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27 mars 2016 7 27 /03 /mars /2016 06:43
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27 mars 2016 7 27 /03 /mars /2016 06:30
Humanité Dimanche: "Marre de suer sang et eau pour engraisser la Cooperl! Ils ont décidé de parler" Reportage à Lamballe
Humanité Dimanche: "Marre de suer sang et eau pour engraisser la Cooperl! Ils ont décidé de parler" Reportage à Lamballe
Humanité Dimanche: "Marre de suer sang et eau pour engraisser la Cooperl! Ils ont décidé de parler" Reportage à Lamballe
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26 mars 2016 6 26 /03 /mars /2016 13:58
Sud Santé inquiet pour l'avenir de l'hôpital (Le Télégramme)
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26 mars 2016 6 26 /03 /mars /2016 07:38
Conférence de Lucienne Nayet avec Anne Friant (présidente de l'ANACR 29) au collège Max Jacob de Quimper: l'enfance brisée par le nazisme et l'antisémitisme
Conférence de Lucienne Nayet avec Anne Friant (présidente de l'ANACR 29) au collège Max Jacob de Quimper: l'enfance brisée par le nazisme et l'antisémitisme
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26 mars 2016 6 26 /03 /mars /2016 07:25
Lycée Bergson: la violence policière était totalement déroutante

Sylvie Ducatteau, L'Humanité.fr - Vendredi 25 mars

Les camarades du jeune lycéen frappé jeudi par des policiers, lors du blocus de cet établissement parisien, ont témoigné vendredi de l’incroyable brutalité de cette intervention. Une enquête confiée à l’lGPN a été ouverte par le parquet de Paris.

Dès huit heures du matin, vendredi, environ deux cents élèves du lycée Henri-Bergson, situé dans le XIXe arrondissement de Paris, se sont rassemblés pour protester contre les violences policières dont certains de leurs camarades ont été l’objet, hier matin, lors du blocus de leur établissement contre la Loi El Khomri.

La brutalité de cette intervention a été révélée par une brève vidéo diffusée sur les réseaux sociaux. Un lycéen de 15 ans, Adan, surnommé Danon, élève de seconde, y apparaît d'abord maintenu au sol par trois CRS puis relevé et frappé violemment au visage par l'un des agents. Le jeune homme, le visage ensanglanté, a été conduit au commissariat puis relâché après avoir été entendu par la police.

«La scène a duré bien plus longtemps. C'était d'une violence déroutante », raconte Iliès. Il ose à peine répéter les insultes et menaces «contre nos familles ou homophobes » proférées en même temps que les coups. « Certes, nous avons lancé des œufs et de la farine mais qu'est-ce que pèse un œuf contre une matraque ? », interroge le lycéen pour qui la réaction des policiers « était totalement disproportionnée ». Une disproportion et, plus généralement, des violences dénoncées par la Fidl et l’Unef qui, aux côtés d'une vingtaine d'organisations de jeunes, ont appelé la journée d'action de jeudi.

Diane s'est interposée entre son petit ami et le policier cagoulé qui commençait à le frapper, lui tirant les cheveux et lui donnant des coups de pieds pour lui écarter les jambes en l'injuriant vertement. Le couple venait d'arriver sur les lieux. Le garçon s'apprêtait à filmer la scène : « Les grenades lacrymogènes. L'encerclement des lycéens par les CRS, la fuite de certains vers la rue Sécrétant stoppés net par des croches pieds et rudement matraqués... » Assia est désabusée par ce qu'elle a vu : « Je suis sûre que le fait que nous soyons dans le 19e arrondissement a compté. La police n'interviendrait pas comme cela ailleurs. Depuis le début de notre mobilisation, les CRS ne sont jamais loin du lycée ».

Plusieurs témoins évoquent le cas d'un deuxième lycéen, Stiven, violemment pris à parti par les forces de l'ordre. L'élève de première aurait été vu, au sol, tiré par les pieds, peut-être inanimé, et emmené au commissariat. Trois à cinq jeunes ont suivi le même chemin. Tous en sont ressortis dès jeudi soir, à priori sans que des poursuites n'aient été engagées.

Les violences ont, en tout cas, été reconnues. Vendredi, en milieu de matinée, une délégation de lycéens a été reçue par le préfet de police de Paris, le recteur de l'Académie de Paris, en présence du proviseur du lycée et d'enseignants. Le préfet de police aurait évoqué trois policiers impliqués dans les violences dont un de la brigade anti-criminalité. L'auteur du coup contre Adan aurait été suspendu. Une enquête a été ouverte par le parquet de Paris confiée à l'IGPN, la « police des polices ». Les lycéens ont indiqué au préfet qu'ils disposaient de plusieurs vidéos témoignant de violences sur d'autres jeunes qu'ils fourniront aux enquêteurs. De son côté, l’adolescent, qui se plaint de douleurs dans le haut du corps, envisage de déposer plainte.

Dans un communiqué publié vendredi, la fédération des parents d'élèves FCPE du lycée Bergson s’étonne également du déploiement policier de jeudi. « Ailleurs, à Paris, ce type de blocus, caractéristique de la mobilisation lycéenne, ne provoque pas d'intervention policière. » La FCPE dénonce également la brutalité des agents : « Plusieurs élèves ont reçu des coups de matraque, subi des jets de lacrymogène et ont été frappés. Certains de ceux qui fuyaient ou observaient de loin ont été rattrapés et ont de même subi des violences. » Les parents d’élèves s’inquiètent pour l’avenir. « La violence policière n'est pas la meilleure façon d'éduquer à la citoyenneté et nous avons les plus grandes craintes sur ce que nos enfants pourront retenir des épisodes de la journée. »

En fin de matinée, vendredi, une centaine de lycéens de plusieurs établissements parisiens avaient rejoint ceux de Bergson. Un cortège improvisé s'est rendu au commissariat central du Xe arrondissement, à la mairie puis au commissariat du XIXe avec l'intention de protester contre ces violences. Des jets de pierre et diverses dégradations commises par un groupe de manifestants ont mis fin à cette manifestation. « Des casseurs sont venus et ont motivé un peu des jeunes qui n'ont plus d'espoir et c'est parti en vrille », regrette Belhassen, un élève.

lire aussi : Manifestation contre la loi El Khomri. Suspicion de bavure policière à Paris

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26 mars 2016 6 26 /03 /mars /2016 07:12

Le cumul des mandats atteint là des sommets !

Cela n'a malheureusement pas eu l'air de gêner beaucoup les Bretons pendant les élections régionales.

En tout cas, le budget PS, c'est sans surprise austérité et coupes dans les dépenses sociales avec notamment la fin du chèque livres.

Président de région et ministre de la guerre: Jean-Yves Le Drian assume...
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26 mars 2016 6 26 /03 /mars /2016 07:05

Pour le Retrait de la Loi-Travail

MANIFESTATIONS à 10h30 :

BREST : Place de la Liberté
CARHAIX : Place du Champ de Foire
MORLAIX : Place de la Mairie
QUIMPER : Place de la Résist
ance
QUIMPERLÉ : Coat-Kaër

Loi El Khomri. Une manifestation sonore le 31 mars à Quimper
http://www.ouest-france.fr/bretagne/quimper-29000/loi-el-khomri-une-manifestation-sonore-le-31-mars-quimper-4120574

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26 mars 2016 6 26 /03 /mars /2016 07:05
Marie-Renée Blanchet de Saint Brieuc: évadée du dernier train de déportée, elle témoigne (Ouest-France)

Eric CHOPIN: Ouest-France

Arrêtée par la Gestapo à Saint-Brieuc, cette résistante s’est évadée du dernier train de déportés. À 91 ans, elle témoigne pour la première fois.

Saint-Brieuc. Evadée du dernier train de déportés, elle témoigne
http://www.ouest-france.fr/bretagne/saint-brieuc-22000/saint-brieuc-evadee-du-dernier-train-de-deportes-elle-temoigne-4120673

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26 mars 2016 6 26 /03 /mars /2016 07:00

Le jeu ambigu de la France

http://www.france-palestine.org/Le-jeu-ambigu-de-la-France

vendredi 25 mars 2016

Le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies (CDH) réuni à Genève était saisi le 24 mars de plusieurs résolutions sur la question de Palestine. Deux d’entre elles étaient spécialement importantes, l’une portant sur le suivi de la situation à Gaza et l’impunité, l’autre sur l’établissement d’une "liste noire" des compagnies israéliennes et internationales opérant en territoire palestinien occupé, liste noire dont il est précisé qu’elle sera mise à jour tous les ans.

Ces deux résolutions ont été adoptées avec 32 voix pour et 15 abstentions. La France s’est abstenue avec les autres pays de l’UE membres du CDH. Ce faisant elle a montré une nouvelle fois l’ambiguïté, sinon l’incohérence, de sa position puisqu’elle condamne rituellement la colonisation tout en se refusant à en tirer des conséquences pratiques.

Pourtant, la France considère que « Les transactions financières, les investissements, les achats, les approvisionnements ainsi que d’autres activités économiques dans les colonies ou bénéficiant aux colonies, entraînent des risques juridiques et économiques liés au fait que les colonies israéliennes, selon le droit international, sont construites sur des terres occupées et ne sont pas reconnues comme faisant partie du territoire d’Israël. » Pourquoi alors cette abstention ? Est-ce pour permettre à des banques françaises de continuer à faire des affaires qui profitent à l’occupation israélienne ? Rappelons que cette mise en garde avait contribué au retrait d’entreprises françaises Safège et Poma du projet de téléphérique à Jérusalem-Est. Il y a manifestement ici un double jeu qui discrédite gravement la parole de la France au moment où elle veut jouer un rôle de premier plan.

B. Netanyahou a osé appeler « les pays démocratiques » à ne pas respecter ces résolutions et à boycotter le CDH, c’est à dire à délégitimer un organe de l’ONU. On n’ose imaginer que la France s’engage ouvertement sur cette voie de démantèlement des Nations Unies.

Mais ces résolutions la mettent clairement au pied du mur.

Ces résolutions sont un point d’appui important pour le mouvement de solidarité et les campagnes BDS : il est nécessaire de mettre en cause l’ensemble des entreprises et sociétés, israéliennes ou non, qui tirent profit de la colonisation. Il est légitime de les mettre en demeure de désinvestir si elles ne veulent pas être l’objet de campagnes de boycott.

N’en déplaise au Premier ministre qui joue délibérément la désinformation en amalgamant antisémitisme et critique politique de l’Etat d’Israël, c’est ce que nous continuerons à faire sans nous laisser intimider.

Ainsi le 2 avril et les samedis suivants, nous appelons à des journées d’action avec comme mot d’ordre « Pas de produit de la colonisation dans nos magasins ! »

Le Bureau national de l'AFPS

Israël-Palestine: le jeu ambigu de la France
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25 mars 2016 5 25 /03 /mars /2016 06:57

Le 21 mars était la journée internationale de lutte contre le racisme.

le Parti communiste entend relever avec plus de force ce combat pour recréer de l’unité et gagner la bataille de l’égalité réelle.
Mener le combat antiraciste c’est sortir de l’ambiguïté politique et prendre des mesures concrètes
LE COMBAT ANTI-RACISTE : UN DEFI A RELEVER !

Le 21 mars 1960, la répression de la manifestation pacifique contre la loi sur les « laissez-passer » à Sharpville, en Afrique du Sud se termina par la mort de 69 manifestants. Ce massacre fut un moment décisif dans la lutte contre l'apartheid. Il amena l'Assemblée générale de l’ONU à faire du 21 mars une journée mondiale de lutte contre le racisme.

Le combat est rude. Ce n’est qu’en 2001, lors de la Conférence mondiale contre le racisme, la discrimination raciale, la xénophobie et l'intolérance que les États ont enfin reconnu que l'esclavage et le commerce de l'esclavage avaient été « un crime contre l’humanité ». Malgré une législation qui condamne mieux les pratiques et idéologies racistes, il est inquiétant de constater une recrudescence du racisme en France, eu Europe et dans le monde. En témoigne la honteuse campagne de Donald Trump aux USA et les campagnes xénophobes contre les migrants.

La France est montrée du doigt !

La commission européenne contre le racisme et l'intolérance (ECRI) vient de publier un rapport sur le racisme en France de 2010 à 2015. On y pointe la croissance des actes xénophobes, antisémites et islamophobes ; des attentats meurtriers motivés par l’antisémitisme ; un traitement inhumain des roms et une conception restrictive de la laïcité source potentielle de discriminations.

La France, pays de la déclaration des droits de l’homme est une nouvelle fois montrée du doigt : « Le discours de haine, de par sa banalisation dans la sphère publique, demeure un sujet de préoccupation ».

On sait le rôle détestable que peuvent jouer des discours politiques et médiatiques dans la libération de la parole raciste ou dans l’instrumentalisation de la laïcité pour exclure !

Cela se traduit par un racisme ordinaire non répertorié par les statistiques. L’étude du phénomène de sous-déclaration des plaintes pour propos racistes conclut que 92% des injures ne sont pas déclarées et qu’il en est de même pour 76% des menaces. Des centaines de milliers de citoyens sont, donc, en France victimes d’injures à caractère raciste et atteints dans leur dignité.

30 ans après la marche pour l’égalité, 10 ans après la révolte des banlieues, la situation des descendant-e-s de l’immigration post coloniale et originaires des DOM-TOM, malgré quelques progrès, reste marquée par les inégalités, les discriminations et la stigmatisation.

Des études pointent que l’origine « ethno-raciale » réelle ou supposée entraîne des discriminations à l’embauche, dans l’accès au logement, aux loisirs.

Le racisme a une fonction utile: désigner un bouc émissaire comme dérivatif aux politiques libérales génératrices d’inégalités. On s’en prend au concurrent potentiel, à l’Autre.

Nourri par les frustrations, les souffrances, les inégalités et les déchirures que provoque notre société en crise, par la multiplication des conflits dans le monde, le racisme gangrène la République, lui fait perdre ses valeurs et les faiseurs de haine exacerbent la concurrence entre les victimes du racisme.

Le PCF considère urgent d'amplifier la lutte contre tous les racismes

Il est positif de renforcer de la législation pour condamner la haine sur les réseaux sociaux, les actions en milieu scolaire ou de mettre en place des comités opérationnels contre le racisme (CORA) dans les départements.

Mais mener le combat antiraciste c’est sortir de l’ambiguïté politique :

Le Gouvernement Valls Hollande ne peut pas déclarer l’année 2015 Grande Cause Nationale de la lutte contre le racisme et prôner la déchéance de nationalité ou encore refuser la mise en place du récépissé contre le contrôle au faciès

Quand on est 1er Ministre on ne combat pas l’observatoire de la laïcité présidé par Jean Louis Bianco dont l’action est reconnue par toutes celles et tous ceux qui agissent contre les discriminations

Quand on est 1er Ministre, on cesse d’assimiler l’antisionisme et la critique d’Israël à de l’antisémitisme, au risque de diffuser le poison antisémite Le rôle d’un délégué interministériel à la lutte contre le racisme n’est pas de combattre les organisations antiracistes qui ne partagent pas ses vues mais de travailler avec toutes pour combattre toutes les formes de racismes sans les hiérarchiser.

Mener le combat antiraciste c’est aussi prendre des mesures comme :

►La mise en place du récépissé contre le contrôle au faciès,

►Le droit de vote accordé tous les résidents étrangers non européens

►L’abrogation de la circulaire Chatel relative aux sorties scolaires

►Un plan d’urgence pour un accueil digne des populations roms

►Un vrai plan de lutte contre l’ensemble des discriminations

Le combat antiraciste, un vrai défi politique que le Parti Communiste entend relever avec plus de force pour recréer de l’unité et gagner la bataille de l’égalité réelle !

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