Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
2 avril 2021 5 02 /04 /avril /2021 05:05
Morlaix. 1, 375 M € de subventions versées aux associations en 2021 (Le Télégramme, compte rendu du Conseil Municipal, 2 avril 2021)

Le Télégramme, Morlaix, 2 avril 2021

Les subventions aux associations morlaisiennes ont été votées lors du conseil municipal de ce 1er avril. L’augmentation de 2 000 € accordée au Résam a suscité le débat.

1. Un montant global de subventions en 2021 proche de 2020

Avec un montant total de 1,375 million d’euros, les subventions 2021 sont en légère augmentation par rapport au budget 2020, de 14 900 €.

La vie associative est concernée par 268 750 €, avec l’attribution de premières subventions pour plusieurs associations.

Au niveau culturel, la somme allouée est de 668 100 €. À noter que le théâtre du Pays-de-Morlaix voit sa subvention 2021 baisser de 50 000 € pour arriver à 572 000 €. Une diminution liée aux baisses des spectacles. De nouvelles associations font aussi leur entrée dans le tableau avec la troupe de théâtre Au hasard des oiseaux ou encore l’association de free-jazz Get Open.

La jeunesse reste aussi un élément fort avec un budget 2021 de 231 200 €, contre 229 200 €, en 2020.

Les associations sportives au sens large représentant, quant à elles, 85 345 €.

Avec des aides exceptionnelles accordées notamment à certaines comme le Club athlétique morlaisien, le Rugby club Pays de Morlaix, le Sporting club morlaisien et aussi l’UCPM.

 

  • 2. Des subventions au Résam qui questionnent l’opposition

 

Au cœur des subventions, un sujet a particulièrement fait réagir l’opposition : le Résam, réseau d’échange et de service aux associations installé place du Dossen à Morlaix. Si en 2020, des subventions de 3 600 € lui ont été accordées, le projet 2021 a tablé, lui, sur une augmentation de 2 100 € pour porter la subvention globale à 5 500 €.

Une situation qui a questionné la conseillère d’opposition Annie Piriou. Pour elle, plusieurs éléments interrogent, comme le champ géographique d’intervention de l’association et les soutiens financiers qui ne lui semblent pas être tous au rendez-vous précisant que « la communauté de communes du Pays léonard s’est retirée ». Autre élément mis à l’index, « le risque de doublon » entre les missions des salariés du Résam et « le responsable de la vie associative et démocratique », de la ville de Morlaix. Et enfin, pour Annie Piriou, le choix fait par la majorité pourrait être de vouloir « soutenir l’emploi de trois personnes, qui pour deux d’entre elles sont bien connues pour leur implication politique ».

Une intervention qui a fait réagir fortement la majorité. Jean-Paul Vermot défendant « le projet de création d’une maison des associations », s’étonnant aussi de cette interpellation - « il n’y a pas de collusion partisane ». Le débat a ensuite basculé sur les notions de vie privée et vie politique… « Un terrain glissant » pour le chef de la majorité.

Quelles aides 2021 pour la culture et les associations morlaisiennes ?

Dans le domaine de l’expression musicale et chorégraphique. Ad Lib, 1 000 € ; Association Festival Les originales, 1 500 € ; Au hasard des oiseaux, 1 000 € ; Bagad Sonerien Bro Montroulez, 2 000 €; Get open, 500 €; Korollerien Montroulez, 2 000 € ; Son ar Mein, 1 000 € et Wart, 45 500 €.

Dans le domaine de l’expression musicale et chorégraphique. Ad Lib, 1 000 € ; Association Festival Les originales, 1 500 € ; Au hasard des oiseaux, 1 000 € ; Bagad Sonerien Bro Montroulez, 2 000 €; Get open, 500 €; Korollerien Montroulez, 2 000 € ; Son ar Mein, 1 000 € et Wart, 45 500 €.

Pour les arts plastiques et autres activités artistiques. Les Moyens du Bord, 27 000 €.

Pour les théâtres. L’Entresort, centre national de la création adaptée, 8 200 € ; Théâtre de la Corniche, 8 000 € et Théâtre du Pays de Morlaix, 522 000 €. À noter que sa subvention en 2020 était de 572 000 €*.

Pour les cinémas. La Salamandre : 15 000 €.

Pour l’action culturelle. Alliance Armor Dupleix Inde, 1 500 € ; La Baie des livres, 2 000 € ; Don’t acte, 700 € ; KLT, 3 200 € ; La Barge, 1 500 € ; Le Patio, 9 000 € et Skol Vreizh, 500 €.

Pour la culture scientifique. Espace des sciences, 15 000 €.

* Avec la subvention complémentaire accordée en fin d'année dépendant du résultat réel.

Quelles aides 2021 pour les associations sportives morlaisiennes ?

Le coût total des subventions au secteur sportif morlaisien en 2021 est équivalent à celui de 2020. À retrouver ici en détail la subvention accordée à chaque club lors du conseil municipal du 1er avril 2021.

En 2020, le conseil municipal morlaisien avait accordé 85 700 € de subventions au secteur sportif : 64 019 € pour les associations sportives civiles ; 6 550 € pour les autres ; 11 800 € pour les manifestations sportives et 3 331 € pour les associations sportives scolaires. En 2021, le coût global des subventions est équivalent : 85 345 €. Avec une répartition un peu différente : 62 484 € pour les associations sportives civiles ; 11 050 € pour les autres ; 8 600 € pour les manifestations sportives et 3 211 € pour les associations sportives scolaires.

Associations sportives civiles

Aiki dojo Sankaku, 902 € ; AS Vétérans morlaisiens, 525 € ; Badminton club du Pays de Morlaix, 818 € ; Billard sport Morlaix, 554 € ; Boxing club Morlaisien, 717 € ; Ça bouge à Plouj, 699 € ; Club athlétique morlaisien, 2 730 € ; Club d’escalade du Pays de Morlaix-les danseurs du roc, 10 675 € ; Club nautique morlaisien, 3 548 € ; Escrime club morlaisien, 1 467 € ; FSGT-AS Corpo, 969 € ; Kumo, 2 731 € ; Morlaix Plougonven Handball, 8 200 € ; Morlaix Saint-Martin-Basket, 6 999 € ; Morlaix Saint-Martin-Tennis de table, 2 194 € ; Morlaix Saint-Pol-Gymnastique, 8 429 € ; Morlaix Triathlon, 375 € ; Rugby Club Pays de Morlaix, 1 995 € ; Sporting club morlaisien, 3 685 € ; Taï-Chi-Chuan, 369 € ; Tennis club morlaisien, 2 427 € ; Union cycliste Pays de Morlaix, 1 475 €.

Associations sportives diverses

Club d’escalade du Pays de Morlaix-les Danseurs du Roc-Gestion de la SAE, 6 000 € ; MJC, 100 € ; Morlaix Triathlon, 100 € ; Union cycliste Pays de Morlaix, 100 € ; Club athlétique Morlaisien-aide exceptionnelle, 1 000 € ; Rugby-club Pays de Morlaix-aide exceptionnelle, 1 000 € ; Sporting Club Morlaisien, aide exceptionnelle, 1 000 € ; UCPM, aide exceptionnelle, 1 000 €.

 

Sport santé

Aiki Dojo Sankaku, 250 € ; Escrime Club Morlaix, 250 € ; Handiclub Léonard, 250 €.

Associations manifestations sportives

Comité du petit tour de France cycliste, 1 000 € ; Association courses pédestres Saint-Pol-Morlaix, 4 500 € ; Yacht Club de Morlaix, 2 000 € ; Union cycliste du Pays de Morlaix, Ronde du Viaduc pour 350 €, Course cycliste Ploujean et handisport pour 500 €, Kérozar en Morlaix pour 250 €.

Associations sportives scolaires

Collèges du Château, 600 € ; Mendès-France, 379 € ; Saint-Joseph, 387 € ; Saint-Augustin, 343 € ; lycée Notre-Dame-du-Mur, 238 € ; lycée de Suscinio, 264 € ; lycée Tristan-Corbière, 1 000 €.

Si en 2020, année spéciale entre les élections et la covid, les subventions aux associations avaient été votées en septembre, le vote a eu lieu pour cette année 2021 lors du conseil municipal du 1er avril. À retrouver ici, le secteur de la vie associative.

Pour les anciens combattants et mémoire patriotique. Amicale des marins et anciens marins combattants de Morlaix, 150 € ; Association des anciens combattants et prisonniers de guerre de Morlaix Ploujean, 300 € ; Comité d’entente des associations patriotiques de Morlaix, 150 € ; Fédération nationale des anciens combattants en Algérie, Maroc et Tunisie-comité de Morlaix, 250 €.

Pour le Résam. Pour rappel, le total était à 3 600 € en 2020 et passe à 5 500 € en 2021. À noter donc, une augmentation significative des subventions pour le fonctionnement, 4 000 €.

Pour le patrimoine. Armor aéro-passion, 1 500 € ; Comité de la Maison du Peuple (fonctionnement et participation aux travaux de rénovation), 7 000 €.

 

Divers. Club des pêcheurs à la mouche, 100 €.

Pour les relations extérieures. Comité de jumelage Pays de Morlaix-Réo, 300 € ; Pays de Morlaix-Truro, 300 € ; Pays de Morlaix-Würselen, 300 €.

Pour les services de protection civile-secours. Adrasec, 60 € ; prévention routière, 300 € et SNSM, 250 €.

Pour les services communs enseignement. Div Yezh Montroulez, 500 € ; Foyer socio-éducatif, collège du château, 500 € ; collège Mendès-France, 500 €.

 

Dans le secteur de la santé, médico-sociale et prévention. Adapei, 250 € ; Alcool assistance 29 100 € ; Association des parents-CLPM autisme, 100 € ; Association soins palliatifs, Présence écoute Morlaix, 150 € ; Association Queffleuth-Bélizal, 50 € ; France Alzheimer et maladies apparentées, 100 € ; Stand’arts, 500 € et Unafam (Union nationale de familles et amis de personnes malades et/ou handicapées psychiques), 150 €.

Pour l’action sociale. Acat (Action des chrétiens pour l’abolition de la torture), 130 €; Addeski, 800 € ; Asad (Association de soutien aux adultes en difficulté), 1 000 € ; Association culturelle de la communauté comorienne, 500 € ; Association France Palestine Solidarité du Pays de Morlaix, 700 € ; Coallia, 35 000 € ; Comité national des chômeurs solidaires, 1 000 €; Consommation logement et cadre de vie-CLCV, 100 € ; Crésus, 500 € ; Croix Rouge française, Union locale, 500 € ; Goupil-Emploi-réemploi éthique, 1 000 € ; Jardins familiaux de la région de Morlaix, 500 € ; L’Embellie-lecture à voix haute, 100 € ; Les Jardins Park Laouen, 450 € ; Les utopistes en action, 1 500 € ; Ligue des droits de l’homme, 100 € ; Morlaix libertés, 300 €; Restaurant du cœur et relais du cœur du Finistère, 2 000 € ; Rêves de clown, 150 €; Secours catholique, 2 000 € ; Secours populaire français, 2 000 € ; Société Saint-Vincent de-Paul, 500 € ; Solidarité paysans, 100 € ; Union locale des syndicats CFDT Morlaix, 370 € ; Union locale des syndicats CGT Morlaix, 370 € et Union syndicale Solidaires, 370 €.

Dans le secteur de l’enfance. La Récré, 55 000 €.

Pour les seniors, office des retraités et personnes âgées de Morlaix (Orpam). La subvention a sensiblement augmenté, passant de 45 200 € en 2020 à 50 000 € en 2021.

Pour les familles. Courte Échelle, 10 200 €. L’attribution au centre social Carré d’As a, elle, augmenté : 64 500 € en 2020 à 80 000 € en 2021.

Pour l’environnement. Association pour la protection du bois de Langolvas, 150 €.

Pour le tourisme. APPF Fougères, 2 000 €.

Partager cet article
Repost0
1 avril 2021 4 01 /04 /avril /2021 05:32
Un président sans empathie qui revient à 20 h sur le petit écran pour la 7e fois depuis un an expliquer que l’heure est grave mais qu’il a tout bien fait, qui annonce l’extension du confinement aux autres territoires et la fermeture des écoles lundi.
Un président sûr de lui mais imprécis en tout. Heureusement qu'à l'hiver succède le printemps et que l'été suivra qui fait ralentir le virus respiratoire.
Un président sans empathie qui oublie de dire qu’à ce jour moins de 60% seulement des + de 75 ans sont vaccinés dans notre pays ce qui veut dire que les autres, exceptés une partie des soignants, ne le sont pas.
Un président sans empathie qui oublie de dire que si les non vaccinés n’obtiennent pas de RDV c’est à cause du manque de doses de vaccins disponibles.
Un président sans empathie, vague, comme d’habitude, sur les vaccins.
Un président froid qui n’annonce aucun moyens supplémentaires, aucun plan de rattrapage scolaire pour lutter contre le décrochage scolaire.
Un président sans empathie qui ferme les écoles mais qui ne dit rien sur le flop des tests à l’école, parce que moins de 1% des élèves ont été testés.
Un président sans empathie qui promet déjà le déconfinement à la mi-mai mais qui est incapable de nous en dire plus sur la campagne vaccinale, qui n’a pas de mot sur les petits commerces et les indépendants qui dérouillent.
Un président sans empathie, froid qui ne s’engage pas sur le réarmement de l’hôpital, les moyens durables de l'hôpital, mais annonce des lits éphémères qui passeront de 7 000 à 10 000 et qui « minimise » : "on fera face sans trop déprogrammer". Trop c’est qui, c’est quoi ?
Un président sans affects qui décide de tout, qui l’annonce à 20 h et envoie son collaborateur #Castex au Parlement le lendemain faire le service après-vente devant ce qu'il considère comme une chambre d'enregistrement, c'est à dire demander à sa majorité obéissante et révérencieuse de hocher la tête de haut en bas, de se boucher les oreilles et d’appuyer sur le bouton vert.
Sébastien Jumel - Un président sans empathie qui revient à 20 h sur le petit écran pour la 7e fois depuis un an expliquer que l’heure est grave mais qu’il a tout bien fait
Partager cet article
Repost0
31 mars 2021 3 31 /03 /mars /2021 17:12
mercredi 31 mars à 14h, rassemblement devant la sous-préfecture en soutien à Miléna
mercredi 31 mars à 14h, rassemblement devant la sous-préfecture en soutien à Miléna
mercredi 31 mars à 14h, rassemblement devant la sous-préfecture en soutien à Miléna
mercredi 31 mars à 14h, rassemblement devant la sous-préfecture en soutien à Miléna
mercredi 31 mars à 14h, rassemblement devant la sous-préfecture en soutien à Miléna
mercredi 31 mars à 14h, rassemblement devant la sous-préfecture en soutien à Miléna
mercredi 31 mars à 14h, rassemblement devant la sous-préfecture en soutien à Miléna

Un rassemblement de solidarité avec Milena Harutyunyan et sa famille cet après-midi devant la préfecture de Brest, cet enfant de 6ème scolarisée au collège de l'Harteloire à Brest menacée d'expulsion avec sa mère et son frère, alors qu'ils sont en France depuis 6 ans et que le père, journaliste d'opposition a dû quitter l'Arménie pour rester en liberté, et que Miléna a des problèmes de santé.

Malgré tout, détenu en centre de détention depuis quelques jours, il a été renvoyé en Armenie hier ou aujourd'hui.

Honteux! Scandaleux!

Un front citoyen organisé au côté de Milena, de sa famille, avec ses camarades de classe, les enseignants de l'Harteloire et l'APE.

Nous ne devons pas laisser l'Etat traiter ces personnes en France depuis des années, qui ont créé des liens, ces enfants scolarisés, comme des "encombrants" à renvoyer "au pays".

Arrêtes au petit matin comme le père par les gendarmes dans leur centre d'hébergement alors sur la maman vient d'accoucher.

Ça se passe chez nous, et c'est juste lamentable!

Nous étions plusieurs communistes de Brest, Morlaix, Le Relecq-Kerhuon au rassemblement de 14h à 15h ce 31 mars.

Photos Ismaël Dupont et Eugénie Cazaux

 

Pour signer la pétition en ligne pour le maintien sur le territoire de Milena et sa famille. Son père, journaliste opposant, en centre de rétention, a été expulsé aujourd'hui, au mépris des droits de l'Homme.
 
mercredi 31 mars à 14h,
rassemblement devant la sous-préfecture
en soutien à Miléna, élève de 6e3 et à sa famille,
menacée d'expulsion.
 
Soutien à Milena Harutyunyan, élève de 6e du collège de l'Harteloire à Brest menacée d'expulsion
Manifestation aujourd'hui, mercredi 31 mars, à 14h devant la sous-préfecture de Brest
Si vous pouvez nous rejoindre et en parler autour de vous, n'hésitez pas.
 
La situation est extrêmement préoccupante pour Milena HARUTYUNYAN, dont le père est actuellement en centre de rétention à Rennes, en vue d'être renvoyé dans son pays d'origine.
 

Nous ne comprenons pas comment on peut envisager

que cette jeune fille s'épanouisse dans une telle situation, alors qu'elle vit en France depuis ses 6 ans.

 

 

Nous ne comprenons pas comment les services de l'État décident de renvoyer en Arménie une famille qui est intégrée ici depuis de nombreuses années, qui y a élevé deux enfants et vient de mettre un bébé au monde.

 

Nous sommes très inquiets pour notre élève, qui est porteuse de handicap : elle porte un implant auditif et nous savons que le suivi médical strict dont elle a besoin ne pourra être assuré en Arménie.

 

Milena a toute sa place dans notre établissement, dans notre ville, dans notre société.

La France est son pays, le français sa langue. Il serait incompréhensible qu'elle doive abandonner maintenant tous ses repères et ses projets pour un avenir incertain et insécurisant.     

 

                                                                  

Les personnels et enseignants de l’Harteloire

 

Courrier avec la pétition à télécharger:

[rtf] COURRIER_MILENA

Ouest-France, Brest, 1er avril 2021

Ouest-France, Brest, 1er avril 2021

Le Télégramme, Brest, 1er avril 2021

Le Télégramme, Brest, 1er avril 2021

Les camarades du PCF qui soutiennent le maintien sur le territoire de Milena HARUTYUNYAN et de sa famille en signant la pétition transmis par l'APE de l'Harteloire. 

Pour centraliser vos signatures de la pétition: dupont.ismael@yahoo.fr

Claude Bellec (ancienne élue PCF à Brest)

Martine Carn(conseillère municipale à Plougonven)

Eugénie Cazaux (PCF Brest)

Jeannine Daniel, militante PCF à Scaër

Enzo de Gregorio (secrétaire départemental du MJCF, Brest)

Ismaël Dupont (premier adjoint à Morlaix, secrétaire départemental du PCF)

Marie-France Gousse (militante PCF à Concarneau)

Eric Guellec, adjoint PCF à Brest (Équipements de quartiers, Anciens combattants)

Roger Héré, Premier adjoint à Plouigneau, militant PCF

Enora Lamy (section PCF Morlaix)

Jean-Michel Le Lorc’h (vice-président à Brest-Métropole et conseiller municipal à Brest)

Pierre-Yves Liziar, conseiller municipal délégué au Relecq-Kerhuon

Mathilde Maillard, adjointe PCF à Brest (Santé, Personnes âgées)

Erwan Rivoalan, militant communiste, Brest

Pierre-Yves Thomas (conseiller municipal à Carhaix)

Michel Tudo ( Lanmeur, cheminot retraité)

Jean-François Vérant (Plougasnou)

Partager cet article
Repost0
31 mars 2021 3 31 /03 /mars /2021 16:48
Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Jean-Luc Le Calvez, 31 mars 2021 - Morlaix

Morlaix. « Dans un climat de culpabilisation », les retraités dans la rue

Ouest-France, 31 mars 2021

À l’appel des collectifs CGT, FO, FSU, CFE/CGC et Solidaires, des retraités se sont réunis à Morlaix (Finistère) pour réclamer une hausse de leur pouvoir d’achat, mais aussi dénoncer la gestion de la crise sanitaire.

Mercredi 31 mars 2021, une cinquantaine de personnes se sont rassemblées, place des Otages à Morlaix (Finistère). Dans un climat de culpabilisation des retraités qui seraient protégés de la pandémie au détriment des jeunes, neuf organisations les ont appelés à se mobiliser dans toutes les villes de France​, pouvait-on entendre lors des prises de paroles. À Morlaix, la CGT, FO, FSU, CFE/CGC et Solidaires étaient à la manœuvre.

S’ils déplorent toujours la baisse continue du niveau de vie depuis trop d’années, les syndicats sont également revenus sur le contexte actuel : La campagne de vaccination souffre des mêmes tares que les précédentes périodes de la crise sanitaire : aujourd’hui, le manque de vaccins est dans la continuité du manque de lits, de respirateurs, de masques, de tests.

Photo Pierre-Yvon Boisnard, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Pierre-Yvon Boisnard, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Pierre-Yvon Boisnard, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Pierre-Yvon Boisnard, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Pierre-Yvon Boisnard, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Pierre-Yvon Boisnard, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Pierre-Yvon Boisnard, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Pierre-Yvon Boisnard, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Pierre-Yvon Boisnard, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Pierre-Yvon Boisnard, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Pierre-Yvon Boisnard, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Pierre-Yvon Boisnard, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Pierre-Yvon Boisnard, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Pierre-Yvon Boisnard, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Pierre-Yvon Boisnard, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Pierre-Yvon Boisnard, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Pierre-Yvon Boisnard, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Pierre-Yvon Boisnard, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Pierre-Yvon Boisnard, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Pierre-Yvon Boisnard, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Pierre-Yvon Boisnard, 31 mars 2021 - Morlaix

Photo Pierre-Yvon Boisnard, 31 mars 2021 - Morlaix

Partager cet article
Repost0
31 mars 2021 3 31 /03 /mars /2021 16:40
Bernard Bloyet, délégué retraite à la CGT, a pris la parole devant la maison des syndicats pour dénoncer « une dégradation importante du pouvoir d’achat des retraités ». (Le Télégramme/Jean-Noël Potin)

Bernard Bloyet, délégué retraite à la CGT, a pris la parole devant la maison des syndicats pour dénoncer « une dégradation importante du pouvoir d’achat des retraités ». (Le Télégramme/Jean-Noël Potin)

Une cinquantaine de personnes se sont rassemblées, ce mercredi 31 mars 2021, devant la maison des syndicats à Carhaix, pour réclamer une revalorisation des

Ce n’était sans doute pas la mobilisation de l’année à Carhaix. Il n’empêche. Près d’une cinquantaine de personnes se sont réunies, face à la maison des syndicats, pour dénoncer la paupérisation croissante de nombreux retraités. « Depuis de nombreuses années, les retraités subissent une dégradation importante de leur pouvoir d’achat », a ainsi souligné Bernard Bloyet, délégué retraites à la CGT, dans le message qu’il a lu aux personnes présentes. Selon lui, « beaucoup ont pu constater une baisse de leur niveau de pension : en dix ans, les pensions nettes n’ont augmenté que de 6,26 %, pendant que l’indice des prix Insee évoluait de plus de 12 % ».

Cette manifestation à laquelle appelaient neuf organisations syndicales, n’était pas seulement relayée localement par la CGT. Le PCF et le NPA étaient en effet également mobilisés. Michel Carrio, porte-parole du NPA, ne cachait pas son amertume : « En 2018, le gouvernement a augmenté la CSG d’1,7 %, en principe pour aider les jeunes, et voilà qu’ils viennent de refuser l’ouverture au Revenu de solidarité active aux moins de 25 ans. Autre exemple, en 2013, ils ont instauré l’aide à l’autonomie, en le prenant à ceux qui sont en Ehpad. Ce qu’on donne d’un côté, on le reprend de l’autre », déplore-t-il.
Partager cet article
Repost0
31 mars 2021 3 31 /03 /mars /2021 15:26
Aujourd’hui, Blanquer doit partir et une autre politique doit être mise en œuvre en urgence (PCF)
Aujourd’hui, Blanquer doit partir et une autre politique doit être mise en œuvre en urgence.
Les classes ferment les unes après les autres, au coup par coup, dans la désorganisation la plus totale. Nous avons besoin d’une politique nationale qui permette à chacun de s’organiser : le gouvernement doit décider de la fermeture des établissements scolaires sur l’ensemble du territoire, pendant les quatre semaines des vacances d’avril. Ces quatre semaines doivent être mises à profit pour vacciner tous les personnels qui le souhaitent, et mettre en œuvre un plan d’équipement des établissements en masques, gel et aérateurs.
Dès maintenant, un plan de recrutement exceptionnel doit être engagé pour permettre une réduction durable des effectifs et le remplacement des absences : recrutement immédiat de tous les admissibles aux concours de l'enseignement de l'an dernier et de cette année ; recrutement d'étudiants sous statut de MISE pour soulager les enseignants (aide aux devoirs, tâches administratives...) ; création de postes de personnels administratif et technique.
Les épreuves du baccalauréat et les programmes doivent être aménagés pour tenir compte de la pandémie. On ne peut pas pénaliser les élèves parce que leur établissement a dû fermer, ou réduire leurs heures d’enseignement ! Nous demandons donc le lissage des programmes sur deux ou trois ans, l’allègement du baccalauréat 2021 et la mise en place de moyens supplémentaires à l’université pour accueillir correctement les bacheliers de 2021 (effectifs réduits, créations de postes de MCF et d’ATER).
Les bacheliers 2021 doivent se voir garantir une place à l’université dans la formation de leur choix. La procédure Parcoursup doit être suspendue : on ne peut pas mettre les bacheliers en concurrence les uns avec les autres et faire payer ceux qui auront eu des cours interrompus ou des demi-groupes !
La rentrée de septembre doit être préparée dès aujourd’hui.
En septembre, le virus circulera toujours. Il faut en finir avec l’improvisation permanente et permettre aux familles et aux personnels d’envisager la rentrée avec sérénité.
Une réduction durable des effectifs est nécessaire pour limiter la transmission du virus et pour remédier aux difficultés engendrées par les interruptions scolaires. Nous exigeons donc un moratoire immédiat sur les fermetures de classes : aucun moyen en moins, nulle part, pour la rentrée 2021 ; et un plan de recrutement pluri-annuel, d’enseignants et de personnels, de la maternelle à l’université. Pour reconstituer un vivier de candidats, un pré-recrutement sous statut de la fonction publique sera mis en place en priorité dans les disciplines et les académies déficitaires.
Un plan national de rénovation et d'équipement des locaux scolaires est nécessaire pour permettre une réduction durable des effectifs, de bonnes conditions d'aération et d'hygiène, sans que cela repose sur les collectivités locales.
L’État doit cesser de se défausser et prendre ses responsabilités.
On ne peut pas demander aux familles de choisir entre la santé et la réussite scolaire, aux personnels de se mettre en danger ou de sacrifier leurs élèves ; aux collectivités locales de choisir entre fournir des masques ou équiper les établissements en aérateurs en fonction du budget disponible.
Le PCF demande que la crise scolaire fasse l’objet d’un débat à l’Assemblée nationale au plus vite, et que ce débat débouche sur des mesures nationales, garantissant l’égalité des élèves face à l’éducation sur tout le territoire.
Le nécessaire changement de politique doit être élaboré dans un grand débat national. C'est pourquoi nous soutenons la démarche des États généraux de l'éducation. Partout, dans nos quartiers, dans nos villages, reconstruisons l’école dont nous avons besoin, pour nos enfants et pour l’avenir.
Partager cet article
Repost0
31 mars 2021 3 31 /03 /mars /2021 15:15
Face à la précarité, les jeunes et les retraités sont unis.  Le gouvernement n’a de cesse de nous opposer, nous faisons union. Union face à la précarité qui touche toute les couches de la société.  « Les jeunes dans la galère, les vieux dans la misère, de cette société là, on en veut pas ! »

Face à la précarité, les jeunes et les retraités sont unis. Le gouvernement n’a de cesse de nous opposer, nous faisons union. Union face à la précarité qui touche toute les couches de la société. « Les jeunes dans la galère, les vieux dans la misère, de cette société là, on en veut pas ! »

Brest. Les retraités ont mobilisé autour d’eux, ce mercredi 31 mars

Ouest-France, 31 mars 2021

Ils étaient une centaine à se mobiliser, ce mercredi 31 mars 2021, à Brest (Finistère) pour demander une augmentation de leur pension de retraite et alerter sur leur précarité. Les étudiants étaient venus grossir les rangs.

Réunis sur le parvis de la fac Segalen, à Brest (Finistère) pour faire entendre leurs revendications, les manifestants sont passés devant le Quartz puis sont allés déposer une motion à la sous-préfecture. « Nos pensions n’ont pas été augmentées depuis des années alors même que la fiscalité comme les prix ont explosé, explique Bruno Goulian de la CGT. De plus en plus de retraités vivent dans la précarité. »

Colère contre l’augmentation de la CSG

Par ailleurs, le gouvernement a reconnu s’être trompé en nous faisant payer l’augmentation de la CSG (Contribution sociale généralisée) en 2018 et a promis de nous rembourser, explique Robert Plaquin, ancien secrétaire général CGT Postes Télécoms du Finistère Nord.

Nous attendons toujours le remboursement intégral de ce trop-perçu !».

Lutte intergénérationnelle

Les manifestants demandent également la production massive de vaccins rapides et gratuits pour tous, la prise en charge de la perte d’autonomie, des services publics avec maintien des guichets et accueils physiques dans les administrations et la fin de « l’âgisme » consistant à opposer les générations entre elles. Quelques jeunes sont en effet dans le cortège. Par solidarité et parce que « cette lutte est intergénérationnelle, souligne Enzo de Grégorio, secrétaire départemental du MJCF (Mouvement jeunes communistes de France). Le gouvernement essaye de nous opposer mais nous avons les mêmes problématiques. »

Partager cet article
Repost0
31 mars 2021 3 31 /03 /mars /2021 15:06

 

La semaine dernière étaient découvertes 29 millions de doses d’AstraZeneca dans un entrepôt italien. S’en est suivi des passes d’armes entre l’UE et le Royaume-Uni ou, devrait-on dire, des larmes de crocodiles de part et d’autre. Cet évènement pourrait constituer le nouvel épisode d’un feuilleton télévisé s’il n’illustrait pas de nouveau l’antagonisme entre les besoins de santé publique et les profits des grandes entreprises pharmaceutiques.

 

 

En effet, dans un tour de passe-passe dont les dirigeants européens ont désormais le secret, le scandale des retards dans la campagne de vaccination et la pénurie de vaccins... seraient en fait dû à un problème d’exportation et de guerre commerciale.

Mais revenons un peu en arrière. Depuis plusieurs mois maintenant, l’Union européenne a conclu, dans le plus grand secret, des contrats avec les entreprises pharmaceutiques pour financer la recherche et les capacités de production. Le montant de ces contrats ? On l’ignore, mais il est estimé à 2,1 milliards d’euros. Les garanties dans ces contrats ? Elles sont faibles sinon inexistantes. Alors que se passe-t-il exactement ? Tout simplement, les big pharmas, qui comme toute entreprise capitaliste ont pour objectif principal le profit, jouent la concurrence, font monter les prix et organisent la pénurie.

Dès lors, la seule solution pour sortir de la crise sanitaire n’est pas le nationalisme vaccinal mais bien le développement de la production. Quand bien même demain toute la population européenne serait vaccinée, si les variants continuent à circuler dans le monde le virus et la pandémie seraient toujours là et tout serait à recommencer. Cela, les big pharmas l’ont bien compris et le voient comme une opportunité pour d’avantage de profits encore. Mais de l’autre côté ce sont des vies humaines qui se comptent aujourd’hui par millions (2,5 millions de morts depuis le début de la pandémie).

Le cynisme de la situation se résume bien dans cette question : À combien évaluez-vous une vie humaine ? Autrement dit, combien êtes-vous prêt·e·s à payer pour la sauver ? Des solutions s’imposent pourtant : lever les brevets, mutualiser la production et faire des vaccins et des traitements des biens communs de l’humanité !

En France, le code de la Santé publique et la loi de 2020 autorisent, « si l'intérêt de la santé publique l'exige et à défaut d'accord amiable avec le titulaire du brevet, [...] de soumettre par arrêté au régime de la licence d'office ». La loi du 20 mars 2020 nous permet de réquisitionner les entreprises comme Sanofi à cet effet. Au niveau international, plus de 100 pays menés par l’Inde et l’Afrique du Sud portent cette exigence. Que l’UE et la France arrêtent de les bloquer systématiquement !

La campagne « Pas de profit sur la pandémie » regroupe aujourd’hui plus de 200 organisations au niveau européen, dont plus de 30 au niveau français. Il nous faut encore l’amplifier et construire ce rapport de force pour faire des vaccins et traitements anti-pandémiques des biens communs de l’humanité. Dans la prochaine période, il est essentiel que les élus et les municipalités s’engagent, en soutenant (par des vœux) et en diffusant (dans les médias municipaux, sur les frontons des mairies...) l’initiative citoyenne : https://noprofitonpandemic.eu/fr/ .

Au-delà, il faut sortir la santé des mains du marché. Notre revendication de longue date d’un pôle public du médicament est aujourd’hui largement partagée dans la population et le monde médical. Servons-nous de cette campagne pour mobiliser largement sur ces questions.

Nous ne sommes pas dans une tragédie grecque, la fin n’est pas inéluctable. Alors ensemble sortons de ce mauvais feuilleton que veulent nous vendre nos dirigeants pour faire en sorte que demain notre santé soit un droit et plus jamais une source de profit pour les capitalistes !

Charlotte Balavoine

Partager cet article
Repost0
31 mars 2021 3 31 /03 /mars /2021 06:43
Départementales Finistère - Orientations portées par le PCF et les candidats présentés par le Parti communiste dans le cadre du rassemblement à gauche
Élections Départementales – 13 et 20 juin 2021
Orientations portées par le PCF et les candidats présentés par le Parti communiste dans le cadre du rassemblement à gauche dans le Finistère 

Vivre mieux dans un département du Finistère solidaire, écologique et démocratique

Plus que jamais les Finistériennes et les Finistériens ont besoin que leur Département soit tourné vers la solidarité, l’égalité des droits, le respect des territoires, une vision audacieuse de la protection de l’environnement.

Pour cela, nous voulons conserver le département du Finistère à gauche et nous avons fait le choix de discuter dès le mois d'octobre 2020 avec toutes les organisations de gauche pour rendre ce rassemblement possible et de nous appuyer sur une alliance avec les représentants de la majorité actuelle au Département.... Nous souhaitons ce rassemblement à gauche au 1er tour le plus large possible, sans exclusive. Alors que cela aurait été tellement plus simple et sensé de partir tous ensemble.

Une gauche où les communistes, garants de politiques de progrès social et humain, ont toute leur place.

Le Parti communiste devrait présenter 5 candidats titulaires sur des binômes de rassemblement dans le département (Brest 1, Morlaix, Douarnenez Cap-Sizun, Pont l'Abbé-Pays Bigouden, plus un canton encore à déterminer), plus d'autres candidats en situation de suppléants, et soutiendra les candidats de la majorité sortante suite à son accord en voie de finalisation avec le PS dans les autres cantons en privilégiant l'alliance de 1er tour par souci d'efficacité.

En effet, le cœur de l’engagement communiste est le combat pour l’égalité des droits, contre la pauvreté et les inégalités, pour des services publics de qualité accessibles à tous.

Or, la moitié du budget du Département du Finistère est consacré à la solidarité (520 millions d’€ sur un budget global de 998 millions d’euros en 2021) : Personnes handicapées (157 millions : 30%), Enfance et Famille (106 millions : 20%), Personnes âgées (122 millions : 23%), Insertion (127 millions : 24%). Le Département est aussi à l’initiative sur le logement social, sa rénovation, ses loyers. Le département du Finistère compte 3100 agents et 648 assistants familiaux. Les valeurs de défense de l’Humain, du social, et du service public et du droit à l’initiative et au respect de ses agents, doivent donc être représentées dans l’assemblée départementale, notamment par des élus communistes là où, à l’inverse, les droites du très libéral Maël de Calan ou de LREM entendent taper sur les fonctionnaires, les aides sociales, les allocataires du RSA et les présumés fraudeurs, sur les mineurs non accompagnés.

Face à l’austérité, aux transferts des charges de solidarité non compensées sur le moyen terme, à la baisse des dotations de fonctionnement, et un contexte d’évolution des recettes fiscales incertain, nous demandons des moyens nouveaux pour les départements :

- taxation des revenus financiers des entreprises comme recettes nouvelles

- remboursement par l’État des dettes liés aux transferts de charges non compensées (RSA, APA)

- lutte résolue contre la fraude et l’évasion fiscale (60 à 80 milliards d’€ chaque année en France)

- action pour que les collectivités puisse emprunter auprès de la BCE à taux très faible voir nul, financements garantis et renationalisés de la solidarité : EHPAD, structures d’accueil pour personnes âgées et handicapés, aide à domicile, RSA.

La capacité à financer le social et l’accès aux droits ne doit pas dépendre de la richesse relative et inégale des départements : elle doit être garantie à tous les Français, dans tous les territoires, ce doit être la préoccupation majeure de notre État, qui doit être le garant de l’égalité effective d’accès aux droits des citoyens français.

Seule une autre politique fiscale et économique de l’État, une autre politique d’affectation des richesses créées par les travailleurs, une autonomie fiscale retrouvée aussi pour les départements, permettra aux départements de jouer pleinement leur rôle de solidarité et d’atténuation des inégalités.

En ces temps de crise sanitaire et économique sans précédent, c’est plus que jamais nécessaire : En 2020, la crise de la Covid a eu un impact financier de 10 millions d’euros sur le budget du département du Finistère, et les non-compensations de l’État aux transferts de charge ou aux déplacements de fiscalité peuvent s’évaluer à 140 millions d’euros sur le fonctionnement.

Première collectivité en lien avec la précarité, les plus pauvres, les plus fragilisés, le Département est aussi la collectivité la plus visée par les politiques néo-libérales et d’austérité du pouvoir à l’heure où les plus riches et les actionnaires du CAC 40 ne cessent de s’enrichir avec la politique du gouvernement Macron, au service du capital.

Nos élus départementaux contesteront le cadre budgétaire intenable que l’État leur impose car il ne permet pas de couvrir les efforts de solidarité nécessaire pour satisfaire les besoins sociaux, ce qui est le cas actuellement, et ne se priveront pas de faire le lien entre des politiques économiques nationales au service de la finance et des profits et les souffrances sociales vécues « en bas », dans nos communes et sur notre territoire, faute d’investissement public suffisant dans les services publics, les EHPAD et les services d’aide à domicile pour les personnes âgées, les structures pour handicapés, l’accueil des mineurs isolés.

Le poids des dépenses militaires, et d’un choix de l’armement nucléaire auquel nous nous opposons (6 milliards d’euros par an), interroge aussi sur les priorités quand on voit le niveau de sous-financement des dépenses de solidarité et sociales, et tout particulièrement du secteur de la perte d’autonomie.

 

Les propositions du Parti communiste français pour les élections départementales dans le Finistère  :

 

1/ Face à la crise économique et sociale liée à la pandémie, répondre à l’urgence sociale!

Mise en place d’un comité départemental de suivi des effets économiques et sociaux de la crise. Travail avec les organisations syndicales et associatives et les représentants du monde économique, les représentants des chômeurs, des allocataires du RSA et des jeunes, dans ce cadre, visant à faire des propositions à l’assemblée départementale sur la base d’un observatoire de la vie économique et sociale locale.

Renforcer les moyens du CDAS (comité départemental d’action sociale) et lutter contre une tendance à la technocratisation des métiers du social au détriment de l’humain.

Porter une attention toute particulière aux droits des femmes, à la prévention des violences faites aux femmes et des violences intra-familiales. Mettre des moyens pour accompagner les victimes, matériellement et dans le conseil, l’assistance, pour faire valoir leurs droits et se mettre à l’abri du danger et de la précarité.

- Défendre avec énergie des politiques au service de la lutte contre les discriminations, pour l’égalité femmes-hommes, la lutte contre l’homophobie.

Bataille pour permettre aux jeunes de moins de 25 ans de pouvoir bénéficier du RSA. Permettre à tous ceux qui n’ont pas demandé le RSA alors qu’ils y ont droit (environ 40%) d’y accéder en simplifiant les démarches. Mieux faire connaître l’ensemble des aides existantes et simplifier les démarches.

Objectif zéro sans abri en partenariat avec les communes et l’État

Développer le logement social et assurer des programmes de rénovation réguliers tout en lui conservant sa pleine accessibilité aux personnes et familles les plus modestes. Ne pas augmenter les loyers lors de travaux de réhabilitation.

Soutenir les activités impactées très fortement par la pandémie, notamment les restaurateurs, commerçants, le monde de la culture, etc.

Collèges :

Maintenir des repas de cantine à des prix les plus accessibles possibles pour les familles des collégiens aux revenus les plus modestes, travailler sur l’aide aux transports scolaires pour ces familles, particulièrement en milieu rural.

Préserver les petits collèges, éléments indispensables à la vitalité de nos communes et outils aussi intéressants pour développer des cadres scolaires propices à la réussite de tous et à un climat familial et fraternel. Donner des moyens suffisants aux collèges qui trop souvent ont des budgets très limites permettant de moins en moins de financer les dépenses pédagogiques, les sorties culturelles, les voyages, les partenariats culturels. L’éducation, l’égalité d’accès à l’ouverture à la culture, aux livres, aux sports et au monde de nos jeunes, doivent être des priorités. Le soutien aux écoles publiques doit être une priorité. Dans le cadre des collèges, il faut développer les actions de prévention, de citoyenneté, et par exemple la lutte contre la précarité menstruelle avec l’accès aux serviettes hygiénique pour les filles. Batailler avec les personnels d’éducation et les parents d’élèves pour un maximum de 25 élèves par classe. Poursuivre le plan de réhabilitation des collèges.

 Culture :

La culture est un élément essentiel de nos vies, de l’émancipation des femmes et des hommes, d’un lien social plus harmonieux et riche. C’est aussi une des forces reconnues de la Bretagne et du Finistère que nous voulons continuer à soutenir, dans un contexte de pandémie, de fermetures, d’annulations et de confinement, très compliqué pour ses acteurs, mais qui rend d’autant plus indispensable leur existence et leur travail d’éducation populaire et pour créer du sens. Dans le Finistère comme sur le plan national et local, et on sait que cela passe par des financements, nous voulons consolider la place motrice, dans l’embellissement de nos vies, l’intelligence collective, et la création d’une société meilleure, de la culture, de l’art et de la création. Soutenir les acteurs de la culture et de l’art, la démocratisation de l’enseignement de la musique et des pratiques artistiques, de l’accès aux livres et à la lecture. Chercher à compenser les différences de potentiel entre l’urbain et le rural en soutenant tout particulièrement les initiatives culturelles dans les territoires ruraux.

Le département du Finistère doit aussi continuer à préserver et encourager l’enseignement du breton, la visibilité du breton dans l’espace public.

 

2/ Agir pour l’emploi

en lien avec la région, encourager la relocalisation d’activités industrielles dans notre département. Contribuer au développement des industries et activités économiques existantes avec des critères de transparence, de contrôle et de fléchage dans les aides économiques aux entreprises prenant en compte des critères sociaux et écologiques.

mise en place d’une conférence départementale pour l’emploi et la formation avec l’ensemble des forces vives du territoire afin de recenser les besoins de services publics et les besoins en activités marchandes, évaluer les besoins en emploi et en formation qui en résulte, puis agir vers la satisfaction de ces besoins

clause de proximité dans les contrats publics afin de favoriser la production en Finistère

lorsqu’une fermeture d’entreprise est envisagée (ou une restructuration destructrice d’emploi), agir pour que les salariés ait un droit de véto suspensif, permettant aux salariés d’avoir le temps d’élaborer un projet alternatif. Accompagnement du conseil départemental si les salariés font le choix de reprendre leur entreprise en SCOP

soutenir le dispositif « territoire zéro chômeur longue durée », développer des emplois d’insertion pour les bénéficiaires du RSA, sur le principe du volontariat et de l’accompagnement dans l’acquisition d’expériences, de compétence, et de qualification.

soutenir l’économie sociale et solidaire, les associations qui y travaillent

le département doit être un employeur « exemplaire » qui agit contre la précarité de ses agents, préserve ses moyens d’intervention publique, cherche à préserver et améliorer les acquis et rémunérations des fonctionnaires, favorise l’échange ouvert et permanent avec les organisations syndicales et reconnaît le professionnalisme de ses agents.

 

3/ Garantir l’accès aux services publics sur tout le territoire

Agir contre les fermetures de services publics (bureaux de postes, trésorerie, guichets SNCF, petites lignes ferroviaires)

Agir avec la région et les intercommunalités pour impulser une dynamique politique en matière de mobilités et de déplacements, en offrant aux usagers un bouquet de solutions adaptées aux différents territoires, tant ruraux que urbains,

par le développement et la remise en service des petites lignes ferroviaires,

par le développement des services de transport collectifs réguliers de voyageurs (urbains, périurbains, scolaires…), permettant un rééquilibrage en faveur des territoires ruraux, et dans une orientation plus écologique favorisant le recours à des moyens de transport décarbonés,

par le développement de services relatifs aux mobilités actives (vélo, marche à pied)

par le développement de services relatifs aux usages partagés de la voiture : covoiturage et autopartage…

par le développement de services de mobilités solidaires, afin d’améliorer l’accès à la mobilité des personnes se trouvant en situation de vulnérabilité économique ou sociale et des personnes en situation de handicap ou dont la mobilité est réduite (service de transports à la demande, etc…)

Accompagner les communes dans leurs investissements sur la base de critères et de priorisations décidés démocratiquement, et d’une volonté de prendre en compte les fragilités sociales et économiques des territoires.

S’attaquer résolument aux déserts médicaux en zone rurale et dans les quartiers populaires avec la création de centre de santé.

Donner des nouveaux moyens humains et matériels aux pompiers

 

Permettre l’accès au haut débit sur tout le département. Aucune « zone blanche » pour la téléphonie mobile.

Accompagner les petits commerces en zone rurale. Développer avec l’aide du département le système de commerce coopératif.

 

4/ Mieux accompagner les personnes et les familles

Augmenter le nombre d’emplois qualifiés dans l’aide à la personne et le secteur de la perte d’autonomie. Améliorer le statut de ces personnels, bien souvent féminins et précarisés. Cela nécessite la revalorisation de ces métiers en augmentant les salaires, en reconnaissant les qualifications et en bonifiant les conditions de travail. Cela suppose de continuer à soutenir des structures souvent déficitaires en raison des règles de financement décidées par l’État et des déficits de solidarité comme l’ADMR, tout en travaillant des projets de construction de nouveaux services publics pour structurer le secteur de l’accompagnement des personnes âgées et de la perte d’autonomie. C’est un enjeu essentiel pour le département du Finistère à la population vieillissante.

 

EHPAD : Faire un état des lieux précis. Permettre à chaque personne qui le souhaite de pouvoir aller en établissement à un tarif accessible. Encourager la présence de médecin gériatres, kinés, ergothérapeutes et infirmières dans tous les EHPAD. Augmenter le nombre de soignants et personnels en EHPAD et prévoir un plan de formation et recrutement de personnel pour répondre aux besoins. Il est inacceptable que dans beaucoup d’EHPAD, la qualité de l’alimentation laisse à désirer, et que les résidents n’aient droit qu’à une douche toutes les 2 semaines. Il faut accompagner la création de nouvelles places et une nette amélioration des conditions d’accueil pour les résidents des maisons de retraite tout en veillant aussi au développement des solutions d’hébergement intermédiaires accessibles aux revenus les plus modestes. Selon les souhaits des personnes, accompagner le maintien à domicile dans un secteur avec des personnels qualifiés, sortis de la précarité, et avec des conditions de travail permettant une réelle qualité et humanité de la prise en charge. Favoriser des « solutions intermédiaires » entre domicile et EPHAD : logements adaptés et équipés, maisons de retraites non médicalisées

 

Handicap : augmenter le nombre de place d’accueil dans les IME, réduire les délais d’attente, améliorer la qualité des conditions d’accueil dans les internats, augmenter les moyens de la MDPH. Simplifier les démarches administratives pour les personnes en situation de handicap et mieux les accompagner pour leur faire connaître les dispositifs auxquels ils ont le droit et leur permettre d’en bénéficier. Rendre accessible aux PMR l’ensemble des bâtiments gérés par le conseil départemental et accompagner les communes pour leurs travaux de mise en accessibilité. Favoriser l’insertion professionnelle des personnes en situation de handicap : accompagnement des personnes et des employeurs pour favoriser le maintien dans l’emploi, campagne de communication auprès des employeurs pour favoriser les embauches. Aller plus loin que ce que prévoit la loi (6 %) en pourcentage de personnes en situation de handicap dans les effectifs du conseil départemental. Favoriser le handi-sport. Œuvrer pour l’accessibilité des événements culturels.

Petite enfance : Favoriser le développement de crèches publiques.

 

Aide aux mineurs non accompagnés (MNA): Élargir la capacité d’accueil des mineurs isolés en structure ou en cellule familiale et éviter les mise à l’abri hôtelière sans suivi. Améliorer les conditions d’accueil des Mineurs non accompagnés en privilégiant des professionnels référent (éducateurs et psychologues). Limiter le turn over des professionnels et privilégier les suivis individuels. Interdiction et suppression des AEM ( outils d’aide à l’évaluation de la minorité), notamment les tests osseux. Faire la promotion du processus famille accueillante qui existe déjà et dont on entend trop peu parler. Mettre en place une coordination d’accueil des Mineurs non accompagnés dans les différentes communes du département.

 

5/ Un département engagé sur la transition écologique

- Évaluer l’impact écologique de chaque politique départementale. Protéger nos espaces naturels, nos cours d’eau, nos littoraux, la biodiversité.

- Renforcer l’alimentation bio et locale dans la restauration scolaire, dans les collèges. Exemple de l’exploitation maraîchère en lycée agricole.

- Préserver les terres agricoles et les zones humides. Limiter, voire même renoncer tout à fait aux aménagements routiers non indispensables et à la construction de nouvelles grandes zones ou surfaces commerciales de périphérie.

- Plan ambitieux de lutte contre la précarité énergétique en réhabilitant des logements publics et sociaux, travaux de rénovation énergétique des bâtiments publics.

- Favoriser l’utilisation du train, du vélo et le covoiturage.

- Énergie : Agir pour la maîtrise publique de la production et de la distribution de l’électricité (contre le projet Hercule). Besoin de réflexion sur la méthanisation : pour nous, les terres agricoles doivent avant tout servir à produire de l’alimentation, pas de l’énergie. Soutenir le développement des énergies renouvelables en étant attentif aux critères de maîtrise publique et de profit.

- Nous devons engager une action résolue sur la question de l’adaptation aux effets du changement climatique, et sur les risques de submersion et d’inondation, l’érosion des littoraux. Nous voulons continuer à valoriser l’extraordinaire diversité et qualité de nos paysages maritimes et terrestres en préservant et faisant découvrir notre biodiversité.

- Nous voulons travailler avec les collectivités une politique de réduction des déchets et de traitement le plus écologique possible.

 

6/ Agir pour le renouveau démocratique

Réunir régulièrement les élus municipaux et les citoyens dans chaque canton pour être au plus près des besoins des communes, faire des bilans de mandat, mettre les priorités et l’action départementale en débat.

Consulter régulièrement les organisations syndicales et associatives et prendre en compte leurs propositions.

Création d’un conseil des habitants dans chaque canton qui pourrait proposer des projets lors des séances du conseil départemental. Mise en place d’un observatoire des engagements.

 

 

Partager cet article
Repost0
31 mars 2021 3 31 /03 /mars /2021 06:05
Manifestons devant la sous-préfecture de Brest à 14h - Signez la pétition, apportez votre soutien au maintien sur le territoire de Milena et sa famille
Pour signer la pétition en ligne pour le maintien sur le territoire de Milena et sa famille. Son père, journaliste opposant, en centre de rétention, a été expulsé aujourd'hui, au mépris des droits de l'Homme.
 
mercredi 31 mars à 14h,
rassemblement devant la sous-préfecture
en soutien à Miléna, élève de 6e3 et à sa famille,
menacée d'expulsion.
 
Soutien à Milena Harutyunyan, élève de 6e du collège de l'Harteloire à Brest menacée d'expulsion
Manifestation aujourd'hui, mercredi 31 mars, à 14h devant la sous-préfecture de Brest
Si vous pouvez nous rejoindre et en parler autour de vous, n'hésitez pas.
 
La situation est extrêmement préoccupante pour Milena HARUTYUNYAN, dont le père est actuellement en centre de rétention à Rennes, en vue d'être renvoyé dans son pays d'origine.
 

Nous ne comprenons pas comment on peut envisager

que cette jeune fille s'épanouisse dans une telle situation, alors qu'elle vit en France depuis ses 6 ans.

 

 

Nous ne comprenons pas comment les services de l'État décident de renvoyer en Arménie une famille qui est intégrée ici depuis de nombreuses années, qui y a élevé deux enfants et vient de mettre un bébé au monde.

 

Nous sommes très inquiets pour notre élève, qui est porteuse de handicap : elle porte un implant auditif et nous savons que le suivi médical strict dont elle a besoin ne pourra être assuré en Arménie.

 

Milena a toute sa place dans notre établissement, dans notre ville, dans notre société.

La France est son pays, le français sa langue. Il serait incompréhensible qu'elle doive abandonner maintenant tous ses repères et ses projets pour un avenir incertain et insécurisant.     

 

                                                                      

Les personnels et enseignants de l’Harteloire

 

Les camarades du PCF qui soutiennent le maintien sur le territoire de Milena HARUTYUNYAN et de sa famille en signant la pétition transmis par l'APE de l'Harteloire. 

Pour centraliser vos signatures de la pétition: dupont.ismael@yahoo.fr

Claude Bellec (ancienne élue à Brest)

Martine Carn(conseillère municipale à Plougonven)

Eugénie Cazaux (Brest)

Enzo de Gregorio (secrétaire départemental du MJCF, Brest)

Ismaël Dupont (premier adjoint à Morlaix, secrétaire départemental du PCF)

Marie-France Gousse (Concarneau)

Enora Lamy (section PCF Morlaix)

Jean-Michel Le Lorc’h (vice-président à Brest-Métropole et conseiller municipal à Brest)

Pierre-Yves Liziar, conseiller municipal délégué au Relecq-Kerhuon

Erwan Rivoalan, militant communiste, Brest

Pierre-Yves Thomas (conseiller municipal à Carhaix)

Michel Tudo ( Lanmeur, cheminot retraité)

Jean-François Vérant (Plougasnou)

 

 

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le chiffon rouge - PCF Morlaix/Montroulez
  • : Favoriser l'expression des idées de transformation sociale du parti communiste. Entretenir la mémoire des débats et des luttes de la gauche sociale. Communiquer avec les habitants de la région de Morlaix.
  • Contact

Visites

Compteur Global

En réalité depuis Janvier 2011