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16 novembre 2014 7 16 /11 /novembre /2014 08:26

manif Paris 15 novembre

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15 novembre 2014 6 15 /11 /novembre /2014 20:36

michel-lespagnol

Près de 2000 milliards de dette publique en France au nom desquels on voudrait nous faire croire qu'il n'y a plus d'autre alternative que de réduire la qualité du service dans les hôpitaux, l'école, les tribunaux et collectivités locales. Une dette qui justifie qu'on transforme les anciens services publics en machines à produire de la rentabilité (SNCF, Poste, France Télécom...). Qu'on privatise à tour de bras et qu'on réduise la protection sociale.

Cette dette a une histoire, il importe de la connaître, d'établir les responsabilités : rappelons qu'elle n'était que de 72 milliards en 1978.

La dette s'est creusée en France pendant 35 ans de mise en œuvre de politiques libérales coïncidant avec l'émergence de la mondialisation financière et d'une Europe à l'orthodoxie pro-capitaliste. La dette n'est pas un produit de la dépense publique et sociale mais d'un combat de classe de plus en plus à l'avantage de la grande bourgeoisie. Ce qui l'a créée et amplifiée, c'est la dérégulation, la privatisation, et de la ponction toujours plus grande réalisée par le capitalisme sur la richesse créée par les travailleurs.

Quelques rappels s'imposent en effet.

En 1945, la création de nombreuses entreprises publiques industrielles a permis le développement économique du pays et contribué à l'excédent des budgets de l'état de 1958 à 1974.

L'année 1974 est celle de l'augmentation des faillites (+27%), la chute de la production (15%), des licenciements et du chômage de masse (1,2 millions).

L'état accorde 60 milliards de francs de fonds publics pour soutenir les monopoles capitalistes.

En 1975 le budget est en déficit. Giscard prône l'austérité. A partir de 1980, l'Europe s'est faite en faveur des grands groupes français et Européens, avec notamment le Traité de Maastricht. La nation n'a plus son mot à dire, et, si elle le dit comme lors du référendum de 2005 où le « Non » l'a emporté, les parlementaires de droite et socialistes l'ont enterré au Traité de Lisbonne.

Le grand capital lorgnait depuis longtemps sur les entreprises, administrations et services publics rentables. Et voici donc les fameux 3 % de déficit imposés par la commission européenne, prétexte aux privatisations réalisées dans tous les pays européens.

Celles-ci aggravent les déficits par une forte diminution des recettes.

Pour l'anecdote, ne disait-on pas que le budget annexe des PTT était la vache à lait du budget de l'état.

Aujourd'hui, l'état a en prévision la privatisation des barrages hydroliques, de l'aéroport de Toulouse très rentable avec Airbus. Le gâchis le plus récent est celui des péages d'autoroutes bradés à Vinci, Eiffage et Albertis. En restant publics, l'exotaxe n'aurait pas existé. Les serviteurs de l'état qu'étaient Jospin, Raffarin et Villepin, sont devenus par ce fait des serviteurs du capital.

Une autre manière de diminuer les recettes de l'état s'est réalisée par l'impôt.

- Baisse de 50 % à 33 % de l'impôt sur les sociétés (M.Rocard)

- Suppression de la Taxe professionnelle (Sarkozy) remplacée par des dotations budgétaires insuffisantes pour les communes.

- Crédit impôt recherche (Sarkozy)

- Crédit impôt Compétitivité Emploi (Hollande).

Une autre baisse des recettes provient de l'évasion fiscale. Et c'est bien d'actualité. Le Luxembourg, pays de 549 000 habitants abrite 104 000 entreprises (cherchez l'erreur!). Il était dirigé il y a peu de temps par Junker, en qui droite et socialistes ont fait confiance au sommet de l'Europe.

Parmi les 340 multinationales qui placent les bénéfices acquis par la force de travail de leurs salariés, 58 groupes français détournent de l'argent qui devrait faire partie des recettes du budget de l'état.

Face à la logique capitaliste de la maximisation des profits pour les actionnaires, et qui est la cause des déficits, le Front de Gauche dans son programme « L'humain d'abord » propose la satisfaction des besoins humains du plus grand nombre de citoyens.

Retraite à 60 ans, remboursement à 100 % des dépenses de santé, réelle prise en compte des personnes âgées par la construction d'une Sécurité Sociale universelle étendue à la perte d'autonomie, construction de milliers de maisons de retraites et résidences seniors accessibles en phase avec les besoins et les capacités financières des vieux, augmentation des bourses d'étude et des droits sociaux des jeunes majeurs, relèvement des retraites et des salaires : c'est possible à condition d'avoir une loi qui protège de la précarité, si on en finit avec ces ponctions financières sur les richesses produites par les travailleurs dans l'entreprise et relève les cotisations patronales dans les grandes entreprises, comme l'impôt des plus riches.

Car il faut trouver des recettes suffisantes pour le développement du pays.

La fiscalité sera revue. Les privilèges fiscaux, Total notamment avec 8 % d'impôts sur les sociétés au lieu de 33 % pour une petite entreprise.

Les revenus financiers seront enfin taxés.

L'impôt sera modulé selon la création d'emplois ou pas.

En ce qui concerne l'impôt sur le revenu, quatorze tranches seraient créées.

D'autres recettes proviennent d'autres entreprises qu'il faut faire revenir complètement dans des grands pôles publics (EDF, GDF, Areva, Total). Secteur bancaire. Grand service public de l'eau. Pôle public du médicament.

Contrairement à ce que prétendent les charlatans du libéralisme économique qui ont droit à toutes les tribunes médiatiques ou presque, c'est la financiarisation, l'Europe du libre-échange transformée en règle d'airain et de l'euro fort favorable à la rente et à la finance, les intérêts bancaires, les privatisations et l'austérité qui ont vidé les caisses de l’État français en créant du chômage, une précarisation, une dépression économique et une perte de recettes fiscales. Ce n'est pas la « générosité » de l’État social ou l'excès de solidarités qui crée la dette et le déficit.

Le savoir, c'est lutter contre la résignation, l'idée qu'il n'y a plus qu'une politique possible: celle qui passe par la régression sociale pour combler prétendument la dette. 

Le programme complet du Front de Gauche n'est pas figé. Il s'enrichit avec les citoyens qui ne se résignent pas à un système à bout de souffle et veulent construire un vrai changement politique, social, écologique dans notre société.

Mais il va être temps que ses principales propositions voient le jour, avant certaines catastrophes annoncées.

 

 

Michel Lespagnol

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15 novembre 2014 6 15 /11 /novembre /2014 19:23

Le Ouest-France a oublié les militants du PCF, mais ils étaient bien présents, brestois ou morlaisiens.  

Contre l'austérité à Brest. 200 manifestants place de la Liberté
http://www.ouest-france.fr/contre-lausterite-brest-200-manifestants-place-de-la-liberte-2977608

 

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Le Telegramme 16.11.14 rassemblement contre l'austérité

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15 novembre 2014 6 15 /11 /novembre /2014 07:25
Intervention d'Ismaël Dupont pour le Front de Gauche sur le Débat d'Orientation Budgétaire le Jeudi 13 novembre 
Conseil Municipal 5 avril 2014 élus FDG
 
" Ces orientations budgétaires ne sont pas satisfaisantes, comment pourrait-il en être autrement ?
Il faut dire que la majorité travaille dans un contexte budgétaire plus que contraint. Il y a là davantage qu'une mise à la diète : la réduction des dotations de 1,5 millions en 3 ans pour Morlaix, de 4,5 millions pour Morlaix Communauté, c'est considérable !
Cela force la majorité de droite à faire des arbitrages difficiles, et parfois même impossibles.
Cela va se traduire par la poursuite de la politique de rigueur pour le personnel. Or contrairement à ce que laisse entendre Madame Le Brun en parlant de « contenir les charges de personnel », les personnels ne sont pas d'abord une charge mais un atout pour rendre des services à la collectivité, être utiles à la population. Ils produisent des services, dont aussi de la richesse sociale. Dans ce contexte d'austérité, c'est probablement eux qui vont essuyer les plâtres les premiers. C'est déjà le cas.
On ne peut que craindre également les conséquences de la baisse des subventions aux associations conventionnées et non conventionnées. A l'échelle nationale, la compression financière des collectivités, la baisse de la dépense publique touche énormément le secteur associatif, qui est en train de vivre un vaste plan social, avec des dizaines de milliers d'emplois détruits. A Morlaix, rien qu'en 2015, la majorité a prévu de réduire de 162 000€ de subventions aux associations : moins 12000€ (-18%) pour les associations culturelles non conventionnées, moins 92000€ (-15%)pour les associations culturelles conventionnées – excusez du peu... ! - moins 23000€ (-18%) pour les associations sportives, sociales, familiales non conventionnés, - 30000€ (-7,4%) pour les associations conventionnés dans le même domaine : cela touche les centres sociaux.
Au-delà de ces baisses de moyens qui vont affecter et fragiliser les associations, il y a aussi l'abandon d'investissements utiles. Comme cette maison des associations que les élus issus des 3 listes présentes ici ont défendu pendant les municipales. Il y a aussi l'ajournement sine die de la mise en accessibilité pour les personnes à mobilité réduite de la MJC et de la Médiathèque Les Ailes du temps. Une baisse plus que regrettable dans un contexte d'augmentation de la précarité des moyens alloués aux centres sociaux.
Autre disposition contestable prise par la majorité d'Agnès Le Brun : l'augmentation des subventions aux écoles privées pour aligner la prise en charge du fonctionnement des écoles maternelles privées sur le public, avec la prise en charge des frais liés aux ATSEM en école maternelle. Je m'étais étonné de ce relèvement des subventions pour le privé en Commission Finances : cela représente tout de même 68 000 euros en 3 ans, on m'avait rétorqué que c'était la loi. Mais je ne suis pas certain que la loi oblige vraiment à l'égalité de traitement des enfants de la commune en école maternelle, comme en école primaire.
De manière globale, Morlaix paie très cher le plan d'austérité sans précédent décidé par Hollande et Valls : 50 milliards d'ici 3 ans, 20 milliards cette année, dont 3,7 milliards prélevées sur les seules collectivités locales. Celles-ci ne représentent pourtant que 20 % de la dépense publique et 70 % de l'investissement public, profitant notamment au secteur du bâtiment. Elles ont souffert ces dernières années de pertes d'autonomies fiscales et de transferts de charge non compensés.
La gauche libérale, en la matière, ne fait pas autre chose que la droite de Sarkozy et Fillon avant 2012.
C'est la même logique qui est à l’œuvre mais, justement, de ce point de vue, Madame Le Brun, vous jouez à front renversé et êtes en plein paradoxe quand vous dénoncez la baisse des dotations d'Etat à la commune décidée par le pouvoir socialiste tandis que vous êtes responsable nationale et départementale d'un parti, l'UMP, qui réclamait début 2014 dans son programme économique, non pas 50 milliards d'euros de baisses de dépenses sociales et publiques, mais 138 milliards sur 5 ans.
A rajouter à l'allongement de l'âge du départ à la retraite, aux 39h payées 35, ...
D'ailleurs, François Fillon avait déjà planifié cette austérité et à l'époque vous ne l'aviez pas dénoncé Madame Le Brun : en 2012, 7 milliards d'euros de dépenses publiques en moins, 11,6 milliards en moins projetés en 2013, et 65 milliards de réductions de dépenses publiques et sociales à l'horizon 2016 : c'était le projet de la droite avant sa défaite de 2012.
Seulement, en 2012, les Français ont voté majoritairement pour un autre projet politique : or, avec le PS, comme avec l'UMP, c'est toujours les vieilles recettes éculées du libéralisme qui s'appliquent, le même pouvoir du patronat et du MEDEF qui se traduit dans les politiques publiques.
La dette est invoquée pour justifier ces baisses de dotations aux collectivités mais la dette n'est qu'un prétexte et une arme psychologique pour délégitimer la dépense publique et sociale, pour réduire les solidarités.
En réalité, ce sont les politiques libérales qui accroissent la dette de l'Etat à travers l'impact de la financiarisation de l'économie sur la destruction des emplois, les baisses d'impôt pour les plus riches et pour les grandes entreprises, les exonérations de charges patronales qui représentent 200 milliards d'euros par an tandis que la fraude fiscale, elle, représente au bas mot 40 milliards d'euros. La dette représentait 1200 milliards d'euros en 2007, 2000 milliards d'euros aujourd'hui (100 % du PIB). Entre-temps, on n'a eu que des politiques d'austérité.
Beau résultat, mais les charlatans continuent leurs boniments...
On le voit bien, la conséquence de l'austérité, c'est une consommation populaire au point mort, une croissance faible ou zéro, une baisse d'activité économique, plus de chômage, d'inégalités, de précarité et une baisse des rentées fiscales. Donc le creusement du déficit et de la dette.
Le vrai but de ces politiques n'est pas de réduire la dette mais de réduire le périmètre de l'Etat, de la dépense publique, des solidarités, de privatiser et de servir les entreprises capitalistes.
Ainsi, il n'y a pas à chercher très loin l'explication de la baisse des dotations à Morlaix comme partout ailleurs : le patronat, et particulièrement le grand patronat, sont choyés par Hollande et le gouvernement Valls : pendant qu'on augmente la TVA pour les catégories populaires et les impôts locaux, les plus injustes, on donne 20 milliards aux entreprises sans condition dans le cadre du CICE, plus 10 milliards supplémentaires d'exonérations patronales.
S'il y a donc une mise en procès à faire aujourd'hui, c'est autant celle qui concerne les absents, Madame Lebranchu, Ministre de la Fonction Publique et de la Décentralisation, qui met en œuvre cette politique décidée dans les officines du Medef, celle de Gwenegan Bui, qui a voté toutes les grandes lois de cette politique, à commencer par la ratification du pacte budgétaire européen, qui mène dans le mur et trahit les promesses de justice sociale, de rupture avec les politiques de droite de 2012, que le procès de la majorité municipale de droite, qui fait ses choix dans un cadre qui laisse peu de marges de manœuvre, sinon pour décider des postes « à sacrifier »".
Le Telegramme 14.11.14 Conseil Municipal
Le Telegramme 15.11.14 le Conseil Municipal
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15 novembre 2014 6 15 /11 /novembre /2014 07:21
En cliquant sur le lien ci-dessous, vous pourrez lire un rapport accablant d'Amnesty France sur ce qu’ont fait les forces israéliennes, notamment à Gaza :
 
un drapeau pour Gaza...à Morlaix
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15 novembre 2014 6 15 /11 /novembre /2014 07:15

Une mobilisation nationale contre l'austérité a lieu samedi 15 novembre à Paris et dans une vingtaine d'autres villes. Partis politiques de gauche, syndicats et associations veulent manifester leur rejet de la politique menée par le gouvernement. Objectif : poser le premier jalon d'une alternative pour les prochaines échéances électorales.

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15 novembre 2014 6 15 /11 /novembre /2014 07:00

L'évolution de la situation au Maroc suscite une profonde inquiétude chez les démocrates et progressistes marocains et français. Le régime a fait le choix de renforcer la répression à l'égard de tous celles et ceux qui contestent sa politique, tant en matière économique et sociale que dans le domaine des droits humains.

Sont particulièrement visés les militants des associations de défense des droits de l'homme comme l'AMDH, la LMDHH, Amnesty International-Maroc, Freedom-now, ATTAC-MAROC...

Le rapport d'Human Right Watch de 2012 relate de nombreux cas de répression et de violences subies par les militants et les populations marocaines.

L'usage de la torture est mentionné dans le rapport 2013 du rapporteur spécial de l'ONU. Le nombre de prisonniers politiques ne cesse d'augmenter. La mort récente de l'un d'entre eux après une grève de la faim constitue un véritable crime. La condamnation à deux ans de prison de Wafaa Charaf, jeune militante, pour avoir soutenu des salariées licenciées pour activité syndicale, et dénoncé la responsabilité de la police dans son enlèvement, est un véritable déni de justice.

La corruption reste endémique.

Par ailleurs, la montée du mécontentement des Marocains face aux conséquences de la politique libérale du régime ne peut plus être ignorée. Le 29 octobre, une grève générale des salariés et diplômés-chômeurs a été lancée par l'ensemble des syndicats et a connu un grand succès.

Enfin, le Roi, dans une interview récente, s'en prend violemment à tous ceux qui contestent sa politique d'occupation au Sahara occidental et les qualifie à plusieurs reprises « de traîtres à la Patrie ».

Dans ces conditions, le Forum mondial des droits de l'homme qui doit se tenir à Marrakech du 27 au 30 novembre s'apparente à une tentative de diversion, pour masquer et faire oublier la réalité de la politique liberticide du régime. Les autorités françaises ne peuvent cautionner et se prêter à une telle opération de camouflage.

Le Maroc ne peut pas continuer à s'enfoncer dans la spirale de la répression qui renverrait le pays à ses pires années noires.

Le Maroc, allié de la France, partenaire stratégique de l'OTAN, ne doit bénéficier d'aucune complaisance d'aucune sorte.

Les liens étroits qu'il entretient avec l'UE à travers l'accord d'association, lui impose de respecter les droits de l'homme. Jusqu'à quand l'UE va-t-elle accepter de fermer les yeux sur leur violations répétées ? Si aucune amélioration se fait jour, cet accord doit être suspendu.

Le PCF renouvelle son soutien et sa solidarité à tous les démocrates et progressistes marocains qui luttent, dans des conditions difficiles, pour un Maroc démocratique et de justice sociale.

 

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15 novembre 2014 6 15 /11 /novembre /2014 06:40
la lutte n'est pas pour tous
LA LUTTE N'EST PAS POUR TOUS  
 de Guillaume Kozakiewiez (France – 2014 - 1h25) 
Documentaire

 Naiara, une adolescente de 16 ans, contemple un champ de ruines qui fut un campement rempli d'espoir, et qui a été détruit par le gouvernement. Ce lieu était le symbole d'une lutte pour l'émancipation des paysans sans terre du Brésil. Il fut aussi l'école où Naiara comprit qu'une autre voie était possible. C'est ici qu'elle est tombé amoureuse d'une cause révolutionnaire promettant la possibilité d'une vie digne. Armée de sa volonté et de son innocence, Naiara entre en lutte. Le film accompagne cette jeune militante jusqu'à ses 18 ans...
   
 Ciné débat animé par l'association le REUZ  le mardi 18 novembre à 20h30 
 Dans le cadre de du Mois du doc et de la semaine de la solidarité internationale avec le RESAM.

semaine de la solidarité internationale
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12 novembre 2014 3 12 /11 /novembre /2014 13:48
semaine de la solidarité internationale
Cette année encore, pour la deuxième fois, les acteurs locaux de la Solidarité Internationale réunis autour du RESAM au sein du Collectif Maison du Monde, organisent du 15 au 23 novembre, la Semaine de la Solidarité Internationale en Pays de Morlaix.
De nombreuses animations et évènements vous y seront proposés par les différents partenaires, et vous trouverez le programme détaillé en pièce jointe.
A cette occasion, l’AFPS du Pays de Morlaix en partenariat avec la MJC et le PIJ de Morlaix vous invite :
Gaza la vie passionnément Marie-Jo Parbot
A venir découvrir à partir du samedi 15 novembre dans le hall de la MJC, l'exposition de photos extraites du dernier livre de reportage de Marie Jo Parbot "Gaza, la vie passionnément", sorti en juillet 2014.
Affiche depuis que je suis né
A une grande Soirée d’information et de Solidarité avec le Peuple Palestinien le mercredi 19 novembre à partir de 18 heures 30 à la MJC pour une rencontre débat avec Marie Jo Parbot autour de ses ouvrages (bandes dessinée et reportages sur la Palestine et Gaza), suivie d’un apéro-dinatoire, précédant à 20 heures 30 la projection du film documentaire de Laura delle Piane «Depuis que je suis né », qui introduira un débat avec la participation de Marie Jo Parbot et une jeune Palestinienne originaire de Dheisheh en Cisjordanie, actuellement en stage SVE  à la Fédération Régionale des MJC des Cotes d'Armor.
logo AFPS
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11 novembre 2014 2 11 /11 /novembre /2014 12:51

Dans le cadre de la journée de mobilisation nationale dans les grandes villes organisée par le collectif unitaire AAA (associations, syndicats, mouvements politiques)  Alternative à l'Austérité, le Front de Gauche du Pays de Morlaix et ses composantes (PCF, Parti de Gauche, Ensemble) appellent à se rassembler en nombre à la grande manifestation de Brest le 15 novembre à 14h30 (place de la Liberté) pour une alternative à la politique gouvernementale et pour dire non aux exigences du Medef, non au budget d'austérité du gouvernement Valls, non à ses réformes anti-sociales ( attaques contre les services publics, la sécu, les hôpitaux, les chômeurs, le dimanche non travaillé...). 

 

Un co-voiturage par le Front de Gauche sera organisé à partir du parking de la place René Cassin de Morlaix (derrière le Pouliet et le square de la Résistance à 13h15).  

 

La coupe est pleine!

Notre pays s'enfonce dans la crise avec son cortège de misère, de chômage, de précarité, de violentes divisions.

Hollande et Valls mènent une politique libérale au service du Médef et des intérêts financiers même si la même politique échoue partout en Europe, creusant la dette, le chômage et les inégalités. Nous disons que d'autres choix sont possibles. Nous ne sommes pas condamnés à l'austérité permanente et à l'insécurité sociale. Il faut mettre en oeuvre une politique qui parte des besoins sociaux, s'attaque aux inégalités. Une réforme fiscale d'ampleur permettrait une redistribution des richesses et une relance des investissements productifs au service de la grande masse de la population, s'inscrivant dans la transition écologique.   

Organisations appelant à la Manif de Brest le 15 novembre. 
Rendez-vous à 14h30 Place de la Liberté
Solidaires, UL CGT Brest, Parti de Gauche, Solidaires, Ensemble, NPA, PCF, Mouvement des Jeunes Communistes Brest, EELV Brest, Groupe des élus BNC, ATTAC,Front de Gauche pays de Morlaix 
Prochaine réunion du collectif AAA : mercredi 10 décembre, 20h dans les locaux de Solidaires - Brest
manif du 15 novembre à Brest
Manif du 15 novembre à Brest - 14h30
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