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3 février 2024 6 03 /02 /février /2024 06:27
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2 février 2024 5 02 /02 /février /2024 06:36
Solidarité avec Gaza et la Palestine: Nouvelle manifestation unitaire à Morlaix le samedi 3 février à 15h place des Otages
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2 février 2024 5 02 /02 /février /2024 06:25
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2 février 2024 5 02 /02 /février /2024 06:22
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2 février 2024 5 02 /02 /février /2024 06:20
Journée mondiale contre le régime de mort aux frontières - Commémor'action à Morlaix, place des Otages, le mardi 6 février 2024
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31 janvier 2024 3 31 /01 /janvier /2024 16:18
Agriculture : « Le scandale, c’est le libre-échange », estime le député André Chassaigne - L'Humanité, 22 janvier 2024
Agriculture : « Le scandale, c’est le libre-échange », estime le député André Chassaigne

Député du Puy-de-Dôme et président du groupe GDR à l’Assemblée nationale, André Chassaigne est le « référent » de la politique agricole commune à la Chambre. Il estime qu’il ne faut pas remettre en question les normes environnementales nationales et européennes et prône un plus fort accompagnement des agriculteurs.

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31 janvier 2024 3 31 /01 /janvier /2024 16:13
André Chassaigne (PCF) propose une loi pour garantir les droits des saisonniers agricoles
André Chassaigne (PCF) propose une loi pour garantir les droits des saisonniers agricoles

Plus d’un million de contrats de travail saisonnier agricole sont signés par an. Face aux conditions de logement indignes, aux mauvais équipements de protection, à la faiblesse des rémunérations, le député communiste dépose une proposition de loi pour garantir leurs droits.

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31 janvier 2024 3 31 /01 /janvier /2024 16:10
La loi immigration priverait 100 000 personnes de toute protection sociale  (L'Humanité, 24 janvier 2024)

Le collectif Nos services publics dévoile, ce vendredi, une étude sur les conséquences concrètes de la forme de « préférence nationale » qu’instaurerait la loi immigration : 30 000 enfants subiraient la diminution des ressources disponibles pour leur logement, leur alimentation, leur santé et leur éducation. La preuve avec des exemples concrets des conséquences de l’article 19.

Beaucoup de mots et de maux déversés sur le dos des immigrés ont servi de justification à la loi « pour contrôler l’immigration, améliorer l’intégration ». Faute d’étude d’impact, les thèses d’extrême droite ont pu nourrir ce texte qui, en plus de fermer un peu plus les portes de notre terre d’accueil, instaure une forme de préférence nationale sur des mesures clés de notre protection sociale.

Pour pallier ce manque de données étayées, le collectif Nos services publics a réalisé un travail minutieux, dévoilé ici, détaillant les conséquences de l’article 19 conditionnant l’accès aux prestations sociales à une durée de présence sur le territoire allant jusqu’à cinq années.

Obligée de cotiser aux régimes dont elles seraient privées d’accès

Le champ des suppressions est vaste : allocations familiales ; prestations familiales (prime de naissance ou d’adoption, allocation de base jusqu’aux 3 ans de l‘enfant, compléments d’activité ou de libre choix du mode de garde) ; complément familial ; allocations de rentrée scolaire, de soutien familial, journalière, personnalisée d’autonomie ; mais aussi aides au logement. « Si la loi venait à s’appliquer, des personnes placées dans une situation strictement égale subiraient un traitement différent en raison de leur lieu de naissance ou de la nationalité de leurs parents », souligne le collectif.

Au moins 100 000 personnes perdraient tous leurs droits, tout en continuant, comble de cynisme, de cotiser aux régimes dont elles seraient privées d’accès. Parmi elles, 30 000 enfants, qui subiraient la diminution des ressources disponibles pour leur logement, leur alimentation, leur santé et leur éducation.

55 000 personnes pourraient basculer dans la très grande pauvreté

En élargissant la focale aux familles monoparentales et aux couples dont l’un des conjoints n’est pas français, et en se penchant sur le nombre de personnes touchées par la suppression d’une ou plusieurs allocations ou prestations, les statistiques flambent. « Jusqu’à 700 000 personnes pourraient être privées de certaines prestations sociales (hypothèse maximale), indique l’étude, avec en leur sein 210 000 enfants touchés par une baisse de niveau de vie, dont 19 000 basculeraient dans la pauvreté et 55 000 de la pauvreté à la très grande pauvreté. »

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31 janvier 2024 3 31 /01 /janvier /2024 15:48
Serge Wolikow, historien : « Avec Manouchian au Panthéon, c’est la fin d’un ostracisme injustifié » (L'Humanité, 31 janvier 2024)
Serge Wolikow, historien : « Avec Manouchian au Panthéon, c’est la fin d’un ostracisme injustifié »

De nombreuses initiatives vont rendre hommage aux résistants FTP-MOI de l’Affiche rouge. Serge Wolikow, historien et président du conseil scientifique de la Fondation Gabriel-Péri, revient sur la portée mémorielle et historique de cette reconnaissance par la nation.

Pierre Chaillan - L'Humanité

31 janvier 2024

En ce mois de février 2024, quatre-vingts ans après l’exécution des résistants membres du groupe dit de l’Affiche rouge, plusieurs initiatives auront lieu d’ici l’entrée au Panthéon de Missak et Mélinée Manouchian. Nous revenons sur la portée de cet hommage avec l’historien Serge Wolikow, président du conseil scientifique de la Fondation Gabriel-Péri, qui organisera un colloque, le 9 février, au palais du Luxembourg, sous le parrainage de Pierre Ouzoulias, vice-président du Sénat, sénateur communiste des Hauts-de-Seine.

La Fondation Gabriel-Péri organisera le colloque « l’Affiche rouge et les FTP-MOI », au palais du Luxembourg, le 9 février 1. Quel est l’apport particulier de cette rencontre ?

La Fondation Gabriel-Péri, après avoir organisé il y a deux ans une journée consacrée aux massacres des otages communistes et juifs en 1941 et 1942, poursuit son activité mémorielle et scientifique en organisant une séance portant sur l’engagement et l’action résistante des Francs-Tireurs et Partisans-Main d’œuvre immigrée (FTP-MOI).

En ces temps commémoratifs, il nous a semblé utile d’associer la mémoire et l’Histoire afin de situer l’action de Missak Manouchian dans la longue durée historique de l’organisation et du mouvement dont il est, au moment de son arrestation, l’un des animateurs.

Nous souhaitons notamment, grâce à la participation des historiens et des archivistes spécialistes de la question, mettre en perspective cette action résistante, mais aussi la répression à Paris comme à l’échelle nationale, où les détachements FTP-MOI ont joué, dans plusieurs régions de France, un rôle important jusqu’à la Libération.

Nous souhaitons que ce soit l’occasion d’un moment de connaissance et d’échange fructueux qui permette en particulier au jeune public comme aux intervenants de revenir sur l’histoire et la diversité des combats de la Résistance en France.

Le 21 février, Missak Manouchian accompagnée de Mélinée Manouchian, rejoindra le Panthéon, quatre-vingts ans après l’exécution de son groupe de résistants dit de l’Affiche rouge. Que représente, pour vous, cette panthéonisation ?

Cet événement, marquant, comporte plusieurs dimensions attachées à la personnalité des Manouchian. Leur entrée au Panthéon est celle non seulement d’étrangers, mais aussi de communistes. Qu’il ait fallu attendre quatre-vingts ans pour que cela devienne effectif peut laisser perplexes seulement ceux qui méconnaissent l’imbrication complexe entre Histoire et mémoire !

L’implication en France des communistes dans la Résistance 2 et celle des étrangers dans la lutte antifasciste, comme le tribut qu’ils ont payé à la répression exercée par les occupants nazis et la police de Vichy sont attestés de longue date par le travail historique. Ainsi, cette entrée au Panthéon représente la fin d’un ostracisme injustifié.

Pour lancer la lutte armée contre l’Occupation, dès l’été 1941, le Parti communiste a dû surmonter réticences et incompréhensions, car la culture du mouvement ouvrier avait de longue date mis en avant l’action de masse et la mobilisation militante dans l’espace démocratique et récusé l’action directe violente. Les communistes avaient rejeté l’action minoritaire et violente, y compris dans la lutte antifasciste, si ce n’est en Espagne où nombre de militants étaient allés combattre dans le cadre des Brigades internationales.

En France, le seul précédent était la lutte patriotique et sociale, lors de la Commune de Paris. À partir de 1941, les jeunes communistes, les militants aguerris dans la guerre d’Espagne, mais aussi les militants ouvriers de la MOI vont constituer les combattants dont l’action inflige aux troupes allemandes des coups qui détruisent sa superbe. Missak Manouchian prend sa place dans l’organisation des FTP, créés au printemps 1942. Dans la région parisienne, il va déployer avec ses camarades de la MOI de nombreuses actions d’éclat.

Pourquoi existe-t-il un si grand décalage entre le vote récent de la loi immigration et l’hommage rendu à ces immigrés ?

Le télescopage entre ces deux événements est frappant. Il donne paradoxalement encore plus de force à l’engagement même qui a été celui de Manouchian dans la période des années 1930, puis dans celle de l’occupation allemande où les étrangers ont été considérés comme des boucs émissaires et stigmatisés par les forces de droite et d’extrême droite.

Son combat, au sein de la MOI puis des FTP, s’est nourri de sa rencontre avec le mouvement ouvrier français, de ses idéaux démocratiques et internationalistes, mais aussi de la culture française en écho à la défense et la survie de son identité arménienne.

Sa panthéonisation reconnaît son combat, qui s’inscrit à l’opposé de l’esprit de fermeture et de discrimination qui a présidé à l’adoption de cette loi, dont le tiers des articles a été censuré par le Conseil constitutionnel.

  1. Le vendredi 9 février, de 14 heures à 18 heures, au palais du Luxembourg, salle Médicis au 15, rue de Vaugirard, à Paris. Inscription obligatoire en précisant vos nom et prénom à : inscription@gabrielperi.fr ↩︎
  2. Une soirée d’hommages aura lieu au siège national du PCF, le lundi 5 février, à 19 heures, place du Colonel-Fabien, à Paris. Inscription sur : pcf.fr/soiree_hommage_manouchian ↩︎

 

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31 janvier 2024 3 31 /01 /janvier /2024 06:21
A droite toute - Le discours d'investiture de Gabriel Attal en résumé ...
 
Derrière le vernis pseudo-lyrique et littéraire des propos de communicant arrogant du plus jeune premier ministre du plus jeune président de France, clone de Macron et nouvelle icône de la START-UP NATION, il y a plus vieille des idées: continuez à profiter, mes amis les riches, les problèmes de la France viennent "de ceux qui ont tous les droits": les pauvres, les précaires, les étrangers, les indociles, les classes dangereuses, ceux qui vous font peur.
 
Rien sur le délitement des services publics, l'étranglement des classes populaires avec l'inflation, les bas salaires, les contrats précaires, les petits boulots, la difficulté à se loger, à se chauffer, à se nourrir!  
 
On va les remettre au boulot, sous la schlague du bon vieux servage capitaliste avec sa morale réactionnaire d'accompagnement.
 
Résumons les propos du plus jeune premier ministre du plus jeune président nourri au sein toujours plus généreux de la République des Nantis.
 
Toujours l'opposition des français les uns aux autres, après les immigrés mis au ban, les pauvres désignés à la vindicte des fameuses "classes moyennes", outil sémantique nébuleux d'alliance pour la conservation de l'ordre social inégalitaire. 
 
Il y a les classes moyennes qui triment et ne se plaignent pas, mais qui paient beaucoup d'impôts, de cotisations, et qui paient pour les autres, ceux qu'ont "tous les droits", les fainéants, les mal foutus, les grincheux: ça s'adresse à "Monsieur Tout le Monde", mais ces clichés populistes profitent aux riches, et ciblent comme boucs-émissaires commodes les pauvres, les précaires, les chômeurs, les allocataires du RSA, ceux qui bénéficient d'une allocation compensatoire pour leur fin de droit au chômage, ASS ouvrant des droits à la retraite, ceux qu'on va faire travailler gratuitement 15h en échange de leur minimum d'allocation pour survivre, afin de ne pas en faire "une trappe à inactivité".
 
Et leurs enfants vont à apprendre à nettoyer leurs cochonneries à l'école, et à s'excuser car l'école vise surtout à en faire de la main d’œuvre docile et de la chair à patronat.
 
"Clamant un « réarmement civique », Gabriel Attal se veut un chantre de l’autorité, enchaînant des slogans qui sentent bon la naphtaline et le paternalisme : « Dès le plus jeune âge, il faut en revenir à un principe simple : ”Tu casses, tu répares ; tu salis, tu nettoies ; tu défies l’autorité, on t’apprend à la respecter.” »"
 
"À droite toute" commente L'Humanité. "Après une longue et creuse allocution sans fond, bourrée de slogans vides – « La France ne sera jamais un pays qui subit », « France rime avec puissance » –, Gabriel Attal a finalement montré le cap qu’il comptait tenir. Celui d’une casse sociale appauvrissant toujours plus les plus démunis ; d’un autoritarisme marchant sur les pas de la droite et son extrême" "Dans le but de « réinterroger notre modèle », il veut supprimer l’allocation de solidarité spécifique (ASS) qui prolonge l’indemnisation du chômage tout en cotisant jusqu’à la retraite pour les privés d’emploi les plus âgés. « Ce sont des annonces qui risquent de tiers-mondiser la France », alerte Fabien Roussel.
 
Une mesure terrible socialement, qui faisait débat au sein même de la majorité, dans les coursives de l’Assemblée nationale, mardi. Les quelque 400 000 bénéficiaires de cette ASS ne toucheraient alors plus que le RSA… Et devront travailler pour cela ! En effet, Gabriel Attal souhaite qu’en 2025, les allocataires du RSA soient, dans tous les départements, contraints à une activité de quinze heures hebdomadaires. Par ailleurs, le premier ministre fait peser une nouvelle épée de Damoclès sur l’assurance-chômage, indiquant qu’en cas de trajectoire financière négative, il adresserait « une lettre de cadrage » aux partenaires sociaux. Une façon de tordre le bras à ces derniers pour réduire les droits des chômeurs. Enfin, le Code du travail pourrait encore perdre en épaisseur, Gabriel Attal promettant une « nouvelle étape » aux ordonnances de 2017, dont les effets sur la protection des salariés ont été destructeurs." (L'Humanité)
 
« Gabriel Thatcher a pris la parole. Rien pour les travailleurs, rien pour les agriculteurs, rien pour les services publics. Rien pour alléger nos factures. C’est la France qui s’appauvrit », a réagi Fabien Roussel, secrétaire national du PCF à l’issue de cette déclaration de politique générale.
 
"Premier ministre d'un gouvernement mondain et de l'entre-soi, vous servirez sa politique au service des riches, une politique qui creuse toujours davantage les inégalités, avec fierté dites-vous, sans jamais douter. Avec arrogance. C'est cette feuille de route qui vous a été confiée"
 
(André Chassaigne, député communiste, président du groupe GDR, prenant la parole dans une magnifique intervention suite au Rapport Attal).
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