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7 février 2022 1 07 /02 /février /2022 07:14
Mardi de l'éducation populaire sur Jean de La Fontaine avec Valère Staraselski le mardi 8 février à 18h au local du PCF Morlaix
Mardi de l'éducation populaire sur Jean de La Fontaine avec Valère Staraselski le mardi 8 février à 18h au local du PCF Morlaix
Mardi de l'éducation populaire sur Jean de La Fontaine avec Valère Staraselski le mardi 8 février à 18h au local du PCF Morlaix
Mardi de l'éducation populaire sur Jean de La Fontaine avec Valère Staraselski le mardi 8 février à 18h au local du PCF Morlaix
Mardi de l'éducation populaire sur Jean de La Fontaine avec Valère Staraselski le mardi 8 février à 18h au local du PCF Morlaix

L'écrivain et journaliste Valère Staraselski, auteur de plusieurs romans, essais, et d'un livre stimulant sur Jean de La Fontaine, "Le Maître du jardin. Dans les pas de La Fontaine" (Cherche-Midi, 2011) sera l'invité du prochain Mardi de l'éducation populaire du PCF Morlaix le 8 février 2022, à 18h, au local du PCF Pays de Morlaix, 2 petite rue de Callac, pour une conférence débat publique ouverte à tous dans des conditions de vigilance par rapport à la crise sanitaire.

Cette conférence s'inscrit dans le cadre de la célébration des 400 ans de la naissance de Jean de La Fontaine, écrivain universel.

Valère Staraselski fera aussi une dédicace à Dialogues Morlaix le mardi 8 février à 16h30

Une conférence à l'invitation des Amis de l'Huma, Mercredi 9 Février, sur 100 ans d'histoire communiste à Brest, afin de présenter l'excellent livre collectif qu'il a dirigé avec Guillaume Roubaud Quashie pour le centenaire du PCF (au Cherche-Midi)

La Fontaine, une lecture indispensable
Mardi 22 Janvier 2013
 

 Le Maître du Jardin,  dans les pas de La Fontaine,  de Valère Staraselski. Éditions le Cherche-Midi, 192 pages, 15 euros. L ’œuvre, riche et varié, de Valère Staraselski se révèle d’une élégante originalité. La diversité des sujets qu’il met en vie sous sa plume est traversée cependant de constantes créatrices dont deux nous semblent nécessaires à notre époque, la capacité de faire dialoguer l’histoire avec elle-même, la capacité de faire dialoguer l’histoire avec notre futur immédiat. Un art générateur d’une grande sagesse.

Jean de La Fontaine est pour beaucoup d’entre nous un vieil ami. Pour d’autres, ce peut être un mauvais souvenir d’école. À tous, il reste plus ou moins familier. Comme ami, il est souvent ami perdu. Ce livre est une opportunité de le retrouver et de s’étonner de tout ce que nous ignorions de l’ami passé.

Car ce n’est pas une institution qu’évoque Staraselski mais un homme puissamment vivant en quatre périodes clés de sa vie agitée, quatre saisons qui disparaissent dans l’épilogue de 1695, date qui vit Jean de La Fontaine entrer dans l’éternité que nous lui connaissons. Printemps 1652, l’homme a trente-deux ans ; été, 1668 ; automne, 1680 ; hiver, 1693. Les quatre saisons d’une vie d’homme de lettres, anticonformiste, peu considéré par son époque, dérangeant les puissants, le Roi-Soleil en tête. Avant-gardiste ! Jusqu’à nos jours.

Le choix de la forme romanesque par l’auteur, plutôt que de l’essai, se révèle judicieux. Valère Staraselski cite peu les Fables dans ses pages, juste pour souligner le lien entre les écrits – une pensée ne prend corps que lorsqu’elle s’écrit – et l’intégration dans la conscience des expériences quotidiennes. Il nous décrit le monde des lettres du siècle de Louis XIV, monde dans lequel le moraliste ne trouva jamais sa place malgré quelques soutiens.

Ne nous privons pas de ce plaisir et de cette sagesse : retrouver, dans ce roman à la fois érudit et populaire, l’ami passé, grandi, libéré de notre enfance, des préjugés de l’école, des contorsions des esprits étriqués. Une rencontre heureuse avec l’histoire de France telle que certains tentent de se l’approprier. Avec ce roman d’une grande précision historique (tous les faits sont vrais), Staraselski fait œuvre très utile.

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7 février 2022 1 07 /02 /février /2022 06:53
Fabien Roussel - Une gauche populaire et de rupture qui engrange de plus en plus de soutiens et de sympathie
Fabien Roussel - Une gauche populaire et de rupture qui engrange de plus en plus de soutiens et de sympathie
Fabien Roussel - Une gauche populaire et de rupture qui engrange de plus en plus de soutiens et de sympathie
"Le roussellement" Pour irriguer l'économie réelle Lutter contre la vie chère Rendre le pouvoir d'achat aux français

"Le roussellement" Pour irriguer l'économie réelle Lutter contre la vie chère Rendre le pouvoir d'achat aux français

 Gros meeting de Fabien Roussel ce dimanche à Marseille.
La candidature qui monte, qui monte et suscite de plus en plus d'intérêt.
A Marseille, la maire des 1er et 7e arrondissement, suppléante de JLM, a pris la parole pour lui apporter son soutien comme de plus en plus de femmes et d'hommes de gauche.
A Marseille, Fabien Roussel a enregistré le soutien de Magyd Cherfi, le chanteur et fondateur du groupe Zebda : "Tomber la chemise", mais aussi d'Alberto Garzon et des ministres communistes du gouvernement de gauche espagnol, de l'ex-porte-parole de campagne d'Arnaud Montebourg.
Aujourd'hui une enquête du JDD le classe comme 2e meilleur représentant de la gauche pour les sympathisants de gauche.
 Quelque chose est en train de se passer et Fabien Roussel peut être la surprise, la bonne surprise de cette campagne.
 Retrouvez son discours sur fabienroussel2022 : https://fb.watch/a-M93wkQVF/
 
Fabien Roussel - Une gauche populaire et de rupture qui engrange de plus en plus de soutiens et de sympathie
Fabien Roussel - Une gauche populaire et de rupture qui engrange de plus en plus de soutiens et de sympathie
Fabien Roussel - Une gauche populaire et de rupture qui engrange de plus en plus de soutiens et de sympathie
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7 février 2022 1 07 /02 /février /2022 06:43
⭕️ Le candidat du salaire et de la fiche de paie. Fabien Roussel, droit au but !   La Une de l'Humanité !

⭕️ Le candidat du salaire et de la fiche de paie. Fabien Roussel, droit au but ! La Une de l'Humanité !

À Marseille, Fabien Roussel donne un horizon aux jours heureux

PRÉSIDENTIELLE Plutôt que le ruissellement cher à Emmanuel Macron, le candidat communiste a proposé, dimanche, le « “roussellement” pour lutter contre la vie chère ». À commencer par l’augmentation des salaires, qu’il a défendue devant plus de 3 500 participants à son meeting.

Publié le Lundi 7 Février 2022
 

Le meeting du candidat communiste à la présidentielle n’a pas encore commencé que l’ambiance est déjà survoltée ce dimanche au parc Chanot, à Marseille. L’enthousiasme parmi les plus de 3 500 participants fait écho à la progression de Fabien Roussel, avec un premier sondage OpinionWay vendredi qui le crédite de 4 % d’intentions de vote. Il y figure à égalité avec Christiane Taubira et l’écologiste Yannick Jadot, devant la socialiste Anne Hidalgo (3 %), mais derrière l’insoumis Jean-Luc Mélenchon (10 %). « Oui, il y a du souffle, ça bouge, nous le sentons tous et nous voyons déjà comment, en quelques semaines, nous avons bousculé le débat », assure, dès son arrivée à la tribune, Fabien Roussel, dont le discours est retransmis en direct sur quatre chaînes télé. Dans l’équipe du candidat communiste, on se réjouit aussi de ce début de dynamique, tout en gardant les pieds sur terre. « On a encore une marge de progression très importante, mais la mayonnaise commence à prendre et c’est évidemment satisfaisant », souligne Ian Brossat, son directeur de campagne. Désormais, l’objectif est clair : « élargir, élargir, élargir ».

Depuis la scène du Palais de l’Europe, Fabien Roussel commence ainsi par un appel : « J’en rencontre tant qui ont renoncé à voter, qui ont voté un jour pour l’un, un jour pour l’autre et qui n’ont plus confiance. Quels qu’aient été vos choix, vous êtes ici les bienvenus pour peu que nous partagions ensemble l’ambition de renouer avec la France des jours heureux » , lance-t-il. Peu après, c’est tout sourires qu’il adresse à la foule : « Le ruissellement de Macron, c’est terminé, ce que je vous propose pour 2022, c’est le “ roussellement” pour irriguer l’économie réelle, lutter contre la vie chère. » Une boutade typique du candidat dont la personnalité n’est pas étrangère à sa dynamique. « Il suscite une proximité, une identification, avec l’idée qu’il nous ressemble, qu’il est sympathique, souriant, spontané », détaille Frédéric Dabi, le directeur général de l’Ifop. Une carte que celui-ci ne manque pas de jouer. « Je suis du Nord, un Ch’ti, je vis dans le bassin minier, tellement meurtri par les fermetures d’usines, toutes ces friches industrielles qui laissent derrière elles leur cortège de chômage et de pauvreté », rappelle le député, promettant de bloquer « toutes les délocalisations pour à chaque fois trouver des solutions », comme de créer « de nouveaux droits au monde du travail ». « Rendre de la dignité aux gens, c’est les faire revenir vers l’emploi. Le revenu universel n’est pas une solution », approuve dans l’auditoire Nicole. « L’approche sociale du PCF peut ramener des gens déçus de la gauche », poursuit l’éducatrice de profession.

D’ailleurs, à deux pas du Stade Vélodrome, la surprise du jour vient des personnalités qui annoncent leur soutien. À commencer par la maire du 1er secteur de Marseille et suppléante de Jean-Luc Mélenchon à l’Assemblée nationale, Sophie Camard. Ex-insoumis et plus récemment porte-parole d’Arnaud Montebourg, François Cocq prend également la parole, alors que nombre d’anciens militants du champion du made in France ont décidé de se joindre aux communistes. Le chanteur toulousain Magyd Cherfi, l’un des membres de Zebda, joue aussi les guest stars avec un message vidéo, tout comme le ministre espagnol Alberto Garzon.

«  notre pays est riche, riche de votre travail »

Dans la salle, ce sont des syndicalistes qui témoignent. À l’instar de Frédérique, une militante CGT arrivée dans l’un des trois bus affrétés depuis le Vaucluse. Elle a réussi à arracher, avec ses camarades, une augmentation de 85 euros après une lutte de douze jours et a décidé de rejoindre le PCF : « La question sociale est centrale ! Malheureusement, la gauche avait arrêté de la porter. La campagne de Fabien Roussel est un point d’appui dans nos luttes. »

Un peu avant le meeting, c’est dans le Journal du dimanche qu’une autre bonne nouvelle attend le prétendant à l’Élysée. Selon un sondage Ifop, avec 47 % (+ 11 points en trois mois), il est le deuxième candidat qui représente le mieux la gauche, talonnant Jean-Luc Mélenchon (51 %). « Il a réussi à se distinguer sur un point fondamental, le sentiment qu’il parle des vrais problèmes », assure Frédéric Dabi. De ce point de vue, la polémique sur « la viande, le vin et le fromage » lui a au final plutôt servi. Et il n’a pas manqué d’y revenir dimanche taclant « ces bien-pensants » qui « ne voient pas toutes ces familles qui vivent à l’euro près ».

Reste que la gauche, à deux mois du premier tour, est en difficulté, avec un plafond à 10 % qu’aucun candidat ne parvient durablement à franchir. « Face à ce socle beaucoup trop faible, notre obsession est de ramener à la gauche des gens qui en sont partis, pour la grande majorité pas pour voter RN mais pour s’abstenir », insiste le directeur de la campagne des Jours heureux. « Qu’importe le résultat, cette campagne construit le présent et l’avenir. Les avancées sociales de ce pays sont conditionnées au poids du PCF », assure aussi Louis, un Marseillais de 29 ans.

Car des points, le candidat est bien décidé à en marquer de nouveaux. « Si la déprime nourrit la déprime, nous, nous disons que l’espoir nourrit l’espoir. Et l’espoir est là, aujourd’hui, dans cette salle », affirme-t-il. Et c’est d’abord sur ce qui fait le cœur de sa campagne que Fabien Roussel entend avant tout jouer le match. « Je veux la France des jours heureux parce que nous savons que notre pays est riche, riche de votre travail, riche à milliards. Et je refuse que des millions d’entre nous vivent aussi mal à côté de tant d’argent », déroule le parlementaire, rappelant les « 137 milliards » qui font de « la France la championne des dividendes ». « Alors je commence par dire où nous allons prendre largent », développe l’élu du Nord, proposant de rétablir et tripler l’ISF, de rendre l’impôt plus progressif, de « priver les fraudeurs fiscaux de leurs droits civiques », ou encore de nationaliser la BNP, la Société générale et Axa. Le tout, pour « s’attaquer au coût du capital », afin de « reprendre le pouvoir sur la finance, (d’) augmenter les dépenses utiles de l’État » mais aussi les salaires. Ce sera « la première mesure que nous mettrons en œuvre, en commençant par le Smic à 1923 euros brut, soit 1 500 euros net », enchaîne-t-il, fustigeant le « gang des arnaqueurs, les Macron, Pécresse, Le Pen et Zemmour, qui prétendent monter les salaires en baissant les cotisations sociales ». Et le député d’embrayer sur le « droit universel à l’emploi » qu’il veut garantir, « alors que tant de besoins demeurent insatisfaits ». « Nous voulons éradiquer le chômage en garantissant à chacun un emploi ou une formation, et un salaire permettant de vivre dignement », assure-t-il avec au programme la semaine de 32 heures et la retraite à 60 ans, mais aussi une « écologie des solutions plutôt que des punitions », ou encore des moyens pour les services publics, de l’école à l’hôpital, à commencer par la création de 500 000 postes.

« On peut bousculer le scénario établi »

« Il a gagné en notoriété et en distinction en abordant les vrais sujets : travail, pouvoir d’achat, vie quotidienne », relève Frédéric Dabi. D’autres sujets, plus sensibles à gauche, comme le nucléaire ou la laïcité – qui a suscité des critiques au sein du PCF notamment du fait de la présence de Caroline Fourest à une initiative de la formation – n’en sont pas moins abordés : « Notre République laïque, qui doit nous permettre de vivre heureux tous ensemble, est régulièrement mise en cause par toutes les formes de fascisme. C’est un vrai combat » pour l’égalité, glisse le candidat. « La France est un pays laïc. Ce qui m’attire chez Fabien Roussel, c’est qu’il parle au monde du travail, et nous défend, qu’importe nos origines », réagit dans les travées du meeting Aziz, 53 ans, syndicaliste CGT.

Désormais, la prochaine étape consiste à « franchir la barre des 5 %, c’est à portée de main dans les prochaines semaines », estime Ian Brossat. « Nous voulons redonner un espoir à la France, et ouvrir un espoir nouveau à gauche pour lui redonner de la force. (…) On peut bousculer le scénario établi », clame à la fin de son discours Fabien Roussel. « On en a encore sous le pied », promet son directeur de campagne. Encore un peu plus de soixante jours pour relever le défi.

Photo PCF National - Fabien Roussel au meeting de Marseille du 6 février

Photo PCF National - Fabien Roussel au meeting de Marseille du 6 février

Photo PCF National  - Fabien Roussel au meeting de Marseille du 6 février

Photo PCF National - Fabien Roussel au meeting de Marseille du 6 février

Éditorial. Ouvrir le champ
Publié le Lundi 7 Février 2022

Matin, midi et soir, l’extrême droite nous est servie à la louche. On avait eu droit, la semaine passée, à la question qui semblait brûler les lèvres de tous les commentateurs : la nièce va-t-elle rejoindre Z, malgré la souffrance de la tante, et qu’en dit le grand-père ? On a eu droit tout le week-end au « duel à distance », ainsi baptisé en tout cas, entre le Nord et Reims, Z et M, avec le meeting de l’un et le meeting de l’autre, retransmis l’un comme l’autre dans leur intégralité. Au passage, on a eu : Marine est maman célibataire, Marine n’a pas eu une enfance si heureuse qu’on le croit, Marine n’est pas toujours sage, bref, la belle histoire de Marine racontée par elle-même. Sinon, au dire de certains, son discours est désormais celui d’Henri Krasucki dans un meeting de la CGT – oui, on a entendu ça ! S’ils y croient, c’est grave, s’ils n’y croient pas ça l’est tout autant. Le débat politique relayé à l’envi par les seconds couteaux à demeure dans les écrans, c’est l’extrême droite, l’extrême droite et la droite. Au nom de l’information ? Mais quel impératif catégorique contraint donc les chaînes d’info et la presse en général à cela ?

Ce serait de l’information, quand tout ce qui concerne les forces de gauche est limité au constat de ses divisions et de ses difficultés à se faire entendre. Sans doute. Mais il n’est pire sourd, etc. On connaît la chanson. Il n’y aurait donc pas, à gauche, de propositions sur le pouvoir d’achat, les hôpitaux et la santé, les enjeux environnementaux, l’énergie, l’économie, la fiscalité, le temps de travail… Il est vrai qu’elles ne sont pas les mêmes d’une candidature à l’autre, quand bien même elles peuvent souvent converger. Et alors ? Ce devrait être précisément une raison supplémentaire d’en débattre.

Ce dimanche, à Marseille, le meeting de Fabien Roussel, le candidat communiste, a été un franc succès et son discours, ses propositions autour du thème des Jours heureux semblent de plus en plus audibles et construites. Elles sont autant d’atouts à moins de deux mois de l’élection présidentielle pour en éclaircir les enjeux, ouvrir et travailler le champ des possibles.

Photo PCF National  - Fabien Roussel au meeting de Marseille du 6 février

Photo PCF National - Fabien Roussel au meeting de Marseille du 6 février

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7 février 2022 1 07 /02 /février /2022 06:42
A Marseille, Roussel défend la France de la fiche de paye (Ouest-France, 7 février 2022)
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7 février 2022 1 07 /02 /février /2022 06:39
Fabien Roussel - "La reconquête à petit pas"/ "A Marseille, le PCF prône la France de la fiche de paie" (Le Télégramme, 7 février 2022)
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6 février 2022 7 06 /02 /février /2022 09:34
Poul Redou en Guimaëc, dimanche 6 février, 14h: commémor'action pour le droit d'asile et une autre politique vis-à-vis des exilés!
Poul Redou en Guimaëc, dimanche 6 février, 14h: commémor'action pour le droit d'asile et une autre politique vis-à-vis des exilés!

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6 février 2022 7 06 /02 /février /2022 09:07
47 % des électeurs de gauche ont une opinion positive de Fabien Roussel: rendez-vous ce dimanche 6 février à 15h pour le meeting de Roussel à Marseille retransmis sur LCI et BMF TV
Meeting de Fabien Roussel à Marseille à 15h ce dimanche 6 février à voir sur BFMTV et LCI en direct

Meeting de Fabien Roussel à Marseille à 15h ce dimanche 6 février à voir sur BFMTV et LCI en direct

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6 février 2022 7 06 /02 /février /2022 09:01
Les Palestiniens du camp de Jalazone près de Ramallah accueillis à Morlaix mercredi 2 et jeudi 3 février
Les Palestiniens du camp de Jalazone près de Ramallah accueillis à Morlaix mercredi 2 et jeudi 3 février
Les Palestiniens du camp de Jalazone près de Ramallah accueillis à Morlaix mercredi 2 et jeudi 3 février

Les Palestiniens du comité populaire du camp de réfugiés de Jalazone accueillis a Morlaix par Morlaix-Wavel, l'AFPS, Amnesty International, et la mairie de Morlaix, pour parler des réalités de l'occupation et de la colonisation israélienne de la Cisjordanie. Photos de Lucienne Nayet.

Morlaix sensible à la situation des Palestiniens a reçu une délégation de Jalazone - Article de Sarah Humbert dans le Ouest-France

Morlaix sensible à la situation des Palestiniens a reçu une délégation de Jalazone - Article de Sarah Humbert dans le Ouest-France

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5 février 2022 6 05 /02 /février /2022 09:10
Voici un article récent qui explique très bien la catastrophe à venir pour les chômeurs, et la chasse aux chômeurs organisée par Pôle Emploi, via les injonctions du gouvernement. Le "Chiffon Rouge" a déjà parlé du contrôle de la recherche d’emploi, mais maintenant ça va encore plus loin dans l’horreur et les agents n’ont plus la main. La CRAM s'invite dans les locaux de Pôle Emploi,pour « redynamiser » les demandeurs d’emploi les plus âgés (!!!) qui auraient déjà dû être en retraite et qui sont plus qu’incités à reprendre un emploi ! Les conseillers Pôle Emploi ont été réunis dernièrement dans le Finistère pour se prendre une soufflante de la part du Directeur Régional et d’un de ses sous-filtres. Des termes très violents ont été employés pour les recadrer : ils étaient nuls, n’arrivaient pas à atteindre les objectifs…
La plupart des agents ont été choqués après cette remontée de bretelles très violente. Beaucoup de conseillers quittent Pôle Emploi car ils sont en souffrance ou se retrouvent en arrêt maladie, souvent de longue durée. Il y a des suicides parmi le personnel, des longues maladies… Bien évidemment, le sort des demandeurs d’emploi est inacceptable, ils vont soit être radiés ou voir leurs allocations baisser drastiquement (cela concerne les saisonniers, les intermittents…) d’environ 30%.
 

Malaise chez les agents de Pôle emploi, chargés d’appliquer une réforme « violente, injuste et inexplicable »

Assurance-chômage - Bastamag

par Emma Bougerol

https://basta.media/Pole-emploi-reforme-assurance-chomage-nouveau-mode-de-calcul-conseiller-indemnisation

L’application de la réforme de l’assurance chômage s’annonce rude pour les demandeurs d’emploi. Elle le sera également pour les agents de Pôle emploi, qui s’interrogent sur le sens de leur métier et l’opacité du mode de calcul de l’indemnisation.

Alors que les vœux de nouvelle année emplissent les boîtes mails des quelque 54 500 agents de Pôle emploi, l’année 2022 ne s’annonce pas réjouissante pour nombre d’entre eux. C’est même le contraire. La réforme de l’assurance chômage, reportée puis finalement mise en place en fin d’année dernière, ajoute un poids sur les bras d’agents déjà au bout du rouleau.

La réforme de l’assurance chômage a été mise en oeuvre en deux étapes, en octobre puis en décembre 2021, après plusieurs mois de reports successifs [1]. À l’automne, le nouveau mode de calcul du salaire journalier de référence (SJR) entre en vigueur. Ce nouveau SJR se base sur une période de 24 mois et prend en compte les périodes d’inactivité. Cela entraîne mécaniquement une baisse de l’allocation chômage. La ministre du Travail, Élisabeth Borne prétend « encourager le travail », aux dépens de ceux qui alternent les périodes d’activité et d’inactivité, que celle-ci leur soit imposée ou non. Puis, au 1er décembre, le gouvernement met en place le second volet. Il faut désormais avoir travaillé plus de six mois dans les deux dernières années pour prétendre à son droit à l’indemnisation (contre quatre mois précédemment). La dégressivité des allocations supérieures à 4500€ – pour les salaires élevés – est accélérée (elles baissent au bout de six mois et non plus huit).

De plus, l’exécutif a annoncé à l’automne dernier un durcissement des contrôles de la recherche d’emploi pour les bénéficiaires de l’assurance chômage. « Les demandeurs d’emploi qui ne démontreront pas une recherche active verront leurs allocations suspendues », déclarait Emmanuel Macron, dans son allocution du 9 novembre. Branle-bas de combat à Pôle emploi : il faut augmenter de 25% le nombre de contrôles. Le but affiché est de « redynamiser » la recherche d’emploi. Pour Daniel Mémain, syndicaliste de Sud en Occitanie, c’est surtout un moyen « de stigmatiser les chômeurs ».

Des mesures « difficiles à comprendre, difficiles à appliquer, et quasi impossibles à expliquer »

Pour appliquer cette réforme complexe, les agents sont censés avoir reçu une formation spécifique. « La majorité d’entre nous n’a eu qu’une formation en ligne, seul face à un écran. On n’a pas pu poser de questions à des formateurs ou être en interaction les uns avec les autres. Je considère ça comme de l’information, pas de la formation », déplore Daniel Mémain. Selon lui, seuls les agents chargés du calcul de l’indemnisation ont été formés dans de bonnes conditions.

Luc*, conseiller indemnisation dans le Finistère, travaille depuis plusieurs dizaines d’années dans ce domaine. Les nouvelles règles de calcul le rendent perplexe : « Un changement tel qu’il nous est imposé, d’une telle force, d’une telle ampleur, je n’en ai jamais vu. Je trouve cette réforme violente, injuste et techniquement inexplicable. Si quelqu’un m’appelle aujourd’hui pour me demander des explications sur son taux d’allocation, il me faudrait au moins deux heures pour tout lui expliquer. » Face à cette complexité, il se sent dépossédé de son expertise : « C’est très déstabilisant, d’avoir autant d’années de carrière en visant l’excellence et le professionnalisme, et d’arriver à se dire qu’on ne sait plus faire grand-chose. »

Cette souffrance est partagée par nombre de ses collègues. Daniel Mémain voit des conseillers indemnisations « désemparés » face à des mesures « difficiles à comprendre, difficiles à appliquer, et quasi impossibles à expliquer ». « Ils délivrent des décisions qu’ils savent injustes, mais ils ne peuvent rien y faire. Dans beaucoup de cas, c’est le logiciel qui leur donne le montant de l’indemnité. » Un montant variable, dont le mode de calcul est souvent opaque, tant les paramètres pris en compte sont nombreux depuis la réforme.

Avant, seuls les jours travaillés sur une période de 12 mois étaient comptabilisés pour créer le salaire journalier de référence (SJR). Dorénavant, le mode de calcul prend en compte le revenu mensuel moyen sur une période de 24 mois ou de 36 mois (pour les demandeurs d’emploi de plus de 53 ans), et inclut entre autres les périodes d’arrêt, les jours non travaillés, les moments d’inactivité, les congés maternité… Au moment de la réforme, Luc a essayé, avec d’autres collègues, de calculer l’impact que cela aurait pour les bénéficiaires d’aides : « Sur des dossiers classiques, on a observé une baisse de 25 à 30 % de la base de calcul. » Cette base de calcul est celle du salaire brut retenu, à partir de laquelle le taux d’indemnisation est ensuite estimé.

Un climat de tension et d’insécurité

En parallèle de la réforme, les conseillers indemnisations se voient progressivement attribués un portefeuille de demandeurs d’emplois. « Avec le conseiller référent indemnisation, le demandeur d’emploi bénéficie d’un interlocuteur clairement identifié et spécialiste de l’indemnisation, capable d’apporter des informations très qualifiées et de rassurer le demandeur d’emploi sur l’état de ses droits », explique Pôle emploi. Mais ce changement augmente l’appréhension de certains professionnels. Ils craignent pour leur sécurité, car certains bénéficiaires pourraient les rendre directement responsables de la baisse de leurs allocations. « Ils ont très peur d’être stigmatisés, même si c’est le système informatique qui décide de l’indemnisation et qu’ils n’ont plus la main dessus », explique Chantal Rublon, responsable régionale de la CGT Pôle emploi en Bretagne. De son côté, le service public affirme que les expériences menées en agences « ne montrent pas du tout un quelconque risque pesant sur les conseillers référents indemnisation ».

La peur et la fatigue n’épargnent pas les autres agents. Toutes deux conseillères en placement en Ille-et-Vilaine, Sonia* et Agnès* font face à de plus en plus de tension et d’incompréhension de la part des demandeurs d’emploi. Parfois chargées de l’accueil dans leurs agences respectives, elles doivent répondre à de nombreuses questions sur le montant de l’allocation chômage. « Certains ont fait plusieurs dizaines de kilomètres pour venir jusqu’à l’agence, témoigne Agnès. Sauf que je ne peux pas leur répondre sur ces questions, je ne veux pas m’y risquer. C’est trop sensible et ce n’est pas mon domaine. Alors, ça génère de l’agressivité, des paroles virulentes. Pour nous aussi, c’est une souffrance. »

« J’ai l’impression d’être devenue une opératrice de saisie »

Toutes deux ont en tête le meurtre d’une employée à Valence, en janvier 2021. Un an après, Sonia n’oublie pas : « J’ai peur des réactions de certains. Souvent, quand je travaille au rez-de-chaussée, je cherche à me mettre dans un bureau avec une issue. » Elles ont conscience que cette nouvelle réforme, avec les baisses d’allocation qu’elle implique, va exacerber ces tensions. « Je pense que beaucoup de demandeurs et demandeuses d’emploi ne se rendent pas encore compte de la catastrophe à venir. » Les agents, eux, l’entrevoient déjà.

Aujourd’hui, ils sont beaucoup à être en souffrance. Leurs syndicats sont quasi unanimes : il faut agir, et vite. Dans une déclaration commune du 9 décembre, sept syndicats – CGT, FO, SNAP, SNU, STC, et même les syndicats habituellement plus proches de la direction comme la CFDT et CFE-CGC – dépeignent une situation « de plus en plus critique » face aux injonctions, plans et projets qui s’additionnent, sans répit pour les salariés. Contactée, la direction de Pôle emploi assure vouloir recruter « 900 CDI supplémentaires » pour mettre en œuvre le Contrat d’engagement jeune [2]. « J’avais choisi ce métier pour aider les autres, me sentir utile dans mon travail, raconte Sonia. Après plus de dix ans de métier, je n’y trouve plus beaucoup de sens. Je n’ai plus le recul pour poser un diagnostic, on me dit tout ce que je dois faire. J’ai l’impression d’être devenue une opératrice de saisie. »

Emma Bougerol

Lire aussi:

Contrôle des chômeurs. À Pôle emploi, la politique de radiation bat son plein (L'Humanité, Cécile Rousseau, 22 décembre 2021)

Chômeurs, salariés de Pôle Emploi: la transformation d'un service public de l'emploi en machine deshumanisée soumise aux logiques néo-libérales

Malaise chez les agents de Pôle emploi, chargés d’appliquer une réforme « violente, injuste et inexplicable » - Bastamag, Emma Bougerol
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5 février 2022 6 05 /02 /février /2022 08:06
Proche-Orient: Amnesty International dénonce le régime d'apartheid d'Israël - L'Humanité, Pierre Barbancey - 2 février 2022,
Proche-Orient: Amnesty International dénonce le régime d'apartheid d'Israël - L'Humanité, Pierre Barbancey - 2 février 2022,
Proche-Orient. Amnesty International dénonce le régime d’apartheid d’Israël

Au terme d’une enquête de quatre années, l’ONG britannique conclut que les Palestiniens sont traités comme un « groupe racial inférieur ».

Publié le Mercredi 2 Février 2022
 
C’est un rapport complet et détaillé de 182  pages. Il s’intitule : « L’apartheid d’Israël contre la population palestinienne : un système cruel de domination et un crime contre l’humanité ». Quatre ans de travail d’enquête et d’investigations pour les chercheurs d’Amnesty International, pour mieux comprendre et analyser ce que cette organisation non gouvernementale (ONG) appelle un « système ». Car, malgré son poids international, Amnesty connaissait les écueils à éviter pour faire saisir au monde entier que le but n’est pas la remise en question d’Israël, mais bien le respect des droits humains.

1. Un rapport minutieux et rigoureux

Il montre, exemples à l’appui, que les saisies massives de biens fonciers et immobiliers palestiniens, les homicides illégaux, les détentions administratives, les transferts forcés, les restrictions draconiennes de déplacements, ainsi que le refus de nationalité et de citoyenneté opposé aux Palestiniens (tous genres confondus) sont autant de facteurs constitutifs d’un système qui peut être qualifié d’apartheid, en vertu du droit international. Amnesty évite les comparaisons avec l’Afrique du Sud.

Non sans un certain courage, s’agissant des terres, le rapport note : « En 1948, les individus et les institutions juives possédaient environ 6,5 % de la Palestine mandataire, tandis que les Palestiniens possédaient environ 90 % des terres privées. En un peu plus de soixante-dix ans, la situation s’est inversée. » Comme le souligne l’Association France Palestine Solidarité, c’est d’autant plus intéressant que cela « confirme ce que les ONG palestiniennes de défense des droits humains ont démontré en décembre 2019 dans leur rapport  au Cerd (Comité pour l’élimination de la discrimination raciale de l’ONU) », mais aussi des ONG israélienne (B’Tselem) ou internationale (Human Rights Watch).

Icon Quote La population palestinienne est traitée comme un groupe racial inférieur et elle est systématiquement privée de ses droits.

Agnès Callamard, secrétaire générale d’Amnesty International

La secrétaire générale d’Amnesty International, Agnès Callamard, insiste : « Notre rapport révèle la véritable ampleur du régime d’apartheid d’Israël. Que ce soit dans la bande de Gaza, à Jérusalem-Est, à Hébron ou en Israël, la population palestinienne est traitée comme un groupe racial inférieur et elle est systématiquement privée de ses droits. Nous en avons conclu que les politiques cruelles de ségrégation, de dépossession et d’exclusion mises en œuvre par Israël dan s tous les territoires sous son contrôle constituent clairement un apartheid. »

2. De nouvelles révélations

Au-delà de ce qui est dénoncé, l’intérêt réside dans la volonté de donner une image complète, d’hier à aujourd’hui. Pour Amnesty, l’apartheid qui s’est installé au Proche-Orient n’est pas obligatoirement consubstantiel au régime sioniste, mais les choix faits ont tracé le chemin de la ségrégation. « Depuis sa création en 1948, Israël a poursuivi une politique explicite d’établissement et de maintien d’une hégémonie démographique et la maximisation de son contrôle sur la terre au profit des Israéliens juifs tout en minimisant le nombre de Palestiniens, restreignant leurs droits et en entravant leur capacité à contester cette dépossession. En 1967, Israël a étendu cette politique au-delà de la Ligne verte, à la Cisjordanie et à la bande de Gaza, qu’il occupe depuis. Aujourd’hui, tous les territoires contrôlés par Israël continuent d’être administrés au bénéfice des Israéliens juifs, au détriment des Palestiniens, tandis que les réfugiés palestiniens continuent d’en être exclus. »

 

Sont concernés les Palestiniens des territoires palestiniens occupés (Gaza et la Cisjordanie), les réfugiés dans d’autres pays et ceux qui vivent en Israël même. Il ne s’agit plus seulement de l’occupation de territoires, mais de gestion de populations en vertu de leur appartenance ethnique, religieuse et communautaire. C’est ce sentiment, vécu jusqu’à l’étouffement, qui explique que les manifestations de mai 2021 soient parties de Jérusalem-Est (avec l’expulsion de familles dans le quartier de Cheikh Jarrah), se soient étendues à la Cisjordanie et à Gaza, puis se soient propagées parmi les Palestiniens vivant en Israël. De même, en 2018, la discrimination contre la population palestinienne a été inscrite dans une Loi constitutionnelle qui, pour la première fois, définissait Israël comme étant exclusivement « l’État-nation du peuple juif ». Cette loi encourage également la construction de colonies juives et retire à l’arabe son statut de langue officielle.

3. Les recommandations et les implications

Amnesty International liste des recommandations nombreuses et précises sur la manière, pour les autorités israéliennes, de démanteler le système d’apartheid et la discrimination, la ségrégation et l’oppression qui l’entretiennent. L’ONG estime que « l’ampleur et la gravité des violations recensées exigent un changement drastique de la position de la communauté internationale vis-à-vis de la crise des droits humains qui se déroule en Israël et dans les territoires palestiniens occupés (TPO) ». Pour cela, elle lance un appel au Bureau du procureur de la Cour pénale internationale pour qu’il examine l’applicabilité du crime contre l’humanité de l’apartheid dans le cadre de son enquête sur les crimes commis dans les TPO. Amnesty pense que « l’Assemblée générale des Nations unies devrait rétablir le Comité spécial contre l’apartheid, qui a été créé à l’origine en novembre 1962 ».

4. La réaction des autorités israéliennes

Avant même la publication de l’enquête, le ministre des Affaires étrangères, Yaïr Lapid, a appelé Amnesty à ne pas diffuser ce rapport jugé « antisémite », accusant l’ONG de ne « pas être une organisation de défense des droits humains, mais une organisation radicale ». Le Congrès juif mondial a, lui, accusé Amnesty de « diaboliser » Israël. En revanche, l’organisation israélienne B’Tselem s’est félicitée de ce que Amnesty « appelle le régime d’Israël pour ce qu’il est : apartheid ». Interrogé par l’Humanité, mardi matin, le ministère français des Affaires étrangères s’est contenté de répondre que « les services du ministère de l’Europe et des affaires étrangères examineront attentivement ce rapport », tout en renvoyant aux déclarations générales d’une solution à deux États.

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