeurent repoussoir, les idées, elles, restent d’actualité, surtout dans un contexte social très fort », souligne Frédéric Dabi, le directeur général de l’institut.

Comment reconquérir les classes populaires, les abstentionnistes, les électeurs RN ?

Un contexte de mobilisation historique contre la réforme des retraites dont les quelque 700 délégués attendus dès ce vendredi dans la cité phocéenne comptent se saisir. Les presque 5 000 amendements remontés des fédérations de la formation brasseront de nombreuses questions.

« Mais la grande question que nous devons affronter, c’est comment, en s’appuyant sur ce qui a grandi dans la société avec ce mouvement social, nous réussissons demain à constituer une majorité politique », résume le porte-parole du PCF, Ian Brossat.

Quelle construction à gauche et quel bilan tirer des quatre dernières années ? Comment reconquérir les classes populaires, les abstentionnistes, les électeurs RN ? Comment renforcer le PCF avec davantage d’élus et d’adhérents ? Autant de questions qui ont fait débat en amont de l’adoption, à près de 82 % en janvier, du texte d’orientation soutenu par Fabien Roussel et la direction actuelle, « L’ambition communiste pour de nouveaux Jours heureux ». Si elles seront à nouveau sur le métier ce week-end, pour y répondre, les communistes ne sont pas dépourvus de points d’appui.

Le poids de l’histoire pèse encore lourd

Certes, selon notre sondage, la conviction que « le communisme est une idée d’avenir » n’est partagée que par 19 % des Français – avec, tout de même, une pointe à 29 % chez les 18-30 ans ; 25 % chez les employés et ouvriers ; 28 % chez les chômeurs.

Et le poids de l’histoire pèse encore lourd. 73 % des sondés estiment que « les idées communistes ont été perverties par les crimes commis au siècle dernier par l’URSS » 61 % l’associent d’abord à « l’échec d’une idéologie en URSS et dans l’est de l’Europe » (c’est 10 points de moins chez les plus jeunes avec 51 %) et 55 % à « la dictature » (45 % chez les 18-30 ans).

« Mais, au-­delà de cette vision historicisée du communisme, pour un quart des Français, c’est l’idée de partage des richesses, de mise en commun des biens publics », relève Frédéric Dabi. Pour 26 % des personnes interrogées, il est en effet associé à ces deux idées tandis que 16 % d’entre elles le lient à l’égalité et à « une société dans laquelle l’homme n’est plus exploité ».

 

« Nous voulons décider de comment nous produisons ces richesses et pour quoi »

Plus encore, lorsque la question porte sur une série d’idées développées par le communisme, l’adhésion est majoritaire. 83 % des Français estiment ainsi que « la lutte des classes est toujours une réalité aujourd’hui ».

C’est même 90 % parmi les classes moyennes (entre 1 900 et 2 500 euros de revenus par mois), et 92 % chez les chômeurs. 80 % jugent aussi que « des secteurs comme la santé, l’éducation ou le logement ne devraient pas être soumis à la concurrence et à la compétition économique ».

72 % estiment que « les salariés, les travailleurs devraient pouvoir décider des choix de leur entreprise ». Une question clé pour le PCF que la formation entend réaffirmer. « Nous voulons décider de comment nous produisons ces richesses et pour quoi. Ça, c’est révolutionnaire et c’est le cœur du projet communiste », martèle ainsi Fabien Roussel.

« L’aspiration à un au-delà du capitalisme est plus présente que jamais »

De même, 64 % des sondés estiment qu’ « il est possible de construire une société basée sur la coopération et le partage des richesses et des pouvoirs » quand 56 % pensent que « le système capitaliste est le principal responsable du dérèglement climatique »

Soit une forme de « consensus » sur certains items puisqu’une majorité s’y dégage même à droite : 70 % des sympathisants LR estiment ainsi que la lutte des classes est toujours d’actualité. Mais, « au-­delà, on observe une très forte adhésion majoritaire à gauche, dans les quatre partis de la Nupes, notamment sur la ­responsabilité du capitalisme dans le dérèglement climatique », constate Frédéric Dabi.

Bas du formulaire

Un signal qui fait écho à une partie du texte d’orientation en discussion ce week-end sur « l’actualité brûlante du projet communiste », remarque Ian Brossat. « La période où on pouvait nous seriner avec la fin de l’histoire et l’idée que le capitalisme était le seul horizon de l’humanité est révolue. Macron peut répéter les vieux slogans de Thatcher selon lesquels il n’y a pas d’alternative, il ne convainc personne. Tout le monde n’appelle pas forcément cela le communisme, mais l’aspiration à un au-delà du capitalisme est plus présente que jamais », développe l’élu parisien.

Pour 42 % des Français le PCF est « un parti qui veut changer la so­ciété »

L’image du PCF, elle, n’est d’ailleurs pas gelée dans le temps. « On a une lecture qui reste clivée, mais clairement auprès de l’ensemble des Français, et plus encore des sympathisants de gauche, cette image bouge de manière assez spectaculaire », analyse le sondeur de l’Ifop.

Ils sont désormais une minorité de Français (42 %) à juger que le PCF est « un parti condamné à disparaître ». Soit 16 points de moins que lors d’une précédente enquête en 2010 (58 %). Ils ne sont d’ailleurs plus que 28 % chez les moins de 35 ans à le penser et 35 % parmi les plus pauvres (moins de 900 euros de revenus).

Parmi les sondés, ils sont également 42 % à estimer que le PCF est « un parti qui veut changer la so­ciété » et 34 % qu’il est « utile pour défendre les salariés ». C’est, à chaque fois, 3 points de mieux qu’en 2010, mais pas au niveau des années 1980 et 1990, avec respectivement 56 % et 50 % relevés lors d’une enquête de 1993, et 52 % et 48 % en 1986.

Alors que l’un des objectifs affichés de la candidature de Fabien Roussel à la dernière présidentielle était de faire valoir les « spécificités » du PCF, seuls 39 % des Français jugent qu’il est un parti comme les autres, contre 48 % en 2010 et 52 % en 1993. « C’est à noter dans un contexte de défiance généralisée à l’égard des partis », pointe Frédéric Dabi. En revanche, seuls 18 % d’entre eux pensent qu’il « présente des solutions originales ». C’est 7 points de plus qu’en 2010 (11 %), mais là encore moins élevé qu’en 1993 (24 %).

Fabien Roussel « incarne l’avenir de la gauche » pour 38% des Français

Reste alors « qu’on pourrait penser la marque communiste figée dans un passé plus ou moins glorieux, plus ou moins compliqué à assumer, ce n’est pas le cas : un tiers des Français estiment que c’est un parti qui s’est transformé », pointe le politologue, qui voit dans la figure de Fabien Roussel un atout pour la formation. D’ailleurs, 45 % des sondés (62 % des sympathisants de gauche) pensent que son actuel secrétaire national « modernise le Parti communiste français ».

Notre enquête Ifop confirme, en outre, qu’une majorité de Français, 54 %, le trouvent « sympathique ». La moitié d’entre eux estiment aussi qu’il s’oppose bien au gouvernement tandis que, pour 38 %, il « incarne l’avenir de la gauche » (54 % parmi les sympathisants de gauche), et 30 % qu’il a « la stature pour gouverner ».

« En termes de visibilité, d’authenticité, de proximité, il fait bouger les choses au PCF », résume le sondeur de l’Ifop. Concernant « la proximité avec les préoccupations des Français, il est à 48  %, poursuit Frédéric Dabi. N’oublions pas que c’est l’item sur lequel le niveau d’exigence et la sévérité des Français sont le plus importants. À titre de comparaison, dans une de nos enquêtes pour Paris Match , parue mardi, Emmanuel Macron tombe à 18  %, Fabien Roussel a 30 points de plus. » 

 

 

 

 

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6 avril 2023 4 06 /04 /avril /2023 13:11
Morlaix en lutte contre la réforme des retraites
AG ce samedi 8 avril à 18h00 au SEW.
 
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6 avril 2023 4 06 /04 /avril /2023 12:44
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
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Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
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Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron
Morlaix, 6 avril, 11e grande journée de mobilisation: entre 4000 et 4500 manifestants et un cortège coloré et animé contre la réforme des retraites Macron

Photos Ismaël Dupont, Michel Tudo Deler - Morlaix, 6 avril 2023

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6 avril 2023 4 06 /04 /avril /2023 12:00
Salah Hamouri invité par la section PCF de Brest et le MJCF 29 avant sa conférence du 6 avril à fac Segalen de Brest
Salah Hamouri invité par la section PCF de Brest et le MJCF 29 avant sa conférence du 6 avril à fac Segalen de Brest
Salah Hamouri invité par la section PCF de Brest et le MJCF 29 avant sa conférence du 6 avril à fac Segalen de Brest

Salah Hamouri invité par la section PCF de Brest et la JC ce jour! 🤗👍photo de Claude Bellec.

Hier, le MJCF 29 était en soirée de formation sur la Palestine et le conflit israélo-palestinien.

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6 avril 2023 4 06 /04 /avril /2023 11:07
Le lycée Tristan Corbière en lutte contre la réforme des retraites ce 6 avril au matin à Morlaix
Le lycée Tristan Corbière en lutte contre la réforme des retraites ce 6 avril au matin à Morlaix
Le lycée Tristan Corbière en lutte contre la réforme des retraites ce 6 avril au matin à Morlaix

Belle organisation ce matin des lycéens, dès 6h30 pour les premiers levés pour instaurer un barrage filtrant et une mobilisation des lycéens pour cette 11e grande journée nationale d'actions, de manifestation et de grève contre la réforme des retraites, rejoints par des enseignants et des syndicalistes enseignants à partir de 7h15 pour un blocage festif et partiel du lycée et une grève lycéenne qui devait s'étirer jusqu'à midi au moins.

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5 avril 2023 3 05 /04 /avril /2023 12:47
Manifestation du 6 avril 2023 - Communiqué de la section PCF du Pays de Morlaix
Jeudi 6 avril – toutes et tous en grève et en manif contre la réforme des retraites – On peut gagner, on va gagner !
La section du PAYS DE MORLAIX du PCF soutient l’appel de l’intersyndicale à faire du 6 avril une nouvelle démonstration du refus de cette loi injuste, brutale et inutile .
Alors que 70 % des Françaises et des Français refusent cette réforme des retraites et soutiennent les manifestations, Macron et son gouvernement s’obstinent à ne pas écouter le peuple. Le mépris, l’arrogance, le recours au 49-3, les mensonges du pouvoir sont un danger pour notre démocratie. On ne lâche rien jusqu’au retrait de cette loi.
Aujourd’hui l’intersyndicale a été reçue à Matignon pour réaffirmer avec force le refus unanime du report de l’âge de départ à 64 ans et les 43 années de cotisation. Elle a pu réaffirmé à la première ministre l'exigence de retrait préalable d'une réforme injuste et brutale. La Première ministre a répondu qu'elle souhaitait maintenir son texte. Une décision grave et inexcusable. Il ne saurait y avoir d'autre issue à la crise que le retrait du texte.
Demain 6 avril aura lieu une nouvelle journée de mobilisation.
Le 14 avril, le Conseil Constitutionnel se prononcera sur la réforme et sur un éventuel référendum.
Face à une mobilisation historique qui a duré 2 mois et s'est soldé par 10 journées nationales de mobilisation à entre 1 et 3,5 millions de manifestants, l’exécutif a sorti sa dernière carte : la répression policière et judiciaire.
Le gouvernement a la responsabilité de garantir la sécurité et le respect du droit de grève et de manifester.
La crise politique et sociale aiguë qu’affronte notre pays appelle une gauche porteuse d’espérance, affirmant l’exigence d’une Sécurité sociale du XXI° siècle et s’engageant à rétablir la retraite à 60 ans.
La section du Pays de Morlaix du PCF donne rendez-vous aux salarié.es, lycéen.n.e.s, étudiant.es, retraité.es:
 
Morlaix 11h00 place Edmond Puyo avec retour sur le rond-point Charles de Gaulle pour un pique-nique revendicatif et musical à 13h.
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5 avril 2023 3 05 /04 /avril /2023 12:44

Voici une analyse critique des associations d'aide et de soutien aux personnes exilé.e.s sur le plan MNA voté par la majorité de droite du Conseil départemental du Finistère.

Signataires:


- Les Utopistes en action – Ecole Alternative des Monts d’Arrée (EADMA) -Pleyber Christ
- Le Temps partagé - Quimper
- 29 couleurs/Aide aux jeunes réfugiés – Maison de Quartier du Moulin Vert – Quimper
- Accompagnement des Jeunes Isolés Migrants – ADJIM -Brest


Le Plan MNA adopté le 09/02/2023 par l’Assemblée départementale du Finistère restructure fortement l’organisation de l’Aide Sociale à l’Enfance ; il instaure de nouvelles modalités dans la prise en charge et l’accompagnement des Mineurs non accompagnés (MNA), c’est-à-dire les jeunes migrants, mineurs isolés, qui se présentent directement ou sont répartis dans le Finistère suite à une OPP (Ordonnance Provisoire de Placement) pour une mise à l’abri et une prise en charge par le CDAS.


Les associations qui accompagnent des MNA depuis plusieurs années dans le Finistère se sont réunies en coordination le 19/01/2023 à Quimper pour analyser en commun le Plan
MNA du Conseil Départemental et ses conséquences prévisibles sur leurs activités et sur la Qualité et l’efficacité de l’accompagnement des Jeunes exilé.e.s. qui sera délivré par les institutions.

Le présent texte représente la base commune d’analyse et d’orientation, qui nous aidera dans la période à venir à agir ensemble, dans la même direction et selon les modalités
propres à chacun, en toute indépendance.

Plan MNA : des avancées et des risques

Il faut se féliciter de l’annonce de la création de deux foyers d’accueil MNA par le CD29, et de la fin de l’hébergement dans les hôtels, où nous avons pu constater la faible présence d’accompagnement social et de propositions d’activités pour les jeunes.

Cette mesure est, au demeurant, rendue obligatoire, avant la fin 2024, par la Loi du 07/02/2022 relative à la protection de l’enfant et à la réforme de l’ASE.

Mais la conception qui sous-tend ce Plan MNA appelle à notre vigilance, car il présente un grand risque d’échec :

1. Ce Plan fait l’objet d’un manque d’anticipation préoccupant

o La fermeture précipitée du CDAS/Cellule d’appui MNA de Quimper, la suppression des postes de référents sociaux sur ce site en décembre 2022 ont conduit par exemple à des désordres graves et des manques importants dans l’accompagnement des MNA à Quimper ; les associations locales se sont retrouvées pratiquement seules à assurer un suivi et une aide aux jeunes mineurs hébergés à Quimper.

o Le projet d’implanter deux Foyers d’Accueil dans la Région Brestoise est loin d’être finalisé ; le Directeur du nouveau Service départemental MNA recentralisé à Brest nous indique que le premier Foyer pourrait être acquis fin 2023, et quant au second
Foyer, son implantation en milieu rural ou urbain n’est pas encore tranchée. Les hôtels sont saturés, l’un d’eux à Brest a déjà reçu la notification de l’arrêt des hébergements de MNA début 2023. Les nouvelles arrivées de MNA sont continues et en augmentation.

o Cette situation nous pose un défi collectif, à l’échelle du Département, car la concentration des accueils et des accompagnements par le Service MNA à Brest nous
conduit à devoir prévoir un accroissement considérable à Brest des exclusions pour non-reconnaissance de minorité. Pour l’instant les exclusions continuent , que ce soit à Quimper ou à Brest.

Il y a un risque de création de fait d’une ASE -bis, et d’un traitement distinct du Droit Commun pour les jeunes exilé.e.s.

Notamment sur la prise en compte et le respect de la parole de l'enfant (lors des évaluations) et la globalité de la prise en charge,

o ou sur le rôle que devra jouer le juge des enfants dès la réception de l'enfant par le CD,

o ou encore sur la prévention de la maltraitance.

o La reprise des hébergements des MNA directement par le CD29 entraînera en principe un accroissement des tâches de l’accompagnement par les référents sociaux, déjà en déficit actuellement. Les moyens d’encadrement pour ces MNA en
foyer d’accueil seront-il suffisants ? Il est permis d’en douter, tant nous remontent des alertes quant aux moyens dédiés à l'ASE actuellement ; les services et les foyers sont pleins, les familles d'accueil manquent à l'appel.

o Les propositions d’activités sportives et éducatives dès leur mise à l’abri sont nécessaires : or, cela repose actuellement uniquement sur l’investissement des bénévoles de nos associations.

o De même les démarches nécessaires pour la reconstitution de leur Etat-civil ne sont souvent qu’imparfaitement assurées, or c’est fondamental pour accélérer leur insertion dans la société.

o Ou encore, nous pointons l’absence d’accompagnement psychologique, pour des jeunes qui ont pu subir des traumatismes dans leur pays d’origine ou au cours de leur trajet vers l’Europe.

o Par ailleurs, le plan d’action du Conseil Départemental insiste fortement par l’insertion par la voie de l’apprentissage. Cela concerne effectivement la majorité des jeunes MNA qui, certes souhaitent apprendre un métier manuel, mais aussi obtenir plus facilement un titre de séjour à leur majorité en exerçant dans un métier sous tension. Mais qu’adviendra-t-il pour les jeunes ayant un bon niveau scolaire et souhaitant poursuivre dans la voie générale ou technologique ? Ils doivent avoir le libre choix de leur orientation, nous connaissons tous des cas où des MNA ont
brillamment réussi dans leurs études et ont intégré des formations post bac et Supérieures.

La mise en place d’un contrat moral entre le Département et le jeune, à la seuleévaluation du Conseil Départemental, dans l’objectif annoncé de faciliter l’obtention de titres de séjour à la majorité s’appuie-t-il sur le droit commun ? En va-t--il de
même pour la mise en place des contrats jeunes majeurs des non migrants ?

o La centralisation de l’accueil et de l’hébergement des MNA sur la seule région de Brest est un pari très risqué : les deux structures prévues auraient une capacité de 100 places, alors que l’on dénombre déjà 300 MNA sur le département (une partie
hébergés et suivis en services dédiés), auxquels il faut ajouter 400 jeunes majeurs migrants. ; les 30 MNA actuellement hébergés en hôtel à Quimper doivent être transférés à Brest pour la fin du premier trimestre 2023, et les capacités à Brest seront saturées dès le mois de mars 20233 ; de plus les arrivées de MNA répartis sur
le département sont en augmentation constante, et continueront d’augmenter. Il y a un risque de déséquilibre entre le Nord et le Sud du département, et un risque de saturation du système local brestois (Ecoles, entreprises accueillant des stagiaires et
apprentis, logement, etc.). Les moyens humains pour bien accompagner ces mineurs ne seront pas à la hauteur, puisque le budget resterait constant (en fait le budget voté en 2023 présente une diminution de 400 000€ par rapport au budget précédent, celle-ci étant compensée en principe par la création d’une Fondation).

C’est tout le modèle institutionnel de l’accompagnement des jeunes isolés migrants qui est actuellement en situation d’imploser, et les objectifs du plan MNA du Département présentent un risque réel de non- réalisation.

3. Ce Plan nécessite, pour réussir, la participation d’autres institutions qui connaissent elles-mêmes de fortes tensions

o Tensions dans l'école : les professeurs de MLDS4 sont en nombre insuffisants, les sessions sont réduites de moitié ; pour pallier ce manque, le CD29 a recours à des prestataires de droit privé, sans que ces deux acteurs ne se coordonnent pédagogiquement – Pourquoi les UP2A5 de l’Education nationale e sont-elles pas
sollicitées ? Nous nous questionnons aussi sur l'orientation scolaire des jeunes, qui devrait être réellement choisie et non dirigée par défaut vers les filières professionnelles.

Tensions sur les moyens de la Justice : si l’accélération de l’évaluation des MNA ainsique la décision de justice prise par un Juge des Enfants (JDE) est nécessaire, nous espérons que les évaluations « Flash »6 ne deviendront pas une norme, et nous continuerons à demander que le jeune MNA reste à l’abri le temps que tous ses recours soient épuisés. Avec tous les jeunes MNA en cours d’évaluation regroupés sur Brest, nous craignions un engorgement du Tribunal

o Tensions dans le domaine du logement et de l’hébergement des personnes précaires : le public sorti de l'ASE par le service MNA est censé être prioritaire en matière de logement social. Or, BMH7 par exemple ne donne pas de bail au premier Titre de séjour. M. BOILEAU, Directeur du service MNA, nous a indiqué que le Conseil
Départemental allait alors se tourner vers le privé - Il y a des délais très longs pour obtenir un logement social à BMH. Les hébergement d’Urgence sont saturés.

o Tension sur les autorisations de travail : la délivrance des autorisations de travail, étant à la main du seul préfet, est souvent arbitraire et inéquitable (pouvoir d’influence de certains secteurs). Dans un contexte général où les Obligations à Quitter le Territoire Français (OQTF) se multiplient, et restent soumis à une forme
d’arbitraire préfectoral, et face aux orientations annoncées par la future Loi Darmanin, nous ne pouvons qu’être inquiets...et vigilants.

II - Nos propositions d’action pour répondre aux besoins des MNA, pour le respect des Droits et de la dignité et pour l'équité

1. La Coordination départementale des associations accompagnant, à un titre spécifique ou accessoire , des MNA, a pour but d’agir sur trois niveaux, selon le niveau d’implication des associations :

1) Tenir informées les associations accueillant des migrants de la situation des MNA sur le Département ;

2) Instaurer une liaison constante entre membres de la coordination ASSOs MNA 29 accompagnant les MNA, pour faire remonter les informations préoccupantes, les
besoins et les solutions ;

3) Partager les ressources, mutualiser des outils, coopérer sur des projets dans leurs diverses activités.

2. Notamment, un objectif immédiat sera de favoriser le développement du réseau d’hébergement solidaire des MNA à l’échelle du Département.

3. Afin que les droits de tous ces jeunes soient respectés, et face aux dysfonctionnements constatés en ce début 2023, nous demandons la création d’un observatoire des droits des
MNA et ex MNA du Finistère, composé du Conseil départemental, des associations, des représentants de la Préfecture et de la Justice
4. Nous demandons l’arrêt des "évaluations "flash".

5. Les deux foyers d'accueil des MNA prévus par le Conseil Départemental doivent être localisés en zone urbaine et non relégués en milieu isolé, compte tenu des modes de fonctionnements que requiert l’institution ; il faudra veiller à ce que les capacités d'hébergement et d'encadrement social et leur financement soient suffisantes pour un accompagnement de qualité pour les MNA.

Mais les mesures contenues dans le plan MNA du Conseil départemental 29 risquent fort d’être largement insuffisantes ; nous demandons d’accroître les moyens alloués à l’ASE et
au plan MNA, et nous proposons d’innover, de développer des modes diversifiés, alternatifs, d’accueil et d’accompagnement des MNA.

6. Face au risque de sclérose voire d’implosion du modèle proposé par le Département du Finistère, il faudrait développer d’autres modèles d’accueil et d’accompagnement des jeunes. Nous pensons qu'une proposition alternative serait à envisager pour l'accueil des
MNA, en s'appuyant sur les expériences passées ( Cf. les anciens CAO à Douarnenez et Pleyber-Christ) et les innovation actuellement portées par des associations (Exemple : l’Ecole Alternative des Monts d’Arrée) ; il s’agirait de soutenir la création de lieux d'accueils alternatifs, accueillant chacun une vingtaine de jeunes, répartis sur l'ensemble du département (dont un sur la partie Sud du Département) autour de villes semi-rurales.

Ce mode d’accueil est très efficace pour une meilleure intégration des jeunes et leur permet une rencontre avec les finistériens par le biais d'associations locales et des bénévoles investis dans ces lieux alternatifs. Ce modèle apporte aussi des avantages pour la scolarisation, car de nombreuses écoles pourraient être sollicitées, ce qui contribuerait à désengorger les grandes villes où les moyens sont saturés (Cf. MLDS de Brest ). L'accès au soin serait aussi favorisé et les délais réduits pour les différentes démarches administratives. Enfin, les MNA se sentiront mieux suivis et moins seuls, avec un accompagnement de proximité quotidien qui produit des effets bénéfiques et les rend d’avantage acteurs, comme le montrent les bilans effectués dans ces « Maisons accueillantes ».

Le Département pourrait s’appuyer aussi sur l’exemple des lieux de vie mis en œuvre par l'association Don Bosco dans le Finistère, et sur les dispositifs de suivi des jeune majeur comme les CJM renforcés, dispositif qui fonctionne bien.

7. Nous demandons que les évaluations sociales effectuées par le service MNA soient effectuées dans le respect des Droits de l’Enfant, et soutenons la décision récente du comité des Droits de l’Enfant des Nations Unies demandant à l’Etat français de garantir que tout mineur isolé soit considéré comme un enfant jusqu’à décision définitive d’un juge

- La mise à la rue immédiate des MNA non reconnus mineurs par le CD 29 met ces jeunes en danger, faute de réorientation par le service vers des solutions d’hébergement et de mise à l’abri. Les associations qui les recueillent, les hébergent, les scolarisent et
reconstituent leur état civil, assument alors souvent, seuls, la responsabilité qui devrait être assumée par le Conseil départemental en attendant la décision du Juge.

- Dans le cas où le Conseil Département du Finistère ne respecterait pas ces dispositions garantissant aux jeunes MNA un traitement équitable et conforme aux droits de l’Enfant, les associations considéreront qu’elles sont fondées, en cas de reconnaissance de
minorité prononcée par le Juge, à demander par toutes voies utiles le remboursement des frais engagés pour mettre à l’abri les jeunes exclus de l’ASE.

Fait le 21 mars 2023

Signataires :

- Les Utopistes en action – Ecole Alternative des Monts d’Arrée (EADMA) -Pleyber Christ
- Le Temps partagé - Quimper
- 29 couleurs/Aide aux jeunes réfugiés – Maison de Quartier du Moulin Vert – Quimper
- Accompagnement des Jeunes Isolés Migrants – ADJIM -Brest

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5 avril 2023 3 05 /04 /avril /2023 12:08
Jeudi 6 avril – toutes et tous en grève et en manif contre la réforme des retraites – On peut gagner, on va gagner !
On peut gagner, on va gagner !
La fédération du Finistère du PCF soutient l’appel de l’intersyndicale à faire du 6 avril une nouvelle démonstration du refus de cette loi injuste, brutale et inutile . Alors que 70 % des Françaises et des Français refusent cette réforme des retraites et soutiennent les manifestations, Macron et son gouvernement s’obstinent à ne pas écouter le peuple. Le mépris, l’arrogance, le recours au 49-3, les mensonges du pouvoir sont un danger pour notre démocratie. On ne lâche rien jusqu’au retrait de cette loi.
Aujourd’hui l’intersyndicale sera reçue à Matignon pour réaffirmer avec force le refus unanime du report de l’âge de départ à 64 ans et les 43 années de cotisation.
Demain 6 avril aura lieu une nouvelle journée de mobilisation . Le 14 avril, le Conseil Constitutionnel se prononcera sur la réforme et sur un éventuel référendum.
Face à une mobilisation historique, l’exécutif a sorti sa dernière carte : la répression policière et judiciaire.Le gouvernement a la responsabilité de garantir la sécurité et le respect du droit de grève et de manifester.
La crise politique et sociale aiguë qu’affronte notre pays appelle une gauche porteuse d’espérance, affirmant l’exigence d’une Sécurité sociale du XXI° siècle et s’engageant à rétablir la retraite à 60 ans.
La fédération du PCF donne rendez-vous aux salarié.es, étudiant.es, retraité.es:
-Brest 10h30 place de la liberté
-Carhaix 10h30 place du champ de foire.Quimperlé 10h30 parvis de la gare
-Morlaix 11h00 place Edmond Puyo
-Ouessant 11h30 place de la mairie
-Quimper 10h30 rond-point d’entrée de la zone de Gourvily (la manif a été interdite par le préfet – nouveau parcours en vue?)
-Quimperlé 10h30 parvis de la gare
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