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11 novembre 2024 1 11 /11 /novembre /2024 17:26
260 personnalités pour un cessez-le-feu à Gaza : « Depuis un an, nos consciences sont ébranlées » (Tribune à l'appel de l'AJPF dans l'Humanité, 7 novembre 2024)
260 personnalités pour un cessez-le-feu à Gaza : « Depuis un an, nos consciences sont ébranlées »

Tribune

Nous publions cet appel lancé par plus de 260 signataires, élus et personnalités associatives.

 

L’horreur absolue se déroule sous nos yeux à Gaza, sans qu’aucune des grandes puissances internationales n’intervienne pour y mettre un terme. Pire, elles offrent au gouvernement israélien un blanc-seing pour continuer de perpétrer des crimes et des destructions en toute impunité, visibles aujourd’hui en boucle via les chaînes et les supports numériques du monde entier.

Personne ne pourra dire qu’on ne savait pas !

Des dizaines de milliers de tués et de disparus. Une situation humanitaire hors de contrôle. Des dizaines de milliers de blessés, de handicapés, de déplacés. Une population entière traumatisée durablement. Une génération sacrifiée.

Les Libanais.es subissent depuis le 23 septembre dernier, à leur tour, d’effroyables frappes aériennes, tuant des centaines de civils aveuglément et jetant des centaines de milliers d’autres sur les routes.

À cette ignoble barbarie, succède la volonté du gouvernement israélien de briser les institutions internationales. La Knesset et ses élu.es au pouvoir, en adoptant deux textes visant à l’interdiction de l’intervention de l’UNRWA (office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugié.es de Palestine dans le Proche-Orient qui fournit assistance, protection et qui plaide en faveur des 4,7 millions de réfugié.es palestinien.nes) ont franchi une nouvelle étape dans l’abject en frappant directement celles et ceux qui permettent la survie immédiate des populations. Rappelons que l’UNRWA apporte l’aide humanitaire dont dépend la survie de 2 millions de Gazaouis sous blocus israélien, et fait fonctionner les services indispensables de santé et d’éducation dans l’ensemble des territoires de la Palestine occupée.

L’UNRWA est le poumon de la Palestine occupée et c’est précisément cet organe vital que le gouvernement israélien veut frapper !

Ne nous y trompons pas, la stratégie du pouvoir israélien et ses opérations menées à Gaza et en Cisjordanie, sous couvert d’un « droit à se défendre », visent un objectif global d’effacement des revendications légitimes des Palestiniens par la force. Il s’agit de détruire tout ce qui peut concourir à favoriser le droit inaliénable du peuple palestinien à l’autodétermination, à l’indépendance, à la souveraineté et au droit au retour. Au-delà de l’aide humanitaire aux populations, l’UNRWA revêt une dimension éminemment politique : sa présence à Jérusalem renvoie inévitablement au système d’occupation illégitime de l’État israélien. L’UNRWA symbolise aussi l’engagement international en faveur du droit au retour des réfugié.es. Interdire ses activités représente une escalade folle sans précédent, c’est un défi flagrant à toutes les chartes et traités et à tous les États membres de l’Organisation des Nations Unies.

Cette décision bafoue l’accord Comay-McLemore de 1967 qui a permis à l’agence des Nations Unies d’opérer à l’intérieur des territoires palestiniens occupés.

Elle menace encore davantage le statut de la ville de Jérusalem Est d’où officie l’agence des Nations Unies, le but du gouvernement israélien étant la poursuite totale et finale de l’annexion de Jérusalem Est.

Nos partenaires palestinien.ne.s des camps de réfugié.e.s expriment leur écœurement vis-à-vis des États, partout dans le monde, qui contribuent au financement de l’UNRWA et qui, dans le même temps, n’exercent aucune pression envers l’État d’Israël pour qu’il rende des comptes. Ils ne comprennent pas pourquoi toutes les tentatives de déstabilisation des institutions internationales par Benyamin Netanyahou restent sans effet. L’État d’Israël se comportant comme un état hors-la-loi, nous devons exiger sa suspension de l’ONU !

Notre action doit continuer à porter la voix des Palestiniens, nous, peuples libres, ne reconnaissant que le droit et une organisation internationale légitime à intervenir pour garantir le maintien de la paix et de la sécurité. En ce sens, la France s’honorerait de reconnaître l’État de Palestine comme 146 des 193 pays membres de l’Organisation des Nations unies.

Notre association et à travers elle, les parlementaires, maires, élu.e.s, citoyen.n.e.s engagé.e.s des villes de notre réseau, défendons le droit des réfugié.e.s palestinien.ne.s depuis plus de 35 ans. Nous nous tiendrons aux côtés des milliers de personnes qui font vivre l’UNRWA au quotidien et aux côtés des réfugié.es palestinien.nes dans cette nouvelle épreuve et nous organiserons une mobilisation d’envergure dans ce sens dans les mois qui viennent.

Nous réaffirmons notre soutien inaltérable à l’UNRWA, notre soutien aux peuples palestinien et libanais. Nous portons haut et fort leur voix pour que nos pays, la France et l’Europe, exercent leur pouvoir pour déployer toutes les sanctions possibles contre l’État israélien, inverser le rapport de force pour permettre à la justice et au droit international de s’appliquer.

Premiers Signataires : 

    • Charlotte Blandiot-Faride, présidente de l’AJPF, maire de Mitry Mory (77)
    • Laëtitia Abily, adjointe au maire de Morlaix (29)
    • Smaël Addala, conseiller délégué à Montataire (60)
    • Fattah Aggoune, Maire de Gentilly (94)
    • Farid Ait, conseiller municipal de Pierrefitte sur seine (93)
    • Florence Ait-Salah Lecervoisier, conseillère municipale d’Orly (94)
    • Daniel Alarcon, Président du Comité Palestine Solidaire Marne-la-Vallée (77)
    • Fatiha Alaudat, conseillère municipale de Malakoff (92)
    • Hasni Alem, adjoint de quartier à Besançon (25), conseiller communautaire au Grand Besançon Métropole,
    • Hasni Alem,  adjoint de quartier à la ville de Besançon (25) et conseiller communautaire au Grand Besançon Métropole,
    • Marie-Helene Amiable, maire de Bagneux (92)
    • Cathy Apourceau Poly, sénatrice
    • Marie-Claire Arasa, conseillère Départementale de l’Essonne (91)
    • Gwenaëlle Austin, adjointe au Maire du 19e arrondissement de Paris
    • Annabelle Barreira, conseillère municipale champs-sur-Marne (77)
    • Pierre Barros, sénateur du Val d’Oise (95)
    • Alexandre Basquin, sénateur
    • Julien Bayard, conseiller municipal La Courneuve (93)
    • Jacqueline Belhomme, maire de Malakoff (92)
    • Pierre Bell-Lloch,  maire de Vitry sur Seine (94)
    • Fabienne Bellay, conseillère municipale Draveil  (91)
    • Zinndine Belouahchi,  adjoint au maire de Montataire (60)
    • Anne Benedetto, conseillère municipale de Besançon (25) et conseillère communautaire au Grand Besançon Métropole
    • Djelloul Benhenni, conseiller municipal de Rosporden Kernevel (29)
    • Édouard Bernard, député de Seine Maritime
    • Sylvain Bernard, conseiller municipal de Mitry Mory (77)
    • Pascale Billerey, conseillère municipale à la ville de Besançon (Doubs) en charge du projet éducatif du territoire, conseillère communautaire au Grand Besançon Métropole
    • Michel Billout, ancien sénateur de Seine et Marne (77)
    • Arnaud Bonnet, député de Seine et Marne
    • Jacky Bortoli, conseiller municipal Grigny (91)
    • Hadrien Bortot, adjoint au Maire du 19e arrondissement de Paris
    • Jean-Pierre Bosino, maire de Montataire (60)
    • Catherine Bouché, adjointe au maire d’ Allonnes (72)
    • Christophe Boudrot, adjoint au Maire à Plouigneau (29)
    • Michel Bouglouan, adjoint au maire champs sur marne (77)
    • Karima Boukalit, adjointe au maire de Montataire (60)
    • Alima Boumediene Thiery, Avocate
    • Soumya Bourouaha, députée de la 4 ème circonscription de SSD (93)
    • Cécile Bouton, conseillère départementale et vice-présidente au département d’Ille et Vilaine
    • Sofia Boutrih, conseillère municipale Saint-Denis (93)
    • Philippe Bouyssou, maire d’Ivry sur Seine (94)
    • Patrick Boyer, adjoint au maire de Montataire (60)
    • Christian Brassac, conseiller municipal délégué de Strasbourg
    • Jean-Michel Brun,  conseiller municipal Morsang sur Orge (91)
    • Didier Broch, adjoint au maire La Courneuve (93)
    • Ian Brossat, sénateur de Paris (75)
    • Céline Brulin, sénatrice
    • Pierre-Yves Cadalen député du Finistère (Brest).
    • Corinne Cadays-Delhome, adjointe au maire La Courneuve (93)
    • Marie-claire Cailletaud, conseillère honoraire du CESE
    • Lamine Camara, conseiller Régional Ile de France
    • Silvia Campanema, conseillère départementale (93)
    • Anne Camut, conseillère municipale à Allonnes (72)
    • Dominique Cardot, adjoint au maire de Malakoff (92)
    • Simone Cassette, conseillère municipale Limours (91)
    • Fanny Castaignede,  maire de Boulazac Isle Manoire et conseillère régionale Nouvelle Aquitaine (24)
    • Sophie Celton, maire adjointe Septemes les Vallons (13))
    • Sarah Chabrot, conseillère municipale Grigny (91)
    • Yasmina Chadli, conseillère municipale déléguée de Strasbourg et conseillère de l’Eurométropole de Strasbourg
    • Marc Chambon, conseiller délégué à Montataire (60
    • Samy Charifi, secrétaire général du secteur CGT des cheminots de Paris Est (75)
    • Audrey Charifi Alaoui adjointe au maire à Mitry Mory(77)
    • Aline Chassagne adjointe au maire à Besançon (25), conseillère communautaire au Grand Besançon Métropole
    • André Chassaigne, député du Puy de Dôme
    • Catherine Chevalier, conseillère d’arrondissement de Paris (75)
    • Francis Colbac, maire de Trélissac (24)
    • Alexandra Coquil, adjointe au maire à Allonnes (72)
    • Jacky Corbel, conseiller municipal Étampes (91)
    • Évelyne Corbière, sénatrice
    • Jean-Pierre Corbisez, sénateur
    • Pascal D’Inca, adjoint au maire de Montataire (60)
    • Catherine Dailly, adjointe au maire de Montataire (60)
    • Guy Daragon, conseiller municipal Mitry Mory (77)
    • Emmanuel Dassa, maire de Briis-sous-Forges (91)
    • Mélanie Davaux, adjointe au maire La Courneuve (93)
    • Serge de Carli, maire de Mont Saint Martin et conseiller départemental (54)
    • Philippe Decomble, conseiller municipal Sainte Geneviève des Bois (91)
    • Mireille Delafay, conseillère municipale Orsay (91)
    • Dominique Dellac, vice-présidente de la Seine Saint Denis
    • Seynabou Diarra, conseillère Municipale de Grigny (91)
    • Brigitte Dionnet, conseillère municipale, La Courneuve (93)
    • Farid Djabali, adjoint au maire de Mitry Mory (77)
    • Santana Djanarthany, conseiller municipal Ris Orangis (91)
    • Ganesh Djearamin, maire adjoint Grigny (91)
    • Pascal Duchézeau, conseiller municipal de Montferrand-le-Château (25) Ancien Maire de Montferrand-le-Château(25)
    • Karima Ducrot, conseillère municipale Angervilliers (91)
    • Cécile Dumas, conseillère régionale IDF
    • Erwann Dupont, élu CGT mines énergies (44)
    • Ismaël Dupont,  conseiller départemental du Finistère
    • Serge Duschene, conseiller municipal Épinal sur Orge (91)
    • Elsa Faucillon, députée des Hauts-de-Seine
    • Maud Fauquembergue, adjointe au maire à Allonnes (72)
    • Emmanuel Fernandes, député de la 2ème circonscription du Bas-Rhin
    • Jean-Luc Fichet, Sénateur du Finistère
    • Violette Foldago, adjointe au maire de Razac sur l’Isle (24) et présidente de Dordogne-Palestine
    • Marie Folly, conseillère municipale Grigny (91)
    • Ferron Francine, conseillère municipale à Allonnes (72)
    • David Frédéric, conseiller municipal à Allonnes (72)
    • Jean-Luc Gady , conseiller municipal Chancelade (24)
    • Patrick Gambache, adjoint au maire de Morlaix (29)
    • Michèle Gambache, présidente de l’association Morlaix/Wavel
    • Daniel Garrigue, ancien Maire de Bergerac, membre honoraire de l’Assemblée nationale
    • Fabien Gay, sénateur SSD et directeur du Journal l’humanité
    • Colette Gergen, conseillère régionale IDF
    • Sara Ghenaim, conseillère municipale à Grigny (91)
    • Josette Gosset, conseillère municipale de Thiviers (24)
    • Mélodie Grangié, conseillère municipal à Noisiel (77)
    • Michelle Gréaume, sénatrice
    • Gladys Grelaud, conseillère régionale de Bretagne
    • Olivier Grimaitre, conseiller municipal à la ville de Besançon  (25) et conseiller communautaire au Grand Besançon Métropole
    • Cyrille Guilbaud, adjoint au maire à Allonnes (72)
    • Fabien Guillaud Bataille, conseiller Régional IDF
    • Daniel Guillaume, adjoint au maire à champs sur marne (77)
    • Jean-Claude Guillois, conseiller municipal d’Allonnes (72)
    • Gael Guion, maire adjoint Lisses (91)
    • Françoise Guyot, présidente de solidarité avec les groupes d’artisans palestiniens  ( SGAP Palestine )
    • Rémi Hackert,  conseiller municipal Montgeron (91)
    • Jacqueline Haeesinger, maire de Fosses (95)
    • Edwin Haggan, maire adjoint de Saint Jacques de La Lande (35)
    • Bertrand Hammache, dirigeant syndical RATP
    • Marie Helene Amiable , maire de Bagneux (92)
    • Céline Hemam, conseillère municipale à Allonnes (72)
    • Roger Heré, premier adjoint au maire de Plouigneau (29)
    • Jacqueline Heré, conseillère départementale du Finistère et maire de quartier à Bellevue (Brest).
    • Joëlle Huon maire de Plouigneau et conseillère départementale.
    • Michèle Hurtado,  adjointe au Maire à Champs Sur Marne  (77)
    • Laetitia Jacquemin, conseillère Municipale Grigny (91)
    • Bernard Jasserand, adjoint au Maire de Quimper (29)
    • Castiglione Joris, conseiller municipal délégué de Strasbourg
    • Audrey Jouanic, conseillère municipale à Allonnes (72)
    • Philippe Jumeau, Adjoint au maire Lanester (56)
    • Rémi Kanua, conseiller municipal à Allonnes (72)
    • Jean-Claude Kennedy, maire Honoraire de Vitry sur Seine (94)
    • Julien Kerguillec, maire de Pleyber-Christ (29)
    • Louis Labadot, maire de Mauléon -Licharre (64)
    • Nicole Lafforgue,  maire adjoint à Champs sur Marne (77)
    • Agnès Laforet , conseillère déléguée de Montataire 60)
    • Gérard Lahellec, sénateur
    • Nordine Lahmar, conseiller municipal à Allonnes (72)
    • Franck Laidié,  Maire de Pugey (25) et conseiller communautaire au Grand Besançon Métropole
    • Pierre Laporte, conseiller départemental (93)
    • Fleur Laronze, conseillère départementale Collectivité européenne d’Alsace
    • Marlène Latour, Conseillère municipal Morsang sur Orge (91)
    • Yveline Le Briand,  maire adjointe Grigny (91)
    • Guenola Le Huec, conseillère municipale à Lanester (56)
    • Olivier Le Bras, conseiller régional de Bretagne.
    • Karine Lebon, députée de la Réunion
    • Patrice Leclerc, maire de Gennevilliers (92)
    • Christian Lecomte,  maire de Champcevinel (24) et vice -président de la communauté d’agglomération du grand Périgueux
    • Émilie Lecroq,  conseillère départementale du 93
    • Claude Léostic, présidente d’honneur de la Plateforme des ONG françaises pour la Palestine
    • Annick Lepoul, maire Adjoint Les Ulis (91)
    • Michel Lepretre, Président EPT Grand Orly Seine Bièvre  (94)
    • Gilles Leproust, maire d’Allonnes (72)
    • Céline Lescaux, adjointe au maire de Montataire (60)
    • Christophe Lime, vice-président au Grand Besançon Métropole et conseiller municipal (25)
    • Odile Linek,  adjointe au maire d’Athis-Mons (91) et Conseillère Territoriale à l’EPT Grand Orly Seine Bièvre
    • Brigitte Lobgeois, conseillère déléguée de Montataire 60)
    • Philippe Louison, Maire adjoint Grigny (91)
    • Jean Luc Le Coroller, 2ème Adjoint au Maire Noisy-le-Sec et Conseiller territorial d’Est Ensemble
    • Arsène Mabongou, conseiller municipal à Allonnes (72)
    • Frédéric Maillot, député de la Réunion
    • Rachid Maiza, adjoint au maire, La Courneuve (93)
    • Marianne Margaté, sénatrice de Seine et Marne
    • Joël Marion, maire de Compans (77)
    • Luc Marion, conseiller municipal Mitry Mory (77)
    • Sylvain Massard, conseiller municipal à Briis sous Forges (91)
    • Isabelle Maugeais,  conseillère départementale du Finistère, conseillère municipale et conseillère communautaire à Pont de Buis
    • Isabelle Mazelin ,adjointe à la culture au Relecq-Kerhuon (29)
    • Nordine Medouni, maire adjoint Fleury Mérogis (91)
    • Didier Mignot, conseiller Régional Ile de France
    • Germain Mignot, conseiller municipal ville de Strasbourg
    • Alain Monnien, conseiller municipal d’Audincourt (25) et conseiller communautaire de Pays de Montbéliard Agglomération
    • Catherine Morice,  conseillère municipale de Malakoff (92)
    • Amina Mouigni, adjointe au maire, La Courneuve (93)
    • Mostafa Naafa, adjoint au maire de la ville d’Allonnes (72)
    • Marcelin Nadeau, député de la Martinique
    • Camille Naget, conseillère de Paris (75)
    • Djamel Nedjar, maire de Limay (78)
    • Thierry Nier,  secrétaire général de la fédération CGT des Cheminots
    • Freddy Nkulua, conseiller municipal à Allonnes (72)
    • Jean Noël Aqua, conseiller de Paris (75)
    • Perrine Olff-Rastegar, Porte-parole du Collectif Judéo Arabe et Citoyen pour la Palestine (CJACP)
    • Jean Ormaux,  adjoint au maire à MARCHAUX-CHAUDEFONTAINE (25),
    • Pierre Ouzoulias, sénateur
    • Jean Patrice Bassano, secrétaire départemental PCF (64 )
    • Morand Perrin, Conseiller municipal de Nancy (54)
    • Jean-Claude Perrot, conseiller municipal de Briec (29)
    • Stéphane Peu, député de SSD
    • Sandrine Peyrouny,  maire Adjointe Saint-Léon sur l’Isle (24)
    • Jérôme Plouzen, adjoint au maire de Morlaix. (29)
    • Janique Plu,  conseillère municipale de Boulazac Isle Manoire
    • Sylvain Poirier, maire de Arthezé ( 72)
    • Thomas Portes, député de SSD
    • Gilles Poux, maire de La Courneuve
    • Monique Prevost, ex-maire de Douarnenez et responsable du planning familial (29)
    • Raphaëlle Primet, conseillère de Paris
    • Catherine Queric, conseillère départementale du Morbihan (Lorient)
    • Ali Rabeh, maire de trappes (78)
    • Piero Rainero, ancien conseiller régional de Bretagne, maire adjoint de Quimper (29)
    • Yvonne Rainero, conseillère municipale et communautaire de Quimper
    • Abdelkarim Ramdane, Adjoint au maire de Strasbourg
    • Jacques Rannou, maire- délégué de Kernevel (29).
    • Julien Ratcliffe, conseiller municipal délégué de Schiltigheim
    • Azide Razack, adjoint au maire de Montataire (60)
    • Fanch Rebours, conseiller municipal, Lanloup (22)
    • Mereana Reid-Arbelot, députée de Polynésie
    • Sabah Rezzoug,  adjointe au maire de Montataire (60)
    • Anita Richard, conseillère municipale à Rosporden (29)
    • Stéphane Ridoin conseiller municipal de Saint-Léon sur l’Isle
    • Philippe Rio, maire de Grigny (91)
    • Jean-Luc Rivière, adjoint au maire de Montataire (60)
    • Patrick Roig, premier adjoint Saint-Paul de Serre (24)
    • Fabien Roussel, secrétaire national du PCF
    • Laure Roux, conseillère municipale, La Courneuve (93)
    • David Russo, Président de l’association Mitryenne France Palestine Solidarité (77)
    • Mahamoudou Saadi, adjoint au maire La Courneuve (93)
    • Betty Saint-Hubert, adjointe au maire La Courneuve (93)
    • Abdel Sadi, maire de Bobigny (93 )conseiller départemental Seine-Saint-Denis délégué à la coopération internationale
    • Pascal Salvodelli, sénateur
    • Karine Saintipoly, conseillère municipale St-Martin-du-Tertre (95)
    • Nicolas Sansu, député du Cher
    • Olivier Sarrabeyrouse, maire de Noisy le Sec (93)
    • Gérard Saurin,  maire de Saint-Léon sur l’Isle (24)
    • Valérie Scattolin adjointe au Maire de Morlaix (29)
    • Silvana Silvani, sénatrice
    • Virginie Simon-Malard, Conseillère municipale de Boulazac Isle Manoire
    • Danielle Simonnet, députée de Paris (75)
    • Ronan Sinquin , conseiller municipal de Quimper (29)
    • Mahamoud Soihili, conseiller municipal à Grigny (91)
    • Ersilia Soudais, Députée de Seine-et-Marne
    • Hamé Soukouna,  conseiller municipal de Mitry Mory (77)
    • Gilles Spicher,  adjoint à la ville de Besançon (25) et conseiller communautaire au Grand Besançon métropole
    • Pierrick Spizak, maire de Villerupt (54)
    • Antoine Splet, conseiller municipal délégué de Schiltigheim et conseiller Euro métropolitain
    • Franck Stocker, conseiller municipal de Vandoeuvre lès Nancy (54)
    • Franck Sureau, adjoint au maire de Mitry Mory (77)
    • Fatou Sylla, conseillère municipale de Malakoff (92)
    • Morin Sylvie, conseillère municipale à Allonnes (72)
    • Smaïn Tahar, conseiller municipal à Mitry Mory (77)
    • Azzedine Taïbi, maire de Stains (93)
    • Maud Tallet, maire de Champs sur Marne (77)
    • Sonia Tendron, conseillère municipale, La Courneuve (93)
    • Olivier Therond Conseiller municipal Angervilliers (91)
    • Pierre-Yves Thomas conseiller municipal à Carhaix.
    • Carole Thomas, élue à Alba la Romaine (07)
    • Dorothée Topalovic, conseillère municipale de Mitry Mory (77)
    • Elsa Touré, adjointe au maire à Corbeil-Essonnes (91)
    • Catherine Tréanton adjointe au maire de Morlaix (29)
    • Pascal Troadec, adjoint au maire, Grigny (91)
    • Anne Tuaillon, présidente de l’AFPS
    • Hulliya Turan, adjointe au maire de Strasbourg (67)
    • Willy Tyteca, conseiller municipal à Moelan sur mer (29)
    • Marie-Claude Varaillas, sénatrice
    • Laurence Winterhalter, adjointe au maire de Schiltigheim
    • Kofi Yamgnane, ancien ministre
    • Mélanie Zede, adjointe au maire de Mitry Mory (77)
    • Henriette Zoughebi, conseillère régionale honoraire Ile-de-France

 

Au niveau de la Bretagne, ont également signé cette tribune parmi les élu.e.s:

- Delphine Alexandre, conseillère régionale de Bretagne

- Patrick Appéré adjoint au maire à Brest

- Patrick Beguivin, conseiller municipal à Plouigneau

- Anne-Catherine Cleuziou, conseillère municipale à Brest

- Eric Guellec adjoint à la mairie de Brest, président du groupe des élus communistes à Brest-Métropole

- Anne-Marie Kervern ex adjointe au maire de Brest

- Elsa Lafaye conseillère municipale de Fougères (35)

- Jean-Michel Le Lorc'h, vice-président à la métropole de Brest et conseiller municipal de Brest

- Sandra Le Roux, conseillère municipale à Brest

-Pierre-Yves Liziar, conseiller municipal délégué au Relecq-Kerhuon

- Mathilde Maillard, adjointe à Brest

- Taran Marec, conseiller municipal délégué à Brest

- Yannick Nadesan, adjoint à la mairie de Rennes

 

Et en dehors des élu.e.s en exercice:

- Roland Bagnis, militant PCF Morlaix

- Jeannine Daniel présidente de l'association "Bretons solidaires, on agit"

- Daniel Ravasio président de l'association des Amis du Viaduc et secrétaire de section du PCF Morlaix

- Lucienne Nayet, militante de la mémoire et militante PCF Morlaix

(...etc)

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11 novembre 2024 1 11 /11 /novembre /2024 13:16
La tenue du gala avec Bezalel Smotrich à Paris constituerait une injure au droit international - L'Humanité, 8 novembre 2024
La tenue du gala avec Bezalel Smotrich à Paris constituerait une injure au droit international

Sept organisations dénoncent la tenue du gala prévu à Paris le 13 novembre par l’association « Israël Is Forever » avec la participation du ministre israélien Bezalel Smotrich.

Le 13 novembre prochain devrait avoir lieu, à Paris, un gala organisé par l’association Israël Is Forever, avec, comme invité-vedette, le ministre israélien d’extrême droite, Bezalel Smotrich. Les organisateurs ont comme objectif la « mobilisation des forces francophones sionistes au service de la puissance et de l’histoire d’Israël ».

À l’heure où l’État d’Israël poursuit depuis plus d’un an une guerre totale contre le peuple palestinien à Gaza et aussi en Cisjordanie, en commettant quotidiennement des massacres qui apparaissent comme une stratégie de terreur à l’égard de la population palestinienne… À l’heure où la Cour internationale de justice (CIJ) déclare, à travers plusieurs ordonnances, que la perpétration d’un génocide à Gaza était plausible et où elle rappelle aux États qu’il est de leur devoir de tout faire pour empêcher ce génocide… À l’heure où la même CIJ a rappelé que la colonisation du territoire palestinien occupé est illégale et a statué que cette occupation est illégale… À l’heure où l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations unies (ONU) exige qu’Israël se retire de ce territoire et que les États s’abstiennent de toute activité de nature à soutenir la colonisation…

La tenue de ce gala dans la capitale française, constituerait une injure au droit international et une marque de mépris pour l’ONU et pour les ordonnances prononcées par la plus haute juridiction internationale ainsi que pour la résolution votée par la France le 18 septembre.

Rappelons qui sont les deux principaux acteur et actrice de ce gala révoltant : Nili Kupfer-Naouri, présidente de l’association Israël Is Forever, organisatrice du gala, est une avocate ayant les nationalités française et israélienne qui tient publiquement des propos qui s’apparentent à de l’apologie de crimes de guerre. Parmi ses nombreuses déclarations, citons : « Il n’y a pas de population civile innocente à Gaza » ou : « Qu’il ne reste plus rien de Gaza et qu’on [peut] y installer une grande hityashvut, une grande réimplantation juive » ou encore « Nous ne voulons plus de voisins barbares. Nous comprenons que nous devons obtenir notre sécurité et c’est par l’émigration en masse des Arabes de Gaza et par une installation juive ».

De plus, Nili Kupfer-Naouri a publié sur son réseau social une photo où on la voit participant à une manifestation au poste frontière de Rafah, empêchant les camions d’aide humanitaire d’entrer à Gaza pour porter secours à la population civile, acte qui vient en contradiction avec l’ordonnance de la CIJ du 26 janvier 2024.

Bezalel Smotrich est le ministre israélien des Finances et le ministre exerçant la tutelle sur la Cisjordanie occupée. Habitant dans une colonie et se revendiquant lui-même « fasciste », Smotrich incarne la figure du sionisme religieux le plus fanatique. Depuis son entrée au gouvernement le 29 décembre 2022, le nombre de colonies et les hectares de terres confisqués par Israël ont augmenté dans des proportions jamais vues depuis les accords d’Oslo.

Toutes ses déclarations traduisent son mépris du droit international, à l’image de « Nous encourageons la colonisation avec force travail et d’une manière stratégique dans tout le pays ». Elles révèlent aussi tout le racisme et la haine qui animent ce personnage, comme celle où il avait indiqué qu’il « était justifié et moral de bloquer l’aide humanitaire pour la bande de Gaza, même si cela pouvait entraîner la mort de deux millions de Palestiniens. ». Déjà présent à Paris en mars 2023, Smotrich avait déclaré : « Il n’y a pas de Palestinien, car il n’y a pas de peuple palestinien… C’est la vérité historique, c’est la vérité biblique et cette vérité, les Arabes en Israël doivent l’entendre de même que certains Juifs ».

En mars 2023, la France, par la voix du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères avait dénoncé les « propos irresponsables » de Smotrich. Aujourd’hui, comment comprendre qu’il soit autorisé à appeler à la haine, à faire l’apologie d’actes criminels sur le territoire français, ce qu’il ne manquera pas de faire, chacun le sait, à partir du moment où il sera autorisé à venir en France.

Pour la justice, pour le respect de la mémoire des dizaines de milliers de Palestiniennes et Palestiniens massacrés à Gaza et en Cisjordanie, pour l’arrêt de la monstrueuse guerre d’anéantissement et de conquête menée par le gouvernement israélien d’extrême droite en Palestine et au Liban, ce gala de la haine et de la honte ne doit pas avoir lieu.

Les sept organisations signataires : AFPS, LDH, MRAP, FIDH, CGT, FSU, Solidaires.

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11 novembre 2024 1 11 /11 /novembre /2024 13:05
Samedi 9 novembre 2024 - le comité de défense de l'hôpital de Morlaix fait signer une pétitition pour la défense de l'hôpital public (Photos Jean-Luc Le Calvez et Pierre-Yvon Boisnard)
Samedi 9 novembre 2024 - le comité de défense de l'hôpital de Morlaix fait signer une pétitition pour la défense de l'hôpital public (Photos Jean-Luc Le Calvez et Pierre-Yvon Boisnard)
Samedi 9 novembre 2024 - le comité de défense de l'hôpital de Morlaix fait signer une pétitition pour la défense de l'hôpital public (Photos Jean-Luc Le Calvez et Pierre-Yvon Boisnard)
Samedi 9 novembre 2024 - le comité de défense de l'hôpital de Morlaix fait signer une pétitition pour la défense de l'hôpital public (Photos Jean-Luc Le Calvez et Pierre-Yvon Boisnard)
Samedi 9 novembre 2024 - le comité de défense de l'hôpital de Morlaix fait signer une pétitition pour la défense de l'hôpital public (Photos Jean-Luc Le Calvez et Pierre-Yvon Boisnard)
Samedi 9 novembre 2024 - le comité de défense de l'hôpital de Morlaix fait signer une pétitition pour la défense de l'hôpital public (Photos Jean-Luc Le Calvez et Pierre-Yvon Boisnard)
Samedi 9 novembre 2024 - le comité de défense de l'hôpital de Morlaix fait signer une pétitition pour la défense de l'hôpital public (Photos Jean-Luc Le Calvez et Pierre-Yvon Boisnard)
Samedi 9 novembre 2024 - le comité de défense de l'hôpital de Morlaix fait signer une pétitition pour la défense de l'hôpital public (Photos Jean-Luc Le Calvez et Pierre-Yvon Boisnard)
Samedi 9 novembre 2024 - le comité de défense de l'hôpital de Morlaix fait signer une pétitition pour la défense de l'hôpital public (Photos Jean-Luc Le Calvez et Pierre-Yvon Boisnard)
Samedi 9 novembre 2024 - le comité de défense de l'hôpital de Morlaix fait signer une pétitition pour la défense de l'hôpital public (Photos Jean-Luc Le Calvez et Pierre-Yvon Boisnard)

Les camarades du comité de défense de l'hôpital du pays de Morlaix, Annie Le Calvez, Marie-France Monery, Paulette Peron, Jean-Yvon Ollivier, Dominique Ollivier, notamment, étaient sur le marché de Morlaix ce samedi 9 novembre pour faire signer une pétition pour la défense de l'hôpital public. 

Photos de Jean-Luc Le Calvez et Pierre-Yvon Boisnard

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11 novembre 2024 1 11 /11 /novembre /2024 13:01
Les camarades du PCF Morlaix vendent l'Humanité Magazine tout en présentant le programme de la fête de l'Humanité Bretagne des 23-24.11.2024 ce samedi 9 novembre
Les camarades du PCF Morlaix vendent l'Humanité Magazine tout en présentant le programme de la fête de l'Humanité Bretagne des 23-24.11.2024 ce samedi 9 novembre
Les camarades du PCF Morlaix vendent l'Humanité Magazine tout en présentant le programme de la fête de l'Humanité Bretagne des 23-24.11.2024 ce samedi 9 novembre

Les camarades du PCF Morlaix - ce samedi Daniel Ravasio, Jean-Luc Olivier, Lucienne Nayet et Jean-Luc Le Calvez, après Roland Bagnis et Pascal Pouillet le samedi précédent, vendaient l'Humanité magazine, comme chaque semaine, et présentaient le programme de la fête de l'humanité Bretagne des 23 et 24 novembre ce samedi 9 novembre au matin sur le marché de Morlaix.

D'autres camarades communistes tractaient pour le comité de défense de l'hôpital de Morlaix sur le marché de Morlaix également.

Photos de Pierre-Yvon Boisnard, 9 novembre 2024

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11 novembre 2024 1 11 /11 /novembre /2024 12:10
Exposition Mumia Abu Jamal: la plume et le poing au siège du Parti communiste français - place du Colonel Fabien - Photos de Jean-Luc Le Calvez
Exposition Mumia Abu Jamal: la plume et le poing au siège du Parti communiste français - place du Colonel Fabien - Photos de Jean-Luc Le Calvez
Exposition Mumia Abu Jamal: la plume et le poing au siège du Parti communiste français - place du Colonel Fabien - Photos de Jean-Luc Le Calvez
Exposition Mumia Abu Jamal: la plume et le poing au siège du Parti communiste français - place du Colonel Fabien - Photos de Jean-Luc Le Calvez
Exposition Mumia Abu Jamal: la plume et le poing au siège du Parti communiste français - place du Colonel Fabien - Photos de Jean-Luc Le Calvez
Exposition Mumia Abu Jamal: la plume et le poing au siège du Parti communiste français - place du Colonel Fabien - Photos de Jean-Luc Le Calvez
Exposition Mumia Abu Jamal: la plume et le poing au siège du Parti communiste français - place du Colonel Fabien - Photos de Jean-Luc Le Calvez
Exposition Mumia Abu Jamal: la plume et le poing au siège du Parti communiste français - place du Colonel Fabien - Photos de Jean-Luc Le Calvez
Exposition Mumia Abu Jamal: la plume et le poing au siège du Parti communiste français - place du Colonel Fabien - Photos de Jean-Luc Le Calvez
Exposition Mumia Abu Jamal: la plume et le poing au siège du Parti communiste français - place du Colonel Fabien - Photos de Jean-Luc Le Calvez
Exposition Mumia Abu Jamal: la plume et le poing au siège du Parti communiste français - place du Colonel Fabien - Photos de Jean-Luc Le Calvez
Exposition Mumia Abu Jamal: la plume et le poing au siège du Parti communiste français - place du Colonel Fabien - Photos de Jean-Luc Le Calvez
Exposition Mumia Abu Jamal: la plume et le poing au siège du Parti communiste français - place du Colonel Fabien - Photos de Jean-Luc Le Calvez

Notre camarade de la section PCF de Morlaix Jean-Luc Le Calvez a fait la visite de l'expo Mumia Abu Jamal mercredi dernier. Nous publions ici ses photos.

Cette exposition s'inscrit dans le soutien international et la campagne de solidarité contre la peine de mort et pour la libération de Mumia Abu Jamal porté également par Angela Davis à la dernière fête de l'Humanité 2024, par notre journal l'Humanité, et par notre parti, le PCF, dans tous ses congrès et évènements politiques.

Journaliste, écrivain et activiste des Black Panthers, Mumia Abu-Jamal a été injustement condamné en 1982 à la peine capitale pour le meurtre du policier Daniel Faulkner à Philadelphie. La mobilisation internationale pour sa libération lui a permis d’éviter la peine de mort, mais il est resté en prison depuis. Mumia est devenu l’un des détenus politiques les plus connus au monde et un symbole de la lutte pour l’abolition de la peine de mort. Il n’a jamais cessé d’écrire et de dénoncer le sort réservé aux prisonniers aux Etats-Unis.

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11 novembre 2024 1 11 /11 /novembre /2024 06:57

 

 

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10 novembre 2024 7 10 /11 /novembre /2024 08:57
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7 novembre 2024 4 07 /11 /novembre /2024 06:14
Ouest-France
Cinq bonnes raisons de participer au Festisol à Morlaix

Publié le

Autour de l’environnement et des droits des peuples, le Festival des solidarités a lieu du 5 novembre au 1er décembre 2024, dans tout le territoire de Morlaix (Finistère). Parmi les trente événements prévus, des cinés rencontres, une journée à la ferme et un atelier réemploi.

Le collectif La maison du monde présente un programme étoffé et original.

Le collectif La maison du monde présente un programme étoffé et original. | OUEST-FRANCE

La défense des droits humains et la promotion d’une solidarité ouverte au monde et aux autres : c’est la raison d’être et le fil rouge, chaque année, de Festisol, le festival des solidarités inauguré ce mardi 5 novembre 2024 à La Virgule à Morlaix (Finistère).

Cet évènement, organisé par le collectif La Maison du monde et le Résam, propose plein d’animations pour sensibiliser le grand public aux enjeux écologiques et sociaux, dans plusieurs communes.

1 - Pour le film L’usage du monde

C’est le premier ciné rencontre du Festisol (plusieurs autres sont programmés jusqu’au 1er décembre). L’usage du monde d’Agnès Fouilleux est un film documentaire qui mêle archives, récits et littérature. Un voyage depuis la préhistoire, jusqu’aux luttes environnementales et sociales actuelles, qui interroge notre rapport au vivant.

Mercredi 6 novembre 2024, à 20 h 30, à La Salamandre.

2 - Pour la fresque de la renaissance écologique

Cette animation s’adresse aux familles : il s’agit de proposer une vision de l’avenir pour construire des solutions à la crise écologique. « La fresque est donc un outil ludique pour imaginer ce monde d’après, mais c’est aussi un outil pédagogique », indique le collectif.

Samedi 16 novembre 2024, de 14 h à 17 h, à la MJC. Dès dix ans. Tél. 02 98 19 19 09.

3 - Pour une journée à la ferme

Charlotte Tisserand et Victor Bouvard produisent 50 sortes de légumes en circuit court dans leur ferme bio. Cette journée à la ferme est l’occasion de découvrir la préparation des planches de culture de l’année prochaine. Déjeuner partagé le midi.

Lundi 18 novembre 2024, de 9 h 30 à 16 h, à Kersaint, à Plougasnou. Réservation : transition@resam.net

4 - Au bord du Jarlot et du Tromorgant

Partez à la découverte des rivières de Morlaix lors d’une balade commentée par un pêcheur qui entretient les rivières et un riverain.

Mercredi 20 novembre 2024, à 14 h 30. Tél. 06 89 84 53 86.

5 - Pour réparer ses objets

Ne jetons plus, réparons ensemble ! Tel est le leitmotiv du groupe Aller vert de Ti an Oll.

Dimanche 24 novembre 2024, de 9 h 30 à 13 h, Ti an Oll à Plourin-lès-Morlaix.

Tout le programme sur www.festivaldessolidarites.org

https://www.ouest-france.fr/bretagne/morlaix-29600/cinq-bonnes-raisons-de-participer-au-festisol-a-morlaix-00f3e59a-9ab4-11ef-b404-be0157f6379b

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7 novembre 2024 4 07 /11 /novembre /2024 05:59
Au crépuscule de sa vie, Madeleine Riffaud avait acquis une certitude : « Il n’y a aucune cause perdue, excepté celles qu’on abandonne en chemin. »

Au crépuscule de sa vie, Madeleine Riffaud avait acquis une certitude : « Il n’y a aucune cause perdue, excepté celles qu’on abandonne en chemin. »

Mort de Madeleine Riffaud, sentinelle d’un siècle de tempêtes

La résistante, poétesse et journaliste, qui couvrit pour l’Humanité les guerres d’Algérie et du Vietnam, s’est éteinte à l’âge de 100 ans.

Une héroïne s’en est allée. Son legs : tout un siècle de combats. Madeleine Riffaud, poétesse, résistante, ancienne journaliste à l’Humanité, est décédée ce mercredi 6 novembre. Elle était un personnage de roman, à l’existence tramée par la lutte, l’écriture, trois guerres et un amour. Une vie d’une folle intensité, après l’enfance dans les décombres de la Grande guerre, depuis ses premiers pas dans la résistance jusqu’aux maquis du Sud-Vietnam.

Dans son appartement parisien, la vieille dame, front plissé, traits durs, regard perçant malgré la cécité, dépliait d’elle-même un récit sûr, précis, ponctué du pépiement des oiseaux qui l’entouraient, dans leurs grandes volières. Vêtue de noir, ses longs cheveux toujours nattés de côté, elle fumait, en se remémorant l’intime et l’histoire, et jusqu’à la première blessure, longtemps enfouie dans l’oubli, un viol enduré alors qu’adolescente, elle devait passer la ligne de démarcation pour rejoindre le sanatorium. La tuberculose était tombée sur elle comme un malheur de plus, dans l’exode, alors que sa famille fuyait Paris occupé.

Embrasser le combat

De la maladie, elle se releva, pour embrasser le combat. « Je suis entrée dans la Résistance avec un nom d’homme, un nom d’Allemand, un nom de poète » : dans la clandestinité, elle était Rainer, pour Rainer Maria Rilke. Il avait fallu la force de conviction de Raymond Aubrac pour qu’elle accepte de témoigner de son action dans la Résistance – « Je suis un antihéros, quelqu’un de tout à fait ordinaire. Il n’y a rien d’extraordinaire dans ce que j’ai fait, rien du tout », insistait-elle dans le documentaire que lui consacra en 2020 Jorge Amat, Les sept vies de Madeleine Riffaud.

Alors que les nazis tiennent la France sous leur botte, la jeune communiste organise d’abord le ravitaillement des clandestins, puis passe à des actions plus dures : recrutements, planques, attaques de dépôts d’armes. L’affiche rouge placardée dans les couloirs du métro lui brise le cœur. Comme Missak Manouchian, comme Joseph Epstein qu’elle admire, elle est de ceux que l’occupant tient pour des « terroristes ». Ce mot-là lui restait en travers de la gorge : « Jamais nous n’attaquions des civils. Jamais nous ne faisions quoi que ce soit qui puisse les mettre en danger. On se serait plutôt fait crever. »

Des explosifs cachés sous le manteau, dans Paris quadrillée par les Allemands, elle échappe par miracle à l’arrestation, grâce au langoureux baiser d’un camarade. La mort d’un ami abattu d’une balle tirée dans le dos, à bout portant, décuple sa rage. Le désir de vengeance l’étreint. Sur le pont de Solférino, elle attend que le soldat allemand choisi pour cible se retourne vers elle pour lui mettre deux balles dans la tempe. « Il n’a pas souffert. J’ai enfourché ma bicyclette, je suis repartie sur les quais », soufflait-elle dans la vieillesse, en taisant ce qui s’est, ce jour-là, brisé en elle, gravé dans sa jeune poésie : « Ça fait mal de tuer./ C’est la première fois./ Sept balles dans mon chargeur. »

Elle est aussitôt arrêtée, conduite rue des Saussaies, au quartier général des SS. « La suite, je n’aime pas la raconter. » La suite, c’est l’atroce épreuve de la torture, entre les mains des bourreaux de la police de Vichy, puis de la Gestapo. « Ceux-là, demain, qui me tueront/Ne les tuez pas à leur tour/Ce soir mon cœur n’est plus qu’amour », promet-elle, au fond de sa geôle de Fresnes. Elle manque d’être fusillée, se soustrait in extremis à la déportation. Quand l’insurrection éclate, elle est libérée de prison, prend part au combat, dirige la capture d’un train allemand aux Buttes-Chaumont. Ce soir-là, avec ses camarades, elle s’offre un festin : « Jamais depuis quatre ans nous n’avions si bien mangé. »

Oublier la fureur nazie, la boue, le sang, faire le deuil des amis tombés

Paris est libérée, elle a 20 ans, il faut oublier la fureur nazie, la boue, le sang, faire le deuil des amis tombés. Mais elle se sent vide, n’a pas de métier, traîne sur le pavé, sans but. Elle est prête à se noyer, lorsque son chemin croise celui de Claude Roy. Celui-ci la présente à Aragon, Tzara, Vercors. Pour elle, pour ses camarades, la poésie avait été, dans la longue nuit de l’occupation, un pari contre la mort. Dans ses yeux, Éluard décèle une infinie détresse. Elle lui fait lire les vers griffonnés dans sa prison : « Je n’ai jamais donné vos noms/Je serai fusillée demain ». Il les fait publier ; Picasso dessine son portrait ; elle devient journaliste en couvrant les grèves. Elle a trouvé son chemin : « J’avais un beau métier : trouver des mots. »

À Berlin, au Festival mondial de la jeunesse, elle rencontre le poète vietnamien Nguyen Dinh Thi, le grand amour de sa vie. Lorsqu’elle le retrouve à Hanoi en 1955, leur idylle fait grand bruit : « Tout le monde voulait nous marier, comme un symbole de la paix retrouvée. » Hô Chi Minh ne l’entend pas ainsi, il lui demande de repartir à Paris. Elle pleure. « On ne fait rien avec des larmes. Tu es journaliste : fais ton travail », ordonne-t-il. Une autre guerre, déjà, s’est allumée. Au retour, l’Humanité l’envoie en Algérie. Dans ses reportages, elle témoigne des atrocités de la « pacification », de la violente répression qui s’abat sur tout un peuple en quête de libération : « Jamais, de ma vie, je n’ai vu une guerre aussi sale. »

La tuberculose la rattrape, la cloue en France. Aux Algériens, elle dédie alors un recueil de poésie : Si j’en crois le jasmin. Le préfet Papon la poursuit en justice pour ses articles censurés sur « Les caves qui chantent » où l’on pratique la torture à Paris. L’OAS la prend pour cible : elle est grièvement blessée dans une attaque au plastic. À l’indépendance, Henri Alleg, qui a repris la tête d’Alger républicain, la met en relation avec l’antenne du Front de libération du Sud-Vietnam dans la Ville blanche. Elle recueille les témoignages de ses membres, revient avec des photos. L’Humanité les publie, sous le titre : « La deuxième guerre du Vietnam a commencé ».

Madeleine Riffaud rejoint le front en 1964. Dans la forêt, dans les galeries souterraines, sous les bombes, elle restera trois mois auprès des combattants de la guérilla communiste ; elle ramènera, avec son confrère australien Wilfred Burchett, des images exceptionnelles de cette guerre d’indépendance. Revenue au Nord, elle retrouve Nguyen Dinh Thi, qu’elle n’a jamais cessé d’aimer, et sera le seul témoin étranger de la première pluie de bombes déversée sur Haiphong par les B52 américains. Le retour dans l’atmosphère insipide de la France pompidolienne la désole. Elle se fait alors embaucher comme fille de salle dans un hôpital, en tire un récit poignant sur les vies de ces héroïnes anonymes. Les Linges de la nuit remportent un succès prodigieux.

Au crépuscule de sa vie, Madeleine Riffaud avait acquis une certitude : « Il n’y a aucune cause perdue, excepté celles qu’on abandonne en chemin. » « J’ai toujours cherché la vérité. Au Maghreb, en Asie, partout où des peuples se battaient contre des oppresseurs, confiait-elle. Je cherchais la vérité : pas pour moi, mais pour la dire. Ce n’est pas de tout repos. J’ai perdu des plumes à ce jeu. J’en ressens encore les effets dans mes os brisés. Mais si c’était à refaire, je le referais. » Ne jamais capituler, « réveiller les hommes » guetter dans l’obscurité la moindre lueur, aussi vacillante fut-elle : Madeleine Riffaud, reporter intrépide, poétesse ardente, fut dans sa traversée d’un siècle de tempêtes une sentinelle opiniâtre.

LES HAÏKS ROUGES

Hier, la Casbah s’est dressée, en plein jour, face aux ultras et à l’armée, brisant la couronne d’épines que lui font depuis si longtemps, barbelés et chevaux de frise. Par milliers et milliers, les Algériens des bidonvilles, suspects de toutes les perquisitions, victimes de tant de ratonnades, ont dévalé, sans armes, à Alger, comme à Oran, leurs ruelles en pentes. Les femmes, vêtues de vert et de blanc, aux couleurs de leur patrie, allaient devant.

Et jamais encore, dans l’histoire algérienne, on n’avait vu tel raz de marée d’un peuple affirmant, devant le monde entier, qu’il est prêt à tous les sacrifices pour être libre. Ils ont eu peur. Ils ont tiré. Une fois de plus, ils ont tué. Deux enfants algériens sont mourants à Belcourt, deux de ces gosses innombrables qui essaient de gagner leur pain à l’âge où les nôtres vont à l’école… Car à Belcourt, comme à Bab el-Oued, les ultras, eux, étaient armés, face aux Algériens agitant leurs drapeaux. Ils ont tiré, calfeutrés derrière leurs fenêtres. D’autres ont tenté de renverser une ambulance venue chercher des blessés ! On les a laissés faire. Pire encore. Au pied de la Casbah, où les musulmans tentaient de franchir les barrages pour se répandre dans leur propre ville, Alger, les paras et la Légion ont tiré “dans le tas » avec leurs mitraillettes.

Combien de morts parmi cette foule désarmée qui demandait, femmes et gosses en tête, qu’on lui rendit la paix et sa patrie, qu’on donnât un vrai sens aux mots officiels Algérie algérienne ? Des dizaines de morts, des centaines de blessés ? Qui sait combien ?

Cependant, de Gaulle, dans ses discours, répétait « Fraternité » ! Quelle dérision, tandis que les mitraillettes faisaient leur tac-tac-tac et que les voiles blancs, les haïks des femmes algériennes, se tachaient de rouge, tandis que les banderoles demandant la négociation avec le FLN traînaient dans le sang !

Fraternité, oui, mais fraternité de tout notre peuple envers les victimes tombées, en ce dimanche, pour le droit des patries à disposer d’elles-mêmes, pour la négociation qui, seule, pourra mettre fin à la guerre qui nous ronge. Pour les intérêts véritables de la France comme de l’Algérie…

Madeleine Riffaud

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7 novembre 2024 4 07 /11 /novembre /2024 05:57
L’élection de Trump doit sonner comme une alerte pour tous les progressistes et les démocrates à travers le monde: Fabien Gay, sénateur communiste et directeur de l'Humanité
L’élection de Trump doit sonner comme une alerte pour tous les progressistes et les démocrates à travers le monde.
Et sa large victoire, y compris dans le suffrage populaire comme dans le collège des grands électeurs, doit nous interroger.
Une des caractéristiques d’une démocratie pleine et entière est le vote libre. A ceci s’ajoute surtout, le fait que chaque citoyen et citoyenne soit éclairé au moment de voter.
La presse joue ainsi un rôle essentiel en s’appuyant sur de l’information fiable, sourcée et vérifiée. Donald Trump, depuis sa défaite en 2020 et l’attaque du Capitole, déploie une stratégie utilisée par l’extrême droite partout dans le monde. Celle de la vérité alternative.
Refuser le réel, favoriser les fakes-news, instrumentaliser chaque fait divers pour jouer sur les peurs, stigmatiser les médias dits traditionnels pour favoriser « la liberté » des réseaux sociauX, tout en étant appuyé par des puissants relais médiatiques, là bas Fox News, ici C News….
Un multimilliardaire grotesque et viriliste, condamné par un tribunal pénal pour une affaire d’agression sexuelle et poursuivi pour d’autres faits de corruption, va retrouver la Maison blanche après une campagne odieuse où il n’a eu de cesse d’insulter littéralement ses adversaires, repeints en ennemis à abattre.
Faut-il rappeler également que Donald Trump, à l’instar de Bolsonaro, ont été des fervents partisans de la non vaccination pendant la crise Covid ? Ce discours avait, rappelons-le, mis en danger voire entrainer la mort de millions de personnes.
Chacun a bien conscience que Donald Trump a accentué les fractures dans le pays en hystérisant une partie de ses partisans, accompagné de groupes fascisants, qui ont refusé le résultat de 2020, et vivent la victoire de leur héros comme une revanche. Cela est accentué dans un pays où les inégalités sont extrêmement puissantes entre classes sociales et entre États.
Cette victoire de Trump est ainsi présentée comme celle du peuple face aux élites, illustré par le nombre de stars qui ont soutenu Harris.
L’inflation, le chômage et la désindustrialisation, la peur du déclassement dans la première « superpuissance mondiale » dans un monde devenu multipolaire…sur l’ensemble de ces défis, les démocrates n’ont pas trouvé de réponse ou ont refusé d’entendre les attentes populaires.
Kamala Harris, en tant que vice-présidente de Joe Biden est comptable de ce bilan. En étant désignée par son Parti, et non par le processus électif des primaires, l’étape de la mobilisation populaire lui a fait incontestablement défaut au moment du vote.
On peut également s’interroger sur le retrait tardif, trop tardif de Joe Biden. Malgré ces manquements, le racisme et le sexisme crasse du camp trumpiste à l’encontre de l’ancienne procureure de Californie révèle l’ampleur des discours de haine dans la société étatsunienne.
Bien évidemment, Trump ne règlera aucun des problèmes auxquels sont confrontés les Etatsuniens. Mais avec son slogan simpliste « L’Amérique d’abord », il donne l’illusion de vouloir d’un volontarisme politique, là ou la politique recule car des choix politiques libéraux consiste à ne pas les régler.
Partout, l’extrême droite réunit la convergence d’aspirations populaires au changement avec les intérêts d’une minorité d’ultra riches. Elon Musk, milliardaire de la tech, est l’incarnation de cette stratégie qu’il diffuse par son réseau social à l’audience planétaire.
Si on ne peut calquer la réalité étatsunienne avec nos propres sociétés européennes, nous devons en tirer des enseignements.
Le capital est prêt à tout pour asseoir sa logique de profit, quitte à sacrifier les conquêtes démocratiques et sociales. Au sein de l’autoproclamée plus grande démocratie du monde, dont le modèle électif fait la part belle à l’argent et aux intérêts privés, de grandes régressions s’annoncent pour les femmes, les Noirs, les migrants, les personnes LGBTQIA+ et toute la classe travailleuse dans son ensemble.
Au niveau international, nous pouvons assister à une accélération des désordres climatiques, politiques, sociaux. Ce 5 novembre marque une victoire de l’internationale des réactionnaires, fascistes et courants d’extrême droite en tout genre. Les criminels de guerre et autocrates se voient conforter en Russie, en Israël et plus largement au Moyen-Orient et en Amérique latine.
La réponse à cet air du temps mauvais doit être collective, ferme et responsable. Par l’unité d’action des forces de progrès, de la création, des femmes et des hommes attachés au bien commun et aux principes démocratiques, nous pouvons enrayer ce cycle de la haine. La leçon de ce 5 novembre est claire : un projet de rupture avec l’ordre néolibéral et au service des intérêts populaires est la seule voie pour défaire l’extrême droite.
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